Francaisdefrance's Blog

17/02/2012

Pourvu que Hollande ne passe pas… Des mosquées pour tous les goûts dans le Nord.

Prions, mes amis… Prions pour que la gauche ne passe pas aux présidentielles. Sinon, une pluie de mosquées est prévue sur la France entière.  Et l’on risque un « réchauffement climatique politico-religieux » assez violent…

C’est un ouragan; nommé CHARIA.

A nous de voir dans 80 jours…

FDF

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Roubaix aura aussi sa mosquée turque

Après la grande mosquée Abou Bakr pour les fidèles Africains, les turcs vont édifier leur « caserne » comme appelle les mosquées le président islamiste turc Erdogan citant un poète nationaliste…mosturcroubaix.jpg

Lire l’article de Nord Eclair

Source: http://www.islamisation.fr/

24/01/2012

Erdogan menace (encore) la France…

Il commence à nous « peler grave », le premier ministre de la Turquie. Tout d’abord un petit rappel que j’aime à ressortir de temps à autres:

Erdogan (premier ministre turc) a déclaré en 1999 : «Les minarets sont nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées nos casernes et les croyants nos soldats.».

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Erdogan qui nous traite de racistes… On aura tout vu.

On ne va tout de même pas plier devant ce phénomène de foire, non? Dire que c’est Sarkö qui va prendre la décision finale… A 90 jours des présidentielles, je n’aimerais pas être à sa place.

FDF

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Erdogan a aussi de bons amis…

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Erdogan promet des mesures de rétorsion contre Paris

Au lendemain de l’adoption au Sénat français du projet de loi sur la négation du génocide arménien qu’il juge « discriminatoire et raciste », le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a menacé Paris de représailles.

Les mises en garde turques n’y auront rien fait. Après plus de sept heures de débats au Sénat français, la proposition de loi pénalisant la négation des génocides, dont celui des Arméniens en 1915 sous l’Empire ottoman, a été adoptée en France par 127 voix « pour » et 87 « contre ». La contestation d’un génocide reconnu par Paris est donc désormais un délit, puni d’un an d’emprisonnement et d’une amende de 45 000 euros.

Pour être appliquée par les tribunaux français, la loi, qui a déjà adoptée par l’Assemblée nationale le 22 décembre, doit être promulguée par le président Nicolas Sarkozy dans un délai de 15 jours.
Lors d’un discours prononcé ce mardi 24 janvier au Parlement devant les députés de son parti (AKP, issu de la mouvance islamiste), le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a fustigé une proposition « discriminatoire et raciste ». Et a promis de mettre en œuvre « étape par étape » des mesures de représailles contre Paris. Juppé plaide pour l’apaisement
Quelques heures plus tôt, le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, avait plaidé pour l’apaisement avec Ankara, qui avait menacé la France de « sanctions permanentes » en cas d’un vote en faveur du texte. « J’appelle nos amis turcs au sang-froid, la Turquie est un grand pays, une grande puissance économique et politique, nous avons besoin d’avoir de bonnes relations avec elle », a déclaré le chef de la diplomatie française sur Canal+. Et d’ajouter : « Passée cette vague, un peu excessive, il faut bien le dire, je suis persuadé que nous retrouverons des relations constructives. Moi, je tends la main. J’espère qu’elle sera saisie un jour. »

Et pour cause, Ankara qui reconnaît le massacre des Arméniens mais refuse catégoriquement d’y voir un génocide, a réagi avec virulence aussitôt après le vote des sénateurs : « Acte irresponsable », « manque total de respect », « grande injustice ». De son côté, le ministre turc de la Justice, Sadullah Ergin, a qualifié la loi comme étant « nulle et non avenue »…

…Suite et source: http://tinyurl.com/75da5sg

04/01/2012

Génocides. Sur le podium, les islamistes !!!

Au Soudan, par exemple…

Petit rappel aux islamistes, question génocides…

Et l’on se demande comment nous pourrions vivre avec ces bouchers qui massacrent au nom d’Allah… Il ne faut plus se poser la question; il faut agir.

FDF

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QUAND ON VOIT UN ERDOGAN  ACCUSER LA FRANCE DE GÉNOCIDE,  ALORS QUE LES TURCS  SONT TRES MAL PLACES POUR  FAIRE CE GENRE DE REPROCHE,QUAND ON VOIT L’ALGÉRIE RÉCLAMER NOTRE REPENTANCE  DEPUIS 50 ANS  MAINTENANT,QUAND ON VOIT QU’AU QUOTIDIEN  NOUS SOMMES ACCUSES DE GÉNOCIDE,   par ceux qui vivent (grassement) chez nousTOUS CEUX Là  FERAIENT MIEUX DE BALAYER DEVANT LEURS PORTES,CE PETIT RAPPEL ME SEMBLAIT INDISPENSABLE,  quand on sait que L’ISLAM  EST TOUJOURS AUSSI MEURTRIER ET  GÉNOCIDAIRE
JC JC…
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Crimes et massacres de l’islam au 20 siècle.

En mai 1993 L’ambassadeur saoudien à Londres déclare dans une interview: “J’ignore ce que vous entendez par droits de l’Homme. (…) nous connaissons des droits déterminés par la loi islamique , et nous considérons les tribunaux comme gardiens de ces droits. Je n’ai pas entendu parler dans le passé d’institution islamique qui s’appelait comité des Droits de l’Homme(…)”. 2002 : extrait d’un manuel de langue arabe saoudien: “Les musulmans sont les maîtres du monde” , comment voulez – vous que l’on puisse vivre en paix avec des gens qui pensent comme cela. Les chiffres vont peu – être vous semblez exagérés, il suffit de vérifier par vous – même, cela est une dure réalité.

Le monde musulman accuse Israël de massacrer les palestiniens , je vous laisse comprendre de vous même pourquoi accuser Israël de faire un génocide a Gaza est une honte…
(D’autant plus que les Palestiniens n’étaient que 600 000 en 1948 et qu’ils sont aujourd’hui plus de
6 000 000, soit dix fois plus. Comment peut-on parler de généocide dans ces conditions ? Encore une escroquerie des arabes, des islamistes et des associations occidentales bien pensantes et antisémites….Note de Puteaux-Libre)

1894-1917: Génocide contre les Arméniens : 2 millions de personnes massacrées par les musulmans au nom d’Allah en Turquie.

1914-1918: Génocide contre les Assyriens de Turquie : 250 000 personnes massacrées par les musulmans au nom d’Allah en Turquie.

1919-1923: Génocide contre les Grecs pontiques : 250 000 personnes massacrées en Turquie au nom d’Allah et expulsion de 250 000 autres vers la Grèce (Allah est Miséricordieux).

1930: 40 000 décapitations publiques, 350 000 amputation dans une campagne de purification spirituelle en Arabie.

1933: Génocide contre les Assyriens chrétiens en Irak. Plusieurs milliers de victimes. La communauté internationale, indifférente au début, réussit à stopper le massacre commis au nom d’Allah.

1942-1943: Génocide contre les « Mécréants » en Bosnie : 200 000 civils Serbes Chrétiens Orthodoxes, 40 000 Gitans et 22 000 Juifs massacrés au nom d’Allah dans des conditions tellement atroces que même les Nazis s’en émeuvent et interrompent la boucherie initialement projetée par le muphti de Jérusalem qui décide d’une Bosnie islamiquement pure, et couvre les crimes des divisions SS musulmanes (plusieurs milliers de djihadistes nazis). Leur spécialité consistait à couper les membres des victimes avant de les ensevelir encore vivantes sous de la chaux vive.

1964-1965: Génocide contre les Chinois communistes en Indonésie : 1 millionde partisans communistes souvent d’origine chinoise massacrés au nom d’Allah “ils jetèrent tellement de corps à la mer que les gens avaient peur de manger du poisson”.

1965-aujourd’hui: Génocide contre les Papous. « Indonésislamisation » de la partie ouest de l’ile de Papouasie. Lorsqu’ils arrivent dans un village, les musulmans chassent les porcs, luttent contre les étuis péniens indigènes en obligeant les hommes à mettre des pantalons. Les réfractaires à cette « intégration » sont massacrés. Le bilan oscille entre 100 000 et 1 million de tués en 2006 dans la plus parfaite indifférence générale (tout le monde n’a pas la chance de naître palestinien)…

1971: Génocide contre les Bengalis au Bangladesh : entre 1,5 et 3 millions de personnes massacrés au nom d’Allah . L’armée pakistanaise viole aussi 200 000 femmes selon les estimations internationales; l’armée indienne met fin à ce génocide; aucun pays musulman n’a tenté de l’arrêter. 10 millions de réfugiés.

1975: Génocide contre les Timorais. Invasion du Timor Oriental, présentée aux militaires indonésiens comme un jihad anti-communiste: massacre de milliers de Chinois et de catholiques; destruction des églises. Bilan en 1984 établi par les Australiens, au moins 20 % de la population anéantie, soit 200 000 morts (dont 100 000 la première année) ; on peut raisonnablement penser à un bilan total de 250 000 à 300 000 morts une décennie après.

1983-aujourd’hui: Génocide des peuples noirs et non-musulmans au Soudan. Estimation à ce jour : 2-3 millions de morts pour la plus grande gloire d’Allah dans un relative indifférence. Exemple d’action menée : en 1986, le chef de guerre soudanais Taib Musba attaque la tribu chrétienne des Uduk: 15 000 morts; il entre dans leur capitale Chali et déclare: “Vous allez être convertis du christianisme à l’islam aujourd’hui…” ; ceux qui refusent sont exécutés. En 1992, le Vatican proteste contre les persécutions que subissent les chrétiens soudanais; le régime de Khartoum déclare: “L’Eglise Catholique est devenu l’ennemi du gouvernement soudanais; nous savons comment nous en occuper” 1993 février: publication du rapport Barbier à la Commission des Droits de l’Homme de l’ONU, sur les massacres des tribus nouba au Soudan: déportation, islamisation forcée, esclavage pour plus de 20 000 enfants. 1994 rapport de l’ONU sur le Soudan, qui conclut que ce pays viole tous les droits de l’Homme; le président soudanais juge ce rapport “blasphématoire” 1994 financement de trois camps terroristes dans le nord du Soudan par Ben Laden 1994 octobre: À Khartoum colloque sur le dialogue inter-religieux au Soudan où sont invités musulmans et chrétiens. A l’issue de celui-ci, le président Omar el Béchir déclare ouvertement à des participants musulmans que le gouvernement de Khartoum suit un plan à long terme pour convertir le Soudan en un Etat Islamique par tous les moyens. 2002 mars: témoignage de militants humanitaires au Soudan (région du Nil Sud) sur le jihad perpétré contre les populations du sud ; « les prisonniers sont interrogés exclusivement sur leur religion ; les musulmans sont libérés; les autres sont soit égorgés soit asservis« .

Total des génocides islamiques établis :

Estimation basse (peu probable) : 7 622 000 morts

Estimation haute (probable) : 11 022 000 morts

Je voudrais m’excuser, je n’ai pas mentionné les massacres de chrétiens en Syrie, Irak , Liban, l’aide apportée par les musulmans aux nazis, les massacres en Ouganda, en Inde – Pakistan ,…..

