Manifester contre le mariage gay de façon visible et non-violente fait de nous des cibles parfaitement identifiables donc de parfaites victimes du pouvoir à qui il suffit de donner l’ordre aux policiers de nous harceler (se rappeler les gazages des enfants en poussettes).
Les opposants au mariage gay sont encore plus de parfaites victimes lorsqu’ils manifestent localement, c’est à dire en nombre beaucoup plus réduit que lors des manifestations nationales (se rappeler les interpellations pour avoir simplement porté un tee-shirt de la Manif Pour Tous sur la voie publique !).
Enfin, maintenant que la loi est votée, les opposants seront encore plus susceptibles d’être victimes du harcèlement policier au prétexte qu’ils soient dans l’illégalité.
Donc pour manifester une opposition locale contre les mariages gay il faut être invisibles.
18/05/2013
18/04/2013
Le militant LGBT victimiste Néerlandais Wilfred De Bruijn à HONTE
BFM TV, 18 avril ~21H35
Reportage sur le saccage d’un bar gay à Lille, une ville qui est entièrement ce que Paris n’est que localement au niveau du 19ème arrondissement où un certain Wilfred De Bruijn, notoire militant LGBT Néerlandais, a été agressé quelques jours auparavant et à perdu la mémoire alors qu’il se promenait main dans la main avec son mignon (qui lui, curieusement, n’a pas perdu la mémoire mais n’est jamais interrogé par les journalisteslopes).
Pour illustrer la violence insoutenable des criminels fascistes néo-nazis catholiques intégristes démocratophobes militants anti-mariage homo, BFM TV diffuse une courte interview de ce militant LGBT Néerlandais Wilfred De Bruijn.
La chose notable c’est que le sous-titrage indique UNIQUEMENT « Wilfred, victime d’une agression homophobe » et non pas comme dans les jours précédents « Wilfred De Bruijn, victime d’une agression homophobe ».
Pourquoi cet oubli volontaire ?
Pour empêcher les téléspectateurs de faire ce que d’autres ont fait auparavant : aller sur internet, rechercher « Wilfred De Bruijn », trouver une page proposant une action pacifique concrète pour blâmer directement ce Wilfred concernant son amnésie volontaire orientée, et participer à cette action.
Le fait que le militant LGBT Néerlandais Wilfred De Bruijn refuse désormais que son nom de famille soit indiqué dans ses interviews signifie donc que grâce à votre participation pacifique et concrète, Wilfred De Bruijn à HONTE… d’avoir été pris la main dans le pot de confiturelubrifiant.
Aidons le militant LGBT Néerlandais Wilfred De Bruijn
à devenir un Homme, un vrai :
continuons à lui demander directement, concrètement et pacifiquement,
de reconnaître publiquement ses mensonges.
08/03/2013
Le vrai visage de Latifa « foulard » Ibn Ziaten
Latifa Ibn Ziaten (ci-contre à droite), c’est la mère d’Imad Ibn Ziaten, la première des victimes de Mohamed Merah, assassiné d’une balle dans la tête sur un parking de Toulouse, attiré là par Merah au prétexte de lui acheter sa moto mise en vente sur internet.Un soldat tellement Français Komvouzémoa qu’il a été enterré… à M’diq au Maroc, avec uniquement le drapeau Marocain sur le cercueil, sans la moindre petite miette de trace d’ombre du plus discret fanion ou même écusson bleu-blanc-rouge en vue : |
Apprenant cela, j’ai eu comme un doute, mais fugace car Tolérance + Accomodements + Vivrensemble + Etc. = Un ange passe…
A l’approche du premier anniversaire des tueries de Merah, la mère de cette première victime et son foulard sont omniprésents dans les médias, y compris bien entendu sur la couverture du livre qu’elle publie à cette occasion :
Ce qui me gène BEAUCOUP à chacune de ses apparitions de mère légitimement éplorée pour un fils tué par un assassin qui était, selon elle, officiellement tout sauf musulman, c’est son foulard. Or je ne suis pas le seul à me sentir ainsi fort mal à l’aise devant ce chancre capillaire dont s’attife Latifa Ibn Ziaten et qu’elle impose à la France entière.
Caroline Sauvagère exprime parfaitement sur Riposte Laïque en quoi ce foulard me gène, la gène elle, et gène nombre de Français.
Intoxiqué par la propagande, j’ai voulu trouver des excuses à ce foulard et je suis donc allé voir si je pouvais les dénicher sur le site internet de l’association fondée par Latifa Ibn Ziaten (et son foulard), Association Imad pour la Jeunesse et la Paix :
Mauvaise idée, car sitôt la page d’accueil du site chargée, une image a instantanément réduit à néant toute ma bonne volonté, une image sur la gauche du site, avec du bleu, du blanc et du rouge :
– le bleu de ce pµt@in de foulard (encore lui) emprisonnant la tête de Latifa Ibn Ziaten, un bleu jouxtant…
– le blanc du tee-shirt et…
– le rouge de la veste de survêtement du parrain de l’association, un certain… Jamel Debbouze !
Jamel Debbouze… le franco-marocain pour qui l’islam est présent en France depuis 3000 ans (alors que cette religion est née il y a 1400 ans seulement…) et qui a fait planter le drapeau du Maroc sur la scène de la cérémonie des Césars par un Antoine De Caunes qui, à une époque, était drôle.
Le Maroc annexe les Césars
Il faut dire que l’époque comique d’Antoine De Caunes c’était avant.
Avant que ne devienne visible comme le nez au milieu de la figure l’invasion des Morlocks mahométans.
Voyant les tronches des Morlocks Latifa et Jamel dans cette trilogie de bleu-blanc-rouge, un dessin de Steph Bergol s’est imposé à moi, un dessin supposé être une caricature sauf que la réalité, soudain, a tutoyé d’un peu trop près la caricature :
Alors je ne sais pas ce qu’il en sera pour vous, mais pour ma part voici comment je vois désormais Latifa « foulard » Ibn Ziaten :
Le plus épouvantable dans une telle attitude de la part de Latifa « foulard » Ibn Ziaten c’est que ce n’est sans doute pas une attitude volontaire, mais plutôt bien une attitude totalement inconsciente, par ce processus terriblement pervers intrinsèque à cette cochonnerie d’Islam, qu’Olaf de Paris nomme fort justement Le degré zéro dans La valse à trois temps du Jihad.
Article plus récent 21/11/2015 : Mohamed Sifaoui s’en prend à Latifa Ibn Zyaten, mère du soldat tué par Mohamed Merah
http://www.yabiladi.com/articles/details/40306/mohamed-sifaoui-s-en-prend-latifa.html
09/02/2013
01/02/2013
15/06/2012
Qatar : la face cachée de la Coupe du Monde 2022
En plein Euro de foot, l’association Human Rights Watch vient juste de publier un rapport de 150 pages sur les conditions de travail des ouvriers pour l’essentiel immigrés qui oeuvrent à la construction du paradis artificiel et footballistique qui doit accueillir la Coupe du Monde 2022 au Qatar. Si les investissements financiers sont estimés à 160 milliards de dollars, impossible d’évaluer le coût humain de ce projet pharaonique dont le riche émirat pétrolier se soucie fort peu.
Une Coupe du Monde achetée par les pétrodollars et le lobbying bienvenu mais pas gratuit de stars comme Zidane ou Guardiola, des stades démontables, construits au milieu de nulle part climatisés à l’énergie solaire, un événement mondial organisé dans un pays grand comme le département de la Girondedont la passion pour le foot fluctue au gré des coups de coeur du Cheikh Al Thani et des placements du fonds souverain qatari.Selon le rapport de Construction News qui regroupe les analyses d’un spécialiste allemand de la finance, l’organisation du plus grand évènement sportif de la planète devrait coûter 160 milliards d’euros environ à l’émirat qatari : 124 milliards d’euros pour les stades et 36 milliards pour les infrastructures de transport. A elle seule, la climatisation dans les stades (pour régler ce fameux problème de chaleur) devrait couter 35 milliards d’euros. Enfin, une ville entière nommée Lusail sera créée. Elle surplombera le stade qui accueillera le match d’ouverture et la finale. Montant de la facture: 32 milliards d’euros.
