
30/06/2009
Voyage de fin d’année scolaire à Libourne: visite de la mosquée; Si c’est pas de l’intox, ça…
Libourne : une visite à la mosquée qui fait scandale
LIBOURNE (NOVOPress) :
Comme le révèle l’hebdomadaire Minute dans son édition qui paraîtra le mercredi 1er juillet, les enfants d’une école primaire catholique de Libourne (Gironde) ont inauguré une nouvelle forme de sortie de fin d’année : une visite à la mosquée. La directrice de l’école primaire Saint-Jean, Mme Geneviève Sambarrey, a décidé d’offrir en ce mois de juin à ses élèves de CM2 une visite à la mosquée. Jointe par Novopress Aquitaine, la directrice explique ce geste par la volonté « d’ouverture aux autres religions » et par le fait que « le père d’une fillette inscrite dans notre école y est imam ».
Devant les enfants de l’école Saint-Jean, l’imam Noureddine Kouchi (adjoint au recteur de la Mosquée de Bordeaux, le trop fameux Tareq Oubrou) a développé l’habituel double discours, qui évolue selon le profil du public. Le lauréat « Talent des cités » en 2004, qui dirige une entreprise de pompes funèbres pour musulmans, a expliqué aux enfants que les chrétiens sont dans l’erreur puisque, selon l’imam, « tout le monde naît musulman », les chemins divergeant par la suite à cause des parents !
On peut se demander ce qu’il reste de catholique à un certain nombre d’établissements privés. La directrice nous l’a d’ailleurs confirmé : « Nous faisons de l’éveil aux religions, mais il n’y a pas de cours de catéchisme au sein de notre établissement. Nous nous tournons vers toutes les religions. L’année dernière, nous étions allés visiter un temple protestant. » CQFD…
Et à la rentrée? Tous au prêche haineux de l’imam le vendredi???
vu sur http://aquitaine.novopress.info/765/libourne-une-visite-a-la-mosquee-qui-fait-scandale/
Al-Qaida menace de s’attaquer à la France pour son opposition à la burqa !
Ne nous affolons-pas mais « ils » sont très bien capables de le faire au nom de l’opposition à leur INVASION…

TERRORISME – C’est qu’affirme le centre américain SITE, citant des forums jihadistes sur Internet…
«Hier c’était le hijab et aujourd’hui, c’est le niqab», a affirmé le dirigeant d’Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI) Abou Moussab Abdoul Wadoud. «Nous nous vengerons de la France et de ses intérêts par tous les moyens à notre disposition, pour l’honneur de nos filles et de nos soeurs», a-t-il ajouté.
Mission parlementaire
Une mission parlementaire a été chargée d’enquêter pendant six mois sur le port de la burqa ou niqab, qui couvre complètement la tête, le visage et le corps.
La France est le seul pays d’Europe à avoir interdit par la loi, en 2004, le port du foulard islamique (qui ne recouvre que la tête) à l’école, après un débat passionnel. Il s’était alors agi d’interdire «les signes religieux ostentatoires» dans les établissements scolaires.
Re-racailles: La voiture d’Henri Guaino caillassée.
Guaino est venu se rendre compte??? Il a compris, maintenant… Du moins, souhaitons-le.
30/06/2009
Deux véhicules de police en patrouille, dont l’un à l’intérieur duquel se trouvait le conseiller spécial de l’Elysée Henri Guaino ont été caillassés cette nuit, à Montfermeil (Seine-Saint-Denis), a-t-on appris aujourd’hui de sources policières. Selon les premiers éléments de l’enquête, les policiers ont essuyé mardi vers 01h00 des jets de pierre au centre d’un quartier réputé sensible et il n’y a pas eu de blessés.
Ces faits ont été perpétrés par une quarantaine d’individus qui « s’en sont pris à deux véhicules de police », ignorant vraisemblablement la présence de M. Guaino à l’intérieur de l’un d’eux, a-t-on indiqué de mêmes sources. Les véhicules de police auraient été bloqués « par des jeunes gens », en l’état des investigations, à l’aide d’une barrière que ceux-ci on mise en travers de leur route, ont fait valoir les sources.
