22/03/2012
21/03/2012
20/03/2012
19/03/2012
Lentement mais sûrement, l’Allemagne met la main sur l’Europe.
La revanche du « petit nerveux à moustaches » ?
Analyse cinglante mais bien réelle de la situation…
FDF
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Carnaval de Cologne- février 2012…
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Jean-Michel Quatrepoint : « Comment Berlin pilote l’Europe »
Depuis la crise des dettes souveraines et le psychodrame hebdomadaire sur la dette de la Grèce, les citoyens de la zone euro ont compris que le centre du pouvoir ne se situait plus à Bruxelles, encore moins à Rome ou à Paris, mais bel et bien à Berlin.
Certes, le duo Merkel-Sarkozy tente de donner l’impression que le couple franco-allemand fonctionne encore à parité. Rien n’est plus faux. En réalité, depuis l’adoption des traités de Nice, puis de Lisbonne, les Européens, à commencer par la France, ont accepté cette montée en puissance du leadership allemand. Ces traités, rappelons-le, mettaient fin à l’un des principes de base de la Communauté européenne. À savoir, la parité entre les grands pays européens, tant au sein du Parlement que de la répartition des voix au Conseil européen
En acceptant que l’Allemagne, réunifiée et forte de ses quatre-vingt millions d’habitants, ait plus de sièges et plus de voix dans certaines autres instances européennes, on lui reconnaissait, de facto, une prééminence. Dans l’Europe de Lisbonne, la France ne pèse plus que les trois-quarts de l’Allemagne.
Jean-Michel Quatrepoint
Vidéo sur http://fortune.fdesouche.com/273862-jean-michel-quatrepoint-comment-berlin-pilote-leurope
Merci à DG…
18/03/2012
16/03/2012
Kadhafi a bien financé la campagne de Sarkozy en 2007 !
Saïf al-Islam Kadhafi avait, après son arrestation, promis de faire des révélations fracassantes si la France continuait son « action » en Libye… Il a tenu parole.
FDF
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Mouammar Kadhafi a-t-il financé Nicolas Sarkozy ? La question, soulevée peu avant la guerre en Libye, vient d’apparaître en toutes lettres dans l’affaire Takieddine. Selon un document consulté par Mediapart, le marchand d’armes Ziad Takieddine, organisateur en 2005 des visites du ministre de l’intérieur et de ses proches en Libye, puis en 2007 du président élu, aurait mis en place les « modalités de financement » de sa campagne présidentielle par le régime de Kadhafi, en lien avec Brice Hortefeux, alors ministre des collectivités locales.
Le 18 octobre 2011, les policiers ont versé au dossier d’instruction une note de synthèse sur laquelle figure une référence « GEN/ NS V. MEMO DG », qui contient sans les expliciter les initiales du président de la République. Cette note a été rédigée et remise aux enquêteurs par un témoin du dossier, Jean-Charles Brisard, ancien membre de l’équipe de campagne d’Edouard Balladur, en 1995, aujourd’hui dirigeant d’une société de renseignements privée. Le document contient aussi les références du compte suisse de la sœur de Jean-François Copé, le patron de l’UMP, dont M. Brisard est un proche.
Mediapart s’est procuré l’intégralité de la note « GEN/ NS V. MEMO DG », qui n’a pas été communiquée aux enquêteurs par M. Brisard. Son contenu est explosif. Il s’agit des confessions de Didier Grosskopf, « DG », l’ancien médecin personnel de Ziad Takieddine, qui l’a accompagné à plusieurs reprises en Libye, pour y soigner des membres de la famille Kadhafi. Ces confessions ont été recueillies le 20 décembre 2006, à Lausanne, en Suisse, par M. Brisard.
Le premier volet du document est intitulé « CAMP07 » et concerne la campagne présidentielle de 2007. D’après la note, les« modalités de financement de la campagne » de « NS» ont été « réglées lors de la visite Libye NS + BH » le 6 octobre 2005. Cette visite officielle avait été activement préparée par Ziad Takieddine, comme en attestent ses notes à Claude Guéant, qui figurent au dossier d’instruction.
Contacté lundi 12 mars, M. Hortefeux, actuel vice-président de l’UMP chargé de la cellule « riposte » du parti, a confirmé à Mediapart sa présence en Libye lors de la visite de Nicolas Sarkozy du 6 octobre 2005. Mais il a souligné qu’« il n’a jamais été question de financement politique, ni de près de loin ».
La note « CAMP07 » évoque « plusieurs entretiens préalables » entre « ZT et Saïf Al Islam », l’un des fils du colonel Kadhafi. « ZT » apparaît comme étant « chargé du montage », en marge de ses « interventions » sur des contrats de sécurisation des communications des armées et de fabrication de cartes d’identité à puces. Comme Mediapart l’a déjà souligné, ce premier marché, confié à la société Amesys, a effectivement été signé grâce aux bons offices rémunérés de M. Takieddine.
