Francaisdefrance's Blog

14/09/2010

Au théâtre ce soir: Le Parlement français a voté l’interdiction du voile intégral…

Mais que nos « amis » musulmans et intégristes se rassurent: ce n’est qu’une loi de « diversion, sans effets notoires, simplement destinée à faire oublier les sombres affaires qui secouent la République Française… En revanche, on pourrait, nous les sous-chiens, nous voir interdire de déguisements lors du Carnaval… On en reparle après le délai de « pédagogie » ? Ce genre de décision officielle a le don de me foutre en rogne; et je ne dois pas être le seul… C’est du « foutage de gueule » en bonne et due forme. On a beau être habitués, là, ça monte encore d’un cran…

Dingue…

FDF

.

Le Parlement français a définitivement adopté mardi, par un vote du Sénat, le projet de loi interdisant le port du voile islamique intégral dans l’espace public. Cette interdiction ne doit entrer en vigueur qu’au printemps 2011.

La promulgation de la loi est encore soumise à un recours devant le Conseil constitutionnel, qui devrait se prononcer d’ici à un mois. Le Sénat a approuvé par 246 voix contre une le texte.

La France, où le voile intégral est porté par quelque 1900 femmes selon les estimations officielles, est ainsi le premier pays européen à procéder à cette interdiction généralisée. Une mesure similaire est en cours d’adoption en Belgique.

« Vivre la République à visage découvert, c’est une question de dignité et d’égalité. C’est une question de respect de nos principes républicains », a déclaré la ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie.

Le texte ne vise pas expressément le voile intégral, mais « la dissimulation du visage dans l’espace public ». Ce qui comprend les rues, mais aussi « les lieux ouverts au public » (commerces, transports, parcs, cafés…) ou « affectés à un service public » (mairies, écoles, hôpitaux…).

Niqab et burqa interdits

Le texte interdira de fait le port du niqab (qui ne laisse voir que les yeux) ou de la burqa (qui masque l’ensemble du corps), sous peine d’une amende de 150 euros et/ou d’un stage de citoyenneté.

L’interdiction n’entrera en vigueur qu’au printemps 2011 après six mois de « pédagogie », et la verbalisation ne sera pas systématique. Toute personne obligeant une femme à se voiler sera passible d’un an de prison et de 30’000 euros d’amende, selon un nouveau délit effectif sitôt la loi promulguée.

Le Conseil d’Etat, plus haute juridiction administrative, avait émis des réserves sur une interdiction généralisée du voile intégral, recommandant de la limiter à certains lieux publics.

Source: http://tinyurl.com/3ytc3xu


Oh les vilains! Un groupuscule chrétien a déchiré quelques pages d’un exemplaire du coran, samedi devant la Maison Blanche!

C’est incroyable, tout ce courage déployé! Oser commettre cet acte criminel aux yeux de l’humanité entière? Heureusement que la police a pris les noms des membres de ce groupe ultraconservateur. Ce ne serait pas des néo-nazis, par hasard? Vous savez, ceux qui taguent les mosquées… Je suis sûr qu’ils ont déjà demandé pardon.

Les terroristes pris sur le fait…

.

Non, j’rigole… Si seulement le pasteur Terry Jones ne s’était pas dégonflé; ou plutôt, si « on » ne l’avait pas quelque peu……. intimidé…

FDF

.

11-Septembre: pas de Coran brûlé, mais des pages déchirées

Un groupuscule chrétien a déchiré quelques pages d’un exemplaire du Coran samedi devant la Maison Blanche, pour dénoncer selon eux le « mensonge » de l’islam, en pleines célébrations du neuvième anniversaire du 11-Septembre.

« L’une des raisons pour lesquelles nous faisons cela: le mensonge selon lequel l’islam est une religion pacifique doit cesser », a affirmé aux journalistes Randall Terry, membre de ce groupe de six personnes proche de la mouvance ultra-conservatrice du « Tea Party ».

Auparavant, un autre militant, Andrew Beacham, avait lu une dizaine de passages du Coran assimilés à des appels à la haine contre les chrétiens et les juifs, déchirant ensuite les pages d’un exemplaire de poche en anglais du livre sacré des musulmans, a constaté un journaliste de l’AFP.

En dehors d’une vingtaine de journalistes, l’opération n’a attiré qu’une poignée de touristes. La police se tenait à quelques mètres, a pris les noms des participants mais n’est pas intervenue.

Cette manifestation s’est produite le jour du neuvième anniversaire du 11-Septembre et alors qu’un pasteur extrémiste de Floride (sud-est) a renoncé à mettre à exécution sa menace de brûler des exemplaires du Coran.

Le président Barack Obama s’était dit inquiet de voir d’autres personnes commettre des actes similaires et a prévenu qu’ils mettraient en danger la vie d’Américains.

Samedi matin M. Obama a assuré que « en tant qu’Américains, nous ne sommes pas et ne serons jamais en guerre contre l’islam. Ce n’est pas une religion qui nous a attaqués en ce jour de septembre. C’était Al-Qaïda. Un groupe pitoyable d’hommes qui pervertissent la religion ».

source : liberation.fr

Affaire du pasteur Terry Jones: rien de mieux que la menace d’une bombe pour se faire respecter…

Billet repris à Richard Martineau (Franc-parler)… Chapeau bas…

FDF

.

11 Septembre 2010


Pauvres chrétiens!

C’est aujourd’hui (11 septembre) que Terry Jones (pas le membre des Monthy Python — l’autre comique, le pasteur fêlé de Floride) devrait — ou non — brûler des exemplaires du Coran pour protester contre la construction d’une mosquée à côté de Ground Zero.

Qui a dit que l’Occident n’acceptait pas la diversité ?

Le sosie du Capitaine Higliner n’avait même pas encore acheté ses allumettes que déjà, la communauté internationale le pointait du doigt.

Barack Obama, le général des forces armées de l’ONU, le pape, Stephen Harper — tout le monde s’est empressé de dénoncer son geste.

Ne manquait plus que Stéphane de Normétal.

DES ENFANTS CRUCIFIÉS

Pendant ce temps, les chrétiens vivant en Arabie saoudite ne peuvent pratiquer publiquement leur religion sous peine d’emprisonnement.

Les chrétiens sont persécutés en Corée du Nord, en Iran, en Somalie, en Inde, en Irak, en Afghanistan, au Nigéria.

En 2004, un prêtre catholique a été assassiné en Inde par des extrémistes hindous qui l’accusaient de prosélytisme. Le pays de Gandhi n’est pas tendre envers les chrétiens. On y a agressé des pèlerins, saccagé des couvents, incendies des églises, forcé des catholiques à se convertir à l’hindouïsme…

En Irak, il y a deux ans, des militants musulmans ont crucifié des enfants catholiques pour terroriser leurs parents et les inciter à fuir le pays.

Certains, âgés d’à peine 10 ans, ont été enlevés et tués, puis cloués sur des croix de fortune près de chez eux pour terrifier et tourmenter leurs parents.

Un enfant a été décapité, brûlé et laissé sur le pas de la porte de sa mère, juste parce que ses parents étaient chrétiens.

TENDRE L’AUTRE JOUE

C’est pire que de brûler des livres, ça !

Or, qui parle pour les Chrétiens persécutés ? Qui prend leur défense ?

Il faut dire que les chrétiens ne sont pas intimidants.

Ils ne se font pas sauter dans des marchés publics quand on se moque de leur dieu. Ils ne menacent pas le monde entier de représailles dès qu’un caricaturiste ridiculise leur prophète.

Ils n’égorgent pas des enfants, ne promettent pas de mettre le feu à des hôtels, ne dansent pas dans les rues en chantant à tue-tête quand des innocents se jettent du haut d’un gratte-ciel de 110 étages pour échapper aux flammes…

Les chrétiens se contentent de présenter l’autre joue…

C’est ça, leur faiblesse.

