Francaisdefrance's Blog

24/02/2012

Marseille: la cité Phocéenne en passe de devenir le Chicago français.

Mais qu’est-ce qu’ils ont fait de cette ville, qu’encensaient Fernandel, Raimu, Marcel Pagnol, Marius et bien d’autres?  J’ose espérer qu’ils ne voient pas ce qui s’y passe…

Bonus: http://www.dailymotion.com/video/x718tk_marseille-de-fernandel-a-la-bonne-m_news

FDF

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Marseille. Nouveau règlement de comptes : un « jeune » de 21 ans abattu…

Les semaines passent et se ressemblent à Marseille où un énième règlement de comptes a coûté la vie à un jeune homme de 21 ans hier en fin de soirée. L’un de ses amis est quant à lui légèrement blessé.

Tout s’est déroulé dans l’un des quartiers nord de la ville : un homme seul et casqué a fait irruption dans un snack de la cité « Le Mail » dans le 14ème arrondissement avant de faire feu sur la victime à l’aide d’un pistolet-mitrailleur.

Touché à deux reprises à la tête, le jeune homme de 21 ans n’a pu être sauvé. Celui-ci était connu de la justice pour de « petits délits » mais le préfet de police Alain Gardère a précisé qu’il était « prématuré » d’évoquer la piste du trafic de stupéfiants, qui semble « étonnante » dans ce quartier.

16 morts en 2011

Après une série noire de fusillades fin 2011, il s’agit du premier règlement de compte depuis le début de l’année. En décembre, des tirs de kalachnikov avaient fait plusieurs morts dans l’agglomération et quatre cadavres avaient été retrouvés dans des voitures en flamme. Fin novembre, un policier avait été tué dans une course-poursuite et les forces de l’ordre avaient abattu un braqueur qui leur tirait dessus à la sortie d’un magasin, en plein jour.

L’année dernière, 20 règlements de comptes ont été recensés dans les Bouches-du-Rhône (29 victimes dont 16 décédées), dont 15 à Marseille (23 victimes dont 13 décédées), selon les chiffres de la préfecture.

Source: http://www.ladepeche.fr/

Merci à Henri…

27/01/2012

En France, on brûle des voitures par « ennui »…

Et si on remettait Cayenne en service, ça les occuperait, ces petits cons, non ?

FDF

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C’est l’ennui, dans la « cité »…

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MAIS PUISQUE LE MINISTRE DE L’INTÉRIEUR  VOUS DIT  QUE LA DÉLINQUANCE  RECULE

VOUS ALLEZ LE CROIRE OUI OU NON????

Soyez ravis braves gens,  le nombre de voitures brulées est inférieur de 2000  en 2011   (par rapport à 2010  – faudrait vérifier)

TOUT VA BIEN  !!!!!      SI NOUS SUIVONS CETTE PENTE   DANS 15 ANS   IL N’Y AURA PLUS DE VOITURES BRULÉES

« Les « motivations des incendiaires »: 30% pour « oisiveté », 18% pour « dissimulation de traces et indices », 7% pour « escroqueries », 14% pour « règlements de comptes » et seulement 8% pour « violences urbaines ».

NB :  les incendies par oisiveté  ne sont pas des violences urbaines,  pas plus que les dissimulations et règlements de comptes   AH OUI????

On brûle aussi des voitures pour faire comme dans « Les experts »

JC JC…

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La police a comptabilisé près de 30.000 véhicules incendiés en 2011 en France, un bilan en baisse, qui ne comprend pas Paris et sa petite couronne. Un total de 1.277 incendiaires présumés ont été interpellés, rarement pour des faits en rapport avec de la violence urbaine. Car, c’est ce que révèle cette enquête, les motivations des incendiaires ne sont pas toujours celles que l’on croit. L’oisiveté arrive en tête : certains brûlent des voitures par ennui !


