Francaisdefrance's Blog

11/12/2011

Les harpies… Après Cécile Duflot, Caroline Fourest, c’est au tour d’une conseillère municipale de Saint Nazaire de dévoiler son véritable visage…

Et j’ai du en oublier pas mal dans la liste des vautours qui ont tellement peur de Marine Le Pen qu’ils n’ont d’autre recours que de cracher sur elle. Et avec des menaces, parfois.

Et elles vont s’y casser les dents… La présence de Marine Le Pen à la présidentielle fait sortir de leurs gonds beaucoup de « personnes en vue » qui en fait en ont peur… Et c’est quand on sort de ses gonds que l’on se rend compte de la vraie nature des gens; et ce n’est pas toujours beau à voir; la preuve.

Nathalie Bruneau, dernière en date, devrait éviter de jouer dans la cour des grands…

Tous se complaisent à dire que le FN est un parti de haine… Mais on voit d’où elle vient directement, la haine.

FDF

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UN ARTICLE TRÈS INTÉRESSANT SUR LE DÉMOCRATIE ET LE DROITS D’EXPRESSION SELON LA GAUCHE  DE NOTRE PAYS
« «  Si elle vient, nous allons lui préparer un comité d’accueil dont elle se souviendra longtemps. J’ai encore en mémoire, l’un de mes premiers combats politiques lors de la dernière incursion de son père à Saint-Nazaire. Cela avait donné lieu à une manifestation populaire assez musclée. »
ose dire une gauchiste  du nom de
Nathalie Bruneau    qui  souhaite même aller à l’affrontement,  envers une candidate   qui représente au moins 35% d’électeurs.

RIEN D’ÉTONNANT A CE QUE LES PRÉVISIONS DE VOTRE PAR LES OUVRIERS EN FAVEUR DU FN ATTEIGNENT PLUS DE 43%   –
LE PS  AYANT PERDU TOUT SON ÉLECTORAT OUVRIER  au profit du FN,  cette GAUCHE EST DONC TENUE DE SE TOURNER VERS UN ÉLECTORAT D’ÉTRANGERS.

JC JC


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Marine Le Pen est-elle indésirable chez les gars de la marine ?

L’annonce d’un éventuel meeting de Marine Le Pen à la Soucoupe en avril 2012 a fait l’effet d’une bombe dans le milieu politique et associatif nazairien.
 Elle a même suscité le courroux de Nathalie Bruneau. La conseillère municipale divers gauche promet un accueil « musclé » à la présidente du FN.

Marine Le Pen candidate du Front National à l’élection présidentielle souhaitait tenir un meeting en Loire-Atlantique dans le cadre de sa campagne. Dans cette optique, la fille de Jean-Marie Le Pen a chargé Marguerite Lussaud la présidente départementale de trouver une salle susceptible d’accueillir 800 personnes. Selon cette dernière, une demande a été faite auprès de la municipalité de Vertou qui avait donné un accord favorable dans un premier temps, avant de se raviser.
Devant ce refus, les instances départementales sont allées frapper à la porte de Jean-Marc Ayrault pour solliciter un lieu d’accueil. Mais là encore, le FN a dû déchanter : « Nous aurions préféré la Beaujoire, mais on nous a prétexté des travaux à cette période de l’année ».


Qu’à cela ne tienne, Marguerite Lussaud s’est tournée vers Saint-Nazaire, non sans raison : «  En 2011, nos adhésions ont augmenté de 300 % sur la Loire-Atlantique, ce qui porte à 600 le nombre de nos symphatisants. À Saint-Nazaire, les effectifs sont en forte augmentation (environ 70) avec notamment de nombreux ouvriers des chantiers ». Signe de cet intérêt en faveur des salariés des chantiers, les instances départementales qui se réunissent samedi 10 décembre à 15 h à Guérande (faubourg Saint-  Michel) désigneront officiellement le candidat de la 8e circonscription.

Il s’agit de Jean-Claude Blanchard 58 ans, un ancien soudeur de Saint Michel-Chef-Chef aujourd’hui reconverti dans la sécurité au sein d’une structure hospitalière à Saint-Brevin. Faut-il voir à travers cette intronisation, une tentative de récupération auprès des ouvriers des chantiers de l’Atlantique ? C’est en tout cas ce que semble penser Fabrice David secrétaire général de la CGT : «  Le FN a un programme populiste qui surfe sur les divisions entre les salariés. C’est un programme au rabais inadapté aux besoins des Français ». Et de rappeler que dans son discours du 1er mai, Fabrice David mettait déjà en garde les ouvriers sur les tentatives de récupération de leur voix :  « Il ne faut pas que les employés des chantiers se laissent attirer par le phare obscur du FN ».



Bien évidemment, le leader syndical n’apprécie pas la position du maire de Saint-Nazaire : « Je désavoue complètement la position de Joël Batteux. À la CGT, nous considérons que le FN est un parti non républicain qui véhicule la haine et qui ne va pas permettre aux ouvriers de mieux vivre ».

«  Un parti antidémocratique »

Dans les rangs de certaines forces de gauche, on partage assez largement ce sentiment. D’ailleurs, Nathalie Bruneau divers gauche a officiellement sollicité le maire pour qu’il réponde défavorablement à la demande de Marine Le Pen :

« Je souhaite vivement qu’il n’y ait aucune salle municipale ou paramunicipale qui soit mise à la disposition du  »F-Haine ». Ce parti anti-démocratique ne tient qu’un discours de rejet, de stigmatisation complètement à l’encontre des valeurs défendues par notre ville. Elle souhaite venir à Saint-Nazaire car elle est un « symbole ». Que les ouvriers ne soient pas leurrés, le programme économique du FN ne prend soin que des intérêts du patronat et tente de dresser les uns contre les autres, les salariés. C’est un programme anti-social ».



Nathalie Bruneau que l’on a souvent entendu faire l’apologie de la démocratie au sein du conseil municipal semble bien décidée à tout faire pour empêcher la venue de Marine Le Pen qui selon Marguerite Lussaud et sous réserve de l’accord de Joël Batteux tiendra son meeting à la Soucoupe le vendredi 13 avril. Ce haut lieu du patrimoine nazairien et théâtre de tant d’exploits sportifs notamment en boxe risque bien d’être aussi un lieu de combat autrement moins pacifique qu’à l’accoutumée.
C’est en tout cas ce que laisse entendre, Nathalie Bruneau qui se rappelle de la venue de Jean-Marie Le Pen à Saint-Nazaire alors qu’elle n’était encore qu’une jeune adolescente : 



«  Si elle vient, nous allons lui préparer un comité d’accueil dont elle se souviendra longtemps. J’ai encore en mémoire, l’un de mes premiers combats politiques lors de la dernière incursion de son père à Saint-Nazaire. Cela avait donné lieu à une manifestation populaire assez musclée. Le FN est un parti anti-démocratique que l’on ne peut traiter comme un parti traditionnel ». De son côté, Damien Perrotin représentant de l’UDB souligne : « Si elle vient, il faudra un comité d’accueil non violent bien sûr, mais déterminé ».

«  Des propos liberticides »

À droite, l’éventuelle venue de Marine Le Pen à Saint-Nazaire ne laisse pas indifférent. Kévin Izorce s’il ne partage aucunement les opinions du FN pense tout de même qu’il faut traiter Marine Le Pen comme tous les autres candidats : « Je suis contre la marginalisation du FN. Ça le renforce dans sa fausse position anti-système, alors qu’il vit grâce à ce système. Il ne faut surtout pas donner des raisons au FN de se victimiser ». Christian Bertin conseiller municipal UMP, sans être favorable à sa venue souligne : « On est en démocratie. Marine Le Pen a le droit de venir et de s’exprimer ». Quand à Jean-Louis Garnier, le leader charismatique de la droite locale, il n’apprécie pas du tout la manoeuvre de Nathalie Bruneau. « Étant préalablement rappelé que je représente au conseil municipal, le mouvement politique qui a le moins intérêt à la réussite du FN, je ne peux laisser passer les propos liberticides de Nathalie Bruneau. Si tous les partis qui expriment haine et rejet devaient , hors sanctions des tribunaux, se voir interdire de salles, jamais le parti qu’elle représentait ne pourrait s’exprimer. Communisme et fascisme ont tous commencé par empêcher l’expression de points de vue différents. Il faut bien constater que ce n’est pas le parti de Marine Le Pen qui est dans ce cas. Je m’interroge d’ailleurs sur cette étrange attitude de la gauche qui met en vitrine l’action de cette candidate en la victimisant. S’ils croient cacher à l’opinion que leur but réel est de lui donner de l’importance pour que son score nous affaiblisse et leur permette d’arriver au pouvoir suprême, ils se trompent, mais ils nous montrent ce que sera une France entièrement dominée par la gauche. Un pays où la liberté d’expression sera de plus en plus restreinte ». Interrogé sur le sujet, Yves Coquard le tout jeune président de la Ligue des droits de l’homme s’exprime à titre personnel : « Je pense que le parti de Marine Le Pen est légitime et légal. Mais ça s’arrête là ! Les élus du FN doivent être combattus par le débat démocratique sur des idées. Concernant la LDH, nous déciderons le 16 décembre prochain d’une éventuelle action à mener soit seuls, soit avec d’autres associations pour combattre les idées du FN ».

