Juste retour des choses. Il faut mettre des limites à leur arrogance, à tous ces fanatiques. Je souhaite que celui-ci « morfle » pour les autres qui sont restés impunis…
FDF
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Juste retour des choses. Il faut mettre des limites à leur arrogance, à tous ces fanatiques. Je souhaite que celui-ci « morfle » pour les autres qui sont restés impunis…
FDF
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Encore heureux.
Sachant que les détenus musulmans (et Dieu sait sil ils sont nombreux à être incarcérés…) ont droit à « un imam de service » pour qu’ils n’oublient pas de continuer à prodiguer leur « religion » de haine (pardon: d’amour, de paix et de tolérance…) et de faire des adeptes dans les milieux carcéraux. Mais il a quand-même fallu en passer par la cour administrative d’appel pour que les Témoins de Jéhova puissent avoir les mêmes droits que les muzz. En outre, contrairement aux musulmans, les Témoins de Jéhova en détention ne doivent pas être si nombreux…
FDF
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Selon l’avocat joint par l’Associated Press, la cour administrative d’appel a rejeté les appels du ministère de la Justice qui refuse de délivrer le statut d’aumônier des prisons aux ministres du culte des Témoins de Jéhovah. Ces demandes avaient été faites dans trois directions interrégionales pénitentiaire.
Les Témoins de Jéhovah sont reconnus comme association cultuelle depuis une décision de 2000 rendue par le Conseil d’Etat, a précisé l’avocat. Me Goni se félicite de cette décision qui devra permettre aux Témoins de Jéhovah « d’avoir des aumôniers au même titre que les autres confessions ».
Dans un avis publié le 24 mars dernier, le Contrôleur général des lieux de privation de liberté, Jean-Marie Delarue, a estimé que l’administration devait se plier à la reconnaissance par le juge du caractère cultuel d’une personne morale. « Dès lors qu’une religion est regardée comme telle par le droit applicable, ses aumôniers doivent pouvoir disposer, comme tous les autres aumôniers, de prérogatives identiques et ne sauraient être cantonnés, par exemple dans les établissements pénitentiaires, à un statut de visiteur qui conduit à une ‘religion du parloir' », avait-il estimé.
« La cour n’a fait que valider cette analyse juridique, en jugeant que puisque les Témoins de Jéhovah disposent du statut d’association cultuelle, conformément à une jurisprudence bien établie, ils peuvent prétendre à l’agrément de leurs ministres du culte en tant qu’aumôniers », a déclaré Me Goni.
La cour a par ailleurs prorogé à une date ultérieure la demande concernant l’agrément d’un aumônier national de l’association cultuelle des Témoins de Jéhovah de France, a précisé Me Goni. Elle a également confirmé l’indemnisation de 3.000 euros reçue par un détenu à la prison de Muret (Haute-Garonne) qui n’avait pu pratiquer sa religion, a ajouté l’avocat.
Source: http://www.lefigaro.fr/
J’évoquais le cas du père de Pommerol dans un précédent post. Le Padre a osé dénoncer les pratiques quelque peu inavouables (déférence par rapport à l’islam) des hiérarchiques militaires français dans les zones de combat de notre armée, en Afghanistan, par exemple. La sanction n’a pas traîné…
FDF
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Voir:
L’aumônier catholique publie une lettre ouverte au ministre de la Défense
Le padre Benoit Jullien de Pommerol partira finalement comme aumônier auprès des forces militaires aux Antilles à partir du 1er septembre. Sa nomination est effective depuis hier. Sauf si la nouvelle lettre ouverte qu’il publie dans Valeurs actuelles de cette semaine lui attire de nouveaux ennuis.
Le padre, qui avait dénoncé précédemment la « déférence » de l’armée française vis-à-vis de l’islam en Afghanistan, s’adresse cette fois-ci au ministre de la Défense. Dans une réponse à un parlementaire, Gérard Longuet conteste en effet l’exactitude des faits rapportés par le padre.
Voici des extraits de sa lettre ouverte :
« Mon honnêteté est maintenant mise en cause publiquement. Ce que je dénonce dans le rapport n’est en fait que le prolongement de ce qui se passait il y a vingt ans, lors de la guerre du Golfe. Déjà, la soumission à l’islam y est flagrante. (…) Doit-on aussi accepter sans s’indigner, Monsieur le Ministre, le fait que les forces françaises offrent aujourd’hui en Afghanistan des tapis de prière à la gloire de l’Arabie Saoudite ? Je tiens un exemplaire à votre disposition, envoyé par des soldats français lassés de tout cela.
