Francaisdefrance's Blog

06/03/2012

Les banlieues: le problème absent dans la campagne électorale… Et pourtant.

Oui; et pourtant… Que de problèmes partent de là… On préfère ignorer ce qui s’y passe? Mais tout le monde le sait. Mais c’est un sujet « hypersensible » qui ferait ressurgir la relation entre la racaille, la délinquance et l’islamisation… Donc, on évite. Quel courage…

FDF

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Que c’est étrange : le problème des banlieues pourtant significatif est le grand absent de la campagne des présidentielle 2012.

Tout se passe comme si les candidats ou présumés tels avaient la crainte de parler du brasier, de peur qu’il ne s’allume tout seul. Parler des banlieues c’est, à l’évidence, évoquer seulement celles qui ont des problèmes et non les plus paisibles.

Huit millions de personnes vivent dans cinq cent villes ou quartiers échappant à l’autorité de l’État. Cela signifie que, dans le pire des cas, la police ne peut jamais y pénétrer sauf avec des effectifs considérables, médecins et pompiers idem, pharmacies fermées, boutiques en déshérence. Évidemment ce terrifiant tableau varie selon les lieux et dans chaque lieu selon les moments ou les périodes. Il y a la banlieue dont les trafiquants sont les propriétaires et qui se gère totalement comme un territoire indépendant, en passant, au besoin, des « traités » pour le partage de zones avec d’autres territoires ; à côté peuvent exister des quartiers simplement tristounets…. .

Vivre dans la paix, n’importe où, reste l’un des services majeurs que les habitants d’un pays doivent exiger et obtenir de l’État; or dans ces banlieues les habitants vivent baignés dans une sorte de guerre larvée, ceci hormis le groupe des trafiquants qui se réjouissent du désordre et prolifèrent avec lui. Comme existent d’autres zones de non-droit telles que les lignes de RER des environs de Paris ; la vie de milliers de personnes y est gâchée par l’impossibilité de monter tranquillement dans un train bien ! Mais attardons nous dans le sujet des banlieues.

L’HISTORIQUE
L’histoire est compliquée et très ancienne. En 2005, les banlieues s’étaient enflammées ; quelques années avant, la place de la Bastille avait été détruite par une armée de mille malandrins parfaitement entraînés et dirigés.

Tous les gouvernements, qu’ils soient de la vraie gauche ou de la fausse droite, ont allumé ou attisé le feu, comme des pyromanes, tout en jouant les pompiers avec de l’argent dilapidé sans contrôle. L’appel lancé jusqu’au fond de l’Afrique pour attirer toute la misère du monde fut puissant et n’est pas près de s’éteindre. La folie du logement social en croissance permanente et jamais suffisante y aide. Le manque d’argent d’un État toujours impécunieux interdit toute solution comme, par exemple, l’accroissement de la présence policière. La calamité grandit et s’enroule sur elle-même : en témoigne l’échec des politiques de la ville successives qui engloutissent en pure perte de l’argent qui n’existe pas et aggrave à son tour le manque dramatique de moyens financiers. Le prétexte de l’anti-racisme empêche de tenir des statistiques et de prendre ainsi les solutions adéquates. Concernant l’immigration, les politiques se sont enfermés dans le politiquement correct qu’ils ont eux-mêmes créée.

Malgré cette omerta officielle, la police commence timidement à avouer que l’islamisation rapide de la société aggrave les problèmes en créant des territoires ne cherchant pas à s’intégrer ; elle se garde, au nom du politiquement correct, de dire que le refus des traditions chrétiennes historiques de la France, toujours valables même si tout le monde n’en n’a pas conscience, forme un obstacle insurmontable. S’y ajoute le problème des bandes qui, au nombre de 300 recensées par la police, manipulent des armes de guerre : elles sont comme des armées étrangères campant au milieu du territoire national, images lointaines des grandes compagnies ravageant naguère le territoire !

Dans ces banlieues, le chômage, déjà dramatique ailleurs, est pratiquement doublé. Bien sûr la drogue règne ; A quoi peut rêver un jeune désœuvré et inadapté à l’école, qui gagne facilement sa vie à faire le guet ? Tout simplement à devenir lui-même dealer et à rouler à son tour dans des voitures de luxe. Droit de vote ? Pourquoi l’exercer dès lors qu’une sorte de zone d’exclusion existe. Le résultat est que le nombre de non inscrits sur les listes électorales est le double de ce qu’il est ailleurs et qu’il y a davantage d’abstentions dans ces territoires.

QUE FAIRE ?
Certes, l’urgence absolue serait de résoudre les grands problèmes de la société française comme le chômage, la paupérisation, l’illettrisme, le désordre de la justice. Ces problèmes bouchent l’horizon ; ils expliquent le quasi silence de la campagne présidentielle sur le sujet, personne ne sachant vraiment comment faire et les candidats principaux craignant à juste titre de se trouver confrontés à leurs propres turpitudes.

En espérant cette urgence en forme de rêve qu’y aurait-il à imaginer ?

La situation, compte tenu de l’historique, n’est pas facile à appréhender car elle est extrêmement variable. Le trait dominant est la véritable « sécession » de ces territoires, d’où la nécessité d’une « reconquista ». Ce terme est justifié car à des siècles de distance il y a des ressemblances significatives.

Faire des opérations « coups de poing » ? Les dirigeants de la police sont sceptiques. Une opération de ce type ne déstabilise la fourmilière que pendant une demi-journée et les dealers reviennent à nouveau. Ne pas oublier également que, quand la police fait son travail, la justice ne suit pas ; en France, chaque année 90 000 décisions de justice ne sont pas exécutées !

Frapper les dealers au portefeuille ? Ce serait la voie royale ; les moyens et les renseignements existent selon les syndicats de policiers eux-mêmes : ces dealers iraient tout simplement exercer leurs activités dans d’autres pays. Il est surprenant que, sauf quelques timides tentatives, cette méthode n’ait pas eu lieu à grande échelle et cela conduit à imaginer d’étranges complicités éventuelles !

Quelle que soit la stratégie imaginée, il y aurait une règle absolue : pas de « coups de poing », mais reconquête morceau par morceau ; un territoire reconquis ne devant plus jamais être abandonné.

MICHEL DE PONCINS.

Source: Tocqueville Magazine

24/02/2012

J’y crois pas: Hollande encense les banlieues !!!

Je pense que quand on lui aura brûlé sa (ou ses) voiture(s); il va vite changer d’avis… Je crois aussi qu’il va chercher des voix, en derniers recours, dans la fange de notre société. En arriver là, c’est grave. Sarkö voulait kârchériser ces zones de non-droit. Hollande leur offre la France; à piller, je pense…

Nous tombons  de Charybde en Scylla.

FDF

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Tête à tête avec les futurs dirigeants de la nouvelle France…

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Hollande salue « la génération montante » des banlieues

A Evry, devant un public très jeune, le candidat PS a fustigé la stigmatisation des quartiers populaires et appelé à la « réconciliation » de la France.

