Francaisdefrance's Blog

10/12/2011

Où va votre argent ? Certainement pas où vous pensez…

N’oubliez pas de payer vos impôts…
FDF

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La nouvelle plateforme française d’ouverture des données publiques met en ligne plus de 350 000 documents provenant de 90 services de l’Etat ou d’entreprises publiques. Vous y trouverez notamment la liste des milliers d’associations ayant été subventionnées en 2010 par les ministères, pour un montant global de

1 483 995 024€.

Exemples :

  • 125 000€ pour Act-up Paris par le Ministère de la Santé.

  •   42 763€ pour le Planning familial

  • 416 500€ pour la Licra

  • 143 949€ pour les Scouts Musulmans de France

  •  34 280€ pour les Guides et Scouts d’Europe

Elle n’est pas belle la vie ?

Cette liste de comprend pas les subventions versées par les collectivités territoriales.

Source: http://lesalonbeige.blogs.com/

14 décembre: les Identitaires feront le procès du racisme anti-blanc !

Alors, Houria Bouteldja ? On va voir devant les « sous-chiens » de juges si tu continues à « niquer la France » ???

FDF

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« Devoir d’insolence »… Pffffffffffffffffff.

Communiqué important !

 A Toulouse, les Identitaires feront le procès du racisme anti-blanc

Le mercredi 14 décembre, les Identitaires seront mobilisés à Toulouse à l’occasion de la comparution de Houria Bouteldja pour injures raciales en raison de son utilisation du terme « sous-chiens ».  

En traitant les Français de souche de « sous-chiens », en proposant d' »éduquer » les Blancs, Houria Bouteldja porte une responsabilité morale dans la propagation de la haine contre les Français, contre les Européens de souche, contre les Blancs.

A Toulouse, les Identitaires comptent faire le procès du racisme anti-blanc et ce ne sera pas un luxe, puisqu’il y a peu, le maire socialiste de Dijon – interpellé par les Identitaires – osait balayer d’un revers de main le lynchage d’un jeune blanc par ces mots insanes  « Le racisme anti-blanc ce n’est pas celui-là qui m’inquiète… ».
Pour notre part, le racisme anti-blanc nous révolte et – portés par des millions de Français – nous montrerons que nous entendons y porter un coup d’arrêt.

Les trois mouvements qui avaient organisé l’apéro saucisson-pinard devant l’Arc de triomphe – Riposte laïque, Bloc Identitaire et Résistance Républicaine auxquels se joint France-Solidarité – appellent tous les résistants et Identitaires à clamer leur indignation à l’occasion de ce procès.

Rendez-vous le mercredi 14 décembre à 14h00 heures devant le tribunal de Toulouse.

Co-voiturage organisé à partir des principales villes du Sud.

: info@bloc-identitaire.com

Source: http://www.bloc-identitaire.com/

Euro : l’énorme bourde du ministre Léonetti face à Marine Le Pen !

Bien, le ministre, bien !!! Ministre de quoi, il est, déjà plus ???

FDF

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Voir: http://youtu.be/ZFMZJNK4M90

Le « rachat » de la France passerait par les banlieues…

NOTRE Patrie n’est pas à vendre !

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Je sais bien que « tout est à vendre »; il suffit d’y mettre le prix.

Mais dans le cas présent, tout l’argent du monde ne doit pas servir à laisser nos « décideurs » permettre cette grande braderie nationale. On n’est pas à Lille, ici… En outre, ce grand manitou Qatari s’est adressé à des élus originaires du Maghreb; convertis d’avance, quoi.

Si la cause est entendue, les envahisseurs vont devoir faire face à la politique de la terre brûlée. Si si…

FDF

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QUAND « ON » LAISSE LE QATAR  CONTINUER  DE PLUS EN PLUS DE SE PAYER LA FRANCE   ET QUAND ON SAIT QUE CELA CACHE  D’AUTRES CHOSES  QUE DES PROJETS ECONOMIQUES…

JC JC

Le Qatar va aider les banlieues françaises

Un fonds qatarien de 50 millions d’euros a été créé pour « aider les entrepreneurs banlieusards ».

« L’émir a décidé de créer un fonds de 50 millions d’euros pour travailler avec vous. Le fonds peut être augmenté », a annoncé l’ambassadeur du Qatar en France à une dizaine d’élus locaux.