S’ils prenaient les nerfs et faisaient couler le sang dès que quelqu’un les attaque, Barak Obama et ses copains les défendraient peut-être avec autant d’empressement qu’ils ont défendu les musulmans cette semaine…

UN PARALLÈLE BOÎTEUX

Je sais ce que certains vont me dire : ce n’est pas vrai que les chrétiens ne sont pas menaçants, certains ont tué des médecins qui pratiquaient des avortements…

Comment peut-on faire ce parallèle ? Ces assassinats étaient des gestes isolés commis par des crack-pots. Pas des persécutions systématiques commises — ou cautionnées — par des États !

Vous en voyez beaucoup, vous, des chrétiens qui dansent dans les rues quand un médecin avorteur se fait tirer dans son salon ?

RESPECT

Si l’Occident a fait pression sur le pasteur Jones, cette semaine, c’est parce que l’Occident avait peur des représailles.


Conclusion : le terrorisme fonctionne.

Rien de mieux que la menace d’une bombe pour se faire respecter…

Dans les coulisses de SOS Racisme…

On m’a remémoré cette affaire. Ce n’est pas un scoop, mais sur le fond, le fonctionnement de cette association « anti-blancs » est toujours le même. A noter que les subventions qui lui sont attribuées sont alimentées avec l’agent du contribuable français, du « sous-chien », quoi… Le lien-source est à visiter…

FDF

Quand SOS racisme en fait trop
Le 16 Mai 1999 à Vauvert, après plusieurs nuits d’émeutes et de terreur dans la cité des bosquets, ponctuées de plusieurs incendies de voitures, un homme craque. Il voit un jeune s’approcher de sa voiture. Il croit que ça va être le tour de la sienne de partir en fumée. Il tire. Ce n’était pas son intention mais il tue le jeune homme. Il vient de faire une très grosse connerie.Le meurtrier, Joël Elie, est blanc. Sa victime, Mounir Oubajja, est maghrébine. Monsieur Elie n’a pas seulement fait une grosse connerie ; pour lui, l’enfer commence car une des plus puissantes organisations « antiracistes » a décidé de lui faire sa fête. Des militants d’ SOS Racisme ont en effet décrété que le meurtre de Vauvert est un crime raciste. Pour prouver sa thèse, SOS racisme qui, dans cette affaire semble avoir plus a cœur de casser du blanc que de faire la vérité, va faire pression sur les témoins pour les amener à faire de fausses déclarations.

Bien sur, il est déjà arrivé à Joel Elie de se faire traiter de  » Face de craie «  par un arabe mais ce n’est certainement pas le racisme antiblanc qui intéresse les militants de L’association. Joël Elie est blanc ? Emballé, c’est pesé, il est raciste. Pour la suite de l’histoire, je cite libé : Si eux ne se sont pas fait poursuivre en diffamation pour avoir publié ce qui suit, je ne devrais pas avoir grand chose à craindre :

« … [Deux jours avant la mort de Mounir Oubajja, un commerçant a lui aussi craqué et il a tiré et blessé 5 jeunes maghrébins. il faut dire que depuis des semaines, voilà le climat qui régnait à Vauvert : ] La nuit, des émeutes éclataient sporadiquement. Les voitures étaient brûlées. Les gendarmes et la police municipale débordés. Ce dimanche 16 Mai à 4 heures du matin, la mort de Mounir Oubajja, arabe, jeune habitant de la cité HLM et tué par un blanc, venait en point d’orgue, comme une ultime provocation. [notez bien que dans l’article de Libé, les habitants de Vauvert sont présentés comme les provocateurs de la violence des racailles, on peut quand même pas donner tort aux racailles des cités] Si le crime était raciste, il serait plus tragique encore. Et l’histoire plus édifiante sur les sales mœurs de Vauvert.

Bredouillement.. Leila Ben Saïd s’approche la première. Elle habite juste à côté. Elle a entendu le coup de feu, est sortie de chez elle. A la barre, elle maintient. Oui elle a entendu le tireur et la victime echanger des  » injures « . Elle est formelle, Elle insiste :  » Ce que j’ai écris, c’est la vérité.  » Pressée de questions par l’avocat Général –qui ne croit pas une seconde à la véracité des attestations recueillies par SOS Racisme-, elle bredouille, dit qu’elle a  » paniqué « , qu’elle s’est embrouillée.  » Vous vous êtes laissé impressionner !  » achève l’avocat général. Et leila, piteuse :  » excusez moi  » La jeune femme n’arrive à se souvenir d’aucune  » injure  » précise, d’aucun mot échangé entre le tueur et sa victime. Alors l’avocat de la défense se lève, commence à faire lecture d’une déposition de Leila, qui a été entendue par des enquéteurs après avoir rédigée son attestation:   » Deux ou trois jours après la mort de Mounir Oubajja, une réunion s’est tenue, chez les Oubajja, il y avait un homme venu de Paris, prénommé Samuel, qui nous demandait de faire des arrestations…  » D’un bond, Francis Terquem se lève du banc des parties civiles, interrompt son confrère. Il veut se défendre, donner sa version, que la cour puisse interroger Samuel Thomas, présent dans la salle d’audience. Le président ne lui laisse pas la parole. Et n’entendra pas le vice président de l’association.

Mohamed Belaiche, deuxième témoin, deuxième attestation. Il a vingt ans. Le président attaque :  » Vous avez écrit  » Nous surprîmes le tireur en train de faire des injures racistes.  » Le jeune homme répond :  » J’avais écris cette lettre suite à la colère. J’ai jamais entendu de tels propos de la part de Monsieur Elie.  » Francis Turquem se lève à nouveau  » Est ce qu’on vous a dicté les mots ?  » Il jure que non : «  j’ai rédigé cette attestation de plein gré. Dans l’appartement, j’avais entendu :  » Ecrivez avec vos propres mots . » Quand l’avocat de la défense lui relit la déposition ultérieure qu’il a livrée aux gendarmes, où il disait  » J’ai été abusé par un représentant de l’association « , Mohamed Bellaiche est perplexe :  » Qu’est ce que ça veut dire, abusé ? « …

…Suite et source: http://tinyurl.com/3aczlgu

Circulaire visant les Roms: le coup d’épée dans l’eau de Hortefeux…

La honte ne tue pas, fort heureusement pour Brice Hortefeux qui pensait échapper au fonctionnement de l’UE en modifiant purement et simplement sa fameuse circulaire objet du scandale. De toutes façons, il a l’exemple qui vient d’en haut avec Sarkö qui pensait (et pense toujours) modifier la Constitution française pour l’adapter à ses caprices…

Mais revenons à Bruxelles. On l’avait crié haut et fort:


On ne viole pas impunément le Droit Européen…

FDF

.

La Commission européenne a annoncé mardi son intention de déclencher une procédure d’infraction en justice contre la France pour violation du droit européen dans l’affaire des renvois controversés de Roms bulgares et roumains chez eux.

« Ça suffit ! », a déclaré à l’adresse de la France lors d’une conférence de presse la commissaire à la Justice et aux Droits des citoyens, Viviane Reding, estimant que l’attitude du gouvernement français, qui a dissimulé l’existence d’une circulaire ciblant expressément les Roms pour les expulsions, « est une honte ». La décision, lundi, de Brice Hortefeux de réécrire une circulaire pour « lever tout malentendu » n’aura donc pas suffi.

Elle a annoncé son intention de demander l’ouverture d’une procédure d’infraction à la législation de l’Union européenne contre Paris, pour transposition insuffisante d’une directive européenne sur la libre circulation de citoyens européens, et « application discriminatoire » de ce texte.

Paris « étonné »…

« J’ai l’intention de proposer (cette initiative) au président de la Commission », a-t-elle précisé, indiquant qu’une décision devrait être prise « dans un délai de deux semaines ». Cette procédure sera lancée devant la Cour européenne de justice de Luxembourg.