Le candidat PS à l’Elysée, François Hollande, a salué mercredi 22 février la France des banlieues « qui entreprend, qui émerge, qui s’engage« , accusant la droite de les avoir « abandonnées, reléguées, stigmatisées ».
« Au-delà des enquêtes d’opinion dont je ne sais rien, vous êtes le meilleur indicateur de la victoire qui se dessine », a lancé François Hollande alors que l’écart se réduit entre lui et son principal rival Nicolas Sarkozy dans les sondages.
« Ici, c’est la France qui entreprend, qui émerge, qui s’engage », a-t-il proclamé dans la salle archi-comble des Arênes de l’Agora, à Evry, sous les acclamations d’un public très jeune (4.000 personnes, selon les organisateurs).
Il a été accueilli par le député-maire de la ville Manuel Valls, son directeur de campagne.

« La génération montante »
A l’inverse, il a accusé Nicolas Sarkozy d’avoir mené une politique où les banlieues « ont été abandonnéees, reléguées, stigmatisées », d’avoir considéré la jeunesse des quartiers comme « paresseuse, incapable, dangereuse ».
Le député de Corrèze s’est dit porteur « d’un message d’égalité entre les citoyens, les territoires, les générations » et, au titre de la parité, il a promis qu’il « restaurerait un ministère du droit des femmes ».
« Vous les habitants des cités, vous êtes l’avenir de la France, vous êtes la génération montante, vous affrontez durement la réalité, je n’ignore rien de la difficulté d’accéder au logement », « au travail (…) Je sais aussi que l’insécurité est toujours là », a-t-il lancé.
« Je veux m’appuyer sur ses quartiers populaires (…) J’aime la France et j’aime les Français, je n’oppose personne, je ne stigmatise personne, je ne considère pas qu’il y aurait une anti-France », a poursuivi le candidat PS. « Moi, je ne veux pas installer la peur, je veux au contraire faire émerger l’espoir » et « je veux rassembler les Français », a-t-il dit.

« Soyez fiers d’être Français« 
Jugeant « inadmissible que des jeunes ne puissent pas accéder à l’emploi à cause de leur lieu d’habitation » ou de « leur couleur de peau », il a demandé: « Est-il normal que ce soient toujours les mêmes jeunes qui se fassent interpeller, suspecter? », « est-il normal que des personnes attendent des heures dans la nuit, dans le froid, pour attendre tout simplement » des papiers?
« Soyez fiers de ce que vous êtes, soyez fiers d’être Français, soyez fiers de la République », a lancé François Hollande demandant à cette « France réconciliée de donner à la gauche la responsabilité de servir la France ».
Le matin, le candidat PS s’était rendu à Paris au « ministère de la crise des banlieues », installé par le collectif AC-LEFEU dans un hôtel particulier du 4e arrondissement, pour affirmer qu' »aucun territoire ne (devait) être délaissé, aucun citoyen abandonné ».

http://tempsreel.nouvelobs.com/

22/02/2012

Camera cachée en Seine St Denis, Sarkozy vous a berné, Hollande reste aveugle…

Un reportage stupéfiant (pas fait exprès, là…) qui ne laisse aucune équivoque sur les bienfaits de l’immigration. Vous l’avez déjà certainement vu mais il est bon de se souvenir de quoi nous somme entourés; surtout en ces périodes pré-électorales…

FDF

Photo d’illustration…

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20/02/2012

Banlieues: « c’est une terre de l’Islam et à un moment donné effectivement, la République n’y pénétrera plus »…

Comme ça, livré « brut de pomme » ça peut faire peur… Mais on nous rabâche depuis si longtemps qu’il n’existe aucun  lien entre les banlieues, les racailles et l’islam…

L’historien Alexandre Adler nous prouve le contraire. Merci; monsieur Adler.

Un petit bonus, avant de lire la suite: 

Cette vidéo, qui circule LIBREMENT sur la Toile, a déjà été vue plus de 170 000 fois. Par qui?

FDF

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« Les quartiers essayent au fond de s’auto-administrer contre le pouvoir d’Etat. »

« Alexandre Adler a enfin conclu en relatant une anecdotique arrivée à Martine Aubry. La maire de Lille se rendait à Roubaix, dans un quartier à 90% musulman et « l’Imam l’a accueilli d’un bienvenue chez nous qui malgré toute la tolérance de Martine Aubry dans ce domaine ne lui convenait pas ». »

C’est bien elle  qui, pourtant, avait dit qu’en dessous de  35%  « elle s’emmerdait  »   elle devrait être aux anges ……

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Les banlieues françaises sont en passe de devenir des « terres d’Islam » et de nombreux musulmans français y aspirent, selon l’historien Alexandre Adler, qui s’inquiète de « l’auto-administration musulmane contre l’Etat » dans les quartiers sensibles.

Selon Alexandre Adler, les violences en banlieue ne s’expliquent pas seulement par des problèmes sociaux, mais il existe selon lui « une conception du territoire propre à l’Islam » : « Il y a l’idée dans la doctrine musulmane la plus traditionnelle qu’il existe une terre de l’islam. Là où l’Islam s’est répandu, là où les peuples l’ont accepté cette terre est désormais islamique », a-t-il expliqué lors d’une interview sur France Info.

Selon lui, la situation des banlieues françaises est comparable à celles des régions musulmanes de l’Inde qui ont fini par faire sécession et devenir le Pakistan et le Bangladesh. « C »est un peu ce qui se passe quand les quartiers essayent au fond de s’auto-administrer contre le pouvoir d’Etat. C’est une terre de l’Islam et à un moment donné effectivement, la République n’y pénétrera plus », a-t-il poursuivi.

Alexandre Adler a enfin conclu en relatant une anecdotique arrivée à Martine Aubry. La maire de Lille se rendait à Roubaix, dans un quartier à 90% musulman et « l’Imam l’a accueilli d’un bienvenue chez nous qui malgré toute la tolérance de Martine Aubry dans ce domaine ne lui convenait pas ».

Source: : http://24heuresactu.com

20/01/2012

Suite au commentaire de Sylvain…

Sylvain m’ écrit:

« Sylvain commented on L’autenthique raciste du jour est…

Bonjour. Attention je vous signale que vous êtes surveillé par le FBI et la DGSE Méfiez vous Vous êtes surveillé.
Un ami Francais »

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Merci à vous.

C’est un grand honneur d’être surveillé par ces officines au service de la « bien-pensance ». Ce n’est pas donné à tout le monde. D’ailleurs, j’en profite pour les saluer au passage. Ils font bien leur boulot.

Félicitations, les gars! Mais franchement; vous n’avez que ça à faire?

L’islam intégriste est en train de nous envahir; vous n’aviez pas vu? Personne ne vous tient au courant? Des attentats terroristes visant la population Française ont été déjoués. Sous les mosquées, on trouve des stands de tir à la « kala ». Vous ne le saviez pas?