Le Qatar a créé un fonds d’investissement de 50 millions d’euros pour financer des projets économiques portés par des habitants des banlieues de France, a annoncé jeudi soir son ambassadeur à Paris, Mohamed Jahan Al-Kuwari. « Le Qatar, ce n’est pas que des paroles. Il faut agir. L’émir a décidé de créer un fonds de 50 millions d’euros pour travailler avec vous. Le fonds peut être augmenté », a annoncé l’ambassadeur à une dizaine d‘élus locaux des quartiers, tous originaires du Maghreb.

Ces élus (cinq hommes et cinq femmes) se sont rendus il y a un mois au Qatar dans l’espoir de nouer des liens économiques entre le riche émirat et les quartiers populaires, où des entrepreneurs se disent victimes de discrimination et bloqués. Ils ont été reçus par l’émir cheikh Hamad Ben Khalifa Al Thani. « Tout le monde était content de vous voir : l’émir, le Premier ministre, le ministre du Commerce », leur a dit l’ambassadeur. « Vous avez représenté la France de façon très moderne. Vous avez donné une très bonne image des Français d’origine arabe », a-t-il insisté.

« Français d’origine arabe » (ambassadeur)

De leur côté, les élus ont affirmé avoir été « impressionnés » par l’accueil « digne de chefs d’État ». S’expliquant sur le fonds de 50 millions d’euros, le diplomate a averti : « Ce n’est pas une aide, ce n’est pas de la charité. Il faut des projets sérieux dans tous les domaines, des projets raisonnables, solides et à long terme. J’espère que, bientôt, on va monter ce partenariat qui va servir la relation entre le Qatar et la France », un pays « stratégique » et « très important pour nous », a souhaité l’ambassadeur. « Les Français d’origine arabe peuvent nous aider dans notre partenariat avec la France. »

Mohamed Al-Kuwari a déclaré qu’une équipe de « professionnels » avait été installée à l’ambassade pour recevoir les entrepreneurs et évaluer la pertinence de leurs projets. En réponse, les élus ont décidé de réunir « rapidement » les membres de leur réseau, d’intervenir auprès de la Confédération générale des petites et moyennes entreprises (CGPME) et de « tous les acteurs de banlieue qui travaillent sur ce sujet », selon Kamal Hamza, président de l’association d’élus. S’agissant de l’emploi, ces élus ont proposé de recueillir les CV des jeunes de banlieue qui souhaitent travailler au Qatar.

Ils ont demandé « un coup de pouce » de l’ambassadeur à ceux qui souhaiteraient travailler en France dans les entreprises où le Qatar est actionnaire.

Source: http://www.lepoint.fr/


« ILS » ont peur…

Et « ILS » ont raison d’avoir peur… A force de trop tirer sur la ficelle.

Témoin cet article paru chez Oumma.com qui reflète bien cette peur déguisée en élucubrations sur-phrasées dignes d’animaux traqués. Jusqu’à mélanger République et islam; exemple d’une incompatibilité plus que logique.

Et pourtant, la résistance ne traque personne; elle tente de faire savoir la réalité. Et ça, « ILS » n’aiment pas…

FDF

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De l’islamophobie à l’islamoparanoïa

LA DÉRÉLICTION DU LANGAGE ISLAMO-RÉPUBLICAIN

Face à la difficulté du repérage clinique de la paranoïa, du fait de sa cohérence logique, le célèbre psychiatre-psychanalyste Jacques Lacan a défini un nouveau critère diagnostique de la psychose : « la présence de troubles du langage » (7). Le néologisme en est le prototype : le délirant a besoin de créer de nouveaux mots pour penser et communiquer la néo-réalité imaginaire qu’il est le seul à vivre. Mais dans un délire collectif, les sujets possèdent déjà une langue commune, qu’ils réutilisent en la subvertissant de sa signification originelle. Et l’islamoparanoïa est précisément cela : un révisionnisme sémantique systématique des signifiants fondateurs de la République et de l’islam.

La « laïcité » a subi une terrible inversion sémantique qui en fait désormais le plus perverti des concepts républicains. L’article premier de la loi de 1905, dite de séparation des Eglises et de l’Etat, l’avait défini comme une obligation de l’Etat, requis d’ « assurer la liberté de conscience » et « le libre exercice des cultes », lesquelles supposent la liberté d’expression religieuse des citoyens, y compris par le port de tenues et signes religieux dans l’espace public. Cette obligation s’est inversée en quelques années, la laïcité devenant un devoir incombant aux seuls citoyens, sommés d’être « neutres », désubjectivés, d’exercer leur liberté religieuse dans le seul domaine où elle n’a plus de sens, parce qu’elle va de soi : la « sphère privée ». Dérive totalitaire transformant les citoyens en marionnettes désubjectivées, malléables à merci.