« Saint-Nazaire ville emblématique pour le FN »

Quant à Oriane Borja ex-candidate FN aux dernières élections cantonales, nous l’avons interrogée sur les causes de sa démission du parti. « Les raisons de ma démission sont hors de portée de la compréhension d’un journaliste. Aujourd’hui, je préfère parler d’une voix en dehors du FN ». Concernant, le choix de Saint-Nazaire comme lieu de meeting, elle précise : « Saint-Nazaire est une ville emblématique qui représente notre électorat à venir. Aujourd’hui et plus que jamais, je soutiens Marine Le Pen et je pense vraiment que nous allons arriver au pouvoir ».

Source: http://www.saintnazaire-infos.fr/

De scandales en scandales…

On n’a jamais vu un tel déferlement de scandales de tous poils à l’avant veille d’une élection présidentielle…

Le ring politique est toujours plein.

FDF

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Wasquehal : ce que dit le rapport de la Chambre régionale des comptes

Gérard Vignoble, maire de Wasquehal. Gérard Vignoble, maire de Wasquehal.

Lundi, le rapport de la Chambre régionale des comptes sur la gestion de la Ville de Wasquehal doit être rendu public lors du conseil municipal. Nord éclair a pu s’en procurer une copie. Il est à la fois accablant sur la gestion des finances communales et explosif sur l’utilisation très particulière de l’argent du contribuable par le maire de Wasquehal.


Des déjeuners quasi quotidiens dans les restaurants facturés à la Ville, des pleins d’essence sur sa voiture de fonction à une demi-heure ou une heure et demie d’intervalle, des logements municipaux octroyés à des loyers défiant toute concurrence ou gratuitement à des élues ou des joueurs de l’ES Wasquehal… Autant de problèmes que l’opposition avait déjà mis sur place publique et qui se trouvent confirmés par les magistrats indépendants de la Chambre régionale des comptes qui conclut : « Beaucoup de ces irrégularités ou désordres ont pour effet d’octroyer des avantages à un nombre limité de personnes« .

Plusieurs élus d’opposition veulent demander la démission en bloc des élus de la majorité municipale. Stéphanie Ducret, élue qui avait quitté cette majorité en 2004 et qui siège depuis dans l’opposition, doit déposer une plainte pour détournements de fonds publics.

Tous les détails dimanche 11 décembre 2011, dans Nord éclair. Et les premières réactions locales dans notre édition de Roubaix.

Source: http://www.nordeclair.fr/

Sardan (30) : Le conseil municipal anti-FN démissionne !

Et c’est reparti! Mais quelle bande de cons ! 

La propagande UMPS fait son sale boulot. Les maires ne sont même plus maîtres de leurs décisions. Celui-ci (Philippe Chagnolleau) donne sa signature à Marine Le Pen et tout de suite, c’est la guerre! Tous les prétextes sont bons pour le traîner dans la boue.

N’allez pas me dire que tout ça n’est pas instrumentalisé… Je l’avais précisé dans un précédent billet: le maire UMP d’une commune voisine de la mienne m’avait avoué en catimini qu’il avait reçu des « consignes » pour donner systématiquement sa signature au candidat UMP (Sarkö Ier ?) en vue des présidentielles et qu’on ne lui donnait pas d’autres choix…

La liberté de penser et d’expression en prend un bon coup. Ca frise le chantage. En fait, c’en est, du chantage…

Courage, Monsieur le maire de Sardan; tenez bon!

FDF

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Voir: http://youtu.be/xN7sEZCFzKA

Un mollah s’exalte sur la nécessicité de renouveler les attaques terroristes du 11/9 contre les États-Unis dans une interview télévisée.

Celui-ci, je lui donnerais le choix: une balle en pleine tronche ou le bûcher… Le bûcher, ça serait sympa: il y a bien longtemps que l’on n’a pas vu ça… Mais bon; au prix où est le bois d’affouage, faut voir.

Une balle; c’est mieux. Et on fait comme en Chine: on envoie la facture de la balle à la famille. Il n’y a pas de petites économies.

FDF

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« Le parti norvégien du Progrès (Progress Party) a demandé l’arrestation immédiate du mollah Krekar après sa déclaration exaltée sur la nécessicité de renouveler les attaques terroristes du 11/9 contre les États-Unis dans une interview télévisée. »

« Il a également affirmé que l’islam “va contrôler l’ensemble du monde” dans les 20 prochaines années »

IL FAUT ABSOLUMENT ARRETER ET EXTRADER CE GENRE DE FOU DANGEREUX

Une ”chance pour la Norvège” mord la main d’Obama tendue aux musulmans ! Le resultat des efforts du Président pour réconcillier l’islam avec l’Amérique n’est pas celui qu’il escomptait.

Une bonne tête de vainqueur…

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L’extrémiste musulman installé en Norvège a fait ces commentaires dans une interview avec la chaîne MTV3 en Finlande. Il a également affirmé que l’islam “va contrôler l’ensemble du monde” dans les 20 prochaines années.

Un peu plus d’une décennie après les attaques terroristes dévastatrices qui ont fait près de 3.000 morts, Krekar dit:

 ”Ils n’ont rien appris de l’attaque du 9 / 11. C’est pourquoi ils ont besoin d’une deuxième attaque. C’est la seule façon pour que les Américains comprennent que nous [les musulmans] sommes des personnes et non des animaux ou des esclaves. […]

Krekar, qui est le co-fondateur du groupe islamiste Ansar al-Islam, est arrivé en Norvège en tant que réfugié du nord de l’Irak en 1991.

Dans l’interview de la télévision finlandaise, il a aussi parlé de manière énigmatique de la démocratie à l’européenne, disant qu’elle  ne prendrait jamais racine au Moyen-Orient. Comparant l’exportation de la démocratie occidentale à une «banane en plastique», il a dit qu’elle ne serait jamais acceptée dans le monde arabe car, contrairement à la vraie banane, “vous ne pouvez pas la manger.”[…]

Source : The local estrait traduit par Bivouac-id.

« Perpét » pour le gérontophile « issu de l’immigration ».

On en connaît, des dingues. Mais comme celui-ci, rarement. Et c’est encore un immigré qui fait la richesse de notre pays, comme l’a dit Martine Aubry… Dans le cas présent, il se pose même comme victime de pulsions sexuelles incontrôlables. En prison, certains vont se charger de lui faire passer ses envies… Et « perpét », c’est long; très long… Genre d’individu à ne surtout pas expulser; il faut qu’il purge…. sa peine. Il est certain qu’il va avoir du mal de s’assoir pendant un moment; mais il va s’y faire, le « Rocco Sieffredi » des dunes. En pensant à ces deux dames âgées…

On les savait pédophiles, entre autres (comme le Prophète). Les voici maintenant « gérontophiles » ( http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9rontophilie )…

Rien ne les arrête.

Bon; il va faire nuit, je vais rentrer mes poules; on ne sait jamais…

FDF

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« Depuis mercredi, Norredinne Dif, accusé de viol  avec barbarie et de tentative de viol sur personnes vulnérables, deux femmes âgées de 81 et 86 ans,  se retranche derrière la responsabilité des médias  et de la justice pour expliquer ses actes. »
« A l’annonce du jugement, l’accusé n’a eu aucune réaction mais a adressé un doigt d’honneur à l’avocat général. Il a ensuite remercié les jurés. »

Norredinne Dif condamné à la réclusion criminelle à perpétuité



 Au terme de deux heures de délibéré, Norredinne Dif a finalement été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une période de sureté de 18 ans.