Paris a réagi peu après cette annonce. « Nous avons appris avec étonnement les déclarations de Mme Viviane Reding. Nous ne pensons pas que c’est avec ce type de déclaration que nous pourrons améliorer le sort et la situation des Roms qui sont au coeur de nos préoccupations et de notre action », a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Bernard Valero, poursuivant : « L’heure n’est pas à la polémique, n’est pas aux déclarations de ce type. L’heure est au travail en faveur de la population rom.

Interrogé lundi par Le Point.fr, Me Sergio Sorinas, spécialiste de droit européen, associé au cabinet Herbert Smith, estimait que la circulaire « soulevait, en effet, des questions quant à sa validité, aussi bien au regard du droit français que du droit européen ». « Le principe de non-discrimination est aujourd’hui au coeur des règles européennes », rappelait l’avocat. Insistant : « On doit traiter tous les citoyens de manière égale, quelle que soit leur nationalité. »

Source: http://tinyurl.com/29369sl

Tous devant l’ambassade d’Iran dimanche 19 septembre à 15h00 !

Tous devant l’ambassade d’Iran

pour protester avec

« Résistance Républicaine »

Dimanche 19 septembre à 15 h.


La réponse de Christine TASIN, présidente de Résistance Républicaine aux rappeurs islamistes, aux anti-laïcistes qui l’ont menacé de mort

Les lâches, qui lâchent les chiens contre des femmes qui se battent, avec des mots, pour la laïcité, ne nous feront pas plier. Ils ne font que renforcer notre détermination.

En effet, nous avons tiré des conséquences des agressions scandaleuses des gauchistes à Toulouse et Strasbourg, de celles des islamistes à Toulon et des campagnes de calomnie et de menaces de mort contre moi.

Ils font dans leur froc.  NOUS leur faisons peur. Parce que notre combat, légitime, est celui du Français moyen qui  veut préserver ses lois et ses valeurs face à la barbarie et à une  offensive religieuse sans précédent dans la sphère publique.  Parce qu’ils savent que la majorité des Français de ce pays sont avec nous, pensent comme nous et ne se laisseront plus faire.

Alors ils essaient l’intimidation, ils essaient la diabolisation. Même les medias s’y mettent, surfant entre l’omertà et la diffamation.

Eh bien nous leur rions au nez. Ils ne nous arrêteront pas.

Voici  notre réponse, en guise de riposte.

D’abord, nous invitons tous ceux qui tiennent à la liberté d’expression à se rassembler dimanche 19 septembre, à 15heures, devant l’ambassade d’Iran.

http://christinetasin.over-blog.fr/article-tous-devant-l-ambassade-d-iran-dimanche-19-septembre-a-15-heures-56986290.html

Venez nombreux et, si vous êtes en province, faites passer le message à vos contacts, sur vos murs facebook, sur les forums, les blogs…

Ensuite nous invitons tous les responsables de Résistance républicaine et tous ceux qui le souhaitent  à organiser dans les semaines à venir dans leur ville, département ou région un banquet républicain, pour que tous ceux qui partagent nos valeurs se rencontrent et, en venant accompagné d’un ami ou d’un voisin,  nous fassent connaître autour d’eux. Un conférencier de Riposte laïque  ou de Résistance républicaine pourra, à leur demande, venir faire une conférence et/ou animer le banquet.

Enfin, nous sommes en train d’organiser pour décembre un meeting international sur la défense de la laïcité en France et en Europe : nous allons faire le point sur les différentes résistances européennes à l’islamisation qui se mettent en place, il est urgent de nous fédérer.

De ce fait, nous allons sans doute repousser à plus tard l’assemblée générale de RR que nous vous avions annoncée, afin de ne pas surcharger les provinciaux en déplacements coûteux chaque mois, nous préférons qu’ils puissent venir en décembre à ce meeting ; nous ferons sans doute notre grande journée associative en juin dans le Gers, dans le cadre d’un beau château qui nous permettra de beaux et bons moments très conviviaux préparés par, je l’espère de nombreuses rencontres locales et régionales.

La Résistance ne fait que commencer. Tremblez, collabos, taliban et autres ayatollahs du politiquement correct.

Enfin une bonne nouvelle: il y a du gras de porc dans les médicaments et les cosmétiques !!!

Alors là,  je me régale !   Je  me  gausse !     J’ imagine la tronche que certains vont tirer en prenant connaissance de ce  qui  suit ! Et des médicaments halal, ça ne verra jamais le jour, certain…

FDF

.

La bonne nouvelle, la voilà : Une arme redoutable pour se débarrasser de la racaille qui nous envahit, qui veut nous niquer, nous descendre et j’en passe….

Il faut absolument qu’ils sachent que depuis toujours (reconnu par les pharmaciens) dans presque tous les médicaments, gélules, crèmes, cosmétiques, rouges à lèvres, suppositoires, il y a du GRAS DE PORC !!! Alors, maintenant,   GRAND   MALHEUR   !!!!!    Ils ne pourront plus se soigner, ni se maquiller, ni se traiter,ni embrasser nos femmes A   CAUSE  DE   leur religion!

Prescrivez abondamment cette ordonnance sur internet et ailleurs, il faut que tous et toutes le sachent.


Vive la médecine moderne !!!!!!

Merci à Huguette pour l’info…

Quand un musulman décalque ses co-religieux et l’islam « agréé Sarkozy »…

Merci à Jean qui m’a remis en mémoire ce reportage fort intéressant…

FDF

.

Vidéo:      http://www.youtube.com/watch?v=-rOpsl5CbZM&feature=player_embedded

Ambassade des Etats Unis à Londres, le 11 septembre 2010… Vidéo.

« Religion » d’amour, de paix et de tolérance… Voici comment les musulmans de Londres ont « célébré » le 11 septembre…

FDF

.

Lire: http://www.youtube.com/watch?v=tFi42I817Qs

On protège la racaille au nom du dogme anti-raciste…

Et ça, ça ne passe pas… Tout le monde sait que le plus raciste des racistes est « issu de l’immigration »…

FDF

.

14 septembre 2010


Prime à la racaille et pourriture des nouveaux inquisiteurs

La racaille de Grenoble et d’ailleurs a de quoi pavoiser. Une fois de plus un juge rouge a montré quel parti pris systématiquement favorable est adopté par ceux qui veulent protéger la racaille au nom du dogme antiraciste. Car c’est bien de cela qu’il s’agit.
Monsif Ghabbour a été interpellé le 31 août, les services de police l’ayant identifié comme le complice de Karim Boudouda, tous deux ayant braqué le casino d’Uriage dans la nuit du 15 au 16 juillet avant de tirer à vue, avec des armes de guerre, sur les policiers qui les poursuivaient. Présenté au juge d’instruction, il a été mis en examen pour « vol à main armée » et « tentative d’homicides volontaires ». Le parquet a donc, logiquement, demandé son placement en détention provisoire. Or le juge des libertés et de la détention (JLD) a décidé de le remettre en liberté, sous contrôle judiciaire (ce qui veut dire, en clair, qu’il peut prendre la poudre d’escampette et s’évanouir dans la nature quand il veut). L’avocat de la racaille, maître Denis Dreyfus ( !), est ravi et proclame bien sûr l’innocence de l’intéressant personnage. Un magistrat grenoblois, sous couvert d’anonymat, a lâché le morceau : « Il donne un alibi conforté par plusieurs types, mais qui se contredisent entre eux ». Schéma classique : la solidarité ethnique joue à plein et un alibi bidon a été échafaudé pour permettre à cette « chance pour la France » de se présenter comme la victime des méchants policiers. Lesquels ont quelques raisons d’avoir les boules quand certains de leurs collègues ont été obligés de quitter la région grenobloise pour échapper à la vengeance des congénères de Boudouda et de Ghabbour.
Trop c’est trop. En apprenant que Ghabbour avait été relâché, les syndicats policiers se sont lâchés. Synergie (second syndicat d’officiers de police) a parlé de d’ « acte de forfaiture » et posé une question dont tout le monde connaît la réponse : « Vivons-nous encore dans un Etat de droit ? ». Nicolas Comte, secrétaire général d’Unité police SGP-FO (premier syndicat des gardiens de la paix ) dit le « ras-le-bol » de ses collègues et s’interroge : les policiers « doivent-ils encore prendre des risques pour interpeller les truands ? ». Quant à Frédéric Lagache, secrétaire général adjoint d’Alliance (second syndicat des gardiens de la paix), il déclare : « C’est inadmissible, intolérable et scandaleux ». Même le procureur général de Grenoble (fonction où la discrétion est en général la règle) juge la remise en liberté de Ghabbour « absolument inacceptable compte tenu des charges très graves qui pèsent ». Affaire à suivre car elle est révélatrice du fait que des pans entiers de la « justice » sont contrôlés par les collabos de la racaille.
Mais du côté des inquisiteurs chargés de faire régner le politiquement correct, c’est pas mal non plus. Il se passe de drôles de choses à la Halde (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité), un bidule typique du sarkozysme. La Cour des comptes a levé en effet quelques beaux lièvres. La gestion de la Halde est un foutoir (volontaire ?) qui, selon la Cour, pourrait déboucher sur « un risque de redressement judiciaire en cas de contrôle par les services de la Commission européenne ». Ce qui pourrait faire tache dans le paysage …
Suite et source: http://tinyurl.com/375gp6g

