22/03/2012
21/03/2012
20/03/2012
18/03/2012
Une élue UMP qualifie le Quai d’Orsay de « maison bourrée d’Arabes déguisés » !
Et on dit quoi à cette élue, concernant ses propos? Ben rien; c’est une élue; de la majorité, en plus…
FDF
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« Un racisme à visage découvert. Reçue au ministère des Affaires étrangères pour organiser une soirée de soutien à Israël, Nicole Guedj, ex-ministre et membre du bureau politique de l’UMP, a dénoncé la politique étrangère de la France en stigmatisant l’identité arabe. La preuve en images. « (Oumma.com).
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16/03/2012
Kadhafi a bien financé la campagne de Sarkozy en 2007 !
Saïf al-Islam Kadhafi avait, après son arrestation, promis de faire des révélations fracassantes si la France continuait son « action » en Libye… Il a tenu parole.
FDF
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Mouammar Kadhafi a-t-il financé Nicolas Sarkozy ? La question, soulevée peu avant la guerre en Libye, vient d’apparaître en toutes lettres dans l’affaire Takieddine. Selon un document consulté par Mediapart, le marchand d’armes Ziad Takieddine, organisateur en 2005 des visites du ministre de l’intérieur et de ses proches en Libye, puis en 2007 du président élu, aurait mis en place les « modalités de financement » de sa campagne présidentielle par le régime de Kadhafi, en lien avec Brice Hortefeux, alors ministre des collectivités locales.
Le 18 octobre 2011, les policiers ont versé au dossier d’instruction une note de synthèse sur laquelle figure une référence « GEN/ NS V. MEMO DG », qui contient sans les expliciter les initiales du président de la République. Cette note a été rédigée et remise aux enquêteurs par un témoin du dossier, Jean-Charles Brisard, ancien membre de l’équipe de campagne d’Edouard Balladur, en 1995, aujourd’hui dirigeant d’une société de renseignements privée. Le document contient aussi les références du compte suisse de la sœur de Jean-François Copé, le patron de l’UMP, dont M. Brisard est un proche.
Mediapart s’est procuré l’intégralité de la note « GEN/ NS V. MEMO DG », qui n’a pas été communiquée aux enquêteurs par M. Brisard. Son contenu est explosif. Il s’agit des confessions de Didier Grosskopf, « DG », l’ancien médecin personnel de Ziad Takieddine, qui l’a accompagné à plusieurs reprises en Libye, pour y soigner des membres de la famille Kadhafi. Ces confessions ont été recueillies le 20 décembre 2006, à Lausanne, en Suisse, par M. Brisard.
Le premier volet du document est intitulé « CAMP07 » et concerne la campagne présidentielle de 2007. D’après la note, les« modalités de financement de la campagne » de « NS» ont été « réglées lors de la visite Libye NS + BH » le 6 octobre 2005. Cette visite officielle avait été activement préparée par Ziad Takieddine, comme en attestent ses notes à Claude Guéant, qui figurent au dossier d’instruction.
Contacté lundi 12 mars, M. Hortefeux, actuel vice-président de l’UMP chargé de la cellule « riposte » du parti, a confirmé à Mediapart sa présence en Libye lors de la visite de Nicolas Sarkozy du 6 octobre 2005. Mais il a souligné qu’« il n’a jamais été question de financement politique, ni de près de loin ».
La note « CAMP07 » évoque « plusieurs entretiens préalables » entre « ZT et Saïf Al Islam », l’un des fils du colonel Kadhafi. « ZT » apparaît comme étant « chargé du montage », en marge de ses « interventions » sur des contrats de sécurisation des communications des armées et de fabrication de cartes d’identité à puces. Comme Mediapart l’a déjà souligné, ce premier marché, confié à la société Amesys, a effectivement été signé grâce aux bons offices rémunérés de M. Takieddine.