Norredinne Dif : un « malade » pour les parties civiles

Depuis mercredi, Norredinne Dif, accusé de viol  avec barbarie et de tentative de viol sur personnes vulnérables, deux femmes âgées de 81 et 86 ans,  se retranche derrière la responsabilité des médias  et de la justice pour expliquer ses actes. Du jour des faits,  il dit « ne rien se rappeler ». Les experts évoquent  tous les traits d’un « psychopathe dangereux ».

NORREDINNE DIF pleure… Il pleure sur lui-même. Il se lève, s’adresse à grand renfort d’effusion et de mots choisis aux victimes. « Ce n’est pas à elles d’avoir honte. C’est moi l’agresseur, c’est elles les victimes. Je ne voulais vraiment pas ça… Je n’ai aucune excuse. Ma peine n’a aucune importance pour moi… Comment expliquer quelque chose qui m’échappe, qui me dépasse ? ».
L’homme soupire, se prend la tête dans les mains, quand il ne s’en prend pas à l’avocat général. Alors que les experts ont décrit tout au long de la matinée les traits d’un « psychopathe », d’un « homme dangereux en terme criminologique » (lire ci-après), l’accusé va s’emmêler dans ses contradictions, n’amener aucune explication sauf à parler de lui-même. Des faits, « il ne se souvient de rien. Ce n’est pas de la mémoire sélective, je n’ai aucun souvenir… J’avais bu dès le matin ». Il n’expliquera rien de ce passage à l’acte, si ce n’est de se retrancher – encore et encore – derrière la responsabilité des médias ou de la justice.
La partie civile attendait des explications, elle n’en aura pas. Pas un mot, pas un début d’explication. Me Beyer-Buchwalter, écœuré par tant d’indifférence et de cynisme, ne s’essaiera même pas à lui poser de questions. Me Ammoura va tout simplement se confronter à un mur, l’accusé refusant de parler à l’avocat, également partie civile dans une précédente affaire.

La colère des parties civiles
Il dit ne « pas fuir ses responsabilités », mais ne parle pas du jour des faits. C’en est pathétique… Il dira « ne pas avoir d’explications ». Il parle de sa souffrance, de son mal-être face à son « problème anatomique »… mais semble oublier celle des victimes. Il dira simplement avoir « été un monstre sur les faits, mais par procuration… Je ne suis pas un monstre en réalité. J’ai été lâche, mais je n’ai pas été lâche toute ma vie. J’ai toujours travaillé… J’ai honte ».
« Une fuite en avant » inacceptable pour Me Beyer-Buchwalter, l’avocat de Colette (*), 81 ans, violée avec une telle barbarie que c’en est indicible. L’avocate va hausser le ton. « Ce n’est pas acceptable. J’ai le sentiment d’une victime là dans le boxe… Et cette dame-là, sur le banc, elle est quoi ? Une blessée de la vie qui n’avait rien demandé à personne. Elle est là aujourd’hui, elle a su garder toute sa dignité contrairement à vous ».
Et de s’emporter, alors que Norredinne Dif garde la tête baissée. « Il est assez extraordinaire d’avoir un procès dans lequel l’accusé n’a prononcé aucun mot, pas un mot sur les faits. Il est tellement plus simple de se réfugier derrière un trou noir. J’attendais un minimum de courage de votre part. Il n’a pas de véritables remords, pas de regrets authentiques… Vous cherchez des explications sur vous-même, mais vous avez commis l’irréparable avec une violence inouïe… Quand je vois la taille de votre poing et la taille de la victime. Vous lui avez ravagé l’anus, le vagin. Elle a été massacrée ! Vous avez brisé deux vies ce jour-là, deux sœurs qui étaient là, qui ne demandaient rien à personne. Et si sa sœur n’avait pas été là ce soir-là, elle serait morte aujourd’hui. Vous l’avez abandonnée en la laissant se vider de son sang… J’aurais aimé que vous leviez la tête. On n’est pas un homme à la longueur de son pénis, on est un homme quand on est un homme courageux. Vous êtes un malade. Votre place n’est pas dans notre société ».
Pour la défense d’Alice (*), victime d’une tentative de viol le même jour, une femme de 86 ans qui a depuis perdu toute autonomie et va devoir être placée, « parce qu’il lui a brisé le bras »… Me Ammoura va rappeler le passé de l’accusé, un passé qu’il connaît bien pour avoir défendu une autre victime de ses viols. Il va surtout mettre Norredinne Dif face à ses contradictions. « Il refuse de répondre à mes questions, parce qu’il sait que je sais ce qu’il a fait. J’ai le sentiment qu’à la suite de la décision prise par la cour d’assises de la Marne (NDLR : un acquittement), il s’est parfaitement convaincu qu’il était lui-même innocent. C’est pour cela qu’il a accepté, après son acquittement, de se soumettre aux prélèvements ADN… Et voilà, l’inimaginable s’est produit ce 29 novembre 2008. Ce n’est pas un hasard s’il est arrivé là ! ». Et d’évoquer « un homme dangereux. Il a causé des dommages irréparables. Elle ne peut plus vivre sereinement la fin de sa vie. Elle a près de 90 ans. Ça fait maintenant un peu plus de 3 ans qu’elle se bat pour essayer de rester dans son domicile… et ce n’est malheureusement plus possible. Elle a toujours peur. Il s’est produit ce jour-là l’inimaginable pour cette femme ». Tête dans les mains, Norredinne Dif ne relèvera jamais la tête…
L’audience doit reprendre ce matin par les réquisitions de l’avocat général et la plaidoirie de ses avocats. Norredinne Dif, que Me Beyer-Buchwalter a qualifié de « gérontophile », sera fixé sur son sort dans l’après-midi. Il encourt, mais à l’en croire, il le réclame lui-même, la réclusion criminelle à perpétuité.
C. G.

Source: http://www.lunion.presse.fr/

(*) Prénoms d’emprunt.

« C’était mieux du temps des blancs »…

L’Afrique avouerait elle son échec en matière de désir d’indépendance ?

FDF

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http://youtu.be/X3Hf-GgNcOw

Merci à DG pour l’info…

Un conseiller général agressé au couteau !

Coups de couteau? >>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> « Chances pour la France » ou « bienfaits de l’immigration ».

Il faudrait que ce monsieur en parle à sa cheftaine, la miss Aubry…
FDF

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Les Mureaux : le conseiller général a échappé à la mort

Michel Vignier, conseiller général PS des Mureaux (Yvelines), est actuellement en convalescence après avoir été violemment agressé par deux individus, jeudi 1er décembre, près de son domicile aux Mureaux.

Michel Vignier, conseiller général PS des Mureaux (Yvelines), est actuellement en convalescence après avoir été violemment agressé par deux individus, jeudi 1er décembre, près de son domicile aux Mureaux. | (LP/Véronique Beaugrand)

Les deux hommes voulaient lui dérober sa voiture et l’un d’eux lui a porté un coup de couteau au niveau de l’aisselle gauche lorsque l’élu s’est rebellé.

Les islamistes vont s’en donner à coeur joie: l’ONU ne condamne plus les exécutions d’homosexuels !

« Laissez venir à nous les petits zhommos »…

L’ONU fait le jeu de la charia. C’est franchement écoeurant.

FDF

Photo d’illustration…

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Ceci remonte à environ une année,  MAIS IL CONVIENT DE RAPPELER   QUE L’ONU A RETENU CET AMENDEMENT  DES PAYS MUSULMANS
AVEC L’ISLAM DES TENEBRES NOUS REVENONS  PETIT A PETIT AU MOYEN-ÂGE

S.E. M. Nassir Abdulaziz Al-Nasser  est  le  Président de la 66e session de l’Assemblée générale des Nations Unies

A la demande des pays musulmans, l’ONU ne condamne plus les exécutions d’homosexuels !

Les pays [musulmans] arabes et africains ont réussi mardi à obtenir que l’Assemblée générale des Nations supprime d’un texte de résolution condamnant les exécutions sommaires et extrajudiciaires, l’article spécifique qui concerne les mises à mort dues à l’orientation sexuelle.