Criminalité en Suisse: les statistiques et la réalité…

Intéressant…

FDF

.

Premières statistiques sur la criminalité en Suisse selon la nationalité: «C’est n’importe quoi!» s’indigne Olivier Guéniat, chef de la police judiciaire neuchâteloise.

Les Angolais, les Nigérians et les Algériens ont commis environ six fois plus de délits relevant du Code pénal en 2009 que les Suisses, qui eux-mêmes sont deux fois plus criminels que les Allemands résidant dans le pays: c’est sûr, les chiffres recueillis pour la première fois par l’Office fédéral de la statistique, pour une enquête commandée par la SonntagsZeitung, interpellent.

Si le classement basé sur ceux qui commettent le plus de délits, les hommes de 18 à 34 ans, montre que les premières places sont principalement occupées par des ressortissants d’Afrique noire, il démontre toutefois que les étrangers en général ne sont pas plus criminels que les indigènes: 1,6 fois plus de délits que les Suisses.

«Ces chiffres ne dévoilent pas une vérité absolue. Statistiquement, avec les pieds dans le frigo et la tête dans le four, on est à bonne température! Il faut prendre du recul avec les statistiques, explique Yvan Perrin, inspecteur de police neuchâtelois et vice-président de l’UDC. Si on avait trois Angolais en Suisse et que l’un d’eux commette un crime, on ne pourrait pas dire que 33% des Angolais sont des criminels! Les chiffres publiés nous permettent juste de voir où ça cloche et de mener une réflexion pour une meilleure intégration, notamment en ciblant sur l’apprentissage de la langue.» Pour lui, pas de surprise: «Les Dominicains, qui arrivent cinquièmes, sont surtout arrêtés pour trafic de drogue, tout comme les Nigérians. Quant aux Tamouls, il s’agit surtout de criminalité interne à la communauté.» On peut toutefois s’étonner de l’absence des pays de l’Est. «Depuis 18 mois, de nombreux cambriolages sont commis par des Géorgiens et des Roumains», souligne Yvan Perrin.

Pour Manon Schick, porte-parole d’Amnesty International Suisse, «il serait important de savoir si le délit de séjour illégal est compté dans les statistiques. Il est évident que, si une personne est condamnée dix fois pour séjour illégal, cela fait monter les statistiques de la criminalité étrangère.»

Distinction des crimes
Et justement, sur le fond, peut-on comparer les personnes proportionnellement au nombre de ressortissants? A ce jeu-là, les Portugais, condamnés à 903 reprises en 2009, ne seraient que 2613 à avoir eu affaire à la justice si l’on comptait sur 100 000 ressortissants. Alors que les 4362 Angolais de Suisse, responsables de 37 crimes, seraient d’après cette méthodologie 12 416 criminels s’ils étaient 100 000 dans le pays! «C’est n’importe quoi!» s’indigne Olivier Guéniat, chef de la police judiciaire neuchâteloise et criminologue de renom. Pour lui, la démarche est fausse et anecdotique: «On parle de 37 Angolais condamnés pour les qualifier de population la plus criminelle de Suisse! Sur les 630 000 délits annuels! Et on mélange des crimes de gravité différente, trafic de drogue, vol, meurtre ou viol. Si on ne considérait que la pédophilie par exemple, le classement serait bien différent.»

Pour Olivier Guéniat, la nationalité n’a aucune incidence sur le passage à l’acte. «La criminalité se définit grâce à des variables connues en criminologie et réparties en quatre groupes: le back-ground, comme le sexe, la génération d’immigrants, la classe sociale, l’âge. Puis le contexte familial et les événements traumatisants. Ensuite, le contexte scolaire et socioprofessionnel. C’est le plus important: l’individu doit pouvoir se projeter dans l’avenir.» La dernière variable est l’environnement avec l’attachement au quartier. «La réunion de ces variables conduit à 80% au crime. Ces statistiques ne tiennent pas compte des degrés d’immigration. L’intégration d’une population prend 15 à 20 ans. Les Africains sont les derniers arrivés. Regardez comme les Italiens ou Espagnols sont sous-représentés. Parce qu’ils sont totalement intégrés.» Pas question d’attendre si longtemps pour Yvan Perrin: «En investissant de manière ciblée grâce aux chiffres désormais disponibles, nous pouvons accélérer le processus d’intégration et donc réduire la criminalité.»

Source: http://tinyurl.com/27zax72

Le crépuscule des sots…

A méditer…

FDF

.

LE CREPUSCULE DES SOTS ? , G.W. Goldnadel

Je ne peux m’y résoudre, en tant que Juif, car sans avoir pratiqué publiquement avec ferveur le culte de la Shoah, je n’admets pas qu’on galvaude ainsi la vérité historique. Je le peux d’autant moins, que les mêmes qui aujourd’hui ressuscitent Hitler et Himmler sont restés bien placides l’an passé quand des foules bigarrées défilaient dans Paris aux cris de «Mort à Israël ! » quand ce n’était pas « Mort aux juifs ! » Je ne m’y résous pas non plus, en tant que Français, car je n’accepte pas que l’on compare mon pays et son peuple, qui ont su se faire si accueillants, à l’Etat du Mal absolu. A qui va-t-on faire croire, s’agissant du projet de déchéance de la nationalité, que jusqu’en 1998, la France était un pays totalitaire et raciste qui foulait au pied la Constitution ? A qui va t’on faire croire que ceux des Français qui n’ont pas une conception extatique de l’immigration, qui ne considèrent pas forcément qu’elle est « une chance pour la France » en matière de sécurité et que le métissage obligatoire est l’avenir de l’humanité, sont de redoutables xénophobes ? (Le Figaro) Imprimer Envoyer à un ami

[D’après l’article paru dans Le Figaro du 13/9/2010, reproduit avec l’aimable autorisation de l’auteur]

Il y avait longtemps que le débat récurrent autour de l’immigration n’avait sécrété un tel comportement névrotique de la part du monde médiatique et politique.

Avant le commentaire, travelling sur cet été de tous les fantasmes :

La ville de Grenoble a connu des troubles très graves consécutifs à la mort d’un braqueur récidiviste d’origine maghrébine, tué par des policiers dans l’exercice de leurs fonctions.

Des émeutes s’en sont suivies au cours desquelles, il a été tiré à balles réelles sur les fonctionnaires.

A la suite de quoi, les policiers grenoblois impliqués ont fait l’objet de menaces de mort nominative et ont été contraints de quitter la ville.