Selon la note, le financement libyen prévu s’élevait au total à 50 millions d’euros. Et les opérations financières faisaient intervenir personnellement Brice Hortefeux. Le « montage » inclut ainsi une société « BH » au Panama, plus une banque suisse non déterminée. Ce passage se clôt par une phrase sans ambiguïté : « Financement campagne totalement réglé ». Questionné par Mediapart sur cette mystérieuse société panaméenne, M. Hortefeux a déclaré : « Je ne sais même pas ce que c’est. »
« Plus à l’aise pour évoquer l’autre sujet important »
Les soupçons soulevés par cette note sont aujourd’hui confortés par les notes personnelles de Ziad Takieddine, remises par son ex-épouse à la justice, et qui ne sont pas contestées par leur auteur. « Les notes que j’ai établies sur mon ordinateur sur les différents pays, la Syrie, l’Arabie saoudite, la Libye et le Liban, sont réelles et ont été remises par moi-même à M. Guéant, qui en avait besoin pour les remettre au ministre (ndlr, Nicolas Sarkozy), qu’il appelait le patron », a témoigné M. Takieddine, le 12 octobre 2011, devant le juge Renaud Van Ruymbeke.
Le relevé des voyages du marchand d’armes fait apparaître qu’il a effectué onze voyages à Tripoli pour la seule année 2005. Au même moment, il a rédigé une dizaine de notes consacrées à la Libye pour le cabinet de M. Sarkozy, au ministère de l’intérieur. M. Takieddine a notamment préparé la visite officielle du ministre le 6 octobre 2005, celle qui est précisément au cœur de la note « GEN/ NS V. MEMO DG ». Et, selon nos documents, il était présent à Tripoli pour les visites de MM. Guéant, Hortefeux et Sarkozy.
Dans une première note, datée du 6 septembre 2005, et consacrée à un rendez-vous préparatoire de Claude Guéant, l’exposé de M. Takieddine est lourd de sous-entendus : « La visite préparatoire est inhabituelle, écrit-il. Elle doit revêtir un caractère secret. Il sera préférable que CG se déplace seul et que le déplacement s’effectue sans fanfare. L’autre avantage : plus à l’aise pour évoquer l’autre sujet important, de la manière la plus directe…»
Une autre note du 22 septembre 2005, évoque un « tête-à-tête » de Nicolas Sarkozy « avec le Leader », la remise des « CV de NS et BH » à Kadhafi et la négociation de plusieurs marchés de sécurité et d’armement. Ce document contient lui aussi une phrase énigmatique : « Avec le ministre de l’intérieur : jusqu’où ? »
Les policiers ont aussi trouvé parmi les documents de M.Takieddine des lettres de MM. Sarkozy (10 septembre 2005), Guéant (23 septembre 2005), Hortefeux (15 novembre 2005) adressées aux autorités libyennes.
L’homme à l’origine des révélations du mémo « GEN/ NS V. MEMO DG », le neurochirurgien Didier Grosskopf, est un proche de Jean-François Copé. C’est d’ailleurs ce qui l’a conduit au chevet de Ziad Takieddine, grièvement blessé à la tête lors d’un séjour sur l’île Moustique, en avril 2004.
« J’ai reçu un appel sur mon téléphone portable du porte-parole du gouvernement qui était M. Jean-François Copé, a déclaré aux policiers le Dr Grosskopf, en octobre dernier. C’est au titre de médecin et d’ami que M. Copé m’a demandé de m’occuper d’un personnage important, qui avait un problème de santé, à savoir Ziad Takieddine. J’ai accepté cette mission par amitié pour M. Copé. Un personnel de la préfecture m’a conduit à l’aéroport. »
Didier Grosskopf : « Je veux protéger mes intérêts »
Arrivé après l’intervention chirurgicale, M. Grosskopf a organisé « le rapatriement de M. Takieddine » à l’hôpital de la Salpêtrière, puis il s’est chargé de sa convalescence. Par la suite, le neurochirurgien affirme avoir été « sollicité par M. Takieddine pour soigner d’autres malades que lui dans ses relations personnelles ». Il confirme « être allé en Libye pour donner des conseils à des malades », « à la demande de M. Takieddine ».
C’est à l’occasion de ses multiples déplacements à Tripoli, que M. Grosskopf aurait été mis dans la confidence de ce qu’il n’aurait pas dû apprendre.