Dans les écoles coraniques, toujours en France (et ailleurs), on enseigne la charia en vue du remplacement proche de notre Constitution et on apprend comment anéantir le monde Occidental. Pas au courant non plus?

Partout sur NOTRE territoire, la propagande islamiste intégriste fait rage. Il faut aller de temps en temps sur les marchés spécialement dédiés aux musulmans; il y en a plein.

Et dans les banlieues… Tout baigne? Et dans les grandes villes (Paris, Marseille…); la police se fait massacrer à la « kala ». Lisez les médias.

La came… Ah oui, la came. Moi, je pense à tous ces jeunes Français qui sont les victimes de ces « jeunes issus de l’immigration » pour qui une vie d’ado vaut moins que 10 grammes de shit…

Ben oui; c’est pour pallier tout ça que ce blog (et tant d’autres) existe… Et on ne fait que notre devoir de PATRIOTE !

« Si vous me poursuivez
Prévenez vos gendarmes
Que je n’aurai pas d’armes
Et qu’ils pourront tirer »

Serge Reggiani (Le déserteur).


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Revenons à des choses sérieuses.

Je sais qui vient m’espionner et quand. WordPress est excellent pour ça. Avec environ 5000 visites par jour, je peux quand-même voir d’où viennent les intrus… Et à moins que la DGSE et le FBI n’envoie des « trolls » pour faire le boulot à leur place, je n’ai rien remarqué d’anormal… Je vais vous faire une confidence, Sylvain: des « visiteurs », j’en vois arriver d’Arabie Saoudite, du Maghreb, de Russie, des USA, du Nigéria, et j’en passe. Je ne vais pas sombrer dans la paranoïa pour autant.

Mais merci quand-même. Un résistant prévenu en vaut deux…

FDF

PS: La prose en début de texte était pour me défouler; ça fait du bien, parfois. Humour…

19/01/2012

PMF: Ils s’organisent pour nous islamiser…

Le PMF (Parti des Musulmans de France) n’est pas né sans desseins peu agréables pour notre France et notre République. Les voici regroupés en un parti. Combien sont ils? Personne ne le sait. Mais ils sont prêts pour les prochaines législatives… Aurons des députés musulmans à l’Assemblée Nationale? C’est fort possible. Les Parti Socialiste me fait bien rire en allant à la pêche aux voix chez ces gens-là. Il est probable que pour les présidentielles, certains muzz vont voter Hollande (vous savez, celui qui chasse dans les « quartiers »):

Moi, il me fait pitié, ce mec…

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Mais, aux législatives, ils voteront pour leurs candidats; car il y en aura. Et le PS l’aura eu « profond » (désolé…). Nous, les Français de souche, serons en grand danger. Car il est certain qu’avec une puissance politique, les musulmans se sentiront plus forts. Et pourront encore plus facilement faire passer leur charia. Et là, nous serons les premiers à trinquer; certain… La peine de mort sera vite rétablie. Mais pas la guillotine, ce n’est pas leur truc. Décapitations au sabre, lapidations, pendaisons, viols, tortures, et j’en passe et des meilleures..

Enfin; ce n’est pas faute de ne pas avoir prévenu… Mais il est encore temps de résister et d’anticiper ce futur proche; chacun à sa façon…

Mettez vous en tête que nos enfants ne devront JAMAIS vivre sous l’emprise de la charia !!! JAMAIS !

FDF

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6 LE PMF

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Marine, vite !!!

Et ce qui découle de cette immigration:

Les « sous-chiens » à la rue. Priorité aux immigrés…

16/01/2012

LE VIOL DES FEMMES NON MUSULMANES PAR DES MUSULMANS EN OCCIDENT…

L’article ne date pas d’aujourd’hui mais l’analyse est toujours d’actualité. Le viol raciste est l’apanage des islamistes…

Refoulés sexuels? Certes; comme tous les violeurs.

Viols soi-disant au nom de la »religion »? C’est leur excuse…

Ca se soigne; enfin, on essaie. Mais avec des malades de ce type, on a du mal à croire en la médecine pour enrayer l’épidémie.

« Couic! », comme dirait Henri.

Alors les muzz? Envie de violer, là ???

FDF

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Un article de Frontpage magazine qui revient sur un sujet souvent occulté par les médias, les intellectuels et les politiques parce qu’islamiquement incorrect.

http://www.frontpagemag.com/Articles/ReadArticle.asp?ID=20646

Traduit par Marianne pour www.occidentalis.com le 28 décembre 2005

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Les motivations des criminels sont claires : comme ils l’expliquent eux-mêmes, le choix de leurs victimes relève de raisons ethniques. En Australie, en Norvège, en Suède et d’autres nations occidentales ces viols racistes sont en progression et soutenus par des hautes autorités islamiques: le cheik libanais Faiz Mohammed excuse le viol des Australiennes provocatrices habillées de façon « indécente », tandis que le mufti et le disciple islamique, Shahid Mehdi expliquait que les femmes danoises violées l’avaient cherché puisqu’elles ne portaient pas le foulard islamique !

Pour le cheik égyptien Al-Qaradawi , les femmes violées « provocatrices parce que non habillées « décemment » devraient être punies. Il a ajouté, « pour qu’elle soit affranchie de la culpabilité, une femme violée doit avoir montré la bonne conduite. »

En Norvège et en Suède, le journaliste Fjordman parle d’une épidémie de viol. Deux viols sur trois commis à Oslo sont le fruit des immigrés musulmans et 80 pour cent des victimes sont des femmes norvégiennes.

En Suède, selon Ali Dashti, « Les viols collectifs, habituellement faisant participer les mâles immigrés musulmans et les filles suédoises indigènes, sont devenus banals. » Il y a quelques semaines cinq Kurdes ont brutalement violé une suédoise de 13 ans« .

En France, Samira Bellil est sortie de  son silence – après avoir supporté des années des viols collectifs répétés dans des cités majoritairement habitées par des musulmans – et a écrit un livre, « dans l’enfer des tournantes« . Décrivant comment le viol collectif est effréné dans les banlieues , elle a expliqué au Temps que, « n’importe quelle fille de voisinage qui fume, emploie le maquillage ou porte les vêtements attrayants est une putain. »

Malheureusement, les femmes occidentales ne sont pas les seules victimes de cette épidémie. En Indonésie, en 1998, les groupes de droits de l’homme ont rapporté le témoignage de plus de 100 femmes chinoises violées pendant les émeutes qui ont précédé la chute du Président Suharto. Bon nombre des violeurs ont dit : « vous devez être violées, parce que vous êtes chinoises et des non-Musulmanes. »

En avril 2005, une fillette  pakistanaise de neuf ans a été violemment violée par ses voisins musulmans ; elle était infidèle et chrétienne et devait payer pour l’intervention des Américains en Irak…

Au Soudan – où les musulmans arabes abattent les musulmans noirs et les Soudanais chrétiens dans un génocide continu – l’ancien esclave soudanais et maintenant activiste des droits de l’homme Simon Deng* explique qu’il était témoin des filles et des femmes violées et que le régime arabe de Khartoum envoie ses soldats pour commettre ces crimes. Dans d’autres rapports, des femmes qui sont capturées par des forces gouvernementales sont interrogées : « êtes vous chrétienne ou musulmanes? » et celles qui répondent chrétiennes, sont  violées, leurs seins coupés.

