Francaisdefrance's Blog

26/02/2012

Arrêtez de nous casser les pieds avec vos mesures anti-racistes à sens unique !!!

Message à certaines officines anti-racistes trop connues…

Oui; foutez nous la paix avec ces inventions discriminatoires envers les « blancs » qui ne servent qu’à vous remplir les poches à grands coups de procès organisés. Regardez plutôt ce qui suit…

FDF

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Libye : des noirs Africains traités comme des singes au zoo aux cris d’Allah Akbar !

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Des Africains noirs sont enfermés dans une cage, traités de sales chiens (un animal considéré impur dans l’islam) et forcés de manger le drapeau par les rebelles racistes aux cris d’Allah Akbar :

Voir: http://www.postedeveille.ca/2012/02/libye-des-noirs-traites-comme-des-singes-au-zoo-aux-cris-d-allah-akbar.html

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Pendant ce temps, en Afghanistan : Black Dog Obama:

Source: www.postedeveille.ca/

Merci à DG…

02/02/2012

On a retrouvé Cortex !

Il est planqué en Ukraine…

Des journalistes qui le pistaient ont retrouvé sa trace… Même déguisé, ils l’ont reconnu.

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Un peu de sérieux. Un journal ukrainiens a voulu faire de l’humour mal placé (merci, merci; j’ai déjà un boulot).

Et je peux vous garantir que ça braille, chez les Africains d’Ukraine. En fait, ils ont raison. Ca, c’est du vrai racisme. Même moi, je trouve ça honteux.

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Pas trop fâché, Cortex? Tu nous a assez insultés, faut dire. On appelle ça un retour de bâton, chez nous.

Bon; sérieusement: j’attends toujours ton clip sur moi. Tu avais promis. T’es pas sympa.

Allez; gros poutous en attendant.

FDF

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« Ce photomontage odieux a été publié par un journal ukrainen de la ville de Ternopil. Notre observateur, un étudiant congolais qui vit dans cette localité, nous raconte que cet incident est révélateur du racisme dont il est victime au quotidien.
« Nova Ternopil » a publié cette photo en illustration d’un article sur une bagarre qui aurait éclaté dans un bar local. Selon le journal, des « Arabes » et des « Africains » se battaient pour obtenir les faveurs d’une prostituée ukrainienne. Au premier plan du photomontage, on voit une jeune femme femme entourée de singes. En arrière plan, on aperçoit un groupe d’étudiants noirs qui prennent un verre. Des jeunes gens qui n’ont rien à voir avec l’altercation décrite dans l’article.
Nous cherchons à joindre des responsables de « Nova Ternopil » afin qu’ils commentent leur publication. Nous publierons leurs réactions dès que nous  les aurons recueillies.

La une de « Nova Ternopil ». Le rond rouge, ajouté par FRANCE 24, pointe le groupe d’étudiants qui, d’après notre Observateur, n’a aucun lien avec l’incident. Photo : Beckhs Love

« J’ai vu des étudiants ukrainiens qui riaient en lisant le journal »

Beckhs Love est un étudiant conglais de l’université de technologies Ivan Puluj à Ternopil. Il vit en Ukraine depuis quatre ans.
Le responsable des étudiants étrangers de l’université m’a convoqué dans son bureau hier. Il m’a montré la une du journal. J’ai été vraiment choqué. Je n’en croyais pas mes yeux.
Le responsable m’a dit que c’était affreux, mais m’a demandé de rester calme. Selon lui, ce n’était que de la provocation et il fallait que je demande aux étudiants étrangers de ne pas s’énerver. Il m’a demandé ça à moi parce que je parle ukrainien et que je joue un rôle de coordinateur pour la communauté des étudiants étrangers.
Il s’avère que le journal a simpement réutilisé une vieille photo et l’a retouchée. On ne sait pas comment ils ont obtenu ce cliché.
Sur le campus, j’ai vu des étudiants ukrainiens qui riaient en lisant le journal. Je me suis approché et je leur ai dit : « Vous trouvez ça drôle ? Ça donne une bonne image de votre pays à l’approche de l’Euro [l’Ukraine co-organise l’Euro 2012 de football]  ? Vous n’êtes plus en Union soviétique ! »
Je ne comprends pas pourquoi ils nous donnent des visas pour venir étudier ici s’ils ne veulent pas de nous. Je vais dire aux gens dans mon pays de ne plus envoyer leurs enfants en Ukraine. Ici, on est mis à l’écart. On reste entre Africains et très peu d’étudiants ukrainiens nous parlent. Et en dehors de l’université, c’est encore pire. La nuit, c’est même dangereux pour nous de sortir. On se fait insulter tout le temps. Il n’y a pas très longtemps, je me suis fait agresser en rentrant du supermarché. Mais quand j’en ai parlé à la police, on m’a simplement menacé de me renvoyer chez moi.
Il est difficile pour nous de faire valoir nos droits ici. Mais nous essayons d’avoir un rendez-vous avec le directeur du journal qui a publié le photomontage, pour qu’il puisse s’expliquer. »
Merci à l’Henri llettes du mans. Non; je l’ai déjà faite, celle là…
Source: http://observers.france24.com/

31/12/2011

Confidences d’une bénévole des Restos du Cœur…

Déplacez-vous dans un Resto du Coeur ou autre Secours Catholique… Vous pourrez constater de vos propres yeux. Ca, on ne le montre pas à la télé. Comme on évite de montrer des vrais Français qui meurent de faim et de froid dans la rue…

FDF

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Mêmes informations provenant du Secours catholique et d’autres organisations caritatives…  L’auteur de ce texte préserve son anonymat, ce qui se comprend.
Dans le même temps, on pourchasse ceux qui organisent des « soupes de cochon » et autres pique-niques « saucisson-pinard » à l’intention des  gaulois!
« Hier j’ai vu une amie qui fait du bénévolat aux restos du cœur à Dijon 2 j /semaine, il y aurait de quoi écrire un livre !!!
Elle est DEGOUTEE de la manière dont se conduisent les africains , les nord africains , et aussi les armadas de kosovars, tchéchènes, turcs…..venus de l’Est : c’est l’INVASION, ils se ruent sur la nourriture, trafiquent les cartes qui leur donnent droit à tel ou tel avantage, reçoivent plusieurs fois des vêtements, de la nourriture qu’ils revendent ensuite sur le marché ..
Ils sont à l’affût de tout ce qu’on leur donne BETEMENT…. Ils sont au courant de leurs DROITS et de toutes les opportunités !!! (plus que nous, des roublards)……. par ex…(je le dis au hasard)…. lundi : Restos du cœur, mardi : Secours populaire, mercredi : Secours catholique, jeudi : autre chose, et se précipitent chaque jour pour faire la queue et participer à la distribution gratuite !!!
Cette amie est au rayon « bébés »… et distribue entre autres des petits pots, des africaines engrossées à longueur d’années avec 4 enfants en bas âge dans les pattes et braillant, gueulent « mais ce n’est pas la marque que je veux !!! » et rejettent les petits pots. … c’est HONTEUX !!!  Ils ont un MEPRIS incroyable pour nous …
Un bébé peut avoir jusqu’à 3 pères !!! qui viennent chacun réclamer leur dû !!! ils viennent tous dévaliser les stands, se disputent, s’arrachent leurs sacs, on leur donne 1 pack de 8 yaourts, ils en mangent un, entament ou crachent dans les 7 autres et les jettent sous le nez des bénévoles, pour nous NARGUER, nous MEPRISER, se MOQUER de nous ! ! !
C’est SCANDALEUX …. et on continue à entretenir cette racaille ????
On est FOUS ou quoi ???
TOUT LEUR EST DU…. Sans  rien en échange évidemment ! ! ! « 
Cette fille très lucide m’a dit : »Il va y avoir une guerre civile, une REVOLTE, il ne peut en être autrement, Ils nous DETESTENT, nous crachent à la figure, viennent nous piller, et PROFITER A MORT du système, le gouvernement a dû « composer » avec les musulmans, sinon des bombes auraient déjà éclaté partout … »Elle est EFFAREE et INQUIETE de la TENSION, de la méchanceté, de la HAINE de ces hordes qui nous envahissent
Voilà je voulais vous faire part de son dégoût, de sa désillusion, de son immense tristesse face à une situation que nous ne maitrisons plus du tout … et tout ce que je vous transmets est absolument authentique, je n’invente rien !!!
Après ça continuez à répondre aux associations qui nous supplient par téléphone ou courrier, nous implorant de bien vouloir DONNER !!! 
La manière INADMISSIBLE de se comporter de ces émigrés/étrangers soi-disant français !!!  (pour certains d’entre eux) entretenus pénalise certainement des associations qui auraient REELLEMENT BESOIN d’AIDE… « 
Faites CIRCULER …. !!!
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(Témoignage reçu par mail…)


11/12/2011

Solidarité totale avec ces policiers qui risquent leur vie à tout moment pour tenter d’assurer notre sécurité !

Quelques jours dans la peau d’un flic de banlieue; impressionnant. Mais ça, tout le monde ne le sait pas.

Il serait bon pour les « bobos-gauchos » qui défendent les  » jeunes issus de l’immigration » de prendre connaissance de ce qui suit…

Et Monsieur Guéant, il sait tout ça ?

FDF

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Voir: http://youtu.be/g7cwOHU3Aog

Dans l’enfer du 93 : «Moi, flic de banlieue»

Le journal de Christophe D., policier à la BAC de Seine-Saint-Denis.

À l’heure où l’institution policière semble secouée par les scandales à répétition, prise en tenaille entre les affaires de corruption, à Lille comme à Lyon, et la violence de la rue, Le Figaro Magazine a souhaité rendre compte de la réalité des policiers de terrain. Car si la corruption fait tomber les têtes, la violence, elle, ne fait pas de quartier aux hommes en bleu. À Vitrolles, un policier est mort, blessé par balle à la tête à la suite d’une attaque à main armée. À Marseille, comme ailleurs dans les grandes villes de France, les policiers sont en première ligne face à la loi des gangs. Braquages, règlements de comptes et autres guerres fratricides. Pour comprendre cette réalité qui semble parfois sortie de la fiction, Christophe, brigadier-chef engagé au sein de la BAC départementale du 93 depuis sept ans, nous a ouvert les portes de son quotidien. Celui de la BAC. Trois lettres. Une unité: la Brigade anticriminalité. Une mission: la chasse au flagrant délit. Créée en Seine-Saint-Denis le 1er octobre 1971 par Claude Durand, policier et ancien résistant, la Brigade anticriminalité avait pour mission d’offrir une réponse adaptée à une délinquance croissante à la fin des Trente Glorieuses. Quarante ans plus tard, rien n’a changé. Ils sont aujourd’hui près de 3600 policiers en France – dont 80 en Seine-Saint-Denis – chargés, comme Christophe, de traquer la criminalité et les délinquants en tout genre.