Questionné le 29 février par Mediapart, M. Grosskopf n’a pas contesté la substance des informations contenues dans le mémo rédigé par M. Brisard. « M. Brisard est un ami, je me suis entretenu plusieurs fois avec lui de ce sujet, il m’a aidé, a-t-il indiqué. Mais ce qu’il dit n’engage que lui. Je ne veux pas être un acteur de cette affaire. Je veux protéger mes intérêts, c’est-à-dire ma femme et mes enfants. A un moment donné, j’ai été suivi. J’ai eu très peur.»
A l’automne 2006, M. Takieddine a brutalement coupé les ponts avec son médecin et a engagé une procédure à son encontre devant le conseil de l’Ordre, pour obtenir un remboursement des honoraires qu’il lui avait versés. C’est au milieu de ce conflit que M. Brisard recueille les confessions du médecin, le 20 décembre 2006. Il l’a revu plusieurs fois. Au moins un autre mémo aurait été rédigé.
« C’est une affaire qui dépasse l’imagination la plus féconde, poursuit le Dr Grosskopf. Je suis désolé comme citoyen par cette affaire. Mais je ne pouvais pas imaginer, en organisant le rapatriement sanitaire de ce monsieur, qu’il s’agissait du plus grand corrupteur de la République. » Le docteur dit en vouloir « au pouvoir » qui l’a entraîné là, mais pas à Jean-François Copé « qui reste un ami ».
Alors qu’il vient de publier un livre, L’Ami encombrant (Editions du Moment), dans lequel il conteste l’existence d’une corruption, M. Takieddine avait déclaré le 11 octobre, à l’émission Complément d’enquête, qui l’enregistrait en caméra cachée : « Je les tiens tous dans ma main ! Je peux tous les faire tomber !». Et à la question de savoir « qui ? », le marchand d’armes avait murmuré « tous ! ».
Le soupçon d’une participation libyenne au financement de Nicolas Sarkozy avait été alimenté par les autorités de Tripoli elles-mêmes il y a un an par les déclarations spectaculaires de Kadhafi et de son fils, Saïf al-Islam. Dès le mois de mars 2011, deux jours avant l’intervention militaire occidentale, ce dernier avait accusé le pouvoir français dans un entretien donné à la chaîne Euronews : « Il faut que Sarkozy rende l’argent qu’il a accepté de la Libye pour financer sa campagne électorale. C’est nous qui avons financé sa campagne, et nous en avons la preuve. Nous sommes prêts à tout révéler. »
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« La première chose que l’on demande à ce clown, c’est de rendre l’argent au peuple libyen, avait-il ajouté. Nous lui avons accordé une aide afin qu’il œuvre pour le peuple libyen, mais il nous a déçus. Nous avons tous les détails, les comptes bancaires, les documents, et les opérations de transfert. Nous révélerons tout prochainement. »
Les espèces de Takieddine
Ces déclarations, dans le contexte d’unité nationale d’avant guerre, n’avaient pas provoqué d’interpellations politiques. Pourtant, à elles seules, elles auraient déjà mérité l’ouverture d’une enquête, parlementaire ou judiciaire. L’enquête des juges sur Ziad Takieddine alimente, elle aussi, les mêmes soupçons. L’examen du fonctionnement des sociétés offshore du marchand d’armes faisant apparaître l’existence de commissions occultes d’origine libyenne.
En mars 2011, Ziad Takieddine avait également été interpellé de retour de Tripoli à l’aéroport du Bourget, avec 1,5 million d’euros en espèces sur lui. « J’y étais allé porteur d’un message de Claude Guéant et je l’ai d’ailleurs appelé de là-bas, a-t-il expliqué le 9 novembre au juge Van Ruymbeke. Croyant bien faire, je suis revenu porteur d’une réponse de Kadhafi que, compte tenu des circonstances de mon “accueil” à l’arrivée, je n’ai pas pu livrer. » Lors de son interpellation le 5 mars, il a déclaré sur procès-verbal aux agents des douanes que « c’est le gouvernement libyen » qui lui a « remis les billets de banque». Il avait précisé que cet argent couvrait ses propres honoraires.
L’apparition de Brice Hortefeux dans la note « GEN/ NS V. MEMO DG » renvoie aux missions officieuses qu’il a effectuées avant 2007 pour le ministre de l’intérieur. Il a en particulier assuré le contact avec l’intermédiaire Ziad Takieddine, qui se faisait fort d’ouvrir les portes de plusieurs pays arabes au ministre de l’intérieur. Le marchand d’armes avait d’ailleurs conduit, fin 2003, Brice Hortefeux en Arabie saoudite pour y négocier un important contrat de surveillance des frontières (nom de code : Miksa).
