Pétition à signer à cette page:
Demandeur d’asile… Un clandestin, en fait. Vu son comportement relaté plus bas, tout porte à croire que c’est d’un asile d’aliénés dont il a besoin.
FDF
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QUAND ON VOUS DIT QUE LIRE et RECITER LE CORAN REND MALADE
IL VA BIEN FALLOIR NOUS CROIRE à FORCE ……………….CERTAINS DOIVENT S’IMAGINER QU’ILS PEUVENT EN TOUTE IMPUNITé SE CONDUIRE EN SAUVAGES COMME AU BLED ………
BEN NON MES BONS AMIS…
JC JC…
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« Lundi après-midi, il s’est soudainement emporté. L’homme s’est emparé d’un extincteur pour le vider sur une employée du service. Il a aussi cassé différentes vitres et des objets de décoration.
Il a été écroué à la maison d’arrêt de Tours.«
Déplacez-vous dans un Resto du Coeur ou autre Secours Catholique… Vous pourrez constater de vos propres yeux. Ca, on ne le montre pas à la télé. Comme on évite de montrer des vrais Français qui meurent de faim et de froid dans la rue…
FDF
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FDF
(Reçu par mail)
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De quoi passer un joyeux réveillon pour les dealers, sans penser aux ados qu’ils tuent à petit feu…
Bande de salopards !!!
FDF
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La cité de la Visitation, dans les quartiers nord de Marseille, où se déroulait le trafic décrit dans le carnet retrouvé sur place. Banlieue « défavorisée », qu’ils disent…
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La police marseillaise a mis la main sur un document exceptionnel: la comptabilité d’un caïd local du trafic de stupéfiants, méticuleusement détaillée sur les feuillets d’un petit bloc-notes. Une version simplifiée des livres de comptes d’Al Capone, en somme, découverte dans les parties communes d’un immeuble annexées par les trafiquants, dans la cité de la Visitation, dans les quartiers nord de la Cité phocéenne, là où se multiplient les règlements de comptes à la kalachnikov entre « jeunes » de 17 à 20 ans.
Le «bénéfice», inscrit en toutes lettres par ce scribe consciencieux du commerce de cannabis et de cocaïne, dépasse les 100.000 euros par mois. Pour une seule cité! Plus d’un million d’euros d’argent sale par an, empochés «net d’impôts», dans un seul point de vente de la ville. On comprend mieux les enjeux de la guerre de la drogue à Marseille, où le nouveau préfet de police, Alain Gardère, a focalisé son action sur 25 cités sensibles.
Le gang de la Visitation a été, pour l’essentiel, mis hors d’état de nuire à la mi-novembre par l’antenne marseillaise de l’Office central de répression du trafic illicite de stupéfiants (OCRTIS). Mais l’affaire est loin d’être terminée. Elle a donné lieu à une nouvelle arrestation cette semaine. Il y a un mois, deux des interpellés, âgés de 26 et 51 ans, avaient été présentés comme les chefs du réseau. «L’un d’eux était sans doute l’auteur des feuillets de compte», estime un policier, en attendant d’éventuelles analyses graphologiques.
Le précieux document éclaire, en tout cas, sur la psychologie de cette nouvelle génération de voyous. «Ils brassent tellement d’argent qu’ils se rêvent désormais en chefs d’entreprise!», estime un commissaire de la PJ locale.
La demi-douzaine de membres de la bande subvenait aux besoins de familles entières. Le seul «coût de fonctionnement» du réseau s’élevait à 50.000 euros par mois, pour payer les intermédiaires et l’armée des petites mains impliquées dans le trafic. Les seules «nourrices», qui gardent la marchandise, recevaient un vrai salaire de cadre: 19.000 euros à se diviser en quatre. «De quoi ruiner la valeur du travail!», se désole un officier de police des quartiers nord.
À la Visitation, point de vente conquis de haute lutte, le réseau démantelé avait installé un véritable «drive-in» de la drogue, avec des dizaines de clients par jour. Un café servait à passer commande.
Une jeune femme de 25 ans alimentait les halls d’immeuble au gré des transactions. Le client n’avait plus qu’à faire un petit crochet en voiture pour payer et être servi. La drogue était achetée en gros en Espagne, les fournisseurs répondant aux «coups de chauffe» par des approvisionnements complémentaires depuis la région parisienne.
Un limier de la PJ locale l’assure: «La Visitation n’est pas le plus gros point de vente de la ville. Certaines grosses cités font vivre quatre ou cinq lieux de deal similaires.» Le policier l’assure également: «Si les balles fusent, ces derniers temps, c’est parce que la justice a mis derrière les barreaux des caïds dont le commerce, laissé en friche, suscite des convoitises.» Aussi paradoxal que cela puisse paraître, le milieu qui s’étripe à Marseille serait un signe que la police fait son travail.
Le petit livre de comptes du réseau de la Visitation, à Marseille, n’omet aucun détail. On y décrit la «paye des employés (gérant, vendeur, guetteur)», les frais de «nourriture» et les «arrangements», sous forme de «remises clients», pour un total de 31.200 euros par mois. Les «nourrices» ont perçu, dans le même temps, 19.100 euros, Pour un total de «coût de fonctionnement» du réseau chiffré à 50.300 euros par mois.