Intervention dans un squat à Aubervilliers. Flash-Ball en joue, Christophe D. est là pour assister ses collègues qui viennent d’investir les lieux. (Jean-Pierre Rey)

Le brigadier-chef Christophe sait que lui et ses collègues sont souvent qualifiés de cow-boys, de chasseurs de flag’ ou de têtes brûlées… Et pourtant, il a accepté d’être suivi pas à pas, et durant cinq mois, par le photographe Jean-Pierre Rey. Ce récit extraordinaire est une immersion totale dans le quotidien d’un policier ordinaire. Christophe a accepté de se livrer, de tout nous dire sur sa vie de flic, d’homme, de mari et de père. Il nous a confié ses doutes, ses colères et ses peurs parfois. Salaire, manque de moyens, dangers, le policier pose un regard critique sur son travail. Mais il évoque aussi un métier qu’il vit d’abord comme une passion, parle de son sens du devoir, de son engagement au service de la population, et de ses victoires – certes fragiles – quand l’ordre a été rétabli. Pour des raisons de sécurité, Christophe n’a pas souhaité que son nom de famille apparaisse dans ce témoignage.

La Seine-Saint-Denis, c’est de la bombe!» Ce n’est pas moi, mais Joey Starr, le fameux rappeur du groupe NTM, qui le dit dans l’une de ses chansons. Pour le policier affecté à la brigade anticriminalité du 93 que je suis, c’est en effet de la bombe et ça peut sauter à tout moment. La Seine-Saint-Denis, c’est le département le plus criminogène de France et l’atmosphère y est explosive. Le 93, c’est le très vaste théâtre de nos opérations. Mais ici, le décor n’est pas fait de carton-pâte. La réalité est aussi dure que le bitume des cités que j’arpente sans relâche et souvent aussi grise et triste que le béton de ces barres d’immeubles que l’on finit par connaître par cœur à force de les fouiller. Et puis, il y a l’âpreté de ce quotidien aussi oppressant et écœurant que ces effluves des cages d’escaliers où se mêlent les odeurs de cannabis, d’herbe, de cigarette, d’urine, et où les crachats qui jonchent les halls collent aux semelles, comme le désespoir et la misère se sont agglutinés dans ces murs… pour longtemps, semble-t-il.


Interpellation de trafiquants de drogue présumés à Aubervilliers, en soutien à la brigade des stupéfiants de la sûreté départementale. Les policiers les suivaient depuis des mois. (Jean-Pierre Rey)

Notre routine n’est pas gaie, mais surtout, elle n’a rien de banal. Notre train-train quotidien, c’est d’abord de l’imprévu. Tout, absolument tout, peut arriver à n’importe quel moment: braquage, règlement de comptes, vol à l’arraché, trafic de drogue, agressions en tout genre. L’inattendu fait partie de nos habitudes. Comme ce soir. Je me prépare à rentrer à la maison après une journée de boulot. Notre supérieur nous annonce un changement de programme: l’équipe est maintenue en place jusqu’à nouvel ordre. Les consignes viennent d’en haut et nous devons attendre de nouvelles instructions. Aucune autre information ne filtre. Le secret est gardé jalousement pour éviter les fuites. C’est certainement une très grosse opération. Ça sent le stup ! Alors, avec les copains de la BAC départementale, on prépare notre matériel: gilets pare-balles, armes à feu, matraques. On se doit d’être prêt pour cette opération dont on ignore tout. Quand on fait ce métier, il faut s’adapter à toutes les situations et à l’imprévu. J’appelle ma femme pour lui dire que je ne serai sûrement pas à la maison ce soir, ni même peut-être demain. Elle est habituée à ce genre de «surprises», ma petite femme. Mais surtout, elle sait. Elle est aussi policier. Alors, elle s’inquiète et me couvre de recommandations. «Fais attention à toi. Mets bien ton gilet…» (pare-balles, bien sûr.) Elle a évidemment bien moins peur d’un rhume que d’une balle perdue.

Mardi 6 septembre. Il est 20 h. On attend. Des heures durant.

Chacun s’occupe comme il le peut. Entre deux cafés, on discute de tout et de rien. Et puis, à minuit, ça bouge. Une réunion est organisée avec toutes les équipes mobilisées. Les policiers des stups sont présents. Le plan est précis, détaillé et très bien pensé. Ceux de la sûreté publique ont travaillé des mois durant sur cette affaire: enquêtes, planques, surveillances, écoutes, vérifications des informations. Je retiens avec attention les explications, les positions à tenir… Pas question pour moi de commettre la moindre erreur au risque de faire capoter l’opération et de ruiner tous les efforts de mes collègues. Les officiers nous détaillent le plan d’action. Le mot est lâché: c’est un go-fast en flag. Je le pressentais. Un go-fast, c’est un procédé prisé par les gros dealers et qui consiste à acheminer des cargaisons de drogues à bord de très grosses cylindrées. La méthode employée par les trafiquants est toujours la même. Le convoi est composé de deux voitures roulant à très vive allure. La première reste en tête et sert d’ouvreuse. Il s’agit en fait de repérer tout contrôle ou barrage de policiers. Le deuxième véhicule est chargé, lui, de transporter la marchandise. Ces convois remplis à bloc peuvent faire transiter à travers les frontières des centaines de kilos de substances illicites en quelques heures seulement. Mais pas cette fois. On sera là.

Il est 3h du matin. C’est le moment d’y aller.


Menottes aux poignets, un membre d’un gang de dealers est placé en garde à vue. La BAC a saisi 60 kg de drogue. (Jean-Pierre Rey)

Pas de place pour la fatigue, le stress ou le doute. Un seul objectif: la mission. Chacun sait ce qu’il doit faire. Le dispositif mis en place autour de cette cité d’Aubervilliers est impressionnant. Plusieurs véhicules dont trois fourgons d’interpellation. J’ai de la chance, je suis placé aux premières loges en me retrouvant dans le fourgon de tête. Mais j’ai aussi une grosse pression sur les épaules. Tout va très vite. Le trafiquant arrive, chargé de sacs volumineux et je le plaque au sol sans même lui laisser le temps de mettre un pied dans l’immeuble. C’est pour vivre des moments comme ceux-là que je me suis engagé dans la police. Maîtriser, menotter un trafiquant de drogue en plein flagrant délit.

L’individu est plaqué au sol, il a sur le dos un sac rempli de drogue. Je lis dans ses yeux le désarroi et la stupeur. Son regard semble me dire: «Waouh! Mec, je t’attendais partout, à tout moment. Mais certainement pas là.» Mener à bien une telle mission relève du défi. Car, à ce niveau-là du business, les gens à la tête de ces réseaux sont très organisés. Ils ne font rien au hasard. Méfiants et excessivement prudents, ils s’appuient sur un système de protection et de surveillance très élaboré autour de la cité. Leurs hommes font des rondes en voiture ou à moto, des guetteurs à pied donnent l’alerte au moindre mouvement suspect. Tout un stratagème qu’il nous faut déjouer avant d’arriver jusqu’à eux. L’interception de ce go-fast à Aubervilliers, c’est l’une de mes plus grandes fiertés. Une belle affaire menée de concert avec plusieurs services. Nous avons fait, en quelques minutes, plusieurs arrestations, saisi 40 kilos d’herbe, 10 kilos de résine de cannabis, de l’argent liquide et une arme à feu.

Mercredi 7 septembre. Très mauvaise journée pour ce réseau, qui a perdu en quelques minutes près de 400.000 euros et quelques années de liberté. Mais j’ai précisément choisi ce métier pour mettre des «vilains» hors d’état de nuire. Cette opération m’a valu quelques cernes. Entre les interpellations, les perquisitions, et les rapports, j’ai travaillé 24 heures sans m’arrêter. Mes collègues également. Ce soir, je suis ravi. J’aurai une belle histoire de méchants jetés derrière les barreaux à raconter à mes enfants.

Vendredi 9 septembre. La journée commence plutôt bien.


Un voleur venait d’arracher le collier en or d’une passante qui rentrait chez elle à Aubervilliers. (Jean-Pierre Rey)

On se retrouve avant la prise de service avec les collègues autour de la machine à café. On se refait le film de l’opération go-fast à Aubervilliers. On se délecte des détails et on raconte pour ceux qui n’étaient pas là. On échange nos impressions. Heureusement que nous avons parfois de belles affaires comme celle-là, qui remontent le moral de l’équipe et compensent nombre de journées faites parfois de frustrations. Notre quotidien, c’est surtout un concentré de haine. En Seine-Saint-Denis, les violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique ont augmenté de 10 % en une année. Le message est clair: nous ne sommes pas les bienvenus dans les cités. Mais ce n’est pas bien grave. À la BAC, on est sans complexe et on s’impose. On va absolument partout. La particularité de nos services, c’est le refus de ces zones dites de non-droit. C’est un concept que nous avons banni. J’ai commencé ma carrière en 1995, à l’école de police de Reims. Les autorités de l’époque considéraient certains quartiers difficiles comme impraticables pour les policiers.


Envoyée sur place en urgence, la BAC l’a rapidement identifié puis interpellé. (Jean-Pierre Rey)

Nos supérieurs nous interdisaient formellement d’y aller pour ne pas provoquer et engendrer plus de problèmes. Je n’ai jamais pu accepter cette logique. Battre en retraite face à la délinquance, c’était difficile à digérer pour le jeune policier en devenir que j’étais à l’époque. C’est une aberration pour notre métier et un choix contre-productif. À Reims, la violence s’est depuis propagée au-delà des quartiers populaires pour arriver jusque dans le centre-ville. Après l’école de police, j’ai été affecté au commissariat de Stains. C’était mon tout premier poste. Je me changeais dans des Algeco. C’est là que j’ai appris à travailler avec pas grand-chose. On avait de vieilles machines à écrire et pas assez de rubans. Mais on se débrouillait. On allait en faucher à droite, à gauche. J’étais motivé par l’idée que j’aidais la veuve et l’orphelin avec des bouts de ficelle. Et puis j’ai été plongé dans le grand bain tout de suite, le commissariat se trouvant à quelques centaines de mètres d’une cité à problèmes. Après une année à Stains, j’ai intégré la CDI (Compagnie départementale d’intervention) 93. L’équipe, le travail, l’ambiance, tout était parfait. J’ai adoré ces cinq années avant de devenir, pendant quelques mois, chauffeur dans les ministères. Mais conduire et accompagner des ministres, ce n’est pas de l’anti-crime. Ce n’est pas la raison pour laquelle je me suis engagé dans ce métier. On m’a donc affecté au commissariat d’Aulnay-sous-Bois en 2005 pour intégrer la BAC quelque temps plus tard. Là, j’ai peaufiné mon savoir et ma technique d’intervention pour devenir un vrai «BAC-man». La BAC, c’est de la vraie police ! Les principes y sont simples et clairs. Il y a des voleurs, des bandits, des dealers. On les repère, on leur saute dessus, on les arrête et on les met entre les mains de la justice.