Doit-on accepter sans s’indigner que les forces françaises offrent une mosquée au village de Landakhel, bâtiment construit grâce à l’argent du contribuable français ? Qu’il soit imposé à des militaires féminins de se couvrir la tête au nom de l’islam ? Qu’il soit décidé par un général que tous les soldats français de sa zone mangeraient halal, qu’on organise un repas de fin de ramadan au profit des Afghans ? «
« Ils » ont eu Strauss Kahn. Il fallait s’attendre à une riposte. Celle-ci est meurtrière… Et nous ne sommes certainement pas au bout de nos surprises…
FDF
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Gérard Longuet est droit dans ses bottes, comme dirait son collègue Alain Juppé. Le ministre français de la Défense est mis en cause pour un séjour gratuit en Tunisie en 2006 sous le règne du dirigeant déchu Zine ben Ali mais ne voit pas bien ce qu’on lui reproche.
L’information a été révélée par le magazine Les Inrockuptibles. Une affaire semblable avait entraîné la démission de la ministre des Affaires Michèle Alliot-Marie à la fin de l’année dernière.
Prié par des journalistes de dire s’il envisageait une démission, Gérard Longuet a répondu en marge de la présentation du futur ministère français de la Défense: « Je ne connais pas la situation de Michèle Alliot-Marie, je connais la mienne, quand j’ai une facture je la paye. Votre question n’a pas de sens. »
Gérard Longuet, alors élu au Sénat et conseiller de Nicolas Sarkozy à la direction de l’UMP, a expliqué qu’il s’était rendu en août 2006 avec un ami à bord d’un voilier dans un port tunisien, où il avait fourni son nom et avait été reconnu.
Par la suite, il s’est rendu dans un hôtel pour y passer la nuit. Là, il dit avoir accepté l’invitation à déjeuner d’un responsable de l’office du tourisme tunisien qui voulait, selon le ministre français, parler de voile. Le reste résulterait d’un malentendu avec son ami français.
« On était deux, l’autre a pensé que c’était moi qui avait payé, moi j’ai pensé que c’était lui. Si on m’envoie une facture, je la paye de bon coeur. Deux cents euros, je ne vais pas passer la journée là-dessus », a dit Gérard Longuet.
Il a expliqué avoir passé deux nuits dans cet hôtel. Selon les Inrockuptibles, il s’agit d’un hôtel cinq étoiles de la banlieue de Tunis et l’ami mentionné par Gérard Longuet est le journaliste économique Jean-Marc Sylvestre, dont le séjour a également été pris en charge par les autorités tunisiennes.
Après près d’un quart de siècle au pouvoir, Zine ben Ali a fui la Tunisie le 14 janvier, à la suite d’une révolte populaire. Ce mouvement a inspiré des mouvements de contestation analogues dans le monde arabe et ouvert un débat en France sur l’appui des partis de gouvernement à l’ancien régime tunisien.
Source: http://www.lexpress.fr/
Et dire qu’il y en a encore qui n’ont pas compris son « petit manège »…
FDF
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English version HERE
Après un discours en français intitulé Palestine – notre engagement, Tariq Ramadan conclut avec une prière en arabe. Palwatch.org a traduit la prière de l’arabe vers l’anglais.
Le discours et la prière ont été enregistrés sur un DVD vendu par les Éditions Tawhid basées à Lyon, France.
(La vidéo que l’on pouvait voir ICI
Voici la transcription des sous-titres de l’anglais vers le français réalisée par Point de Bascule:
0:11
Allah, nous Vous demandons parce que vous êtes Allah.
0:16
Allah, raffermissez la foi de nos frères et sœurs en Palestine,
0:24
Allah, raffermissez leur foi dans la Palestine
0:30
Et faites-les triompher de leur ennemi, Votre ennemi, l’ennemi de la religion [l’islam]
0:36
Avec Votre miséricorde, ô Généreux.
0:40
Allah, raffermissez leur foi dans la Palestine,
0:46
En Tchétchénie, en Afghanistan, au Maroc, en Algérie, en Tunisie,
0:57
En Égypte, au Soudan, au Cachemire et sur tous les territoires et tous les champs de bataille.