Le prix du kilo de haschich est fixé à 2250 euros. Le «bénéfice sur la coupe (passage du kilo aux morceaux» atteint 101.250 euros. Le «spé», autre produit, rapportait quant à lui «60.000 euros par mois».
Suit un petit calcul d’écolier: «60.000 + 101.250 = 161.250 – 50.300 =110.950 € de bénef par mois».
L’un des points de guet était visiblement une maternelle. Le «guetteur maternelle» touchait, en tout cas, à lui seul, 4 800 euros par mois. Celui d’une «entrée» émargeait, pour sa part, à 6 000 euros, soit 100 euros la demi-journée. Le «vendeur» et le «gérant» n’étaient pas trop gourmands, puisqu’ils ne percevaient «que» 9000 euros.
Source: http://www.lefigaro.fr/
Ce n’est même plus de la provocation; c’est une déclaration de guerre… Encore un cas de conductrice voilée!
Et on en verra de plus en plus; avec comme « répression » une amende de 35 euros!
« L’article 2 de la loi précise que « l’espace public est constitué des voies publiques ainsi que des lieux ouverts au public ou affectés à un service public ».
La notion de voies publiques n’appelle pas de commentaire. Il convient de préciser qu’à l’exception de ceux affectés aux transports en commun les véhicules qui empruntent les voies publiques sont considérés comme des lieux privés. La dissimulation du visage, par une personne se trouvant à bord d’une voiture particulière, n’est donc pas constitutive de la contravention prévue par la loi. Elle peut en revanche tomber sous le coup des dispositions du code de la route prévoyant que la conduite du véhicule ne doit pas présenter de risque pour la sécurité publique. »
Faites vous prendre sans ceinture au volant; c’est un crime.
FDF
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Idéal pour la sécurité routière…
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Source: http://www.lepoint.fr/
L’omertà a bien fonctionné, et l’affaire n’éclate que maintenant dans la blogosphère :
Rachid Gacem, qui avait défendu la lapidation devant les caméras de John-Paul Lepers l’an dernier a voté aux sénatoriales en tant que « grand électeur » investi en tant que tel par la gauche.
Quelques explications sur le mode d’élection des sénateurs :
Ceux-ci ne sont pas élus au suffrage universel, mais sont choisis par un collège de grands électeurs composé principalement d’élus locaux. Principalement mais pas seulement. Dans les plus grandes villes, non seulement tous les conseillers municipaux sont électeurs, mais de plus ils nomment des grands électeurs supplémentaires qu’ils choisissent dans leur entourage.
C’est ainsi que Rachid Gacem, jusqu’à l’an dernier trésorier et chargé de communication dans une mosquée de Roubaix, a été rajouté et, sans jamais avoir été élu lui-même, a participé à la désignation des sénateurs.
L’EMISSION DE JOHN-PAUL LEPERS ET LE SCANDALE MEDIATIQUE
On se souvient de l’émission de John Paul Lepers dans laquelle Rachid Gacem n’est pas passé inaperçu :
Quelques extraits :
« La lapidation, je serais dans un pays musulman, je dis oui …. c’est la loi divine … couper la main à un voleur, je suis d’accord »
« Si demain la France devient majoritairement musulmane, c’est la charia qui doit prendre le truc, et alors ? » .
Le passage à la télévision donna un retentissement national à ces propos, qui déclenchèrent un scandale majeur.
Rachid Gacem démissionna de ses fonctions à la mosquée, et il présenta des « excuses » qui peuvent encore être lues sur le Blog2Roubaix dans un article du 15 septembre 2010 intitulé Qui a peur de l’islam : communiqué de Rachid Gacem. Nous allons insister sur la teneur de ces excuses des plus ambigües, car, comme nous le verrons plus tard, elles serviront de prétexte aux responsables socialistes locaux pour justifier la nomination de M. Gacem comme grand électeur :
« … je condamne sans ambigüité et fermement les propos que j’ai tenu concernant la lapidation et les mains coupées, ceux-ci ont été dit dans un contexte d’euphorie, de naïveté et surtout avec un grand manque de connaissances théologiques, je le reconnais. »
Le contexte d’euphorie s’explique par le fait que venait de se tenir, au Parc des Sports, un rassemblement géant avec des prières en plein air auprès desquelles celles de la rue Myrrha font pâle figure. Les participants avaient été accueillis par René Vandierendonck, le maire « dans ce haut lieu de la citoyenneté roubaisienne ».
La naïveté est évidente. Ce n’est pas une excuse, simplement une aubaine pour le citoyen de base, qui obtient grâce à elle une information qui lui aurait été autrement cachée.
Quant au manque de connaissances théologiques, on s’en fout. L’interdiction de la lapidation ne doit pas dépendre d’interprétations théologiques plus ou moins compétentes, mais des lois de la République.