Selon la note, le financement libyen prévu s’élevait au total à 50 millions d’euros. Et les opérations financières faisaient intervenir personnellement Brice Hortefeux. Le « montage » inclut ainsi une société « BH » au Panama, plus une banque suisse non déterminée. Ce passage se clôt par une phrase sans ambiguïté : « Financement campagne totalement réglé ». Questionné par Mediapart sur cette mystérieuse société panaméenne, M. Hortefeux a déclaré : « Je ne sais même pas ce que c’est. »
« Plus à l’aise pour évoquer l’autre sujet important »
Les soupçons soulevés par cette note sont aujourd’hui confortés par les notes personnelles de Ziad Takieddine, remises par son ex-épouse à la justice, et qui ne sont pas contestées par leur auteur. « Les notes que j’ai établies sur mon ordinateur sur les différents pays, la Syrie, l’Arabie saoudite, la Libye et le Liban, sont réelles et ont été remises par moi-même à M. Guéant, qui en avait besoin pour les remettre au ministre (ndlr, Nicolas Sarkozy), qu’il appelait le patron », a témoigné M. Takieddine, le 12 octobre 2011, devant le juge Renaud Van Ruymbeke.
Le relevé des voyages du marchand d’armes fait apparaître qu’il a effectué onze voyages à Tripoli pour la seule année 2005. Au même moment, il a rédigé une dizaine de notes consacrées à la Libye pour le cabinet de M. Sarkozy, au ministère de l’intérieur. M. Takieddine a notamment préparé la visite officielle du ministre le 6 octobre 2005, celle qui est précisément au cœur de la note « GEN/ NS V. MEMO DG ». Et, selon nos documents, il était présent à Tripoli pour les visites de MM. Guéant, Hortefeux et Sarkozy.
Dans une première note, datée du 6 septembre 2005, et consacrée à un rendez-vous préparatoire de Claude Guéant, l’exposé de M. Takieddine est lourd de sous-entendus : « La visite préparatoire est inhabituelle, écrit-il. Elle doit revêtir un caractère secret. Il sera préférable que CG se déplace seul et que le déplacement s’effectue sans fanfare. L’autre avantage : plus à l’aise pour évoquer l’autre sujet important, de la manière la plus directe…»
Une autre note du 22 septembre 2005, évoque un « tête-à-tête » de Nicolas Sarkozy « avec le Leader », la remise des « CV de NS et BH » à Kadhafi et la négociation de plusieurs marchés de sécurité et d’armement. Ce document contient lui aussi une phrase énigmatique : « Avec le ministre de l’intérieur : jusqu’où ? »
Les policiers ont aussi trouvé parmi les documents de M.Takieddine des lettres de MM. Sarkozy (10 septembre 2005), Guéant (23 septembre 2005), Hortefeux (15 novembre 2005) adressées aux autorités libyennes.
L’homme à l’origine des révélations du mémo « GEN/ NS V. MEMO DG », le neurochirurgien Didier Grosskopf, est un proche de Jean-François Copé. C’est d’ailleurs ce qui l’a conduit au chevet de Ziad Takieddine, grièvement blessé à la tête lors d’un séjour sur l’île Moustique, en avril 2004.
« J’ai reçu un appel sur mon téléphone portable du porte-parole du gouvernement qui était M. Jean-François Copé, a déclaré aux policiers le Dr Grosskopf, en octobre dernier. C’est au titre de médecin et d’ami que M. Copé m’a demandé de m’occuper d’un personnage important, qui avait un problème de santé, à savoir Ziad Takieddine. J’ai accepté cette mission par amitié pour M. Copé. Un personnel de la préfecture m’a conduit à l’aéroport. »
Didier Grosskopf : « Je veux protéger mes intérêts »
Arrivé après l’intervention chirurgicale, M. Grosskopf a organisé « le rapatriement de M. Takieddine » à l’hôpital de la Salpêtrière, puis il s’est chargé de sa convalescence. Par la suite, le neurochirurgien affirme avoir été « sollicité par M. Takieddine pour soigner d’autres malades que lui dans ses relations personnelles ». Il confirme « être allé en Libye pour donner des conseils à des malades », « à la demande de M. Takieddine ».
C’est à l’occasion de ses multiples déplacements à Tripoli, que M. Grosskopf aurait été mis dans la confidence de ce qu’il n’aurait pas dû apprendre.