Ce phénomène de violences sexuelles islamiques contre des femmes non-musulmanes occidentales devrait être traité comme une épidémie pressante, violente, répressive. Au lieu de cela, les journalistes, les intellectuels, et les politiciens l’ignorent, le rationalisent, ou diabolisent ceux qui osent en parler.

En Australie,  quand le journaliste Paul Sheehan a rendu compte honnêtement des viols collectifs de Sydney, il a été traité de raciste et a été accusé d’entretenir  la haine contre les musulmans. Keysar Trad, vice-président de l’association musulmane libanaise australienne a indiqué que les viols collectifs étaient un crime « honteux » mais se plaignait que l’appartenance ethnique des violeurs avait été rapportée. D’ailleurs pendant le jugement l’appartenance ethnique des violeurs n’a pas été évoquée… Les policiers responsables des enquêtes ont été violemment menacés par les libanais musulmans : menaces de mort à leur encontre et menaces de viols envers leurs petites amies…La police a fini par laisser tomber leurs poursuites contre des violeurs libanais…

En France, dans les banlieues,  le viol collectif est maintenant connu simplement comme tournantes où les victimes savent que la police ne les protégera pas. S’ils se plaignent, Samir Bellil dit, ils savent qu’eux et leurs familles seront menacés. Dans la plupart des poursuites françaises, les violeurs musulmans déclarent qu’ils ne croient pas qu’ils ont commis un crime. Et dans un parallèle effrayant avec les violeurs en Australie, ils disent que la victime doit se blâmer elle-même et l’accuse d’être une »salope » ou une « putain. »

Selon le Guardian , pendant les émeutes françaises récentes, un prince saoudien avec des parts à News Corporation a revendiqué à une conférence à Dubaï qu’il avait téléphoné à Rupert Murdoch et s’était plaint au sujet des nouvelles de Fox News décrivant les perturbations en tant qu « émeutes musulmanes. » Dans la demi-heure qui a suivie, le terme a été changé en « émeutes civiles. »

À Malmö, la troisième plus grande ville en Suède, la police a admis qu’elle ne commande plus la ville. « Elle est efficacement dirigée par les troupes violentes des immigrés musulmans. » Le personnel d’ambulance est régulièrement attaqué et refuse maintenant d’aider jusqu’à ce qu’une escorte de police arrive. La police a trop peur pour investir des parties de la ville sans protection.

Début 2005, les journaux norvégiens ont signalé qu’Oslo avait enregistré le nombre le plus élevé de cas de viols en douze mois précédents. Cependant, Fjordman explique que les statistiques officielles ne contenaient aucune donnée concernant « la surreprésentation des immigrés dans les auteurs de viols », et les médias demeurent étrangement silencieux. Le professeur d’Oslo d’anthropologie, Unni Wikan, a dit que les femmes norvégiennes doivent prendre la responsabilité du fait que les hommes musulmans trouvent leur façon de s’habiller provocatrice. Et puisque ces hommes croient que les femmes sont responsables du viol,  les femmes doivent s’adapter à la société multiculturelle ! [NDRL : Au lieu d’agir, de punir sévèrement les criminels, de prévenir les femmes non musulmane du danger, on demande tout simplement aux femmes occidentales d’avoir une attitude de dhimmi ! Lamentable !]

La BBC a fait un documentaire programmé en 2004, avant que la police en Grande-Bretagne ait averti qu’il pourrait augmenter la tension raciale. « Dans ces circonstances exceptionnelles… A Channel 4, l’animateur responsable a accédé à la demande de la police…  » Le documentaire devait montrer comment les Pakistanais et d’autres hommes musulmans ont sexuellement maltraité des jeunes filles anglaises blanches aussi jeunes que 11 ans.

Le nombre de viols commis par des hommes musulmans contre des femmes dans la dernière décennie est tellement incroyablement haut qu’il ne peut pas être regardé autrement qu’un comportement culturellement implicite. Il est manifestement renforcé et encouragé par les chefs religieux musulmans qui blâment les victimes et excusent les violeurs.

En trois décennies d’immigration dans les pays occidentaux, l’Islam a causé des bouleversements et des ravages sociaux dans chacun de ses pays d’accueil. Aucun autre programme d’immigration n’a rencontré les problèmes de non-assimilation et d’ambiguïté religieuse.

Ainsi donc les musulmans n’hésitent plus à utiliser l’arme de guerre qu’est le viol en Occident. Parce que nous sommes en guerre et c’est l’islam qui nous l’a déclarée. Ne pas l’admettre, claironner à droite et à gauche le contraire ne retire pas la réalité des faits. Et cette horrible réalité qui prend forme par le viol  des femmes occidentales non-musulmanes est une réalité qui s’amplifie et devant laquelle les lâches censés nous alerter et nous protéger se cachent derrière une inacceptable dhimmitude !

Pourtant cet autre élément barbare du djihad qu’est le viol est d’une extrême gravité et d’une grande importance : les femmes ainsi traitées, souillées, insultées et torturées auront du mal à vivre dans la société et à fonder une famille. Et c’est exactement ce que veulent les musulmans : on prend la femme de l’ennemi légalement ou on la détruit par le viol. Et c’est ainsi que l’ennemi finira à la longue par être diminué parce que  moins nombreux !

Le pire dans tout cela c’est la complicité abjecte de tous ces salopards qui ne veulent surtout pas entendre parler de la vérité ni la voir éclater au grand jour (ce qui nous permettrait de nous protéger!), pour qui ces faits sont insignifiants en fin de compte : on ne va pas sacrifier « la paix » pour si peu ! Et c’est ainsi que les fils d’Allah tissent leur toile partout en Occident, et de faits « insignifiants » en faits « insignifiants », appliquent leur projet qui est d’islamiser le monde.

Merci à Max…

12/01/2012

Provocation venue des banlieues…

Souhaitons que cette vidéo impressionnante apportera un plus à nos forces de l’ordre affiliées à la lutte contre la délinquance…

FDF

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http://www.gamaniak.com/video-6325-comment-voler-voiture.html

Merci à Babette….

09/01/2012

“La France survivra-t-elle à l’invasion migratoire ? “ Conférence le 16 janvier à Paris.