Sacha DRATWA

SOURCEhttp://puteaux-libre.over-blog.com/

30/12/2011

Gardez vos leçons pour vous, monsieur Erdogan !

Et ça s’insurge parce que l’on ne veut pas les voir dans l’UE. Un bel exemple de la volonté d’intégration.

Nous n’avons pas besoin de ça, chez nous. Nous avons déjà ce qu’il faut…

FDF

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Au moins 20 morts dans un bombardement de l’aviation turque dans le sud-est de la Turquie !

L’aviation turque a bombardé dans la nuit de mercredi à jeudi des villageois kurdes qu’elle prenait apparemment pour des séparatistes du PKK, dans le sud-est de la Turquie près de la frontière irakienne, faisant au moins 20 morts selon des responsables locaux.

L’armée turque a refusé de confirmer ou démentir ces informations. Selon l’agence de presse turque Dogan, le bombardement s’est produit près de la localité d’Ortasu dans la province de Sirnak, près de l’Irak. Le raid a été lancé après la localisation par des drones (avions sans pilotes) et caméras thermiques d’un « groupe nombreux » près d’Ortasu.

Le gouverneur de la province de Sirnak, Vahdettin Ozkan, a déclaré que le bombardement a fait au moins 20 morts, sans fournir de plus amples précisions.

L’agence de presse pro-kurde Firat a de son côté fait état de 35 morts, des « civils ». La plupart des 35 victimes décédées sont selon le député pro-kurde Nazmi Gur des adolescents qui tentaient de gagner leur vie en faisant de la contrebande de carburant, ramené d’Irak à dos d’âne ou de cheval. C’est souvent le seul moyen de subsistance dans cette région, selon lui.

Le nord de l’Irak constitue depuis longtemps une base arrière pour les séparatistes du PKK, en lutte armée depuis 1984. L’armée de l’air turque a procédé en 2011 à plusieurs dizaines de raids contre des bases présumées du PKK dans le nord de l’Irak et du côté turc de la frontière.

Source: http://tempsreel.nouvelobs.com/

23/12/2011

La Turquie s’exclut elle même de l’Europe !

Erdogan (premier ministre turc) a déclaré en 1999 :

«Les minarets sont nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées nos casernes et les croyants nos soldats.».

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Je me suis toujours méfié de cet Erdogan… Il croit nous nuire avec cette annonce, mais en fait c’est lui qui se ferme définitivement la porte d’entrée dans l’Union Européenne. A moins que Sarkö ne vienne le supplier de revenir sur sa décision. En effet, la communauté turque est forte en France et parmi celle-ci, beaucoup sont des électeurs en puissance pour 2012…

Je me méfie toujours de Sarkö aussi…

Deux scénarii se présentent à nous: soit « on » fait l’impasse sur la nouvelle loi concernant la reconnaissance des génocides et 80 millions de musulmans entrent dans l’Union par la grande porte sans trouver de résistance; soit, la Turquie nous déclare la guerre. Et là, qu’est ce qu’on va présenter en face pour se défendre? Rien; nos n’avons plus d’armée en France au sens propre du terme… Elle se bat à l’Etranger pour des causes très floues.

Gros dilemme…

Ah oui, au fait, les enjeux: http://tinyurl.com/7nlfkyh

FDF

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Génocide arménien: Ankara gèle sa coopération militaire et politique avec Paris

La Turquie a annoncé jeudi le gel de sa coopération politique et militaire avec la France qu’elle accuse de « racisme » et de « xénophobie » après l’adoption par les députés français d’une proposition de loi pénalisant la négation du génocide arménien de 1915.

Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a ordonné la suspension des visites bilatérales, le rappel pour consultations de l’ambassadeur de Turquie en France et ajouté que « les exercices militaires communs avec la France et toutes les activités militaires avec ce pays avaient été annulés » pour protester contre l’adoption de ce texte.

Paris « regrette » les décisions de la Turquie, a déclaré dans la soirée le chef de la diplomatie française Alain Juppé, appelant Ankara à ne pas « surréagir ».

« La Turquie est pour la France un allié et un partenaire stratégique », a dit M. Juppé, qui a souligné qu’il était « important, dans le contexte actuel, que nous maintenions ouvertes les voies du dialogue et de la coopération » entre les deux pays.

« Ce que je souhaite, c’est que nos amis turcs ne surréagissent pas à cette décision de l’Assemblée nationale française », a-t-il également déclaré.

Interrogé sur d’éventuelles nouvelles mesures de représailles d’Ankara, le ministre français des Affaires étrangères a répondu : « nous verrons bien et je souhaite qu’on en reste là, si possible ».

Selon M. Erdogan, la Turquie statuera désormais au cas par cas sur toute demande militaire française d’utiliser son espace aérien et « rejette dorénavant toute demande » de visite des ports turcs par des bâtiments de guerre français.

Le Premier ministre turc a expliqué qu’il s’agissait là d’un premier train de sanctions contre la France, alliée de la Turquie au sein de l’Otan, et que, « progressivement », d’autres mesures pourraient être mises en oeuvre.

« Nous révisons nos relations avec la France« , a déclaré M. Erdogan qui a expliqué que la Turquie ne participerait pas à un comité économique mixte France-Turquie prévu pour janvier à Paris.

La Turquie met aussi fin aux consultations politiques avec la France, a dit M. Erdogan. Les deux pays avaient noué un dialogue étroit sur des dossiers régionaux, notamment la Syrie.

« Malheureusement, cette proposition de loi a été adoptée malgré tous nos avertissements (…) Cela va ouvrir des plaies irréparables et très profondes dans les relations bilatérales », a averti le chef du gouvernement.

M. Erdogan a fustigé une « politique (de la France) fondée sur le racisme, la discrimination et la xénophobie ».

Il s’en est particulièrement pris au président français Nicolas Sarkozy, l’accusant d’avoir instrumentalisé le génocide arménien à des fins électorales, à l’orée de la présidentielle de 2012.

« L’Histoire et les peuples ne pardonneront pas à ceux qui exploitent les faits historiques à des fins politiques », a estimé M. Erdogan, qui s’est en revanche abstenu d’annoncer des sanctions commerciales contre la France, important partenaire économique de son pays.

Le volume bilatéral des échanges s’est chiffré à près de 12 milliards d’euros en 2010.

A Washington, un diplomate américain de haut rang a déclaré que les Etats-Unis espéraient un apaisement rapide entre la France et la Turquie, deux de leurs plus proches alliés.

« Nous espérons qu’ils pourront résoudre ensemble leur différend », a-t-il commenté.

La représentante de l’OSCE pour la liberté des médias, Dunja Mijatovic, a estimé que l’adoption finale de cette loi, qui doit encore être approuvée par le Sénat, « soulèverait de graves inquiétudes quant aux normes internationales de la liberté d’expression ». Elle a dit craindre en particulier « une criminalisation des débats historiques publics » ne favorisant pas à ses yeux « une meilleure entente entre les peuples et les communautés » membres de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe.

Malgré les nombreux avertissements d’Ankara qui a dépêché plusieurs délégations à Paris, les députés français ont voté jeudi une proposition de loi pénalisant d’un an de prison et 45.000 euros d’amende la négation d’un génocide reconnu par la loi, comme l’est depuis 2001 en France le génocide arménien de 1915, qui a fait 1,5 million de morts, selon les Arméniens.

La Turquie reconnaît que jusqu’à 500.000 Arméniens sont morts pendant des combats et leur déportation, mais non pas par une volonté d’extermination.

L’Arménie a salué le vote des députés français et exprimé sa « gratitude ». La France « en adoptant cette loi a prouvé de nouveau qu’il n’y avait pas de prescription pour les crimes contre l’humanité et que les nier devait être puni », a déclaré à l’AFP le ministre arménien des Affaires étrangères, Edouard Nalbandian.

Pour entrer en vigueur, la proposition de loi devra cependant aussi être adoptée par le Sénat, ce qui pourrait prendre plusieurs mois.

Source: http://tempsreel.nouvelobs.com/

01/12/2011

Stratégies efficaces de lutte contre l’islamisation…

Quelques pistes utiles aux « résistants »…

FDF

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Comprendre l’islam pour combattre l’islamisation, par Olaf de Paris

Je vous ai présenté Olaf de Paris ici. Dans sa chronique d’aujourd’hui, Olaf nous propose des stratégies efficaces de lutte contre l’islamisation.Pourquoi combattre l’islamisation ? Parce que l’islamisme, prévient le père Henri Boulad, jésuite au Caire, est «un nouveau fascisme, beaucoup plus dangereux que l’autre, car plus pernicieux.»Et parce que la civilisation occidentale est la plus achevée de l’histoire humaine et que les islamistes sont des fossoyeurs de civilisation. Les fruits de l’islamisme sont bien décrits par l’écrivain palestinien Abou Sharkh dans son texte Félicitations aux islamistes :  «Vous avez hérité de la terre arabe et de ses peuples. Cette terre est devenue aride, sans âme, sans vie, ces peuples sont dépourvus de toute raison critique et créative. Vous en avez hérité et vous en avez fait un désert inculte, sans arts ni sculpture, sans musique ni chant, sans théâtre ni poésie ou divertissement, sans industrie ni agriculture. Vous avez fait de tous nos peuples des mendiants aux portes du FMI ».Lire aussi :Les origines de l’islam, par Hélios d’Alexandrie_______________________________________

Depuis que l’Islam s’est invité dans nos pays – ou que certains l’y ont invité … – on ne cesse de déplorer ses attaques contre nos modes de vie, notre civilisation, nos valeurs. Le danger d’une ségrégation progressive se concrétise au sein même des pays occidentaux, à mesure que l’on se rend compte de l’incompatibilité du dogme islamique avec nos principes essentiels.

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Beaucoup se demandent comment réagir, et se lancent dans des combats courageux, qui en envahissant un fast-food halal, qui en tentant de réglementer les signes religieux visibles dans l’espace public, qui en lançant une campagne d’opposition à la venue de conférenciers haineux …

Bravo !

Encore faut-il, pour que le combat soit efficace partir sur les meilleures bases. Sun Tzu recommandait en son temps au général de prendre le temps de connaître son ennemi avant de le combattre : «Qui connaît son ennemi comme il se connaît, en cent combats ne sera point défait. Qui se connaît mais ne connaît pas l’ennemi sera victorieux une fois sur deux. Que dire de ceux qui ne se connaissent pas plus que leurs ennemis ? »

C’est là la clé de toute victoire. C’est ce à quoi l’Islam nous oblige : faire notre propre examen de conscience, étudier cette religion, comprendre sa conception du monde, la façon dont elle conditionne la pensée des croyants, et surtout la pensée de ses soldats pour lui opposer la meilleure défense, et surtout, riposter au plus juste.

Cette pensée musulmane, et l’histoire de cette pensée ont été très bien décrites par de nombreux islamologues (se reporter aux ouvrages cités à la fin de l’article). Dans son ouvrage récent « The Closing of the Muslim Mind », le politologue Robert Reilly nous apporte encore d’autres clés de lecture de la pensée musulmane, capitales pour comprendre la dynamique de développement de l’Islam (ouvrage abordé ici par Hélios d’Alexandrie, ou encore par Aristide).