Questionné le 29 février par Mediapart, M. Grosskopf n’a pas contesté la substance des informations contenues dans le mémo rédigé par M. Brisard. « M. Brisard est un ami, je me suis entretenu plusieurs fois avec lui de ce sujet, il m’a aidé, a-t-il indiqué. Mais ce qu’il dit n’engage que lui. Je ne veux pas être un acteur de cette affaire. Je veux protéger mes intérêts, c’est-à-dire ma femme et mes enfants. A un moment donné, j’ai été suivi. J’ai eu très peur.»
A l’automne 2006, M. Takieddine a brutalement coupé les ponts avec son médecin et a engagé une procédure à son encontre devant le conseil de l’Ordre, pour obtenir un remboursement des honoraires qu’il lui avait versés. C’est au milieu de ce conflit que M. Brisard recueille les confessions du médecin, le 20 décembre 2006. Il l’a revu plusieurs fois. Au moins un autre mémo aurait été rédigé.
« C’est une affaire qui dépasse l’imagination la plus féconde, poursuit le Dr Grosskopf. Je suis désolé comme citoyen par cette affaire. Mais je ne pouvais pas imaginer, en organisant le rapatriement sanitaire de ce monsieur, qu’il s’agissait du plus grand corrupteur de la République. » Le docteur dit en vouloir « au pouvoir » qui l’a entraîné là, mais pas à Jean-François Copé « qui reste un ami ».
Alors qu’il vient de publier un livre, L’Ami encombrant (Editions du Moment), dans lequel il conteste l’existence d’une corruption, M. Takieddine avait déclaré le 11 octobre, à l’émission Complément d’enquête, qui l’enregistrait en caméra cachée : « Je les tiens tous dans ma main ! Je peux tous les faire tomber !». Et à la question de savoir « qui ? », le marchand d’armes avait murmuré « tous ! ».
Le soupçon d’une participation libyenne au financement de Nicolas Sarkozy avait été alimenté par les autorités de Tripoli elles-mêmes il y a un an par les déclarations spectaculaires de Kadhafi et de son fils, Saïf al-Islam. Dès le mois de mars 2011, deux jours avant l’intervention militaire occidentale, ce dernier avait accusé le pouvoir français dans un entretien donné à la chaîne Euronews : « Il faut que Sarkozy rende l’argent qu’il a accepté de la Libye pour financer sa campagne électorale. C’est nous qui avons financé sa campagne, et nous en avons la preuve. Nous sommes prêts à tout révéler. »
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« La première chose que l’on demande à ce clown, c’est de rendre l’argent au peuple libyen, avait-il ajouté. Nous lui avons accordé une aide afin qu’il œuvre pour le peuple libyen, mais il nous a déçus. Nous avons tous les détails, les comptes bancaires, les documents, et les opérations de transfert. Nous révélerons tout prochainement. »
Les espèces de Takieddine
Ces déclarations, dans le contexte d’unité nationale d’avant guerre, n’avaient pas provoqué d’interpellations politiques. Pourtant, à elles seules, elles auraient déjà mérité l’ouverture d’une enquête, parlementaire ou judiciaire. L’enquête des juges sur Ziad Takieddine alimente, elle aussi, les mêmes soupçons. L’examen du fonctionnement des sociétés offshore du marchand d’armes faisant apparaître l’existence de commissions occultes d’origine libyenne.
En mars 2011, Ziad Takieddine avait également été interpellé de retour de Tripoli à l’aéroport du Bourget, avec 1,5 million d’euros en espèces sur lui. « J’y étais allé porteur d’un message de Claude Guéant et je l’ai d’ailleurs appelé de là-bas, a-t-il expliqué le 9 novembre au juge Van Ruymbeke. Croyant bien faire, je suis revenu porteur d’une réponse de Kadhafi que, compte tenu des circonstances de mon “accueil” à l’arrivée, je n’ai pas pu livrer. » Lors de son interpellation le 5 mars, il a déclaré sur procès-verbal aux agents des douanes que « c’est le gouvernement libyen » qui lui a « remis les billets de banque». Il avait précisé que cet argent couvrait ses propres honoraires.