Alors que l’Intérieur refuse de communiquer officiellement sur le sujet, cette note détaille mois par mois le nombre de véhicules incendiés en 2011 et 2010 en zone police.

Au total il y a eu, en 2011, 29.955 véhicules incendiés dont 7.711 dits par propagation de feu. En 2010 il y en avait eu 32.030, précise la note.

Des « pics » d’incendies sont survenus en janvier et en juillet, détaille encore la note, qui livre également les « motivations des incendiaires« : 30% pour « oisiveté », 18% pour « dissimulation de traces et indices », 7% pour « escroqueries », 14% pour « règlements de comptes » et seulement 8% pour « violences urbaines ».

31/12/2011

L’argent de la drogue à Marseille: des chiffres impressionnants.

De quoi passer un joyeux réveillon pour les dealers, sans penser aux ados qu’ils tuent à petit feu…

Bande de salopards !!!

FDF

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Les incroyables comptes d’un dealer marseillais


La cité de la Visitation, dans les quartiers nord de Marseille, où se déroulait le trafic décrit dans le carnet retrouvé sur place. Banlieue « défavorisée », qu’ils disent…

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Le réseau inscrivait tout sur un petit bloc-notes. Ce document rare a été saisi par la police de la Cité phocéenne.

La police marseillaise a mis la main sur un document exceptionnel: la comptabilité d’un caïd local du trafic de stupéfiants, méticuleusement détaillée sur les feuillets d’un petit bloc-notes. Une version simplifiée des livres de comptes d’Al Capone, en somme, découverte dans les parties communes d’un immeuble annexées par les trafiquants, dans la cité de la Visitation, dans les quartiers nord de la Cité phocéenne, là où se multiplient les règlements de comptes à la kalachnikov entre « jeunes » de 17 à 20 ans.

Le «bénéfice», inscrit en toutes lettres par ce scribe consciencieux du commerce de cannabis et de cocaïne, dépasse les 100.000 euros par mois. Pour une seule cité! Plus d’un million d’euros d’argent sale par an, empochés «net d’impôts», dans un seul point de vente de la ville. On comprend mieux les enjeux de la guerre de la drogue à Marseille, où le nouveau préfet de police, Alain Gardère, a focalisé son action sur 25 cités sensibles.

Le gang de la Visitation a été, pour l’essentiel, mis hors d’état de nuire à la mi-novembre par l’antenne marseillaise de l’Office central de répression du trafic illicite de stupéfiants (OCRTIS). Mais l’affaire est loin d’être terminée. Elle a donné lieu à une nouvelle arrestation cette semaine. Il y a un mois, deux des interpellés, âgés de 26 et 51 ans, avaient été présentés comme les chefs du réseau. «L’un d’eux était sans doute l’auteur des feuillets de compte», estime un policier, en attendant d’éventuelles analyses graphologiques.

«Chefs d’entreprise»

Le précieux document éclaire, en tout cas, sur la psychologie de cette nouvelle génération de voyous. «Ils brassent tellement d’argent qu’ils se rêvent désormais en chefs d’entreprise!», estime un commissaire de la PJ locale.

La demi-douzaine de membres de la bande subvenait aux besoins de familles entières. Le seul «coût de fonctionnement» du réseau s’élevait à 50.000 euros par mois, pour payer les intermédiaires et l’armée des petites mains impliquées dans le trafic. Les seules «nourrices», qui gardent la marchandise, recevaient un vrai salaire de cadre: 19.000 euros à se diviser en quatre. «De quoi ruiner la valeur du travail!», se désole un officier de police des quartiers nord.

À la Visitation, point de vente conquis de haute lutte, le réseau démantelé avait installé un véritable «drive-in» de la drogue, avec des dizaines de clients par jour. Un café servait à passer commande.

Une jeune femme de 25 ans alimentait les halls d’immeuble au gré des transactions. Le client n’avait plus qu’à faire un petit crochet en voiture pour payer et être servi. La drogue était achetée en gros en Espagne, les fournisseurs répondant aux «coups de chauffe» par des approvisionnements complémentaires depuis la région parisienne.