Le « voile » islamique (hijab) a subi une inversion sémantique similaire. Le drame de la loi anti-voile de 2004 n’est pas tant d’avoir interdit le port d’une tenue traditionnelle que d’avoir nié que cette tenue en soit une en en faisant un « signe religieux ostensible ». La signification du voile s’en est, depuis, trouvée inversée : il ne sert plus à « voiler, cacher » (hajaba) une partie du corps – avec ce que tout vêtement signifie d’un rapport au corps et à la sexualité dont chacun est libre en démocratie, y compris les adolescentes – mais, avec l’adjectif quasi néologique « ostensible », à « montrer, exhiber » son appartenance religieuse !

Ce révisionnisme a ouvert la porte à nombre de dérives. Au début de l’année 2010, au lycée Auguste Blanqui de Saint-Ouen, des lycéennes se sont retrouvées exclues de cours, sans grand émoi dans l’opinion publique, au seul motif qu’elles étaient habillées, ont expliqué les responsables pédagogiques, de « longues robes noires » : décider que devient « signe religieux ostensible » tout vêtement en usage dans tel groupe religieux, c’est ce que, dans le jargon psychiatrique, on nomme précisément un « trouble du langage ».

On peut multiplier à l’envie le répertoire de cette déréliction du langage dans le discours sur l’islam. La « chari’a », nom de la Loi en islam, correspond, dans l’imaginaire collectif, à une Anti-Loi, une Loi antinomique, autorisant la décharge sans limites de toutes les pulsions sexuelles et agressives de l’homme (polygamie, répudiation et lapidation des femmes, main coupée du voleur, meurtre de l’infidèle). On s’obstine à traduire « jihâd » par « guerre sainte », quand bien même les islamologues s’épuisent à rappeler qu’il signifie littéralement « effort » vers Dieu, que l’archétype en est, conformément à un célèbre hadîth, le « Grand Jihâd », la lutte spirituelle contre l’égo passionnel.

Quant à la religion musulmane, le psychanalyste Fethi Benslama constate même qu’il n’existe plus, depuis la fin des années 90, de signifiant pour la désigner : le terme « islamisme », qui depuis le XVIIe siècle avait cette fonction, a été confisqué au profit de la nomination des mouvements politiques activistes et extrémistesii. Ne subsiste, partant, qu’un terme fourre-tout, « islam », lieu de tous les malentendus, désignant, selon le contexte, le dogme, les peuples, la civilisation, voire les dérives extrémistes (8)de cette foi, et qui, in fine, est devenu le nom d’un frisson. L’ensemble de ces dérives sémantiques explique qu’il n’est plus possible de parler sereinement de l’islam dans l’espace social, le langage perverti nous plongeant d’emblée dans le malentendu.

L’« ISLAMOPARANOÏA » : LA CRISE SYMBOLIQUE DE L’OCCIDENT

Ce négationnisme linguistique nous indique que nous sommes bien dans le processus d’exclusion propre aux psychoses, celui que Lacan, par opposition au « refoulement » névrotique, a théorisé, dans une thèse devenue célèbre, comme « forclusion du Nom-du-Père » (9). Le psychanalyste indique par cette expression que le sujet délirant se met à décompenser au moment où il rencontre dans sa vie des signifiants liés au registre sémantique de la paternité en tant qu’il est le registre de la Loi symbolique.

Ces signifiants, inassimilables pour son psychisme, en sont alors « forclos », exclus. Or l’islamoparanoïa se réactive précisément chaque fois qu’un fait d’actualité amène la conscience « occidentale » à rencontrer en l’islam cette dimension patriarcale de la Loi : en témoignent la récurrente butée sur la question de la chari’a, mais aussi sur les interdits sexuels (le voile), les obligations rituelles (prière du vendredi, construction de mosquées), les interdits alimentaires (le halal, l’alcool).

Les élites européennes sont ainsi devenues psychiquement incapables de concevoir que des femmes puissent décider librement de fixer des limites à leur propre sexualité en se voilant, par quoi elles signifient aux hommes que s’ils veulent avoir quelque commerce sexuel avec elles, ils devront en passer par la Loi symbolique, à savoir le mariage. Dès lors, intellectuels, politiciens et médias n’ont d’autre possibilité que de délirer en voyant dans le voile un symbole de soumission, subi ou inconscient, ou un signe prosélyte.