L’apparition de Brice Hortefeux dans la note « GEN/ NS V. MEMO DG » renvoie aux missions officieuses qu’il a effectuées avant 2007 pour le ministre de l’intérieur. Il a en particulier assuré le contact avec l’intermédiaire Ziad Takieddine, qui se faisait fort d’ouvrir les portes de plusieurs pays arabes au ministre de l’intérieur. Le marchand d’armes avait d’ailleurs conduit, fin 2003, Brice Hortefeux en Arabie saoudite pour y négocier un important contrat de surveillance des frontières (nom de code : Miksa).
A l’été 2007, Ziad Takieddine a également été l’un des acteurs principaux de la libération des infirmières bulgares par le régime libyen, ouvrant une « nouvelle page » – c’est son expression – des relations franco-libyennes. Mais permettant surtout à la France de dérouler le tapis rouge sous les pas du dictateur, dont on a monté la tente, en décembre 2007, dans les jardins de l’hôtel Marigny, résidence officielle des hôtes de l’Etat.
Plusieurs photos publiées par Mediapart attestent par ailleurs des relations amicales nouées avec M. Takieddine et des visites mutuelles qu’ils se rendaient dans le sud de la France. Des relations favorisées par Thierry Gaubert, un autre ami de Nicolas Sarkozy, impliqué dans la campagne Balladur de 1995. Les policiers avaient intercepté, en septembre dernier, des conversations téléphoniques entre MM. Gaubert et Hortefeux, s’inquiétant de la progression de l’enquête sur M. Takieddine.
De fait, en décembre 2011, Nicola Johnson, l’ex-épouse de M. Takieddine, mettra aussi en cause Brice Hortefeux. Selon son témoignage, l’ancien ministre était venu chercher en 2005 une somme en espèces du marchand d’armes lors d’une visite à son domicile avenue Georges-Mandel, à Paris, en compagnie de Thierry Gaubert. Un témoignage vivement contesté par M. Hortefeux, qui n’a toutefois pas déposé plainte, contrairement à ce qu’il avait annoncé.
Contactés par Mediapart, l’Elysée et Ziad Takieddine n’ont pas donné suite à nos sollicitations.
Cet article est la poursuite d’une enquête de plusieurs mois de Mediapart sur Ziad Takieddine. Partie des interrogations sur le financement de la campagne d’Edouard Balladur en 1995, en marge de l’affaire Karachi, notre enquête a débouché sur les étonnantes connexions politiques du marchand d’armes, qui, dès 2002, a repris son rôle d’intermédiaire officieux du gouvernement. Et tout particulièrement du ministre de l’intérieur, Nicolas Sarkozy.
Sous le titre “Les Documents Takieddine”, Mediapart a publié, de juillet à septembre, des notes et des mémos remis par M. Takieddine au cabinet de Nicolas Sarkozy, de 2003 à 2008. « Les notes que j’ai établies sur mon ordinateur sur les différents pays, la Syrie, l’Arabie saoudite, la Libye et le Liban, sont réelles et ont été remises par moi-même à M. Guéant, qui en avait besoin pour les remettre au ministre (ndlr, Nicolas Sarkozy), qu’il appelait le patron », a d’ailleurs assuré M. Takieddine, le 12 octobre 2011, devant le juge Renaud Van Ruymbeke.
Dans cet ensemble, la Libye tient une place centrale, initialement liée aux contacts du marchand d’armes avec, d’une part, Abdallah Senoussi, l’ancien chef des services secrets libyens, et, d’autre part, avec Saïf al-Islam Kadhafi, l’un des fils du dictateur déchu, aujourd’hui emprisonné en Libye.
Du point de vue judiciaire, les juges Renaud Van Ruymbeke et Roger Le Loire ont été saisis en décembre 2010 d’une enquête sur les marchés d’armement en Arabie saoudite et au Pakistan, qui a provoqué la mise en examen, outre de Ziad Takieddine, de plusieurs proches du chef de l’Etat : Thierry Gaubert, son ancien collaborateur au ministère du budget, Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d’Edouard Balladur et actuel n°2 du groupe LVMH, et Renaud Donnedieu de Vabres, ancien conseiller spécial du ministre de la défense, Francçois Léotard.
L’enquête a, depuis, fait apparaître des mouvements de fonds suspects liés à d’autres marchés d’armement, mais aussi pétroliers, en particulier avec la Libye. Voir nos précédents articles “Sarkozy-Guéant : le grand soupçon libyen” et “L’émissaire du clan Sarkozy en Libye rétribué secrètement par Total”.