Des milliards que ne verront pas à coup sûr les ouvriers migrants qui n’auront pas plus l’occasion d’assister au début d’un match de foot mais qui s’affairent déjà à la construction laborieuse de ce paradis footballistique artificiel sous des températures caniculaires et dans des conditions de travail déplorables. Au-delà du coût financier du joli jouet que s’offre l’Emirat, l’association Human Rights Watch s’est intéressée au coût humain de ce projet pharaonique.
Le Qtar présente une situation démographique unique au monde. Les travailleurs migrants représentent 94% de la population du pays. Le ratio le plus élevé au monde. Et le pays, peuplé de 1,6 millions d’habitants entend encore recruter jusqu’à un million de travailleurs migrants au cours de la prochaine décennie afin de construire les fameux stades et infrastructures nécessaires à l’accueil de cette Coupe du Monde.
Une « clause de non-concurrence » pour des ouvriers exploités
Confiscation des passeports, contrôle abusif des travailleurs, restriction au droit du travail (difficile de quitter son emploi), sans compter les obstacles à la communication des plaintes auprès des services gouvernementaux, salaires impayés, retenues salariales illégales, campements de travail insalubres et surpeuplés.Human Rights Watch a constaté que le Qatar, érigé dans nos contrées en bienfaiteur médiatico-footballistique, possède l’un des codes du travail les plus restrictifs : impossible de changer d’emploi sans l’autorisation de son employeur -une clause de non-concurrence pour les ouvriers exploités, il fallait y penser-. Même chose pour quitter le pays, le travailleur doit obtenir un « permis » de son employeur. La nuance avec la notion de travail forcé n’est pas très grande.
Dans la région, seule l’Arabie Saoudite a mis en place ce « permis de sortie ».Le système de recrutement est pour le moins original : les postulants doivent payer des frais de recrutements, dont les montants varient selon l’enquête de HRW de 726 à 3651 dollars, le tout payé sur emprunt à des taux d’intérêts qui peuvent aller jusqu’à 100% par an !
Travailleur venu du Bangladesh Mahmoud qui a emprunté 3298 dollars explique que s’il ne parvient pas à rembourser, « la banque sortira ma famille de la maison ». Ainsi la plupart des ouvriers hypothèquent leur maison dans leur pays d’origine pour trouver un emploi au Qatar.
Si l’Organisation Internationale du travail autorise la libre association, les lois du Qatar interdisent de se syndiquer. « La proposition récente du gouvernement d’une Union des travailleurs ne parvient pas à satisfaire aux exigences minimales de la libre association dans la mesure où tous les postes de prises de décisions sont réservés aux citoyens qataris » constate Human Rights Watch.
Carton jaune pour le Qatar et la Fifa ?
De son côté le ministère du Travail ne dénombre pas plus de six décès au cours des trois dernières années.L’Etat du Qatar, qui s’est engagé à améliorer les conditions de travail de ses ouvriers sans fournir d’indications claires sur les réformes envisageables, n’est pas seul en cause, le comité organisateur et la FIFA avaient promis au moment de l’attribution de la Coupe du Monde d’être attentifs aux droits des travailleurs. Jugée complice d’une mondialisation inéquitable, en 2010, des syndicalistes avait tenté de brandir en vain un carton jaune lors d’une réunion de l’ONU pour dénoncer la passivité de la FIFA face au non respect du droit du travail lors des préparatifs de la Coupe du Monde en Afrique du Sud. Bis repetita ?
16/04/2012
12/04/2012
Bravo Les Zids de la région parisienne du Projet Apache
Communiqué de presse du 12 avril 2012
Visite des identitaires du Projet Apache à l’AFP !
Le samedi 24 mars, l’Agence France Presse couvrait le rassemblement « contre le rachat de la France par le Qatar ». Dans sa dépêche, l’AFP tombe dans la désinformation partisane en relatant l’incident consécutif à la manifestation (attaque des quelques militants identitaires par une quarantaine d’individus armés et casqués appartenant à l’extrême gauche) : le journaliste prend le parti d’écrire que « Les jeunes du « Projet Apache » et quelques militants du Bloc identitaire se sont accrochés avec des badauds », plutôt que de dénoncer l’agression.
Face à cet aveuglement idéologique, un envoi massif de lunettes dans les rédactions AFP d’Île de France, suivi d’une visite au principal intéressé ont été organisés par les jeunes identitaires du Projet apache. (voir la vidéo de cette visite en bas de cet article ou sur cette page : http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=c3FsZd4QMpQ) la vidéo Le journaliste refusant de nous recevoir, nous avons effectué devant le siège de l’AFP un tractage dénonçant l’affaire et rappelant le « Bobard de guerre » récemment remporté par cette agence de presse, à l’occasion de la cérémonie décalée des « Bobards d’Or » organisée par la fondation Polémia.
Ce tractage nous a permis de discuter avec quelques journalistes et de confirmer à quel point l’édition des dépêches de l’AFP obéit à une logique de rendement économique (quantité contre qualité) et est malheureusement soumise à l’idéologie libérale mondiale.
Si nous affirmons que les journalistes de l’AFP et des autres agences seront, comme toujours, les bienvenus à nos rassemblements, nous souhaiterions, au nom d’une majorité silencieuse de Français qui demandent plus à être informés qu’éduqués, une plus grande impartialité dans leurs comptes-rendus.
CONTACT : Bloc Identitaire
BP 13
06301 NICE cedex 04
: info@bloc-identitaire.com
: Permanence : 09 75 41 63 22 (de 09h00 à 20h00)
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NDLR:
Les Zids sont super pour les actions de terrain où ils pratiquent un humour dévastateur sans aucune violence, en laissant l’exclusivité de cette violence aux nervis de mélenc(h)on et autres spécialistes d’extrême-gauche.
11/04/2012
09/04/2012
Deux prélats catholiques dévoyés: Mgr Dubost et le père Roucou à l’UOIF
La suite a été empruntée au site Riposte Catho
Est-ce pour aller annoncer la Résurrection de Notre-Seigneur que Mgr Dubost l’évêque d’Evry, ,en charge des relations interreligieuses au sein de l’épiscopat, et le père Roucou le « responsable du service des relations avec l’islam » (pas avec les musulmans…) se rendront au congrès de l’UOIF lundi de Pâques ?
Pas certain : ils assisteront à une table ronde, intitulée « le dialogue intellectuel et culturel : un préalable pour un changement durable« , face à deux imams de l’UOIF, Azzedine Gaci et Tareq Oubrou. Mgr Dubost explique sa présence :
« depuis les événements de Toulouse et Montauban, je sens une grande nervosité et une peur chez les musulmans. Dans ces moments, il est important de montrer que des liens existent et redire les conditions de ces liens. Pour les créer, il faut le respect des lois de la République et la liberté de professer en public et en privé l’enseignement de son culte ».