Dessin pillé chez Novopress

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Ohhhhhhhhh, à ne pas manquer, cette conférence, pour celles et ceux qui pourront y assister. On devrait y apprendre bien des choses. Si la censure n’interdit pas son déroulement. Ben oui, le « politiquement correct », ça bastonne où ça veut, quand ça veut…

FDF

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« Nous verrons si la problématique de l’immigration ne doit pas être réexaminée en termes de collaboration et de résistance.
En l’absence de résistances nationales, Caldwell pense que les pays européens disparaîtront, comme Byzance a disparu devant l’Empire ottoman.

La France est une des plus concernée dans cette marche vers l’auto-destruction.
Nous parlerons de tout cela le 16 janvier. D’ici là je vous adresse mes meilleurs vœux pour 2012. »

C’est  clair non???
Face au laxisme  et au désintéressement total de nos dirigeants et politiques  LA RESISTANCE DOIT S’ORGANISER

Source :  http://fr.novopress.info/

JC JC…

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La France survivra-t-elle à l’invasion migratoire ? Une conférence d’Yvan Blot


Yvan Blot, contributeur régulier de la fondation Polémia, donnera une conférence sur le thème “La France survivra-t-elle à l’invasion migratoire ? “  le 16 janvier 2012, à 19h30 à l’Hôtel Néva, 14 rue Brey 75017 Paris.

AGIR POUR LA DEMOCRATIE DIRECTE
73, rue de la Faisanderie 75116 PARIS. Courriel : atheneion@free.fr

site web : www.democratiedirecte.fr



Conférence d’Yvan Blot
La France survivra-t-elle à l’invasion migratoire

Le lundi 16 janvier 2012 à 19h30
à l’Hôtel Néva (rez-de-chaussée)
14 rue de Brey – 75017 Parie (près de l’Etoile)

Un livre d’avertissement est paru aux Etats-Unis et vient d’être traduit en français : Une révolution sous nos yeux ; comment l’Islam va transformer la France et l’Europe de Christopher Caldwell avec une préface de la démographe Michèle Tribalat.
Ce livre traite surtout de l’immigration musulmane et fait un sombre pronostic sur l’avenir de la civilisation européenne. Il met en valeur le profond fossé entre les élites dirigeantes auto-satisfaites et moralement pharisiennes et le peuple qui se situe sur « le front de l’immigration » dans la vie quotidienne.
Il est vrai que l’immigration de populations culturellement non européennes est un problème très grave que les élites négligent quand ils ne s’en font pas complices. On est censé être en démocratie mais quand avons-nous été consultés pour accepter une immigration de masse dans notre pays ? Jamais (à la différence ses Suisses).
Et pourtant, celle-ci pose des problèmes économiques, politiques, culturels et religieux.

L’économie et les migrations
Dans ce domaine, il y a beaucoup de fausses idées : on prétend que l’immigration est nécessaire mais c’est un raisonnement à très court terme caractéristique des oligarques au pouvoir qui méprisent le long terme. Elle a été traitée comme si les hommes étaient des matières premières interchangeables et son coût a été négligé. De plus, comme l’a montré l’économiste libertarien Hans Hermann Hoppe, le libre échange vaut pour les biens et services mais non pour les hommes. Un échange économique repose sur la volonté d’un vendeur et d’un acheteur exprimés dans un contrat. Ce n’est pas le cas de l’immigration où l’avis des receveurs n’est pas pris en compte. Un produit ne viendra pas en France de lui-même mais avec les hommes c’est différent. Le résultat est que la liberté des citoyens est bafouée par une immigration forcée.

La politique et les migrations
Nous verrons l’impact de l’immigration de masse sur notre politique étrangère dans un contexte de perte de souveraineté. Puis nous verrons son impact sur la politique intérieure, occasion de voir comment l’oligarchie trahit tout simplement les intérêts du peuple français. De plus, cette oligarchie s’est attaquée à la liberté d’expression afin que le débat sur l’immigration soit étroitement encadré.

Aspects culturels de l’immigration
Notre culture nationale est discréditée par la repentance alors que les immigrés culturellement non européens forment peu à peu des sociétés parallèles avec des privilèges particuliers. Certes, cette société parallèle demeure minoritaire mais l’histoire est pleine de minorités qui ne se sont pas contenté d’habiter un pays mais qui l’ont remodelé. Les bolcheviks en 1917 étaient une minorité à Saint-Petersbourg mais leur détermination leur a permis de prendre le pouvoir. On est aujourd’hui face à un processus de colonisation culturelle et non de simple immigration d’individus prêts à se fondre dans la nation. Face à l’agressivité des lobbies immigrés qui réclament toujours plus de privilèges de l’Etat, notre culture est en pleine dérive et ne permet pas de présenter un modèle qui permettrait l’intégration. Celle-ci ne se fait que marginalement. Il ne faut pas alors s’étonner des hauts taux de criminalité de la population étrangère et des émeutes qui éclatent ça et là dans les banlieues.

Aspects religieux de l’immigration
La France espère éviter la formation d’un islamisme extrémiste sur notre sol grâce à son héritage laïc. C’est là encore une illusion. Beaucoup de djihaddistes sont prêts à sacrifier leur vie pour leur religion islamique : qui est prêt à sacrifier sa vie pour la laïcité ? La laïcité est un sabre de bois face à un Islam conquérant. Le dynamisme islamique s’oppose au déclin du christianisme protestant et catholique. Un vide religieux se créé et menace ainsi notre identité. Une société peut-elle survivre à la disparition de son socle religieux ? On peut en douter. En Europe, seule la Russie pratique, tout en étant laïque, une promotion de l’Eglise orthodoxe considérée comme inséparable de l’identité nationale. La Pologne a montré comment une religion forte permettait de s’opposer au marxisme. Le sociologue Jules Monnerot a qualifié l’islam de « communisme du 21e siècle ». Si c’est le cas, nous devons revoir aussi la place de la religion dans la société française. Sur le sujet de l’Islam, on constate encore une fois que les élites ont une opinion très différente du peuple. Ce dernier a peur. En fait, à tout moment de l’histoire, lorsqu’une invasion étrangère s’est produite, une grande partie des élites dirigeantes, les oligarques, ont pris le parti de la collaboration.

En conclusion, nous verrons si la problématique de l’immigration ne doit pas être réexaminée en termes de collaboration et de résistance. En l’absence de résistances nationales, Caldwell pense que les pays européens disparaîtront, comme Byzance a disparu devant l’Empire ottoman. La France est une des plus concernée dans cette marche vers l’auto-destruction. Nous parlerons de tout cela le 16 janvier. D’ici là je vous adresse mes meilleurs vœux pour 2012.
Yvan Blot
2/01/2012

02/01/2012

La propagande de Oumma.com dans les banlieues…

Et que l’on nous dise encore que l’islam n’a rien à voir avec la racaille… Faut il des preuves de plus?

