Francaisdefrance's Blog

26/01/2012

Dissolution des « Cavaliers de la fierté »; suite…

Les « cavaliers de la fierté » vont trinquer…
Rassemblons nos forces et chargeons un max Forsane Alizza !!! Aidons Claude Guéant à nettoyer les écuries d’Augias!
FDF
Mohammed Achamlane cherche des « soldats »…
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Forsane Alizza soutient notamment le Nantais Lies Hebbadj, qui vit avec plusieurs femmes.

Le ministre de l’Intérieur lance un message de fermeté à l’islam radical, annonçant l’expulsion d’un imam accusé d’avoir appelé à « fouetter à mort » les femmes adultères et la dissolution d’un groupe qui a mené des actions contre la loi sur le voile intégral.

Une commission des expulsions se prononcera le 7 février sur l’imam tunisien Mohammed Hammami, officiant rue Jean-Pierre Timbaud, à Paris, dans le XI e arrondissement, haut lieu de la mouvance tabligh (transmission du message coranique). Le religieux, un septuagénaire en France depuis des décennies, est accusé par le ministre de l’Intérieur d’avoir tenu « des propos violemment antisémites » et d’avoir appelé « à fouetter, à mort, la femme adultère ». En dix ans, 34 imams ont été expulsés sur un total de 146 islamistes éloignés de France.

Dissolution des « Cavaliers de la fierté »

Le ministre a également annoncé la dissolution du groupuscule Forsane Alizza («Les Cavaliers de la fierté »), qu’il a accusé de former des personnes « à la lutte armée, pour toute éventualité terroriste contestataire qui pourrait se présenter ». Mohammed Achamlane, qui se présente comme « un porte-parole » de Forsane Alizza, et qui vit en Loire-Atlantique, a confirmé avoir reçu ce week-end un courrier lui annonçant la décision du ministère de l’Intérieur de dissoudre son mouvement, et lui demandant une réponse sous dix jours.

Dans les deux cas, « ce sont des procédures qui, conformément à notre droit, sont des procédures contradictoires, c’est-à-dire que l’administration fait part à l’association en cause, d’une part, et puis à l’imam d’autre part, de ce qui leur est reproché, leur demande leurs observations et puis ensuite une décision sera prise », a expliqué M. Guéant.

Une poignée

Forsane Alizza n’est pour l’heure pas la cible d’une procédure judiciaire dans le cadre de la législation antiterroriste. Mais l’Intérieur y décèle « un sas de radicalisation » où seraient dispensées « des formations au combat ».

Le groupuscule anime un site internet sur lequel il diffuse régulièrement des vidéos. Selon des sources policières, ses militants sont une poignée, « une centaine, peut-être un peu moins », selon la place Beauvau.

Ses membres ont fait parler d’eux à plusieurs reprises. En juillet 2010, visages dissimulés, ils avaient exhorté les passants à ne plus aller au McDonald’s, accusant l’enseigne de restauration rapide d’être au service d’Israël. Cette action avait valu en septembre une peine de prison avec sursis à Mohammed Achamlane, reconnu coupable d’avoir relayé la scène dans des vidéos sur le net. Il avait également été condamné pour avoir appelé à brûler le code pénal dont « pas une ligne ne protège les musulmans ». Il n’avait pas assisté à l’audience, la quittant avant le début aux cris d’ « Allah Akbar ». Il y a quelques mois, Forsane Allizza a prétendu avoir brûlé un exemplaire du Code pénal à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) pour protester contre la loi sur le voile intégral. Mohammed Achamlane se fait appeler « Abou Hamza » du nom de l’oncle paternel de Mahomet.

Sur son site, Forsane Alizza annonçait « une soirée spéciale recrutement » ce mercredi, expliquant que l’organisation recherchait « surtout des soldats ! » L’appel s’adressait particulièrement aux adeptes des « sports de combat ». Mohammed Achamlane anime également une boutique, où il est par exemple possible d’acquérir une « montre espionne », équipée d’une petite caméra.

Source: http://www.lalsace.fr/

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C’est Jean-Mi qui va être content…

Et merci à Henri…

17/04/2011

Des internautes arabophones appellent à « punir » la France !

Et ça, ce n’est pas de l’incitation à la haine? Le MRAP ne se bouge pas le cul, là?

FDF

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Interdiction du voile intégral : des internautes déclarent la guerre à la France !


Des internautes ont réagi avec colère sur des forums jihadistes à l’interdiction du voile intégral dans l’espace public en France, appelant à déclarer la guerre à ce pays, a rapporté mercredi le centre américain de surveillance de sites islamistes (SITE).