Comprendre la conception du monde en Islam

Pour simplifier, tout en gardant à l’esprit les dangers du manichéisme, il faut avancer qu’il y a eu aux débuts de l’Islam une lutte entre deux écoles de pensée :

–  Une école de pensée rationaliste, ayant intégré certains principes de la philosophie grecque, notamment par l’assimilation des chrétiens et juifs conquis dans la phase d’expansion de l’Islam. Pour ces gens, la raison ne s’oppose pas à la révélation de Mahomet, même si cette dernière peut contenir des mystères bien au-delà de la raison – on n’explique pas Dieu tout de même ! Ainsi, selon eux, la raison permet de comprendre et d’expliquer le monde. L’homme, par son entendement peut le déchiffrer et l’ordonner, se comprendre lui-même, distinguer le bien et le mal, et ainsi tenter de se gouverner, de bâtir sa société par ses moyens. Tout cela entre dans le dessein de Dieu. Cette école de pensée, celle des Moutazilites, a été influente à partir du 8ème siècle, mais n’a pu perdurer car combattue par cette autre école de pensée, que voici.

Olaf-2

L’autre école de pensée, qui, dans une logique politique, une logique de prise de pouvoir s’est opposée radicalement aux Moutazilites et à toute forme de rationalisme est l’école Asharite. Elle prône la toute puissance absolue de Dieu, et rejette absolument tout ce qui pourrait la limiter : l’idée d’un ordonnancement de la nature par exemple, d’une nature évoluant de façon autonome par rapport à Dieu, tout comme l’idée que l’homme puisse raisonner par lui-même, sans prendre ses commandements de Dieu, sont inconcevables dans cette école de pensée. Pour elle, le monde est entièrement soumis à Dieu, qui le fait exister à tout instant, qui le recrée constamment. Il n’y a donc plus de logique dans ce système, pas de possibilité d’explication : mon stylo ne tombe pas de mon bureau à cause de la gravité mais parce que Dieu le veut ainsi, à chaque instant de sa chute, comme Dieu pourrait vouloir au contraire que mon stylo se mette à voler. Dès lors, comment tenter de vivre dans un monde incompréhensible, un monde dont on supprime toutes les clés de lecture ? En obéissant aveuglément à Dieu, en observant à la lettre, à la virgule, ses commandements transmis par la révélation (Coran et exemplarité de la vie de Mahomet), en troquant sa conscience pour une soumission absolue. C’est cette école de pensée qui a très tôt prévalu contre les Moutazilites, celle là qui a façonné l’Islam que nous avons aujourd’hui.

A cette lumière, nous pouvons comprendre alors quelle est la vision du monde pour un (bon ?) musulman, c’est-à-dire pour celui qui se soumet à la volonté de Dieu : tout, absolument tout, est volonté de Dieu.

  • Un tremblement de terre ? La volonté de Dieu.
  • L’expansion de l’Islam du 7ème au 16ème siècle ? La volonté de Dieu.
  • La stagnation actuelle du monde musulman, l’état déplorable de son développement économique et humain ? La volonté de Dieu.
  • Les croisades ? La volonté de Dieu.
  • La mécréance des Juifs et des chrétiens ? Leur existence même ? La volonté de Dieu.
  • La nécessité de combattre les mécréants, de combattre les Juifs « à tel point que la pierre, derrière laquelle s’abritera un Juif, dira : Musulman ! Voilà un Juif derrière moi, tue-le » ? La volonté de Dieu.
  • L’injustice, l’adultère, le vol, le meurtre, la cruauté, le méchant qui triomphe et le juste qui souffre ? La volonté de Dieu.
  • La charia, la lapidation des adultères, la mutilation des voleurs ? La volonté de Dieu.

Et de fait, si tout est volonté de Dieu, hier, aujourd’hui et demain (inch’a allah !), alors le musulman ne comprend, en tant que musulman que deux façons de faire :

  • Celle que Dieu lui a imposée par la révélation, depuis les obligations religieuses les plus triviales, les cinq piliers, le code de conduite moral, la charia, jusqu’au djihad et la nécessité d’œuvrer à la soumission de la terre entière à la volonté de Dieu ;
  • Celle qui s’impose à lui in fine par la force des choses. Si malgré sa propre volonté, une volonté supérieure finit par l’assujettir, il en prendra son parti. C’est au final que c’est Dieu qui l’a voulu ainsi. Il vaut mieux se soumettre temporairement et attendre patiemment que Dieu le fasse triompher plus tard. L’Histoire fourmille de tels exemples …

Et à ce propos, aux objections qui me seront certainement formulées du type  « et les musulmans modérés alors ? Et mon ami Mohammed qui n’a jamais fait de mal à personne et n’en fera jamais ? », je répondrais d’avance : « demandez donc à ces musulmans modérés ce que représente pour eux un bon musulman … ». En gros, entre asharite et moutazilite, choisis ton camp camarade ! On ne peut être à la fois asharite, c’est-à-dire comme 99% des musulmans actuels, partisans du principe de la lecture littérale et de la soumission aveugle, et à la fois moutazilite … C’est incompatible ! Et d’ailleurs, qui donc est encore  moutazilite aujourd’hui, qui est légitime pour interpréter le coran et raisonner d’égal à égal avec Dieu ? A part Malek Chebel et ses appels à un Islam raisonné, un Islam des lumières qui n’existe que dans ses rêves, je ne vois pas grand monde … sans parler des difficultés de lecture des positionnements de chacun engendrées par cette taqiyya qui permet au croyant en terre infidèle de dissimuler ses vraies croyances et ses vrais objectifs.

Répondre à l’Islam

Quand on a compris cela, on peut atteindre le vif de notre sujet, à savoir comment traiter l’Islam en tant que religion et en tant que phénomène politique, toutes choses qui se révèlent être en l’occurrence une seule et même en Islam : par la force, par le rapport de force, le seul langage que l’Islam connaisse intrinsèquement, le seul langage que l’Islam reconnaisse. Nous avons beau jeu de palabrer, négocier, discuter, dialoguer, d’accorder concessions et accommodements raisonnables à l’Islam au nom de principes que nous seuls estimons supérieurs : il n’y voit qu’un rapport de force en sa faveur. Seule compte pour lui et face à lui la mobilisation de la force, de la force du droit et de la loi, la force du nombre voire la force des armes ou de l’argent … Et seule compte la mobilisation effective, tangible, qui pourra s’imposer face à lui et être interprétée par lui comme volonté supérieure de Dieu lui même. Menaces, leçons de morale et gros yeux n’ont aucun effet.

Des conférenciers haineux projettent un mauvais coup ? Il faut se mobiliser en force, pétitionner, manifester. Un droit musulman, parallèle et illégal, se développe à l’ombre des mosquées ? Il faut se mobiliser en force, faire donner la police et la loi. Les islamistes tentent un coup dans les pays du printemps arabe ? Il faut se mobiliser en force, envoyer la troupe là-bas, fulminer ici. La démographie des islamistes nous submerge jusque dans nos propres pays ? Il faut se mobiliser en force, faire davantage d’enfants qu’eux …

Pas si facile, hein …

Moscou-musulmans

Mais pour efficace qu’elle puisse paraître, cette réponse de la force à la force, même si elle est très bien comprise par l’adversaire islamiste (et pour cause, voyez donc l’offensive des prières de rue en masse !), même si c’est elle qui a historiquement permis à l’Occident de résister à l’offensive de l’Islam, cette réponse est en train d’échouer, en tant qu’elle n’est que la seule à être proposée.

Echec car n’opposer qu’une résistance frontale, force contre force, muscles contre muscles, face à l’Islam est éminemment dangereux : l’avantage du nombre ne va bientôt plus être en faveur de l’Occident sur son terrain même. La démographie des musulmans est leur première arme comme nous en ont obligeamment averti Erdogan lui-même (« Grâce à votre démocratie nous vous envahirons, grâce à notre modèle coranique et à notre démographie, nous vous vaincrons »), Boumediene («Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour faire irruption dans l’hémisphère nord. Et certainement pas en amis. Car ils y feront irruption pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant de leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous offrira la victoire», tout cela déclaré très officiellement à l’ONU en 1974), ou encore Rachid Gacem, le très digne trésorier d’une mosquée de Roubaix en France, appelant de ses vœux l’établissement de la charia en France lorsque les musulmans y seront devenus majoritaires. En France, certains prévoient que la « minorité » musulmane actuelle dépassera les 40% de la population à l’horizon 2050, voire avant.

Echec par ailleurs car l’Occident, en pleine décrépitude morale, en plein doute ontologique, aux valeurs minées par son relativisme, sa tolérance à l’intolérance, et sa xénophilie semble bien faible face aux convictions islamiques. C’est bien résumé par Michel Onfray en un tableau très noir, et, espérons le, certainement bien trop pessimiste : alors que l’islamiste est prêt à mourir pour sa foi, qui aujourd’hui est prêt à mourir pour ses idées ? Qui aujourd’hui est prêt à mourir pour son pouvoir d’achat, pour son canapé ?

Et échec enfin, car agir systématiquement dans le rapport de force ne fera qu’aggraver le fanatisme, de part et d’autre. Il confortera le musulman dans le rejet de l’Occident, son ennemi, et de ses valeurs, et d’un autre côté, il fera de nous des fanatiques, aveuglés par la violence de la lutte, et oublieux de nos valeurs, du sens de notre combat, et du rôle de la vérité dans ce dernier. Nous luttons contre l’Islam non pas car il est notre ennemi, mais car c’est lui qui nous désigne comme son ennemi. Nous luttons contre l’Islam car sa vision du monde est fausse et mortifère, car il est une impasse individuelle et sociétale pour le développement, tant sur le plan économique que sur les plans humains, moraux et spirituels. Nous ne prévaudrons pas car nous sommes ou serons les plus forts mais car nous aurons raison – même si cela nous aidera grandement d’être les plus forts !

Et là, effectivement, il faut convoquer aux côtés de Sun Tzu cet autre grand stratège : Clausewitz. Il nous enseigne que pour vaincre, il conviendra d’attirer l’ennemi hors de son terrain, dans un environnement qu’il ne maîtrise pas, le nôtre.

C’est ce vers quoi les pays musulmans se sont dirigés au 20ème siècle, prenant le virage de la sécularisation de leurs sociétés, entraînés par l’Occident sur son propre terrain de la modernité, tentant d’y arrimer leur développement. L’Islam a failli s’y perdre. Mais cela a échoué du fait de la réaction islamiste, portée notamment par les Frères Musulmans à partir des années 20, et prônant le retour au fondamentaux de l’Islam, le fondamentalisme (voir à ce sujet le reportage de CBN News, particulièrement probant avec la démonstration de la progression du port du voile en Egypte). Cet échec de la sécularisation des pays musulmans (comme le prouve l’issue islamiste des printemps arabes) doit nous indiquer qu’il ne suffit pas d’agir sur les sociétés, que c’est au cœur même de la doctrine musulmane que doit porter notre action « clausewitzienne ». Et je vois deux moyens d’atteindre au cœur de cette doctrine : la conversion et l’effondrement.