Un limier de la PJ locale l’assure: «La Visitation n’est pas le plus gros point de vente de la ville. Certaines grosses cités font vivre quatre ou cinq lieux de deal similaires.» Le policier l’assure également: «Si les balles fusent, ces derniers temps, c’est parce que la justice a mis derrière les barreaux des caïds dont le commerce, laissé en friche, suscite des convoitises.» Aussi paradoxal que cela puisse paraître, le milieu qui s’étripe à Marseille serait un signe que la police fait son travail.


Un petit commerce de drogue à « 110.950 € de bénef par mois»

Le petit livre de comptes du réseau de la Visitation, à Marseille,  n’omet aucun détail. On y décrit  la «paye des employés (gérant, vendeur, guetteur)», les frais  de «nourriture» et les «arrangements», sous forme  de «remises clients», pour un total de 31.200 euros par mois.  Les «nourrices» ont perçu,  dans le même temps, 19.100 euros, Pour un total de «coût  de fonctionnement» du réseau  chiffré à 50.300 euros par mois.

Le prix du kilo de haschich est fixé  à 2250 euros. Le «bénéfice  sur la coupe (passage du kilo  aux morceaux» atteint 101.250 euros. Le «spé», autre produit, rapportait quant à lui «60.000 euros par mois».

Suit un petit calcul d’écolier: «60.000 + 101.250 = 161.250 – 50.300 =110.950 € de bénef par mois».

 L’un des points de guet était visiblement une maternelle.  Le «guetteur maternelle» touchait, en tout cas, à lui seul, 4 800 euros  par mois. Celui d’une «entrée» émargeait, pour sa part, à 6 000 euros, soit 100 euros la demi-journée.  Le «vendeur» et le «gérant» n’étaient pas trop gourmands, puisqu’ils ne percevaient  «que» 9000 euros.

Source: http://www.lefigaro.fr/


24/12/2011

Marseille: un bon nettoyage des écuries d’Augias s’impose…

Ce n’est plus la police, qu’il faut faire intervenir là-bas; c’est la Légion… Terminé de compter les points. 

FDF

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Lundi dernier, le corps d’un homme, touché d’une balle en pleine tête, est retrouvé carbonisé dans une voiture sur un parking de Septèmes-les-Vallons, en banlieue de Marseille. Cette pratique consistant à faire brûler une victime dans son véhicule pour effacer toute trace exploitable avait été rodée par Farid Berrhama, dit «le Rôtisseur», un caïd de l’étang de Berre retrouvé criblé de balles en 2006.

À l’été, une mini-Saint-Barthélemy avait partiellement décapité le milieu. Le 20 juillet notamment, Roland Gaben, surnommé «le Caïd du Panier», 46 ans, était occis par quatre inconnus encagoulés, alors qu’il circulait à scooter non loin du domicile de sa compagne, dans un quartier résidentiel proche de l’hôpital Nord. Neuf jours plus tard, Souhel Hanna-Elias, 55 ans, une «figure» fichée au grand banditisme et ancien lieutenant de Francis le Belge, tombait le 29 juillet dans un cybercafé du centre-ville sous les balles d’un tireur non masqué à moto. L’année avait commencé de façon baroque lorsque, le 27 janvier, trois hommes furent tués et deux blessés, dont l’un grièvement, dans une fusillade orchestrée par un commando armé de kalachnikovs et de pistolets automatiques, dans le quartier Sainte-Marthe (nord).