C’est dans ces conditions assez particulières, que le Président de la République annonçait des mesures pour lutter contre une insécurité qu’il n’hésitait pas à lier aux conséquences de l’échec de l’intégration de nombre d’immigrés.

Il envisageait notamment de revenir à une loi, amendée en 1998, qui permettait, sous certaines conditions, de déchoir certains délinquants naturalisés de la citoyenneté française. Il évoquait également les problèmes posés par certains « gens du voyage ».

Alors que l’opposition pouvait parfaitement s’interroger sur l’opportunisme politicien d’un Nicolas Sarkozy dans le creux de la vague face à un Parti Socialiste et un Front National revigorés, la gauche, notamment par les voix de Michel Rocard et d’Arnaud Montebourg, nullement désavoués depuis, brandissait à nouveau le spectre de Vichy et les brandons du nazisme…

Mais il était nullement question qu’une partie de la droite ne participe à ce nouvel happening révisionniste par la banalisation de la Grande Catastrophe. Alors que la police parisienne expulsait le 15 aout un campement illégal de Roms et que les fonctionnaires notifiaient aux seuls hommes un rappel à la loi, le député villepiniste Jean-Pierre Grand s’éleva contre une « sélection » de triste mémoire, qui rappelait, selon ce dernier « les rafles pendant la guerre ».

Le Monde, ne pouvant plus demeurer passivement complice, dans un éditorial du 18 août, titrait sans rire « Amour de soi, Haine de l’autre » et reprochait au Président de permettre un « appel d’air » au racisme, notamment contre les musulmans.

Le même journal de publier dans la foulée la lettre ouverte d’un professeur lyonnais racontant les affres de sa famille juive pendant l’occupation et comment l’Etat français avait déchu de leur nationalité les meilleurs de ses enfants.

Dans de nombreux reportages, on présenta comme autant d’ « expulsions », le retour volontaire et contre argent de Roms en Roumanie, la plupart précisant qu’ils retourneraient en France, comme la loi européenne les y autorise désormais.

Le 26 août, France 2 diffusait un reportage sur des gitans camarguais, solidaires des Roms, venus dire, devant un mémorial rappelant leur déportation par les nazis, que l’insupportable passé était de retour. Pour faire bonne mesure, la chaine publique diffusait en prime des images shoatiques montrant des enfants tziganes dans les camps de la mort.

Peu après, un prêtre inspiré implora le ciel et la télévision pour que le souverain français sans cœur succombe, ainsi qu’aux temps ardents de la Sainte Ligue. Silence dans les rangs des gardiens de l’ordre moral.

Un autre ecclésiastique, se tenant pour Mgr Saliege sous l’occupation, lut courageusement l’homélie que le Juste avait prononcée en faveur de ceux promis à la déportation.

Quant à Alain Minc, venu défendre le chef de l’Etat contre les menées du Saint-Siège, il ne trouva pas d’arguments plus pertinents que de reprocher à son chef ses origines allemandes…

Peux-je dire, calmement, que je ne puis me résoudre, à nouveau, à un tel comportement irresponsable et indécent ?

Je ne peux m’y résoudre, en tant que Juif, car sans avoir pratiqué publiquement avec ferveur le culte de la Shoah, je n’admets pas qu’on galvaude ainsi la vérité historique. Je le peux d’autant moins, que les mêmes qui aujourd’hui ressuscitent Hitler et Himmler sont restés bien placides l’an passé quand des foules bigarrées défilaient dans Paris aux cris de «Mort à Israël ! » quand ce n’était pas « Mort aux juifs ! »

Je ne m’y résous pas non plus, en tant que Français, car je n’accepte pas que l’on compare mon pays et son peuple, qui ont su se faire si accueillants, à l’Etat du Mal absolu.

A qui va-t-on faire croire, s’agissant du projet de déchéance de la nationalité, que jusqu’en 1998, la France était un pays totalitaire et raciste qui foulait au pied la Constitution ?

A qui va t’on faire croire que ceux des Français qui n’ont pas une conception extatique de l’immigration, qui ne considèrent pas forcément qu’elle est « une chance pour la France » en matière de sécurité et que le métissage obligatoire est l’avenir de l’humanité, sont de redoutables xénophobes ?

A quel jobard peut-on faire gober que des gens du voyage ne peuvent poser problème et que les responsables européens se sont montrés avisés lorsqu’ils ont négocié avec la Roumanie son entrée dans la communauté sans que ne soit améliorée chez elle la condition des Roms ?

Et si tout simplement, dans un débat contemporain et rationnel, libre et éclairé, la seule question politique digne d’être posée – sereinement – et non le couteau antiraciste sous la gorge – n’aurait-elle pas du être celle d’un éventuel anachronisme ?

On pouvait parfaitement, sans être accusé de haute trahison ou de folie suicidaire, soutenir qu’à présent, la conception traditionnelle, étroite à tous égards, d’un Etat-nation  ethnoculturel, remparé dans des frontières illusoires, est doublement et inexorablement dépassée. En raison du nouvel espace politique européen créé au lendemain d’une horrible guerre fratricide, comme en raison de l’irrésistible mondialisation accélérée des échanges humains et culturels. Cette thèse est défendable.

Mais on pouvait également plaider, sans être disqualifié pour cause de racisme et de xénophobie, que la richesse humaine est faite de la diversité identitaire de ses peuples et de ses cultures. Que ceux-ci sont enracinés naturellement par leur histoire commune dans une même géographie, que l’Europe politique demeure une construction artificielle et désincarnée, qu’enfin la principale leçon du dernier cataclysme historique, est qu’un Etat-nation reste le meilleur rempart démocratique contre la barbarie du fanatisme ou de l’expansionnisme jamais vaincus.

Cette thèse n’a toujours rien d’obsolète et mérite également le respect.

Mais ce débat existentiel si légitime, si impérieusement indispensable, est demeuré strictement interdit, et les thèses en présence délibérément dénaturées.

Les partisans d’un nouveau modèle étatique post- national n’ont pas osé aller, pour la plupart, jusqu’au bout de leur logique, conscients de ce que la majorité des citoyens continuent de tenir charnellement au modèle historique traditionnel qu’ils nomment, simplement, leur pays.

L’ouverture de fait des frontières à la libre circulation des hommes signifie, à terme, leur inévitable obsolescence.

Prétendre qu’il faudrait continuer, dans le cadre de la souveraineté légale nationale, à réguler les flux migratoires tout en privant l’autorité de poursuite de toute légitimité républicaine en considérant toute mesure de contrainte nécessaire comme ignoblement inhumaine conduit à une hypocrite et schizophrénique impasse.

De leur coté, les partisans de l’Etat-nation ont vu leurs positions d’autant plus systématiquement caricaturées que les termes du débat n’étaient pas franchement posés.

Instinctivement, ils ont vu dans le non-respect de la loi sur les flux migratoires un danger irréversible pour le modèle traditionnel basé non seulement sur un pacte tacite de vivre ensemble dans le respect de la légalité républicaine, mais encore sur une base démographique tempérée par une immigration régulée permettant une intégration progressive.

Au fur et à mesure de l’irrésistible transgression des lois successives en matière d’immigration auquel s’est ajoutée la décision historique sur le regroupement familial des étrangers, une grande majorité de Français a confusément considéré en péril son modèle patriotique traditionnel.

Cette angoisse, de nature existentielle, a été, de surcroît, avivée par l’aggravation des problèmes de sécurité liée à cette augmentation de cette immigration mal maitrisée.

A cette appréhension citoyenne naturelle, il faut redire ici que le système xénophile – qui gouverne souverainement les esprits formateurs et occupe donc le discours dominant – a répondu injurieusement par l’interdiction du libre débat qui s’imposait, ainsi que par un double déni.

