Francaisdefrance's Blog

08/02/2012

Un bon conseil: ne JAMAIS stationner vers une manif…

Là, comme dit Babette (merci pour la photo), le chef a du hurler… Ca vaut bien un clin d’oeil; ça ne se passe pas toujours aussi calmement…

Même sur le pare-brise: c’est le monde à l’envers… (On a caché les plaques; assez d’emmerdements comme ça…).

Mort de rire.

FDF

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03/01/2012

Samir: braqueur pour 80 centimes d’euros…

 Minables braqueurs…

FDF

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POUR VOIR SAMIR   CHIALER  DEVANT LES GENDARMES ET DE FAIRE AU FROC DE TROUILLE    ALORS QU’IL N’HESITE PAS A SORTIR   UN FLINGUE DEVANT  UNE FEMME A UN PEAGE D’AUTOROUTE…

TOUTE L EMISSION EST INTERESSANTE   SON HISTOIRE COMMENCE à 11,29′      ELLE CONTINUE  VERS 28,15′   pui ca reprend à  48,15′

Je n ai pas résisté a le voir une 2ème fois.

ET TOUT CA POUR quatre vingt cts d’euro,  ce connard là…

JC JC…

Le programme « Au coeur de l’urgence – Les anges gardiens de l’autoroute » est dorénavant disponible sur « FRANCE 3 ».

 Cliquez ici pour le visionner.

02/01/2012

Nuit de la saint Sylvestre: toujours moins de délinquance…

La politique du « moins que »…

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C’est la dernière qui vient de tomber. On nous balance de chiffres des « arrestations »: moins qu’en 2010, qui était moins qu’en 2009, qui était moins qu’en 2008, etc…

Des chiffres bien sûr électoralistes qui ne serviront cette année qu’à faire remonter la cote (bien basse) de Sarkö Ier…

Et dire qu’il a fallu la nuit dernière le déploiement de 60 000 membres des forces de sécurité pour en arriver là. Le gouvernement a fait un très mauvais calcul: tout ce monde pour 251 arrestations, cela fait 0, 004 délinquant arrêté par membre des forces de sécurité. Ca commence à coûter cher, non?

Mais rassurez-vous. Les vrais chiffres, nous les saurons plus tard; ceux des voitures incendiées, par exemple… Ces chiffres, il serait facile de les obtenir: ne serait-ce que par les personnes qui ont vu leur voiture incendiée ou par les sociétés d’assurances qui ont reçu les constats… Mais je pense que des consignes ont été données; au nom de la sécurité nationale…

Mais ça fait plaisir de se sentir de plus en plus en sécurité.

FDF

60 000 policiers, gendarmes, sapeurs-pompiers et secouristes avaient été mobilisés dans l’Hexagone.

Les festivités de la nuit de la Saint-Sylvestre ont connu une affluence sensiblement identique à l’année précédente et « se sont déroulées dans le calme, sans incident notoire, sur l’ensemble du territoire national », estime le ministre de l’Intérieur dimanche dans un communiqué. « Seuls huit membres des forces de l’ordre ont été légèrement blessés au cours de la nuit », ajoute le ministre qui précise que « seulement 251 interpellations ont été nécessaires contre 501 en 2011, 405 en 2010 et 288 en 2009 ».

« Les dégâts aux biens immobiliers publics et privés sont restés minimes et la recherche d’affrontement avec les forces de l’ordre a été plus rare que les années précédentes« , poursuit le ministre.

À propos des voitures brûlées, « comme l’année précédente, aucun chiffre ne sera communiqué pour éviter toute surenchère ou compétition entre villes », indique le ministre qui rendra public le bilan annuel des voitures brûlées, courant janvier 2012, lors de la présentation des résultats de la lutte contre la délinquance et de l’activité des services de police et de gendarmerie pour 2011.

60 000 policiers, gendarmes, sapeurs-pompiers et secouristes avaient été mobilisés pour permettre à chacun de vivre ce moment festif en toute sécurité. 360 000 personnes se sont rassemblées à Paris, dont 300 000 sur les Champs-Élysées, sans incident majeur.

Source: http://www.lepoint.fr/

31/12/2011

Pauvre Mouloud…

Et dire que c’est vrai. Que c’est fréquent. Que c’est tout à fait comme ça se passe. De temps à autres, je vais assister à des procès au tribunal du coin. Il m’est arrivé de partir précipitamment avec une envie de vomir.

Lamentable…

J’ai honte de ma France.