Lundi 19 septembre. Refuser l’instauration des zones de non-droit, c’est imposer sa présence dans les quartiers les plus chauds.

Aller partout, c’est aussi s’exposer à tous les dangers. Jean-Pierre, le photographe du Figaro Magazine qui me suit comme mon ombre depuis des semaines, en a fait aujourd’hui l’amère expérience. Nous avons été appelés aux Francs-Moisins, une cité de Saint-Denis particulièrement sensible. Je n’aime pas cet endroit. C’est un véritable panier de crabes et les actes de violence y sont particulièrement fréquents et extrêmes. L’appel au secours est douteux, comme souvent. La spécialité du coin, c’est le guet-apens. Et aujourd’hui, mon instinct ne me dit rien de bon. Mais nous avons une mission et nous devons répondre à tous les appels. À peine arrivés sur les lieux, les jeunes se déchaînent. Une pluie de pavés énormes s’abat sur nous. En quelques secondes, une vingtaine d’individus, capuche sur la tête, parviennent à nous encercler. À ce moment, la maîtrise de ces sentiments de panique et de peur, qui ne demandent qu’à s’emparer de nous, est essentielle. Il faut absolument garder la tête froide pour se sortir de ce genre de situation et, surtout, savoir courir. Un bon policier doit savoir ravaler sa fierté et son orgueil et s’enfuir quand cela s’avère nécessaire. Parce qu’un bon policier, c’est d’abord un policier vivant. Nous avons détalé aussi vite que possible. Bien sûr, on s’en tire avec quelques bleus, et notre amour-propre est un peu bousculé. Mais je suis soulagé de voir les coéquipiers arriver très vite pour nous extirper de ce mauvais pas. Dans ces moments, chaque seconde dure une éternité. Jean-Pierre, le photographe, vient de vivre un peu de notre réalité. Il est blême, essoufflé (moi aussi) et il confirme: la peur, on ne la ressent qu’après. C’est le deuxième effet d’une célèbre marque de bonbons. Elle vous revient en pleine figure comme un boomerang… et c’est douloureux. J’appelle ma femme pour entendre sa voix.

Mercredi 28 septembre. Avant de prendre mon service, comme toujours, je vérifie le contenu de ma sacoche


Extraction d’un dealer dans la cité des Beaudottes à Sevran. La tension est palpable. N’importe qui peut prendre les hommes de la BAC pour cible. (Jean-Pierre Rey)

personnelle qui reste sur moi en permanence, dans la voiture. J’y mets l’essentiel pour ma journée. Un vrai kit de survie: trousse de secours, compresses, gouttes pour les yeux (absolument nécessaires quand on reçoit des gaz lacrymogènes), sans oublier ma matraque télescopique et une petite lampe de poche très puissante. C’est le minimum vital et je ne m’en sépare jamais. Pour bien faire ce job, nous devons nous tenir prêts. La BAC départementale de Seine-Saint-Denis a procédé l’an dernier à près de 2200 interpellations. Nous n’avons pas beaucoup de moments de répit. Prendre son service, c’est à chaque fois partir en guerre. Si notre mission est policière, nos instincts et nos réflexes sont quasi militaires. Arriver dans une cité c’est, pour nous, s’introduire en territoire hostile. L’ennemi guette et attend le moindre faux pas pour nous descendre. Dans le 93, c’est parfois une véritable guérilla urbaine. On fait la guerre à un ennemi caché. Au milieu, il y a des civils, une population qui essaie tant bien que mal de mener une vie normale. Nous devons gérer et évoluer avec ces deux extrêmes. Les voyous n’ont plus aucune notion de l’autorité policière. Ils nous perçoivent plutôt comme un gang rival. Nous sommes le «gang police» à qui il faut faire la guerre. Dans tous les cas, nous sommes l’ennemi à abattre. Je n’exagère rien. Je suis aussi militaire depuis 2001, capitaine de réserve au sein des forces spéciales. Mon expérience et ma formation au sein de l’armée me servent énormément sur le terrain des banlieues: savoir progresser en milieu hostile, sécuriser un périmètre à plusieurs, ne jamais laisser un des nôtres seul, ne jamais longer le mur des immeubles car le danger vient souvent d’en haut, des toits qui servent de points stratégiques aux délinquants. Ils se postent là pour nous lancer toutes sortes de projectiles. Ils sont très organisés. L’objectif premier, pour eux, c’est de protéger leur territoire et de préserver leurs points de deal. Un seul de ces points peut rapporter de 10.000 à 15.000 euros par jour. Des enjeux financiers colossaux pour ces dealers. Ils ne lésinent pas sur les moyens. Nous avons aujourd’hui en face de nous des jeunes entraînés. Ils vont à l’étranger, notamment dans les pays du Maghreb, pour apprendre à fabriquer des cocktails Molotov, organiser des guets-apens, «préparer des toits» en entreposant toutes sortes de projectiles (briques, pavés, parpaings, boules de pétanque) à des endroits stratégiques sur les hauteurs des immeubles. Tout cela ne s’improvise pas. Ils l’apprennent, l’appliquent et ce, dans un but précis. Ils sont lourdement armés. C’est devenu très facile d’acheter un Uzi, une kalachnikov, ou un 9 mm automatique. Certaines cités se sont spécialisées uniquement dans le trafic d’armes. Ils n’ont plus besoin d’aller bien loin pour s’équiper. Tout est à portée de main. En comparaison, nos équipements font parfois pâle figure. Le Kevlar de mon gilet pare-balles usé ne résisterait sûrement pas à une rafale de kalach. De toute façon, il n’est pas conçu pour ça. Eux sont prêts à tout pour continuer leurs petites affaires, parce que casser du flic, c’est nous empêcher de casser leur business.

Samedi 8 octobre. Le samedi est un jour comme les autres pour nous ! Le crime ne connaît pas de répit.


Pantin. Un voleur de sacs à l’arraché vient d’être mis hors circuit. Direction le commissariat. (Jean-Pierre Rey)

Notre très vieille Ford Mondeo est prête. Elle affiche déjà plus de 100.000 kilomètres au compteur et a été rafistolée plusieurs fois. Mais nous n’avons pas vraiment le choix. Nos véhicules sont fatigués, les moyens financiers manquent pour les remplacer. Nous sommes déjà tombés en panne de voiture au beau milieu d’une opération dans une cité. Et ça, pour attraper des vilains… ce n’est pas terrible. Mais aujourd’hui, tout va bien, on nous a mis à disposition des véhicules neufs. L’équipe se met en route, les sacs sont dans le coffre, le matériel d’intervention à disposition, et les radios commencent à crépiter. La journée commence par un petit tour de nos secteurs préférés, Sevran, Bondy, Bobigny… Les points de deal y sont nombreux. En arrivant, nous sommes évidemment repérés. Il y a les «choufs» (les guetteurs), toujours à leurs postes, qui communiquent notre arrivée à leurs copains vendeurs en criant: «Pue! pue!» En langage dealer, cela veut dire: «Prenez garde ! La police arrive !»

Payés entre 40 et 80 euros par jour et parfois un kebab en plus, ces gamins (souvent mineurs) n’ont aucun mal à gagner l’équivalent de mon salaire en un mois. Evidemment, à ce tarif-là, ils font du zèle. Les points de deal sont très organisés. Les «nourrices» sont souvent des habitants des immeubles chargés (ou forcés) de cacher la drogue chez eux et de la laisser à disposition des vendeurs qui, ainsi, ne se font jamais prendre avec de grosses quantités de stupéfiants sur eux. Les «portiers» ont pour mission de bloquer les passages pour gêner au maximum les interventions policières et permettre aux vendeurs de s’échapper. Le patron, lui, n’est jamais bien loin. Il est très souvent installé à la terrasse d’un café et surveille ses petites affaires à distance, quand il n’est pas occupé à trouver des solutions pour blanchir ses capitaux. Un business illégal et qui, à mon sens, doit le rester. Je suis absolument contre l’idée de la dépénalisation du cannabis ou de l’herbe. La légalisation de ces substances ne ferait qu’aggraver les problèmes dans les cités. Les jeunes iraient chercher de l’argent par d’autres moyens : braquages, vols avec violence, saucissonnages à domicile. Paradoxalement, le trafic de stupéfiants canalise un peu certaines cités. Les gros dealers «tiennent» les jeunes et les exhortent à rester tranquilles pour ne pas attirer la police et, ainsi, «bosser tranquillement». Tout ce petit monde compose avec la drogue. Certes, ce commerce permet à certaines familles vivant en situation de grande pauvreté de sortir la tête de l’eau. Elles n’ont pas vraiment d’autres choix que le trafic. Mais cela n’excuse rien, c’est illégal et puni par la loi. Pour le moment c’est calme. Rien à signaler dans nos quartiers préférés. Il est presque 13 heures. Pause déjeuner. Comme souvent, on se réchauffe une petite gamelle en vitesse. Pas le temps de s’arrêter plus de vingt minutes. La rue ne nous laisse guère de répit. Un appel radio nous informe qu’un «vol violence» vient de se dérouler à Stains. Je prends ma radio: «TN93 de BAC12, nous nous rendons sur place!» A peine arrivés sur les lieux, on tombe sur la victime, elle vient de se faire arracher son énorme collier en or et nous désigne au loin l’un des auteurs. Il n’a même pas pris la peine de se sauver. C’est en nous voyant foncer sur lui qu’il prend la fuite. Direction la cité du Clos Saint-Lazare ! Pas de chance pour lui, je connais le secteur comme ma poche ! Avec mes coéquipiers, on l’a très vite rattrapé. On charge notre individu direction le commissariat de Stains. On a attrapé le malfrat, la victime a retrouvé ses effets : voilà encore une belle affaire.

Lundi 17 octobre.Je viens de prendre conscience que cela fait près de sept ans que je travaille à la BAC.