Les policiers ont dû faire usage de « balles de défense » pour se dégager et les véhicules de police « ont été détériorés » par les jets de pierres. Plusieurs impacts de pierres ont été relevés sur ceux-ci par la suite, a-t-on précisé, des vitres ont été par ailleurs brisées ou détériorées. M. Guaino était à l’intérieur de l’un des véhicules, selon ces sources, « en observation » du travail des policiers sur le terrain, sans plus de précisions.
Plusieurs incidents se sont produits ces derniers jours dans des quartiers sensibles, principalement en région parisienne. Des policiers ont essuyé des tirs de mortiers de feux d’artifice cette fin de semaine à Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis), un mois et demi après des tirs de fusil d’assaut Kalachnikov (AK47) contre leurs collègues à La Courneuve, dans le même département, suscitant l’inquiétude des syndicats de police face à de telles attaques.
Et au sujet de la fameuse loi anti-cagoules, on ne sait pas s’il y avait des « disciples », là???
Racaille: Gagny (93): agression de 2 policiers.
30/06/2009
Deux gardiens de la paix hors service ont été agressés et roués de coups cette nuit en sortant du commissariat de police de Gagny (Seine-Saint-Denis), a-t-on appris de source policière. Selon la source, ils étaient « attendus » par leurs présumés agresseurs qui « n’ignoraient rien de leur fonction de policier ».
Les deux gardiens de la paix sont partis à bord du véhicule particulier de l’un d’eux et se sont arrêtés à cent mètres du commissariat après un appel de phare d’une autre voiture les suivant. Plusieurs hommes ont alors surgi pour insulter puis fouiller les policiers « à la recherche de leurs armes de service qu’ils n’avaient pas » car ils les avaient laissées au commissariat. Les deux gardiens ont alors été « roués de coups » avant qu’une voiture de la brigade anti-criminalité (Bac) passant par là mette les présumés agresseurs en fuite, toujours selon la source.
Dans un communiqué, Alliance (second syndicat de gardiens de la paix) a déclaré mardi que « cette agression n’avait rien à voir avec le hasard ». « Nos collègues ont été suivis et agressés car ils n’avaient commis qu’une faute, celle d’être policiers », a-t-il ajouté. « Après les attaques à l’arme lourde (arme de guerre, ndlr) c’est tant sur le fond que sur la forme qu’un nouveau palier vient d’être franchi », a dit Alliance, pour qui « cette situation intolérable doit amener les pouvoirs publics à s’interroger sur les sanctions qui doivent être réservées à ces délinquants ».
Le syndicat a demandé pour les « personnes chargées d’une mission du service public » victimes de violences, comme les policiers, les gendarmes ou les enseignants, « la mise en place de peines planchers ».
« Peines plancher »? Insuffisant !!!
Témoignage: « je te mets ce lien, pour que tu comprennes…
Je te mets ce lien: |
Petit tour sur un forum où l’on parle du racisme anti-blanc…
Vu sur un forum (Yahoo, pour ne pas le citer…):
Question ouverte
Le racisme anti blanc est il un fantasme?
de l’extreme droite.
Avez vous assisté à des cas de racisme anti blanc ?
Pensez vous que seul existent les racismes anti noir et anti arable ?
- Il y a 19 heures
- – Il reste 3 jours pour répondre.
Réponses (13)
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il n’y a pas de racisme, on vit dans un monde parfait, il n’y a pas non plus de racisme envers les bougnoules
- Il y a 19 heures
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oui, bien sûr.
- Il y a 19 heures
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non. Je me suis déjà faîte traiter de sale française ou de sale blanche. Le racisme n’a pas de couleur.
- Il y a 19 heures
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le racisme est moche qu’elle que soit son origine .
Sources :
Blanche qui réclame sa négritude .- Il y a 19 heures
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Si tu es Blanc, va te promener seul à la cité des 4000, à Aubervilliers, au nord de Paris, et tu auras la réponse à ta question !!!…
(Prévois quand même une ambulance pour le retour, conseil d’ami…).- Il y a 19 heures
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Mais non, ce n’est pas un fantasme.
Il y a des cons partout, y compris chez les Africains et les Arabes.