FDF

(Reçu par mail)

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Bonjour à tous,
Ca y est, j’ai reçu mon excès de vitesse, 92 km/h au lieu de 90 sur une double voie à 23h28.
j’ai dû m’acquitter de 45 euros et 1 point de mon permis m’a été retiré.
Ce permis m’avait été attribué en son temps à titre permanent ce qui n’est plus le cas avec la législation sur le permis à point qui est intervenue bien après l’obtention de mon permis.
Ce qui tend à prouver que demain, une législation nouvelle peut me supprimer partiellement ou totalement ma retraite, comme cela vient d’être partiellement fait en Grèce.
Dans le même temps où je me faisais flasher, une équipe de gendarmerie (que je paie) qui avait mis en place un radar mobile arrêtait Mouloud qui s’est fait radariser à 142 km/h au lieu de 90
dans une voiture volée et n’ayant jamais passé son permis.
Le lendemain, Mouloud en comparution immédiate assisté d’un avocat désigné d’office (que je paie) a été condamné par le juge (que je paie) à 2 mois de prison avec sursis et à 0 euro d’amende (car non solvable). Cela fait des économies à la CAF (que je paie).
Bien entendu il n’a pas eu de retrait de point … sur le permis qu’il n’a pas encore passé.

Et Mouloud est rentré tranquillement à la maison, il n’a pas dépensé un centime  et pourra recommencer jusqu’à ce que sa peine ait atteint au moins 2 ans de prison ferme (peine qui, en France, commence à être exécutoire ?!?!?).
Ouf ! j’ai économisé les frais de prison (que je paie)
 Ayons une pensée émue pour le propriétaire de la voiture volée qui se bat avec la justice pour ne pas payer les nombreuses contraventions de radar fixe qu’il a reçu.

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Vive la République ! … Vive la France !

25/11/2011

Délinquance: les étrangers sont plus nombreux à être « mis en cause » par les forces de l’ordre.

Et ce n’est pas moi qui le dit. Je ne fais que le rapporter. Les VRAIS chiffres de la délinquance, bien analysés, donnent ce qui suit; et là, on parle des vraies victimes…

Les « bienfaits de l’immigration », encore une fois. (Photo d’illustration).

FDF

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Ces autres chiffres sur la délinquance

Un rapport publié lundi dresse un état des lieux de la délinquance à partir des victimes.

Ces chiffres-là tranchent avec les statistiques officielles. La cinquième enquête de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), rendue publique mardi, offre un éclairage différent sur la délinquance en France. L’ONDRP s’appuie en effet sur une enquête d’opinion (1), dite de victimation, et non sur les statistiques enregistrées par les forces de l’ordre, souvent à partir des plaintes.

Résultat : les chiffres font le grand écart. Les Français ont ainsi déclaré avoir été victimes de quatre millions de vols en 2010, soit trois fois plus que les statistiques officielles, qui n’en relèvent qu’1,5 million. L’écart est également considérable pour les violences sexuelles : en 2009-2010, 280.000 personnes de 18 à 75 ans se déclarent victimes, contre seulement 10.000 plaintes en 2010.

Les femmes plus touchées

Autre enseignement de ce rapport, les femmes sont de plus en plus victimes de vols et de vols avec violence, un phénomène en hausse de 35%. Et si les violences physiques et sexuelles sont en baisse, les violences au sein du ménage sont tout de même d’un ordre élevé de quelque 820.000, sur deux ans. 380.000 personnes, en grande majorité des femmes, affirment avoir été victimes de violences sexuelles et physiques d’un conjoint.

Les étrangers sont plus nombreux à être « mis en cause » par les forces de l’ordre. 226.675 d’entre eux l’ont été en 2010, dont 40% pour des infractions à la législation sur les étrangers. Globalement, une tendance à la hausse est constatée : entre 2005 et 2010, le nombre d’étrangers mis en cause pour des atteintes aux biens a augmenté de 8,2%, et de 7,8% pour les violences aux personnes.

Les médecins pris pour cibles

Parmi les victimes, la hausse est spectaculaire chez les médecins. 920 déclarations d’incidents ont été transmises en 2010, contre 512 en 2009, une progression de 79,7% en un an seulement. En première ligne, les généralistes, chez qui le taux d’incidents est le plus élevé. Dans la plupart des cas, l’incident s’est déroulé dans le cabinet du praticien.
A l’hôpital, 5.090 signalements d’actes de violence ont été envoyés, en hausse de 7,3% par rapport à 2009. Près de 32% des atteintes aux biens et aux personnes ont eu lieu dans des services de psychiatrie.

La police et les gendarmes sont également visés. Pour les policiers, les atteintes aux biens et aux personnels sont en baisse pour la première fois depuis 2006. Mais chez les gendarmes, l’ONDRP note une hausse de 20% du nombre d’agressions physiques, qui sont passées de 1.720 en 2009 à 2.062 en 2010.

Un problème qui préoccupe les Français

D’autres professions ne sont pas épargnées : les violences contre les postiers sont en hausse de 24%, et les agressions contre les pompiers en intervention sont passées de 1.080 en 2009 à 1.155 en 2010.