A l’été 2007, Ziad Takieddine a également été l’un des acteurs principaux de la libération des infirmières bulgares par le régime libyen, ouvrant une « nouvelle page » – c’est son expression – des relations franco-libyennes. Mais permettant surtout à la France de dérouler le tapis rouge sous les pas du dictateur, dont on a monté la tente, en décembre 2007, dans les jardins de l’hôtel Marigny, résidence officielle des hôtes de l’Etat.
Plusieurs photos publiées par Mediapart attestent par ailleurs des relations amicales nouées avec M. Takieddine et des visites mutuelles qu’ils se rendaient dans le sud de la France. Des relations favorisées par Thierry Gaubert, un autre ami de Nicolas Sarkozy, impliqué dans la campagne Balladur de 1995. Les policiers avaient intercepté, en septembre dernier, des conversations téléphoniques entre MM. Gaubert et Hortefeux, s’inquiétant de la progression de l’enquête sur M. Takieddine.
De fait, en décembre 2011, Nicola Johnson, l’ex-épouse de M. Takieddine, mettra aussi en cause Brice Hortefeux. Selon son témoignage, l’ancien ministre était venu chercher en 2005 une somme en espèces du marchand d’armes lors d’une visite à son domicile avenue Georges-Mandel, à Paris, en compagnie de Thierry Gaubert. Un témoignage vivement contesté par M. Hortefeux, qui n’a toutefois pas déposé plainte, contrairement à ce qu’il avait annoncé.
Contactés par Mediapart, l’Elysée et Ziad Takieddine n’ont pas donné suite à nos sollicitations.
Cet article est la poursuite d’une enquête de plusieurs mois de Mediapart sur Ziad Takieddine. Partie des interrogations sur le financement de la campagne d’Edouard Balladur en 1995, en marge de l’affaire Karachi, notre enquête a débouché sur les étonnantes connexions politiques du marchand d’armes, qui, dès 2002, a repris son rôle d’intermédiaire officieux du gouvernement. Et tout particulièrement du ministre de l’intérieur, Nicolas Sarkozy.
Sous le titre “Les Documents Takieddine”, Mediapart a publié, de juillet à septembre, des notes et des mémos remis par M. Takieddine au cabinet de Nicolas Sarkozy, de 2003 à 2008. « Les notes que j’ai établies sur mon ordinateur sur les différents pays, la Syrie, l’Arabie saoudite, la Libye et le Liban, sont réelles et ont été remises par moi-même à M. Guéant, qui en avait besoin pour les remettre au ministre (ndlr, Nicolas Sarkozy), qu’il appelait le patron », a d’ailleurs assuré M. Takieddine, le 12 octobre 2011, devant le juge Renaud Van Ruymbeke.
Dans cet ensemble, la Libye tient une place centrale, initialement liée aux contacts du marchand d’armes avec, d’une part, Abdallah Senoussi, l’ancien chef des services secrets libyens, et, d’autre part, avec Saïf al-Islam Kadhafi, l’un des fils du dictateur déchu, aujourd’hui emprisonné en Libye.
Du point de vue judiciaire, les juges Renaud Van Ruymbeke et Roger Le Loire ont été saisis en décembre 2010 d’une enquête sur les marchés d’armement en Arabie saoudite et au Pakistan, qui a provoqué la mise en examen, outre de Ziad Takieddine, de plusieurs proches du chef de l’Etat : Thierry Gaubert, son ancien collaborateur au ministère du budget, Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d’Edouard Balladur et actuel n°2 du groupe LVMH, et Renaud Donnedieu de Vabres, ancien conseiller spécial du ministre de la défense, Francçois Léotard.
L’enquête a, depuis, fait apparaître des mouvements de fonds suspects liés à d’autres marchés d’armement, mais aussi pétroliers, en particulier avec la Libye. Voir nos précédents articles “Sarkozy-Guéant : le grand soupçon libyen” et “L’émissaire du clan Sarkozy en Libye rétribué secrètement par Total”.
Source: Mediapart
15/03/2012
Des bus halal pour Sarko à Villepinte !
Mais non; vous ne rêvez pas. Ca se passe en France, en mars 2012…
Je pensais à une chose… Lors des deux tours du scrutin présidentiel, aurons-nous des bureaux de vote différents pour les hommes et les femmes ??? Non, parce qu’il faut s’attendre à tout, ces temps-ci…
FDF
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Le Canard Enchaîné révèle que le président-candidat aurait, pour sa grand-messe de Villepinte dimanche 11 mars, afin de remplir la salle, affrété des bus séparant les femmes et les hommes de confessions musulmanes.
Pour faire le plein, auraient été lancés des appels dans des salles de prières et diffusés des messages, pas seulement honteux mais aussi mensongers et racistes disant que François Hollande est « franc-maçon et prosioniste »
et qu’il veut « étouffer la religion ».