Mais ce n’est pas parce que quelqu’un est con qu’il faut l’être soi-même.- Il y a 19 heures
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il y a toute sorte de racisme malheureusement
- Il y a 19 heures
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D’un autre coté , il y a beaucoup de monde qui parle de racisme anti noir ou anti arabe mais combien ont déjà assisté à des cas de racisme anti noir et anti arabe.
- Il y a 19 heures
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en 2003 j’ai travaillé 14 mois en Afrique et s’entendre dire lors d’une soirée que pour avoir la paix dans le monde il faudrait tuer tous les blancs, il y à de quoi se poser des questions non ?
- Il y a 18 heures
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on n’aime pas ce qui est different. le racisme anti-blanc existe bel et bien
- Il y a 18 heures
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Dans nos quartiers, lorsqu’on brûle nos voitures, dépouilles nos petites vieilles et qu’on nous crache à la figure, comment veux tu appeler ça ?
- Il y a 17 heures
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Le racisme anti-blanc a existé de manière prouvée, documentée, officiellement: puisque toute critique à l’égard des expulseurs israéliens est classé « racisme antisémite », ALORS, forcément, la lutte internationale contre l’apartheid sud-africain a été du « racisme anti-blanc »!
- Il y a 16 heures
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« Aristote O » nous sommes nombreux à travailler dans ces quartiers et même pour certains à y vivre, et nous survivons, blancs, blacks, beurs, mais la tolérance cela fonctionne dans les deux sens.
Le racisme entraîne le racisme, il n’a ni couleur, ni religion, ni sexe, c’est une gangrène, que des personnes comme toi (quelque soit leur couleur) propagent.
Pourquoi penser que quelques crétins racistes et « communautaristes » représentent l’ensemble de telle ou telle ethnie, de telle ou telle couleur, de tel ou tel quartier.- Il y a 15 heures
« Quartiers »-« Banlieues »: Une équipe de France 3 agressée !
Chances pour la France, banlieues défavorisées, etc, etc…
29/06/2009
Des journalistes de France 3 ont été agressés et se sont fait voler leur caméra dimanche soir vers minuit dans le quartier des Tarterêts à Corbeil-Essonnes, qui a été le théâtre de vives tensions. Les journalistes ont déposé plainte à Paris, selon une source policière.
L’utilisation de gaz lacrymogènes par la police lors d’une intervention dimanche soir à proximité d’une kermesse organisée pour la fête du quartier a entraîné de vives protestations de la part des habitants. Vingt sept plaintes visant la police ont été déposées par des habitants du quartier.
Un de ces jours, les braves Français vont en avoir marre et là… la racaille va morfler pour de bon…
29/06/2009
Le Mans: Femmes en niqab : « Nous ne nous exilerons nulle part, nous résisterons »

Dans son intervention devant le Congrès à Versailles, Nicolas Sarközy a dit qu’il était favorable à la constitution d’une commission parlementaire en vue de réfléchir à l’adoption éventuelle d’une loi contre le port du voile intégral musulman (niqab et burqa). De son côté, le ministre de l’immigration, de l’intégration et de l’identité nationale, Eric Besson, affirme être opposé à une législation « anti-burqa », estimant qu’avec la loi de 2004 interdisant le voile islamique à l’école, « un équilibre a été trouvé, qu’il serait dangereux de remettre en cause ». Mimissa a interviewé trois jeunes femmes de la région du Mans, vêtues du niqab, Yamina, Oya et Najette, âgées de 22 à 25 ans.
Pourquoi portez-vous le niqab ?
Nous portons le niqab par soumission à Allah. Il s’agit d’une prescription islamique à laquelle chaque femme doit se conformer car celle-ci doit préserver sa pudeur. Cela dit, en islam, toutes les écoles ne sont pas unanimes pour dire qu’il s’agit d’une obligation. A dire vrai, il n’est pas dit expressément dans le Coran que les femmes doivent se recouvrir intégralement le corps. Ce sont les exégèses du Coran qui ont interprété dans la sourate An-nisâ (les femmes), la formule « baissez votre regard » comme voiler votre visage. En outre, dans la tradition prophétique, il y a des récits authentiques qui précisent à propos des femmes du prophète qu’elles se recouvraient intégralement le corps et ne laissaient apparaître qu’un seul œil. Par ailleurs, la sunna (tradition) du prophète impose également à l’homme de se conformer à des codes vestimentaires, comme par exemple l’obligation de porter une barbe.