L’enquête de l’ONDPR insiste également sur la perception que les Français ont de la délinquance : pour 16,4% d’entre eux, ce problème est « préoccupant », presque autant que la pauvreté (19%). Une évolution qui reste malgré tout difficile à expliquer, note Cyril Rizk, l’un des responsables de l’observatoire, « il suffit par exemple d’une actualité médiatique ou politique de fait divers pour l’amplifier ».

(1) Enquête menée avec l’Insee en 2010 auprès de 17.000 personnes de 14 ans et plus.

Source: http://www.europe1.fr/

30/08/2011

Lutte contre la délinquance: jeu de chaises musicales à Marseille…

On use les préfets, à Marseille; mais pas l’insécurité. C’est ça qui est révoltant. Si nos hautes instances croient que le fait de changer de préfet comme de chemise va résoudre le problème de la « première ville musulmane de France« , comme le dit fièrement le maire de la cité phocéenne, JC. Gaudin, personne n’y croit. C’est un effet d’annonce pour calmer les esprits, c’est tout.

A savoir : « Le Préfet se doit de garder une neutralité politique absolue et d’appliquer la politique du Gouvernement en place sans exprimer ses propres opinions. »

Donc, il obéi aux ordres venus d’en haut. Dans le cas qui nous intéresse, le préfet limogé a tout simplement servi de bouc émissaire de l’échec en matière de lutte contre la délinquance décidée par les les hautes autorités qui le jettent comme un vieux papier aux ordures. Le nouveau préfet ne fera pas mieux.

Il faut du concret, dans cette affaire. Pour résoudre ces problèmes de délinquance, c’est l’armée ou la Légion, qu’il faut envoyer.  Point barre…

C’est la guerre civile, à Marseille. Agissons avant que d’autres villes soient contaminées.

FDF

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Et monsieur le maire; il ne se sent pas un peu responsable, des fois?

Petite remarque: l’écharpe de maire se met avec le bleu « au dessus », m’sieur Gaudin…..

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La Cité phocéenne a accueilli ce lundi, Alain Gardère, le troisième préfet délégué à la défense et à la sécurité en deux ans.

Éclaboussée par les règlements de compte à la kalachnikov en plein jour, minée par les rackets et les trafics de drogue rongeant les cités, Marseille semble comme engluée dans une spirale délinquante où l’on détrousse et braque jusqu’en centre-ville. Les résultats des premiers mois de 2011, notamment marqués par un bond de 40% des vols à main armée sur la ville, en témoignent. Les récentes prises d’assaut de trains de marchandises et de voyageurs par des bandes d’inconnus bloquant les voies façon attaque de diligence, le viol d’une fillette de 13 ans dans le quartier de la gare Saint-Charles et le hold-up d’une banque à proximité du commissariat n’ont fait que parachever un sombre tableau.

À l’occasion de sa troisième visite dans la Cité phocéenne depuis son arrivée Place Beauvau, Claude Guéant a affiché sa fermeté vis-à-vis des criminels et des délinquants qui, ici comme ailleurs, seront «poursuivis, arrêtés et mis hors d’état de nuire». Soucieux de restaurer l’ordre républicain, comme cela a été fait en Seine-Saint-Denis ou à Grenoble avec l’arrivée de préfets à poigne comme Christian Lambert ou Éric Le Douaron, le ministre de l’Intérieur promet une thérapie de choc à Marseille. Car, sur place, les règles du jeu ont changé. Le grand banditisme à l’ancienne, marqué par les faits d’armes de Jacky le Mat ou Francis le Belge, a cédé le pas à une délinquance de cité assez tenace.

Une «nouvelle stratégie de sécurité»

«Une réponse policière plus adaptée était nécessaire, assure Jean-Claude Delage, secrétaire général du syndicat de police Alliance. Marseille n’est pas devenue le Bronx, mais il faut reconnaître qu’un effort doit être consenti en matière de collecte du renseignement et d’investigation dans les quartiers. Moins qu’à Paris, les forces de l’ordre ont pu anticiper les difficultés que l’on connaît aujourd’hui. » En installant lundi le préfet Alain Gardère, pur produit de la sécurité publique, en remplacement de son prédécesseur, issu de la police judiciaire, Claude Guéant appelle de ses vœux la mise en place d’une «nouvelle stratégie de sécurité ». En clair, sortir d’une organisation classique et trouver une «parfaite synergie» entre policiers et gendarmes afin de lutter en profondeur contre la petite et moyenne délinquance.