Et pour étayer ces faits, voir: http://tinyurl.com/6oblh63

FDF

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L’opportunité de l’Islam dans les quartiers populaires…

« Difficile de traiter d’un tel sujet sans éveiller l’attention des ténors auto-proclamés de la laïcité ou des laïcards. Néanmoins, c’est bien dans l’esprit de la loi de 1905, qui garantit la liberté de conscience et de culte, que s’inscrit notre réflexion. L’enquête dirigée par Gilles Kepel à Clichy-sous-bois et à Montfermeil (Seine-saint-Denis), banlieue de la République, a établi une étroite corrélation entre le malaise social sévissant dans ces zones sensibles et les pratiques religieuses de leurs habitants majoritairement musulmans.

En d’autres termes, le retour à la religion ou le repli communautaire serait la conséquence ou le symptôme d’une relégation sociale et géographique dans certains quartiers de France. Or, sans nier la pertinence du rapport publié par l’institut Montaigne, cette conclusion nous semble déficiente, car ayant fait abstraction d’un facteur majeur et déterminant, celui de l’impact du capitalisme dans l’inconscient collectif. La réflexion devrait donc se faire en amont du constat soulevé.

Ce retour à la foi, qui relève selon nous davantage d’une quête de sens que d’un malaise social, traduit inéluctablement une espèce d’évasion spirituelle d’une prison idéologique funeste et aliénante ayant fait miroiter aux citoyens de l’Hexagone une liberté illusoire. Le capitalisme, en effet, est la cause des principales anomalies sociétales ayant généré une réelle cacophonie politique ainsi que de profondes injustices sociales. Ainsi, les « banlieues » sont devenues une espèce de « déchèterie sociale » où l’on vient jeter tous les « encombrants politiques ». Notre pays, par ailleurs, délectera la paix et la justice que lorsque la monnaie cessera d’être le seul régulateur des relations humaines.

C’est donc à ce stade idéologique que doit s’opérer une véritable réforme visant à reposer la question du sens et des finalités qui, au demeurant, fait énormément défaut à la politique régissant la société et, par incidence, provoque de véritables troubles particulièrement dans les « banlieues ». D’ailleurs, l’économie parallèle qui sévit dans ces milieux n’est que le reflet, voire la conséquence, de cette philosophie de l’avoir, de la possession, et surtout, de l’obsession. Les jeunes des quartiers ne sont finalement pas plus assoiffés d’argent que les principaux dirigeants politiques de notre pays. Le problème doit être traité à la source.

Force est de constater, cela étant dit, que l’Islam apparaît dans les quartiers populaires comme un espoir existentiel face à une société en perte de valeurs morales et spirituelles. Cette quête de sens est d’ailleurs patente chez bons nombres de citoyens qui depuis plusieurs années prennent conscience du caractère illusoire et aliénant de la consommation à outrance en cherchant appui dans une spiritualité donnant sens à leur vie.

Des êtres à l’affût d’un vent printanier pour cueillir sous le souffle de leur aspiration naturelle, la Liberté intérieure. Le succès du roman initiatique l’alchimiste de Paulo Coelho dans les années 90 est, à ce propos, parfaitement révélateur. Et ce n’est pas un hasard si le Dalaï-lama, aujourd’hui, notamment à travers la littérature bouddhiste devenue très à la mode, occupe autant de place dans le cœur de beaucoup de citoyens.

Contrairement aux jeunes des années soixante, qui manifestaient de l’intérêt pour des personnalités politiques comme Che Guevara ou de Gaulle dont les visages ornaient les chambres des étudiants, la génération 90-2000 affectionne plutôt des personnalités spirituelles et morales à l’instar de l’Abbé Pierre et Mère Theresa. A ce titre, l’expérience de Michel Serres illustre pertinemment nos propos : « il y a trente ans, lorsque je voulais intéresser mes étudiants, je leur parlais politique ; lorsque je voulais les faire rire, je leur parlais religion. Aujourd’hui, c’est l’inverse : lorsque je veux les faire rire, je leur parle politique… »

Ce retour à la spiritualité dans les quartiers populaires est une forme de réplique à l’idéologie capitaliste qui alimente la majorité des politiques occidentales. C’est pourquoi, aujourd’hui plus que jamais, la laïcité dans ses principes fondateurs garantissant la libre traduction des diverses conceptions du bien et du mal, doit briller de tout son éclat afin de permettre l’épanouissement spirituel et moral particulièrement dans les « banlieues ».

L’Islam, de ce fait, qui selon l’enquête menée par Keppel est très présent dans ces zones sensibles, doit, dans le cadre de la loi de 1905, jouer un rôle majeur en donnant une orientation intellectuelle juste et objective, tenant compte du principe de modération et de globalité du message islamique, aux aspirations spirituelles et morales des jeunes issus du milieu populaire. La laïcité est à notre sens une opportunité entre les mains de l’Islam pour préserver les citoyens des quartiers populaires de l’auto-exclusion et du renfermement et favoriser l’épanouissement de leur citoyenneté.

Le message profond de l’Islam que l’on réduit malencontreusement à des principes techniques dépourvus de sens et de profondeur ou à une technicité du « halâl » et du « harâm » dépouillée de l’esprit et des finalités des textes, est, au même titre que l’ensemble des religions monothéistes, porteur d’un souffle spirituel libérateur à même de doter les « banlieues » d’un cadre éthique et d’impératifs catégoriques, au sens Kantien, bénéfique au rayonnement de la société. Un bon musulman fidèle à ses principes et nanti d’une compréhension juste de sa religion est par nature un bon citoyen.

C’est pourquoi, à l’issue du rapport de l’institut Montaigne, il est fondamental qu’un véritable travail d’enseignement et d’éducation islamique soit mené dans les quartiers populaires pour éviter non seulement que les jeunes, sous l’emprise de cette quête de sens, deviennent des proies faciles entre les mains de certains rigoristes, mais aussi pour mettre leur foi au service de leur citoyenneté. Autrement dit, selon la distinction de Rawls, de mettre leur conception du Bien au profit du Juste. »

 Source: Oumma.com

29/12/2011

Un adage pour le moins réel: « dans le cochon, tout est bon! ».

Pour une fois que ça n’a rien à voir avec les musulmans. Je  faire de la température, moi…

Ca se passe en Grande Bretagne. Ca va donner des idées aux « anti-rave party ».

Dommage qu’on ne puisse pas le faire dans les banlieues et « quartiers sensibles » de France. (Pas pu m’empêcher…).

FDF

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Des excréments de cochons pour chasser des adolescents fauteurs de trouble

Une commune anglaise a choisi une méthode radicale contre les rassemblements de jeunes importunant le voisinage: l’épandage d’excréments de cochons.

La mairie de Middlesbrough, ville du nord-est de l’Angleterre, a décidé d’agir après avoir reçu des plaintes de la part des résidents d’un lotissement, ulcérés par la présence de groupes d’adolescents consommant drogue et alcool dans une zone boisée voisine.

Des agents de la mairie ont élagué des arbres, afin de rendre les jeunes plus visibles, avant de déverser une épaisse couche d’excréments de cochon, qui s’est révélée d’une efficacité redoutable pour chasser les indésirables.