Les mêmes ne peuvent non plus admettre que des hommes soient à ce point animés de spiritualité qu’ils préfèrent se prosterner, faute de place dans les mosquées, dans des rues sordides, plutôt que de renoncer à l’obligation rituelle de la prière du vendredi. C’est, énoncent-ils doctement, un geste d’affirmation identitaire, alors qu’au contraire, pour la majorité des fidèles, prier dans ces conditions constitue une humiliation narcissique.

Nous vivons dans des sociétés post-modernes, marquées par ce que le psychiatre-psychanalyste Charles Melman nomme le « libéralisme psychique »(10), où plus aucune limite ne doit venir contrarier le désir, autrement dit l’assouvissement des pulsions sexuelles, scopiques (désir de voir et d’être vu) et alimentaires. Partant, une religion, qui tel l’islam, continue d’articuler ces pulsions aux interdits d’une loi morale est devenue pour beaucoup incompréhensible, inassimilable, forclose. Et c’est pourquoi son nom même – tout comme le nom de son rejet – est désormais forclos, aboli, ce qui conduit Fethi Benslama à l’écrire désormais en le barrant : islamisme (11). Il y a donc bien un « choc des civilisations » : non pas, cependant, entre l’Islam et l’Occident, mais au sein de la civilisation occidentale, qui a mis en œuvre, assez récemment, une « nouvelle économie psychique » (12), liée à la fin des idéologies, au désenchantement du monde et à la déchristianisation.

Dans cette « société du spectacle », pour reprendre le titre du célèbre ouvrage de Guy Debord, où l’idolâtrie de l’image et de l’émotion s’est substituée au Verbe des religions monothéistes – en tant que Logos grec, simultanément « parole » et « raison » -, une religion qui demeure symboliquement structurée par l’interdit de la représentation et le primat de la raison est devenue anachronique.

L’islamoparanoïa n’est peut-être alors qu’un nom de la « psychose sociale », cette « actualité paranoïaque » (13), qui en tant que nouveau « malaise dans la civilisation » a pris la place de la névrose sociale de jadis. Au pessimisme de Freud voyant l’Homme réduit à l’insatisfaction du fait de la loi morale et religieuse succède désormais, à l’inverse, la promesse d’un bonheur absolu faite par l’économie et les techno-sciences, où la jouissance sans limites a remplacé le désir en tant qu’articulé à la Loi.

L’ISLAMOPARANOÏA : LA CRISE NARCISSIQUE DE L’EUROPE

Pourtant, ce libéralisme psychique, qui est le fondement du libéralisme économique, concerne l’ensemble du « monde occidental » et ne suffit pas à expliquer la rupture que constitue l’islamoparanoïa européenne avec l’islamophobie américaine. Certes, la permanence d’une forme sentimentale de la religiosité au pays de l’Oncle Sam y maintient un certain ordonnancement pseudo-symbolique, pseudo-patriarcal, du lien social, et rend la présence de l’islam moins anachronique. Mais si cette crise du symbolisme est plus marquée dans la vieille Europe, c’est qu’elle se traduit, s’historicise, par une crise narcissique identitaire.

Pour le comprendre, il importe de repérer la nature de l’angoisse inconsciente sous-jacente à cette islamoparanoïa. Un sondage IFOP pour Le Monde, paru en décembre 2010, nous la dévoile sans ambiguïté : l’islam est, pour plus de 40% des Français et des Allemands, « plutôt une menace pour l’identité de notre pays ». Une telle angoisse identitaire est propre au psychotique. Le névrosé ne se sent menacé dans son identité, même face au serpent ou à la foule qui l’angoisse. Le psychotique en revanche est taraudé par une angoisse mortifère, dite « de destruction » ou « de morcellement ». Là où chacun voit dans le miroir une image unifiée de soi-même, lui n’y voit qu’une image brisée, un corps morcelé, il a sans cesse peur de perdre son identité. Il a échoué à l’épreuve de ce que Lacan nommait le « stade du miroir », par laquelle chacun, normalement, se dote de la dose nécessaire et suffisante de narcissisme dont il a besoin pour vivre.

Or c’est bien une telle crise narcissique, identitaire, qui s’exprime à travers l’islamoparanoïa européenne depuis le début des années 2000 et qui se cristallise autour du « débat sur l’identité nationale ». L’idée s’est répandue partout que l’islam menace l’identité nationale, risque d’éradiquer la démocratie, les valeurs républicaines, la laïcité, l’égalité des sexes. L’anéantissement de soi par invasion de l’Autre est devenu un thème récurrent : Marine le Pen assimile les prières de rue à « l’occupation du territoire », Claude Guéant juge que « l’accroissement du nombre de fidèles (musulmans) et un certain nombre de comportements posent problème », l’ « islamisation de l’Europe » est devenue une certitude. Cette angoisse identitaire est nouvelle. Elle n’existait pas dans le racisme des années 70 ou 80 où l’immigré musulman, avec la fin du plein emploi, était perçu comme un simple rival économique, venant « manger le pain des français ». Nous sommes ainsi passés de l’islamophobie économique à l’islamoparanoïa identitaire.