1:08
Allah, frappez vos ennemis, Vos ennemis, les ennemis de la religion [l’islam].
Référence supplémentaire
LE JIHAD DE TARIQ RAMADAN EXPLIQUÉ PAR SES SAVANTS MUSULMANS
Un grand rendez-vous…
FDF
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Comme nous vous le disions la semaine dernière, nous avons décidé de faire du 18 juin 2011 un jour dédié à la France que nous aimons, celle de nos origines, celle de notre histoire, qui est aussi bien celle de Henri IV que celle de 1789 en passant par Clovis, Charlemagne, Louis XIV, Molière, Voltaire, Napoléon, Louise Michel, Clémenceau, Jaurès, Combes, Blum, De Gaulle, Malraux, Beauvoir et tant d’autres…
Un inventaire à la Prévert ? Certes, et à dessein, parce que la France, c’est cela et plus encore: des hommes, des femmes, des révolutions, des écrits, changements, un enrichissement de la nation, des traditions populaires, des éléments qui à première vue pourraient avoir l’air incompatibles, aussi impossibles à mélanger que l’eau et le feu. Et pourtant… pourtant chacun, à sa façon, depuis des siècles, ajoute les pierres nécessaires indispensables pour poursuivre la construction de l’édifice « France » et chacun a besoin des autres, qu’ils l’aient précédé ou qu’ils vivent à son époque, pour exister. Oui, Beauvoir l’athée a besoin des œuvres de Louis XIV le dévot, oui De Gaulle a besoin de Blum, oui Malraux a besoin de Molière… Nous sommes dans une nation qui a une histoire et qui a réussi, au fil des luttes de son peuple, à construire un art de vivre, lié à notre doux pays.
Doux pays, parce que, malgré les anathèmes et les critiques de ceux qui s’obstinent néanmoins à vouloir y vivre (quel étrange paradoxe !), on y trouve la liberté de penser et d’agir, un humour et surtout un esprit typiquement français, l’amour de la convivialité, de l’amitié ou de l’amour, des femmes, de la gastronomie, du vin, de la liberté et de la révolte… bref du bien vivre qui caractérise depuis des générations notre pays.
Alors, conformément au souci qui est le nôtre depuis des années, rassembler les Français et ceux qui aiment la France, indépendamment de leurs origines, de leurs choix politiques ou philosophiques, nous vous proposons de venir chanter la France avec nous, que ce soit des chansons populaires ou des textes d’auteur.
Reconnaissez-vous ces extraits ? Savez-vous qui les a chantés en premier ? Vous pourrez écouter le 18 juin (et chanter en même temps, nous l’espérons bien) l’intégralité de la chanson dont ils sont tirés :
» Douce France, cher pays de mon enfance,
Bercé de tendre insouciance,
je t’ai gardé dans mon cœur » ;
» Ami, entends-tu ces cris sourds du pays qu’on enchaîne ?
Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ? » ;
» A Paris
Quand un amour fleurit
Ca fait pendant des s’maines
Deux coeurs qui se sourient
Tout ça parce qu’ils s’aiment » ;
» Chevaliers de la Table Ronde
Goûtons voir si le vin est bon.
Goûtons voir, oui, oui, oui,
Goûtons voir, non, non, non,
Goûtons voir si le vin est bon. » ;
» Ma Liberté,
longtemps je t’ai gardée
comme une perle rare » ;
» Quand nous chanterons le temps des cerises,
Et gai rossignol, et merle moqueur
Seront tous en fête ! » ;
« Des bateaux j’en ai pris beaucoup
Mais le seul qu’ait tenu le coup
Qui n’ai jamais viré de bord
Mais viré de bord
Naviguait en père peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s’app’lait les Copains d’abord
Les Copains d’abord » ;
Et bien d’autres, que nous évoquerons encore au cours des semaines à venir !
Il en est de même pour les intervenants qui clôturont le tour de chant pour dire leur amour de la France ; venus de tous bords, de toutes origines et même d’autres pays comme Oskar Freysinger qui nous fera l’amitié de passer la journée du 18 juin avec nous, ils sauront rappeler pourquoi les Français doivent être fiers d’eux-mêmes et doivent rendre à la France ce qu’elle leur a donné.