Un amendement écrit, soumis par le Groupe des États d’Afrique et l’Organisation de la Conférence islamique (OCI), et visant à supprimer la notion de « discrimination, notamment fondée sur les préférences sexuelles », a été retenu à l’issue d’un vote séparé et de nombreuses prises de position des États sur la question.

Les délégations occidentales ont exprimé leur déception lors du vote de la commission des droits de l’homme pour la suppression de l’article.

La Finlande, la France, la Suisse, en particulier, ont regretté que la discrimination fondée sur la préférence sexuelle ne soit pas explicitement mentionnée cette année. Elles ont rappelé que de nombreuses personnes continuaient d’être victimes de meurtres et de violences en raison de leur orientation sexuelle.

De leur côté, les défenseurs de l’amendement ont avancé qu’il n’existait pas d’accord international sur cette notion et qu’il serait opportun d’en traiter à l’occasion d’une réunion intergouvernementale.

Source: L’ONU est devenu leur jouet. Il est temps de fermer ce bordel !  Cette information est passée comme une lettre à la poste, ni vue ni connue. Aussi, nous comptons sur vous lecteurs, pour la faire circuler.

Les pays [musulmans] arabes et africains ont réussi mardi à obtenir que l’Assemblée générale des Nations supprime d’un texte de résolution condamnant les exécutions sommaires et extrajudiciaires, l’article spécifique qui concerne les mises à mort dues à l’orientation sexuelle.

Un amendement écrit, soumis par le Groupe des États d’Afrique et l’Organisation de la Conférence islamique (OCI), et visant à supprimer la notion de « discrimination, notamment fondée sur les préférences sexuelles », a été retenu à l’issue d’un vote séparé et de nombreuses prises de position des États sur la question.

Les délégations occidentales ont exprimé leur déception lors du vote de la commission des droits de l’homme pour la suppression de l’article.

La Finlande, la France, la Suisse, en particulier, ont regretté que la discrimination fondée sur la préférence sexuelle ne soit pas explicitement mentionnée cette année. Elles ont rappelé que de nombreuses personnes continuaient d’être victimes de meurtres et de violences en raison de leur orientation sexuelle.

De leur côté, les défenseurs de l’amendement ont avancé qu’il n’existait pas d’accord international sur cette notion et qu’il serait opportun d’en traiter à l’occasion d’une réunion intergouvernementale.

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Sourcehttp://blog.sami-aldeeb.com/


Vive la racaille !

Martine Aubry en est persuadée…Elle ne vit pas en « zone sensible »; ça se voit.

FDF

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http://youtu.be/W6o4IdKPvow

Solidarité totale avec ces policiers qui risquent leur vie à tout moment pour tenter d’assurer notre sécurité !

Quelques jours dans la peau d’un flic de banlieue; impressionnant. Mais ça, tout le monde ne le sait pas.

Il serait bon pour les « bobos-gauchos » qui défendent les  » jeunes issus de l’immigration » de prendre connaissance de ce qui suit…

Et Monsieur Guéant, il sait tout ça ?

FDF

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Voir: http://youtu.be/g7cwOHU3Aog

Dans l’enfer du 93 : «Moi, flic de banlieue»

Le journal de Christophe D., policier à la BAC de Seine-Saint-Denis.

À l’heure où l’institution policière semble secouée par les scandales à répétition, prise en tenaille entre les affaires de corruption, à Lille comme à Lyon, et la violence de la rue, Le Figaro Magazine a souhaité rendre compte de la réalité des policiers de terrain. Car si la corruption fait tomber les têtes, la violence, elle, ne fait pas de quartier aux hommes en bleu. À Vitrolles, un policier est mort, blessé par balle à la tête à la suite d’une attaque à main armée. À Marseille, comme ailleurs dans les grandes villes de France, les policiers sont en première ligne face à la loi des gangs. Braquages, règlements de comptes et autres guerres fratricides. Pour comprendre cette réalité qui semble parfois sortie de la fiction, Christophe, brigadier-chef engagé au sein de la BAC départementale du 93 depuis sept ans, nous a ouvert les portes de son quotidien. Celui de la BAC. Trois lettres. Une unité: la Brigade anticriminalité. Une mission: la chasse au flagrant délit. Créée en Seine-Saint-Denis le 1er octobre 1971 par Claude Durand, policier et ancien résistant, la Brigade anticriminalité avait pour mission d’offrir une réponse adaptée à une délinquance croissante à la fin des Trente Glorieuses. Quarante ans plus tard, rien n’a changé. Ils sont aujourd’hui près de 3600 policiers en France – dont 80 en Seine-Saint-Denis – chargés, comme Christophe, de traquer la criminalité et les délinquants en tout genre.


Intervention dans un squat à Aubervilliers. Flash-Ball en joue, Christophe D. est là pour assister ses collègues qui viennent d’investir les lieux. (Jean-Pierre Rey)

Le brigadier-chef Christophe sait que lui et ses collègues sont souvent qualifiés de cow-boys, de chasseurs de flag’ ou de têtes brûlées… Et pourtant, il a accepté d’être suivi pas à pas, et durant cinq mois, par le photographe Jean-Pierre Rey. Ce récit extraordinaire est une immersion totale dans le quotidien d’un policier ordinaire. Christophe a accepté de se livrer, de tout nous dire sur sa vie de flic, d’homme, de mari et de père. Il nous a confié ses doutes, ses colères et ses peurs parfois. Salaire, manque de moyens, dangers, le policier pose un regard critique sur son travail. Mais il évoque aussi un métier qu’il vit d’abord comme une passion, parle de son sens du devoir, de son engagement au service de la population, et de ses victoires – certes fragiles – quand l’ordre a été rétabli. Pour des raisons de sécurité, Christophe n’a pas souhaité que son nom de famille apparaisse dans ce témoignage.

La Seine-Saint-Denis, c’est de la bombe!» Ce n’est pas moi, mais Joey Starr, le fameux rappeur du groupe NTM, qui le dit dans l’une de ses chansons. Pour le policier affecté à la brigade anticriminalité du 93 que je suis, c’est en effet de la bombe et ça peut sauter à tout moment. La Seine-Saint-Denis, c’est le département le plus criminogène de France et l’atmosphère y est explosive. Le 93, c’est le très vaste théâtre de nos opérations. Mais ici, le décor n’est pas fait de carton-pâte. La réalité est aussi dure que le bitume des cités que j’arpente sans relâche et souvent aussi grise et triste que le béton de ces barres d’immeubles que l’on finit par connaître par cœur à force de les fouiller. Et puis, il y a l’âpreté de ce quotidien aussi oppressant et écœurant que ces effluves des cages d’escaliers où se mêlent les odeurs de cannabis, d’herbe, de cigarette, d’urine, et où les crachats qui jonchent les halls collent aux semelles, comme le désespoir et la misère se sont agglutinés dans ces murs… pour longtemps, semble-t-il.


Interpellation de trafiquants de drogue présumés à Aubervilliers, en soutien à la brigade des stupéfiants de la sûreté départementale. Les policiers les suivaient depuis des mois. (Jean-Pierre Rey)

Notre routine n’est pas gaie, mais surtout, elle n’a rien de banal. Notre train-train quotidien, c’est d’abord de l’imprévu. Tout, absolument tout, peut arriver à n’importe quel moment: braquage, règlement de comptes, vol à l’arraché, trafic de drogue, agressions en tout genre. L’inattendu fait partie de nos habitudes. Comme ce soir. Je me prépare à rentrer à la maison après une journée de boulot. Notre supérieur nous annonce un changement de programme: l’équipe est maintenue en place jusqu’à nouvel ordre. Les consignes viennent d’en haut et nous devons attendre de nouvelles instructions. Aucune autre information ne filtre. Le secret est gardé jalousement pour éviter les fuites. C’est certainement une très grosse opération. Ça sent le stup ! Alors, avec les copains de la BAC départementale, on prépare notre matériel: gilets pare-balles, armes à feu, matraques. On se doit d’être prêt pour cette opération dont on ignore tout. Quand on fait ce métier, il faut s’adapter à toutes les situations et à l’imprévu. J’appelle ma femme pour lui dire que je ne serai sûrement pas à la maison ce soir, ni même peut-être demain. Elle est habituée à ce genre de «surprises», ma petite femme. Mais surtout, elle sait. Elle est aussi policier. Alors, elle s’inquiète et me couvre de recommandations. «Fais attention à toi. Mets bien ton gilet…» (pare-balles, bien sûr.) Elle a évidemment bien moins peur d’un rhume que d’une balle perdue.