Le célèbre psychanalyste anglais Winnicott rassurait ses patients psychotiques en leur disant qu’ils n’avaient à craindre de personne une destruction d’eux-mêmes, puisque leur identité, ils l’avaient déjà perdue, ils étaient déjà morts psychiquement : l’angoisse de morcellement est la « la crainte d’un effondrement qui a déjà été éprouvé » (14). Cette thèse s’accorde parfaitement au constat fait par Raphaël Liogier, Professeur à Sciences Po Aix, Directeur de l’Observatoire du religieux, pour lequel « l’islamophobie » est devenue le « symptôme » d’une « décadence européenne » déjà consommée (15).

Pour le sociologue, les années 2000 marquent un « tournant » où la « crise économique et sociale » de l’Europe des années 80 s’est mutée en une « crise symbolique », narcissique, liée à la globalisation. D’une part, à l’international, l’Europe a vu s’effondrer son autorité morale et politique – en témoigne le conflit irakien – au même titre que son économie, dépassée par l’Inde et la Chine. D’autre part, en interne, l’échec des différents processus d’unification (Euromed, Union Méditerranéenne, Constitution européenne) a créé des angoisses identitaires au sein des nations esseulées : chacune a pris conscience de son insignifiance en tant que nation sur la scène internationale. Et la France plus que tout autre, qui a en outre perdu son prestige intellectuel et culturel d’antan.

La haine du musulman a alors pour fonction de restaurer le narcissisme brisé des nations européennes. Freud avait vu juste, qui définissait le délire comme une « tentative de guérison une reconstruction » (16) . Incapable de s’identifier positivement à une Loi symbolique commune au travers d’un Idéal collectif – religieux, moral, rationnel, juridique ou politique -, les peuples européens n’ont d’autre choix que de se doter d’une identité en négatif qui consiste à nier la Loi patriarcale de l’islam. Prenant la tête de la « croisée », la France cherche alors à retrouver sa position patriarcale de « Patrie des Droits de l’Homme » et des « Lumières », en votant, au nom de ces mêmes fondements symboliques, des lois d’exception contre les musulmans.

LA « MUSLIM PRIDE » : UNE THÉRAPIE SOCIALE CONTRE L’ISLAMOPANOÏA

La renomination que nous proposons du racisme antimusulman par le terme « islamoparanoïa » en lieu et place de l’ « islamophobie » a pour enjeu fondamental de définir une politique militante spécifique. Un diagnostic différentiel n’a de sens qu’à déboucher sur une thérapeutique différenciée. La « Muslim Pride », telle que l’a théorisée Raphaël Liogier dans son appel programmatique lancé en avril 2011 (17), nous semble en mesure d’incarner cette thérapie sociale qu’il est urgent et nécessaire de mettre en œuvre pour lutter contre l’islamoparanoïa.

La voie de la guérison suppose que la France et l’Europe retrouvent confiance en leurs valeurs citoyennes, leurs lois et leurs institutions. Mais dans ce climat passionnel, irrationnel, où prime le déni de la réalité, les solutions qui passent par la voie de la raison sont d’emblée vouées à l’échec. C’est qu’on ne soigne pas le délirant en tentant de lui démontrer le caractère déraisonnable de son propos et de ses conduites. Dès lors, qu’il s’agisse de la négociation diplomatique avec l’Etat français, ou du combat juridique pour permettre aux jeunes filles et femmes voilées discriminées à l’école ou au travail de recouvrer leur droit, ou encore de la participation à des débats télévisés, où quoi qu’il dise, le musulman n’est là qu’à titre de bouc émissaire d’un

spectacle de mise à mort, toutes ces stratégies défensives, si elles sont nécessaires, ne peuvent suffire à changer la donne.Il est par ailleurs indifférent au paranoïaque que son persécuteur se taise ou réagisse. S’il se tait, c’est la « preuve » qu’il « complote » en secret contre la République ! S’il se montre citoyen, il est accusé de tenir un « double discours » ! S’il manifeste son mécontentement, il est taxé de « communautariste » !