Cité du Gros-Saule, à Aulnay-sous-Bois. La BAC et les policiers ont saisi 20 kg de drogue, 20.000 € en liquide et des armes. (Jean-Pierre Rey)

Comme le temps file ! Sept années à courir, à attraper des vilains, à esquiver les coups, à digérer les insultes et à supporter cette haine contagieuse qui suinte et se répand partout. Et me tente parfois. Mais je me refuse à basculer. Pour faire ce boulot proprement, la règle première, c’est de garder la tête froide. C’est difficile. De plus en plus difficile. Ces dix dernières années, la violence a explosé dans les quartiers, elle a aussi changé de visage. Elle se fait chaque fois plus juvénile. Nos agresseurs n’ont aujourd’hui pas plus de 13 ans, et ce sont bien eux les pires. Ils se montrent d’une férocité inouïe. Mais surtout, dans ces quartiers populaires, la population a évolué. Les jeunes d’origine maghrébine, qui tenaient le marché du deal, ont été peu à peu évincés par les Africains. Cette immigration est bien plus récente. La polygamie fait des dégâts considérables. Les enfants vivent entassés dans de petits appartements. Ils préfèrent traîner dehors et se retrouvent vite à la merci des délinquants. Ils sont bien plus pauvres et ont le sentiment de n’avoir rien à perdre, d’autant que la plupart d’entre eux viennent de pays en guerre où la violence est extrême et fait figure de règle. Sur le terrain, face à ces populations qui règlent leurs comptes à coups de machette ou avec les poings, nous nous retrouvons souvent pris en étau. Récemment, l’un de mes collègues a été mordu par une femme africaine. Son index a été sectionné et ne tenait plus que par la peau.

Mercredi 19 octobre. Toute cette violence, cette haine, cette misère humaine, c’est pesant parfois.


Avec Sylvie, sa femme, brigadier-chef au Blanc-Mesnil, Christophe D. vient de résoudre une affaire de vol. (Jean-Pierre Rey)

Il n’y a pas de rempart pour nous préserver. En fait, le rempart, c’est nous. On se prend ça en pleine figure et sans filtre. Alors, parfois, c’est plus difficile. Il faut se remotiver, se vider la tête comme ce matin. J’ai décidé de me lever de bonne heure pour aller courir. Dix petits kilomètres pour garder la forme, mais surtout pour évacuer le stress et la tension. Nos pires ennemis. Si on les laisse s’installer, ils peuvent vous ronger de l’intérieur. Beaucoup de mes collègues y ont laissé la vie. Ah, ce fameux malaise de la police ! On s’isole, s’enferme dans le silence et la solitude et, ensuite, la nouvelle tombe. On apprend qu’un collègue s’est pendu, un autre s’est tiré une balle dans la tête… Et ce n’est jamais la faute de personne. Je suis lucide quant à la difficulté de notre mission. Derrière le policier, il y a un être humain avec ses failles et ses fragilités. Alors, je prends les devants. La meilleure façon de me préserver, c’est l’esprit de groupe et la communication. Il faut parler avec les autres, évacuer ses frustrations d’une manière ou d’une autre. Pour moi, c’est le sport. Etre bien dans son corps, c’est être bien dans sa tête. La famille, c’est aussi un pilier essentiel. Je profite de chaque moment avec les enfants, avec Sylvie, ma femme. Je les couvre de bisous, de câlins. Je fais le plein de tendresse avant d’attaquer une grosse journée de boulot. Et c’est comme ça que je tiens mais, surtout, que je suis heureux.

Jeudi 27 octobre. La date d’aujourd’hui marque un triste anniversaire.

Le début des émeutes de l’automne 2005. À l’époque, je venais d’intégrer la BAC et c’est pour moi une des pires périodes de ma carrière de policier. On allait « au feu » tous les jours sans savoir si on reviendrait en vie ou entier à la fin de la journée. Ce qui m’a surtout profondément marqué, c’est qu’à ce moment-là on a vraiment ressenti une haine pure vis-à-vis des policiers. Non seulement on l’a ressentie, mais on l’a sentie dans notre chair. Nombre de mes collègues ont été blessés. Je suis passé souvent à deux doigts de la mort. J’ai vu des boules de pétanque, des casseroles, des plaques d’égout jetées depuis les toits me frôler de quelques centimètres. Mes chaussures ont littéralement fondu, brûlées par l’acide des nombreux cocktails Molotov balancés par ces « pauvres jeunes désœuvrés ». Je me souviens avoir dû évacuer en urgence un de nos collègues, un solide gaillard de 1,90 mètre en état de choc, complètement tétanisé et terrassé par la peur. Une énorme plaque d’égout en fonte venait de passer à un cheveu de son crâne… Il ne s’en est pas remis. Impossible aussi d’ôter de mes souvenirs la vision de ce jeune policier brûlé au visage sous mes yeux. Les jeunes postés au dernier étage d’un immeuble lui avaient jeté de l’essence enflammée en pleine figure. J’étais juste derrière, j’ai eu plus de chance que lui. Ces images me hantent encore.

Lundi 28 novembre. L’ambiance est pesante à la base de Bobigny.

Si je pense aujourd’hui très fort à Damien et à Jérôme, mes deux amis de la BAC morts en service il y a quelques années, c’est parce que la nouvelle est tombée tôt ce matin. Un policier de la BAC de Marseille est entre la vie et la mort, atteint d’une balle en pleine tête. Les cambrioleurs qu’il pourchassait n’ont pas hésité à tirer sur lui avec des armes de guerre. Un des nôtres va certainement mourir. Et pourquoi ? Juste pour quelques tranches de saumon et du foie gras… C’est ce qui a été retrouvé dans le véhicule. Ils avaient braqué un supermarché. Ce policier a mon âge, il a une femme, des enfants. Comme moi. Cela aurait pu m’arriver, ça pourra m’arriver peut-être. Mais pour ma femme et mes enfants, dans ce cas, j’ai tout prévu. J’ai une bonne assurance qui prend en charge mes funérailles, et mon enterrement est déjà payé. Mais la vie ne s’arrête pas à ça ! Demain, je serai à nouveau dans la rue, avec mon équipage, à courir après la délinquance. On fera peut-être une affaire ! On arrêtera un dealer, ou un jeune qui aura brisé la vitre d’une voiture pour prendre le sac à main d’une femme imprudente, qui l’avait laissé bien en vue sur le siège passager. Elle nous dira discrètement : «Merci, heureusement que vous êtes là!» Ces mots, ce sont eux qui vous aident à continuer ce métier: savoir qu’on va arrêter un voyou, qu’on va rassurer une victime…

Source: http://www.lefigaro.fr/

30/11/2011

Il n’en loupe pas une, Lozès…

Dessin: http://dessineloi.com/

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Vous savez qui est Patrick Lozès? Non? Je vous explique:

Il est le fondateur et le premier président du Conseil représentatif des associations noires de France (CRAN). Toujours en fonction…

Continuez ainsi, monsieur Lozès; on rit beaucoup avec vous.

FDF

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31/07/2011

Depuis 4000 siècles, « ils » nous sucent le sang…

Reflexion faite…

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Déjà? En ces temps reculés, « ILS » étaient là… On comprend maintenant d’où vient cette aversion que nous avons à leur encontre. C’est passé dans nos gènes… Logique.

Dans le texte suivant, on parle de réchauffement climatique comme cause de l’arrivée des « envahisseurs ». Et nous entrons de plein pied, paraît il, dans une nouvelle ère de réchauffement climatique… Preuve que ce ne sont pas des foutaises: « ILS » sont déjà là… Et ça ne va pas s’arranger.

Vivement l’arrivée d’une ère de glaciation. Mais ce n’est pas pour tout de suite. Courage…

FDF

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L’homme de Néandertal et les envahisseurs…

Un article du Figaro nous apprend que l’homme de Néandertal aurait été « submergé » par des envahisseurs largement supérieurs en nombre.

Quelle idée ai-je eu d’aller ouvrir le site des « Français de souche », phare de la fachosphère, moi qui suis trinational : français et espagnol, et surtout catalan ? Je n’avais rien à y faire, mais au hasard d’une navigation sur le web, mille excuses, j’ai atterri dessus le 29 juillet. Et je dois reconnaître que j’y ai trouvé matière à réflexion.

Ce jour là, en effet, il publie une info qui devrait glacer le sang de tous les Européens, à commencer bien sûr par celui des Français pur jus. Figurez-vous que l’homme de Néandertal aurait été « submergé » par des envahisseurs largement supérieurs en nombre. Où ce site est-il aller pêcher ça ?

Dans le Figaro du 27 juillet qui, s’appuyant sur une étude des chercheurs britanniques, nous explique que les Néandertaliens, « chasseurs-cueilleurs » particulièrement bien adaptés au froid et maîtrisant le feu ont disparu après avoir régné sur l’Europe pendant 400 000 ans.

Et on sait aujourd’hui, grâce à nos érudits britanniques, pourquoi ces braves gens qui avaient fini (après 4000 siècles excusez du peu) par faire souche dans nos belles contrées en ont été chassés puis se sont subitement évanouis de la surface du globe. C’est parce que des envahisseurs ont déferlé en grand nombre sur le continent pour submerger et détruire leur culture.

Et d’où venaient ces envahisseurs ? Je vous le donne en mille. ILS VENAIENT D’AFRIQUE ET DU MOYEN-ORIENT. Oui, mesdames et messieurs, ils venaient de là-bas, eux aussi.

Il faut savoir qu’à ce moment de la Préhistoire, la Terre a connu un réchauffement climatique qui a permis et favorisé les déplacements vers le nord (ou jadis ils se seraient gelés) de ces innombrables HOMO SAPIENS. Qui étaient d’autant plus affamés d’espace qu’ils vivaient en plein boom démographique, vu qu’ils se reproduisaient comme des lapins. (ce n’est pas dit ainsi dans l’article, mais on le déduit facilement). Vous comprenez alors que l’homme de Néandertal n’avait aucune chance contre ces masses d’individus qui déferlaient sur lui. Pôvre de lui !

L’article du Figaro nuance cette information fracassante, un peu du bout des lèvres. En effet, il cite rapidement d’autres préhistoriens, dont Yves Coppens, qui ne croient pas un mot (je traduis leurs propos d’universitaires courtois) de cette vision de l’histoire, car elle est fondée d’après eux sur des faits trop partiels, trop ténus et trop peu significatifs. Une façon polie de la traiter d’affabulation.