Plus qu’un simple coordinateur, le nouvel homme fort de la sécurité marseillaise dirigera en personne l’action des services. Alain Gardère, sous les ordres du préfet Michel Gaudin, a été l’un des artisans des bonnes recettes de la police d’agglomération à Paris. Plus réactive, elle a fait chuter de 25% la délinquance à Paris entre 2001 et 2009. L’arrivée de 140 policiers supplémentaires, dont une quarantaine affectés directement à Marseille, et le renfort ponctuel de 200 CRS dans la Cité phocéenne devraient apporter une bouffée d’oxygène sur la Canebière, le Vieux-Port et les quartiers nord. Insistant sur «l’énergie et le professionnalisme » des policiers et des gendarmes, le ministre de l’Intérieur observe un retournement de tendance, marqué par des replis respectifs de 7,35% et 2% de la délinquance générale en juin et juillet dernier.

Renforts policiers et nouveaux crédits

«L’engagement sera tenu»: Claude Guéant a confirmé lundi le renfort de 100 policiers issus de la sécurité publique. «51 seront en poste dès le 1er septembre, 52 autres arriveront d’ici la fin du mois», a détaillé le ministre, précisant qu’il a décidé de «maintenir pour le mois de septembre la CRS supplémentaire arrivée en août et d’en rajouter une deuxième ce qui au total représente un renfort ponctuel de 200 policiers». Ces forces mobiles s’ajoutent aux deux unités qui travaillent de manière permanente à Marseille. Côté crédits, une enveloppe complémentaire de 267.000 € a été attribuée au profit de la police marseillaise pour engager des réservistes. Pour accroître encore la présence policière sur le terrain, l’Intérieur a pris des dispositions pour payer des heures supplémentaires pour le second semestre 2011. Au total, 55.721 heures seront indemnisées, soit l’équivalent de 7.000 jours de travail supplémentaires d’ici à la fin de l’année.

Source: http://www.lefigaro.fr/

26/08/2011

Il braque un casino à Trouville: poum !

Voilà ma conception de la lutte contre la délinquance dans ce genre de cas de figure (prise d’otage, tirs sur les forces de l’ordre): tolérance ZERO.  Ca devrait faire son effet…

FDF

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Un homme qui venait d’attaquer un casino dans la station balnéaire de Trouville, dans le Calvados, a été tué au cours d’une fusillade avec les forces de l’ordre. Le braqueur avait ouvert le feu en premier, blessant un gendarme au bras.

Il était entré, seul, vers 14h dans l’établissement de jeux. Sous la menace de son arme de poing, l’homme prend en otage une caissière de l’établissement, et se fait remettre environ 10.000 euros. Lorsqu’il ressort par la porte principale du casino, il ouvre le feu une première fois sur un vigile qui tente de lui barrer la route. Grâce à son gilet pare-balles, ce dernier n’a pas été blessé.

Le braqueur prend alors la fuite en voiture qu’il abandonne vers Dives-sur-Mer, à quelques dizaines de kilomètres de Trouville. Il prend alors un automobiliste en otage pour le forcer à prendre la direction de Lisieux. « C’est sur ce trajet qu’il est heurté sur l’arrière par un véhicule de gendarmerie » raconte une source judiciaire. « Le malfaiteur est sorti de la voiture et a tiré en direction des gendarmes ». L’un des militaires a été touché au bras. Les forces de l’ordre ont alors riposté et ont grièvement blessé le braqueur, qui a succombé quelques minutes plus tard.

Source: http://www.france-info.com/

26/04/2011

Le Conseil général des Hauts de Seine va expulser des gendarmes!

C’est tout simplement honteux!!!  Des « logements éducatifs sociaux ». Pour y loger des « cas sociaux »! Et savez-vous qui sont ces « cas sociaux »??? Ce sont ceux dont la progéniture a comme idéal de « casser du flic »! Eh bien, pour commencer, « on » les y aide …

FDF

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 Des familles de gendarmes sommées sans état d’âme de déguerpir de leur logement de fonction à la caserne de Levallois Perret (92).

C’est vrai que les gendarmes et leur famille  avaient  tous une tête d’enterrement à cette réunion de mardi dernier (19 avril 2011), où on leur a expliqué et annoncé qu’ils devaient dégager fissa de leur logement de fonction de la caserne de gendarmerie de Levallois Perret, sise –comme on dit- dans les Hauts de Seine, département cher au Président.

Dix familles de gendarmes de tous grades, dont 7 sont arrivées depuis moins d’un an, doivent en théorie déguerpir avant le mois d’août pour transformer les appartements « en logements locatifs sociaux » selon une délibération du Conseil général des Hauts de Seine en date du 7 mars 2011.

Voilà qui est aberrant et incompréhensible : les logements sont déjà locatifs puisque la Gendarmerie paye un loyer au département et ils ont bien un caractère social. Ce ne sont, en effet, que des logements de sous-officiers, nullement luxueux, et la modicité relative des soldes des gendarmes, atteste du caractère social de la destination de ces appartements. Mais ces critères de bons sens ne sont pas ceux de la loi. Et ce n’est pas la vision du Conseil général, propriétaire des lieux.

Haro sur les gendarmes.