Source: Mediapart
15/03/2012
Des bus halal pour Sarko à Villepinte !
Mais non; vous ne rêvez pas. Ca se passe en France, en mars 2012…
Je pensais à une chose… Lors des deux tours du scrutin présidentiel, aurons-nous des bureaux de vote différents pour les hommes et les femmes ??? Non, parce qu’il faut s’attendre à tout, ces temps-ci…
FDF
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Le Canard Enchaîné révèle que le président-candidat aurait, pour sa grand-messe de Villepinte dimanche 11 mars, afin de remplir la salle, affrété des bus séparant les femmes et les hommes de confessions musulmanes.
Pour faire le plein, auraient été lancés des appels dans des salles de prières et diffusés des messages, pas seulement honteux mais aussi mensongers et racistes disant que François Hollande est « franc-maçon et prosioniste »
et qu’il veut « étouffer la religion ».
14/03/2012
12/03/2012
L’info qui tue !
Si ce qui est évoqué plus bas s’avère vrai, on sait d’ores et déjà qui ne sera pas le futur président de la République…
Je ne vous raconte pas les sondages…
FDF
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Mouammar Kadhafi aurait financé la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007
Selon des informations révélées par Mediapart, feu Mouammar Kadhafi, l’ancien dictateur libyen, aurait financé la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007.
On s’en souvient, en mars 2011, alors que l’insurrection libyenne bat son plein, Saïf Al-Islam Kadhafi, fils de Mouammar Kadhafi, avait interpellé publiquement Nicolas Sarkozy. « Il faut que Sarkozy rende l’argent qu’il a accepté de la Libye pour financer sa campagne électorale« , avait déclaré lors d’une interview télévisée, le fils du leader libyen déchu. » C’est nous qui avons financé sa campagne, et nous en avons la preuve. Nous sommes prêts à tout révéler « , avait-il poursuivi sur Euronews. (Vous pouvez revoir l’extrait d’interview dans la vidéo vidéo ci dessus)
Aujourd’hui des informations publiées par le site d’information Mediapart renforcent l’hypothèse d’un financement de la campagne électorale du président français en 2007 par le régime libyen récemment renversé.
Une note versée par la police française dans un dossier d’instruction indique qu’un marchand d’armes aurait mis en place les « modalités de financement » de ladite campagne par le clan Kadhafi.
Le marchand d’armes en question, Ziad Takieddine, est l’organisateur de visites de Nicolas Sarkozy en Libye. Ce dernier s’était rendu à Tripoli en tant que ministre de l’Intérieur français en 2005 et 2006, puis comme président en 2007.
« Les modalités de financement (…) réglées lors de la visite (en) Libye de NS+BH »
Le médecin personnel de Ziad Takieddine a plusieurs fois accompagné ce dernier en Libye afin de traiter des membres de la famille Kadhafi selon Mediapart.
C’est justement ce médecin, Didier Grosskopf, qui est l’auteur, fin 2006, de ces révélations potentiellement explosives pour l’Elysée.
D’après la note rédigée sur base de son témoignage, « les modalités de financement de la campagne » ont été « réglées lors de la visite (en) Libye de NS+BH » le 6 octobre 2005. « NS » étant Nicolas Sarkozy et « BH », Brice Hortefeux, actuel vice-président de l’UMP et ancien ministre français de l’Intérieur.
Contacté par Médiapart, l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy a confirmé avoir accompagné ce dernier en Libye lors de la visite du 6 octobre 2005 mais dément qu’il ait jamais été question de financement politique.
La note évoque également des entretiens préalables à la transaction présumée entre Ziad Takieddine et Saïf Al-Islam Kadhafi, décrivant le premier cité comme « chargé du montage » financier de l’opération.
Même si l’information est encore à prendre avec énormément de précautions à ce stade, nul doute qu’en pleine campagne pour sa réélection, Nicolas Sarkozy se serait bien passé de ces révélations.
Source: http://www.rtbf.be/
09/03/2012
Les gens sont méchants… Nicolas Sarkozy, le dirigeant européen le moins populaire !