Il rejeta la faute sur les journalistes :
« « L’erreur est humaine », aujourd’hui je sais que j’ai fait une erreur, j’ai tenu des propos qui étaient hors de ma portée, qui ont été retirés de leur contexte et utilisés à contre sens, comme savent si bien le faire les journalistes expérimentés dans la manipulation intellectuelle visant à nuire aux auteurs. »
En réalité, et on le voit aux expressions employées, Gacem ne regrette que son manque de maîtrise des techniques de la communication, et ne s’excuse que des dégâts que sa franchise maladroite a causés à sa communauté en termes d’image :
« Les personnes qui me connaissent savent mieux que quiconque que mes intentions n’étaient pas mauvaises, que je ne voulais pas participer à la propagation de propos diffamant notre communauté, et surtout jeter un voile qui ternit et nuit encore une fois à l’image de Roubaix. »
« J’insiste sur le fait qu’à ce jour et de part cette expérience négative cela me servira longtemps de rappel et que tout sujet n’est pas systématiquement à la hauteur de mes connaissances. »
« Je tenais à vous préciser que mon rôle au sein de la Mosquée Abu Bakr se limitait à la communication et à la garantie du respect des voisins. J’ai failli dans ma communication et me suis fait berné par un journaliste chevronné. J’en assume toute ma responsabilité. C’est pourquoi j’ai posé ce jour ma démission au Conseil d’administration. Elle a été acceptée unanimement. »
L’INSCRIPTION DE M.GACEM COMME GRAND ELECTEUR
Les circonstances de cette inscription sont relatées par Nord Eclair dans un article du 3 juillet 2011 intitulé Un « grand électeur » qui provoque des remous. On peut y lire ces explications d’André Renard, qui a participé à l’élaboration de la liste :
« Chaque élu devait fournir un ou deux noms de personnes disponibles pour l’élection sénatoriale le 25 septembre. Chacun a puisé dans le cercle de ses relations personnelles et c’est ainsi que le nom de Rachid Gacem est apparu ».
André Renard qualifie de « tempête dans un verre d’eau » les protestations suscitées par la nomination de M. Gacem, et ajoute :
« En tout cas, les réactions à l’encontre de Rachid Gacem sont complètement déséquilibrées. Il n’est tout de même pas candidat aux élections municipales ! Il dispose seulement d’un ticket qui lui donne le droit d’aller voter le 25 septembre. Rien de plus. Certes, l’an dernier, il a dit des conneries. Mais il s’en est publiquement et sincèrement excusé et il a démissionné de ses fonctions de trésorier à la mosquée Abou Bakr. Faut-il établir une double peine à l’égard de tous ceux qui un jour ou l’autre ont dit des conneries ? »
Voici donc des propos favorables à la lapidation ravalés au rang de simple sottise dont il suffit de s’excuser.
Nous rappellerons combien étaient ambiguës les excuses de M. Gacem, et nous ajouterons qu’une personne ayant un rôle politique n’a pas à s’excuser pour avoir rendu publique ses idées, même et surtout si celles-ci sont révoltantes. Nous préférons clairement que les idées de M. Gacem sur la charia soient connues des citoyens plutôt que promues en secret. Un politique a pour devoir de faire connaître ses idées et, quand elles sont celles de M. Gacem, les électeurs ont pour devoir de ne pas l’élire. Il n’est d’ailleurs pas élu par les Roubaisiens, mais a été nommé par un collège d’oligarques.
LA SORTIE DE L’ AFFAIRE
Un autre scandale est que la nomination de M. Gacem s’est déroulée dans un silence total de la presse nationales.
L’affaire a été soulevée par M. Ahmed B…, un lecteur de Nord Eclair, qui remarqua la présence de M. Gacem parmi les grands électeurs, et qui écrivit à son journal pour s’indigner. Il obtint la rédaction de l’article précité du 3 juillet.
Cet article fit lui-même peu de bruit, mais il fut suivit d’un article du 29 décembre qui le résumait en quelques lignes au sein d’une revue de l’actualité politique de l’année à Roubaix.
C’est ce dernier article qui fit sortir l’affaire dans la blogosphère.
Juste une inscription sur le site d’Agoravox est nécessaire pour voter. Ce qui vous permettra de soutenir Catherine à travers ses nombreux articles présents et à venir
« Mandarine »; un pseudo rafraichissant et bien de saison, ça. Ca change de Clémentine… Ca fait aussi penser à Noël… Mais soyons sérieux.
Envoyé le 30/12/2011 à 10:49
Bonjour F D F me permettez-vous de faire suivre cette lettre sur mon blog, ainsi que toutes celles que vous faites paraître , merci de votre réponse bonne journée MANDARINECLEMENT ****************************************************************************************************************** Il n’y a aucun problème à faire suivre tous les billets diffusés sur mon blog. Au contraire de certains, je ne colle pas de copyright partout afin de me faire mousser.MANDARINE, comme les autres, vous pouvez piller dans FDF, c’est même fortement recommandé. L’information n’en sera que plus diffusée… Je vous demanderai simplement de citer la source, toujours dans le même objectif d’un « arrosage » le plus large possible.Bon travail.FDF |