« Une inspection a révélé que les lieux étaient utilisés pour la consommation d’alcool et de drogue, puisque du matériel tel que des ‘bongs’ (pipes à eau utilisées pour fumer des drogues) a été retrouvé », a indiqué un porte-parole de la mairie de Middlesbrough, ajoutant que les habitants préféraient encore la « légère odeur » du fumier aux désagréments liés à la présence des jeunes.

Source: http://www.lepoint.fr/

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FDF: 37,4c°, rien de grave…

19/12/2011

La guerre de récession…

Encore une forte analyse de Gilbert Collard. Bien pensé…

FDF

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C’est la guerre de récession, la France y entre !    Les journaux l’annoncent comme ils annoncent la météo,  la pluie, le vent, la froidure ; comme si la chose allait de soi et était la conséquence de l’air du temps, avec pour seul responsable le climatologue inconnu. L’état dégradé des banques, l’état chancelant du triple A, l’état  emphysémateux de l’euro, l’augmentation de tout : du gaz -4,3 %-, du chômage, de la pauvreté, du nombre de français -8 millions- qui ne pourront se chauffer, qui ne pourront se loger cet hiver sans abbé Pierre.

 Et pendant ce temps-là, la France des braqueurs institutionnels continue de piller les caisses ; ce qui ne l’empêche pas, à l’occasion, de faire la morale découpée en tranche de mortadelle médiatique pour le repas du 20 heures,  comme si rien n’était du Pas de Calais, des Bouches du Rhône, de Karachi, province balladurienne, des accords électoraux qui font verdir les roses et rosir les verts, d’un ancien président, hélas pour notre honte, condamné ; comme si de rien n’était du rapport accablant de la Cour des Comptes sur la gestion du comité d’entreprise de la RATP, sous contrôle de la CGT, qui loge ses indignations prolétariennes dans un château à Fontenay- lès-Brils et dépense 447 000 euros pour la fête de fin d’année… Le drapeau rouge teinté  dans le sang du Pétrus populaire !

 On comprend mieux, dès lors, la nécessité d’une subvention, en 2009, de 53 millions d’euros. Combien de pain pour les pauvres ?  Combien de tentes pour les sans-logis ? Chapeau, Thibaut du château, la CGT prend les prolos pour des blaireaux ! En tout cas, on sait maintenant où loger les sans-abris, une belle demeure leur tend les bras, sise à Fontenay-lès-Brils ; on y a de l’espace, de l’air pur, des plafonds hauts, et des caves pleines de pinard.

Vous me direz, il faut bien que les syndicats vivent, sinon qui nous emmerderait au moment de partir en vacances ? Sinon pourquoi l’Etat, c’est-à-dire chacun de nous, signerait chaque année un chèque de 4 milliards d’euros pour financer les  organisations de salariés, qui représentent en tout 8 % des leurs, les cotisations militantes représentant 3 à 4 % du budget ?

Ce qui veut dire que les syndicats français dépendent de l’argent public et représentent en réalité le vide du monde du travail, qu’ils savent seulement sonoriser…

Un rapport parlementaire  dévoilant les privilèges exorbitants accordés aux syndicats a été censuré par la droite combinatoire et la gauche schizophrène, afin que le peuple ne sache pas à quel point, en son nom, on  vole et on trahit.

Chut, il ne faut pas le dire, c’est du populisme… Comme si appeler la police au moment où les voleurs fracturent le coffre, c’était du délationisme ?

 Le journal Capital, qui n’a pas été démenti,  affirme, dans sa livraison de décembre, qu’on pourrait économiser, si on voulait toucher aux privilèges des  baronnets républicains, 80 milliards d’euros !

Et pendant ce temps, la France entre en récession, c’est-à-dire pour le peuple des pauvres dans encore plus de pauvreté, dans encore plus de froid, de faim, de peur. Qu’importe, Fillon se chamaille avec Dati pour la soupe, Rama Yadé, soudain, est sans domicile fixe électoral, Hollande, le regard apeuré sur son destin,  ignore les caisses socialistes du  pas de Calais ; Lang, héroïque, menace de griffer d’un ongle vengeur le visage immaculé de Montebourg ; Joly, enfin, jubile, Chirac est condamné, il y avait longtemps qu’elle n’avait pas bouffé du prisonnier ; Duflot, du balais, a eu sa circonscription en virant la sortante ;  Balladur attend l’heure du laitier avec inquiétude . Et un policier est mort, assassiné à la Kalachnikov ; mais est-ce bien sérieux, au milieu de tous ces problèmes ? Ah la colère…

 Enfin, l’ordre moral règne, l’UNEF, l’union des jeunes socialistes, SOS racisme, l’union des étudiants juifs de France, ont empêché Marine Le Pen de s’exprimer à Paris-Dauphine ! Et tout le monde a trouvé cela bien ! Même Sapin, le bien nommé à l’approche des fêtes, a dit « comprendre », qu’on porte atteinte à la liberté d’expression. Décidément, à gauche, ça sent le sapin pour la défense des libertés.

Ne nous quittons pas sur une mauvaise nouvelle : récession, certes, mais le Qatar veille… il sponsorise, n’écoutant que son grand cœur, des projets en banlieues

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

11/12/2011

Solidarité totale avec ces policiers qui risquent leur vie à tout moment pour tenter d’assurer notre sécurité !

Quelques jours dans la peau d’un flic de banlieue; impressionnant. Mais ça, tout le monde ne le sait pas.

Il serait bon pour les « bobos-gauchos » qui défendent les  » jeunes issus de l’immigration » de prendre connaissance de ce qui suit…

Et Monsieur Guéant, il sait tout ça ?

FDF

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Voir: http://youtu.be/g7cwOHU3Aog

Dans l’enfer du 93 : «Moi, flic de banlieue»

Le journal de Christophe D., policier à la BAC de Seine-Saint-Denis.

À l’heure où l’institution policière semble secouée par les scandales à répétition, prise en tenaille entre les affaires de corruption, à Lille comme à Lyon, et la violence de la rue, Le Figaro Magazine a souhaité rendre compte de la réalité des policiers de terrain. Car si la corruption fait tomber les têtes, la violence, elle, ne fait pas de quartier aux hommes en bleu. À Vitrolles, un policier est mort, blessé par balle à la tête à la suite d’une attaque à main armée. À Marseille, comme ailleurs dans les grandes villes de France, les policiers sont en première ligne face à la loi des gangs. Braquages, règlements de comptes et autres guerres fratricides. Pour comprendre cette réalité qui semble parfois sortie de la fiction, Christophe, brigadier-chef engagé au sein de la BAC départementale du 93 depuis sept ans, nous a ouvert les portes de son quotidien. Celui de la BAC. Trois lettres. Une unité: la Brigade anticriminalité. Une mission: la chasse au flagrant délit. Créée en Seine-Saint-Denis le 1er octobre 1971 par Claude Durand, policier et ancien résistant, la Brigade anticriminalité avait pour mission d’offrir une réponse adaptée à une délinquance croissante à la fin des Trente Glorieuses. Quarante ans plus tard, rien n’a changé. Ils sont aujourd’hui près de 3600 policiers en France – dont 80 en Seine-Saint-Denis – chargés, comme Christophe, de traquer la criminalité et les délinquants en tout genre.