NDLR nos réponses en rouge: « Pour les créer( les conditions de ces liens), il faut le respect des lois de la République et la liberté de professer en public et en privé l’enseignement de son culte « . Mais Monseigneur vous ne nous ferez pas croire que vous ignorez que l’islam, loin de n’être qu’une religion, est une juridiction avec sa loi la charia dont la CEDH Commission Européenne des Droits de l’Homme a dit clairement qu’elle était incompatible avec une démocratie dans son arrêt du 13 février 2003 .Dès lors il est clair que si vous réclamez la liberté de professer en public et en privé l’enseignement de son culte, les musulmans enseigneront la charia incompatible avec une démocratie donc avec notre république. Désolé d’avoir à vous le dire Monseigneur mais les conditions de ces liens ne sont donc pas remplies et ces parlotes islamo-catholiques où les seuls à faire un pas vers l’autre sont les catholiques sont inutiles voire contre-productives pour la religion catholique.
La suite à cette page: http://sitasecure.wordpress.com/2012/04/09/deux-prelats-devoyes-mgr-dubost-et-le-pere-roucou-a-luoif/
08/04/2012
UOIF: pourquoi ne pas interdire le congrès islamiste du Bourget ?
Il a fallu les tueries terroristes de Toulouse et Montauban pour qu’enfin la France mette un peu plus son nez dans le congrès annuel du Bourget, organisé du 6 au 9 avril par l’Union des organisations islamiques de France. Plus connue sous le sigle d’UOIF, cette structure intégriste, fondamentaliste, qui représente un pourcentage infime des musulmans de France, prend pourtant beaucoup de place dans notre pays.
Elle prône un islam radical, politique, contre la mixité hommes-femmes, contre les relations entre musulmans et non musulmans. Et tient un double discours sur l’antisémitisme et le voile. Bref, l’UOIF, proche des thèses des Frères musulmans, est plus favorable à la charia qu’à la laïcité. Et dire qu’elle siège au très officiel Conseil français du culte musulman (CFCM), fondé par Nicolas Sarkozy, qu’elle forme des imams en France et qu’elle dirige des mosquées sur notre territoire…
Sa réunion annuelle du Bourget, qui existe depuis 1988, est l’occasion pour elle de faire venir des prédicateurs du Proche Orient qui disent des horreurs sur l’Occident et notre pays. Il est heureux que le gouvernement ait décidé, cette année, de dissuader ou d’interdire la venue de six d’entre eux. Mais le sulfureux Tariq Ramadan sera malheureusement là.
Deux questions : pourquoi le gouvernement n’interdit pas tout simplement, et définitivement, ce congrès islamiste du Bourget ? Il en a les moyens. Pourquoi ne surveille-t-il pas d’un peu plus près les activités de l’UOIF ? Il en a aussi les moyens puisqu’il les met en œuvre contre bien d’autres structures prétendument
Source et commentaires à cette page: http://blog.lefigaro.fr/threard/2012/03/uoif-pourquoi-ne-pas-interdire.html
Les Bobards d’Or 2012
Les nominés et leurs oeuvres, les promus 2012 et la cérémonie de remise des prix
les postulants/nominés et leurs oeuvres: nous avons perdu le lien; quelqu’un peut-il nous l’envoyer en commentaire?
Les heureux promus http://fr.novopress.info/110089/les-resultats-des-bobards-dor-2012-et-le-lancement-de-lobservatoire-des-journalistes/
La vidéo de la cérémonie de remise des prix: http://dai.ly/GFPGH9
29/03/2012
Dernière saillie de Hollande le fossoyeur de la France: « Je vais vous donner des papiers, et vous serez aussi Français que les Français de souche de ce pays. »
Article emprunté à l’excellent site Le Gaulois
jeudi 29 mars 2012
Le 5 mars 2012, à 15h à EVRY, sous les acclamations délirantes d’un public arabo-français de 6000 personnes … François Hollande s’exprime :
Plan national d’action contre le racisme et l’antisémitisme : un totalitarisme poisseux
Le : 28 Mars 2012
démarchetotalitaire racisme pland’action antisémitisme libertéd’expression
Les tueries (islamistes) de Toulouse et Montauban ont débouché sur un festival de bobards et d’intoxication « antiraciste », dans l’esprit de ce qui s’était passé à la suite des attentats contre la synagogue de la rue Copernic et de la rue des Rosiers : un phénomène sans surprise, quelques jours après la publication par le gouvernement de son plan d’action contre le racisme et l’antisémitisme pour les années 2012-2014.
Pierre Milloz analyse ce plan pour Polémia.
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Le gouvernement vient de publier son Plan d’action contre le racisme et l’antisémitisme pour les années 2012-2014.
Comme on pouvait s’y attendre, il expose l’idéologie dominante, celle dans laquelle baignent les médias de l’oligarchie, celle des gouvernements et de la plupart des partis politiques.
Limiter la liberté d’expression au nom de l’antiracisme
Alors que l’opinion publique conteste de plus en plus la passivité des gouvernements face à un courant migratoire qui menace de submerger la nation, le Plan a pour objet de combattre cette contestation en invoquant les principes universalistes et en la qualifiant de « raciste ». Pour autant, il prétend en l’espèce n’avoir nulle intention de limiter la liberté d’expression. Il fait seulement valoir que celle-ci n’est garantie par la loi de 1881 que dans le respect de l’ordre public. Or, dit-il (page 9), l’extériorisation du racisme est attentatoire à l’ordre public, donc la liberté d’expression n’est pas menacée. (Il suffisait d’y penser.) Merci Orwell !
Orienter la répression vers la population majoritaire
Le Plan porte donc évidemment un jugement extrêmement favorable sur cette immigration : « L’apport des populations étrangères a constitué une chance pour la France », dit-il (p. 91), et, comme dans tous les régimes totalitaires à pensée unique, il entend en persuader les enfants : « Les programmes d’histoire doivent permettre aux enfants de le comprendre. » Cette chance pour la France se manifeste de diverses manières.
D’abord, les immigrés ne sont pas racistes (ce qui implicitement oriente la répression vers ce que le Plan appelle la population majoritaire – 76% du total) : « Il faut noter l’émergence récente de quelques cas de racisme dirigés contre des Blancs, mais cela reste pour l’instant relativement rare » (p. 53). Apparemment le ministre de l’Intérieur n’a pas eu connaissance de cet incident que son collègue chargé de l’immigration dénonçait en mars 2011 : « Quand, après le match de football Algérie-Egypte où la France n’est même pas concernée, 20.000 jeunes Marseillais, étrangers, français d’origine étrangère vont sur la Canebière brûler les drapeaux français, n’est-ce pas l’indice d’une difficulté ? » Mais le ministre de l’Intérieur est pardonnable, tant il est vrai que cet incident est passé relativement inaperçu, les médias n’ayant pas jugé bon de s’appesantir sur lui. Mais rien n’interdit d’imaginer le retentissement qu’aurait eu un incident au cours duquel 20.000 jeunes Français, d’origine française, seraient allés sur les Champs-Elysées brûler les drapeaux algériens…
Promouvoir la diversité à l’école : une démarche totalitaire ?
Echappant donc au reproche éventuel de racisme, les immigrés confirment qu’ils sont une chance culturelle pour la France. Cet atout offert à notre pays résulte aussi de leur effort incessant et inlassable pour la France : « les artistes, les écrivains, mais aussi les citoyens venus d’ailleurs ne cessent d’enrichir le patrimoine culturel de la France » (p. 99). N’est-il pas indiqué dès lors que l’on se tourne à nouveau vers les enfants pour les en persuader et seuls les esprits pervers feront à nouveau le rapprochement avec la propagande des régimes totalitaires dans les établissements scolaires : « la diversité à l’école » figure au programme national de pilotage qui « permettra de mieux prendre en compte la diversité » (p. 28).
Aider les étrangers même en situation irrégulière
En conséquence, les immigrés doivent être accueillis et aidés et, indépendamment des mesures nationales en leur faveur, on peut noter que le Plan rappelle (p. 85) que les étrangers même en situation irrégulière ont un droit à l’hébergement, qu’apparemment ils peuvent faire valoir en saisissant une commission de médiation (mais dans ce cas on distingue mal les conséquences sur leur présence en France. Peut-être l’obtention d’un hébergement vaut-elle titre de séjour ?).