Mais n’empêche. Même si elle est débinée par ces bobos barbus et fumeurs de pipe, cette hypothèse de la disparition de Néandertal provoquée par l’invasion des Africains (du Nord et du centre) et des Proche-Orientaux ne peut pas ne pas interpeller les Français de souche, qui sont à la pointe, vous le savez, de la vigilance en matière de guerres de civilisations. Le fait que leur site ait immédiatement repris l’info du Figaro montre bien qu’il ne faut pas compter sur eux pour baisser les bras !

Moi, dans cette affaire, j’ai tendance à me dire que ça fait quand même 40.000 ans (400 siècles) que les Homo sapiens sont là. C’est évidemment dix fois moins que la durée du séjour des pauvres Néandertaliens sur nos terres, mais c’est quand même un sacré bail, non ? Ils ont fait souche, eux aussi, bon Dieu ! Alors, pas d’affolement… C’est bien dommage pour Néandertal qui n’a pas su se protéger contre notre vitalité, mais on est maintenant chez nous, que diable ! Voilà ce qu’il faut se dire et ce que je pense.

Nul que je suis ! Je n’ai rien compris au film. Car j’oublie le réchauffement climatique actuel et la fécondité fabuleuse des populations du sud, qui les poussent inexorablement à nous submerger un jour. Regardez en Norvège, par exemple, où il fait de moins en moins froid  : il y a déjà 50.000 Africains et Nord-Africains ! C’est incroyable ! L’histoire recommence.

Notre maison brûle, et nous regardons ailleurs ! (ces derniers mots ne sont pas de moi). Et ces nouveaux Africains, qui ne sont pour leur part jamais entrés dans l’histoire (idem) commenceront à entrer en masse dans la nôtre si nous n’y prenons garde. Si personne ne fait rien, dès aujourd’hui, dès maintenant, tout de suite, adieu la vie, adieu nos églises, nos superbes lignes bleues des Vosges, nos amours, nos chiens, nos chats, adieu nos saucissons et nos vins… Adieu, peut-être même, notre défilé du 14 juillet…

Vous me direz qu’en Norvège la réaction salutaire a commencé. Mais non ! Pas encore ! Après la tuerie d’Oslo, il n’y a pas un Africain de moins là-bas, puisque ce beau jeune homme blond a tiré… sur des jeunes Norvégiens de gauche. J’ai d’abord eu du mal à comprendre qu’il prêche la Croisade et qu’il tue ceux qu’il devrait considérer comme ses compatriotes. Puis j’ai pensé qu’il doit peut-être se dire qu’un Norvégien de gauche n’est pas un vrai Norvégien. À ses yeux, il représente sans doute l’anti-Norvège ? Ça peut se tenir, de son point de vue. En tout cas, on devrait peut-être méditer cet exemple en France.

En écrivant : « Nous autres, civilisations, savons maintenant que nous sommes mortelles », Paul Valery pensait-il à la tragédie qui nous menace, bien longtemps après celle qui a anéanti Néandertal ? Si c’est la cas, sa prophétie est peut-être en train de se réaliser… Notre élégant ministre de l’Intérieur n’a-t-il pas déjà observé que beaucoup de Français ne se sentent plus chez eux ?

Il faut remercier vivement le Figaro qui, décidément, ne déçoit jamais ceux qui pensent qu’il ne perd aucune occasion d’introduire ou d’évoquer des thèmes susceptibles de faire avancer la droite pure et dure. Sans avoir peur de tordre l’histoire ou de mépriser la logique, ils les tend sur un plateau à des gens comme les rédacteurs de fdesouche.com qui sauront les faire prospérer un peu plus loin encore.

Source: http://leplus.nouvelobs.com/

16/12/2010

La crétinisation de l’Occident‏.

ALbêL0tir pour mieux régner
« Les gens qui nous dirigent seraient-ils des fous ou des idiots ? Ni l’un ni l’autre, ce sont tous simplement des salauds, et je pèse mes mots.
Il est bien évident que l’Occident en est arrivé à un point de civilisation incroyable et jusque-là inégalé. On a quand même inventé la démocratie, aboli l’esclavage, libéré la femme, protégé l’enfant, créé une couverture maladie, une retraite vieillesse, sans compter les droits de l’homme, l’ONU, l’OMS, la Croix Rouge, Amnesty international, Médecins du monde, Médecins sans Frontières, etc… j’en passe et des meilleures… nous avons même marché sur la Lune.
Aujourd’hui, la population occidentale apparaît comme la vitrine, le bijou de l’humanité.
Au fil des siècles, elle s’est affinée, elle est devenue plus délicate, plus perspicace, plus intelligente, bref… elle constitue aujourd’hui un vrai problème pour ses dirigeants qui ne peuvent plus la manipuler comme bon leur semble.
Depuis 2 ou 3 décennies tous les gouvernements occidentaux, effrayés par le tour que prenaient les choses, se sont engagés dans une politique de « crétinisation » de leurs populations, pour les rendre plus malléables, plus serviles. Il y a de l’autre côté de la méditerranée des foules innombrables de gens soumis, abrutis et pas très futés qui ne demande qu’à venir chez nous. C’était vraiment trop tentant. Nos dirigeants n’ont pas hésité: on dévalorisa le travail manuel du mieux que l’on put, sans arrêt, de façon à le rendre totalement répugnant, non seulement pour les parents, mais aussi pour les enfants…
Et bien sûr, dans le même temps, les examens tels que le BEPC ou le BAC, qui étaient de véritables barrages et ne laissaient passer que les meilleurs, furent transformés en tremplins pour l’Université… l’Université qui se mit à accueillir des cohortes d’adolescents « moyen-moins » tout contents de ne pas devoir salir leurs jolies petites mains. Les 2 /3 de nos universités ne sont plus que des garderies pour jeunes oisifs à qui l’on a fait croire qu’ils faisaient partie de l’élite.
Aussitôt on fut en manque de travailleurs manuels, aussitôt on ouvrit grandes nos portes aux gens de l’autre rive et… quand il y en eut trop, on fit semblant de fermer nos portes, mais on les laissa entr’ouvertes pour qu’ils continuent à affluer… il n’y a jamais trop de nuls dans un pays pour rabaisser le niveau de la population.
Évidemment dans le même temps, on pratiqua une auto-mortification, une auto-flagellation, une auto-culpabilisation et une repentance permanente, parallèlement à une glorification, une magnification, une sublimation des nouveaux venus qui nous apportaient, nous apportaient, nous apportaient…
Mais… on se rendit vite compte qu’ils étaient, pour la grande majorité, « limités ». Il ne fallait pas que ça se sache. « Vite-vite » on obligea la population occidentale à faire des excuses: on les rejetait, on les discriminait, ils venaient de milieux défavorisés, ils n’avaient pas les mêmes chances, les professeurs étaient mauvais, les programmes aussi… on ne sut plus trop ni qui ni quoi incriminer pour sauver leur éblouissante réputation de sauveur de l’humanité occidentale, si stupide, si prétentieuse et psychorigide.
On leur fit des excuses, leur accorda faveur sur faveur, privilège sur privilège, et leur permit même de dénoncer tout occidental qui afficherait un brin d’amour propre… la « crétinisation » à marche forcée de la population battait son plein.
Comme les nouveaux venus, pour les uns, descendaient en droite ligne de tribus primitives et pour les autres de bandes de pillards qui n’avaient jamais rien fait d’autres que tuer, voler ou usurper… il fut question de supprimer l’Histoire et la Géographie des programmes des lycées. La Géographie aussi car on risquait de s’apercevoir de l’immense richesse potentielle de leurs pays et de leur immense incapacité à l’exploiter, malgré notre aide permanente et séculaire.
Pire: il paraît même qu’aujourd’hui nos dirigeants sont en train de plancher sur un projet de suppression des notes à l’école. Une autre méthode pour mieux, crétiniser et affaiblir, une population de moins en moins docile. Nos dirigeants ne savent plus comment faire. Ils ont un besoin urgent d’une population inculte et, avec l’aide de la gauche, dont le fond de commerce est la défense de ce genre de population, ils s’y emploient de toutes leurs forces.
C’est ça le fameux « ANTIRACISME » ! Un racisme anti-blanc.
La suppression des notes rentre dans cette logique. Il ne manquerait plus qu’on s’aperçoive que, dans leur immense majorité, nos « sauveurs » sont nuls. On serait obligé d’agir ou de faire semblant d’agir et la crétinisation de l’Occident en serait fortement affectée.
Tous ces turcs, africains et autres maghrébins s’imaginent qu’on les courtise pour la qualité de leurs populations. Pauvres naïfs ! C’est l’inverse: tout ce que nos dirigeants veulent, ce sont des ignares… le maximum d’ignares toutes races confondues… surtout très confondues ! »

Sourcehttp://www.legaulois.info/2010/12/la-cretinisation-de-loccident-par-nb.html

13/10/2010

Les chiffres de l’immigration décortiqués par Pierre-Louis HIKOUM…

En France, on est trop bons. Trop cons, aussi. Il ne faut pas venir nous plaindre. De toutes façons la gestion « démocratique » de notre pays ne nous le permet pas… Ci après un billet fort intéressant de Pierre-Louis HIKOUM.

FDF

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Les chiffres secrets de l’immigration

Quantcast

Voilà peu a eu lieu l’examen du projet de loi sur l’immigration par l’Assemblée Nationale. Nous vous livrons ici les chiffres clés pour vous permettre d’appréhender de la meilleure manière possible le débat qui, soyez-en certain, va secouer la société et la presse pendant quelques jours.

L’ensemble des données qui vous sont ici exposées sont extraites du hors série « Le Cri du Contribuable » de juin 2010.

En France, pour des raisons que l’on n’ose donner ici, les différents gouvernements n’ont jamais autorisé les statistiques ethniques, entre autre pour les sujets touchant la sécurité. Avant toute chose, précisons que la notion « Ethnique » se dit d’un groupement de personnes possédant une structure familiale, économique et sociale homogène et dont l’unité repose sur une langue, une culture et une conscience de groupe commune. En Suisse, où de telles statistiques sont autorisées, on apprend que 80% des détenus sont immigrés, ils sont responsables de plus de 85,5% des viols et de plus de 50% des assassinats et crimes violents. La police danoise, elle, table pour son propre pays sur un taux de 70% des crimes et délits commis par des étrangers.

En France, plus de la moitié des étrangers qui arrivent sur notre sol le font au titre du regroupement familial, cela signifie qu’ils vont bénéficier d’allocations et d’aides diverses et variées de la part de l’Etat Français et de ses citoyens et ce sans aucune contrepartie puisque rien n’est demandé « en échange » à ces personnes. Les prestations sociales des familles immigrées représenteraient 14% de leurs revenus contre moins de 5% pour les familles autochtones.