Le Qatar devient l’un des principaux actionnaires de Total !
La Qatar poursuit son investissement invasion en France. Notre France est en train d’être bradée, avec l’approbation de nos gouvernants. Nous sommes bien lotis entre l’invasion islamiste par les mosquées, le halal, les prières de rue, etc… et l’or noir des riches magnats du pétrole.
Il faut que l’on s’en sorte. Je ne sais pas comment encore, mais il nous faut sérieusement y penser…
FDF
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Merci, merci…
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ET CA CONTINUE, ET « ON » LAISSE FAIRE !!!!!! ET BIENTOT ILS RACHETERONT LA TOUR EIFFEL, LE MOULIN ROUGE OU LE LOUVRE !!!!!!!
« L’émirat du Qatar poursuit ses investissements en France. Après le rachat du Paris-Saint-Germain, la reprise de plusieurs palaces, l’Emirat devient l’un des principaux actionnaires de Total. »
JC JC…
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L’émirat du Qatar poursuit ses investissements en France. Après le rachat du Paris-Saint-Germain, la reprise de plusieurs palaces, l’Emirat devient l’un des principaux actionnaires de Total.
Une participation à hauteur de 2 milliards d’euros
Le Qatar a pris discrètement depuis l’été 2 % du capital du groupe pétrolier Total, première société française par la valorisation boursière. Le quotidien économique les Echos de mercredi affirme que l’Émirat figure désormais parmi les principaux actionnaires, derrière les salariés et le milliardaire belge Albert Frère. Il est à égalité avec un fonds chinois, présent au capital du groupe pétrolier depuis 2008.
Cette participation, inférieure à 5 %, n’est pas soumise à une obligation de déclaration. Elle vaut plus de deux milliards d’euros, ajoute le journal, qui ne précise pas ses sources. Total a refusé de commenter ces informations.
« Besoin de capitaux frais »
« Je crois que nos entreprises ont besoin aujourd’hui d’investir », a commenté la ministre du Budget Valérie Pécresse. « Elles ont besoin de capitaux frais. Aujourd’hui, c’est 2 % du capital de Total, il ne s’agit pas de prendre un pouvoir de décision sur une très grande entreprise française », a-t-elle ajouté.
Après le football et les palaces français
Cet investissement est une nouvelle preuve de l’intérêt du riche émirat gazier du Qatar pour la France, après son rachat en deux temps de la totalité du club de football Paris Saint-Germain, la reprise des palaces cannois Carlton et parisien Royal Montceau et la razzia sur les droits télévisés de Ligue 1 menée par sa chaîne de télévision Al-Jazira Sports.
Déjà au capital de Vinci, Veolia environnement, EADS et Lagardère
Dans l’industrie, le Qatar possède déjà 5,6 % du constructeur Vinci, 5 % du groupe de services aux collectivités Veolia Environnement et 7,5 % du constructeur aéronautique EADS (Airbus). Il est aussi devenu récemment le premier actionnaire du groupe de médias Lagardère, avec 10,1 % du capital.
12/03/2012
L’info qui tue !
Si ce qui est évoqué plus bas s’avère vrai, on sait d’ores et déjà qui ne sera pas le futur président de la République…
Je ne vous raconte pas les sondages…
FDF
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Mouammar Kadhafi aurait financé la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007
Selon des informations révélées par Mediapart, feu Mouammar Kadhafi, l’ancien dictateur libyen, aurait financé la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007.
On s’en souvient, en mars 2011, alors que l’insurrection libyenne bat son plein, Saïf Al-Islam Kadhafi, fils de Mouammar Kadhafi, avait interpellé publiquement Nicolas Sarkozy. « Il faut que Sarkozy rende l’argent qu’il a accepté de la Libye pour financer sa campagne électorale« , avait déclaré lors d’une interview télévisée, le fils du leader libyen déchu. » C’est nous qui avons financé sa campagne, et nous en avons la preuve. Nous sommes prêts à tout révéler « , avait-il poursuivi sur Euronews. (Vous pouvez revoir l’extrait d’interview dans la vidéo vidéo ci dessus)
Aujourd’hui des informations publiées par le site d’information Mediapart renforcent l’hypothèse d’un financement de la campagne électorale du président français en 2007 par le régime libyen récemment renversé.
Une note versée par la police française dans un dossier d’instruction indique qu’un marchand d’armes aurait mis en place les « modalités de financement » de ladite campagne par le clan Kadhafi.
Le marchand d’armes en question, Ziad Takieddine, est l’organisateur de visites de Nicolas Sarkozy en Libye. Ce dernier s’était rendu à Tripoli en tant que ministre de l’Intérieur français en 2005 et 2006, puis comme président en 2007.