Quel a été le déclencheur de ce choix ?
Auparavant, nous portions le voile. Et puis, progressivement, à mesure que nous avancions dans l’apprentissage de l’islam, l’idée de porter le niqab s’est imposée naturellement. L’amour pour Dieu et l’influence de nos amies qui le portaient ont été des facteurs déterminants. Nous voulons mettre un frein à toutes idées reçues, ce ne sont pas nos maris qui nous ont imposé de porter le niqab. Cela résulte d’un choix personnel. Pour dire vrai, nos maris étaient surpris la première fois que nous leur avons annoncé l’envie de porter le niqab.
Comment ont réagi vos proches ?
Yamina : Dans ma famille, il y a eu beaucoup d’incompréhensions et de réticences. Au départ, mon papa était contre. Quand je rendais visite à ma famille, je retirais systématiquement mon niqab dans les escaliers avant de pénétrer dans la maison. Un jour, mon papa m’a vu faire ce geste, il a souri et depuis, il me laisse tranquille. En revanche, mon frère ainé, qui est âgé de 28 ans, est extrêmement hostile au niqab. Il déteste que je le porte.
Hayete : mes parents pensaient davantage à mon avenir professionnel. Ils pensaient que cela pouvait être un obstacle dans la recherche d’un travail.
Oya : ma maman, au début, n’a rien dit. C’est la médisance des gens qui l’a faite changer d’avis. Elle me répétait sans cesse qu’elle aurait préféré que j’attende le mariage pour porter le niqab. S’agissant de mon papa, il pense que c’est de passage.
Concevez-vous que le niqab puisse être perçu comme une atteinte à féminité de la femme ?
Non, ce n’est pas une atteinte à la féminité de la femme. Depuis la nuit des temps, la femme qui se protège est un être pur. Au contraire, celles qui ne se protégeaient pas étaient considérées comme des femmes sans pudeur. Pour nous, en le portant, il s’agit de protéger notre beauté et notre pudeur, que nous réservons à nos époux. En réalité, ce qui dérange, c’est le fait qu’on ne s’habille pas comme les autres femmes, alors nous suscitons des interrogations. Vous savez, nous somme très féminines. Nous aussi, nous aimons portez de beaux habits, de beaux sous-vêtements. Mais la société veut que ces coquetteries soient montrées à tous les hommes et pas seulement à nos maris. En ne voyant pas notre physique, la société se sent agressée.
Pourquoi n’essayer-vous pas de rassurez-vous concitoyens ?
Nous le faisons lorsque certaines personnes nous interrogent sur la question du niqab. Mais le problème, c’est qu’une partie de la population n’ose pas venir nous voir, elle a peur de nous. Elle nous voit comme des Dracula. Cette vision qu’on a de nous s’est renforcée depuis les attentats du 11 septembre. Depuis ce jour, les médias n’ont cessé de diabolisé l’islam. Ils emploient des formules alambiquées, tels que « fondamentalisme, intégrisme, radicalisme » et ces mots créent une peur dans les sociétés à l’égard des musulmans dans leur ensemble. Et cette peur engendre de l’agressivité à notre encontre.
Amina : Je suis régulièrement agressée lorsque je sors. Dieu merci, ces agressions ne sont que verbales, ou alors ce sont des gestes qu’on m’adresse. Pour éviter cela, j’évite d’emprunter les transports en commun et d’aller faire les courses aux heures de pointes.
Oya : j’ai été agressé verbalement et grossièrement par un type. Il m’a traitée de prostituée. Dorénavant, j’ai l’intention de porter une bombe lacrymogène pour prévenir toute agression physique car ma sécurité est en danger.
Avez-vous déjà eu des réflexions de la part des musulmans ?
Oui, des regards méchants de la part des dames musulmanes. Les femmes de notre âge respectent notre choix.
Envisagez-vous de porter la burqa ?