Face à cette épidémie décimant une faune qui n’a pas plus rien à voir avec la pègre des années 1990, les forces de l’ordre ne se cantonnent guère à un simple décompte des points. «Un travail de fond est entrepris pour rétablir de façon visible et efficace la sécurité sur l’ensemble de l’agglomération et en particulier le grand centre-ville, observait jeudi Alain Gardère, préfet de police de Marseille. La lutte entreprise par la PJ en matière de stupéfiants dans près de vingt-cinq quartiers sensibles commence à produire ses fruits. » Selon nos informations, pas moins de 310 armes de tous calibres ont été confisquées dans les cités depuis le début de l’année, dont dix-sept fusils d’assaut de type Kalachnikov. Dans le même temps, près de soixante-dix malfaiteurs, condamnés à des peines non exécutées, ont été interpellés depuis janvier. «Notre volonté, jour après jour, est de vidanger avec méthode la voyoucratie en retirant les petits caïds du circuit et en les frappant au portefeuille », confie un commissaire de terrain.

Depuis septembre dernier, la lutte contre les trafics de stupéfiants s’est accentuée de façon singulière. Au terme de 150 opérations coup de poing, 212 trafiquants ont été appréhendés. Selon un dernier bilan, le «travail en profondeur» que revendique le préfet Gardère s’est manifesté par la saisie de 84 kg de résine de cannabis, 37 kg de cocaïne et environ 500.000 euros en espèces. Jeudi soir, des renforts de police étaient déployés aux abords du quartier endeuillé de la Castellane. Ce grand ensemble, où a grandi Zinédine Zidane, lutte contre la fatalité.

Source: http://www.lefigaro.fr/

Un petit classement des villes de France à éviter? C’est ici: http://tinyurl.com/3ka3qe

26/10/2011

Saint-Etienne: un commerçant d’origine Kurde pris pour cible par des Turcs !

La France n’est pas un ring ! Les règlements de compte, ils n’ont qu’à les faire chez eux. Nous avons déjà assez de mal à nous entrendre entre Français de souche…

FDF

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Vidéos (pillées chez Fdesouche…): http://youtu.be/8IG-XnHLXRs
http://youtu.be/Xm-edbak8tQ

«Pourquoi les policiers ne sont-ils pas intervenus ?», se demande Richard Sissi.  Photo Fabrice Roure

«Pourquoi les policiers ne sont-ils pas intervenus ?», se demande Richard Sissi. Photo Fabrice Roure

Débordements. Lors d’une manifestation turque hier, la vitrine d’un commerçant français d’origine kurde a été brisée. L’homme témoigne. Il a peur.

La vitrine du bar-PMU-Presse de la rue Antoine-Durafour a été brisée à coups de pied hier après-midi aux alentours de seize heures. Nous avons rencontré son propriétaire hier soir, M. Richard Sissi : « Je suis Français d’origine kurde. Quand la manifestation turque est passée devant chez moi, certains disaient, en turc : « Mettez le feu ». Certains ont voulu rentrer. Ma caissière, enceinte, a fait un malaise. Elle est allée aux urgences. Des manifestants ont alors cassé ma vitrine. Je pense qu’ils ne sont pas passés ici par hasard ». Richard ne comprend pas cette agression : » Ici, on fait notre travail. J’emploie neuf personnes. On ne s’occupe pas de politique, ni de religion. Je ne suis pas représentant du PKK. On est en France ici. Qu’ils manifestent contre le PKK ! »

Il se demande encore « pourquoi les policiers ne pas intervenus. Ils m’ont dit qu’ils n’étaient pas assez nombreux. Ce soir, j’ai peur pour moi et ma famille Qui dit qu’ils ne vont pas venir mettre le feu ? ». Richard a déposé plainte hier soir au commissariat de Saint-Étienne.

Samedi, un rassemblement surprise, même la préfecture n’en avait pas été informée, a été organisé à Saint-Etienne. A 14 h 30, une soixantaine de personnes environ, arborant des drapeaux turcs, s’est installée sur les marches de l’hôtel de ville et à proximité pour protester contre les attaques du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan) contre des militaires turcs, mardi dans la province de Hakkari. Attaques qui ont fait vingt-six morts. Pas de banderoles, pas de sigle d’organisation, pas de prises de paroles. Une manifestation réunissant une soixantaine de personnes a ensuite été organisée, empruntant la grand-rue avant de revenir par la rue Antoine-Durafour vers le centre-ville. C’est à ce moment-là que se sont produits les incidents.