Il convient en effet tout d’abord d’observer que cette réflexion nécessaire sur la libre ouverture des frontières nationales à la circulation sans contrainte des hommes, au prix de bouleverser l’équilibre démographique, n’a jamais été autorisée :

L’idéologie dominante a, d’abord, à un moment T, opposé à l’inquiétude populaire un haussement d’épaules agrémenté d’une fin de non-recevoir en expliquant qu’une telle peur relevait en fait d’un pur fantasme d’extrême droite dénué de tout fondement factuel. Le débat était donc aussi inutile que nocif et artificiel. Trop tôt.

Puis, à un moment T + 1, quand les bouleversements démographiques n’ont plus pu être niés, l’idéologie a décrété le débat comme forclos, puisque la France était devenue « une nation multiculturelle » Trop tard.

A quel moment précis, la France est-elle devenue, sans débat ni combat, cette nation postmoderne ? nul ne le saura évidemment jamais.

Le même refus de débat intellectuel et politique autour du problème de sécurité publique peut être constaté.

Ce qui est normal, puisque les deux questions sont liées.

A un moment T, la suggestion de la hausse de l’insécurité a été réduite à une pure question de « perception » : le sens commun populaire était trompé par l’exploitation cynique par l’extrême droite de la peur de l’étranger, expliquait doctement l’intelligentsia xénophile. L’insécurité était donc un fantasme de beauf lourdaud.

Au moment T+1 ou même l’idéologie la plus prégnante n’a plus été en mesure de nier la dure réalité, celle-ci s’est contentée de contester avec véhémence le lien entre les progrès enfin reconnus de la délinquance et l’immigration mal maitrisée donc mal intégrée.

Il semblerait aujourd’hui que l’idéologie, toujours plus modeste dans ses dénégations, se réduise à condamner la vanité d’une répression « sécuritaire » sans prévention pour endiguer le phénomène et sa cause ,enfin admise implicitement mais toujours interdite d’expression publique.

Encore faut-il préciser que pour interdire ce débat, pour retarder le constat inéluctable, l’idéologie dominante que j’ai appelé xénophile- et qui est du même métal que la xénophobie – a eu recours à son arme traditionnelle et favorite du terrorisme intellectuel. Qu’un penseur déviant ou un citoyen récalcitrant ne récite pas le catéchisme convenu et il déclenche immédiatement les mêmes concerts polyphoniques d’hilarité moqueuse, d’indignation outragée et de condamnations à la relégation qui ont réussi à retarder la découverte du goulag. Peu importe, évidemment, que les suspects n’aient pas assorti leurs réserves de la moindre remarque désobligeante envers les immigrés étrangers.

Que le pouvoir politique en place tente de maitriser légalement le phénomène migratoire, qu’il demande aux autorités compétentes d’en exécuter les termes, et immédiatement, l’idéologie xénophile, assurée du soutien d’artillerie médiatique nécessaire, pilonnera l’opinion publique jusqu’à, sinon la mystifier – la tache est impossible au regard du décalage entre le discours moralisateur et le réel – au moins la faire douter, l’intimider, lui imposer une conduite morale, un surmoi tétanisant, une abstention dans la manifestation verbale.

Quel unique ressort psychologique requis était hier encore assez puissant pour obtenir un tel résultat ?

Certainement pas seulement l’appel aux principes humanitaires, au devoir d’hospitalité, à la condamnation de l’égoïsme national qui peuvent, certes, être plaidés, mais sont aujourd’hui insuffisants au regard des excès précisément causés, non par les étrangers, mais par les effets pervers de la culture de l’excuse et de l’auto détestation.

Mais avant tout, le contexte culturel imaginaire basé sur les fantasmes d’un passé qui ne passe pas.

Qui a oublié le cortège d’artistes venus soutenir l’occupation par les sans-papiers d’une église parisienne et la comparaison de leur sort avec celui des déportés d’Auschwitz ?

Qui ne se souvient de cette manifestation d’histrions « aux noms imprononçables » venus célébrer le combat des immigrés clandestins en se rendant Gare de l’Est, une valise en carton à la main, histoire de bien signifier la continuité dramatique entre les situations, histoire aussi de faire comprendre que, cette fois, la courageuse résistance empêchera la réitération de leurs forfaits par les mêmes forces obscures.

Mais il semble bien qu’aujourd’hui, sous les coups de boutoir de la dure réalité, l’idéologie outrancière ait perdu une grande part de sa capacité d’intimidation et de mystification.

Pour peu que des responsables politiques, des intellectuels, sachent faire front en imposant enfin le libre débat sur l’immigration, interdit depuis vingt ans, sans céder aux facilités et à la démagogie, et quitte à en appeler au scrutin populaire, alors , peut-être, la France se délivrera-t-elle à temps des sortilèges maléfiques du passé.

Gilles- William GOLDNADEL. Président d’Avocats Sans Frontières.

dernière parution : « Conversations sur les sujets qui fâchent » (avec Alexandre Adler) ed. Jean-Claude Gawsewitch.

A paraître chez le même éditeur : «  Réflexions sur la question blanche »

vu sur http://www.upjf.org/actualitees-upjf/article-18875-145-7-crepuscule-sots-gw-goldnadel.html

Appel aux dons…

C’est urgent. Ne les laissons pas dans la panade. Donnez des sous, plein!

FDF

.

Ils sont jeunes, ils sont beaux, ils sont sympathiques… ils veulent juste vivre leur religion de paix et de tolérance, tranquillement avec  l’allocation parents isoléspour 4 femmes et les allocations familiales pour 12 enfants… Et les vilains français blancs racistes râlent….. et ne veulent pas travailler pour garantir un revenu décent à ce couple d’humanistes…Quelle honte….. !!! Aidons-les… !!!

VERSEZ VOS DONS A L’ASSOCIATION : RETOURAUBLEDVITEFAIT.Com

Loi sur le voile intégral: pas gagné d’avance; mais pas du tout…

C’est l’éléphant qui accouche d’une souris… Tout ce patacaisse pour un semblant de sursaut d’identité nationale qui a occupé l’esprit de plus d’un français ces derniers temps. C’était fait pour. A la veille de l’examen du projet de loi, il ne faut pas s’attendre à des miracles…

FDF

.

14/09/2010

La loi sur le voile intégral sera difficile à mettre en œuvre…

.

Le Sénat examine ce mardi 14 septembre le projet de loi interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public. S’il est voté dans la même version qu’à l’Assemblée, le texte sera, dans la foulée,définitivement adopté. Policiers et juristes s’interrogent déjà  sur son application


«Nul ne peut, dans l’espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage. » C’est sur le fondement de l’article premier de la loi que les forces de l’ordre devront, à l’avenir, verbaliser les femmes portant le voile intégral, si le Sénat entérine définitivement le texte qui lui est soumis.

Juristes et forces de l’ordre redoutent déjà que ce projet de loi ne se révèle très difficile à appliquer dans les différents lieux concernés que sont la rue, les cités, les magasins, les transports et les points d’entrée en France, comme les aéroports.

Dans la rue. Le voile sera ôté à l’abri des regards.

Comme pour n’importe quelle infraction commise sur la voie publique, les policiers verbaliseront immédiatement les femmes portant un voile intégral. En ce cas, la vérification d’identité risque d’attiser les tensions. Car si la contrevenante refuse de lever son voile, elle sera emmenée au poste. « On lui permettra de s’isoler dans une pièce à part, où elle montrera son visage à l’une de nos collègues femmes », précise Jean-Marc Bailleul, secrétaire général adjoint du Syndicat national des officiers de police (Snop). Et ce à l’instar des dispositifs à l’œuvre pour la fouille à corps.

Une fois le procès verbal établi, rien n’empêchera la contrevenante de repartir en niqab… « Dans les faits, les policiers n’auront pas les moyens de faire cesser l’infraction, note la juge Virginie Valton, secrétaire nationale de l’Union syndicale des magistrats (USM). De l’extérieur, on aura donc l’impression que l’action des forces de l’ordre n’a aucune incidence. »

La justice convoquera ensuite les femmes verbalisées. C’est aux juges de proximité qu’il reviendra, in fine, d’opter pour une amende (entre 22 et 150€) et/ou un stage de citoyenneté.