Mardi 6 septembre. Il est 20 h. On attend. Des heures durant.

Chacun s’occupe comme il le peut. Entre deux cafés, on discute de tout et de rien. Et puis, à minuit, ça bouge. Une réunion est organisée avec toutes les équipes mobilisées. Les policiers des stups sont présents. Le plan est précis, détaillé et très bien pensé. Ceux de la sûreté publique ont travaillé des mois durant sur cette affaire: enquêtes, planques, surveillances, écoutes, vérifications des informations. Je retiens avec attention les explications, les positions à tenir… Pas question pour moi de commettre la moindre erreur au risque de faire capoter l’opération et de ruiner tous les efforts de mes collègues. Les officiers nous détaillent le plan d’action. Le mot est lâché: c’est un go-fast en flag. Je le pressentais. Un go-fast, c’est un procédé prisé par les gros dealers et qui consiste à acheminer des cargaisons de drogues à bord de très grosses cylindrées. La méthode employée par les trafiquants est toujours la même. Le convoi est composé de deux voitures roulant à très vive allure. La première reste en tête et sert d’ouvreuse. Il s’agit en fait de repérer tout contrôle ou barrage de policiers. Le deuxième véhicule est chargé, lui, de transporter la marchandise. Ces convois remplis à bloc peuvent faire transiter à travers les frontières des centaines de kilos de substances illicites en quelques heures seulement. Mais pas cette fois. On sera là.

Il est 3h du matin. C’est le moment d’y aller.


Menottes aux poignets, un membre d’un gang de dealers est placé en garde à vue. La BAC a saisi 60 kg de drogue. (Jean-Pierre Rey)

Pas de place pour la fatigue, le stress ou le doute. Un seul objectif: la mission. Chacun sait ce qu’il doit faire. Le dispositif mis en place autour de cette cité d’Aubervilliers est impressionnant. Plusieurs véhicules dont trois fourgons d’interpellation. J’ai de la chance, je suis placé aux premières loges en me retrouvant dans le fourgon de tête. Mais j’ai aussi une grosse pression sur les épaules. Tout va très vite. Le trafiquant arrive, chargé de sacs volumineux et je le plaque au sol sans même lui laisser le temps de mettre un pied dans l’immeuble. C’est pour vivre des moments comme ceux-là que je me suis engagé dans la police. Maîtriser, menotter un trafiquant de drogue en plein flagrant délit.

L’individu est plaqué au sol, il a sur le dos un sac rempli de drogue. Je lis dans ses yeux le désarroi et la stupeur. Son regard semble me dire: «Waouh! Mec, je t’attendais partout, à tout moment. Mais certainement pas là.» Mener à bien une telle mission relève du défi. Car, à ce niveau-là du business, les gens à la tête de ces réseaux sont très organisés. Ils ne font rien au hasard. Méfiants et excessivement prudents, ils s’appuient sur un système de protection et de surveillance très élaboré autour de la cité. Leurs hommes font des rondes en voiture ou à moto, des guetteurs à pied donnent l’alerte au moindre mouvement suspect. Tout un stratagème qu’il nous faut déjouer avant d’arriver jusqu’à eux. L’interception de ce go-fast à Aubervilliers, c’est l’une de mes plus grandes fiertés. Une belle affaire menée de concert avec plusieurs services. Nous avons fait, en quelques minutes, plusieurs arrestations, saisi 40 kilos d’herbe, 10 kilos de résine de cannabis, de l’argent liquide et une arme à feu.

Mercredi 7 septembre. Très mauvaise journée pour ce réseau, qui a perdu en quelques minutes près de 400.000 euros et quelques années de liberté. Mais j’ai précisément choisi ce métier pour mettre des «vilains» hors d’état de nuire. Cette opération m’a valu quelques cernes. Entre les interpellations, les perquisitions, et les rapports, j’ai travaillé 24 heures sans m’arrêter. Mes collègues également. Ce soir, je suis ravi. J’aurai une belle histoire de méchants jetés derrière les barreaux à raconter à mes enfants.

Vendredi 9 septembre. La journée commence plutôt bien.


Un voleur venait d’arracher le collier en or d’une passante qui rentrait chez elle à Aubervilliers. (Jean-Pierre Rey)

On se retrouve avant la prise de service avec les collègues autour de la machine à café. On se refait le film de l’opération go-fast à Aubervilliers. On se délecte des détails et on raconte pour ceux qui n’étaient pas là. On échange nos impressions. Heureusement que nous avons parfois de belles affaires comme celle-là, qui remontent le moral de l’équipe et compensent nombre de journées faites parfois de frustrations. Notre quotidien, c’est surtout un concentré de haine. En Seine-Saint-Denis, les violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique ont augmenté de 10 % en une année. Le message est clair: nous ne sommes pas les bienvenus dans les cités. Mais ce n’est pas bien grave. À la BAC, on est sans complexe et on s’impose. On va absolument partout. La particularité de nos services, c’est le refus de ces zones dites de non-droit. C’est un concept que nous avons banni. J’ai commencé ma carrière en 1995, à l’école de police de Reims. Les autorités de l’époque considéraient certains quartiers difficiles comme impraticables pour les policiers.


Envoyée sur place en urgence, la BAC l’a rapidement identifié puis interpellé. (Jean-Pierre Rey)

Nos supérieurs nous interdisaient formellement d’y aller pour ne pas provoquer et engendrer plus de problèmes. Je n’ai jamais pu accepter cette logique. Battre en retraite face à la délinquance, c’était difficile à digérer pour le jeune policier en devenir que j’étais à l’époque. C’est une aberration pour notre métier et un choix contre-productif. À Reims, la violence s’est depuis propagée au-delà des quartiers populaires pour arriver jusque dans le centre-ville. Après l’école de police, j’ai été affecté au commissariat de Stains. C’était mon tout premier poste. Je me changeais dans des Algeco. C’est là que j’ai appris à travailler avec pas grand-chose. On avait de vieilles machines à écrire et pas assez de rubans. Mais on se débrouillait. On allait en faucher à droite, à gauche. J’étais motivé par l’idée que j’aidais la veuve et l’orphelin avec des bouts de ficelle. Et puis j’ai été plongé dans le grand bain tout de suite, le commissariat se trouvant à quelques centaines de mètres d’une cité à problèmes. Après une année à Stains, j’ai intégré la CDI (Compagnie départementale d’intervention) 93. L’équipe, le travail, l’ambiance, tout était parfait. J’ai adoré ces cinq années avant de devenir, pendant quelques mois, chauffeur dans les ministères. Mais conduire et accompagner des ministres, ce n’est pas de l’anti-crime. Ce n’est pas la raison pour laquelle je me suis engagé dans ce métier. On m’a donc affecté au commissariat d’Aulnay-sous-Bois en 2005 pour intégrer la BAC quelque temps plus tard. Là, j’ai peaufiné mon savoir et ma technique d’intervention pour devenir un vrai «BAC-man». La BAC, c’est de la vraie police ! Les principes y sont simples et clairs. Il y a des voleurs, des bandits, des dealers. On les repère, on leur saute dessus, on les arrête et on les met entre les mains de la justice.

Lundi 19 septembre. Refuser l’instauration des zones de non-droit, c’est imposer sa présence dans les quartiers les plus chauds.