La burqa, c’est le vêtement bleu, celui de la femme afghane. Pour nous, c’est le sitar. Même s’il s’agit du même processus intérieur, à savoir se recouvrir intégralement le visage. Les médias font une erreur sémantique. Mais oui, nous avons l’intention de le porter. Peut-être qu’on sortira moins mais on le portera.
Comment faites-vous pour subvenir à vos besoins ?
Yamina, Najete : Nos époux travaillent. Nous n’avons pas besoin de travailler. Encore une fois, stop aux idées reçues, l’islam autorise la femme à travailler. D’ailleurs, nos frères en islam sont en train de créer leurs entreprises.
Au travail, vos maris rencontrent-t-il des problèmes particuliers ?
Non, aujourd’hui nos maris n’ont aucun problème.
Yamina : C’est au début qu’il rencontrait des difficultés. Je me souviens qu’il avait présenté sa candidature à la SETRAM (Société des transports en commun de l’agglomération mancelle). Lors de l’entretien, on lui a demandé si sa barbe manifestait son appartenance à la religion musulmane. Il est aussi arrivé qu’on reproche à un ouvrier le fait qu’il retrousse son pantalon. C’est dément d’en arriver là !
Quand vous serez maman, les instituteurs à la maternelle vous demanderont d’ôter votre niqab ou votre burqa au moment de déposer et de reprendre votre ou vos enfants. Comment ferez-vous ?
S’il s’agit d’une institutrice, je lui montrerai mon visage sans hésitation. En revanche, s’il s’agit d’un instituteur, je lui demanderai de faire venir une femme. Sinon, nous avons toujours la possibilité de demander à nos époux, s’ils ne travaillent pas, d’aller chercher les enfants à l’école. A vrai dire, je pense que ce problème n’aura pas lieu. Nous ne pensons pas scolariser nos enfants à la maternelle. Nous sommes toutes capables de leur inculquer une éducation intellectuelle. Ce choix n’a aucun lien avec la religion bien entendu.
Si une loi interdit le port de la burqa, quelle sera votre réaction ?
Ce sera une tristesse absolue. On sortira beaucoup moins et on aura l’impression d’être des hors-la-loi. Nous pensons que la société cherche à nous exclure en agissant de cette façon. Vous vous rendez compte, six mois d’enquête parlementaire pour réfléchir à l’opportunité d’une loi, c’est absurde ! Ils cherchent des problèmes là où il n’y en a pas, il y a des problèmes beaucoup plus importants. Cependant, nous ne baisserons pas les bras, nous nous exilerons nulle part, nous résisterons ! Nous sommes françaises et nos hommes politiques doivent l’intégrer dans leurs esprits et dans leurs politiques. Sinon, nous saisirons la juridiction administrative.
Propos recueillis par Mimissa Barberis
source : 20minutes.bondyblog.fr
La vie aux Minguettes à Vénissieux…
Sans commentaires non plus…
Ankara se réjouit de la nomination de Pierre Lellouche. Tu parles!
Au cours de ce déjeuner, le jeune ministre (39 ans), qui fait partie de l’aile libérale de l’AKP, a plaidé avec passion pour l’adhésion de son pays à l’Union. « La Turquie n’acceptera rien de moins que l’adhésion pleine et entière. On est enceinte ou pas et si on l’est, on accouche d’une adhésion, pas d’autre chose ». Pour lui, « le temps travaille en faveur de la Turquie. Aujourd’hui, elle a besoin de l’Union. Dans dix ans, ce sera l’inverse ». Car il ne doute pas une seconde que son pays « sera complètement différent dans dix ans comme il l’est aujourd’hui par rapport à ce qu’il était il y a dix ans ». Et d’énumérer la liste impressionnante des réformes adoptées par les différents gouvernements (de l’abolition de la peine de mort à la reconnaissance des droits des minorités en passant par l’égalité homme/femme, etc.) pour se mettre au diapason des normes européennes : « nous faisons les réformes, car nous croyons qu’il est bon que la Turquie vive selon les standards démocratiques et économiques de l’Union ». Il rappelle que le projet de la Turquie moderne, née de la volonté d’Atatürk, était de transformer son pays en un « État occidental, démocratique, civilisé ».