Dans les cités. Les forces de l’ordre ne feront pas d’excès de zèle

Sur le papier, la loi s’applique bien évidemment sur l’ensemble du territoire. Reste que, dans les faits, les policiers se disent convaincus qu’on ne les enverra pas dans les banlieues sensibles pour verbaliser les femmes intégralement voilées. « Notre hiérarchie nous demande déjà d’éviter au maximum les cités difficiles de peur que le moindre incident n’embrase le quartier, alors vous croyez vraiment qu’on va nous dépêcher dans les quartiers salafistes pour combattre le voile ? » ironise un policier de la Seine-Saint-Denis.

Sauf à se voir imposer un quota de verbalisations à effectuer, nombre de policiers avouent déjà ne pas vouloir faire de zèle pour faire appliquer la loi. « On se contentera de verbaliser les femmes présentes en centres-villes, pas plus »…

Suite et source: http://tinyurl.com/35kek4c

Roms: sortis par la porte, ils veulent rentrer par la fenêtre…

Ahhhhhhhhhh, Lille: fief de Martine Aubry; et sa préférence non-nationale légendaire… Qui nous perdra, si on la laisse faire… Les trois mots magiques: France, Lille, Aubry

FDF

.

13.09.2010

 Mihai et Sandor Varga, deux frères qui dirigent un immeuble insalubre de Baia Mare,au nord-ouest de la Roumanie, projettent de revenir à Lille la semaine prochaine. PHOTO PATRICK JAMES

Les nouveaux français… Régression irrémédiable.
PHOTO PATRICK JAMES

Un squelette d’immeuble en béton. Des enfants dépenaillés aux sourires futés. Des tout petits jouant au-dessus du vide sur des souvenirs de balcons. Un tas d’ordures gigantesque. Des tas d’antennes satellites. Premières images du bloc 46B de la rue Horea à Baia Mare et de ses Roms, diablement déterminés à survivre et pour certains à partir ou repartir pour… Lille.

On a prononcé deux mots magiques en mettant les pieds dans la boue qui encercle le bloc 46B : « France, Lille.

» Les enfants s’égayent en hurlant « Francezi ! » Des Français. L’attroupement de gamins sales, aux pieds nus et aux tee-shirts trempés sous la pluie fine, gonfle à vue d’oeil. Le joyeux et turbulent cortège pénètre dans le couloir obscur de l’immeuble en péril. « Franta ! Lillé ! » Il n’y a pas un gramme de plâtre ou de peinture sur les murs, plus un bout de métal pouvant servir de rambardes dans les escaliers ou sur les balcons. Même le béton paraît râpé jusqu’à la moelle, abandonnant sa suprématie à la terre collante. Des odeurs pestilentielles surgissent au détour de pièces noires, sans vie et sans fenêtre. Les commodités dans cette bâtisse sans eau courante.

Ah oui, au fait, on allait oublier, comme c’est bête, il s’agit d’un logement social de la ville. Il est question d’une réhabilitation comme son voisin du 46A. L’an prochain, peut-être. Des fils électriques volent depuis l’immeuble d’à côté. On se branche sur le compteur d’un locataire conciliant et on lui paie sa consommation. Le bâtiment a dû connaître une honnête splendeur du temps du communisme et du Conducator Nicolae Ceaucescu. Des portes prudentes s’ouvrent sur des yeux inquisiteurs. « Lille ? Da. Varga familie. »…

Suite et source: http://tinyurl.com/37wzpj6

Depuis 2007 la France à deux gouvernements: l’un à l’Élysée et l’autre à Matignon…

Un bon billet; très bon, même…

FDF

.

14 SEPTEMBRE 2010

VACANCE DU POUVOIR…

Le trait marquant d’un été pluvieux est la vacance du pouvoir, lequel est aux abonnés absents sur fond de désastre permanent. En faisant publiquement l’annonce d’un prochain remaniement ministériel, ce pouvoir a déclenché les plus puissants appétits, d’une part de ceux qui lorgnent les places des futurs ministres partants et d’autre part de ces futures « victimes » qui ne pensent qu’à réserver leurs arrières : ne jamais oublier que le droit à un reclassement fastueux sur fonds publics est une part inestimable de la richesse de ces gens. Le désordre s’installe donc dans les deux gouvernements, puisque depuis 2007 la France à deux gouvernements l’un à l’Élysée et l’autre à Matignon ; il s’étend en cascades dans les effectifs des cabinets, effectifs pléthoriques malgré quelques coups de ciseau.

Quelle peut être l’autorité du malheureux premier ministre quand il voit plusieurs de ses collaborateurs se déclarer officiellement comme « premiers ministrables » ?

LA FARCE DE L’ELECTION DE 2012

S’ajoute l’incroyable farce de la prochaine élection présidentielle en 2012. Les candidats potentiels ont pratiquement tous le même programme, à savoir continuer la ruine de la France sous des formes diverses sans que personne n’abandonne rien du formidable statut des hommes politiques qui leur permet de mener la vie à grandes guides sur le dos des contribuables. Dans ce jeu pervers, la stratégie des divers candidats potentiels est très simple : malgré l’uniformité des programmes, il faut à tout prix se distinguer des autres candidats potentiels en prenant des postures différentes. C’est particulièrement visible au parti socialiste où chacun essaie de se démarquer de ses concurrents en disant ou laissant dire le contraire de ce qu’ils disent et c’est également évident dans le parti de la majorité. Monsieur de Villepin lui-même rentre dans le jeu en affirmant, sans rire, que la politique du président concernant la sécurité est une honte pour la France (!) : or il n’y a pas de politique sécuritaire du président puisque l’insécurité a grandi d’une façon terrifiante depuis 2007 ; il y a seulement des gesticulations verbales et électoralistes.

Cette quasi-absence du gouvernement pourrait finalement réjouir les Français. Les économistes et bien d’autres, en effet, savent que l’activisme bouillon des 38 ministres ou ministrucules ainsi que des élus est largement à l’origine des calamités désastreuses qui frappent les Français.

LA DEFERLANTE DES LOIS

Le déferlement indéfini des lois est comparable aux mines antipersonnel qui éclatent sous les pas du promeneur dans certaines régions du globe. En France, il est impossible d’exercer n’importe quelle activité sans encourir le risque d’être englouti par ce véritable tsunami législatif. La déferlante n’est pas du tout due au hasard ou à la nécessité, mais simplement à la volonté ardente des politiques.

L’esclavagisme par la loi est tellement ancrée dans les esprits que les journalistes n’hésitent pas à parler de « vide juridique » quand une nouvelle activité n’est pas « encadrée ». Il y a au moins 61 codes avec 10 millions de mots En plus des lois, il y a les décrets d’application, les circulaires et les interprétations jurisprudentielles. Le désordre est si total que personne ne sait où se trouve la loi. L’incertitude juridique avec ses innombrables et puissants recours est totale et peut se prolonger sur des années.

Il y a peu le premier ministre lui-même avait inventé un système invraisemblable de notation des ministres. Sur quoi les notait-il ? Sur leur aptitude à fabriquer de nouvelles lois. Ce trait de génie s’est éteint comme la fusée retombante d’un mauvais feu d’artifice.

Malgré cette absence du gouvernement et malheureusement la déferlante des lois continue en sourdine. C’est ainsi que nous avons pour le malheur de l’activité du logement un secrétaire d’État au logement, Monsieur Benoist Apparu. Il réfléchit publiquement à une modification du dispositif Scellier. Rappelons que le logement voit se succéder depuis des années une foule de dispositifs qui, par nature, ne peuvent jamais marcher ; il en était ainsi du dispositif Robien et maintenant nous avons le dispositif Scellier qui va précisément être aménagé. Quand ces gens comprendront-ils qu’il faut libérer le logement et non pas l’asservir à des « dispositifs », annonciateurs épouvantables de galaxies d’usines à gaz administratives ?