Aller partout, c’est aussi s’exposer à tous les dangers. Jean-Pierre, le photographe du Figaro Magazine qui me suit comme mon ombre depuis des semaines, en a fait aujourd’hui l’amère expérience. Nous avons été appelés aux Francs-Moisins, une cité de Saint-Denis particulièrement sensible. Je n’aime pas cet endroit. C’est un véritable panier de crabes et les actes de violence y sont particulièrement fréquents et extrêmes. L’appel au secours est douteux, comme souvent. La spécialité du coin, c’est le guet-apens. Et aujourd’hui, mon instinct ne me dit rien de bon. Mais nous avons une mission et nous devons répondre à tous les appels. À peine arrivés sur les lieux, les jeunes se déchaînent. Une pluie de pavés énormes s’abat sur nous. En quelques secondes, une vingtaine d’individus, capuche sur la tête, parviennent à nous encercler. À ce moment, la maîtrise de ces sentiments de panique et de peur, qui ne demandent qu’à s’emparer de nous, est essentielle. Il faut absolument garder la tête froide pour se sortir de ce genre de situation et, surtout, savoir courir. Un bon policier doit savoir ravaler sa fierté et son orgueil et s’enfuir quand cela s’avère nécessaire. Parce qu’un bon policier, c’est d’abord un policier vivant. Nous avons détalé aussi vite que possible. Bien sûr, on s’en tire avec quelques bleus, et notre amour-propre est un peu bousculé. Mais je suis soulagé de voir les coéquipiers arriver très vite pour nous extirper de ce mauvais pas. Dans ces moments, chaque seconde dure une éternité. Jean-Pierre, le photographe, vient de vivre un peu de notre réalité. Il est blême, essoufflé (moi aussi) et il confirme: la peur, on ne la ressent qu’après. C’est le deuxième effet d’une célèbre marque de bonbons. Elle vous revient en pleine figure comme un boomerang… et c’est douloureux. J’appelle ma femme pour entendre sa voix.

Mercredi 28 septembre. Avant de prendre mon service, comme toujours, je vérifie le contenu de ma sacoche


Extraction d’un dealer dans la cité des Beaudottes à Sevran. La tension est palpable. N’importe qui peut prendre les hommes de la BAC pour cible. (Jean-Pierre Rey)

personnelle qui reste sur moi en permanence, dans la voiture. J’y mets l’essentiel pour ma journée. Un vrai kit de survie: trousse de secours, compresses, gouttes pour les yeux (absolument nécessaires quand on reçoit des gaz lacrymogènes), sans oublier ma matraque télescopique et une petite lampe de poche très puissante. C’est le minimum vital et je ne m’en sépare jamais. Pour bien faire ce job, nous devons nous tenir prêts. La BAC départementale de Seine-Saint-Denis a procédé l’an dernier à près de 2200 interpellations. Nous n’avons pas beaucoup de moments de répit. Prendre son service, c’est à chaque fois partir en guerre. Si notre mission est policière, nos instincts et nos réflexes sont quasi militaires. Arriver dans une cité c’est, pour nous, s’introduire en territoire hostile. L’ennemi guette et attend le moindre faux pas pour nous descendre. Dans le 93, c’est parfois une véritable guérilla urbaine. On fait la guerre à un ennemi caché. Au milieu, il y a des civils, une population qui essaie tant bien que mal de mener une vie normale. Nous devons gérer et évoluer avec ces deux extrêmes. Les voyous n’ont plus aucune notion de l’autorité policière. Ils nous perçoivent plutôt comme un gang rival. Nous sommes le «gang police» à qui il faut faire la guerre. Dans tous les cas, nous sommes l’ennemi à abattre. Je n’exagère rien. Je suis aussi militaire depuis 2001, capitaine de réserve au sein des forces spéciales. Mon expérience et ma formation au sein de l’armée me servent énormément sur le terrain des banlieues: savoir progresser en milieu hostile, sécuriser un périmètre à plusieurs, ne jamais laisser un des nôtres seul, ne jamais longer le mur des immeubles car le danger vient souvent d’en haut, des toits qui servent de points stratégiques aux délinquants. Ils se postent là pour nous lancer toutes sortes de projectiles. Ils sont très organisés. L’objectif premier, pour eux, c’est de protéger leur territoire et de préserver leurs points de deal. Un seul de ces points peut rapporter de 10.000 à 15.000 euros par jour. Des enjeux financiers colossaux pour ces dealers. Ils ne lésinent pas sur les moyens. Nous avons aujourd’hui en face de nous des jeunes entraînés. Ils vont à l’étranger, notamment dans les pays du Maghreb, pour apprendre à fabriquer des cocktails Molotov, organiser des guets-apens, «préparer des toits» en entreposant toutes sortes de projectiles (briques, pavés, parpaings, boules de pétanque) à des endroits stratégiques sur les hauteurs des immeubles. Tout cela ne s’improvise pas. Ils l’apprennent, l’appliquent et ce, dans un but précis. Ils sont lourdement armés. C’est devenu très facile d’acheter un Uzi, une kalachnikov, ou un 9 mm automatique. Certaines cités se sont spécialisées uniquement dans le trafic d’armes. Ils n’ont plus besoin d’aller bien loin pour s’équiper. Tout est à portée de main. En comparaison, nos équipements font parfois pâle figure. Le Kevlar de mon gilet pare-balles usé ne résisterait sûrement pas à une rafale de kalach. De toute façon, il n’est pas conçu pour ça. Eux sont prêts à tout pour continuer leurs petites affaires, parce que casser du flic, c’est nous empêcher de casser leur business.

Samedi 8 octobre. Le samedi est un jour comme les autres pour nous ! Le crime ne connaît pas de répit.


Pantin. Un voleur de sacs à l’arraché vient d’être mis hors circuit. Direction le commissariat. (Jean-Pierre Rey)

Notre très vieille Ford Mondeo est prête. Elle affiche déjà plus de 100.000 kilomètres au compteur et a été rafistolée plusieurs fois. Mais nous n’avons pas vraiment le choix. Nos véhicules sont fatigués, les moyens financiers manquent pour les remplacer. Nous sommes déjà tombés en panne de voiture au beau milieu d’une opération dans une cité. Et ça, pour attraper des vilains… ce n’est pas terrible. Mais aujourd’hui, tout va bien, on nous a mis à disposition des véhicules neufs. L’équipe se met en route, les sacs sont dans le coffre, le matériel d’intervention à disposition, et les radios commencent à crépiter. La journée commence par un petit tour de nos secteurs préférés, Sevran, Bondy, Bobigny… Les points de deal y sont nombreux. En arrivant, nous sommes évidemment repérés. Il y a les «choufs» (les guetteurs), toujours à leurs postes, qui communiquent notre arrivée à leurs copains vendeurs en criant: «Pue! pue!» En langage dealer, cela veut dire: «Prenez garde ! La police arrive !»

Payés entre 40 et 80 euros par jour et parfois un kebab en plus, ces gamins (souvent mineurs) n’ont aucun mal à gagner l’équivalent de mon salaire en un mois. Evidemment, à ce tarif-là, ils font du zèle. Les points de deal sont très organisés. Les «nourrices» sont souvent des habitants des immeubles chargés (ou forcés) de cacher la drogue chez eux et de la laisser à disposition des vendeurs qui, ainsi, ne se font jamais prendre avec de grosses quantités de stupéfiants sur eux. Les «portiers» ont pour mission de bloquer les passages pour gêner au maximum les interventions policières et permettre aux vendeurs de s’échapper. Le patron, lui, n’est jamais bien loin. Il est très souvent installé à la terrasse d’un café et surveille ses petites affaires à distance, quand il n’est pas occupé à trouver des solutions pour blanchir ses capitaux. Un business illégal et qui, à mon sens, doit le rester. Je suis absolument contre l’idée de la dépénalisation du cannabis ou de l’herbe. La légalisation de ces substances ne ferait qu’aggraver les problèmes dans les cités. Les jeunes iraient chercher de l’argent par d’autres moyens : braquages, vols avec violence, saucissonnages à domicile. Paradoxalement, le trafic de stupéfiants canalise un peu certaines cités. Les gros dealers «tiennent» les jeunes et les exhortent à rester tranquilles pour ne pas attirer la police et, ainsi, «bosser tranquillement». Tout ce petit monde compose avec la drogue. Certes, ce commerce permet à certaines familles vivant en situation de grande pauvreté de sortir la tête de l’eau. Elles n’ont pas vraiment d’autres choix que le trafic. Mais cela n’excuse rien, c’est illégal et puni par la loi. Pour le moment c’est calme. Rien à signaler dans nos quartiers préférés. Il est presque 13 heures. Pause déjeuner. Comme souvent, on se réchauffe une petite gamelle en vitesse. Pas le temps de s’arrêter plus de vingt minutes. La rue ne nous laisse guère de répit. Un appel radio nous informe qu’un «vol violence» vient de se dérouler à Stains. Je prends ma radio: «TN93 de BAC12, nous nous rendons sur place!» A peine arrivés sur les lieux, on tombe sur la victime, elle vient de se faire arracher son énorme collier en or et nous désigne au loin l’un des auteurs. Il n’a même pas pris la peine de se sauver. C’est en nous voyant foncer sur lui qu’il prend la fuite. Direction la cité du Clos Saint-Lazare ! Pas de chance pour lui, je connais le secteur comme ma poche ! Avec mes coéquipiers, on l’a très vite rattrapé. On charge notre individu direction le commissariat de Stains. On a attrapé le malfrat, la victime a retrouvé ses effets : voilà encore une belle affaire.

