
Cherchez les vrais racistes… Ce ne sont pas ceux à qui ont pense en premier.
Ci-dessous, une belle tranche de vie vécue par José Castano.
FDF
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La douche sénégalaise…
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Dimanche AM je me trouvais à Toulouse dans le cadre de l’organisation de la manifestation de protestation contre l’initiative scandaleuse de la municipalité locale de débaptiser un pont qui porte le nom prestigieux de BAYARD, qui représente pour les Français la gloire nationale, pour le rebaptiser « 19 mars 1962 » synonyme de défaite, de lâcheté et de collusion avec l’ennemi FLN.
En soirée, me susurrant –non sans malice- « qu’une surprise m’attendait », je fus convié par le Président du collectif à dîner chez quatre sœurs Sénégalaises (qui nous attendaient) dont l’ainée a 34 ans et la dernière 14 ans.
L’ainée est aide-soignante et reçoit un salaire de 1.100 euros mensuels. La maman reçoit une pension de veuve de 300 euros mensuels. C’est avec ce total de 1.400 euros que ces 5 personnes s’hébergent, s’alimentent, se transportent, travaillent. Vivent, en un mot !
Elles sont francophones et francophiles et j’indique, pour les citoyens français de souche qu’un francophile n’est pas quelqu’un qui « nique la France » mais que c’est quelqu’un qui l’aime.
Je donne cette indication puisque les analphabètes et les mélanchonisés à la sauce Gayssot-Fabius qui façonnent nos consciences et nos réflexes ont déterminé qu’un pédophile est un Monsieur qui viole de petits garçons. Messieurs Emmanuelli et Mélanchon ont montré, eux, avec quel dédain ils considèrent les femmes : Ils devraient être désignés comme des gynécophobes. Eh bien, non ! Le correcteur internet (archi nul) ignore lui-même le mot en le traitant en néologisme. Ils sont communément considérés, même par les leurs, comme des machistes. Face à Marine Le Pen, la haine ruisselante de Mélanchon en devenait mélanchichonne, éblouissante de rage vociférante.
Elles sont francophiles, disais-je, et les années passées dans la capitale confite (d’oie) du socialisme à la française et du radical-socialisme cassoulet leur ont donné l’occasion d’observer les « toulousains » de près et de se faire une assez large opinion du Français local qui s’échelonne, de l’électeur de Marine Le Pen au régional de l’étape, le sieur Poutou, un nom souchien qui ne s’invente pas !
Etranger moi-même à cette ville de Toulouse, je n’eus pas besoin de m’escrimer à vérifier longtemps la réputation que Voltaire en fit, la définissant comme « la capitale de l’ingratitude » suite à l’Affaire Calas. Mais Victor Hugo ne fut pas tendre non plus pour elle. Quant à Sacha Guitry, il raconte que « croyant quitter Toulouse, il découvrit qu’il l’a fuyait ».
Seuls d’obscurs narbonneux chafouins, bouffis de bonne conscience rose, persistent à penser que Toulouse ne s’écrit pas à l’anglaise: To lose …. Enlevez l’avion de Toulouse et que reste-t-il ? Il reste « LE journal de la démocratie », cette dictatoriale « Dépêche du Midi » qui n’a cessé, depuis sa naissance, d’interdire toute autre naissance journalistique. Le très estimable Monsieur Bayrou a beau s’essayer avec talent à la langue occitane et rappeler le souvenir du chanteur Nougaro en évoquant son « Moun pays », la vérité est qu’un peuple qui ne se retrouve plus dans sa langue maternelle est un enfant perdu, amnésique, sans ADN et sans avenir. « Le plus grand crime , c’est de tuer la langue d’une Nation avec tout ce qu’elle renferme d’espérance et de génie », écrivait Charles Nodier.
Baylet, l’Assad de la presse toulousaine ! Journal que l’odieux Bousquet dirigea pendant plus de dix ans ! Sans vergogne et silence dans les rangs ! Ici, ce n’est plus un peuple, c’est un troupeau ! Une gauche-pléonasme étalée dans la vanité des formules toutes faites et qui psalmodie les mots de république et de démocratie comme, dans un chai, un employé classe des bouteilles vides.
En passant, bien entendu, par les gros régiments locaux de ceux qui vont se ruer sur le nom du Pays-Bas, sur le nom de l’écolo à Duflot à culot sans Hulot, sur le nom du paléo gaulliste aux serments toujours prêtés, toujours repris, sur le nom du « communiste » du Grand Orient à 30.000 euros mensuels, sur dame Arthaud la révolutionnaire en peau de lapin, la première à avoir recueilli ses 500 signatures… (No comment!).
Ces « étrangères » -pour en revenir à elles- de nationalité française, ne sont pas seulement francophones et francophiles. Elles sont aussi chrétiennes. Plus exactement catholiques. Elles ont vu leur terre natale envahie par la marée musulmane née dans la démographie et l’ouverture aux pays musulmans voisins, ruinés. Elles ont vécu la persécution et l’intolérance et elles assistent, en France, au spectacle qu’elles ont vu de près chez elles, au Sénégal. Au point de vouloir quitter leur pays natal, voué à l’effondrement.
Cela se produit pareillement en Egypte où les 10 millions de Coptes choisissent peu à peu la fuite. Cela se produit au Nigéria où, comme au Soudan, les Chrétiens sont purement et simplement brûlés vifs. Cela se produit en Turquie où il reste très officiellement une centaine de chrétiens, le dernier religieux ayant été, comme les derniers le furent en Algérie entre 1991 et 2000, assassiné. Assassiné en pleine rue à la manière de Théo Van Gogh ou Pim Fortuyn, chez eux, en pleine Europe ! Cela se produit pareillement au Liban où les Chrétiens qui avaient fait de ce pays la Suisse du Moyen Orient, se comptent désormais au détail. Cela s’est produit ignoblement dans l’ancienne Yougoslavie où le Fric International et le principe One Man One Vote ont remplacé la population orthodoxe par la population musulmane dans d’immenses territoires de la Serbie, de la Bosnie et de la Macédoine. Les Chrétiens sont devenus des Tibétains qui n’intéressent personne pour cette raison principale, il faut le dire, qu’à voir la gueule des Chrétiens qui seraient sensés leur prêter main forte, les naufragés risquent d’attendre longtemps les chaloupes de secours, et plus longtemps encore le 7ème Régiment de Cavalerie !
J’en arrive à la fin de mon petit discours. J’ai beaucoup parlé avec mes hôtes. Pas la peine de me prier longtemps pour me faire parler. Ni pour me faire écouter. Et je n’aurais qu’une seule honte à avaler ici-bas, face au débat partagé avec des consciences honnêtes et intègres qui recherchent l’exactitude, c’est de répondre par le silence, par l’indignation hautaine, par le mépris, par ce « Pfffff » qui est le discours résumé de la péronnelle insane acculée à s’ôter le masque tout en voulant garder le dernier mot, fut-ce celui du borborygme.
Ces Sénégalaises m’ont expliqué simplement, avec force et conviction que les seuls vrais racistes qu’elles ont rencontrés, découverts, démasqués, ce sont les nauséeux pros de l’antiracisme militant, les endimanchés de la cause humaniste aux portes fermées et que les seuls qui leur ont toujours fait bon accueil étaient ceux qui leur avaient été montrés comme des monstres et des caricatures par les sycophantes de la Bien Pensance … et le vote des deux aînées, comme celui de la maman se portera sur Marine, c’est un fait acquis.
José CASTANO