Seul un grand mouvement social fondé sur l’émotion sera à même de fixer des limites symboliques au déchainement des passions. La « Muslim Pride » propose ainsi de se jouer avec humour des préjugés sur l’islam et de substituer au « musulman métaphysique » les musulmans réels dans leur diversité sociale, ethnique, culturelle et cultuelle. Cette Muslim Pride sera d’abord culturelle, artistique, avant que d’être politique. Puisque la raison est impuissante à renouer le contact avec la réalité déniée de l’islam, peut-être l’émotion artistique y parviendra-t-elle, par l’entremise de la musique, d’expositions, de films, de pièces de théâtre, etc.

L’enjeu est de taille : il s’agit pour les citoyens, quelles que soient leurs confessions ou absence de confessions et leurs orientation politiques, d’oser, à travers la défense de la pratique de l’islam, réhabiliter une certaine idée de la République et de l’identité européenne, celle où le lien social repose non sur l’exclusion – communautariste – du dissemblable, mais sur la reconnaissance de l’altérité, qu’elle soit sexuelle, religieuse, philosophique ou politique. La si souvent décriée fraternité islamique pourra t’elle s’unir à la si souvent oubliée fraternité républicaine ? Une « Muslim Pride » pour faire de « Liberté, égalité, fraternité » l’isthme qui conjoint l’Islam et la République ? Tout dépendra de l’aptitude des musulmans et de leurs grandes organisations à sortir de leur dépression collective, traumatique et réactionnelle à l’islamoparanoïa, où la honte d’être soi, l’aboulie de la volonté, l’apathie et l’inertie, les laissent depuis une dizaine d’années totalement impassibles face à la persécution institutionnalisée.

Source: Oumma.com

L’ heure des comptes.

Allez tiens, je vous donne l’état des lieux de ce blog…

Progression plus qu’acceptable en nombre de visites par jour, situation arrêtée à vendredi 9 décembre 2011. Nous atteignons une « zone critique »: celle où la surveillance de la « police de la pensée » s’accroît. Et je peux vous dire que ces « fonctionnaires » là viennent de partout; même de coins auxquels je n’aurais pas pensé.  Car je peux voir d’où viennent ces visites peu courtoises…

La liberté d’expression a des limites très restreintes, en France…

Mais je m’en fous. Ce qui doit être dit et connu par tous ne plus rester dans les alcôves secrètes dignes des temps de l’Inquisition. Fdesouche vient d’en faire à nouveau les frais. Mon tour viendra, peut être; en attendant, ce qui est pris est pris.

Les patriotes ont toujours eu de graves problèmes, dans l’Histoire de chaque pays. Les résistants encore plus. Quand viendra mon tour de passer devant le peloton d’exécution, vous en serez les premiers informés. C’est prévu.

Le phénix renaît toujours de ses cendres… (Un peu présomptueux, FDF…).


Merci à vous toutes et tous.

FDF

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Bon; assez de bla-bla: des résultats !

Nous sommes tous invités au « dîner de cons » offert par le Sénat !

A cette heure, on sait que le sénat a voté POUR le droit de vote aux étrangers. Mais cela doit encore passer devant NOS députés à l’Assemblée Nationale… Et là, on pourra savoir qui a voté quoi…

A suivre de près.

FDF

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Les défenseurs de la Laïcité savent que le 9 décembre marque le 106e anniversaire de la loi de 1905 si fragilisée aujourd’hui car agressée de tous côtés par ceux qui s’assemblent en meute pour la violer.

Le Sénat chevauché désormais par la gauche triomphante s’échine à tenter de porter l’estocade à ce qui garantit encore l’indivisibilité du peuple français déjà mis à mal dans sa chair quand il subit l’insécurité, les insultes, le racisme et les agressions comme celle dont viennent d’être victimes deux policiers dans un centre commercial d’Evry. Alors qu’ils accomplissaient leur métier et s’efforçaient d’appliquer la loi en verbalisant une femme en niqab, ils ont été sauvagement agressés par l’homme qui l’accompagnait et par des malfrats racistes et vengeurs appelés en renfort par ce dernier.

Les deux représentants de la loi ont été victimes de multiples insultes racistes et ont subi des blessures suffisamment graves pour justifier d’un arrêt de travail d’une semaine.