La « diversité » contre l’assimilation
Les notations qui précèdent ont présenté l’attitude générale de bienveillance du ministre de l’Intérieur dans ce Plan. Cette attitude conduit à un paradoxe évident : d’une part, conformément à la doctrine officielle, le document insiste sur l’unicité du peuple français et le refus des communautés intermédiaires et, d’autre part, ne préconisant pas l’assimilation des étrangers, il entend « promouvoir la diversité ». Et de fait la défense et la promotion des diversités au sein de la nation française forment le leitmotiv du Plan, en réponse aux contempteurs de celles-ci, accusés de racisme.
Les caractéristiques de la population autochtone n’intéressent personne
En contrepoint on ne trouvera pas dans tout le document les mots : traditions françaises, population française, ethnie française, Français d’origine ou de souche. Bien sûr, on peut objecter que là n’est pas le sujet du Plan : pourtant, puisqu’il s’agit de populations étrangères dont il faut protéger les caractéristiques, ne serait-il pas normal que le document se préoccupât en même temps des caractéristiques des populations autochtones, celles qui reçoivent ? Il n’en fait rien, bien sûr.
Le défenseur des droits : des pouvoirs accrus par rapport à la HALDE
Telle est la tonalité du Plan. Si on en vient maintenant aux mesures, on notera que le document fait un rappel de toutes les décisions déjà prises dans le passé et propose pour les trois années à venir diverses mesures nouvelles dont la principale est la nomination d’un défenseur des droits. Ce haut fonctionnaire aura la charge d’ensemble du dossier et sera donc appelé, d’une part, à revigorer certaines des mesures existantes et, d’autre part, à mettre en œuvre quelques autres, qui intéressent surtout les domaines de l’interdiction et de la répression, sujets auxquels on va venir maintenant.
En la matière, les pouvoirs publics s’autorisent toutes sortes de facilités et d’approximations, dont la description suscitera nombre d’observations critiques.
La Constitution en son article 1 est invoquée à l’appui de l’idée selon laquelle les habitants du territoire français ne peuvent faire l’objet que d’un traitement uniforme. C’est à tort : il est exact que la Constitution « assure l’égalité devant la loi sans distinction d’origine, de race ou de religion », mais elle réserve cette prescription aux seuls citoyens, c’est-à-dire aux nationaux, et, contrairement à ce que prétend abusivement le Plan (p. 7), elle n’interdit nullement un traitement différencié des étrangers. Elle l’autorise même par sa rédaction.
Les pouvoirs exorbitants et liberticides du… défenseur des droits
Des pouvoirs exorbitants sont conférés à une nouvelle institution : le défenseur des droits. Ce haut fonctionnaire peut procéder à des vérifications sur place (le document ne prononce pas le mot de perquisition…) et à des visites inopinées, sous le contrôle du juge des libertés, il est vrai (p. 32). Il a le pouvoir d’enjoindre à une administration ou à « l’organisme en cause » (sa compétence s’étend donc au-delà de la sphère publique, tout comme celle d’un service de police) de réformer une décision (mais aucun service de police ne dispose d’un tel pouvoir !) (p. 33).
Si le cas dont le défenseur des droits saisit « l’organisme en cause » est de nature à justifier des poursuites disciplinaires et si celles-ci ne sont pas engagées, ledit organisme doit justifier son abstention auprès du défenseur. Là encore on rencontre une disposition extraordinaire qui limite de fait la liberté d’une autorité privée d’exercer ou de ne pas exercer son pouvoir disciplinaire (p. 33).
Une nouvelle dialectique de la preuve : à l’innocent de prouver qu’il l’est !
D’autres règles juridiques habituelles sont « adaptées » à la matière. Sauf en matière pénale, lorsque des faits laissent supposer qu’un acte discriminatoire (et pas seulement de nature raciste) a été commis, l’autorité qui s’en inquiète n’a pas à faire la preuve de l’infraction : c’est au suspect qu’il appartient de prouver son innocence ! Le Plan qualifie pudiquement cette innovation de « nouvelle dialectique de la preuve » (p. 8) !!!
La répression de ce genre de délit mérite une attention toute spéciale. Elle doit s’exercer dans la presse, les films, les objets et insignes. Les préfets doivent renforcer leur collaboration avec les « associations engagées », avec les directeurs d’école (« pour prévenir et sanctionner dans les établissements et leurs abords »). Des magistrats « référents » en la matière sont institués au sein du parquet, comme une centaine de « référents sûreté » sont formés au sein de la police et de la gendarmerie.
Favoriser la dénonciation : « La République récompense les dénonciateurs » (1793)
Le Plan, en effet, regrette la « difficulté récurrente de faire émerger des plaintes » et en conséquence il consacre un paragraphe entier (4.2.2) à « Favoriser l’émergence des plaintes ». Dans cet esprit, des conventions ont été passées (on n’en connaît pas le coût) avec des associations comme la LICRA et SOS-Racisme dont le rôle est notamment de « contribuer à la dénonciation des faits les plus graves ». Par ailleurs, « des cellules de veille ont été mises en place destinées à trouver les moyens de permettre aux victimes de discrimination de porter plainte ». Autrement dit, la dénonciation devient l’un des moteurs de la répression et l’appel aux associations engagées et à la délation pourrait ouvrir une période la plus sombre de notre histoire.
LICRA, SOS-Racisme : un soutien financier justifié
De façon générale, la contribution des associations « justifie », selon le Plan, « le soutien financier qui leur est apporté par l’Etat et les collectivités territoriales ». Le contribuable, toujours inquiet, aimerait connaître le coût de ce soutien, et il est d’autant plus inquiet que le Plan parle du « foisonnement des initiatives associatives »… (p. 36). Mais on ne le lui dira point.
Il s’inquiétera aussi, mais cette fois en tant que citoyen, de voir ces associations, de droit purement privé, chargées de mission de service public qu’à première vue on verrait plutôt assurées par l’administration. Il n’est pas normal, par exemple, que la LICRA soit chargée de contribuer à la formation des gendarmes et des policiers (!) (p. 38) ou qu’un établissement public comme l’ACSE (Agence pour la cohésion sociale et l’égalité des chances) « soutienne les services juridiques des associations LICRA, SOS-Racisme, MRAP, LDH » (p. 35) dont le plan donne une liste impressionnante des activités, y incluse la « capitalisation » (?).
La lutte dite « antiraciste » n’a pas à souffrir des restrictions budgétaires
La lutte dite antiraciste n’a pas à souffrir des restrictions budgétaires. Y participent, pour le seul échelon central, sept comités, un haut conseil, un défenseur des droits, deux délégués interministériels, un délégué ministériel, un secrétariat général, une agence, deux offices et quatre observatoires. Cette énumération à la Prévert pourrait passer pour bouffonne. Pourtant elle ne fait que récapituler l’effort du gouvernement pour résoudre ce qu’il semble considérer comme le problème majeur de la France dans la compétition internationale actuelle : dans un tel cas, pour lui l’argent ne compte pas.
Il faut ajouter à l’énumération ci-dessus un nombre indéterminé d’observatoires régionaux de la jeunesse et des sports et les COPEC. Les COPEC sont des commissions départementales pour la promotion de l’égalité des chances et la citoyenneté. Elles bénéficient de soins particuliers puisqu’elles ont non pas un mais trois présidents : le préfet, l’inspecteur d’académie et le procureur. Dans chaque département elles coordonnent l’action de la lutte antiraciste. Il convient aussi de mentionner que l’un des offices cités plus haut dispose de 29 directions territoriales et de 12 délégations (p. 25).