« Elle plaisante sur Morano et est licenciée pour faute grave », écrit Rue 89.
La ministre de l’Apprentissage effectuait des courses avec sa fille dans une boutique de vêtements Kookaï au Printemps de Nancy, accompagnée d’un garde du corps.
Les versions divergent alors entre la ministre et la vendeuse. Citée par Rue 89, Albane, la salariée licenciée raconte: « En plaisantant, un de mes collègues a affirmé qu’il pourrait le mettre en deux temps, trois mouvements par terre (le garde du corps). On arrivait alors devant la porte de service qui mène aux coursives du Printemps. J’ai répondu que pour se mesurer à lui, il fallait d’abord casser la gueule à Mme Morano. «
Toujours selon le site d’information : « La ministre se trouvait juste derrière à ce moment-là. Albane et ses collègues restent interdits : « On ne l’avait pas vue, elle n’a entendu que la fin de la discussion. » Malgré les excuses de la vendeuse, Nadine Morano a alors demandé un responsable et aurait réclamé selon la vendeuse, « des suites à ce dossier ».
La salariée, qui a un enfant, a été licenciée le 27 avril. Selon Rue 89, ni le Printemps ni Kookaï n’ont voulu commenter l’affaire.
La version de Nadine Morano
Dans un communiqué, la ministre raconte qu’au moment de prendre sa pause, la vendeuse aurait crié: « Il y a Nadine Morano dans le magasin, si quelqu’un veut aller lui casser la gueule ». « Profondément choquée par cette interpellation menaçante, insultante et blessante », la ministre précise avoir « demandé des excuses à cette vendeuse en rappelant le droit au respect pour tout client, quel que soit son statut ». Selon elle, l’employée a « reconnu la gravité de ses propos déplacés en présence de la directrice adjointe du Printemps et a fait part de ses excuses ».
« Les faits en sont restés là », insiste Mme Morano, en précisant que le licenciement de la vendeuse « relève de la seule appréciation et de la seule responsabilité de son employeur », avec lequel elle n’a eu « aucun contact ».
Mardi matin, sur France Info, la ministre a également dit qu’elle « se réservait le droit de poursuivre en diffamation » Rue 89.
Source: http://info.france2.fr/
Les souvenirs m’assaillent en lisant, dans El Watan du 29 mai 2011, l’article de Mahroug Houari, décrivant, dans une longue succession de détails sordides et repoussants, la ville où je suis née et dont le nom persiste doux à mon oreille.
Cet Oran où, malgré une guerre sans nom, il faisait, encore, bon vivre… dans notre souvenir.
Dans notre souvenir, seulement. Celui que nous imposons à notre mémoire devenue sélective. Parce que, en lisant sa condamnation sans appel d’Oran et des oranais d’aujourd’hui, ce journaliste exilé depuis l’âge de 18 ans, me renvoie à Oran de ma jeunesse d’où je suis partie, au même âge.
Cette ville où, le moindre coin sombre approché, prenait l’aspect d’un coupe-gorge dans la peur de voir surgir un arabe embusqué.
Celle où, dans le pâté de maisons devenu notre univers, nous étions consignés par crainte de rencontrer, une rue plus loin, l’arabe qui nous enlèverait, nous agresserait ou nous tuerait.
Celle, encore, où, dans le simple « trajet-travail », on affrontait un danger de mort permanent, selon qu’on devait approcher de M’dina Jdida ou des quartiers périphériques.
Ces craintes, ces angoisses des oranais d’aujourd’hui, soyons honnêtes, nous les avons vécues pendant des années. Seule, l’inconscience de notre jeune âge nous autorisait à rejeter obstinément la crainte de nous voir agressés ou même tués, non pas pour un portable mais parce que nous étions « blancs, français, roumis ».
Combien d’entre nous ont laissé leur vie en allant à l’école, au travail ou au marché ? Ils sont des milliers. Des milliers d’honnêtes gens innocents qui se sont, un jour, trouvé sur la route de ces assassins.
Dans ce sens, Oran comme les autres villes d’Algérie de l’époque française, nous les avons connues, pareillement, infréquentables.
Et Oran, particulièrement. Oran dont les rues garderont, à jamais, l’empreinte du sang des milliers de victimes européennes assassinées par les mêmes qui, aujourd’hui, terrorisent sa population.