Par un concours de circonstances désormais récurrent, le Sénat a examiné une proposition de loi sur le port de signes religieux étendue ou non à la sphère privée et aux structures accueillant les jeunes enfants, afin que ceux-ci ne soient pas soumis à un prosélytisme incontrôlé et potentiellement dangereux dans la mesure où ils sont particulièrement perméables à tout ce qui les entoure et n’ont pas la capacité de refuser ce qui peut leur être néfaste. Il est du devoir des parents à veiller à ce que leur enfant soit préservé de tout discours ou représentation sectaire et il est du devoir des instances républicaines de les y aider afin de leur éviter le risque d’une plainte en cas de refus de confier leur enfant à une personne qui ne leur garantirait pas cette neutralité. A l’heure où les plaintes se multiplient pour islamophobie ou racisme dès que l’on refuse de se plier aux diktats religieux de plus en plus agressifs et menaçants, il est nécessaire et urgent de mettre les points sur les i, d’autant plus si nos chères têtes blondes sont en danger.

Compte tenu de la houle et du malaise suscités par cette proposition elle est passée à l’as au prétexte officiel d’un timing serré.

C’est devant ce même Sénat qu’il fallait être aujourd’hui pour s’opposer avec vigueur au droit de vote des étrangers si convoités par ceux qui se prétendent encore de gauche alors qu’ils foulent aux pieds les petites gens, les ouvriers, les classes moyennes, ceux qui croyaient en eux et qui se sentent à juste titre trahis. Le petit peuple français n’avait que la gauche à se mettre sur le cœur, cette gauche aujourd’hui se rit d’eux et les bafoue sans vergogne. Le parti socialiste a vécu et désormais ne l’intéressent que les étrangers et les islamistes, ce nouveau peuple qui s’avance et nous mutile pour prendre la place que la morte-gauche lui offre, pantalon baissé sur les chaussettes dans une posture ridicule et indécente.

Donner le droit de vote aux étrangers c’est leur donner notre patrimoine et notre âme sans contrepartie et on voudrait nous faire croire que c’est pour les aider à s’intégrer. Mais des individus n’ayant pas à cœur de devenir pleinement français manifestent par là même leur refus de s’intégrer ! Il est aussi absurde de prétendre intégrer des personnes qui votent en masse pour des partis islamistes dans les pays arabes que de prétendre intégrer leurs enfants en leur enseignant l’arabe à l’école (ELCO : Enseignement de Langue et de Culture d’Origine). Est-il imaginable de prendre le risque de donner du pouvoir à des gens qui réclament toujours plus de minarets ? Qui imposent le halal dans les cantines scolaires ? Qui menacent de mort ceux qui s’opposent à leurs idées ? Qui contribuent à instaurer une charia qui considère qu’un homme vaut deux femmes ? Qui interdisent aux femmes la vision d’une banane ou d’un concombre en raison des idées lubriques qu’elles pourraient avoir ?

Est-ce que tout cela est vraiment sérieux ? Mais de quelle farce grotesque sommes-nous les acteurs ? Quel est ce dîner de cons où ces sénateurs ont prévu de nous inviter ? Et surtout, qui sera le con-dindon de cette farce hallucinante ?

Caroline Alamachère

Source: http://ripostelaique.com/

fdesouche.com piraté !

Fdesouche.com a fait l’objet d’une attaque en règle par piratage de son site. C’est honteux que la liberté d’expression soit bafouée en France à ce point.

Le temps viendra où il y aura « de la monnaie à rendre« …

Courage, FDS. Nous sommes avec toi.

FDF

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Depuis près d’une semaine, notre blog est victime d’une attaque informatique de grande ampleur.

A quelques mois de l’élection présidentielle, ce piratage n’a rien d’anodin.

Il a d’ailleurs été préparé – il faut bien le reconnaître – avec le plus grand soin.

Pour le moment, il nous est impossible de rouvrir la version habituelle de Fdesouche.com.

La base de donnée n’est pas corrompue, mais il nous faudra plusieurs semaines pour tout remettre en place de manière fiable.

En attendant, nous avons ouvert cette version légère et sans archives du blog.

Cette solution présente de multiples défauts, nous en sommes conscients, mais notre objectif numéro 1 est de maintenir en place notre flux d’information, nous n’avions guère d’autres choix dans l’immédiat.

Désormais, il est important de montrer à tous que, même dans l’adversité, notre blog continue de fonctionner.
Donc, si vous voulez nous aider, proposez-nous des articles, vos trouvailles

Merci à tous de votre soutien.

IMPORTANT : Il est impératif que vous changiez de mail pour pouvoir à nouveau poster des commentaires. N’utilisez surtout pas celui dont vous aviez auparavant l’habitude sur fdesouche.com, autrement votre pseudo risque d’être utilisé par d’autres.