Pour l’Etat employeur, les gendarmes sont une poule aux œufs d’or. Tout d’abord, ils sont militaires, donc a priori obéissants, sauf quand ils décident de descendre dans la rue comme en 2001. Ils ne sont pas non plus syndiqués, ce qui garantit une absence de résistance quand on touche à leurs intérêts. Ce n’est pas comme les policiers, qui sont parvenus à stopper la dissolution de deux CRS à Lyon et Marseille, voici quelques mois. Et puis, les gendarmes n’ont pas d’horaires de travail à respecter. On peut presser le citron. On ne risque pas de voir débouler l’inspection du travail, même en cas de suicide.

Ils ont toutefois un grave défaut, au regard de l’Etat et de ses élus : ils sont logés par nécessité absolue de service pour être sifflés par leurs chefs, quand ça les arrange.

En région parisienne, il y a beaucoup de gendarmes qui travaillent dans les ministères, et les administrations diverses et variées qui en dépendent. Il y a donc un besoin important en logements. En 2007, la Gendarmerie, le petit doigt sur la couture du pantalon, a créé, non pas une bulle …immobilière, mais le BUL, bureau unique du logement, chargé de « rationaliser ». Bilan : plus de 600 baux de logements hors casernes résiliés et une économie de plus de 10 millions d’euros. Mais, elle n’en est pas récompensée pour autant.

Dans le même temps, la plupart des unités de gendarmerie de Paris et de la petite couronne ont été fermées. C’est ce qui est arrivé à la brigade de Levallois Perret à partir du 1erjuillet 2010. Les logements de la caserne, dont le Conseil général des Hauts de Seine est propriétaire, n’en continuent pas moins d’être occupés par dix familles.  L’usage et la bienséance justifieraient  que l’évacuation d’une caserne en vue de sa restitution au propriétaire soit étalée dans le temps pour tenir compte de la situation sociale des familles et de la gestion des personnels. Pas dans les Hauts de Seine ! Est-ce parce que cela se passe dans le département du président ou bien parce que d’autres facteurs plus personnels interviennent ?

Attention, un Patrick peut en cacher un autre.

A Levallois, il y a des programmes immobiliers et des expropriations en cours, notamment dans le secteur de la rue Anatole France où se trouve la caserne. Alors, certains  auraient été prêts à voir  la main de Patrick, l’ami de Sarko, dans cette mauvaise manière faite aux gendarmes. On ne prête qu’aux riches.

Mais non ! C’est l’autre Patrick… Devedjian,  un peu moins copain que le précédent avec l’occupant du château, qui est à l’origine du coup de poignard dans le dos.

A l’automne 2010, la gendarmerie a envoyé en éclaireur un colonel  pour s’enquérir auprès du Conseil général des intentions du propriétaire sur la caserne de Levallois. Toutes les assurances verbales ont alors été données à ce missi dominici. Mais, c’est connu, les promesses n’engagent que ceux qui les reçoivent.

Et  le 23 décembre, en guise de cadeau de Noël, le Conseil général a fait part de son intention de vendre l’immeuble. Après une visite des locaux par des acquéreurs potentiels, la vente a été autorisée par une délibération du 7 mars 2011, qui fixe sans concertation la remise des locaux libres de toute occupation au 1er août, sans se préoccuper du sort des occupants.

Garde à vous et déguerpissez ! Peu importe que le propriétaire n’ait pas adressé de préavis officiel. Peu importe que la plupart des occupants soient arrivés depuis moins d’un an. Peu importe que les enfants soient déstabilisés par un déménagement et une réinstallation dans un lieu inconnu à ce jour. Peu importe que telle famille doive préparer son déménagement alors que l’époux, le père, sert en Afghanistan. Ah, qu’il est réconfortant pour les gendarmes et leurs familles, considérés ainsi comme de vulgaires meubles meublants d’un casernement, de se sentir si bien soutenus par les élus !

Ultime manœuvre désespérée voire utopique, promise par le colonel du BUL : solliciter du nouveau propriétaire une prolongation du bail permettant aux familles de se maintenir dans les lieux deux années de plus, afin que l’évacuation des locaux corresponde aux mutations des militaires.

Mais, pour quelle raison, M. Dova, conseiller général  d’Antony (Centre), président de l’Office Public Départemental de l’Habitat des Hauts de Seine, qui va devenir l’heureux acquéreur de la caserne serait-il plus compréhensif ?

M. Devedjian et M. Dova s’apprêtent à commettre une mauvaise action. Le comprendront- ils ?

Peut-être !

A défaut, les gendarmes ne leur disent pas : Merci !

Source:http://adefdromil.org/13457

23/03/2011

Cantonales : les gendarmes de Satory ont voté pour le Front National.

Il va y avoir des sanctions. Mais eux au moins ont eu le courage de leurs opinions… Bravo à ces militaires patriotes!