« Les modalités de financement (…) réglées lors de la visite (en) Libye de NS+BH »
Le médecin personnel de Ziad Takieddine a plusieurs fois accompagné ce dernier en Libye afin de traiter des membres de la famille Kadhafi selon Mediapart.
C’est justement ce médecin, Didier Grosskopf, qui est l’auteur, fin 2006, de ces révélations potentiellement explosives pour l’Elysée.
D’après la note rédigée sur base de son témoignage, « les modalités de financement de la campagne » ont été « réglées lors de la visite (en) Libye de NS+BH » le 6 octobre 2005. « NS » étant Nicolas Sarkozy et « BH », Brice Hortefeux, actuel vice-président de l’UMP et ancien ministre français de l’Intérieur.
Contacté par Médiapart, l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy a confirmé avoir accompagné ce dernier en Libye lors de la visite du 6 octobre 2005 mais dément qu’il ait jamais été question de financement politique.
La note évoque également des entretiens préalables à la transaction présumée entre Ziad Takieddine et Saïf Al-Islam Kadhafi, décrivant le premier cité comme « chargé du montage » financier de l’opération.
Même si l’information est encore à prendre avec énormément de précautions à ce stade, nul doute qu’en pleine campagne pour sa réélection, Nicolas Sarkozy se serait bien passé de ces révélations.
Source: http://www.rtbf.be/
11/03/2012
09/03/2012
Les gens sont méchants… Nicolas Sarkozy, le dirigeant européen le moins populaire !
On a que le président que l’on mérite… Il a été élu en 2007 . Mais c’est bizarre: dès ses premiers « couacs », personne n’avait voté pour lui. En tout cas, on peut dire qu’il a marqué son mandat.
Et dire que maintenant, Carla craint pour sa santé. Et que lui-même nous a menacé de quitter la politique si il n’était pas réélu… On ne va pas se laisser avoir au chantage et à la stigmatisation, non?
FDF
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Avec 58% d’opinions défavorables, Nicolas Sarkozy est, parmi les cinq puissances européennes, le chef d’Etat le moins populaire. Il est, en revanche, le plus connu des cinq.
Si, avec 93% de notoriété, Nicolas Sarkozy est le dirigeant européen le plus connu, il est le moins populaire des cinq principaux pays. C’est Angela Merkel, la chancelière allemande, qui domine le classement, avec 92% de notoriété et 50% de bonnes opinions. Le président de la République français arrive loin derrière avec seulement 33% de bonnes opinions et surtout 58% de mauvaises.
Deuxième sur le podium, David Cameron, le Premier ministre britannique, que 88% des personnes interrogées connaissent. Il recueille autant de bonnes opinions que de mauvaises, 44%. Suivent ensuite les deux nouveaux venus, Mario Monti, le président du Conseil italien, et Mariano Rajoy, le Premier ministre espagnol. Moins connus que les trois autres (74% de notoriété pour Monti et 63% pour Rajoy), ils n’ont pas forcément beaucoup plus de bonnes opinions que le chef de l’Etat français, mais ont moins d’opinions défavorables. Mario Monti recueille 36% d’opinions favorables, autant que de mauvaises. De son côté, Mariano Rajoy n’obtient que 27% d’opinions favorables mais seulement 34% de défavorables.
Nouvelle affaire de caricatures: Le « prophète » Sarközy visé à son tour!
Ca étonne quelqu’un ? Sans blague! C’est ça, notre liberté d’expression…
FDF
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Nicolas Sarkozy, Twitter et la censure

L’équipe du candidat-président a fait supprimer des caricatures. Droit dans ses bottes, Twitter suit toutefois l’affaire « de près ».
« Je préfère l’excès de caricature à l’absence de caricature », déclarait en février 2007 le candidat à l’élection présidentielle Nicolas Sarkozy. Cinq ans plus tard, cette affirmation prend une connotation particulière avec un candidat-président accusé de censure.
Quelques heures après l’arrivée de l’officiel @NicolasSarkozy sur Twitter et sa déclaration d’intention sur TF1, les comptes parodiques du chef de l’Etat ont été supprimés un à un du site de micro-blogging.
« Dans la matinée du 15 février, notre profil @Sarko29 a été supprimé sans aucune raison », raconte Dorian Daill, membre d’un collectif de réalisateurs qui se servait avec humour de Twitter pour faire la promotion d’un long-métrage baptisé « Si j’étais Sarkozy ».
Même son de cloche chez Bertrand Pichot, co-animateur d’une cinquantaine de profils parodiques : « Deux heures avant son allocution sur TF1, notre compte @_NicolasSarkozy a été suspendu ».