Les statistiques sur le racisme mobilisent 800 policiers
Enfin, il n’est pas possible de passer sous silence l’effort financier qu’a consenti l’administration de la police pour avoir une connaissance statistique précise des discriminations. Il est apparu en effet que dans de nombreuses affaires pénales le motif raciste pouvait exister et n’avoir pas été pris en compte. Aussi a-t-il paru nécessaire de reprendre toutes ces procédures une à une par un traitement manuel, pour mieux qualifier les faits : à cette tâche, ce sont « environ 800 fonctionnaires de police qui ont été formés dans les services statistiques de terrain » (p. 40). Il y aura comme toujours (mais comment l’éviter ?) des malveillants pour avancer que tous ces policiers auraient mieux été utilisés pour le maintien de l’ordre dans certaines banlieues.
Toutes ces notations auront à plusieurs reprises inquiété le lecteur, curieux de connaître le coût de toutes les opérations dont le présent compte rendu n’évoque que les parties les plus caractéristiques. Sa curiosité malheureusement ne sera pas satisfaite car, arrivé à la dernière page du Plan, il apprend – hélas ! – que « l’Etat ne dispose pas des outils lui permettant d’évaluer l’ampleur de son engagement financier dans la lutte contre le racisme et l’antisémitisme ».
Une vision totalitaire
C’est là une constatation extrêmement regrettable dans les circonstances actuelles. Pourtant, l’impression générale qu’on tire de la lecture du document conduit à une conclusion encore plus regrettable : celle qu’on a affaire à une vision totalitaire : une vision où la surveillance de la population par une multitude d’organes et l’érection de la délation comme un moyen de gouvernement sont caractéristiques d’un totalitarisme poisseux.
Pierre Milloz
24/03/2012
L’intégralité du Plan en PDF
http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_la_une/toute_l_actualite/ministere/plan-national-d-action-contre-racisme (renseigner la boîte de recherche avec plan national d’action contre le racisme et sur la page obtenue apparait le lien cherché. D’accord c’est un véritable jeu de piste. A croire que le gouvernement ne doit pas tenir à ce qu’ l’on lise ce plan d’action
Au pays du « vivre ensemble » : Retour sur la politique écolo-socialo-bobo de la ville rose
La suite est « empruntée » au blog de Gérard Brazon que je ne saurais trop vous recommander de lire régulièrement http://puteaux-libre.over-blog.com et de mettre dans vos favoris.
Cet article de Jérôme Cortier « Les musulmans toulousains sont écolos et végétariens » est un peu ancien puisqu’il date du 11 avril 2011, mais il est parfaitement d’actualité.
Un extrait pour vous délecter de la mièvrerie exaltée dont est capable la prêtresse islamophile du Capitole. Elle parle ici de la rénovation de la mosquée Tabar, ancien château du XVI siècle :
– « La brique sera au rendez vous. Les minarets guère plus haut que les pigeonniers. Penser la mosquée comme la rencontre de la tradition et de la modernité : architecturale, environnementale. Penser à l’Alhambra, merveille du monde, issue des cultures partagées par les gens du livre : modernité de l’époque où l’eau arrive à l’intérieur du palais par gravitation naturelle des montagnes neigeuses. L’idée n’a jamais effleuré Louis XIV le bâtisseur. L’eau, source de vie, est par tradition une préoccupation musulmane. Alors une récupération des eaux de pluie sera faite par les toits. » (7).
Vous ricanez ? Je vous comprend. La comparaison entre les minarets et les pigeonniers est audacieuse. Après vérification, « muezzin » n’est pas une traduction approximative du mot « pigeon » en arabe. En langage écolo en revanche ce sont les « contribuables » qui se confondent avec les « pigeons », les crétins, les abrutis ou les benêts. Y a le choix…
Mais faisons fi de l’humour involontaire de Danielle Charles et regardons ce que sous entend l’élue verte de la ville rose : pour elle les musulmans de l’Espagne conquise étaient bien plus écolos que ce gros couillon de Louis XIV, parce qu’ils avaient une maîtrise intelligente de l’eau, élément considéré par la tradition musulmane comme source de vie. Elle ne fume pas que du foin la jument verte ! Elle serait persuadée que l’écologie prend sa source dans le coran que ça ne m’étonnerait pas.
C’est peut-être pour satisfaire les préoccupations écologiques de la communauté musulmane, que l’association isla-mao-gauchiste « Génération spontanée » vient d’organiser un rassemblement au pied des immeubles de la Reynerie, pour demander au maire de Toulouse l’instauration de repas végétariens dans toutes les cantines des écoles de la ville. En parallèle, cette association fait circuler une pétition inspirée d’un texte de Dounia Bouzar. La pétition se sert d’un argument sanitaire pour faire passer ses revendications religieuses :
– « Nous sommes des parents d’élèves soucieux de la santé de nos enfants et pour se faire nous voulons attirer votre attention sur le problème des familles dont les enfants ne peuvent consommer de viande à la cantine et ce, pour diverses raisons…..
c’est très récemment que la mairie de Toulouse a pris la peine d’intégrer des plats de substitution pour le porc elle ne l’a pas fait pour les autres viandes, ne tenant pas compte de la consommation de viande non halal pour les enfants musulmans, et il arrive que des parents soient obligés de récupérer leurs enfants à midi vu le contenu du menu (viande en entrée et plat principal)..
Il est normal de payer un service et d’en être satisfait ce qui n’est pas toujours le cas , sous couvert de laïcité. Il faut savoir que souvent on demande aux enfants d’enfreindre les règles et que manger des viandes non halal ce n’est pas grave profitant de leur crédulité!! » (http://www.generations-spontanees.org/petitions/index.php?petition=3)
Dans un reportage de propagande réalisé par la télévision brejnévienne TV BRUITS (9), l’une des représentantes de l’association Génération spontanée, proche des Indigènes de la République, affirme que Pierre Cohen ne voit pas d’un mauvais œil cette proposition et qu’elle bénéficie du soutien de l’adjoint au maire chargé des cultes, l’écologiste Régis Godec.
Cette pression communautaire exercée par des islamistes et des associations gauchistes est monnaie courante. Les élus s’y sont habitués. Plus aucun ne semble se soucier de l’intérêt général et se dit prêt à répondre favorablement aux revendications particulières d’une minorité. Cette alliance entre une association gauchiste, dont on retrouve des militants au sein des organisations pro-palestiniennes les plus manichéennes, et des islamistes conquérants, devrait alerter nos élus sur la nécessité de renouer avec les citoyens de ce pays en organisant, par exemple, de véritables référendums d’initiatives populaires… (pas comme cette mascarade soutenue par la mairie de Toulouse en faveur du droit de vote des étrangers: http://ripostelaique.com/la-votation-toulousaine-ou-la.html)
Et en ce qui concerne les repas végétariens, notre position a été rappelée par Christine Tasin à l’occasion de la Conférence de presse du 4 avril 2011, à propos du débat sur « laïcité et islam » :
– « Il ne faut pas créer de menus alternatifs végétariens dans les cantines. Celles-ci sont un service rendu à l’usager, qui a la possibilité de déjeuner chez lui ou de se trouver un autre lieu pour déjeuner si le contenu du menu ne lui plaît pas, d’autant plus que les musulmans ont tout à fait le droit, prévu dans le coran, de ne pas manger halal quand ce n’est pas possible. Accéder à leur demande de repas spécial, et ce dès les cantines scolaires, c’est contribuer à forger, chez les enfants eux-mêmes, un réflexe identitaire qui les isole et les amène, peu à peu, à vivre en ghetto, entre « purs », et à refuser l’intégration et encore plus l’assimilation. Tout cela finissant par créer des situations de guerre civile ou d’émeutes. Chacun a toujours la possibilité, comme le font les végétariens depuis toujours, sans avoir jamais fait de demandes de reconnaissance officielle, de ne pas manger la viande proposée. »
Ne nous faisons pas d’illusion, les collabo-cocos de l’islamisation en ont encore sous le coude. Dans leurs rangs la muflerie n’a pas de répit. Mais que Monsieur Cohen s’occupe en priorité de l’explosion des actes de violence au sein de la ville dont il a la charge…il viendra nous faire des leçons d’écolo-islamo-compatibilité plus tard.