Pour Egemen Bagis, la Turquie a des chances d’être prête à adhérer entre 2014 et 2019,
Ce que vous ne verrez jamais sur une chaine de TV française. Et pourtant…
Ci-dessus un petit reportage d’une vingtaine de minutes que je vous invite à ne rater sous aucun prétexte. Ce dernier a été diffusé par la chaîne de télévision Suisse, la TSR, et n’arrivera pas jusqu’à vos yeux par l’intermédiaire d’une chaîne française (et pour cause…).
Celui-ci commence à faire le tour d’un web, qui pour certaines occasions se substitue à la petite lucarne en brisant les frontières.
Très intéressante, cette investigation (objective?) met en avant les difficultés rencontrées entre les médias français et le Président Sarkozy. Le reportage en dit long sur le climat de retenue qui pèse actuellement sur le monde de l’information, en vous dévoilant l’envers d’un décor finalement de plus en plus bleu et blanc que rouge.
Caillassage : la question qui n’est jamais posée…
29 juin 2009
Promenez-vous dans une zup quelconque ou dans la rue d’une de vos cités préférées. Supposons que vous soyez subitement saisi d’une envie de « caillasser» un camion de pompier ou un car de police qui passe. Où allez-vous trouvez des cailloux ? Il n’y a pas de cailloux dans les rues. Dans les pelouses et les jardins publics ? Les pierres sont enfouies… Un chantier ? Mais le chantier le plus proche est à quatre rues d’ici…
Peut-être avez-vous en permanence une bêche dans votre sac à dos, ou encore êtes-vous passé maître dans l’art d’arracher des morceaux de parpaing à mains nues. Au bout d’un bon quart d’heure de travail, vous aurez bien récolté quelques pierres. Mais les pompiers seront partis.
Plus vraisemblablement, vos envies ne sont pas subites mais préméditées. En prévision, vous avez consciencieusement amassé un stock de gros cailloux prélevés sur un chantier en prévision de votre révolte « subite» contre les autorités.
Problème : le car de CRS que vous avez envie de caillasser est garé dans la rue d’à coté. Comment faire ? Il faut aller chercher 5 à 10 kilos de cailloux et autres parpaings. Diable, c’est long. En plus les CRS viennent de changer de rue. Il faut tout recommencer. Vous songez à acheter une brouette.
Plus sûrement :
- vous avez entassé plusieurs réserves de grosses pierres à des endroits stratégiques.
- vos émotions ne sont pas débordantes.
- votre « révolte» est planifiée.
- vos opérations sont concertées.
En résumé, la plupart des « caillassages» , présentés dans les médias comme des manifestations épidermiques de « jeunes» en révolte contre l’autorité, ne sont en rien dûs à des soubresauts émotionnels.
Ce sont des guet-apens prémédités, préparés et organisés méthodiquement, destinés à harceler toute forme d’autorité dans une logique de contrôle territorial. Et ces agissements devraient être jugés (judiciairement) comme tels.
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Un article du Parisien vient confirmer cette réflexion :
Une bande de jeunes avait pris l’habitude d’incendier les poubelles pour attirer les policiers dans un guet-apens. Le scénario était bien rodé. Ils cassaient les lampadaires pour plonger le quartier dans le noir. Ils pouvaient alors disposer les conteneurs en travers de la voie de bus. Ils y mettaient le feu et attendaient la police. (…) Les policiers ont découvert un tas de pavés, un bidon d’essence et un extincteur. Des délits commis à chaque fois « pour s’en prendre aux policiers ». (source) (via jp)
Mais tout ça, le peuple ne le sait pas; on se garde bien de lui dire… Sinon, les fusils ressortiraient du dessous des armoires… Et ça pourrait bien arriver…
Tirs à la Courneuve: trois personnes en examen. Encore des « chances pour la France »?
28/06/2009
Deux hommes de 24 ans ont été placés en détention provisoire, une jeune femme de 21 ans a été placée sous contrôle judiciaire. Un mois et demi après ces tirs, des policiers ont essuyé des tirs de feux d’artifice ce week-end à Tremblay-en-France, autre commune de Seine-Saint-Denis.
Trois personnes, deux hommes de 24 ans et une femme de 21 ans, ont été mises en examen dimanche après-midi par un juge d’instruction de Bobigny dans l’affaire des tirs de kalachnikov sur un fourgon de police à la Courneuve en Seine-Saint-Denis.