Ce ne sont pas les seuls. Les comptes @_NicolasSarkozy, @Sarko29, @mafranceforte, @fortefrance, @SarkozyCaSuffit, @SarkozyCestFini, @DehorsSarkozy ou encore @MrSarkozy affichent désormais le message : « Le profil que vous essayez de voir a été suspendu ».
Twitter suit l’affaire « de très près »
Sur Twitter, « il est interdit d’usurper l’identité d’autres personnes », en revanche « les comptes parodiques sont admis », selon les conditions d’utilisations. Dans l’e-mail envoyé aux comptes « suspendus », Twitter pointe que ceux-ci « commettaient une usurpation d’identité non parodique ». Pourtant, « leur caractère parodique était inéquivoque », estime Internet Sans Frontières qui parle de « censure ».
« Nous nous réservons le droit de suspendre les comptes qui ne respectent pas nos conditions d’utilisation », justifie une porte-parole de Twitter à « l’Obs ». « Nous ne pouvons commenter la suppression de comptes individuels pour des raisons de confidentialité, mais il faut regarder de plus près la première condition qui concerne les noms d’utilisateurs », ajoute-t-elle.
L’animateur de @_NicolasSarkozy confirme que Twitter lui a demandé de changer le nom de son compte. « Oui, nous changerons de nom pour que le profil rouvre », précise Bertrand Pichot encore « choqué » par cette suspension. « @_NicolasSarkozy était clairement parodique, il suffit de voir la description ou les messages postés… Quand l’équipe du président fait taire une caricature, on peut parler clairement de ‘censure’. Nous ne faisons pas de politique, juste de l’humour », conclut-il.
L’équipe internet du candidat Sarkozy a reconnu au « Monde » avoir réclamé la fermeture des comptes qui « pouvaient prêter à confusion ». Nicolas Princen, chargé de la campagne web de Sarkozy, affirme avoir agit dans un besoin de clarté : « Il était difficile pour l’internaute de trouver le vrai compte de Nicolas Sarkozy. Il n’y a aucun cas de censure là-dedans, c’est Twitter qui décide », lance-t-il sur France Inter.
Une source chez Twitter avoue que l’affaire est suivie « de très près » et que la plupart des comptes ont été « suspendus automatiquement ». La porte-parole ajoute d’ailleurs : « Si des comptes ont été suspendus au même moment, cela ne signifie pas qu’ils l’ont été pour les mêmes raisons ».
En attendant, alors que la dénonciation de la #SarkoCensure prend de l’ampleur sur Twitter, le blogueur Olivier Laurelli, dit « Bluetouff » a lancé un mouvement qui consiste à changer son avatar pour un Nicolas Sarkozy affublé d’un nez rouge.
Source: http://www.commentcamarche.net/
Merci à Babette…
08/03/2012
On approche des présidentielles: Florence Cassez libre dans 15 jours ?
Vous vous souvenez de Florence Cassez ?
Et bien son histoire ressort des oubliettes; à deux mois des présidentielles… Vous avez dit bizarre??? Comme c’est bizarre…
Je parie en outre que l’on va aussi assister à une soudaine libération de quelques otages Français retenus ça et là…
FDF
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Un juge de la Cour suprême a rendu un rapport détonnant sur les conditions d’arrestation de la Française. Il demande sa libération.
Dans son rapport final répondant à l’appel en révision déposé par Florence Cassez, le juge de la Cour suprême Arturo Zaldivar a rendu son verdict qui est très favorable à la Française condamnée à 60 ans de prison pour trois enlèvements. Depuis six ans, elle crie son innocence, et elle pourrait bientôt voir la fin de son cauchemar.
Après avoir étudié pendant plusieurs mois le dossier de Florence Cassez d’un point de vue juridique et constitutionnel, le juge Arturo Zaldivar proposera à ses pairs de la Cour suprême d’ordonner sa libération immédiate. Il a repris un à un les éléments juridiques qui soutiennent ce procès.
« Violation du droit fondamental des étrangers »
Il estime que les droits consulaires de la Française n’ont pas été respectés, car la police n’a pas cherché à contacter immédiatement le consulat de France, ce qui constitue une violation du droit fondamental des étrangers qui font l’objet d’une arrestation.
Florence Cassez n’a pas été présentée immédiatement à un juge d’instruction, comme l’exige la Constitution ; elle a au contraire été emmenée dans un autre lieu pour la reconstitution d’une fausse arrestation devant les caméras de télévision. Les notions d’immédiateté et de flagrant délit ont de ce fait disparu, et les témoignages des victimes ainsi que les déclarations des policiers sont une déformation de la réalité, induite par la police fédérale.