Des internautes arabophones ont appelé à punir la France, en raison de cette loi jugée « anti-islamique », certains exhortant Al-Qaïda à mener des opérations dans le pays, ajoute SITE. Parmi les propositions postées sur le forum Shumukh al-Islam, figure notamment l’attaque de la Tour Eiffel. Sur une page de discussion intitulée « Déclaration de guerre contre la France croisée », des membres suggèrent également de « répandre l’horreur » via une campagne de mails visant notamment des hôtels parisiens.

Alors que dans une autre discussion, des internautes suggèrent de donner de l’argent pour défendre les musulmanes condamnées à payer une amende en raison du port du voile intégral, un membre propose d’utiliser plutôt l’argent collecté pour « une opération martyre » au coeur du pays.

Depuis lundi, le port du niqab ou de la burqa n’est plus autorisé en France dans la rue, les jardins publics, les gares, les commerces ou les mairies, en vertu d’une loi interdisant la dissimulation du visage.

Il y aurait en France environ 2.000 femmes intégralement voilées, selon diverses estimations.

Source: http://www.fdesouche.com/199097-interdiction-du-voile-integral-des-internautes-declarent-la-guerre-a-la-france

24/09/2010

Quels fondements juridiques pour la loi sur le voile intégral ?

On n’a pas fini d’en croiser...

On s’est encore fait avoir… En fait, nous n’avons pas eu notre mot à dire, comme d’habitude… France, terre de démocratie… On favorise l’intégrisme et la préférence non nationale bat son plein… La provocation ne va que s’amplifier…

FDF

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La loi portant interdiction de dissimulation du visage dans l’espace public ou loi anti-burqa a définitivement été adoptée lundi 13 septembre à l’issue d’une procédure législative qui aura été marquée par l’accord politique quasi unanime sur la question. Transmise le lendemain même au Conseil constitutionnel par les Présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat pour contrôle de conformité à la Constitution, la loi est en attente de validation. Le Conseil suprême rendra sa décision sous un mois.

Si la question de la nécessité de légiférer sur son interdiction est déjà apparue en Italie, aux Pays Bas ou en Belgique, jamais jusqu’à ce jour, un pays n’était allé au bout de la procédure législative pour l’interdire. Or, face à cette pratique religieuse radicale, la France se trouve aujourd’hui prise au piège de ses propres principes.

En effet, jusqu’alors la liberté de conscience et de religion se trouvait encadrée entre le respect de la liberté d’autrui et l’ordre public, d’une part et le respect du principe de laïcité de l’Etat d’autre part. Ce dernier principe avait ainsi permis aux pouvoirs publics d’endiguer la manifestation de l’appartenance religieuse dans les services publics et tout spécifiquement dans les écoles, collèges et lycées publics (Loi du 15 mars 2004).

Or, l’apparition récente du port du voile intégral en France pose un tout autre problème : celui de savoir limiter la manifestation d’une pratique religieuse intégriste dans l’espace public en général et non plus dans les seuls rapports de l’individu aux services publics comme c’était le cas jusqu’alors avec le voile islamique. Le port du voile intégral témoigne une fois de plus de l’adage : « trop de liberté tue la liberté ». Non seulement il montre la progression inquiétante du mouvement salafiste sur notre territoire, mais il s’avère difficile à limiter en pratique en ce qu’il touche à la liberté de l’individu en lui-même et non plus l’individu dans ses rapports aux pouvoirs publics. Or, en droit, seule la contrainte constitutive d’une atteinte à une liberté peut être réprimée. Mais dès lors que les femmes déclarent se voiler intégralement de manière consentante, la liberté de religion ne peut être limitée.

De fait, les pouvoirs publics ont été bien en peine de trouver sur quels fondements juridiques se reposer pour interdire une telle pratique. La seule voie possible s’avérait être l’atteinte à l’ordre public. Encore fallait-il parvenir à définir ce qu’est l’ordre public dans ce cadre précis.


Jusqu’alors, l’ordre public se définissait en droit selon trois composantes : la tranquillité, la sécurité et la salubrité publiques (composante matérielle) auquel la jurisprudence a ajouté une dimension immatérielle, la moralité publique en développant le principe de sauvegarde de la dignité humaine. C’est précisément sur ce dernier volet qu’entendaient se positionner les pouvoirs publics pour interdire le voile intégral. Or, ce principe n’a connu qu’un développement limité qui en fait un fondement juridique léger. D’où la conclusion du Conseil d’Etat dans son avis du 30 mars 2010 : « aucun fondement juridique n’apparaît suffisamment solide pour justifier une interdiction générale du voile intégral en tant que tel ».