(fdesouche.com)

Toujours à propos de racisme…

Une « version améliorée » d’un  document que beaucoup d’entre vous ont déjà vu…

FDF

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ignominie

Alors, pourfendeurs du racisme, attaquez-vous aussi à ce genre là!

Merci.

En réponse à Francis CLAUDE…

Mon cher Francis.

Vous me posez cette question:

Francis CLAUDE

un Australien!!!! mais quel genre d’Australien ,les Australiens sont des fils de colons de culture Britano/germano/voire judéeo chrétienne ou bien d’aborigéne vrais autochtones de cette ile continent.Ils aiment plus que tout le Rugby la biére et la féte…le travail alors quel est ce zombi au pays d’hommes de grande valeur? d’autant plus que Mne leur 1er Ministre a bien avertis les “musulmans” de respecté les australiens leur langue leurs tradditions…alors FDF pouvez vous nous donner des précisions sur cet Australien?………………….merci

Je n’ai pas du le préciser dans mon billet mais cet « australien » est un CONverti à l’islam…

Ca vous va ?

FDF

D’autres questions ? (-:

Tout le monde souffre du racisme; sauf nous, les « blancs »…

Excellent reportage… On y évoque un sujet tabou: le racisme anti-blanc… Chuuuuuuuuuuuuuuuuuut !

FDF

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http://youtu.be/SmvoWezbb4M

« Pourquoi n’y a-t-il qu’en Europe que la préférence des nôtres n’a pas sa place? »

« L’incroyable dérive financière de la mairie de Paris »

Décidément, Delanoé est plus fort que Chirac…

FDF

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Photo d’illustration

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On ne pourra pas dire »Nous ne savions pas »…Le copain à Madame Brochen-Aubry, ne se cache même plus…
Lorsqu’il tenait l’Hôtel de ville de PARIS, Jacques CHIRAC appointait discrètement 21 personnes qui travaillaient en réalité pour le RPR. Avec l’aide de l’UMP, il vient d’ailleurs de rembourser la somme de 2,2 millions d’euros à la Mairie de Paris.

Eh bien, selon la revue « CAPITAL », Bertrand DELANOE fait mieux encore ! Voilà neuf ans que ce cachotier finance avec l’argent du contribuable une bonne trentaine de postes de permanents CGT, planqués dans une des mutuelles de la ville : la MCVPAP…Dans un rapport au vitriol, l’Inspection générale de la ville de PARIS, chiffre à 1,2 million d’euros par an, le coût de ce petit cadeau consenti, sans aucun fondement juridique, à l’organisation de Bernard THIBAULT….On peut donc estimer que plus de 10 millions d’euros ont été consacrés depuis 2001, à cette oeuvre charitable. Cinq fois plus que les frasques de Jacques CHIRAC !

Même, en s’y mettant à deux, Bertrand DELANOE et Bernard THIBAULT auront beaucoup de mal à rembourser …

Sur cet article, les Médias, tenus par la Gauche, sont restés très discrets !!!


Source : Magazine Capital

Merci à JPD pour l’info…

 

La barbarie de l’islamofascisme en Arabie saoudite : un Australien condamné à 500 coups de fouet pour blasphème!

J’ai toujours dit qu’il était dangereux de se rendre au pèlerinage de la Mecque…

Quelles bande de demeurés!

FDF

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Cet homme ne survivra pas à cette torture:

Flogging22

Un Australien a été condamné à 500 coups de fouet et un an de prison en Arabie saoudite en vertu des lois sur le blasphème. Il a été arrêté dans la ville de Médine le 14 novembre alors qu’il accomplissait le pélerinage annuel musulman, le hajj. La police l’a accusé d’insulter les compagnons du prophète Mohammed.

Le gouvernement australien se dit très inquiet pour le sort de son ressortissant. « La politique universelle du gouvernement australien est de condamner les châtiments corporels qui sont équivalents à la torture ou à un traitement cruel, inhumain et dégradant », a déclaré une porte-parole du ministère des Affaires étrangères.

Un représentant consulaire était présent lors du verdict. L’Australien avait écopé initialement de deux ans de prison, avant de voir sa peine ramenée à un an. Son fils aîné a indiqué cette semaine au journal « Melbourne Age » que son père était en train de lire et de prier avec un groupe de pélerins lorsqu’il a été accosté par la police religieuse, qui l’a arrêté. L’homme, père de cinq enfants, était trop pauvre pour se payer un avocat, selon le « Melbourne Age ». Il souffre de diabète et de maladie cardiaque.

Source: http://www.postedeveille.ca/