On a que le président que l’on mérite… Il a été élu en 2007 . Mais c’est bizarre: dès ses premiers « couacs », personne n’avait voté pour lui. En tout cas, on peut dire qu’il a marqué son mandat.
Et dire que maintenant, Carla craint pour sa santé. Et que lui-même nous a menacé de quitter la politique si il n’était pas réélu… On ne va pas se laisser avoir au chantage et à la stigmatisation, non?
FDF
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Avec 58% d’opinions défavorables, Nicolas Sarkozy est, parmi les cinq puissances européennes, le chef d’Etat le moins populaire. Il est, en revanche, le plus connu des cinq.
Si, avec 93% de notoriété, Nicolas Sarkozy est le dirigeant européen le plus connu, il est le moins populaire des cinq principaux pays. C’est Angela Merkel, la chancelière allemande, qui domine le classement, avec 92% de notoriété et 50% de bonnes opinions. Le président de la République français arrive loin derrière avec seulement 33% de bonnes opinions et surtout 58% de mauvaises.
Deuxième sur le podium, David Cameron, le Premier ministre britannique, que 88% des personnes interrogées connaissent. Il recueille autant de bonnes opinions que de mauvaises, 44%. Suivent ensuite les deux nouveaux venus, Mario Monti, le président du Conseil italien, et Mariano Rajoy, le Premier ministre espagnol. Moins connus que les trois autres (74% de notoriété pour Monti et 63% pour Rajoy), ils n’ont pas forcément beaucoup plus de bonnes opinions que le chef de l’Etat français, mais ont moins d’opinions défavorables. Mario Monti recueille 36% d’opinions favorables, autant que de mauvaises. De son côté, Mariano Rajoy n’obtient que 27% d’opinions favorables mais seulement 34% de défavorables.
08/03/2012
06/03/2012
Le cynisme de l’UMP: L’UMP DEMANDE AUX PATRONS DE LICENCIER APRÈS MAI 2012 !!!
Montage: http://sarkozix.canalblog.com/
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Xavier Bertrand ne fait qu’obéir à la voix de son maitre. Ca nous promet de beaux moments si le président-candidat est réélu…
C’est la place de président, qui l’intéresse. Les Français, ça passera après; s’il lui reste du temps après ses « affaires » internationales…
Et dire qu’il en est qui vont ENCORE voter pour lui…
FDF
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Le cynisme du gentil Xavier Bertrand n’a pas de limite… une amie m’a envoyé ce papier de Challenges qui nous explique que « Mr Bertrand se démène pour que les entreprises décalent leurs plans sociaux après les élections« … Cool. En effet, cela ferait mauvais genre, des licenciements juste avant le premier tour, lisez ça: « Alexandre Bompard (Fnac) ou encore Luc Oursel (Areva) ont reçu des instructions pour repousser de quelques mois leurs projets de licenciement.
La Fnac, qui a fait part de son intention de supprimer 500 postes (dont 300 en France) en janvier dernier, a été priée de ne pas aller au-delà pour le moment. Idem pour le groupe Areva qui projetait de se délester de 3.000 emplois dans l’Hexagone »… Rendez vous sur le site ci après. Et si l’UMP votait une loi pour interdire de licencier dans l’année présidentielle?
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http://www.challenges.fr/elections-2012/20120215.CHA3306/bertrand-se-demene-pour-que-les-entreprises-decalent-leurs-plans-sociaux-apres-les-elections.html
Comment un système qui a créé le problème peut-il résoudre le problème ?
Notre ami Gilbert Collard est de retour; et en pleine forme…
FDF
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Ca a un peu « secoué » à Bayonne…
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Dans la ville du jambon, Nicolas le peu preux a été pris en sandwich et obligé de se réfugier comme un vulgaire bock de bière dans un bistrot.
Nous, on connaît, mais on ne bat jamais en retraite!
