BREIZATAO – POLITIKEREZH (27/07/2018) Conformément à sa promotion constante de l’islamisation de la Bretagne, le clergé catholique, allié aux socialo-communistes, a participé à un simulacre de « pèlerinage » aux côtés de musulmans sentant l’opportunité de semer la confusion.
Le journal d’état Le Télégramme, d’orientation socialo-marxiste, en fait bruyamment état dans ses colonnes (source) :
La petite commune de Vieux-Marché, près de Plouaret, s’apprête à vivre l’un des temps forts de son année ce week-end. Le pèlerinage islamo-chrétien, drainant chaque mois de juillet de nombreux pèlerins, pratiquants ou non, y aura lieu. « Le cas des 7 Saints est tout à fait singulier, explique l’anthropologue Manoël Pénicaud qui interviendra samedi lors d’une table ronde. D’une part, parce qu’il se situe dans une région avec historiquement peu de liens avec l’Islam, et d’autre part parce qu’il est le fruit de la volonté d’un homme, Louis Massignon, dans un contexte particulier. Alors que la guerre d’Algérie se déclarait, en 1954, c’est lui qui a construit la branche islamo-chrétienne du pèlerinage.
Les aigrefins à l’origine de la mise en scène visent bien sûr à légitimer l’invasion afro-islamique de la Bretagne avec, pour l’occasion, des frères trois points prêts à recevoir quelques gouttes d’eau bénite, Paris valant bien une messe.
Ce ramassis de curetons louches, de franc-maçons, de socialistes athées et d’arabes intéressés n’a cependant pas jugé utile de s’étendre sur le personnage à l’origine de ce simulacre de « pélerinage », le pédophile avoué Louis Massignon, amateur de jeunes garçons musulmans.
Donnons quelques éléments.
Massignon avait une qualité commune avec de nombreux curés : il était sodomite. Dans son livre « Louis Massignon et ses contemporains », l’écrivain Jacques Keryell écrit :
« Son homosexualité était un secret de polichinelle » m’a dit récemment une amie commune, qui l’a bien connu… On connaît plusieurs de ses partenaires. Il suffira de retenir le nom de Luis de Cuadra qui eut une influence notable sur Louis Massignon lors de son premier séjour en Egypte (1906-1907).
En toute logique, serait-on tenté de dire, Louis Massignon se fait ordonner prêtre. Cette qualité ne devait d’ailleurs pas le priver de plaisirs exotiques. Massignon avait en effet une prédilection pour les très jeunes garçons musulmans.
Jean Moncelon l’évoque dans son livre « Le Secret de Louis Massignon » :
“Cependant, lorsqu’il rejoint l’Irak, en 1907, c’est avec la “résolution stoïque d’être pur, comme autrefois en Égypte de faire ce qu’il lui convenait de son corps”. Or voici qu’au cours de son expédition à travers le désert d’Okhaïdir il s’éprend d’un jeune garçon qui accompagne sa caravane. Suivent alors des jours tragiques, ce qu’il nommera plus tard sa “damnation de Kerbela”….”
Enculer des enfants arabes comme porte d’entrée à la spéculation mystique : cela ne doit guère dépayser les habituels éléments louches du Grand Orient.
Visiblement très éclectique, c’est le communiste stalinien Louis Aragon qui fera son éloge post-mortem. Probablement en raison de leur passion partagée pour le sexe anal.
Louis Massignon, préfacier du banquier musulman d’Hitler
Pour ne rien gâcher, Louis Massignon était également un proche du banquier suisse François Genoud, légataire testamentaire d’Adolf Hitler.
François Genoud, le célèbre banquier du nazisme et héritier testamentaire d’Hitler et Goebbels, est devenu le financier des terroristes palestiniens et du FLN algérien avant d’embrasser lui aussi l’islam et de rejoindre les options islamistes, se liant d’amitié, à Genève, avec le pionnier des Frères musulmans en Europe et propre gendre d’Hassan al-Banna, Saïd Ramadan, frère de Tariq Ramadan.
Genoud, pour qui la cause arabo-musulmane et le nazisme ne font qu’un, écrit ainsi dans une profession de foi préfacée par l’orientaliste Louis Massignon :
« Il n’existe pas d’opposition fondamentale avec l’Europe, mère de l’Occident […]. Le monde arabe […] renaît aujourd’hui à la vie, […] les Arabes ont fondé une des plus puissantes religion qui aient régné sur le monde, une de celles dont l’influence est la plus vivante encore. […]. Au point de vue intellectuel et moral, ils ont civilisé l’Europe ».
Cela vaut bien un pèlerinage au Vieux-Marché.
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