« Présomption d’innocence violée »
Le juge Zaldivar considère que la présomption d’innocence a été violée et que le procès a été vicié dès le départ. Le juge précise qu’il ne s’en prend pas à la presse pour son travail, mais qu’il critique les autorités qui ont sciemment déformé la réalité pour que l’opinion publique estime coupable a priori la personne qu’on lui présentait, sachant les implications négatives que cela aurait sur son procès.
Ce rapport est donc une très bonne nouvelle pour Florence Cassez, même si le verdict du juge Zaldivar doit maintenant être approuvé à l’unanimité par les juges de la Cour suprême le 21 mars prochain. Rien n’est encore joué, car il est de notoriété publique que bon nombre d’entre eux sont proches du gouvernement de Felipe Calderón qui s’est toujours opposé à la libération de la jeune femme.
Source: http://www.lepoint.fr/
Le saviez-vous? l’Armée nationale syrienne a fait prisonniers 18 agents français à Homs !
Il est vrai qu’au beau milieu de cette bataille politique en France, si virulente que de mémoire on ne se souvient plus si c’est déjà arrivé, les bas-fonds du cas Syrien sont peu ou pas évoqués. Et pourtant…
FDF
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l’Armée nationale syrienne a fait prisonniers 18 agents français à Homs
La télévision publique syrienne a confirmé, samedi 3 mars 2012 à la mi-journée, les informations publiées deux semaines plus tôt par le Réseau Voltaire : l’Armée nationale syrienne a fait prisonniers 18 agents français à Homs et un 19e à Azouz. Cette confirmation indique que les négociations engagées entre Paris et Damas se sont soldées par un échec et que la Syrie a décidé d’augmenter la pression sur la France en portant l’affaire sur la place publique. Depuis le 14 février, nos informations ont été abondamment citées et commentées dans la presse internationale, sauf en France. Cela peut s’expliquer par la difficulté des médias français de vérifier des faits aussi sensibles. La presse turque a confirmé l’arrestation du 19e agent français en expliquant que 4 agents turcs avaient été arrêtés avec lui, ceci alors même qu’Ankara s’était engagé le 7 février à retirer tous ses agents en échange de la restitution de 49 prisonniers.
À la télévision libanaise Al-Manar, Mohammad Dirar Jamo a rapporté un échange entre le ministre français des Affaires étrangères et son homologue saoudien en marge de la conférence de Tunis. Le prince Saud al-Faysal bin Abd al-Aziz Al Saud déplorait que la France n’ait pas reconnu le Conseil national syrien comme seul représentant légitime de la Syrie. Alain Juppé lui aurait alors répondu : « Si je fais, qui nous rendra nos soldats ? » Ci-dessous un exemple de traitement en anglais par Russia Today : Quoi qu’il en soit, la presse française de ce matin reste silencieuse alors que ces informations sont maintenant publiques. Cette attitude atteste du rétablissement de la censure militaire en France.
La question qui se pose est de savoir si le président Sarkozy a rétabli la censure militaire pour des motifs d’intérêt national ou pour des raisons personnelles, c’est-à-dire pour éviter de devoir rendre compte à ses concitoyens de la guerre secrète qu’il conduit contre la Syrie en violation de la Constitution. Les Français éliront un nouveau président lors d’un scrutin à deux tours, les 22 avril et 6 mai 2012.
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Extraits tirés de: http://www.chemin-de-memoire-parachutistes.org/
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Merci à DG…
Il est temps de réagir concrètement au « halal » !
Le halal, c’est devenu un enjeu électoral… Mais le halal, c’est beaucoup plus que ça.
Nous avons, forcés et contraints, accepté les mosquées, les « centres cultuels et culturels », les écoles coraniques. Nous avons, forcés et contraints, accepté de voir des gens déguisés circuler librement dans nos rues toute l’année. Nous avons, contraints et forcés, accepté de les voir le cul en l’air bloquer nos rues impunément. Ils bafouent nos lois et notre République.
Nous en avons trop accepté: en outre, ils en veulent de plus en plus. Leur soif de conquête ne s’arrêtera jamais?
La France, NOTRE France est réputée pour sa gastronomie. Et ce n’est pas ce « halal » qui va nous faire perdre cette notoriété!
Que ceux qui veulent se nourrir avec « du halal » le fassent. Mais qu’ils le fassent discrètement. Et surtout, qu’ils arrêtent de nous les briser avec cette publicité de plus en plus voyante concernant cette « nourriture ».
Nous, Français, personne ne nous empêchera de manger CE QUE NOUS VOULONS !!!
Je pense qu’il faut sérieusement s’intéresser au problème halal.
Le PPS ci-joint devrait nous y aider.
FDF
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