D’un coup, celui qui joue avec les milices socialo-mélanchonistes verdâtres et les moralistes subventionnés pour empêcher Marine le Pen de parler redécouvre la République ! Il s’indigne, s’essouffle dans un lyrisme comique, pour en appeler au respect de la démocratie ! Un comble ! Quand on jette des pierres, des insultes, des menaces ; quand des nervis empêchent, ou tentent d’empêcher, à Paris, à la Réunion, à Marseille, un peu partout, Marine le Pen de parler ; quand des journalistes militants, armés d’un sécateur entre les dents, coupent systématiquement la parole à une candidate ; quand des pressions sont exercées sur les élus pour qu’ils refusent leur signature ; quand on remplace le débat public par de la « moraline », ce sous-produit commercial de la morale, pour discréditer l’argumentation de l’adversaire tout en utilisant des ventriloques pour vendre ce que l’on condamne , c’est alors la République exemplaire défendue par les deux compères en duo électoral, qui se veulent seuls sur les tréteaux pour confisquer le débat.
Cette élection est truquée, l’ONU devrait intervenir… Elle est truquée dans les faits, dans les paroles, dans les candidats !
On évite d’aborder la seule vérité : comment un système qui a créé le problème peut-il résoudre le problème ?
Le mot d’ordre est : continuons gaiement dans nos échecs ! On a raison d’avoir eu tort… C’est l’histoire du fou qui tombe du dixième étage et qui se dit devant chaque étage : « pourvu que cela dure ! » Folie !
Comment oser les réformes structurelles qui sauveront la France du pillage organisé qui l’éventre ? Les chiffres sont connus !
Comment sauver une identité que la mondialisation et le communautarisme déstructurent sous le regard faussement compassionnel des Tartuffes du Murat, restaurant de truffes où ils dînent, loin du peuple pauvre? Comment oser une politique d’immigration qui nous évite de voir craquer, puis tomber les murs de la maison sous la pression démographique ? Au seul nom du respect dû aux murs de la vieille maison qui, ce n’est ni sa faute ni celle des occupants, s’effondre sous le poids.
La seule solution est dans la rupture avec un système moribond, complice, peureux, qui n’ose pas appeler un chat un chat, Sarkozy une machine à remonter le temps perdu, Hollande un président de canton, Mélenchon un Marx Brothers !
Ils veulent la République de la continuité financée par des emprunts que nous payons avec le sang des pauvres et la fuite des riches. Philippe Bénéton appelle cela « La politique des somnambules » Plus personne ne comprend, le but est atteint ! La confusion sur la question économique atteint des sommets d’incompréhension. Les cranes d’œuf savent tout et son contraire… C’est inouï !
Comment les citoyens peuvent-ils encore faire confiance à une génération de politiciens qui ont accepté, sans broncher, depuis 1973, qu’on ne puisse plus emprunter à taux zéro, oui zéro, à notre banque de France, alors qu’on est obligé d’emprunter à trois pour cent, parfois cinq et plus, aux marchés financiers, qui empruntent à la banque européenne à un pour cent !
Ouvrez les yeux et pas seulement le portefeuille ! On nous prend pour des cons ! Comment les citoyens peuvent –ils encore faire confiance à une génération qui a pratiqué la politique de la France Afrique, qui prive les peuples de leur richesse par le fait de multinationales apatrides, de dictateurs imposés, et les envoie sur les routes humiliantes de l’immigration ? Seul, le patronat en profite, et le MEDEF, qui a autant de cœur qu’un coffre-fort européen.
Et nous payons en euros le prix de cette immigration patronale, tandis que les immigrés le payent par la servitude et l’assistanat.
On doit se rassembler pour la France, de quelque origine que l’on soit. Athées, Chrétiens, Musulmans, qu’importe, seul compte aujourd’hui l’amour du pays, l’amour de la France.
04/03/2012
03/03/2012
« Accepter le vote des étrangers, c’est la porte ouverte au communautarisme » (Claude Guéant).
Il m’étonne de jour en jour, Claude Guéant… Aurait il été touché par une crise de patriotisme ou essaie t’il une nouvelle récupération des voix des militants du Front National?
Harlem Désir, aussi. Mais lui affiche nettement sa préférence non-nationale et semble prêt à offrir NOTRE patrie en pâture aux Etrangers. Enfin, encore à plus d’Etrangers… Il en est même à dire que sans les Etrangers, la France ne serait plus la France…Il faut nous le prouver, ça, monsieur Désir (d’avenir)…
Moi, et bien d’autres, sommes prêts à vous démontrer le contraire.