Aussi, nous sommes actuellement -et sous toutes réserves de la décision qui sera rendue par le Conseil constitutionnel- dans cette situation paradoxale où, la moralité publique qui permet d’interdire l’exhibition sexuelle sur la voie publique, ne permet à elle seule d’interdire le port du voile intégral sur le territoire national.

Non seulement la loi pose de sérieux doutes quant à sa constitutionnalité voire sa conventionnalité, mais en plus les sanctions qu’elle prescrit s’avèrent en pratique ridicules. En effet, la dissimulation de son visage dans l’espace public est punie d’une amende prévue pour les contraventions de seconde catégorie c’est-à-dire entre 22 € (tarif préférentiel si l’amende est payée sous 3 jours de la remise ou 15 jours de l’envoi) et 150 € (tarif maximal), laquelle peut être cumulée avec un stage de citoyenneté, lequel peut se substituer à l’amende. Avec une telle sanction, nul doute que la société française est bien protégée de tout intégrisme musulman….

Source: Novopress.info, 2010

14/09/2010

Loi sur le voile intégral: pas gagné d’avance; mais pas du tout…

C’est l’éléphant qui accouche d’une souris… Tout ce patacaisse pour un semblant de sursaut d’identité nationale qui a occupé l’esprit de plus d’un français ces derniers temps. C’était fait pour. A la veille de l’examen du projet de loi, il ne faut pas s’attendre à des miracles…

FDF

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14/09/2010

La loi sur le voile intégral sera difficile à mettre en œuvre…

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Le Sénat examine ce mardi 14 septembre le projet de loi interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public. S’il est voté dans la même version qu’à l’Assemblée, le texte sera, dans la foulée,définitivement adopté. Policiers et juristes s’interrogent déjà  sur son application


«Nul ne peut, dans l’espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage. » C’est sur le fondement de l’article premier de la loi que les forces de l’ordre devront, à l’avenir, verbaliser les femmes portant le voile intégral, si le Sénat entérine définitivement le texte qui lui est soumis.

Juristes et forces de l’ordre redoutent déjà que ce projet de loi ne se révèle très difficile à appliquer dans les différents lieux concernés que sont la rue, les cités, les magasins, les transports et les points d’entrée en France, comme les aéroports.

Dans la rue. Le voile sera ôté à l’abri des regards.

Comme pour n’importe quelle infraction commise sur la voie publique, les policiers verbaliseront immédiatement les femmes portant un voile intégral. En ce cas, la vérification d’identité risque d’attiser les tensions. Car si la contrevenante refuse de lever son voile, elle sera emmenée au poste. « On lui permettra de s’isoler dans une pièce à part, où elle montrera son visage à l’une de nos collègues femmes », précise Jean-Marc Bailleul, secrétaire général adjoint du Syndicat national des officiers de police (Snop). Et ce à l’instar des dispositifs à l’œuvre pour la fouille à corps.

Une fois le procès verbal établi, rien n’empêchera la contrevenante de repartir en niqab… « Dans les faits, les policiers n’auront pas les moyens de faire cesser l’infraction, note la juge Virginie Valton, secrétaire nationale de l’Union syndicale des magistrats (USM). De l’extérieur, on aura donc l’impression que l’action des forces de l’ordre n’a aucune incidence. »

La justice convoquera ensuite les femmes verbalisées. C’est aux juges de proximité qu’il reviendra, in fine, d’opter pour une amende (entre 22 et 150€) et/ou un stage de citoyenneté.

Dans les cités. Les forces de l’ordre ne feront pas d’excès de zèle

Sur le papier, la loi s’applique bien évidemment sur l’ensemble du territoire. Reste que, dans les faits, les policiers se disent convaincus qu’on ne les enverra pas dans les banlieues sensibles pour verbaliser les femmes intégralement voilées. « Notre hiérarchie nous demande déjà d’éviter au maximum les cités difficiles de peur que le moindre incident n’embrase le quartier, alors vous croyez vraiment qu’on va nous dépêcher dans les quartiers salafistes pour combattre le voile ? » ironise un policier de la Seine-Saint-Denis.

Sauf à se voir imposer un quota de verbalisations à effectuer, nombre de policiers avouent déjà ne pas vouloir faire de zèle pour faire appliquer la loi. « On se contentera de verbaliser les femmes présentes en centres-villes, pas plus »…

Suite et source: http://tinyurl.com/35kek4c