L’un des deux hommes a été mis en examen pour «détention d’arme et de munitions de première catégorie», «transport d’arme et de munitions de première catégorie», «association de malfaiteurs» et «tentative d’évasion en bande organisée» et risque jusque dix ans de prison. Le second jeune homme a été mis en examen pour les mêmes chefs d’accusation que le premier ainsi que pour «tentative de meurtre en bande organisée sur officiers de police». Il encourt la réclusion à perpétuité. Les deux hommes ont été présentés dans l’après-midi au juge des détentions et libertés qui les a placés en détention provisoire.
La jeune femme a été mise en examen pour «détention d’arme et de munitions de première catégorie» et «obstacle à la justice par recel» et placée sous contrôle judiciaire. Elle risque une peine pouvant aller jusqu’à trois ans de prison.
Dans le quartier sensible des «4.000» de La Courneuve, des tirs à l’arme de guerre – une kalachnikov de calibre 7,62 mm – avaient été essuyés le dimanche 17 mai par un fourgon de police convoyant deux gardés à vue, lors d’un guet-apens tendu par plusieurs personnes. Ce type de violence, très rare en banlieue parisienne, avait suscité une vive émotion, notamment parmi les forces de l’ordre.
Des feux d’artifice contre des policiers
Un mois et demi après ces tirs de Kalachnikov, des policiers ont essuyé des tirs de mortiers de feux d’artifice dans la nuit de samedi à dimanche, à Tremblay-en-France, autre commune de Seine-Saint-Denis. Aucun blessé n’est à déplorer. Un jeune a été arrêté. Ses proches affirment cependant «qu’il n’a pas participé aux affrontements».
La police est intervenue dans un premier temps dans la cité des «Grands Ensembles» à l’encontre de jeunes utilisant ces mortiers, interdits dans le département, pour tirer des feux d’artifice. La situation s’est alors aussitôt tendue et les jeunes ont dirigé les mortiers vers la police. Lancés à tir tendu en visant des personnes, ces mortiers peuvent s’avérer très dangereux.
Leur usage n’est pas une «première» dans les quartiers sensibles, a noté la source policière, ajoutant que les jeunes étaient «approvisionnés en munitions» par des camarades à scooter et «très bien organisés», leur but étant «de s’en prendre délibérément à des fonctionnaires de police».
Les policiers «en ont ras la casquette de subir cela au quotidien», a réagi Nicolas Comte, secrétaire général de l’union syndicale CGP-FO et Unité Police (syndicat majoritaire). Pour Thierry Mazet, d’Alliance (second syndicat de gardiens de la paix), il y a un vrai «ras-le-bol des policiers» face à la «multiplication des incidents et violences» à leur encontre.
Samedi soir, des échauffourées ont opposé des policiers à une centaine de jeunes au Val Fourré, à Mantes-la-Jolie, dans les Yvelines, sans faire de blessé. Des policiers effectuant un contrôle d’identité ont été pris à partie et ont dû appeler des renforts pour se dégager, dispersant les jeunes par des tirs de gaz lacrymogène et de flashball.
Les médias les nomment: « personnes, jeunes hommes, jeune femmes »… Pourquoi ne pas dire la vérité que TOUT LE LONDE connait: Ce sont des « Chances pour la France », issus de l’immigration. Mais il ne faut pas le dire, c’est du racisme, le nouveau « crime de guerre » passible des pires peines. Les délinquants, eux, ne risquent pratiquement rien, au nom des lois pondues par nos gouvernants pour avoir la paix et des associations gauchistes qui les soutiennent. Mais la Paix devra attendre…
CRCM : aucun lien entre les fidèles de la mosquée et le proxénète: évident…
Le Conseil régional du culte musulman PACA souligne que l’affaire de proxénétisme, pour laquelle a été écroué le président de l’association de la mosquée d’Orange, « relève uniquement du droit commun ».
Une mosquée à Marseille, Provence-Alpes-Côte d’Azur (Sipa)
Le Conseil régional du culte musulman (CRCM) de Provence-Alpes-Côte-d’Azur (PACA) a souligné samedi 27 juin que les fidèles d’Orange, dans le Vaucluse, n’étaient « nullement impliqués » dans l’affaire de proxénétisme pour laquelle a été écroué le président de l’association qui gère la principale mosquée de cette ville.