La conversion

La conversion, c’est le renoncement du musulman à l’Islam pour mieux embrasser la foi chrétienne et son rationalisme – à la base, n’en déplaise à nos amis ultra-laïques, de la construction de nos sociétés occidentales, certes avec quelques autres apports. Il s’agit d’emmener le musulman sur le terrain de l’amour, un concept qui manque cruellement à l’Islam, un concept pourtant au cœur des aspirations humaines, et au cœur de la foi chrétienne – et de l’emmener aussi sur le terrain de la raison, nous y reviendrons. Nous pourrons nous inspirer ici de l’exemple de Joseph Fadelle ou de celui de Charles de Foucauld (écrits à relire avec les lunettes de son époque, en faisant notamment attention à ne pas commettre de lecture anachronique sur les conceptions racialistes dont il se réclame).

L’Etat et l’action politique se devant cependant de rester laïques, ils ne sauraient s’engager dans cette voie, la conversion devant être envisagée à titre individuel, aux échelles du « convertisseur », du converti, et de leur liberté absolue de conscience. Je ne développerai pas davantage ici, mais tiens tout de même à rappeler que le danger que représente la conversion pour la survie de l’Islam est à l’image des efforts qu’il déploie pour s’en défendre : enfermement du croyant dans le système communautaire de l’oumma, qui permet de contrôler sa conscience pour mieux lui interdire la liberté, statut du dhimmi pour le chrétien en terre d’Islam, avatar d’« untermensch », à peine mieux considéré que le juif sous le 3ème Reich, interdiction de diffusion de tout élément de sa doctrine, persécutions diverses, et enfin, peine de mort pour l’apostat …

L’effondrement

L’effondrement, c’est l’arme de destruction massive de l’Islam, offerte grâce à l’analyse de cette religion par la science occidentale récente, et le relevé de ses incohérences, comme j’ai pu en parler dans ma chronique précédente. C’est mettre le musulman devant la preuve effective de l’irrationalité totale de ses croyances. Malgré tous ses efforts pour rejeter la rationalité, l’Islam peut contraindre la nature humaine mais ne peut la changer. L’homme garde ce fond d’intelligence, qui s’il peut d’un côté lui faire comprendre l’intérêt d’embrasser l’Islam devant la contrainte physique, devant la forme de libération que peut représenter l’abandon de toute raison propre, peut également lui faire comprendre la fausseté des bases et fondements de cette religion. Même si rien n’a de sens en Islam, même si seul Dieu est sensé, il faut tout de même faire preuve d’un minimum de sens pour décider d’adhérer. C’est sur cette capacité de sens là, ce minimum raisonnable qu’il faut s’appuyer, et avec Clausewitz, emmener le musulman sur le terrain du réel et de la raison. Et le questionner sur les sources de sa foi, comme pourrait le faire un néophyte sincère :

  • Quelles étaient exactement les croyances des chrétiens (ou plutôt sectateurs chrétiens), des païens et des juifs qui peuplaient l’Arabie de Mahomet ? Qu’est-ce que le messianisme aux 5ème et 6ème siècles dans cette région, avant la venue de Mahomet ?
  • Quelles sont les preuves tangibles de la vie et de la prédication de Mahomet ? Comment prouver l’authenticité des hadiths ?
  • De quand date le premier Coran ?
  • Comment être certain de l’unicité et de la pureté d’un Coran mis par écrit si longtemps après sa révélation ? Que penser du contexte et des conditions éminemment délicates de sa rédaction, contrôlée par des autorités politiques qui y voyaient là un instrument de pouvoir peut-être davantage qu’un instrument de foi ?
  • En quelle langue a été révélé puis écrit le Coran ? Quelles sont les racines de cette langue ? Comment cette langue a-t-elle évolué entre l’époque de Mahomet et celle de la rédaction du Coran ?

Ou encore le questionner sur les incohérences du dogme islamique …

  • Quelle est la composition physico-chimique d’une tranche de jambon de porc ? D’une tranche de jambon de dinde ? Où est la preuve de l’impureté de l’un et de la pureté de l’autre ?
  • Sunnisme ou chiisme, qui a raison et pourquoi ? (la question qui tue …)
  • En quoi l’Islam est-il un culte ? Qu’est ce qui est célébré dans une mosquée ? Quelles sont les relations entre Dieu et le croyant ?
  • Qu’est ce que la sainteté en Islam ?
  • En quoi les « molécules  de souffrance » (pour ne pas dire toxines …) que répand dans sa viande la bête égorgée façon « halal » qui agonise pendant 15 minutes contribuent-elles à purifier sa chair ?
  • Pourquoi Dieu a-t-il créé et continue-t-il de créer des mécréants ? Des homosexuels ? Et des croyants pour les tuer ?
  • Faut-il tuer tous les cochons et tous les chiens ? Pourquoi Dieu les a-t-ils créés ?
  • Comment être certain que Raël ou Gilbert Bourdin ne sont pas des prophètes de l’Islam puisqu’ils se placent d’une certaine manière dans la continuité de Mahomet ? En quoi Mahomet est-il plus crédible qu’eux ?
  • Est-ce que le projet d’oumma globale sur terre, régie par la charia c’est …

a)      Moins bien que le Pakistan ?

b)      Comme le Pakistan ?

c)      Mieux que le Pakistan ?

  • Une fois que l’oumma globale sera advenue sur terre, et qu’il n’y aura plus besoin de djihad, est ce que l’on pourra encore aller au paradis ?

Avancées sur ton certes badin, toutes ces questions posent au musulman le problème de sa propre rationalité … Face à l’incohérence, au malaise, s’il se permet le moindre doute, toute sa foi sera emportée. Ouvrir la porte à la raison, ne serait-ce qu’en tentant de définir un Islam des Lumières, c’est faire s’écrouler tout l’édifice tant il ne repose que sur la négation de la raison, la soumission à l’irrationnel. C’est pour ainsi dire transformer l’asharite en moutazilite.

Et au delà, pratiquer cette tactique de l’effondrement, c’est questionner systématiquement l’Islam, c’est exiger des justifications, des preuves et des fondements indiscutables à chacune de ses demandes d’accommodement, ses demandes d’espace vital réservé, ses demandes de davantage de ségrégation religieuse. C’est sortir le fait politique hors de sa justification religieuse et irrationnelle. Et surtout, c’est diffuser le plus largement possible les travaux, parfois encore obscurs, des chercheurs qui ont soulevé sur des bases rationnelles les incohérences des sources et du dogme islamique. Comme souligné précédemment, c’est l’Islam qui en nous désignant, « Occident », comme son ennemi à coloniser, oblige l’Occident à le connaître davantage. Pour ma part, je n’avais rien demandé ! Je n’y connaissais pas grand-chose avant que l’Islam ne frappe à ma porte, chez mes amis, dans ma ville, dans mon pays. Connaitre l’Islam, dénoncer ses travers, ses vices et sa fausseté, c’est désormais notre responsabilité absolue puisque nous les connaissons. C’est en particulier la nôtre, nous, lecteurs et contributeurs de Poste de veille.

En conclusion

Il ressort de tout cet exposé que si le premier levier d’action face à l’islamisation reste et restera la force, en particulier la force et la rigueur de la loi, il ne sera jamais aussi efficace que lorsqu’on lui adjoindra les leviers de la conversion et de l’effondrement. Particulièrement ce dernier, dont on peut user au plan collectif, au contraire de la conversion et des questions de liberté personnelle de conscience qu’elle pose. Et par ailleurs, ces deux derniers leviers présentent l’immense avantage de ne pas essentialiser les musulmans, de ne pas les identifier à l’Islam, de ne pas les confondre avec leur foi. Bien au contraire, il s’agit de faire appel à leur part de raison, leur capacité d’amour même, il s’agit de les extraire du « système Islam » et de son irrationalité, et de les considérer pour ce qu’ils sont : des frères et des sœurs d’humanité.

Lorsque les travaux établissant la fausseté des sources du coran seront repris dans des reportages, publiés dans de grands journaux, diffusés à la télévision, et viendront en appui, par exemple, de la règlementation de l’habillement religieux dans la sphère publique, lorsqu’une collectivité pourra interdire la viande halal dans ses cantines sur la base de rapports scientifiques incontestables établissant la nocivité de l’égorgement rituel, lorsque l’imposture de l’établissement de la Mecque comme ville sainte sera devenu sujet de boutade entre historiens autant qu’entre collégiens, que restera-t-il à nos barbus ?

« Vous connaitrez la vérité, et la vérité vous rendra libres. » – Evangile de St Jean, chap. 8, v.32

« Et c’est ainsi que la vérité éclata, mettant en échec toutes leurs manœuvres. » – Coran, s. 7, v.118

Et en bonus, quelques lectures indispensables …

Bandeau livres

Le messie et son prophète, d’Edouard Marie Gallez

L’Islam des Interdits, d’Anne Marie Delcambre

Les Fondations de l’Islam, d’Alfred Louis de Prémare

The Closing of the Muslim Mind, de Robert Reilly

La colère d’un français, de Maurice Vidal

La lecture Syro-araméenne du Coran, de Christoph Luxenberg

Le Coran, traduction et commentaire systématique, de Bruno Bonnet Eymard

Le Coran, de Sami Aldeeb

Source: http://www.postedeveille.ca/

17/11/2011

Le Premier ministre turc Erdogan a récemment fait une visite officielle en Allemagne. Il a encore une fois appelé les immigrés colons turcs à ne pas s’assimiler.

J’ai toujours pensé que ce type était un faux jeton, qui se félicite de prendre les Européens pour ses futurs esclaves. Et nos dirigeants continuent à le recevoir. A ne plus rien y comprendre…

Allez; je vous la replace:

Erdogan (premier ministre turc) a déclaré en 1999 : «Les minarets sont nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées nos casernes et les croyants nos soldats.».

FDF

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Erdogan humilie Merkel sur son sol !

ON CROIT REVER QUAND ON VOIT L’AUDACE DE CE PERSONNAGE QUI ORDONNE AUX TURCS DE NE PAS S’INTEGRER, ET DE NE PAS APPRENDRE LA LANGUE DE LEUR PAYS D’ACCUEIL MAIS MIEUX ENCORE  IL EXIGE DES ECOLES TURQUES.

QUANT A NOUS,  NOUS CONTINUONS DE LEUR VERSER DES SOMMES INVRAISEMBLABLES  AFIN QU’ILS VIENNENT MIEUX ENCORE NOUS COLONISER.

SI CA S’APPELLE PAS SE FOUTRE DE LA GUEULE DU MONDE !

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Erdogan humilie Merkel sur son sol : que le immigrants turcs vivant en Allemagne apprennent la langue allemande est « contraire aux droits humain.  Alors que la CDU et le SPD glosent sur l »intégration, Erdogan   vient en Allemagne afin de répéter aux colons turcs de ne surtout pas devenir allemands

Un journal allemand a comparé Erdogan à un Roi qui visite ses sujets dans ses colonies...

Les Turcs en Allemagne : les invités s’emparent de la maison !


Lire aussi :

« Je fais un rêve – l’Allemagne deviendra Turkland »

Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan était en Allemagne les 1er et 2 novembre pour marquer le 50ième anniversaire de l’accord sur les « travailleurs invités ». 

Erdogan a transformé ce qui était supposé être une opportunité amicale de faire un bilan en une plate-forme pour lancer une nouvelle tirade contre les offenses et carences supposées dans le traitement des immigrants turcs vivant en Allemagne, population estimée à 3.5 millions.