FDF

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Deux bureaux de vote (N°10 et N°11) de Versailles ont une particularité unique en France : situés sur le plateau de Satory, les inscrits sont tous des militaires (et quelques civils de la défense) et leurs familles. Satory accueille en effet les casernes de nombreux gendarmes, dont ceux du GBGM, et des logements sociaux de la Défense. Les résultats des cantonales de dimanche (Canton de Versailles-Sud) montrent à la fois la profonde désaffection des gendarmes à l’égard de la politique conduite par Nicolas Sarkozy et un ralliement au Front national de Marine Le Pen.

Le candidat de l’UMP obtient 12,67 % dans le 10ème bureau (Clément Ader) et 21,43% dans le 11ème (Les Alizés) soit un total de… 67 voix !  En revanche, François-Xavier de l’Estang (FN) obtient 52,94% des voix dans le 10ème bureau et 37,91% dans le 11 ème, soit un total de 186 voix.

Les résultats de ces deux bureaux de vote ne peuvent avoir valeur de sondage sur le vote de l’ensemble des gendarmes et des militaires, mais ils sont néanmoins un indicateur difficile à négliger.

Source: http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/

01/01/2011

Encore des pompiers attirés dans un traquenard!

Impensable. Et pourtant, ça entre maintenant dans le domaine des « faits divers »… Faut il aussi armer les pompiers? S’il faut en arriver là… Ce n’est pas des lances à incendie, qu’il leur faudrait; ce sont des lance-flammes! Il ne faut pas oublier que ce genre d’actes sont des tentatives de meurtre.

Et inutile de préciser qui peuvent être les auteurs de ces infâmes pièges… Dans ce domaine, les sous-merdes sont rois.

FDF

Six pompiers qui intervenaient sur un feu de poubelles hier soir à Nice ont été agressés à l’aide d’un engin explosif lancé par des individus cagoulés, a-t-on appris jeudi auprès des pompiers et du conseil général des Alpes-Maritimes. 

L’agression a eu lieu peu après 22 heures dans le quartier Louis Braille, dans l’est de la ville, a précisé le préfet des Alpes-Maritimes, Francis Lamy, lors d’une conférence de presse. Elle serait le fait d' »une dizaine » de fauteurs de trouble, « ayant l’apparence de jeunes mineurs« , a-t-il ajouté.

Des projectiles et un engin explosif, dont la nature exacte reste à définir, ont été lancés à proximité du camion des sapeurs-pompiers qui, choqués et victimes de « lésions auditives pas encore caractérisées », ont été admis à l’hôpital pour examen, selon les pompiers.

Quatre d’entre eux ont une interruption temporaire de travail de huit jours, a précisé le président UMP du conseil général, Eric Ciotti, lors de la même conférence de presse. L’élu, qui préside le conseil d’administration du Service départemental d’incendie et de secours, a dénoncé la « gravité des faits (…) émanant de personnes masquées peu courageuses ». « Ce sont des faits qui auraient pu tuer, il y a eu un souffle important. Ca s’assimile à un traquenard car un feu de poubelles a été mis en place vraisemblablement pour attirer les pompiers », a-t-il estimé. « Face à cette montée de violence, il faut répondre avec toujours plus de fermeté », a-t-il ajouté. M. Ciotti a indiqué avoir porté plainte aujourd’hui, au nom du Sdis O6, auprès du procureur de la République de Nice.

Le député-maire UMP de Nice, Christian Estrosi, a lui aussi insisté sur « l’exemplarité de la peine » à appliquer. « Ca ne peut pas rester sans suite. Pour moi, c’est une tentative d’assassinat à l’égard de ces pompiers », a-t-il martelé lors du même point presse.

Le préfet a indiqué que des mesures avaient été prises pour « sécuriser le quartier ce soir, avec un dispositif plus important » rassemblant des effectifs de la brigade anticriminalité (BAC), une brigade spécialisée de terrain (BST, ex-UTeQ) et une unité canine légère. M. Lamy a néanmoins souligné la baisse de 25% en 2010 des agressions visant les pompiers en intervention dans le département: 25 cas à ce jour, contre 33 pour toute l’année 2009.

« Ce genre d’agressions se passent toujours en période fêtes, ce sont des actes isolés », a confirmé Georges Rospert, l’un des pompiers agressés, en marge de la conférence de presse. « Mais toutes les missions dans des quartiers un peu sensibles devraient être faites en collaboration avec les forces de police ou de gendarmerie pour qu’on puisse faire notre métier sans souci », a-t-il plaidé.

Source: http://www.lefigaro.fr/

10/12/2010

Facebook, des fois, c’est pas marrant…

Vu le langage du type en question et malgré qu’il excuse ses propos par le fait qu’il ai un peu trop bu, aucun doute ne peut planer sur ses origines. Encore un auvergnat, comme dirait Hortefeux…

FDF

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3 mois de prison ferme pour avoir « baizé les kepi »sur Facebook.