Jérôme Cortier (Prêchi-Prêcha)
VV&D s’invite à la manifestation de SOS racisme
La Licra et SOS-racisme accompagnées de diverses formations généralement proches de la gauche tentent de dissoudre l’acte de guerre jihadiste de Mohamed Merah dans un amalgame de racisme, d’anti sémitisme et de terrorisme.
Pour cela elles ont organisé une manifestation silencieuse et « unitaire » de solidarité avec les victimes du tueur islamique de Toulouse.
La grande majorité des organisation juives de France a appelé à boycotter cette tentative de manipulation qui ne vise, une fois de plus, qu’à éviter que les Français se posent les bonnes questions sur les motivations de Mohamed Merah.
D’où vient la motivation des actes criminels de ce fanatique ?
La doctrine islamique contient-elle vraiment des incitations à la violence contre les non-musulmans ?
Y a-t-il une partie des enseignements de l’islam qui puisse transformer un citoyen de la République en ennemi de la France ?
Le fait de prétexter la solidarité avec les victimes d’un jihadiste pour encore une fois protéger l’islam du regard critique et de l’examen du contenu criminogène de la charia est preuve d’un cynisme glacial. Les citoyens qui se déplacent pour participer à un hommage aux victimes se trouvent ainsi utilisées à protéger la cause du drame qu’ils sont venus dénoncer :
La charia et les prêcheurs de haine qui la diffusent tel l’UOIF.
Ceux qui ont vu clair dans la manoeuvre des « anti racistes » n’étant pas venus en ce Dimanche de mars, la rue allait appartenir aux dissimulateurs et sembler cautionner le mensonge.
C’est pour cela que VV&D est venu dire, en plein milieu d’une tentative de tromperie, ce que les organisateurs de la manifestation ne voulaient pas dire :
Non à la charia !
Elle contient l’incitation au jihad et à la violence contre les non-musulmans.
et
Non aux prêcheurs de haine
comme Al Qaradawi qui, avec la complicité active de l’UOIF, diffuse des incitations au jihad contre les non-musulmans et tout particulièrement contre les juifs.
Il est à noter qu’aucun journaliste présent sur cette manifestation, à part une équipe de télévision canadienne, n’a voulu nous interroger et que ceux que nous avons contacté sur place n’ont pas voulu enregistrer ce que nous avions à dire (M6, i télé, etc…)
Nous avons même constaté que lors de notre passage certaines caméras s’écartaient ou se baissaient pour ne pas nous filmer !
Dans le cortège nous avons rencontré Michel Ciardi de l’UFJ (Union des français juifs), venu lui aussi protester et qui s’est joint à nous en toute simplicité. C’est donc ensemble que nous sommes allés jusqu’à la place de la Nation où nous l’avons interrogé sur les motifs de sa présence.
Aidez-nous à agir, soutenez nos action,
28/03/2012
Ménard interview un membre de l’UOIF ou la takia dans toute sa splendeur
Quand un pieux musulman est coincé alors il ment, il falsifie, il dissimule cela s’appelle la takia=mensonge autorisé voire conseillé aux musulmans qui s’adressent aux non-musulmans (Koufars) s’il s’agit de développer l’islam. Voici un cas d’école de takia dans cette vidéo:
http://www.itele.fr/emissions/chronique/menard-sans-interdit
Une « colle » pour les spécialistes de l’islam. A quoi reconnait-on que l’invité de M Ménard, Bachir Boukhzer vice-président de l’UOIF, est un pieux musulman? Les gagnants auront droit à un coran de Muhamad Hamidullah. Ah les veinards!
27/03/2012
Faux anti-racistes, journalistes, gauche et droite : coupables !
Depuis que nos lecteurs connaissent le verdict de la 17e chambre correctionnelle, nous croulons sous les courriers et les coups de téléphone. C’est bien évidemment l’indignation générale, souvent l’incompréhension et la colère. Nous remercions du fond du coeur tous ceux qui, fort nombreux, nous ont écrit, ou envoyé un don, à hauteur de leurs moyens, durant le week-end. Nous avons été touchés par les appels à nous soutenir financièrement de personnalités qui ne partagent pas l’ensemble de notre ligne éditoriale, mais sont attachés à la liberté d’expression qu’incarne, à leurs yeux, Riposte Laïque. Nous avons été sensibles au soutien que nous ont manifesté, en relayant l’information, ou en appelant à la solidarité, de nombreux sites amis.
Nous ignorons si la décision des juges a été prise avant les drames de Toulouse ou de Montauban, ou après. Nul ne comprend que Pierre et Pascal, à qui les événements de Toulouse donnent raison, puissent avoir été condamnés, et aussi sévèrement. Que nos amis aient, durant dix heures, expliqué inlassablement au tribunal qu’ils attaquaient un dogme, l’islam, et pas des individus, a-t-il servi à quelque chose ? Pourquoi le fait que Pierre ait systématiquement fait la différence entre musulman et islamiste n’a-t-il pas été entendu ? Pourquoi n’a-t-on pas tenu compte de la force des témoignages de René Marchand et des six autres témoins ? Ce verdict est-il politique ? Les choses étaient-elles jouées d’avance ?
Pourquoi des associations qui, par dogmatisme, ont, toute la semaine dernière, refusé d’envisager la piste islamiste, voient-elles Pierre et Pascal payer leurs frais de justice, alors qu’elles sont déjà largement subventionnées ? Quel est ce pays qui condamne à une amende Pascal Hilout, né Mohamed, qui, en s’émancipant de la tutelle de l’islam, au risque de sa vie, n’a eu de cesse d’alerter nos compatriotes de la réalité de ce dogme liberticide, et de tous les Mohamed Merah qu’il ne pouvait qu’engendrer ? Quel est ce pays où Pierre et Pascal sont plus lourdement condamnés que l’islamiste qui a menacé de mort Christine Tasin ? Quel est ce pays où un procureur instruit de telles plaintes, et demande de la prison avec sursis contre nos amis, quand on classe sans suite une plainte de Christine Tasin contre les menaces de morts et injures graves d’un Cortex ? La justice y est-elle vraiment rendue au nom du peuple français, quand, outre Pierre ou Pascal, on condamne à une amende un maire qui a giflé un voyou qui l’insultait publiquement ? Certes, on ne doit pas commenter une décision de justice, mais nous espérons qu’on a encore le droit de s’interroger quand elles sont aussi surprenantes…
Au lendemain de la tuerie d’Oslo, qui, rappelons-le, n’a fait aucune victime musulmane, les associations dites anti-racistes et les journalistes politiciens comme Joffrin avaient, d’une seule voix, accusé la présumée « extrême droite », les sites Internet comme Fdesouche ou Riposte Laïque, d’avoir »armé le bras de l’assassin », rien de moins. Pendant 48 heures, les mêmes, auxquels se sont joints des candidats à la présidentielle comme Mélenchon et Bayrou, ont entonné le même refrain, malgré les avertissements de Gilles-William Goldnadel, rappelant les précédents de la rue des Rosiers, de la rue Copernic ou du cimetière de Carpentras. Les pleureuses compassionnelles se sont jointes à Tariq Ramadan, pour estimer que le pauvre Mohamed Merah était une victime de la France, rien de moins ! Ne serait-ce plutôt pas la France qui est victime, depuis trente ans, des Mohamed Merah qui rêvent de lui imposer sa loi ?