Erdogan a dit que l’insistance allemande à exiger que le immigrants vivant en Allemagne apprennent la langue allemande est « contraire aux droits humains ». Il demande que Berlin accorde la citoyenneté aux immigrants turcs sans considération de leurs efforts pour s’intégrer à la société allemande.

Pour faire bonne mesure, Erdogan a accusé l’Allemagne d’être un « complice » de la campagne de terreur lancée en Turquie par le Parti des travailleurs kurdes (PKK). Il a aussi blâmé l’Allemagne pour faire dérailler la demande turque vieille de plusieurs dizaines d’années à rejoindre l’Union Européenne.

Ajoutant à la controverse, un groupe de scientifiques, de politiciens et d’activistes des droits de l’homme allemands a accueilli la visite d’Erdogan en déposant une plainte pour crimes de guerre contre le Premier ministre turc et neuf autres officiels politiques et militaires d’importance.

La plainte déposée auprès du bureau du procureur fédéral dans la ville de Karlsruhe au sud-ouest de l’Allemagne le 2 novembre 2001, est fondée sur la législation de « juridiction universelle » de 2002 qui donne aux cours allemandes le droit de poursuivre les auteurs de violations des humains quel que soit le pays où les crimes ont été commis.

L’action en justice accuse Erdogan et d’autres de dix actes de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, incluant la torture et l’utilisation d’armes chimiques en rapport avec les opérations militaires turques contre les rebelles kurdes depuis 2003.

Le président allemand Christian Wulff et la chancelière allemande Angela Merkel avaient invité Erdogan pour assister à une cérémonie commémorant l’accord de recrutement de main-d’oeuvre du 31 octobre 1961 entre l’Allemagne de l’Ouest et la Turquie qui a permis l’afflux de millions de travailleurs turcs en Allemagne au cours des 50 dernières années. Cependant cet accord marque le début des problèmes actuels de l’Allemagne avec l’immigration musulmane.

Par le passé, en 1961, l’économie de l’Allemagne après de la seconde guerre mondiale était florissante et des traités similaires avec la Grèce, l’Italie et l’Espagne étaient insuffisants pour fournir la demande apparemment insatiable de main-d’œuvre. À la fin de 1969, plus d’un million de « travailleurs invités » étaient arrivés en Allemagne pour travailler dans les zones industrielles du « pays hôte ».

L’idée de départ était que les travailleurs turcs retourneraient chez eux après une période de deux ans, mais la « clause de rotations » ainsi dénommée a été retirée du traité germano-turc en 1964, en partie après des pressions des secteurs de l’industrie allemande qui ne voulaient pas payer constamment les coûts de formation de nouveaux travailleurs. Le résultat prévisible était que beaucoup de Turcs ne retournèrent jamais chez eux.

Aujourd’hui, la population turque en Allemagne a explosé ; les turcs constituent maintenant la plus grande minorité ethnique. Les démographes s’attendent à ce que la population turque en Allemagne s’accroisse exponentiellement dans les prochaines décades, grâce à la fois à une forte fécondité et une forte demande de travailleurs étrangers.

La demande allemande en travailleurs étrangers est alimentée par une crise démographique : la population allemande est non seulement vieillissante, mais aussi en diminution rapide. Selon des projections récentes du Bureau allemand des statistiques, la population de l’Allemagne qui est actuellement de 82 millions et qui est la plus importante de l’Union Européenne, devrait diminuer de près de 20% à 65 millions dans les cinq prochaines décades. En même temps, 34% de la population aura plus de 65 ans et 14% aura plus de 80 ans en 2060, comparés aux chiffres de 20% et 5% respectivement en 2009.

Les défis combinés de la dépopulation et de son vieillissement auront des conséquences majeures pour la pérennité du système allemand de sécurité sociale qui va du berceau à la tombe. Par exemple, le nombre de pensionnés qui devront être entretenus par la population en âge de travailler pourrait presque doubler en 2060 selon le Bureau fédéral des statistiques. Alors que 100 personnes en âge de travailler entre 20 et 65 ans devaient fournir des pensions à 34 retraités en 2009, ils devront générer un revenu pour 63 à 67 pensionnés en 2060.

Sans surprise, les Allemands sont inquiets du futur ; leur inquiétude alimente un débat national sur l’immigration et l’intégration musulmane, ainsi que sur le rôle de l’islam dans l’Allemagne. Les Allemands sont particulièrement concernés par la présence de millions de musulmans non intégrés.

Cela implique que dans le futur, l’Allemagne va devenir encore plus dépendante des immigrants. En outre, les Turcs continueront d’être une source importante de main-d’œuvre, surtout en considérant que le taux de natalité chez les immigrés turcs en Allemagne (2,4 enfants par femme) est presque le double de celui des Allemands autochtones (1,38, un taux bien inférieur au taux de remplacement des générations, qui est de 2,1 enfants par femme). Si ces chiffres se maintiennent, les démographes prédisent que le nombre d’Allemands de souche sera réduit de moitié dans environ six générations, tandis que le nombre d’immigrés musulmans en Allemagne devrait plus que quadrupler au cours de cette même période.

Dans un discours mémorable en octobre 2010, Merkel a concédé que les efforts de l’Allemagne pour bâtir une société multiculturelle d’après-guerre ont échoué totalement. « totalement échoué ». Elle a dit : « Nous sommes un pays qui au début des années 1960 a amené des travailleurs invités [musulmans] en Allemagne. Ils vivent désormais parmi nous et nous nous sommes longtemps mentis à nous-mêmes en disant qu’ils ne resteront pas et qu’ils disparaîtront un jour. Cela n’est pas la réalité. Cette approche multiculturelle – en disant que nous vivons simplement côte à côte et en sommes heureux – cette approche a échoué, échoué totalement. »

Confronté à la réalité que plus de un million d’immigrants vivant en Allemagne ne parlent pas du tout allemand, le gouvernement a récemment commencé à pousser les enfants de parents non germanophones à développer une meilleure connaissance de la langue allemande.

Cela a irrité Erdogan, qui durant une précédente visite en Allemagne en février 2011 a sommé les immigrants turcs d’apprendre à leurs enfants à lire et écrire le turc avant l’allemand. Parlant devant une foule de plus de 10.000 immigrants agitant des drapeaux turcs et criant « la Turquie est grande » dans la ville industrielle de Düsseldorf, Ergodan a dit : « nous sommes contre l’assimilation. Personne ne devrait être en mesure de nous éloigner de notre culture et de notre civilisation ».

Durant une visite similaire à Cologne en février 2008, Erdogan a dit devant une foule de plus de 20.000 immigrants turcs que « l’assimilation est un crime contre l’humanité » et les a enjoint à résister à l’assimilation au monde occidental. En mars 2010, Erdogan a demandé à l’Allemagne d’ouvrir des écoles primaires et secondaires en langue turque.  

La réaction en Allemagne à la rhétorique d’Erdogan a été négative.

Le journal de centre-droit Die Welt, dans un article d’opinion intitulé « Les appels à la division d’Ergodan manquent de tact »,  a écrit que le Premier ministre turc s’engageait dans une « pure guerre culturelle » avec pour credo : « turc un jour, turc toujours ». L’article dit « Chacune de ses visites officielles ressemble plus à celle d’un roi visitant ses colonies. Ergodan croit être le patron de tous les trois millions de turcs en Allemagne, comme si ils lui appartenaient. Cela est une attitude paternaliste et en fait non démocratique et nationaliste ».

Le journal respecté Die Zeit, dans un article intitulé « Erdogan: une malédiction pour les turcs d’Allemagne », écrivait : « Le Premier ministre Erdogan est un désastre pour les Turcs en Allemagne. Une fois de plus, Erdogan a utilisé sa visite en Allemagne pour parvenir à ses propres desseins nationalistes. Une fois de plus, il est revenu sur le thème de la langue turque : les enfants devraient d’abord apprendre le turc avant l’allemand. Bien sûr, il est souhaitable que les enfants avec des racines turques apprennent le turc. Le problème des échecs d’une éducation entièrement turque ne se trouve pas dans la première langue acquise, mais dans une médiocre maîtrise des deux langues. Des centaines de millier d’enfants ne peuvent de fait parler correctement ni le turc ni l’allemand ».

Le journal dit que la rhétorique enflammée d’Ergodan se résume entièrement à des considérations de politique intérieure. Die Zeit écrit : « Ergodan n’est pas réellement intéressé par le sort des immigrants turcs et de leurs enfants. Sa prestation théâtrale et nationaliste n’est qu’un jeu utilisant les sentiments et les frustrations des turcs allemands. C’est une posture qu’il considère prometteuse : Ergodan veut tirer parti de la colère du citoyen turc. Pourquoi veut-il une double citoyenneté ? Pour pouvoir faire campagne pour des votes en Allemagne et ainsi gagner des voix parmi les électeurs de l’étranger. La pompe et splendeur nationaliste d’Ergodan est bien embarrassante et rend l’accession de la Turquie à l’Union Européenne bien moins probable. »

Soeren Kern est « Senior Fellow » pour les relations transatlantiques au groupe madrilène « Grupo de Estudios Estratégicos / Strategic Studies Group  ». Suivez le sur Facebook.

Source : Turks in Germany: The Guests Take Over the House

http://www.postedeveille.ca/2011/11/les-turcs-en-allemagne-les-invites-semparent-de-la-maison.html#more

http://lechevalierfrancois.over-blog.com/article-erdogan-humilie-merkel-sur-son-sol-que-le-immigrants-turcs-vivant-en-allemagne-apprennent-la-langu-88855415.html

Traduction: Poste de Veille


21/10/2011

Ils EXIGENT plus d’immigration en Europe !!! Qui? Les Turcs, bien sûr…

Exigez, exigez. On vous attend de pied ferme !!!

Ma réponse (habituelle):

FDF

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La liberté d’opinion et d’expression est considérée comme une des libertés fondamentales de l’être humain. Elle est citée à l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme comme suit : «Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.»Blog sous la protection de l’article 10 du deuxième Traité de la Convention de Berne, l’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme et l’article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, défendant le droit de tous à l’information et le droit à la liberté d’expression et d’opinion.

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La France délivre 110 000 visas aux Turcs chaque année (chiffres Intérieur 2008). Mais le rythme de l’invasion n’est pas assez soutenu pour les islamistes turcs au pouvoir.

  

« L’Europe devra mettre en place l’arrivée de plus d’immigrants et accepter la diversité. » s’est exprimé le président turc Abdullah Gül lors du Forum Global Policy Yaroslavl le 8 septembre 2011 en Russie (discours intégral ici) L’islamiste Gul a également exprimé sa préoccupation devant la montée du sentiment anti-immigrés et anti-islamique en Europe, et a suggéré que davantage devrait être fait pour combattre ce « fléau ». Cynisme et culot incroyable de Gul, car la situation des Chrétiens en Turquie ne s’améliore pas. Ainsi le Patriarche oecuménique orthodoxe Bartholomé vient d’affirmer à la chaine CBS que les chrétiens sont « des citoyens de seconde zone » n’hésitant pas à dire que sa communauté est « crucifiée », ne pouvant par exemple toujours pas récupérer les biens confisqués, ouvrir des églises ou ouvrir à nouveau le séminaire de Halki fermé par la décision raciste de la Turquie dès 1971…Le patriarche Bartholomée vit avec une protection rapprochée jour et nuit, suite aux nombreux assassinats de religieux par les islamistes, ce qui est loin d’être le cas des imâms en Europe.