Un gendarme
Un gendarme Mychèle Daniau AFP/Archives

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Facebook n’en finit pas de défrayer la chronique. Après le licenciement de trois personnes pour avoir critiqué leur hiérarchie, c’est au tour d’un homme d’être condamné par le tribunal de Brest à trois mois de prison ferme pour insultes envers la gendarmerie. L’affaire qui s’est déroulée le premier octobre n’a pas été ébruitée par Facebook.

L’homme, en état d’ébriété selon ses dires, avait inscrit sur son profil Facebook des propos outrageant sur la gendarmerie à la suite de la comparution immédiate de l’un de ses amis qui avait emprunter un sens interdit. On pouvait ainsi lire:

« Baize les kepi nicker vs bande de fils de pute de la rene des putes.. Nicker vs mere vs arrière grand mère et tt votre famille bande de fils de pute de vs mor ».

Les juges, s’appuyant sur l’article 433-5 du code pénal, ont déclaré que « les écrits adressés à une personne chargée d’une mission de service public, dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de sa mission, et de nature à porter atteinte à sa dignité ou au respect dû à sa fonction dont elle est investie » constituent un « outrage ».

L’homme, qui ne s’est pas rendu à l’audience, a été condamné à trois mois de prion ferme et 750 euros d’amende pour réparation du préjudice moral causé à la gendarmerie.

Source: http://www.ladepeche.fr/

26/10/2010

Trente ans d’émeutes urbaines…

Et l’on retrouve toujours les mêmes… Du moins, la relève. Dément. Si on avait attaqué le problème au départ, nous n’en serions pas là… Autre fait marquant: à l’apparition de ces émeutes, les forces de l’ordre faisaient leur boulot. Puis, petit à petit, ils on reçu des ordres… Dépassés par les évènements, nos autorités? Pas du tout. Faut pas provoquer les sous-merdes. Ils pourraient se fâcher; encore plus. La Légion, elle est où, au fait? Car la guerre civile ne fait que commencer…

FDF

Cette liste n’est pas exhaustive. C’est ce que nos gouvernants ont bien voulu laisser divulguer… Demandez aux vrais français durements touchés pas cette délinquance; ils en ont beaucoup plus à raconter…

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1981 : En juillet, le département du Rhône est le théâtre d’émeutes à Vénissieux, Villeurbanne et Vaulx-en-Velin.

1990 : Premiers affrontements violents à Vaulx-en-Velin, (Rhône), à la suite de la mort de Thomas Claudio, 21 ans, percuté par une voiture de police.

1994 : Le 27 juillet, affrontements dans le quartier des Sapins à Rouen, après le décès d’Ibrahim Sy, tué par un gendarme.

1997 : Le 17 décembre, Abdelkader Bouziane, 16 ans, est tué par des policiers à Fontainebleau. Des incidents éclatent entre jeunes et CRS à Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne), dans la cité de la plaine du Lys, d’où l’adolescent était originaire.

2001 : En octobre, deux jours de violences à Thonon-les-Bains (Haute-Savoie) après la mort accidentelle de quatre hommes voulant éviter un contrôle policier. En décembre, cinq nuits d’échauffourées à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), après le décès d’un jeune de Vitry tué dans le braquage d’une banque à Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis).

2005 : A partir du 27 octobre, des émeutes éclatent à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) puis dans le reste du pays, après la mort de deux adolescents qui s’étaient réfugiés dans un transformateur pour échapper à un contrôle policier.

2007 : Le 25 octobre, de violents incidents se produisent à Villiers-le-Bel (Val-d’Oise) après la mort de deux jeunes de 15 et 16 ans renversés par une voiture de police. Ils s’étendent à cinq autres villes du département : Sarcelles, Cergy, Garges-lès-Gonesse, Ermont et Goussainville.

2008 : En juin, le meurtre d’un jeune de 20 ans tué par balles lors d’une rixe déclenche des affrontements à Vitry-le-François (Marne).

2010 : En juillet, vague de violences dans le quartier de la Villeneuve (Grenoble) après la mort de Karim Boudouba, 27 ans, lors d’échange de tirs avec la police à la suite d’un braquage de casino auquel il participait.

Etc…, etc…

Source: http://tinyurl.com/32qdutu

03/10/2010

Un vigile derrière chaque gendarme et policier ?

S’il faut en arriver là…

FDF

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Le gouvernement va encadrer la surveillance privée.

En 2014, il y aura en France autant de vigiles que de gendarmes et policiers. Brice Hortefeux va nommer un « Monsieur Sécurité privée » pour encadrer la pratique.