Source: http://www.leprogres.fr/

11/04/2011

La guerre des mosquées entre Algérie et Maroc se déroule en France !!!

Notre France n’est pas un ring !!! Allez régler vos conflits sur vos terres respectives! En plus de supporter sans cesse vos pleurnichements, larmoiements et autres stigmatisations de tous genres, sachez que notre Patrie ne veut pas être en outre pas un lieu de règlement de vos conflits internes ! Foutez nous la paix, une bonne fois pour toutes! Ou bien rentrez au bled !

Ca commence à bien faire…

FDF

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Le journal algérien El Watan, dans son édition du 9 avril, a présenté une lutte d’influence soigneusement occultée par les médias français. Et pour cause, les Français risquent de comprendre que « l’Islam de France » n’est qu’une pure invention médiatique…

Paris.
De notre correspondant

« Malgré la volonté de Halim Benatallah, secrétaire d’Etat chargé de la Communauté algérienne à l’étranger de l’unir et de l’organiser, force est de constater que le retard accusé dans ce domaine est handicapant, voire même difficilement rattrapable. Jeudi, au consulat d’Algérie de Bobigny (département de la Seine Saint-Denis) le secrétaire d’Etat a écouté attentivement les interventions des responsables des associations algériennes activant dans le domaine du culte. Et au fur et à mesure des exposés,  il s’est rendu compte de la difficulté de la tâche, tant les maux qui rongent les Algériens de France, sont nombreux et imbriqués : problème d’organisation de la religion, difficulté à unir et à organiser la communauté autour d’objectifs précis, recul de l’influence et du rayonnement de la Mosquée de Paris.

Mais le problème le plus soulevé par les représentants des associations est celui relatif aux associations religieuses marocaines qui semblent avoir pignon sur rue, déconstruisant systématiquement ce que les Algériens ont construit depuis des années. «Les Marocains cherchent à contrôler toutes les mosquées. Si l’on ne fait rien, on va directement dans le mur», a estimé Salah Mrabi, imam chargé de la région de Tours, Blois et d’Orléans. Un de ses confrères a relevé le problème auquel est confrontée la Mosquée de Paris, qui risque de tomber, tel un fruit mûr, entre les mains des Marocains après avoir été des années durant sous l’influence algérienne. «La mosquée de Paris est orpheline. Elle est attaquée de toutes parts. D’abord sur Youtube, puis c’est le recteur Dalil Boubakeur qui subit les foudres des Marocains et ensuite c’est l’Etat algérien qui est sali. Et que fait ce dernier ? Rien.»

En plus de la concurrence féroce livrée par les Marocains aidés par leur Etat, d’autres difficultés viennent aussi compliquer l’organisation et l’union des Algériens de France : l’unilinguisme des imams envoyés par Alger. En effet, ces derniers, ne maîtrisant pas la langue française, peinent à mobiliser les jeunes Français d’origine algérienne. L’autre handicap qui empêche les musulmans algériens de s’organiser, c’est le manque de moyens financiers. De nombreux projets, comme la construction de mosquées ou d’écoles religieuses peinent à voir le bout du tunnel à cause du manque d’argent, contrairement au volontarisme financier de l’Etat marocain qui semble mettre tous les moyens pour imposer ses agendas religieux et son Islam en France. Convaincu du retard enregistré sur le terrain, M. Benatallah a promis une réponse rapide et à la mesure des difficultés sans cesse grandissantes. » Lire la suite

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Source: http://www.islamisation.fr/archive/2011/04/11/la-guerre-des-mosquees-entre-algerie-et-maroc-en-france.html