Lundi 17 octobre.Je viens de prendre conscience que cela fait près de sept ans que je travaille à la BAC.


Cité du Gros-Saule, à Aulnay-sous-Bois. La BAC et les policiers ont saisi 20 kg de drogue, 20.000 € en liquide et des armes. (Jean-Pierre Rey)

Comme le temps file ! Sept années à courir, à attraper des vilains, à esquiver les coups, à digérer les insultes et à supporter cette haine contagieuse qui suinte et se répand partout. Et me tente parfois. Mais je me refuse à basculer. Pour faire ce boulot proprement, la règle première, c’est de garder la tête froide. C’est difficile. De plus en plus difficile. Ces dix dernières années, la violence a explosé dans les quartiers, elle a aussi changé de visage. Elle se fait chaque fois plus juvénile. Nos agresseurs n’ont aujourd’hui pas plus de 13 ans, et ce sont bien eux les pires. Ils se montrent d’une férocité inouïe. Mais surtout, dans ces quartiers populaires, la population a évolué. Les jeunes d’origine maghrébine, qui tenaient le marché du deal, ont été peu à peu évincés par les Africains. Cette immigration est bien plus récente. La polygamie fait des dégâts considérables. Les enfants vivent entassés dans de petits appartements. Ils préfèrent traîner dehors et se retrouvent vite à la merci des délinquants. Ils sont bien plus pauvres et ont le sentiment de n’avoir rien à perdre, d’autant que la plupart d’entre eux viennent de pays en guerre où la violence est extrême et fait figure de règle. Sur le terrain, face à ces populations qui règlent leurs comptes à coups de machette ou avec les poings, nous nous retrouvons souvent pris en étau. Récemment, l’un de mes collègues a été mordu par une femme africaine. Son index a été sectionné et ne tenait plus que par la peau.

Mercredi 19 octobre. Toute cette violence, cette haine, cette misère humaine, c’est pesant parfois.


Avec Sylvie, sa femme, brigadier-chef au Blanc-Mesnil, Christophe D. vient de résoudre une affaire de vol. (Jean-Pierre Rey)

Il n’y a pas de rempart pour nous préserver. En fait, le rempart, c’est nous. On se prend ça en pleine figure et sans filtre. Alors, parfois, c’est plus difficile. Il faut se remotiver, se vider la tête comme ce matin. J’ai décidé de me lever de bonne heure pour aller courir. Dix petits kilomètres pour garder la forme, mais surtout pour évacuer le stress et la tension. Nos pires ennemis. Si on les laisse s’installer, ils peuvent vous ronger de l’intérieur. Beaucoup de mes collègues y ont laissé la vie. Ah, ce fameux malaise de la police ! On s’isole, s’enferme dans le silence et la solitude et, ensuite, la nouvelle tombe. On apprend qu’un collègue s’est pendu, un autre s’est tiré une balle dans la tête… Et ce n’est jamais la faute de personne. Je suis lucide quant à la difficulté de notre mission. Derrière le policier, il y a un être humain avec ses failles et ses fragilités. Alors, je prends les devants. La meilleure façon de me préserver, c’est l’esprit de groupe et la communication. Il faut parler avec les autres, évacuer ses frustrations d’une manière ou d’une autre. Pour moi, c’est le sport. Etre bien dans son corps, c’est être bien dans sa tête. La famille, c’est aussi un pilier essentiel. Je profite de chaque moment avec les enfants, avec Sylvie, ma femme. Je les couvre de bisous, de câlins. Je fais le plein de tendresse avant d’attaquer une grosse journée de boulot. Et c’est comme ça que je tiens mais, surtout, que je suis heureux.

Jeudi 27 octobre. La date d’aujourd’hui marque un triste anniversaire.

Le début des émeutes de l’automne 2005. À l’époque, je venais d’intégrer la BAC et c’est pour moi une des pires périodes de ma carrière de policier. On allait « au feu » tous les jours sans savoir si on reviendrait en vie ou entier à la fin de la journée. Ce qui m’a surtout profondément marqué, c’est qu’à ce moment-là on a vraiment ressenti une haine pure vis-à-vis des policiers. Non seulement on l’a ressentie, mais on l’a sentie dans notre chair. Nombre de mes collègues ont été blessés. Je suis passé souvent à deux doigts de la mort. J’ai vu des boules de pétanque, des casseroles, des plaques d’égout jetées depuis les toits me frôler de quelques centimètres. Mes chaussures ont littéralement fondu, brûlées par l’acide des nombreux cocktails Molotov balancés par ces « pauvres jeunes désœuvrés ». Je me souviens avoir dû évacuer en urgence un de nos collègues, un solide gaillard de 1,90 mètre en état de choc, complètement tétanisé et terrassé par la peur. Une énorme plaque d’égout en fonte venait de passer à un cheveu de son crâne… Il ne s’en est pas remis. Impossible aussi d’ôter de mes souvenirs la vision de ce jeune policier brûlé au visage sous mes yeux. Les jeunes postés au dernier étage d’un immeuble lui avaient jeté de l’essence enflammée en pleine figure. J’étais juste derrière, j’ai eu plus de chance que lui. Ces images me hantent encore.

Lundi 28 novembre. L’ambiance est pesante à la base de Bobigny.

Si je pense aujourd’hui très fort à Damien et à Jérôme, mes deux amis de la BAC morts en service il y a quelques années, c’est parce que la nouvelle est tombée tôt ce matin. Un policier de la BAC de Marseille est entre la vie et la mort, atteint d’une balle en pleine tête. Les cambrioleurs qu’il pourchassait n’ont pas hésité à tirer sur lui avec des armes de guerre. Un des nôtres va certainement mourir. Et pourquoi ? Juste pour quelques tranches de saumon et du foie gras… C’est ce qui a été retrouvé dans le véhicule. Ils avaient braqué un supermarché. Ce policier a mon âge, il a une femme, des enfants. Comme moi. Cela aurait pu m’arriver, ça pourra m’arriver peut-être. Mais pour ma femme et mes enfants, dans ce cas, j’ai tout prévu. J’ai une bonne assurance qui prend en charge mes funérailles, et mon enterrement est déjà payé. Mais la vie ne s’arrête pas à ça ! Demain, je serai à nouveau dans la rue, avec mon équipage, à courir après la délinquance. On fera peut-être une affaire ! On arrêtera un dealer, ou un jeune qui aura brisé la vitre d’une voiture pour prendre le sac à main d’une femme imprudente, qui l’avait laissé bien en vue sur le siège passager. Elle nous dira discrètement : «Merci, heureusement que vous êtes là!» Ces mots, ce sont eux qui vous aident à continuer ce métier: savoir qu’on va arrêter un voyou, qu’on va rassurer une victime…

Source: http://www.lefigaro.fr/

Huit millions de Français n’ont plus les moyens de se chauffer !

Et ceux-ci ne vont pas aller au Secours Catholique ni aux Restos du Coeur pour chialer comme les « nouveaux Français » qui n’y arrivent plus malgré toutes  les allocations qui leurs sont généreusement attribuées pour pouvoir nourrir leurs nichées.

C’est tout simplement une HONTE !

Au fait, le prix du gaz va augmenter de 5% en janvier…

FDF

Et en outre:

ALORS QUE NOTRE PRESIDENT  DISTRIBUE DES MILLIARDS D’€uros  à LA GRECE, A LA TURQUIE,  AU MAROC (TGV), etc etc etc etc ,  ALORS QUE CE MÊME PRESIDENT  SE PAYE DES VOYAGES  TRÈS ONÉREUX ,  ET UNE SUITE à 37000 € LA NUIT lors du sommet de  CANNES,  ALORS QUE LES DÉPUTÉS  de droite comme de gauche,  REFUSENT DE BAISSER LEURS  GRAS SALAIRES DE 10%  en ces temps de crise, QUAND « CERTAINS POLITIQUES »  perçoivent des retraites faramineuses, tandis que nos députés européens  émargent au Parlement,  parfois juste pour leur gras salaire,   et j en passe,
LA FRACTURE SOCIALE  et la PAUVRETÉ NE CESSENT  DE PROGRESSER DE FAÇON  TOTALEMENT PRÉOCCUPANTE  DANS NOTRE PAYS .