Contrairement à ce journaliste oranais, d’origine algérienne, né avec l’indépendance, cela fait cinquante ans que nous gardons, au fond de notre mémoire, la violence qui habitait ces oranais algériens. Et cela fait 50 ans que nous voyons (en photo) le pays tout entier se délabrer et les algériens s’entretuer.
La seule différence est que les bandes de délinquants ont remplacé les groupes d’activistes indépendantistes et que toute la ville a été envahie par la crasse et la vermine alors que, seuls les quartiers essentiellement arabes, l’étaient, à notre époque. Mais les us et coutumes des arabes oranais n’ont pas changé, eux. A quelques exceptions près, il faut le dire.
Comme tout exilé, comme nous aussi, il a dû entretenir dans son souvenir, les années qui virent son départ d’Oran, quand, encore, la saleté de ses rues n’avait pas atteint son paroxysme. Quand, encore jeune, il pouvait affronter les « loubards » de sa génération qui auraient menacé sa vie. Trente cinq ans plus tard, revenant sur les pas de son enfance, il est surpris de voir que ses congénères n’ont aucunement changé, sans éducation, sans aucuns scrupules à voler ou à tuer pour un maigre butin.
Ne sait-il pas que, chez nous, en France, transportés par la grâce des regroupements, ils tuent pour un regard mal interprété, pour une cigarette refusée ?
Il n’y a rien de nouveau, pour nous, dans le regard qu’il porte à sa ville et ses habitants.
Mais cela ne nous empêche pas – et à lui et à nous – de regretter la splendeur passée de la ville d’Oran lorsqu’elle était, encore, en Algérie française.
Le parti de Marine Le Pen voit peut-être sa diabolisation devenir enfin stérile. Il était temps… Sarkö ne récupérera pas des voix chez l’électorat FN, cette fois. Les dernières cantonales nous ont montré le contraire. Pas mal de nouveaux adhérents au FN viennent de……………………….. l’UMP…
FDF
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Vont-ils voter Marine Le Pen ? Embarras, silence du charcutier… Puis, finalement, un « je pourrais ». Voter FN ne se crie pas encore sur les toits, encore moins sur la place du marché. A plus forte raison quand on a la peau basanée.
C’est pourtant dans cette ville de 52 000 habitants (ndlr : Sevran) que l’extrême droite a fait 22,92 % au premier tour des cantonales, 32,48 % au second. Le meilleur score du FN en Seine-Saint-Denis. Parmi ses électeurs, une majorité de « Gaulois », des Français issus des immigrations portugaise et italienne, mais, aussi, fait nouveau, des beurs ou des Français d’origine africaine. Dans quelle proportion ? Impossible à dire. A ce jour, aucune étude n’a été publiée.
« Sarko, il avait promis de karchériser les cités, il ne l’a pas fait. Au moins, le FN le fera. » Farid, 45 ans, vendeur de vêtements d’origine algérienne, se dit de gauche – il a voté Ségolène Royal en 2007 – mais votera Marine Le Pen en 2012, »pour foutre le bordel ». Quand on évoque avec lui la politique anti-immigration du FN, le commerçant rétorque qu’il est français comme la plupart des gens sur le marché. »L’immigration, c’est le fonds de commerce du FN, mais il sera obligé de s’adapter à la réalité. Sans nous, il n’y a plus d’économie. L’argent n’a pas d’odeur… »
Sur le marché de Sevran, aujourd’hui, la viande est halal et les épices, exotiques. Il y a trente ans, on vendait de la morue, des gnocchis et du jambon. Le marché évolue avec sa clientèle, même si ce n’est pas du goût de tout le monde. Ainsi, Victor, 69 ans, ne vient plus au marché que « pour les légumes ». »Il n’y a plus qu’une charcuterie avec du porc. Et il y a trop de faune et de femmes voilées », confie-t-il. Mécanicien à la retraite, il vit à Sevran depuis quarante ans et vote FN depuis dix ans après avoir été communiste toute sa vie. Sur le marché, désormais, les derniers arrivants sont les Pakistanais, accusés de tous les maux par les autres.
Insécurité, peur de l’autre, mais aussi sentiment d’injustice. Yode, ancien commercial dans les produits cosmétiques, a perdu son boulot il y a deux ans. Français d’origine ivoirienne, il votera Marine Le Pen en 2012. »D’abord parce que j’ai vécu l’intervention de Sarko en Côte d’Ivoire comme un acte terroriste. Ensuite parce que je préfère l’original à la copie. ».