LA PRETENDUE REFORME DES RETRAITES

Une autre activité remplit l’espace à savoir la prétendue réforme des retraites. Nous disons bien que c’est une prétendue réforme puisque que la seule réforme valable, à savoir l’introduction de la retraite par répartition est formellement exclue par le pouvoir aux ordres des syndicats qui n’en veulent absolument pas et le font savoir.

Dans cette tragi-comédie ridicule telle que les politiques en raffolent, le gouvernement soutient mordicus son représentant afin de pouvoir clamer le moment venu qu’il aura réformé les retraites ; or, s’il arrive à faire voter le recul de l’âge légal à 62 ans en 2018 (!), cela n’aura qu’un effet minime sur l’écroulement annoncé et progressif des retraites des privés.

Pour les contreparties qu’il cèdera il n’y a pas lieu d’être optimiste. Rappelons-nous la soit-disanr victoire pour les régimes spéciaux. Cette réforme n’avait aucun intérêt : malgré le scandale de ces régimes la réforme ne devait donner aucun somme d’argent au régime général, les maigres ressources éventuellement ramassées devant se perdre dans les méandres du désordre étatique. Le pouvoir a annoncé qu’il avait réformé ces régimes. Or, il a été démontré que les syndicats avaient obtenu des avantages considérables et immédiats contre une simple promesse d’alignement en 2016. A ce titre l’exemple de l’Edf est très parlant.

C’est pour cette raison qu’il faudra que les associations spécialisées détricotent attentivement pour l’information de tous les avantages que les syndicats vont arracher dans les négociations en cours que le pouvoir a la faiblesse de mener sous la pression de la rue.

En attendant tout le monde suppose que le ministre en charge après avoir obtenu une victoire à la Phyrrus fera valoir son droit acquis au reclassement, lequel devra être à la hauteur de la montagne de secrets qu’il est le seul à vraiment bien connaître.

LA DANSE DEVANT LE BUFFET

Tout rentrera alors dans l’ordre. Les multiples acteurs poursuivront jusqu’en 2012 leur danse devant les buffets biens garnis de la « République Fromagère » (R.F.), ceci grâce aux ressources sans limites des inépuisables déficits publics. Le parquet où glissent les danseurs repose sur un vrai château de cartes, car les financiers savent que n’importe quoi peut écrouler le parquet : hausse des taux d’intérêts, dégradation de la note de la France, scandale politco-financier de grandeur insupportable.

Quand et comment le parquet s’écroulera sous le poids des danseurs ? Dieu seul le sait.

Michel de Poncins

http://www.libeco.net


Quand il faut payer un tribu à la racaille pour pouvoir travailler…

Une nouvelle forme de racket empruntée à la mafia… Les racailles n’ont rien inventé. Mais les racailles font comme les singes: ils imitent. Pour que ça paye, il faut être à la hauteur et avoir un QI supérieur à 1, et pas celui d’une huitre…

FDF

.

Les vols, on savait. Les dégradations, on s’en doutait. Mais la pression à l’embauche, c’est assez nouveau. Sur les chantiers d’Avignon, pour avoir la paix, des entreprises sont contraintes de « casquer » pour travailler.

9000 € par mois.Pour certaines entreprises intervenant sur des chantiers de construction ou de rénovation urbaine, c’est le prix de la tranquillité. « Quand on a commencé le chantier, « on » est venu nous voir en nous disant que si on voulait que tout se passe bien, il fallait embaucher quelqu’un du quartier pour surveiller le chantier ».

Pierre (*) est responsable d’un chantier à Avignon dans le quartier de Baigne-Pieds et, comme d’autres conducteurs de travaux, il a cédé à la pression. « Et vous voulez que je vous dise, j’ai honte. Il me tarde que le chantier soit fini pour passer à autre chose parce que payer pour travailler, c’est assez malsain ». Une pratique quasi-mafieuse que confirme aussi Emile (*) également concerné : »nous avons été obligés de faire des contrats d’intérim pour plusieurs personnes du quartier… Au moins c’est efficace, on n’a pas eu de problèmes de vols ou de vandalisme sur le chantier » relativise-t-il tout en reconnaissant une pratique « très limite ».

« 80 % de nos adhérents BTP ne veulent plus aller travailler dans ces quartiers »

Rackettés pour pourvoir bosser, les entrepreneurs de ce chantier voient du coup leur « compte pro rata » augmenter. Ce compte, sorte de « pot commun » qui permet de payer la location de bungalows pour les ouvriers, l’eau, l’électricité, le nettoyage… ne dépasse pas, généralement, 1 % du montant du marché. Chacun cotise à hauteur du lot attribué. Avec cette nouvelle dépense, ce compte pro rata « va dépasser les 4 % ». Pour une entreprise qui a un petit lot, c’est une perte de 5000 €, pour le gros œuvre, ça peut monter jusqu’à 30 000 €. « C’est clair que désormais on ne répondra plus à des appels d’offres de ce type… ou bien on en tiendra compte dans nos devis » confie l’un des chefs de chantier interrogé.

Pour Jacques Brès, président de la Fédération du BTP 84, rien de nouveau sous le soleil. « Déjà 80 % de nos adhérents ne veulent plus répondre aux appels d’offres pour des chantiers dans les quartiers sensibles ou sur des chantiers d’habitat social, c’est une donnée que les bailleurs sociaux devront finir par prendre en compte ». Car, si une entreprise est « propriétaire de son ouvrage jusqu’à sa livraison » explique M. Brès, il rajoute « mais vous ne trouverez jamais un assureur qui prenne en charge un chantier dans les quartiers sensibles« …

Suite et source: http://tinyurl.com/2wod4le

« Alsace d’Abord » contre les Quick halal. ‎

Encore une vidéo venue d’Alsace. La résistance s’active, dans le Nord-Est de la France. Qui s’en plaindra? Et il semblerait que ça fasse tache d’huile…

FDF

.

http://www.dailymotion.com/video/xes6tm_alsace-d-abord-contre-les-quick-hal_news


Les partis anti-islam fleurissent… Ce n’est pas un hasard.

Allemagne : création d’un parti politique anti-islam

13 septembre 2010

René Stadtkewitz, un membre du Parlement de Berlin, vient de fonder un nouveau parti, Die Freiheit [Liberté]. Ce parti est opposé à l’islam et appelle à plus de liberté et plus de démocratie. Ses priorités seront les questions d’immigration et d’intégration.

Stadtkewitz, qui songeait à fonder ce parti depuis quelques temps, a été exclu du CDU récemment pour avoir invité Geert Wilders à prononcer un discours à Berlin. Il s’était également prononcé contre la construction d’une mosquée à Berlin…

Source et suite: http://tinyurl.com/386rl49


Cortex met en garde Marine Le Pen !

Le chimpanzé raciste anti-blanc sévit encore… Comment cela peut il être possible? Comment, avec la censure actuelle dont nous faisons tous les frais, cet énergumène peut il encore nous polluer avec sa présence sur la Toile? En toute impunité, de surcroît… Préférence non-nationale? Bénédiction des Hautes Autorités pour affaiblir le FN? « Aucune hypothèse ne saurait être écarté », comme on dit… Mais je ne me fais pas de soucis pour Marine Le Pen. Ca vient de si bas…

FDF
.

Le procès en appel opposant Marine Le Pen, partie civile, contre l’individu se faisant appeler Cortex, aura lieu le 26 octobre 2010. L’individu en question, non content d’invectiver, injurier, menacer la vice-présidente du Front National, se permet aujourd’hui de la mettre en garde par une vidéo diffusée sur Internet.

http://il.youtube.com/watch?v=7qSQ5NFqLS4

Page suivante »