Pour ceux qui douteraient du caractère islamiste du président turc, nous rappellons un de ses propos :

« On changera définitivement le système laic. La république vit ses derniers temps »

Source : Nevzat Bölugiray, AKP degisiyor mu? [ L’AKP change t’il?], Tekin Yayinevi, Istanbul, 2004,p.78.

Cet inquiétant donneur de leçon devrait balayer devant sa porte, un récent sondage sur les opinions des Turcs à l’égard des Chrétiens donne les résultats suivant :

Pour 59% des personnes interrogées, les non-musulmans « ne devraient pas » ou « ne devraient absolument pas » être autorisés à tenir des réunions publiques dans lesquelles ils peuvent discuter de leurs idées. Pour 54%, les non-musulmans « ne devraient pas » ou « ne devraient absolument pas » être autorisés à publier de la documentation pour expliquer leur foi. Selon l’enquête, près de 40% de la population de la Turquie a une opinion « très négative » ou « négative » des chrétiens. (en savoir + sur ce sondage)

Voir tous les articles de notre Dossier Turquie

Source: http://www.islamisation.fr/

27/06/2011

Etrange et dangereuse Turquie…

La Turquie dans l’UE, ce n’est pas pour demain (en principe). Et pourtant, ce n’est pas sans compter les « efforts » de la part de Erdogan et de ses potes. On va bien finir par les laisser entrer, un jour. Et 80 millions de musulmans se seront infiltrés en Europe; d’un seul coup. Et là… Je ne préfère plus être de ce monde pour les « accueillir ». Et j’ai peur pour mes descendants.

En attendant, un peu d’Histoire.

FDF

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Une Turquie peut en cacher une autre…

Si on ne se préoccupe que de l’immédiat, la crise monétaire et institutionnelle de la construction bruxelloise éclipse, presque légitimement, la préoccupation qui devrait s’imposer comme essentielle pour le continent européen : son problème identitaire. De la sorte cette situation éloigne la question turque des centres d’intérêts de la bulle médiatique. Ιl faut cependant tirer les leçons du scrutin du 12 juin dans ce grand pays voisin. Aux yeux de la plupart des commentateurs agréés, le succès du parti AKP actuellement au pouvoir consolide et confirme le caractère démocratique de cette nation. De la sorte elle ne peut que paraître encore plus éligible à l’Union européenne.

Jusqu’ici la plupart des arguments avancés en faveur de cette candidature pouvaient s’appliquer à la Chine, que personne ne songerait pourtant à admettre au sein de l’ensemble bruxellois (encore que). Avec des élections libres en Anatolie, une chose devient certaine, Pékin n’entrera pas avant Ankara. On se console comme on peut.

À vrai dire, depuis 1946 ce pays vit effectivement sous le régime du multipartisme. Mais jusqu’à une date très récente, son système effectif de gouvernement compensait cette louable pratique démocratique d’une propension de l’armée à riposter par des coups d’État aux situations politiques qui lui déplaisaient.

Ainsi doit-on rappeler que le 27 mai 1960 une conjuration militaire allait renverser le gouvernement légalement élu du parti démocrate. Le chef du gouvernement Adnan Menderes fut alors condamné à mort et exécuté le 16 septembre 1961 en compagnie de son ministre des Affaires étrangères et de son ministre des Finances. En octobre de la même année le général Gürsel que les putschistes avaient propulsé à la tête de l’État rendit le pouvoir aux civils. Le 12 mars 1971 le chef d’État-major, la général Tagmarc adressait un mémorandum au premier ministre Demirel pour imposer « dans le contexte des principes démocratiques (sic) un gouvernement fort ». Il s’agissait de mettre un terme à une violence grandissante entre nationalistes et marxistes. Après une « franche explication » de 3 heures le chef du parti démocrate dut se rendre aux arguments toujours si convaincants de cette armée si républicaine. Dans des conditions comparables, le 12 septembre 1980 le général Evren s’empara du pouvoir. Plus tard, il fera rédiger une constitution aujourd’hui encore en vigueur, – mais qu’on se propose de réviser radicalement désormais. Jusque-là ce genre de scénario recevait l’approbation des Etats-Unis, et plus discrètement d’Israël. On appelait cela défense de la démocratie, de la laïcité et des valeurs occidentales.

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Tout change à partir de la fin des années 1990 où la réislamisation de la Turquie, constante depuis la guerre, se traduit ans les urnes. Rappelons que dans ce beau pays, une fraction grandissante de la jeunesse est scolarisée dans des écoles dites « imam-hatip », dont « soixante pour cent de leur programme est de l’éducation normale, 40 % est islamique ». (1) Mécaniquement dès 2004 (le gouvernement AKP datant de 2003) leurs élèves ont commencé à vouloir pénétrer l’université ce qui inquiétait fortement l’armée. (2)

Entre-temps celle-ci avait remporté son dernier vrai succès avec le « coup d’État post-moderne » du 28 février 1997 forçant sans heurt à la démission le vieux chef islamiste Erbakan, qui était devenu chef d’un gouvernement de coalition à la suite de la première poussée électorale de son parti.

Celui-ci fut dissous. Mais il réapparut sous une forme désormais « modérée ». Dans la belle et forte carrière du nouveau chef l’actuel premier ministre Recep Tayyip Erdoğan, on insiste trop peu sur son origine d’ancien élève du lycée immam-hatip. Pourtant lorsqu’en 2009 il rend visite à ses frères pakistanais et à son ami iranien (3) il ne manque pas de s’en glorifier. Dès l’âge de 16 ans, ce garçon plein de talent avait été appelé dans son lycée coranique à remplacer le prédicateur.

On entend d’ailleurs rappeler assez souvent qu’il a connu la prison pour avoir clamé un poème qui, au fond, une fois traduit en français, pourrait sembler, en apparence du moins, plus anodin qu’on ne cherche à le dire. « Les mosquées seront nos baïonnettes »… Cela peut éventuellement s’entendre à double tranchant. Mais, dans mon petit livre sur la Question Turque(4)j’explique la véritable dimension de cette affaire, eu égard en particulier à la question arménienne. Bref, il ne s’agit pas seulement d’un ex martyr de la liberté d’expression.

Depuis 2003, cet habile démagogue a réussi à tromper l’Europe sur son alliance avec les libéraux. On communique très peu sur le fait qu’il emprisonne, accuse, poursuit en justice des journalistes. Même Ahmet Altan le directeur de Taraf, bête noire, on hésitera ici à le qualifier de tête de Turc, des militaires kémalistes, et qui avait semblé un de ses soutiens se voit attaqué par le très susceptible et colérique premier ministre.

En avril 2007 éclate une affaire, d’ailleurs obscure, qui va commencer à marquer le recul du pouvoir militaire et des réseaux de pouvoir arque boutés sur la laïcité théorique de l’État. On pense que l’Armée aurait cherché, via des données figurant sur le site internet de l’État-major, à entreprendre une nouvelle épreuve de force. Plus de 10 ans sans putsch cela commençait à bien faire. Échec, nous affirme-t-on, la conjuration est éventée. Les comploteurs ont été mis sous les verrous, inculpés, poursuivis, dénoncés au grand jour, etc.

Or depuis lors, une à une, toutes les épreuves entre le camp laïc, militaire, judiciaire et économique et le camp gouvernemental islamique ont tourné en faveur ce ce dernier, au profit du parti AKP, de son chef Erdogan et de son compagnon fidèle Abdüllah Gül, président de la république. Y compris ce dernier scrutin aux résultats presque décevants puisque, malgré son succès, l’AKP devra composer avec les autres partis pour réformer la constitution. Accessoirement on constatera sur la carte que nous publions ci-dessus que les taches rouges correspondent aux départements où les laïcs l’emportent: cette zone correspond à la Turquie occidentalisée, celle que fréquentent les Européens. Une toute petite tache bleue, à la lisière du Caucase marque le dernier département « tenu » par les nationalistes qu’on avait imaginé éliminé en fabriquant des affaires de mœurs contre ses dirigeants, mais qui demeurent au parlement. Les taches vertes marquent la victoire du parti kurde. Faut-il commenter le caractère géographique de cette situation politique ?

Si régulière qu’on puisse l’enregistrer, la troisième victoire électorale en ce beau mois de juin des islamiques au pouvoir à Ankara nous semble d’abord entériner la lente dérive de ce pays vers l’identité musulmane, vers la solidarité islamique et la reconstruction de l’espace ottoman. Naturel, dira-t-on peut-être. Mais aussi de plus en plus incompatible avec l’appartenance à l’Europe, voilà ce qu’on doit se borner à constater.

JG Malliarakis
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Apostilles

  1. cf. déclaration du ministre afghan de l’éducation Farouk Wardak in Hürriyet Daily News du 31 janvier 2010. « Afghanistan wants Turkey to build imam-hatip schools in country ».
  2. cf. dépêche AFP du 6 mai 2004 « Imam-Hatip : l’armée réservée sur une réforme favorisant les écoles religieuses ».
  3. cf. article de M. Jean Marcou du 1er novembre 2009 sur le site « Observatoire de la vie politique turque »
  4. cf. « La Question turque et l’Europe » un livre de 190 pages au prix de 20 euros port compris que les lecteurs de L’Insolent peuvent commander par correspondance aux Éditions du Trident 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris tel :             06 72 87 31 59      .

Source: http://www.insolent.fr/

07/03/2011

Quelques citations….