L’ONU indique dans un rapport que ce sont près de 18 millions d’Africains qui sont candidats au départ pour l’Europe mais les associations d’aide aux clandestins, confites d’humanisme au péril de notre propre survie, ne sont pas conscientes que nous n’avons plus ni les moyens ni la place pour les accueillir !!! D’année en année le nombre de personne arrivant sur notre sol augmente, que ce soit de manière légale ou illégale.

Et en 2009 se sont près de 42700 personnes qui ont fait une demande d’asile en France, soit une augmentation de 12% par rapport à l’année passée. Notre pays est le 2ème pays du monde de destination des demandeurs d’asile après les Etats-Unis d’Amérique (49020 demandes) mais très loin devant le Canada (33250 demandes).

Lorsque l’on sait qu’un peu plus de 10.000 de ses demandeurs seront régularisés, cela signifie que près de 32.000 autres deviendront par effet mécanique des clandestins sur notre sol. Dans un précédent article j’indiquais que seulement 3 % des Arrêtés Préfectoraux de Reconduite à la Frontière sont exécutés, comprenez donc que seulement 3% de ces 32.000 personnes seront, peut-être, ramenées dans leur pays. Les autres resteront sur notre sol aidées par une myriade d’associations toujours prêtes à aider ceux qui n’ont rien à faire ici et laissant tout simplement mourir de faim et de froid les Français qui eux, ont parfaitement le droit de demeurer sur cette terre. Comment peut-on concevoir que les SDF Français préfèrent mourir de froid dans la rue plutôt que de s’abriter dans un centre d’hébergement d’urgence ? Ils craignent en effet de se faire racketter ou pire encore de se voir dépecer du qu’ils possèdent. Dans le même temps, les clandestins et les demandeurs d’Asile sont logés dans des hôtels (parfois fort chers) et ce aux frais des Français qui ne trouvent rien à redire à cette situation à peine imaginable

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Dans mon premier article publié sur le blog, j’avais abordé l’examen de cette allocation ubuesque réservée aux immigrés clandestins qu’est l’Aide Médicale de l’Etat. En 2006 cela représentait 300 millions d’€uros, en 2007 ce sont 413 millions d’€uros que l’Etat Français a déboursé pour ces gens dont la présence n’a jamais été ni sollicitée ni souhaitée sur notre sol. En mars 2009, ce sont 204.072 personnes qui ont bénéficié de cette allocation et le coût pour les citoyens s’est élevé à 490 millions d’€uros sur l’année…

Suite et source: http://tinyurl.com/3xd9kry


Pierre-Louis HIKOUM


06/10/2010

« En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin »…

Immigrés, descendants d’immigrés, arabes, africains, musulmans.

Nous n’avons aucune haine contre vous. Sauf cas particuliers, nous n’avons rien contre vous individuellement. Nous savons que vous êtes les instruments, les victimes et les alibis de nos propres ennemis. Ce sont eux, vos faux amis, qui, par leurs outrances continues, vous ont transformés en fléaux et ont fait de vous collectivement des ennemis. Sous prétexte de respecter vos identités d’origine, ils ont renoncé à la politique française ancestrale d’assimilation, ils vous ont laissés vous différencier, vous marginaliser, vous communautariser.

Sous prétexte de ne pas vous stigmatiser, ils s’apitoient sur vous, ils vous ménagent, ils vous favorisent, ils vous discriminent positivement, ils vous autorisent à déroger aux lois, ils font pour vous des exceptions scandaleuses qui vous signalent comme des étrangers arrogants, et prétendent que c’est nous — nous qui dénonçons ces procédés et en constatons les résultats — qui vous stigmatisons.

Sous prétexte d’ouverture aux autres cultures, ils veulent mélanger les populations, faisant ainsi d’une chose naturelle dont nul ne nie les bienfaits quelque chose dont eux seuls ne voient pas l’aberration et les dangers.

Sous prétexte de diversité, ils n’acceptent plus que la différence des autres, ils oublient et refusent de préserver leur originalité, ils veulent tout uniformiser, ils font de vous le moyen de détruire notre identité ethnique et culturelle.

Sous prétexte de ne pas être racistes et de ne pas faire d’amalgames, ils vous défendent en bloc, ils ferment les yeux sur les forfaits que commettent vos frères, ils encouragent la délinquance à se développer parmi vous, ils vous obligent à être solidaires des délinquants, à vous enfermer dans la culture couscous tam-tam, ils ont tout fait pour vous discréditer aux yeux des Français.

Sous prétexte de « droits de l’homme » de leur cru, ils nient les droits du Peuple français qu’ils reconnaissent par ailleurs à tous les peuples, ils ne reconnaissent aux étrangers que des droits, et aux Français, aux Blancs, que des devoirs.

Sous prétexte qu’ils aiment l’Humanité en général, ils détestent leur Peuple en particulier et abhorrent le patriotisme. Comment ces traîtres à leur patrie pourraient-ils être de vrais amis pour vous ?

Sous prétexte qu’ils respectent les hommes, ils font comme si les immigrés n’en étaient pas, comme s’ils n’avaient aucune histoire, aucune coutume, aucune sensibilité, aucune patrie, bref comme s’ils étaient des meubles, des objets que l’on peut déplacer à volonté, sans conséquence pour eux ni pour les autochtones, pour nous en l’occurrence qui ne semblons pas davantage être des hommes selon eux, puisque, au nom des immigrés cette fois, ils nient notre identité, font comme si nous étions des « terrains vierges », comme si nous devions et pouvions tout accepter, comme si nous n’étions même pas des légumes.

Sous prétexte qu’ils ne sont pas xénophobes, ils ne refusent rien aux étrangers et vous ont laissés nous envahir comme aucun Peuple ne l’a jamais été ; aujourd’hui, ils appellent ouvertement à la substitution des Peuples français et européens par des immigrés (cf. rapport de l’ONU sur les migrations de remplacement), et la légitime exaspération qu’ils ont suscitée à votre endroit comme à leur égard justifie encore à leurs yeux qu’ils vous idolâtrent autant qu’ils nous haïssent. Ils aiment tellement les étrangers qu’ils semblent vouloir en devenir eux-mêmes dans leur propre pays. Mais pourquoi devrions-nous partager leur délire alors que la meilleure solution pour tout le monde, la solution la plus logique, la plus simple et la plus saine serait qu’ils émigrent ?


Toujours au nom de leur xénophilie, ils ne distinguent pas l’immigration des immigrés, le phénomène de masse des individus, l’immigration massive d’une immigration raisonnable, ils croient qu’être contre l’immigration est être hostile aux immigrés et, partant, ils croient que respecter les immigrés implique de favoriser l’immigration à outrance. Ils ne réalisent pas qu’une immigration soutenue finit par être une nuisance non seulement pour le pays d’accueil et ses autochtones mais aussi et en premier lieu pour les immigrés déjà présents auxquels les nouveaux arrivants font de l’ombre en toute chose.

Sous prétexte qu’ils sont citoyens du monde, qu’ils sont potes avec l’univers, ils détruisent toutes les nations, la nôtre aussi bien que celles de vos ancêtres ; ils font tout contre nous et rien pour vous ; ils se croient chez eux partout mais invitent tout le monde chez nous, sans nous consulter, en nous déniant le droit de protester ; ils crachent sur la France mais accordent à tout le monde la nationalité française qui ne signifie rien pour eux et qui, dans ces conditions, ne signifie effectivement plus rien. Hier, ils fustigeaient sous le nom de souverainistes, de populistes, les défenseurs de la nation, les opposants à l’Europe ; aujourd’hui, ils menacent : « Touche pas à ma nation ». Après le capitalo-socialisme déjà cocasse, ils viennent d’inventer le national-mondialisme à pleurer ! Ils changent le sens des mots à leur convenance pour abuser le gogo. Ils rendent obligatoire l’usage de ceux qu’ils proscrivaient la veille dès lors qu’ils les ont dénaturés (cela s’appelle le novlangue, dans 1984, de George Orwell), afin qu’il n’y ait plus de mots pour penser, pour se rebeller et faire obstacle à leurs projets inavouables.

Sous prétexte qu’ils sont anticolonialistes, ils deviennent des néo-colonialistes soutenant l’idée que les malheureux de la Terre, les ressortissants des pays sous-développés ne peuvent trouver le salut que chez nous. Ils ne conçoivent pas que le bonheur, pour un homme, soit de vivre dans sa patrie, sur sa terre, au milieu des siens, et non de s’expatrier. Ils ne réalisent pas que l’émigration qu’ils encouragent est un double désastre pour ces pays, d’une part parce qu’ils sont vidés de leurs forces vives, d’autre part parce que l’immigration, ne leur en déplaise, crée chez nous une infinité de problèmes qui retiennent toute notre attention et nous ôte les moyens, si ce n’est l’envie, d’aider intelligemment lesdits pays. C’est toujours le même mépris des Peuples, le même orgueil impérialiste mais sous un autre vernis.

Enfin, sous prétexte qu’ils sont antifascistes, qu’ils sont généreux, tolérants, ouverts, pacifistes, ils taxent tous leurs détracteurs de fascistes, ils nazifient tout ce qui les contrarie sans s’apercevoir qu’ils sont, eux, des collabos de la pire espèce, les derniers des crétins ou les plus grands hypocrites, les fléaux de toute civilisation ; ils s’autorisent tous les mensonges, toutes les calomnies, toutes les contradictions, toutes les intrigues, toutes les exactions, toutes les violences ; ils exercent la pire tyrannie sur les consciences.

En somme, nos ennemis, vos faux amis, n’ont d’autres mérites qu’un étalage de bons sentiments. Ils dirigent tout, leurs idées sont au pouvoir à tous les niveaux : politique (français, européen et international), médias (télévision et presse), éducation, syndicats, associations subventionnées. La situation actuelle de la France est sans conteste leur œuvre, et cette situation est catastrophique dans tous les domaines. : politique, démocratique, financier, emploi, éducatif, culturel, social, esprit civique, sécurité, niveau de vie, qualité de vie, santé, natalité, urbanisme. Tout s’est dégradé sous leur empire. Faute de pouvoir rejeter la responsabilité sur d’autres (bien qu’il essayent), ils nient le constat, font semblant d’ignorer les rapports de cause à effet, et n’ont d’issue que dans la fuite en avant, dans la crispation et la surenchère idéologique, dans l’abstraction surréaliste convertie en vérité par le matraquage médiatique.