Vigiles, maîtres-chiens, gardes du corps, opérateurs de vidéosurveillance… ils sont aujourd’hui 165 000 en France et leur nombre augmente de 3% chaque année. Les sociétés privées de surveillance ne connaissent pas la crise, bien au contraire.

Face à ce boom, le ministère de l’Intérieur souhaite moraliser et encadrer la profession, parfois accusée de dérives. Par exemple, le fait de garder, d’interroger, de fouiller une personne, est une infraction pénale pour ces agents qui n’ont aucun droit de police, ni de qualification judiciaire. Un délégué interministériel va donc être prochainement nommé place Beauvau. Et un « Conseil national des activités privées de sécurité » sera créé, pour réfléchir à l’harmonisation des pratiques professionnelles, aux moyens de faire respecter l’éthique et la législation. Avec à la clé, d’éventuelles sanctions disciplinaires ou financières pour les sociétés et leur personnel. Le fonctionnement de ce conseil serait financé pour une large partie, par les sociétés privées. La mission de contrôle reviendra, quant à elle, aux policiers et aux gendarmes.

Aujourd’hui déjà, les agents de sécurité remplacent les policiers pour surveiller les préfectures, les tribunaux et même les ministères : le ministère de l’Immigration à Paris, notamment, est gardé par des agents d’une société privée.

« Séquestré par des vigiles pour avoir volé une bière »
Ce projet est plutôt bien accueilli par les syndicats de police. Michel Thooris, membre du syndicat France Police, se réjouit de la nomination de ce « Monsieur Sécurité » : « Depuis quelques années, on a constaté une dérive dramatique en matière de sécurité privée. Je pense à ces vigiles qui ont séquestré et étouffé un monsieur qui avait volé une bière à Carrefour. On assiste à un dérapage extrêmement grave, de certaines sociétés privées qui outrepassent leurs prérogatives. C’est donc très bien qu’on puisse enfin avoir un contrôle de l’autorité publique sur ces sociétés de sécurité privées. »
« Les « employeurs voyous », durement sanctionnés »
Les syndicats s’interrogent cependant sur l’application concrète de ce projet. Pour Erik Biro, policier, membre du syndicat Unsa et salarié de l’entreprise privée Securitas, « il faudrait des mesures fortes, pour que les « employeurs voyous », tous ceux qui trichent, pratiquent le travail clandestin, sous-payent leurs salariés, ne respectent pas l’ensemble du cadre réglementaire, et n’ont donc pas leur place dans la profession, soient durement sanctionnés, quitte à ce qu’ils perdent leur agrément. »
http://www.rmc.fr/editorial/114479/le-gouvernement-va-encadrer-la-surveillance-privee/
Source: http://tinyurl.com/3x2kbhc

13/09/2010

De nouvelles munitions « plus performantes et moins perforantes » pour les forces de l’ordre…

C’est à n’y rien comprendre… Alors que toutes les forces de l’autorité se plaignent d’être sous le feu (c’est la cas de le dire) des racailles et délinquants de tous poils, voici que les hautes instances font des économies de bouts de chandelles au plus fort de l’insécurité dans notre pays. Il n’y a pas de miracles, dans le buziness: moins c’est cher, moins c’est fiable et efficace. Nos policiers, gendarmes, etc, vont être obligés de se défendre « à l’économie » face à des délinquants qui sont équipés désormais d’armes lourdes et n’hésitent plus à s’en servir…

Bon courage, les gars! Et soyez contents: « on » aurait pu vous allouer des pistolets à fléchettes, c’est encore moins cher et moins……….. perforant. Bon là, « on » va certainement compter vos balles. Pas de gaspi.

FDF

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13/09/2010

De nouvelles munitions « plus performantes et moins perforantes » sont en cours de livraison à la police, à la gendarmerie, aux douanes et à l’administration pénitentiaire, a-t-on appris aujourd’hui auprès de la direction générale de la police nationale (DGPN).

Après « plusieurs décennies » de service dans la police, la direction de l’administration (DAPN) a lancé, en 2005 et 2006, une étude pour attribuer de nouvelles munitions communes à ces quatre corps.

Selon le cahier des charges mis en place après analyses de tirs, les nouvelles munitions devaient être « plus performantes et se déformer à l’impact », précise-t-on de même source, alors que les anciennes étaient jugées « trop perforantes », selon un policier cité par France soir de lundi.

Depuis la fin du printemps 2009, les nouvelles munitions, « les moins chères du marché, à 27 centimes d’euro pièce », sont en cours d’attribution à raison de deux chargeurs de 15 cartouches chacun, pour les armes individuelles (pistolet Sig Sauer) des fonctionnaires et pour leurs armes collectives (pistolet-mitrailleur Beretta).

Quant aux anciennes munitions, « elles ne seront pas détruites, mais serviront aux entraînements de tir », a assuré la direction générale de la police nationale.

Source: http://tinyurl.com/3xf46rn