Les vraies victimes, outre notre pays, ce sont les septs personnes froidement assassinées par l’islamiste Merah. Ne serait-il pas temps de demander des comptes à ceux qui n’ont rien fait pour éviter un tel drame sur notre territoire ? Nous accusons :
– Les associations dites anti-racistes d’avoir une responsabilité écrasante dans ce drame. Par leurs actions judiciaires incessantes depuis plusieurs années, elles ont favorisé le développement de l’islam radical, en France, en traînant devant les tribunaux quiconque – et nous en savons quelque chose – osait essayer d’alerter nos compatriotes sur la réalité de ce fascisme. Certaines d’entre elles ont osé porter plainte contre Michel Houellebecq, liant leur voix à celle des islamistes qui demandaient l’interdiction de toute critique de l’islam, amalgamée à du racisme. D’autres, parfois les mêmes, ont osé défendre, à Vesoul, un imam antisémite, au nom d’une liberté d’expression refusée à Pierre, Pascal et combien d’autres ? Elles font régner un véritable terrorisme judiciaire dans notre pays, et donnent raison à Alain Finkielkraut, qui voyait dans l’anti-racisme le communisme du 21e siècle. Elles ne déposent jamais plainte contre le racisme anti-blanc d’une Houria Bouteldja, pour la bonne raison que pour un Sopo, il ne peut exister. Elles encouragent au quotidien les islamistes à saper l’édifice laïque de la société, et se retrouvent systématiquement dans leur camp, quand la France veut protéger l’école du voile, ou la rue de la burqa. Elles sont systématiquement, comme récemment à Clermont-Ferrand, du côté des voyous, souvent islamisés (se souvenir du cri Allah akbar poussé par 500 d’entre eux devant la préfecture de Clermont-Ferrand), contre la République et sa police. Elles militent ouvertement pour un projet politique, la société multiculturelle, qu’elles veulent imposer en instrumentalisant l’anti-racisme. Elles n’ont pas dit un mot contre la présence annoncée de l’antisémite Qaradawi au congrès de l’UOIF ! Les faits prouvent qu’elles se comportent, depuis plus de vingt ans, en alliés objectifs des islamistes, voire, pour certaines d’entre elles, en compagnons de route. Coupables !
LES NOUVEAUX FRERES RAPETOUT
– La majorité de la presse bien-pensante, et nombre de ses journalistes, d’avoir une responsabilité écrasante dans ce drame. Par leur travail de désinformation quotidien, par les mensonges véhiculés sur la religion d’amour, de tolérance et de paix, par les infamies colportées contre les organisateurs de l’apéro saucisson-pinard et des Assises sur l’islamisation, contre les sites patriotes et résistants, contre les courants politiques qui refusent l’islamisation de leur pays, ils ont favorisé le développement, sur notre territoire, d’un véritable fascisme vert, dont un Merah était un petit soldat. Celui-ci, aujourd’hui, menace l’intégrité physique de tous nos compatriotes et les valeurs sur lesquelles se sont construites la République. Le choix des invités, sur les plateaux télévisés, dès qu’un débat sur l’islam est programmé, est révélateur : que des islamophiles du type Kepel ou Chebel, et jamais des René Marchand ou Hamid Zanaz ! La manière de traiter le procès de Riposte Laïque a été révélatrice. Le 3 février, malgré la présence d’Oskar Freysinger, aucun d’entre eux ne devait être présent, puisqu’il n’y a eu aucun article… Mais par contre, avec quelle délectation ont-ils repris le communiqué de l’AFP (nombre de journalistes considèrent que leur métier consiste à reprendre aveuglément les communiqués souvent très partiaux de cette agence), liant bien évidemment Riposte Laïque à l’incitation à la haine contre les musulmans. Dès samedi soir, la page wikipédia qui nous était consacrée était enrichie de notre condamnation, ne tenant pas compte de notre appel. La palme reviendra à l’Humanité qui, dès le lundi, accusait Christine Tasin d’avoir rompu la « trêve de Toulouse », en disant simplement, de manière prémonitoire, que si le tueur était un islamiste, la presse changerait alors de ton, et que nous aurions droit au « Surtout pas d’amalgame ! ». La désinformation bat son plein. Le nommé Boniface Murutampunzi, de l’AFP, couvre une manifestation dénonçant la qatarisation de la France, qui ne dérange apparemment aucun parti de gauche ou de droite, et pas davantage les associations dites laïques. Celle-ci est attaquée par 50 gauchistes casqués et armés. Le plumitif de l’AFP y voit une bagarre des organisateurs avec des badauds. Le journaliste du Nouvel Observateur, Nicolas Chapuis se dit « dégoûté » que le tueur ne soit pas un néo-nazi. Un journaliste de Front de gauche, proche de Mélenchon, sévissant parfois dans Le Nouvel Observateur, Nathanael Uhl, menace ouvertement de mort Louis Aliot. Askolovitch compare notre rédacteur Alain Dubos, qui, médecin, tente d’alerter les autorités sur les risques sanitaires de l’abattage halal, aux antisémites qui accusaient les juifs d’empoisonner les puits. Ce sont tous ces brillants journalistes qui, derrière BHL et Fourest, de concert avec toute la gôche, se sont mis le doigt dans l’oeil jusqu’au coude sur les fameux printemps arabes, incapables de comprendre, comme Hamdane Ammar, qu’aucune révolution n’était possible sans remettre en cause l’islam. Cette presse aux ordres, manipulatrice, ne supporte plus le contre-pouvoir que constitue internet, d’où sa jubilation, égale à celle des sites islamistes, quand RL est condamné à cause des cerbères de l’anti-racisme, ou que Fdesouche est persécuté par la justice. Fait accablant, aucun journaliste de la presse écrite n’a dit un mot contre la présence annoncée de l’antisémite Qaradawi au congrès de l’UOIF, dénoncée par le site islamisation.fr ! Coupables !
L’ensemble de la gauche, du Parti socialiste à NPA, en passant par Mélenchon et les Verts d’avoir une responsabilité écrasante dans ce drame. Ce sont eux qui, au nom de la défense d’une société multiculturelle, ont désarmé notre pays de ses défenses laïques et républicaines, le sommant de s’adapter à une religion nouvelle et à une nouvelle population. Ce sont eux qui, depuis l’affaire de Creil, en 1989, n’ont eu de cesse de militer pour des accommodements raisonnables avec l’islam. Ce sont eux qui ne cessent, en pratiquant un terrorisme intellectuel digne des disciples de Staline, de qualifier, à l’instar des sinistres duettistes Corbière-Mélenchon, de raciste et de fasciste quiconque rappelle que nos anciens n’ont pas libéré la société française de la tutelle des curés pour accepter, aujourd’hui, celle des imams. Ce sont certains d’entre eux qui agressent physiquement les rassemblement politiques qui ont le tort de ne pas leur convenir, montrant qui sont les vrais fascistes dans ce pays. Ce sont eux qui véhiculent le poison mortel de la repentance et de la culture de l’excuse, sommant notre pays de baisser la tête et de s’humilier toujours davantage. Ce sont eux qui racontent depuis plus de trente ans que l’immigration est une chance pour la France. Ce sont eux qui colportent que l’islam est une religion d’amour et de paix, et se préparent à réintroduire le délit de blasphème, sous la pression des islamistes et des faussaires de l’anti-racisme. Ce sont eux qui ont osé autoriser le voile à l’école, en 1989. Ce sont eux qui se préparent à donner le droit de vote à des salafistes, et qui trouvent normal qu’un Mohamed Merah puisse être français. Ce sont eux qui veulent nous imposer une nouvelle civilisation, avec bien évidemment une nouvelle population, reprenant les souhaits de la finance internationale et du Medef qui, par la voix d’Attali, demande pendant 30 ans 300.000 nouveaux immigrés par an. Ce sont eux qui, par la bouche du cabinet conseil Terra Nova (subventionné par de grands groupes financiers) militent ouvertement pour un remplacement de population. Ce sont eux qui ont cautionné les prières musulmanes dans les rues de France, et insulté ceux qui les dénonçaient. Ce sont eux qui introduisent les pratiques cultuelles comme le ramadan dans nos mairies. Ce sont eux qui ont osé combattre la loi sur le voile intégral dans nos rues. Ce sont eux qui braderont la loi de 1905, si Hollande était élu. Ce sont eux enfin qui, depuis trente ans, nous inventent un imaginaire péril fasciste, et laissent se développer la véritable extrême droite, l’islam radical. Coupables !