Or vous êtes au cœur de leur idéologie immigrationniste, antiraciste, multiethnique, multiculturaliste, métissocrate, en un mot anti-française. Ils se servent de vous pour détruire la France par le bas, et de l’Europe pour la détruire par le haut. Car c’est bien se servir de vous que de vous permettre de venir pour ensuite vous abandonner à votre sort ou vous aider de manière à vous aliéner systématiquement les Français. Ils est temps que vous compreniez que ces gens-là sont des individualistes, qu’ils ne vous aiment pas, qu’ils n’ont pas plus de respect pour vous que pour nous, qu’ils vous flattent parce qu’ils vous méprisent, que vous n’êtes pour eux qu’un besoin idéologique, l’occasion d’une B. A..

Tout chez eux n’est que posture. Mais ils n’en imposent qu’aux ignorants et aux esprits faibles. Qui gratte un peu découvre vite la mauvaise foi et les contradictions volontaires des uns, la bêtise et les incohérences inconscientes des autres, et la responsabilité de tous, coupables et complices, dans le marasme actuel. Les résultats de leur politique sont toujours à l’opposé des prétentions philanthropiques qu’ils affichaient. Cela n’a rien d’un accident : c’est le calcul des valets de L’argent qui poursuivent un projet mondialiste au nom de la fraternité (plus de nations, plus de frontières, plus de démocratie, juste un marché planétaire et l’exploitation universelle des individus désormais sans défense), et la conséquence fatale de l’angélisme des bobo-gauchos qui servent ce projet au nom des droits de l’Homme désincarné (quels droits exactement ? et les devoirs ? et les citoyens ? et les Peuples ?). Ils ont si bien travaillé depuis des décennies que Français et immigrés sont aujourd’hui au pied du mur.

Les Français ne peuvent plus se dissimuler que l’immigration dans de telles proportions est une invasion, la plus sournoise, la plus importante, la plus mortelle invasion que la France ait connue, une invasion organisée par leur propre gouvernement, à laquelle vous participez malgré vous et que certains d’entre vous osent même encourager. Expropriés et piétinés un peu plus chaque jour, ils sont en plus sommés de se taire sous peine d’ignominie. Leur Peuple et, partant, leur pays, sont en passe de disparaître sous leurs yeux. Soyez sûrs qu’ils ne l’acceptent pas et qu’ils finiront par réagir violemment. Soyez sûrs qu’un incident mettra tôt au tard le feu aux poudres. Alors ce sera une guerre à mort entre eux et vous, une guerre que les Français qui sont chez eux n’auront d’autre choix que de remporter.

En supposant qu’il soit encore possible de prévenir la tragédie, il n’y a qu’une politique à adopter et à mettre en œuvre d’urgence : sortir de l’Europe ou la laisser brailler, stopper net l’immigration arabo-africaine et réduire par tous les moyens le nombre d’arabo-africains, donc ne plus délivrer aucun visa, permis de séjour ou de travail, être sans pitié envers les immigrés clandestins et sans-papiers (et leurs employeurs), ne plus accorder aucune aide financière si ce n’est une aide au retour, supprimer le droit du sol et assujettir la nationalité à des conditions et des devoirs, interdire la double nationalité et obliger les individus dans ce cas à choisir, expulser tous les délinquants étrangers et leur famille, exiger l’assimilation (langue, prénom, vêtement, discrétion religieuse, respect des lois) de ceux qui prétendent être Français, déchoir de la nationalité et expulser tous les contrevenants, réprimer tous les détracteurs de ces mesures.

Bien sûr, cette politique doit s’accompagner de mesures dites sécuritaires tant dans les rues que dans les écoles, d’un renforcement des effectifs policiers, d’un retour de la discipline, du civisme et du patriotisme, mesures nécessaires pour calmer les choses, apaiser les esprits, rassurer les Français sur leur présent et leur avenir, mettre un terme aux prétentions et aux débordements de certains immigrés et créer des conditions favorables à l’assimilation des autres. Mais ces mesures annexes sans ladite politique seraient inutiles puisque le problème est aujourd’hui le nombre excessif d’immigrés qui fait d’eux une masse indigeste pour la France.

Malheureusement, ce discours dur mais sensé est si « politiquement incorrect » que les gauchistes qui ne savent pas faire la différence entre expulser et déporter, entre réduire et exterminer, ou plutôt qui font la confusion à dessein, se pâmeront d’indignation, crieront au scandale et voueront son auteur aux gémonies, préférant continuer à se bercer d’illusions plutôt que de voir la réalité en face et d’opter pour le moindre mal. Vous-mêmes, feignant de ne pas comprendre, vous vous poserez sans doute une fois de plus en victimes et hurlerez au racisme, insultant ainsi les Français, au lieu de reconnaître l’illégitimité de vos positions, de voir le danger de votre situation, et d’entendre les ultimes exhortations de la raison et de l’humanité. Il n’y a donc aucun espoir d’éviter la confrontation. Il ne vous reste plus qu’à choisir clairement votre camp.

Dans une guerre civile, il n’y a que deux camps. Les subtilités n’ont pas cours. Les difficultés sont tranchées net. Ceux qui, aujourd’hui, arguent de la complexité de certaines situations personnelles pour affirmer l’impossibilité d’un conflit et continuer à narguer les Français à bout de patience sont des imbéciles ou des menteurs, dans tous les cas des criminels. Non seulement ces endormeurs-pyromanes contribuent à ce que la situation nationale se détériore encore davantage, mais ils fournissent des arguments sans valeur à leurs dupes qui tomberont de haut, et laissent les gens candides s’enfoncer dans des situations qui seront dramatiques à l’heure du réveil. Ils croient en imposer aux Français en évoquant les immigrés qui sont nés ici, ceux qui sont installés depuis longtemps, ceux qui travaillent, ceux qui sont mariés à une Française ou un Français, ceux qui ont des enfants, ceux qui sont métissés, et en prétendant que tous sont français ou, du moins, qu’ils ont leur place en France. Ils oublient qu’ils sont les promoteurs de cette immigration incontrôlée que les Français ont tolérée un temps mais n’ont jamais sollicitée. Ils oublient que l’idéologie lénifiante qu’ils ont fabriquée pour favoriser cette immigration désastreuse n’engage qu’eux et ceux qui, pour leur malheur, se sont laissés enfumer.

Les Français, eux, n’ont à tenir compte ni de leurs arguments ni du fait accompli. S’ils hésitent à agir pour ménager des individus égarés ou indécis, comme l’espèrent leurs ennemis, c’est leur Peuple qu’ils condamnent à mort. Ils doivent donc, comme tout le monde, faire en fonction de leurs intérêts. Quand ils se lèveront, toute personne résidant en France, à moins de fuir, devra choisir son camp et y être admise, sous peine d’être prise entre deux feux.

Dans cette guerre-là, le partage des hommes se fera, dans le meilleur des cas, par rapport à leur état d’esprit, au pire, selon leur apparence. Contrairement aux dires des gauchistes, les Français qui aujourd’hui s’insurgent contre l’immigration massive ne sont ni xénophobes ni racistes. Ils conçoivent que des individus puissent être Français sans être Blancs, à condition qu’ils soient parfaitement assimilés, mais ils n’ont pas la naïveté de croire que la France peut rester elle-même, dans l’intérêt de tous, si les Blancs ne demeurent la grande majorité de la population (Cf. De Gaulle) ; ils ne poussent pas la tolérance envers les autres jusqu’à la trahison des leurs.

Ainsi, dans le meilleur des cas, le camp des Français sera constitué des patriotes français et des immigrés assimilés ou désireux d’être Français, auxquels se joindront éventuellement des immigrés ne prétendant pas être Français, reconnaissant néanmoins la légitimité de leur combat et ne se sentant rien de commun avec leurs ennemis ; l’autre camp regroupera donc les immigrés non-assimilés, non-assimilables, la racaille, les islamistes, et les bobo-gauchistes (du moins dans un premier temps). Dans le pire des cas, il y aura le camp des Blancs, français et immigrés européens, avec probablement les Jaunes, et le camp des autres : Arabes et Noirs (Musulmans). Les bobo-gauchistes réaliseront alors que, malgré leurs arguties sur les races, ils sont blancs.


Dans une guerre civile, les lois antérieures sont nulles. Personne ne porte d’uniforme. Il faut cependant identifier en un instant ses ennemis autant que ses amis, quoiqu’il vaille mieux prendre un ami pour un ennemi et le tuer, qu’un ennemi pour un ami et se faire tuer. Les critères pour distinguer les uns des autres doivent être aussi simples et sûrs que possible, donc concrets et probants. Dans le feu de l’action, l’ennemi est celui qui me tire dessus, l’ami est celui qui tire dans la même direction. Le reste du temps, l’ami et l’ennemi se reconnaissent à leur le type ethnique, à leur vêtement, à leur façon de parler, à leurs prénoms, à des coutumes, à des propos. De tous ces critères (on remarque que les papiers d’identité n’en sont pas un), le seul qui ne puisse être falsifié pour tromper l’ennemi est le type ethnique. D’où le risque qu’un conflit provoqué par l’immigration tourne par la force des choses en conflit purement racial, et ce risque est d’autant plus grand que les immigrés intelligents, au lieu de garder raison, tombent eux-mêmes dans le piège de la solidarité ethnique, faisant ainsi le jeu de tous les extrémistes.

Maintenant, en supposant qu’avec ou sans conflit la France tombe en votre pouvoir, que restera-t-il de la France qui vous a attirés, de celle qui a attiré vos pères ? Ce n’est pas la géographie qui fait un pays, mais sa population. La France sans Français, sans Européens, peuplée d’Arabes et d’Africains, ne sera plus qu’un pays arabo-africain. Elle sera déchirée par le tribalisme et étouffée par l’islam, comme le sont tous ces pays, comme le sont déjà certains quartiers. Les sources de la prospérité seront taries. Vous aurez détruit une civilisation sans profit ; vous aurez instauré ici ce qui, là-bas, vous avait fait fuir. Considérez donc ce que vous avez à gagner et ce que vous avez à perdre.

Immigrés, descendants d’immigrés, mettez-vous un instant à la place des Français, des Européens. Examinez de bonne foi leur situation et la vôtre. Que penseriez-vous, que feriez-vous dans une situation inverse ? Qu’ont fait vos pères ? Admettez que vous êtes de plus en plus nombreux et trop nombreux déjà. La France n’aurait jamais du vous ouvrir autant ses portes et ne peut plus accueillir d’autres de vos compatriotes ou de vos congénères. Votre présence massive la déstabilise à tous les niveaux. De nouvelles arrivées ne peuvent que vous nuire.