FDF
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Pour Guéant, le vote des étrangers conduit au halal obligatoire à la cantine
Nouvelle polémique mettant en cause le ministre de l’Intérieur. Celui-ci a affirmé hier soir lors d’une réunion électorale près de Nancy qu’accorder le vote aux résidents étrangers lors des municipales pourrait conduire à l’obligation de nourriture halal dans les cantines scolaires : « Accepter le vote des étrangers, c’est la porte ouverte au communautarisme. Nous ne voulons pas que des conseillers municipaux étrangers rendent obligatoire la nourriture hallal dans les repas des cantines, ou réglementent les piscines à l’encontre des principes de mixité ».
« Les étrangers doivent accepter nos règles, c’est à eux de s’adapter. Chacun comprend que si on reçoit moins d’immigrés, les choses se passeront mieux », a ajouté Claude Guéant pour qui, semble-t-il, étranger rime forcément avec musulman. Lors de cette réunion de soutien à Nicolas Sarkozy, Guéant a également fustigé la gérance de François Hollande dans le département de la Corrèze : « La Corrèze, qui est le département le plus endetté, c’est la Grèce de la France ».
Le camp socialiste n’a pas tardé à réagir à cette nouvelle sortie du ministre de l’Intérieur par l’intermédiaire de Manuel Valls, directeur de communication de François Hollande : « Guéant dépasse les bornes sur les étrangers, l’Islam, l’insécurité ou la Corrèze ». Pour lui, « la provocation est tout ce qu’il reste à ce clan » de l’UMP, avant de taxer Claude Guéant de « ministre à la dérive » dans un tweet. Harlem Désir pense quant à lui que les mots du ministre de l’Intérieur « ne font plus que salir la République, ce clan ne représente plus la France ».
Source: http://www.ladepeche.fr/
Merci à Henri…
02/03/2012
« Sarkozy dégage! » Si ce message lancé à Bayonne n’est pas clair…
A force de ne pas écouter la voix du peuple… A force de se foutre des Français depuis 5 ans… A force de vouloir s’occuper de tout sauf de la France… Et bien voilà: la France répond.
FDF
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« Sarkozy dégage! » : 5 ans ça suffit grandement
Visite agitée pour le candidat UMP à Bayonne
JE SERAIS FORT SURPRIS QUE LES 20H EN PARLENT CE SOIR
JC JC…
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A son arrivée au centre-ville de Bayonne, Nicolas Sarkozy a été accueilli jeudi par des huées et des « Sarko, président des riches! ».
C’est sous des huées et des sifflets que Nicolas Sarkozy a été accueilli jeudi dans le centre-ville de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques), au cours de sa visite dans le Pays basque. Des dizaines de jeunes opposants attendaient le président-candidat à son arrivée et l’ont hué à sa descente de voiture, aux cris de « Sarko président des riches! », « Sarkozy dégage! », couvrant largement les « Sarkozy président » des partisans du chef de l’Etat, présents en moins grand nombre.
A une terrasse, des opposants ont déployé une banderole: « Sarkozy, travailler sept jours sur sept jusqu’à 77 ans. Y’a bon, y’a bon la croissance ». Des CRS ont été déployés à l’extérieur du bar du centre-ville où Nicolas Sarkozy était en train de s’entretenir avec des Français.
Course-poursuite à travers champs
Trois personnes avaient auparavant été interpellées en marge du déplacement du président-candidat, après avoir lancé des fusées en l’air à proximité d’une ferme visitée par le président de la République.
Alors qu’une centaine de manifestants se tenaient à proximité de la ferme située à Itxassou (Pyrénées-Atlantiques), un groupe d’individus avait en effet réussi à contourner le service d’ordre pour, à travers bois, s’approcher de la ferme d’où ils ont tiré des fusées en l’air. Après une course-poursuite à travers champs, trois personnes ont été interpellées et conduites à Bayonne par les forces de sécurité pour « vérification d’identité ».
Le groupe de manifestants était composé d’opposants à la ligne à grande vitesse (LGV) devant relier Bordeaux à l’Espagne et de militants de la coalition Euzkal Herria Bai regroupant des partis de la gauche nationaliste basque.
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