La droite, qu’elle ait le visage de Bayrou ou de l’UMP d’avoir une responsabilité écrasante dans ce drame. C’est Sarkozy qui a totalement capitulé devant le discours islamo-collabo de la gauche. C’est lui qui nous a raconté que le métissage était obligatoire, en 2008. C’est lui qui a aboli la double peine. C’est le président de la République en personne qui, à Alger, a osé renvoyer dos-à-dos l’antisémitisme et l’islamophobie. C’est sous le gouvernement de Sarkozy que l’immigration, majoritairement musulmane, a atteint des records. Yves-Marie Laulan, aux Assises « La France en danger » donnait ces chiffres ahurissants : en tenant compte de l’Outre-mer, la France a accueilli, depuis 5 ans, 1,2 millions de nouveaux arrivants, en pleine crise économique, en période de chômage de masse et de montée du communautarisme ! C’est Nicolas Sarkozy qui laisse le Qatar, petit-à-petit, acheter des pans vitaux de la France, alors qu’il ne peut ignorer que ce sont les Qataris, alliés de l’Arabie saoudite, qui financent les islamistes libyens, tunisiens, marocains et tentent de déstabiliser le gouvernement syrien. C’est toujours notre président qui a installé le CFCM, permettant à l’UOIF d’y faire de plus en plus la loi. C’est encore Sarkozy qui s’apprêtait à donner un visa au cheikh antisémite Qaradawi, invité par le congrés de l’UOIF. Il ne lui posait aucun problème qu’un homme qui appelle les croyants (comprenez les musulmans) à finir le travail d’Hitler puisse fouler le sol de notre pays. Il n’envisage absolument pas de dissoudre l’UOIF qui, par une telle invitation, a montré son vrai visage : celui de l’islam radical, et de sa haine contre l’occident, les infidèles et les juifs. C’est encore ce président et ce gouvernement qui ont milité contre l’étiquetage obligatoire de la viande, défendu mordicus la filière halal et ses juteuses retombées, et méprisant l’information de nos compatriotes, se moquant de la dîme religieuse, des souffrances animales et de la colonisation de nos abattoirs. C’est Sarkozy qui se dit, dans une conversation privée avec Villiers, convaincu que l’islamisation de la France est inéluctable. Coupables !
Chacun à sa façon, par candeur ou calcul politique, associations anti-racistes, journalistes, gauche et droite ont créé, depuis plus de trente ans, les conditions pour qu’arrivent les drames de Toulouse et Montauban. Ces tueries lâches et barbares ne sont, hélas, que les premiers symptômes d’un jihad auxquels rêvent des milliers de musulmans, de nationalité française ou pas, dont ils ont favorisé la venue sur notre territoire. N’en déplaise aux candides, Merah n’est pas un soldat perdu, c’est un militant politico-religieux d’extrême droite qui est considéré comme un héros par nombre des siens. Il suffit de lire « Kiffe la France », de Jean-François Chemain, pour savoir que nombre de jeunes élèves islamisés, dans nos écoles, ont deux modèles : Hitler et Ben Laden.
Les irresponsables qui nous dirigent ont mis le pied à l’étrier à la seule extrême droite qui nous menace, l’islam radical. Mais pour sauver leur petit pouvoir associatif, médiatique ou politique, et les privilèges qui vont avec, ils vont persévérer. Nous nous attendons à des attaques de plus en plus violentes des fossoyeurs de la liberté d’expression et des dictateurs du politiquement correct, contre ceux qui veulent tirer des leçons politiques de ces drames, et surtout tout faire pour limiter autant que possible les dégâts. Nous savons que nous devrons répondre de plus en plus souvent, comme nous l’avions fait au journal « L’Humanité« , à tous ceux qui nous qualifient d’extrême droite pour résister à l’islamisation de la France.
Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde, disait Camus. Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire, disait Jaurès. Le sinistre Tubiana, celui grâce à qui nous devons notre procès, a expliqué à l’AFP (qui ne nous a pas appelés) qu’il allait continuer à éplucher de près Riposte Laïque. Qu’il le fasse, il ne nous intimidera pas, il ne nous fera pas taire, nous persistons et nous signons. Nous expliquons, dans le JR de Christine Tasin, ce soir, les raisons des choix politiques de nos dirigeants, en nous appuyant sur les travaux de Bat Ye’Or, auteur d’Eurabia. Nous réaffirmons qu’il y a des milliers de Mohamed Merah en puissance en France. Nous confirmons les propos de Hamdane Ammar : le tueur n’a fait qu’appliquer le Coran. Nous persévérons: il faut arrêter immédiatement l’immigration. Il ne faut plus qu’on devienne français automatiquement, sous prétexte qu’on serait né en France. Il faut enquêter sur l’islam, le Coran, et ce qu’on enseigne dans les mosquées. Il faut arrêter d’en construire de nouvelles. Il faut renvoyer de notre pays des dizaines de milliers d’islamistes qui se disent davantage musulmans que Français, et militent ouvertement pour que la charia remplace les lois de la République. Il faut, dès aujourd’hui, mettre la reconquête patriotique au cœur d’un nouveau projet de société. Pour cela, il faut sortir de l’Union européenne, au plus vite, et cesser de donner de l’argent à des associations qui contribuent à islamiser la société française.
Il en va tout simplement de la survie de la France et des Français.
PS : Faute de temps, et suite à quelques ennuis techniques, nous n’avons pas eu le temps de travailler sur le courrier des lecteurs, qui était le plus abondant que nous n’ayons jamais reçu. Merci de votre compréhension.
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Samedi 24 mars, à Lausanne, à 15 h 15. Pierre Cassen, invité par le Mouvement Suisse contre l’Islamisation (Mosci), tiendra, à la fin de l’assemblée générale, une conférence sur le thème : Place et rôle de l’islam dans la présidentielle française
Lundi 26 mars 2012, de 10 h 45 à 11 h 45 : Sur Radio Courtoisie, avec l’ambassadeur Albert Salon : « Multilinguisme et multiculturalisme en France ? » avec Mme Christine TASIN, professeur agrégé de lettres classiques, Présidente de Résistance républicaine et rédactrice à Riposte laïque, et M. David MASCRE ; chargé de cours dans des établissements d’enseignement supérieur, Délégué national aux études et aux argumentaires du Front National .
rediffusions lundi 26 mars à 14h, mardi 27 mars à 6h, samedi 31 mars à 10h45.
Vendredi 30 mars, à Vendôme, 20 h 30, à l’invitation du Comité Vendomois de Défense de la Laïcité (CVDL). Conférence-Débat d’Anne Zelensky : Féminisme et Laïcité, des enjeux essentiels pour la présidentielle.
Le Minotaure, 8 rue César de Vendôme, 41 – Vendôme