Moi, j’aime bien les citations; surtout de ce genre. D’après certaines, je ne m’étonne plus de la situation dans laquelle nous nous trouvons… Selon les autres, je me dit que tout n’est pas perdu…

FDF

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« La majorité n’a pas raison. Il faut arrêter avec cette histoire de majorité » – Daniel Cohn-Bendit

« Clairement, une civilisation qui se sent coupable pour tout ce qu’elle est et fait manquera l’énergie et la conviction de se défendre » – Jean-François Revel

« Dans 10 ans, on sera entourés de Chinois, alors il faudra que l’on se serre les coudes, les Français, les Arabes et les Africains, afin de protéger notre identité » – Azouz Begag

« La délinquance est un signe de bonne santé de la société » – Djamel Debbouze

« Tout le monde le dit ici : Marseille, c’est la 49e wilaya d’Algérie. Et c’est la vérité ! » – Malik Ziad, musicien

« La politique d’occupation allemande était, si on la compare par exemple avec la politique d’occupation actuelle de la Palestine par les Israéliens, une politique relativement inoffensive, si l’on fait abstraction d’éléments d’exception comme les incarcérations, les internements et les exécutions, ainsi que le vol d’œuvres d’art » – Stéphane Hessel

« Le grand paradoxe du multiculturalisme, c’est que toutes les cultures sont les bienvenues à l’exception d’une seule, la culture du pays hôte » – Alain Finkielkraut

« La meilleure forteresse des tyrans c’est l’inertie des peuples » – Machiavel

« Nous vous conquerrons par vos valeurs démocratiques et nous vous dominerons par nos valeurs musulmanes » – Erdogan, président turc

« Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire » – Boumedienne à l’Onu en 1974

« Depuis plus de 500 ans, les règles et les théories d’un vieux sheikh arabe et les interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont fixés, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, la coupe de ses vêtements, ce qu’il apprend à l’école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu’à ses pensées les plus intimes. L’islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies » – Mustapha Kemal Ataturk

« We will have peace with the Arabs when they love their children more than they hate us » – Golda Meir

« Lorsqu’on ne sait plus quoi répondre à un adversaire au niveau de ses arguments, on l’affuble de ses propres défauts. Ainsi, c’est au nom de la dignité, de la tolérance et de l’amour que l’on se sent légitimé de répondre par une haine féroce. Ne voulant pas entendre le message, il est plus facile de tuer le messager. Dans le monde moderne, cela se fait en salissant son image, en le discréditant » – Oskar Freysinger

« En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu et on persécute ceux qui sonnent le tocsin » – Chamfort

« Combien effrayantes sont les malédictions que le mahométanisme fait reposer sur ses fidèles ! Outre la frénésie fanatique, qui est aussi dangereuse pour l’homme que la peur de l’eau pour le chien, on y trouve une terrible apathie fataliste. Les effets sont patents dans certains pays. Habitudes imprévoyantes, systèmes agricoles aberrants, lenteur des méthodes commerciales, et insécurité de la propriété se retrouvent partout ou les adeptes du Prophète gouvernent ou vivent. Un sensualisme avilissant dépouille la vie de sa grâce et de sa distinction, ensuite de sa dignité et de sa sainteté… » – Winston Churchill

« la vraie intégration, c’est quand les catholiques appelleront leur enfant Mohamed » – Martin Hirsch

« La France, en raison de ses choix politiques antérieurs, est une nation musulmane. Elle doit assumer sa dimension musulmane » – Jacques Attali

« Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, bourrées, binious, bref franchouillard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux » – Bernard-Henri Lévy au Globe, 1985)

« La France n’a pas vocation à être repliée sur elle-même car la claustrophobie et la consanguinité sont les vecteurs du déclin national » – Nicolas SarkÖzy

28/12/2010

Un minaret pour rendre la mosquée de Saint Quentin plus « visible »…

Ils nous prennent vraiment pour des idiots. Même le gaulois le plus demeuré sait qu’un minaret est avant tout un symbole de suprématie pour cette idéologie qu’est l’islam. Et ceci même s’il ne sert pas à l’appel des fidèles. C’est un symbole de conquête; la cerise sur le gâteau. Rappelons-nous en outre ceci: (poème cité par le premier ministre turc, Erdogan, en 1997) « Les minarets sont nos baïonnettes. Les coupoles, nos casques et les mosquées nos casernements. ». Ca se passe de commentaires, non?

FDF

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Un minaret pour rendre la mosquée visible.

« Il n’y aura pas d’appel à la prière lancé depuis le minaret fraîchement érigé à neuf mètres au-dessus de la mosquée. Les musulmans l’ont construit pour marquer l’identité de l’édifice et le rendre plus beau.

L’architecture musulmane fait dorénavant partie du paysage Saint-Quentinois. Dans le quartier Vermand, la mosquée Assalam, la seule de la ville, bénéficie d’un ravalement de façade. Le hangar jaunâtre dans lequel près de 600 fidèles se rendent pour prier se transforme petit à petit en véritable mosquée.

Le minaret est fraîchement dressé. Dans la tradition musulmane, il est le plus haut endroit de la mosquée et sert à l’appel à la prière. Le croissant islamique surplombe les lieux. Des tuiles vertes, couleur symbolique de la religion, se font attendre pour être posées. Elles sont rares dans la région. Des piliers de fer accueilleront des arcades qui entoureront l’édifice.

« Une mosquée peut être aussi simple que possible », explique Abdelmalik Bouazza, trésorier de l’Association islamique et cuturelle de l’Aisne (AICA) qui gère la mosquée. Le vice-président chargé des travaux, Ahmed Askar, ajoute : « Mais on veut lui donner l’aspect de mosquée. On veut être identifié. Lorsqu’on voit la mosquée, c’est comme si on voyait une église. L’Islam, c’est la deuxième religion de France ».

Cependant, l’appel à la prière ne se fera pas depuis le minaret. « Une mosquée avec un minaret, c’est plus joli. C’est simplement pour l’esthétique. » »…

Suite et source: http://tinyurl.com/28zhdxt

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Au fait, un truc m’interpelle: il y a t’il eu une autorisation de la mairie pour ériger ce minaret?

FDF


04/12/2010

Erdogan menace la stabilité régionale avec son comportement de voyou et mégalomane.

Reçu par mail…
FDF

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La Turquie c’est comme l’Iran

Adapté par Albert Soued, http://soued.chez.com pour www.nuitdorient.com

Les documents dévoilés par WikiLeaks confirment la grande anxiété des Américains et des Européens quant au régime dangereux au pouvoir en Turquie. Maintenant, il y a déjà 2 entités au Moyen Orient contrôlées par les Frères Musulmans, le Hamas à Gaza et Erdogan à Ankara. On ne devrait pas être surpris de voir les liens fraternels entre le régime turc et le Hamas, l’Iran et le Hezbollah. Nous avons en face de nous des mouvements politiques islamiques qui utilisent tous les moyens pour prendre le pouvoir et menacer les autres. Dans le passé, la Turquie était un important ancrage pro-occidental au Moyen Orient et elle jouait un rôle stabilisateur, responsable et constructif. Aujourd’hui, elle est une menace et elle met en péril les régimes arabes, de même qu’Israël, devenant le point focal des chocs et des tensions. Erdogan menace la stabilité régionale avec son comportement de voyou mégalomane et son soutien à l’Axe du Mal.

Les régimes en Egypte et en Arabie Saoudite, l’Autorité Palestinienne et beaucoup d’autres sont troublés par ce nouvel élément agressif qui soudain émerge pour leur faire front. Alors que tout le monde sait que l’Iran est l’ennemi, le régime turc actuel se cache encore derrière la gloire des régimes qui l’ont précédé, amis de l’Occident. Il faut savoir que nous sommes face à un régime hostile qui n’a aucune intention de lâcher son pouvoir sur la Turquie.

Voici une dernière déclaration d’Erdogan à Beyrouth:


« La Turquie ne restera pas muette, dans le cas où une nouvelle guerre éclatait entre Israël et le Hamas ou le Hezbollah« ,


menace qu’il faut prendre au sérieux. Selon cette déclaration, dorénavant, la Turquie est un ennemi militaire potentiel, capable de s’embarquer dans une guerre contre nous.


Il faut chasser la Turquie de l’Otan

Nous n’avons pas le choix, le temps est venu de changer notre politique à l’égard du régime turc. Le fait qu’Erdogan rejoigne l’Axe du Mal, provoque des pays au Moyen Orient, sans payer un prix, ne doit pas nous laisser indifférents et nous oblige à réviser nos conceptions.

Le Congrès américain ne doit plus accepter des contrats d’armes avec la Turquie – notamment les avions furtifs F-35 qu’Ankara souhaite acquérir. Après tout, les secrets de ces jets peuvent tomber entre les mains de l’Iran ou peuvent être utilisés contre Israël. Si on veut qu’Israël continue à avoir un avantage technique dans le domaine militaire, on ne peut plus accepter de céder des armes sophistiquées à la Turquie.

Dorénavant, l’armée turque doit être considérée comme une armée ennemie.

Il est impensable que la Turquie puisse rester membre de l’Otan, alors qu’elle coopère militairement avec l’Iran et la Chine, 2 états considérés comme ennemis par l’Otan.

Selon WikiLeaks, la Turquie a transféré vers l’Iran de l’équipement nucléaire et militaire. Ankara a même annoncé que son armée de l’air menait des exercices conjoints avec la Chine. Comment peut-on faire confiance à un tel pays, alors qu’il peut transmettre les secrets de l’Otan à ses ennemis. Avoir la Turquie comme membre de l’Otan, c’est comme si l’Iran était également membre.

Le Ministre des Affaires Etrangères turc, considéré comme un homme dangereux par les Américains, joue, bien sûr, à l’imbécile à Washington. Pourtant on doit lui dire clairement et à ses maîtres qu’à partir de maintenant le Congrès surveillera étroitement les relations avec la Turquie. Si ce pays reprend un rôle responsable au Moyen Orient, les Etats-Unis pourront l’aider. S’il continue à proférer des menaces, avec un comportement de voyou, l’Amérique devra la sanctionner, comme elle l’a fait avec la Syrie.

Après tout, quelle différence y a-t-il entre la Turquie et la Syrie, quand ces 2 pays aident les terroristes ? Pourtant le régime des Assad est laïc et somme toute responsable – Assad a demandé à Erdogan qu’il se calme, après sa rage dans l’affaire de la flottille – alors que le gouvernement turc actuel ressemble étrangement aux Frères Musulmans.

Erdogan ne rate pas une occasion pour s’attaquer à Israël de la manière la plus sauvage. L’Europe a déjà changé son attitude à l’égard de la Turquie et, aujourd’hui, elle n’a aucune chance d’entrer dans l’Union Européenne. Le temps est venu pour le Congrès américain de s’occuper sérieusement de cette menace turque grandissante.

29/11/2010

Un autre argument pour ceux qui ne veulent pas de la Turquie dans l’UE.

Les visées néo-ottomanes de la Turquie (WikiLeaks)


Les câbles diplomatiques qui ont été dévoilés révèlent que les diplomates américains sont sceptiques quant à la fiabilité de la Turquie comme partenaire. Les dirigeants d’Ankara sont dépeints comme divisés et infiltrés par les islamistes. 

Les diplomates américains ont de sérieux doutes sur la fiabilité de la Turquie. Des câbles secrets ou confidentiels de l’ambassade américaine à Ankara décrivent les tendances islamistes au sein du gouvernement du Premier ministre Recep Tayyip Erdogan. Le verdict des diplomates américains sur le partenaire de l’OTAN ayant la plus grande armée de l’Alliance est dévastateur. Les dirigeants turcs sont dépeints comme divisés et les conseillers de Mr Erdogan, ainsi que le ministre des Affaires étrangères sont décrits comme ayant une faible compréhension de la politique au-delà d’Ankara.

Les Américains sont également inquiets des visées néo-ottomanes qu’entretiendrait Davutoglu. Un conseiller de haut rang du gouvernement a averti, dans des discussions citées par les diplomates américains, que Davutoglu, décrit comme un homme «extrêmement dangereux», userait de son influence islamiste sur Erdogan.  Selon le document américain, un autre conseiller du parti AKP au pouvoir a fait remarquer, sans doute ironiquement, que la Turquie veut «reprendre l’Andalousie et se venger de la défaite subie lors du siège de Vienne en 1683

Les diplomates américains ont écrit que plusieurs personnalités de premier plan au sein de l’AKP sont membres d’une fraternité musulmane, que Mr Erdogan a nommé des banquiers islamistes à des postes d’influence et qu’il tire ses informations presque exclusivement des journaux ayant des liens étroits avec les islamistes. Ils ajoutent que Mr Erdogan s’est entouré d’un «cercle de conseillers qui le flattent mais le méprisent» et qu’il se présente comme «le tribun d’Anatolie».