JC JC

Il n’y a rien d’étonnant à ce que plus de 80%  des français fassent  preuve d’une grande défiance à l’égard de  leurs politiques.


La Fondation abbé Pierre lance aujourd’hui une campagne de sensibilisation au problème de la précarité énergétique. Aujourd’hui, 8 millions de Français n’ont pas suffisamment les moyens de chauffer leur logement.

Spectaculaire lancement, jeudi, à Paris, de la campagne hivernale de la Fondation Abbé-Pierre : deux militants ont passé toute la journée dans un appartement de trois mètres sur quatre, avec des trous béants à la place des fenêtres, reconstitué devant la fontaine des Innocents. Leur but ? Sensibiliser l’opinion à la précarité énergétique dont souffrent 8 millions de personnes, dans 3,7 millions de logements qualifiés de « passoires énergétiques ».

La Fondation abbé Pierre lance aujourd'hui une campagne de sensibilisation au problème de la précarité énergétique. Aujourd’hui, 8 millions de Français n'ont pas suffisamment les moyens de chauffer leur logement.

La Fondation abbé Pierre lance aujourd’hui une campagne de sensibilisation au problème de la précarité énergétique. Aujourd’hui, 8 millions de Français n’ont pas suffisamment les moyens de chauffer leur logement.

Un chiffre qui fait froid dans le dos. Près de huit millions de personnes en France n’ont pas les moyens de chauffer leur logement. La Fondation Abbé Pierre veut frapper fort pour le lancement de sa campagne d’hiver. En dressant ce nouveau bilan de «précarité énergétique», la Fondation diffuse un peu partout en France des affiches où l’on peut voir notamment deux personnes âgées dans leur appartement aux murs défraîchis, enroulées sous une couverture ou encore une femme avec son fils dans un lit, qui ont froid.

Avec dessous, ce message : «Ils s’aiment mais ce n’est pas ce qui les rapproche. Huit millions de personnes souffrent du froid parce qu’elles n’ont pas les moyens de chauffer leur logement. Agissons!».

En menant cette nouvelle campagne de sensibilisation, la Fondation Abbé Pierre veut surtout interpeller les pouvoirs publics sur la création d’un «bouclier énergétique», capable d’assurer à tous «une capacité minimum à se chauffer»
«En France, aujourd’hui, 3,8 millions de ménages souffrent de précarité énergétique, soit un ménage sur six, soit 8 millions de personnes. Ce sont des gens qui ne peuvent se chauffer et s’éclairer normalement, et parfois qui ne peuvent pas se chauffer du tout», détaille Emmaüs dans un communiqué.

Un million de propriétaires occupants aussi concernés

Parmi ces précaires «énergétiques», il y a même des ménages modestes qui vivent dans des maisons individuelles. Parmi eux, «plus d’un million de propriétaires occupants sont aussi concernés par cette forme de précarité», rapporte encore la fondation sur le mal-logement.

Si le phénomène n’est pas nouveau, la précarité énergétique, elle, explose depuis maintenant quelques années. En cause, une inflation des loyers «de près de 50 % en 10 ans», ainsi qu’une «hausse dramatique des charges de gaz, d’électricité ou de fuel».
Mêmes les mesures actuelles (tarifs sociaux, aide aux impayés…) ne suffisent plus. «Elles n’allègent qu’une partie du public concerné et ne compensent pas les diverses augmentations subies par les familles les plus modestes», plaide la Fondation Abbé Pierre.

Le gouvernement avait révélé au printemps dernier que 800 000 ménages sont éligibles au tarif social du gaz mais que seulement 300 000 en bénéficient réellement.

Quant aux litiges sur les factures énergétiques, le nombre de dossiers traités par le médiateur de l’énergie a explosé en 2011.

Source: http://www.leparisien.fr/

APRES UNE VOILEE AU PARLEMENT DE BRUXELLES, voici UNE VOILEE DANS LA POLICE SUEDOISE !

C’est une « première »; souhaitons que ce sera la dernière.

FDF

.



Question  :   ELLE QUI N’A PAS LE DROIT DE TOUCHER UN HOMME,  ELLE FERA COMMENT  SI ELLE DOIT EN INTERPELLER UN?????
DEMAIN, AVEC L’UMPSVerts, ceci CE SERA CHEZ NOUS, soyez en assurés  !!!

JC JC…

Suède : Donna Eljammal sera la première policière voilée

Depuis cinq ans, il n’existe plus aucune restriction concernant les tenues de nature religieuse au sein des forces de l’ordre. Les autorités policières se félicitent d’avoir des recrues d’horizons culturels et religieux différents, qui représentent la variété de la société suédoise contemporaine.

C’est un reflet de la société multiculturelle dans laquelle nous vivons aujourd’hui en Suède. »

Avant d’être admise à l’académie de police, Donna Eljammal travaillait pour les services pénitentiaires et de probation suédois. A 26 ans, elle ne considère pas son hijab musulman traditionnel comme un obstacle mais plutôt comme un atout pour sa future carrière dans la police suédoise.

Cela montre au public une autre facette des femmes qui choisissent de porter le voile. Nous ne sommes pas opprimées, mais pouvons être des femmes fortes et indépendantes. »

Source: http://reacosphere.odigale.fr/2011/12/suede-donna-eljammal-sera-la-premiere-policiere-voilee/

Allemagne : « Nous sommes les trois derniers enfants allemands de notre école »…

Être « de souche » deviendrait il une inévitable promiscuité? Ne nous laissons pas faire. Bottons cette islamisation hors d’Europe! Pendant qu’il est temps…
FDF

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Voyez déjà ce qui se passe outre-Rhin :


Quand des enfants de souche sont une minorité… Tous les autres enfants de leur école située dans une banlieue de Berlin sont musulmans et parlent turc ou arabe. Ces trois enfants n’ont pas droit à des accommodements : l’école ne sert plus de porc…

Talina, 11 ans, Svenja, 11 ans, et Jason, 9 ans, ne comprennent pas un seul mot prononcé
pendant la récréation. Leurs camarades ne parlent que le turc ou l’arabe.
En classe, ils expliquent des mots allemands à leurs camarades.

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Ils sont les derniers enfants allemands à l’école élémentaire Jens Nydahl sur la rue Kohlfurter (Kreuzberg). 99 pour cent des 313 élèves sont issus de l’immigration. Les parents de 285 d’entre eux reçoivent un soutien financier de l’État. C’est l’un des nombreux problèmes scolaires rapportés par Bild.

Talina est en 6e année. Sa mère, Maria, 45 ans, dit : « Quand elle a commencé l’école, elle pouvait lire et écrire quelques mots. Ses camarades de classe ne pouvaient même pas dire ‘merci’, ‘s’il vous plaît’ ou ‘bonjour’. Les enfants allemands sont traités de ‘bouffeurs de porc‘ ». Sa camarade de classe Svenja se lamente : « J’aimerais avoir plus de camarades qui parlent ma langue». La mère de Jason, pour sa part, trouve que «c’est dommage qu’il y ait si peu d’enfants allemands à l’école. »

Les parents d’origine étrangère sont également inquiets. Asiankara, une turque de 35 ans mère de Burakcan, élève de 6e année, dit que « c’est dommage qu’il y ait si peu d’Allemands ici. Cela rend l’apprentissage de la langue plus difficile pour nos enfants ». Un délégué à la jeunesse a déclaré à Bild : «Nous avons essayé en vain d’avoir un plus grand nombre d’enfants allemands dans l’école. Nous nous concentrons désormais sur la clientèle que nous avons. La cafétéria ne sert plus de porc».

Les préoccupations des parents et des enseignants ne semblent pas intéresser les responsables. La conseillère pour l’éducation, Monika Herrmann (47 ans, Parti des Verts), affirme que « le nombre d’enfants issus de l’immigration qui fréquentent cette école ne fait absolument aucune différence ».

Merci à Babette pour l’info…