Votre intérêt est au fond le même que celui des Français : la paix, la liberté, la sécurité, la prospérité, des enfants heureux, éduqués, instruits. Tous ces bienfaits sont aujourd’hui compromis. Les assurer passe par l’arrêt de l’immigration, par la réduction du nombre de ressortissants d’Afrique du Nord et subsaharienne, en France et par l’assimilation des restants. Vous le savez en votre fort intérieur.

Vous savez que ce discours sans complaisance, sans condescendance est celui de la Vérité. Vous savez que ceux qui, depuis des décennies, se disent vos amis et tiennent le discours inverse, aussi séduisant soit-il de prime abord, n’ont fait que se tromper et vous tromper. Regardez autour de vous ! Les laisserez-vous encore longtemps parler à votre place, contre vos intérêts, contre nous ? Nous laisserez-vous seuls défendre en vain vos intérêts contre vos véritables ennemis ?

Vous seuls pouvez parler d’immigration et condamner les excès de vos frères de sang sans être exposés aux insultes et au discrédit. Vous seuls pouvez faire rentrer sous terre les capitalo-gauchistes. Mais le temps presse. Il est urgent que vous vous fassiez entendre et que vous parliez fort et vrai. Il est non moins urgent que vous prêchiez d’exemple, que vous fassiez enfin, massivement, ce que les Français attendent de vous pour vous accepter comme leurs égaux ou vous considérer comme de respectables étrangers. Ne protestez pas : prouvez vos intentions et vos allégeances. Plus de provocations, plus de manœuvres dilatoires, plus d’ambiguïtés : aujourd’hui est à la franchise, demain sera à la poudre. De même que le Peuple français ne peut plus compter que sur lui-même pour se sauver si rien ne change, vous êtes le dernier espoir de sauver la paix et votre place en France.

C’est à vous, Français d’origine étrangère, Arabes ou Noirs parfaitement assimilés, qu’il appartient d’être en première ligne pour livrer cette bataille de la dernière chance. C’est vous qui avez le plus à perdre dans un conflit racial. Vous pouvez espérer que les Français vous considèreront comme des leurs, mais en êtes vous si, sur la question de l’immigration, vous pensez en immigrés, si vous cautionnez l’invasion de la France, si vous laissez les Français se dépêtrer ? Et que ferez-vous si, rejetés par les Blancs parce que pas assez français dans votre tête, vous êtes aussi rejetés par les autres — avec lesquels vous ne vous sentez rien de commun — parce que trop francisés dans vos mœurs ? Envisagez donc le pire conflit pour puiser le courage de le prévenir ou, du moins, pour montrer aux Français que vous aimez la même France qu’eux et que votre place est sans conteste dans leurs rangs.

Et vous, Arabes et Noirs partiellement assimilés mais qui croyez l’être totalement parce que vous vous sentez réellement français, parce que vous aimez réellement la France, parce que la France a baissé pour vous ses exigences sous le nom d’intégration, comprenez où le bât blesse. Nul ne peut être Français à part entière s’il n’est perçu comme tel par les Français, si sa francité soulève des doutes. De ce point de vue, votre apparence physique peut être un handicap à votre intégration. Les Français sont cependant capables d’en faire abstraction à condition que, de votre côté, vous ne l’aggraviez pas. Or vous multipliez les signaux qui interpellent les Français. Certains détails sont peut-être anodins pour vous, mais pas pour eux, car ils sont symboliques et révélateurs d’un état d’esprit. Ainsi ne pas parler français avec des Français supposés, en public comme en privé, porter un prénom étranger, se vêtir selon des modes étrangères, brandir le drapeau d’un autre pays que la France, avoir une double nationalité, penser en immigré ne sont pas exactement des indices de francité, et ce serait demander l’impossible aux Français de voir en vous leurs pareils. Des signaux sont faits pour être perçus, et vous savez par expérience que les Français, même s’ils ne se l’avouent pas, perçoivent ceux-là de manière négative.

A vous, donc, de faire ce qu’il faut pour ne pas les envoyer. Car vous ne convaincrez pas les Français de changer d’avis à votre sujet — ce qui reviendrait à exiger d’eux qu’ils prennent des vessies pour des lanternes — en objectant, en les injuriant, bien au contraire ; ils ne changeront d’avis, vous ne gagnerez leur respect et leur affection qu’en répondant à leurs attentes. Vous obstiner à conserver et à émettre des signaux négatifs (par maladresse ou mauvaise foi ?) vous porte autant préjudice que les corriger volontairement témoignerait en votre faveur. En outre, n’oubliez pas que, si la situation dégénère en guerre civile, c’est à de tels signaux, aux prénoms en particulier, que les Français reconnaîtront leurs ennemis et qu’il sera alors trop tard pour changer d’uniforme et illustrer votre sincérité. Et votre intérêt est encore plus grand à prévenir un conflit ethnique dans lequel votre peau serait votre passeport pour une destination imposée. Alors ne jouez plus les susceptibles, ne faites pas semblant de ne pas comprendre, cessez d’ergoter ; vous jouez vos vies.

Et vous, Arabes et Noirs déracinés, désorientés, nés ici ou ailleurs, naturalisés ou non, qui ne savez plus qui vous êtes, qui n’êtes pas assimilés et plus assimilables après tant d’errance et de confusion mentale, qui demeurez en France sans trouver place au sein de la communauté nationale, qui ne voyez de famille que dans vos congénères ou vos coreligionnaires, qui, pour les uns, cultivez des souvenirs exotiques, pour les autres, nourrissez des rêves de vengeance et de conquête, qui, tous, êtes par le fait des étrangers aux yeux des Français, vous êtes à la fois les victimes de la politique que nous dénonçons et les instruments des maux que nous subissons en silence pour le moment.

Nous compatissons à vos souffrances, mais nous ne pouvons vous laisser faire notre malheur, même malgré vous et par le seul effet de votre nombre. Nos ennemis vous ont placés dans cette situation déchirante. Dénoncez-les ! Clarifiez les choses. Devenez Français, agissez, pensez comme tel, si cela est possible, ou assumez d’être étrangers, renoncez à la nationalité française et rentrez chez vous, retournez auprès des vôtres, cherchez dans votre patrie le bonheur que vous ne pouvez trouver en France. C’est le bon moment pour partir dans les meilleures conditions. Ceux qui resteront ici sans suivre aucun de ces conseils amicaux seront ceux par qui la guerre arrivera. Et vous, Musulmans, vous allez aussi devoir faire un choix. La France ne tourne pas autour de l’islam. Un Français n’est pas un non-musulman.


En revanche, un vrai Musulman, un islamiste, n’est pas Français ; ses valeurs, ses coutumes ne sont pas celles de la France. Vous allez donc devoir choisir entre vous définir comme des Français, c’est-à-dire des Musulmans modérés, discrets, francisés, donc que vous dépouilliez votre religion de ses dehors orientaux et de ses pratiques illégales en France, ou vous définir comme des Musulmans voulant imposer en France la charia et autres joyeusetés, donc comme des non-Français, comme des étrangers et même des ennemis.

Et vous, Arabes et Noirs de passage, travailleurs immigrés, descendants d’immigrés fiers de vos origines, conscients que votre place n’est pas ici et qui ne feignez pas d’être français ; patriotes d’ailleurs, vous qui aimez vos pays d’origine comme nous aimons le nôtre, vous qui n’avez pas l’impudeur d’appeler vos congénères à nous envahir et de nous taxer de racistes et de fascistes parce que nous ne consentons pas à être envahis ; vous qui plus que tout autre pouvez comprendre l’embarras des vrais humanistes que nous sommes face à une immigration démesurée et destructrice ; vous qui savez à quel degré de fureur et d’héroïsme peut porter le patriotisme aux abois parce que vous êtes de cette trempe, comprenez que, malgré tout le respect qu’inspire votre dignité, il est difficile de vous distinguer de la foule de nos ennemis — cela l’est d’autant plus que vous ne vous manifestez pas — et que, par conséquent, votre présence ajoute à nos inquiétudes.

Votre refus de vous assimiler est légitime, la France ne l’exige ni des étrangers ni des touristes, mais ce refus prête à malentendus. N’étant pas des touristes, êtes-vous des étrangers ou des conquérants ? A vous de dissiper les doutes. A vous de démentir les capitalo-gauchistes qui vous décrètent Français sans vous consulter, qui vous prennent, qui nous prennent tous pour des débiles ; à vous d’affirmer que vous vous êtes étrangers et que vous partagez nos sentiments et nos principes. Mais soyez aussi conséquents :

Annoncez que vous comptez retourner dans votre patrie et partez avant d’être entraînés contre nous dans un conflit qui ne vous concerne pas ou, si vous différez votre départ, soutenez-nous ouvertement au lieu d’avoir l’air de nous défier et battez-vous à nos côtés. Vous ne pouvez pas rester sans être avec nous ou contre nous.

Source: http://tinyurl.com/2c3fe3w

05/10/2010

L’agenda de Terre et Peuple en Ile de France.

Le 24 octobre aura lieu la Table Ronde de Terre et Peuple. A cette occasion, nous recherchons des possibilités d’hébergement même très rustiques en Ile de France pour des camarades qui viennent de l’autre bout de la France et même de l’étranger. Je vous remercie de prouver que l’esprit communautaire n’existe pas que chez nos ennemis. Contactez nous au plus vite

Amitiés

Michel Colls
www.terreetpeuple.com

« La terre des peuples africains, c’est l’Afrique…

L’Europe, c’est la terre des européens ! ! « 


2010 008 Programme d’activités

09/08/2010

Incendie mortel à Marseille !

08 08 2010

Je peux dire une connerie?

FDF


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Vendredi après midi a eu lieu un terrible incendie dans un immeuble de quatre étages à Marseille.


Une famille de 8 musulmans vivait au premier étage.
Ils ont tous péri dans l’incendie.
Une famille de 10 turcs vivait au deuxième étage.
Ils ont également péri.
Une famille de noirs (le père la mère et cinq enfants) vivait au troisième étage, tous morts aussi.
Un couple français et leur 2 enfants vivaient au quatrième étage.

Les 4 ont survécu.

L’association musulmane locale a exigé de savoir pourquoi les blancs ont survécu alors que tous les autres ont péri.

La ligue des africains a insisté pour qu’on tienne une enquête publique.
L’agence de protection des réfugiés et clandestins a aussi insisté pour qu’on tienne une commission d’enquête.

Le chef des pompiers a été clair:


Si les blancs ont survécu, c’est que les parents étaient au travail et les enfants à l’école !!!!