Source : Diplomatic Cables Reveal US Doubts about Turkey’s Government, Spiegel, 28 novembre 2010

17/11/2010

La Turquie se mêle de la politique intérieure autrichienne.

 

Alors qu’il était maire d’Istanbul, Erdogan avait récité au cours d’un meeting un poème aux connotations islamistes:

(« les mosquées sont nos casernes, les minarets nos baïonnettes, les dômes nos casques et les croyants nos soldats »)…

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Vous vous souvenez de l’incroyable discours d’Erdogan à Paris destiné aux turcs en France ? (”Intégrez-vous mais ne vous assimilez pas”). La Turquie a clairement tendance à croire que la forte présence de citoyens turcs dans les autres pays, lui confère des droits d’ingérence dans ces pays qui les acceptent. La Turquie considère ses émigrés comme ses pions dans le camp adverse sur l’échiquier.

Kadri Ecvet Tezcan, l’ambassadeur de Turquie à Vienne, a créé un incident diplomatique entre l’Autriche et la Turquie en critiquant violemment la politique du ministre autrichien de l’intégration, ainsi que les autrichiens eux-même, dans une interview parue dans le quotidien autrichien Die Presse.

« Lorsque des Turcs demandent un logement à Vienne, on les envoie toujours dans les mêmes quartiers. Et en même temps, ils sont accusés de créer des ghettos », a fustigé le diplomate turc qui en a profité pour s’opposer à l’interdiction du foulard islamique en Europe : « Vous n’avez rien à dire là-dessus : tout le monde a le droit de mettre ce qu’il veut sur la tête ! », s’est emporté Kadri Ecvet Tezcan. Il a ajouté aussi : « Si vous n’êtes pas le bienvenu dans une société et que vous êtes marginalisé constamment, pourquoi voudriez-vous appartenir à cette société ? ».Répondant à la question : pourquoi les immigrants en provenance de Croatie semblent mieux réussir à l’école que la plupart des gens en provenance de Turquie, Tezcan a déclaré: «Les Croates sont chrétiens, et donc bienvenus dans la société, alors que les Turcs ne le sont pas. Ils sont constamment poussés en marge de la société.».

Cette fois-ci, les politiciens autrichiens ont réagi exceptionnellement fort, tout en veillant à éviter une crise diplomatique. Une rupture des liens diplomatiques ne sont pas dans l’intérêt de l’Autriche,  ni de la Turquie.

Le chancelier Werner Faymann a dit que les propos de M. Tezcan faisaient preuve de “manque de professionnalisme et étaient inacceptables”. Le ministre des Finances Josef Pröll a déclaré qu’il est totalement inacceptable pour un diplomate de commenter les politiques nationales du pays hote; le ministre de l’Intérieur Maria Fekter, qui a été attaquée verbalement, a parlé d’un dérapage ”incroyable qui est indigne d’un diplomate”. Le BZÖ (Alliance pour l’avenir de l’Autriche) a demandé la fin des pourparlers d’adhésion de la Turquie dans l’UE, tandis que FPÖ a demandé la suspension des relations diplomatiques avec la Turquie.

L’ambassadeur Tezcan a été immédiatement convoqué au ministère autrichien des Affaires étrangères où il a eu un entretien avec un fonctionnaire de relativement bas niveau en charge de la Turquie – plutôt qu’avec le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères – ce qui est un signe clair de mécontentement de la part des officiels Autrichiens. Compte tenu de l’experience de la Turquie dans les coutumes diplomatiques, on peut supposer sans risque que le message a été bien reçu. Le chef du département, un ministre plénipotentiaire, lui a fait savoir que ses attaques contre les politiciens et certains partis politiques ne peuvent pas être tolérés. En outre, le ton de l’entrevue n’est pas conforme aux usages diplomatiques et aux normes de la politique étrangère Turque. Tezcan a écouté, s’est levé et est parti.


Sources : Gate of Vienna, Novopress (via bivouac-id.com)

Une enquête réalisée par la Société autrichienne de politique européenne (ÖGfE) a montré la semaine dernière que seulement 17 % des Autrichiens veulent que la Turquie rejoigne l’Union européenne (Source).

 

25/09/2010

Ekmeleddin Ihsanoglu: « Les gens n’ont rien à craindre de l’islam ». C’est ça, mon pote…

La dernière en date… Ce type a certainement une formation d’endoctrinement et de propagande. Il a aussi besoin que quelqu’un lui remette en mémoire tout ce que l’islam a fait de puis son « invention » en matière de génocides, de conquêtes par la violence, de barbaries et j’en passe. Le pire est que cela continue… En attendant, on va lui rappeler les propos d’Erdogan qu’il doit tout de même connaître, en étant de même nationalité: « 

« Les mosquées sont nos casernes,
les citoyens nos soldats,
les coupoles nos casques,
les minarets nos baïonnettes »

( propos tenus par “Recep Tayyip Erdogan” :  1er ministre Turc )



FDF

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« L’islam est compatible avec la démocratie »

Le professeur turc Ekmeleddin Ihsanoglu, 66 ans, est le secrétaire général de l’Organisation de la conférence islamique, une institution qui regroupe 57 pays et qui a rang d’observateur permanent à l’ONU. Il est spécialiste de l’histoire des sciences.


Etes-vous inquiet de la montée de l’islamophobie aux Etats-Unis ?

L’islamophobie est un concept erroné. Les gens n’ont rien à craindre de l’islam. Ce n’est une menace pour personne ni pour aucune civilisation. L’islam a contribué au progrès de l’humanité. Il est, tel que je le comprends, compatible avec la vie moderne, avec la démocratie.
Il faut remettre en perspective ce qui est présenté comme un sentiment antimusulman. Et nous devons distinguer entre la situation en Europe et aux Etats-Unis.

Quelle distinction voyez-vous ?

En Europe, nous entrons dans une nouvelle phase dans les sentiments et les politiques hostiles à l’islam. Cela a commencé après le référendum sur les minarets en Suisse. Les interdire par référendum et amendement a transformé la haine ou la peur de l’islam en leur donnant une forme constitutionnelle et institutionnelle. Ensuite, c’est devenu un élément de politique politicienne. Une monnaie d’échange entre les partis politiques de l’extrême droite jusqu’au centre.

C’est très préoccupant. Les électeurs se déterminent dans le processus politique sur des sujets qu’ils connaissent peu et sont influencés par des opinions partiales et des images déformées. Nous nous dirigeons vers un paradigme qui ressemble à l’antisémitisme des années 1930. Un nouveau paradigme anti-islam où le radicalisme va jusqu’à profaner des tombes. C’est difficile à comprendre…

Suite et source: http://tinyurl.com/2wx7nak

16/09/2010

L’Iran fait don de 25 millions de dollars à la Turquie ! Ca sent l’atome…

Ca sent mauvais, ça; très mauvais…

FDF

L’alliance islamique ne pourra être que terroriste…

Les diplomates occidentaux se disent alarmés par l’information selon laquelle Erdogan aurait négocié en personne les termes d’un accord avec Amhadinejad, pour que l’Iran soutienne par un don de 25 millions de dollars le parti politique du premier ministre islamiste de Turquie l’AKP .

Cette information ajoute aux craintes de voir Tayyip Erdogan abandonner la constitution laïque du pays.

Selon les termes de cet accord, l’Iran a accepté de transférer 12 millions de dollars à l’AKP, comme premier versement d’une aide pouvant aller jusqu’à 25 millions de dollars pour cette année. L’argent est, dit-on, pour aider la campagne de M. Erdogan pour sa réélection pour un troisième mandat l’an prochain. Le gouvernement turc a nié avoir reçu de l’argent de l’Iran.

Le Premier ministre turc a annoncé qu’il allait briguer pour un historique troisième mandat suite au OUI obtenu au référendum le week-end dernier en faveur d’une réforme constitutionnelle (LIRE).

Le gouvernement affirme que ces réformes sont nécessaires pour améliorer les chances de la Turquie à l’adhésion à l’Union européenne. Mais les défenseurs de la laïcité disent que la réforme donnera au gouvernement les pouvoirs de passer outre le pouvoir judiciaire – considéré comme le gardien de la constitution laïque – et ouvrira la voie aux islamistes pour transformer la Turquie en Etat islamique.

Plus tôt cette année, la Turquie avait inquiété Washington après avoir publiquement soutenu le programme nucléaire Iranien. Les relations entre la Turquie et l’Iran se sont solidifiées après l’envoi par Ankara de la “Flottille de Gaza” pour tenter de briser le blocus israélien de la bande de Gaza.

Outre le transfert de fonds à l’AKP, des diplomates disent que l’Iran a également accepté de fournir un soutien financier à l’IHH. l’IHH est une oeuvre de bienfaisance islamique turc qui a soutenu la Flottille en mai dernier, et qui a causé la mort de neuf militants islamistes.

Source : http://www.telegraph.co.uk/news/worldne … party.html

23/08/2010

Turquie: Erdogan en prend une en pleine poire !

Liberté d’expression… Le mot est lâché. Le terme souvent utilisé mais le fait de plus en plus réprimé. Et ceci, même dans les pays dits civilisés… Je ne cite personne… Des lois, de ci, de là, condamnant la liberté d’expression voient le jour, plus ou moins déguisées, sournoisement. A tel point que l’on devient parano quand on ose dire tout haut…, vous connaissez la suite…

L’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme qui fait partie du bloc de constitutionnalité, énonce:

« Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi. »

(Chez nous, en France, on a la loi Gayssot, qui, par la force des choses, est de plus en plus souvent évoquée. Ca veut dire qu’« un homme prévenu en vaut deux »…)

Mais revenons à la déclaration universelle des droits de l’homme. Il est certain qu’à partir de ça, la Turquie, pour ne citer qu’elle, se prend un carton rouge. Mais au fait, la Turquie, c’est un pays civilisé?

FDF

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Turquie: une victoire posthume pour Hrant Dink.

23 août 2010

La Cour européenne des droits de l’Homme vient de condamner la Turquie pour violation de la liberté d’expression!

C’est ce qu’annonce la presse turque aujourd’hui.

La Cour rendra public son verdict dans les prochains jours.

Si avérée, cette condamnation, prononcée dans le cadre du recours déposé par le journaliste turc d’origine arménienne Hrant Dink, éditeur de l’hebdomadaire Agos, constitue un sérieux revers pour la mouvance nationaliste. Dink avait été inculpé d’ « insulte à la turquicité » (sic) sur la base de l’article 301 du Code pénal.

Les Etats européens et de nombreux intellectuels libéraux turcs ont demandé l’abrogation de cet article.

Hrant Dink a été assassiné en janvier 2007 mais sa famille avait maintenu le recours qu’il avait lui-même déposé à Strasbourg.  Sa figure était bien connue des lecteurs de L’Express où il avait, très tôt, et régulièrement défendu ses vues sur la réconciliation turco-arménienne.

Les avocats de l’Etat turc avaient déclenché une polémique, il y a une dizaine de jours, en s’appuyant, dans leurs plaidoiries, sur le cas d’un néo-nazi allemand négationniste. Une comparaison avec Dink jugée offensante par sa famille.

Source: http://tinyurl.com/2eknkcb