Source: http://www.defrancisation.com/
Où l’on en apprend de belles sur le « pote à Sarkö »… De plus en plus souvent (et je ne dois pas être le seul…), j’ai honte de mon pays.
FDF
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Alain Tousssaint sur les crimes et massacres commis par les pro- OUATTARA (17 avril)
http://www.internationalnews.fr/article-terview-de-72366326.html
Bonus: http://www.dailymotion.com/video/xi1smo_sarko-ouattara-nombreux-massacres-confirmes_news
Interview exceptionnelle de Radovan Karadzic reproduite dans le n° 135 de la revue Balkans-Info, revue de réinformation incontournable pour comprendre les enjeux du procès Karadzic. Premièrement, le journaliste Jean Visconti nous replonge dans le contexte de l’époque :
» Je suis retournée en Bosnie le 27 mai 1996, après un voyage aventureux le long d’une route impraticable, dont notre conducteur craignait qu’elle nous conduise dans le corridor de Gorazde, car dans cette zone opéraient souvent des groupes armés de musulmans. Précisément ce matin-là, on avait retrouvé, à Milici, les restes torturés de trois Serbes. L’IFOR des Etats-Unis avait arrêté dix musulmans, trouvés porteurs d’armes, en violation des accords, non loin du lieu de la tuerie. Les hommes avaient été remis, selon l’usage, à la milicija de Pale. Les Serbes, après les avoir contrôlés et fichés, avaient été obligés de les relâcher, parce qu’il n’existait pas de preuves évidentes qu’ils fussent les auteurs du massacre. Un examen plus approfondi leur a appris que les dix appartenaient à un groupe terroriste musulman appelé « laste » (les hirondelles), et que huit d’entre eux figuraient parmi les « disparus dans les fosses communes de Srebrenica« , sur les listes de la Croix Rouge internationale déposées au Tribunal militaire de Zvornik. (note de l’Observatoire : on voit ainsi comment de faux morts ont été ajoutés pour gonfler le montage du « génocide » de Srebrenica)
Je suis arrivée à Pale vers les 11 h 30 du soir. Radovan Karadzic m’attendait dans la nouvelle présidence située en ville. C’était la première fois que j’entrais dans ce lieu. Un palais blanc, simple. Le bureau de Karadzic était vaste, sobrement meublé. Aux murs : les drapeaux aux aigles, ainsi que des symboles et icônes orthodoxes. Au fil des années, ces objets avaient progressivement augmenté par rapport à la première fois où je l’avais rencontré et où son bureau en était totalement privé. Cela pouvait signifier un retour à la religion et au mysticisme, ou simplement une concession à la raison d’Etat. Le Président avait l’air psychologiquement fatigué. Il devait avoir perdu vingt kilos. Il était vêtu de beige clair et paraissait encore plus grand qu’auparavant. Désormais, il était officiellement un criminel de guerre poursuivi. Pendant toute notre conversation , le ton de sa voix a oscillé entre fatigue, désillusion et douleur ». Lire l’interview de Karadzic
J.T.M.V. : Après les accords de Dayton, comment considérez-vous la situation actuelle ?
KARADZIC : La situation n’est pas bonne, parce que les musulmans n’adoptent pas une attitude claire par rapport à la paix. Leurs leaders continuent à déclarer publiquement qu’ils prendront la Bosnie toute entière. La lutte n’est pas finie. Le long des frontières entre leur territoire et celui de la République Srpska, les musulmans tentent d’entrer dans nos petites villes pour terroriser les populations. Ils le font pour que la peur et le malaise les poussent à partir. Il faudrait que quelqu’un les arrête. C’est écrit dans le Coran : « Pas de paix !« …
…Suite et source: http://www.islamisation.fr/archive/2009/11/03/41517437e4b76c0e2dddceb43962723f.html
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VOIR la bande annonce– Diffusion ce soir à 22h25
Vu sur: http://www.islamisation.fr/
Pour avoir « trempé » dans le métier, je ne suis pas surpris de cette attitude journalistique qui consiste à écrire ce que les lecteurs veulent lire, aux dépens de toute objectivité…
FDF
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Un radar fixe | MAXPPP
Source: Le Post via TV5.