Le président du CRCM PACA, Khalid Belkhadir, a en effet précisé dans un communiqué que les fidèles n’étaient nullement impliqués « de près ni de loin dans cette affaire qui relève uniquement du droit commun ».
« Mélange des genres »
Le CRCM a également déploré « le mélange des genres qui a pu s’établir à partir de cette affaire portant ainsi gravement atteinte à l’intégrité morale de toute la communauté musulmane d’Orange ».
Vendredi, le président de l’association « Lumière de Dieu » chargée de la gestion de la mosquée d’Orange, Abdeslam Bahiad, de nationalité marocaine et résidant en France, avait été mis en examen et écroué pour non-justification de ressources, proxénétisme aggravé, blanchiment d’argent et aide au séjour irrégulier. (Nouvelobs.com)
28/06/2009
« Ils » s’offrent enfin des vacances…
Grâce au collectif AC-Lefeu, 18 familles de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) pourront séjourner en Vendée. Originalité : la présence de médecins et d’enseignants sur place.

Né en 2005 après les violences urbaines de 2005, le collectif clichois a effectué le tour de France des quartiers, avant de restituer une synthèse aux candidats à la présidentielle. Depuis, les membres de l’association poursuivent leur action avec des projets associatifs comme ces « séjours familles » .
Il a fallu sélectionner 18 foyers (avec un maximum de 6 personnes), orientées par les associations locales. Une quinzaine sont sur liste d’attente. Montant du projet : 50 000 €. Chaque famille paye 130 € et fournit les bons de vacances CAF perçus. Le reste est permis par des partenariats locaux ou associatifs (ville, Etat, CAF, Département, Ufal, CCFD, Léo Lagrange…).
« Trouver un camping n’a pas été simple, relate Mohamed Mechmache, d’AC-Lefeu. Après avoir dit que les familles venaient de Clichy-sous-Bois, on me disait qu’il n’y avait pas de disponibilités. » C’est finalement dans les mobile homes des Sirènes, camping de la chaîne Campéole (filiale de Trigano), que les Clichois séjourneront, avec au programme, entre autres, une excursion sur l’île d’Yeu .
Mais l’originalité réside aussi dans l’intervention de professionnels (médecins, infirmiers, profs) pour parler santé, décrochage scolaire, addictions… Le suivi est aussi prévu au retour.
Noir discours…
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PARIS (NOVOpress)
Dans son premier discours de secrétaire d’Etat aux sports, le 25 juin, Rama Yade a montré de graves lacunes en histoire et en sports. La tête, sans doute encore aux Droits de l’homme, son ancien portefeuille ministériel, la protégée de Nicolas Sarkozy a voulu mélanger politique et performances sportives. En faisant référence à Nelson Mandela « portant le maillot des Springboks à la fin de l’apartheid » en Afrique du Sud, ou « l’Afro-américain Jesse Owens brandissant son poing rebelle face aux Nazis ».
Si des sportifs ont bien brandi leur poing, ce n’était pas face à Adolf Hitler lors des Jeux olympiques à Berlin en 1936, mais à Mexico en 1968. Deux athlètes noirs, Tommie Smith (vainqueur des 200 mètres) et John Carlos (troisième de l’épreuve) voulaient manifester ainsi leur fierté identitaire et dénoncer la condition des Noirs aux Etats-Unis.
Un geste aux allures également de revendications raciales puisque peu après, Tommie Smith expliqua que le poing levé et la paire de gants noirs partagée avec John Carlos signifiaient « le pouvoir et l’unité des Noirs américains ». Dans ce contexte du « black power » revendiqué par l’islamiste noir Malcolm X, tué 3 ans plus tôt, ces mêmes Jeux olympiques à Mexico furent émaillés d’autres démonstrations raciales, comme les quatre finalistes du relais 4×400 mètres qui se présentèrent sur le podium coiffés d’un béret noir.
Avec de telles références et de telles confusions historiques, les sports en France, sous l’égide de Rama Yade, risquent de broyer… du noir.