Intervention dans un squat à Aubervilliers. Flash-Ball en joue, Christophe D. est là pour assister ses collègues qui viennent d’investir les lieux. (Jean-Pierre Rey)

Le brigadier-chef Christophe sait que lui et ses collègues sont souvent qualifiés de cow-boys, de chasseurs de flag’ ou de têtes brûlées… Et pourtant, il a accepté d’être suivi pas à pas, et durant cinq mois, par le photographe Jean-Pierre Rey. Ce récit extraordinaire est une immersion totale dans le quotidien d’un policier ordinaire. Christophe a accepté de se livrer, de tout nous dire sur sa vie de flic, d’homme, de mari et de père. Il nous a confié ses doutes, ses colères et ses peurs parfois. Salaire, manque de moyens, dangers, le policier pose un regard critique sur son travail. Mais il évoque aussi un métier qu’il vit d’abord comme une passion, parle de son sens du devoir, de son engagement au service de la population, et de ses victoires – certes fragiles – quand l’ordre a été rétabli. Pour des raisons de sécurité, Christophe n’a pas souhaité que son nom de famille apparaisse dans ce témoignage.

La Seine-Saint-Denis, c’est de la bombe!» Ce n’est pas moi, mais Joey Starr, le fameux rappeur du groupe NTM, qui le dit dans l’une de ses chansons. Pour le policier affecté à la brigade anticriminalité du 93 que je suis, c’est en effet de la bombe et ça peut sauter à tout moment. La Seine-Saint-Denis, c’est le département le plus criminogène de France et l’atmosphère y est explosive. Le 93, c’est le très vaste théâtre de nos opérations. Mais ici, le décor n’est pas fait de carton-pâte. La réalité est aussi dure que le bitume des cités que j’arpente sans relâche et souvent aussi grise et triste que le béton de ces barres d’immeubles que l’on finit par connaître par cœur à force de les fouiller. Et puis, il y a l’âpreté de ce quotidien aussi oppressant et écœurant que ces effluves des cages d’escaliers où se mêlent les odeurs de cannabis, d’herbe, de cigarette, d’urine, et où les crachats qui jonchent les halls collent aux semelles, comme le désespoir et la misère se sont agglutinés dans ces murs… pour longtemps, semble-t-il.


Interpellation de trafiquants de drogue présumés à Aubervilliers, en soutien à la brigade des stupéfiants de la sûreté départementale. Les policiers les suivaient depuis des mois. (Jean-Pierre Rey)

Notre routine n’est pas gaie, mais surtout, elle n’a rien de banal. Notre train-train quotidien, c’est d’abord de l’imprévu. Tout, absolument tout, peut arriver à n’importe quel moment: braquage, règlement de comptes, vol à l’arraché, trafic de drogue, agressions en tout genre. L’inattendu fait partie de nos habitudes. Comme ce soir. Je me prépare à rentrer à la maison après une journée de boulot. Notre supérieur nous annonce un changement de programme: l’équipe est maintenue en place jusqu’à nouvel ordre. Les consignes viennent d’en haut et nous devons attendre de nouvelles instructions. Aucune autre information ne filtre. Le secret est gardé jalousement pour éviter les fuites. C’est certainement une très grosse opération. Ça sent le stup ! Alors, avec les copains de la BAC départementale, on prépare notre matériel: gilets pare-balles, armes à feu, matraques. On se doit d’être prêt pour cette opération dont on ignore tout. Quand on fait ce métier, il faut s’adapter à toutes les situations et à l’imprévu. J’appelle ma femme pour lui dire que je ne serai sûrement pas à la maison ce soir, ni même peut-être demain. Elle est habituée à ce genre de «surprises», ma petite femme. Mais surtout, elle sait. Elle est aussi policier. Alors, elle s’inquiète et me couvre de recommandations. «Fais attention à toi. Mets bien ton gilet…» (pare-balles, bien sûr.) Elle a évidemment bien moins peur d’un rhume que d’une balle perdue.

Mardi 6 septembre. Il est 20 h. On attend. Des heures durant.

Chacun s’occupe comme il le peut. Entre deux cafés, on discute de tout et de rien. Et puis, à minuit, ça bouge. Une réunion est organisée avec toutes les équipes mobilisées. Les policiers des stups sont présents. Le plan est précis, détaillé et très bien pensé. Ceux de la sûreté publique ont travaillé des mois durant sur cette affaire: enquêtes, planques, surveillances, écoutes, vérifications des informations. Je retiens avec attention les explications, les positions à tenir… Pas question pour moi de commettre la moindre erreur au risque de faire capoter l’opération et de ruiner tous les efforts de mes collègues. Les officiers nous détaillent le plan d’action. Le mot est lâché: c’est un go-fast en flag. Je le pressentais. Un go-fast, c’est un procédé prisé par les gros dealers et qui consiste à acheminer des cargaisons de drogues à bord de très grosses cylindrées. La méthode employée par les trafiquants est toujours la même. Le convoi est composé de deux voitures roulant à très vive allure. La première reste en tête et sert d’ouvreuse. Il s’agit en fait de repérer tout contrôle ou barrage de policiers. Le deuxième véhicule est chargé, lui, de transporter la marchandise. Ces convois remplis à bloc peuvent faire transiter à travers les frontières des centaines de kilos de substances illicites en quelques heures seulement. Mais pas cette fois. On sera là.

Il est 3h du matin. C’est le moment d’y aller.


Menottes aux poignets, un membre d’un gang de dealers est placé en garde à vue. La BAC a saisi 60 kg de drogue. (Jean-Pierre Rey)

Pas de place pour la fatigue, le stress ou le doute. Un seul objectif: la mission. Chacun sait ce qu’il doit faire. Le dispositif mis en place autour de cette cité d’Aubervilliers est impressionnant. Plusieurs véhicules dont trois fourgons d’interpellation. J’ai de la chance, je suis placé aux premières loges en me retrouvant dans le fourgon de tête. Mais j’ai aussi une grosse pression sur les épaules. Tout va très vite. Le trafiquant arrive, chargé de sacs volumineux et je le plaque au sol sans même lui laisser le temps de mettre un pied dans l’immeuble. C’est pour vivre des moments comme ceux-là que je me suis engagé dans la police. Maîtriser, menotter un trafiquant de drogue en plein flagrant délit.

L’individu est plaqué au sol, il a sur le dos un sac rempli de drogue. Je lis dans ses yeux le désarroi et la stupeur. Son regard semble me dire: «Waouh! Mec, je t’attendais partout, à tout moment. Mais certainement pas là.» Mener à bien une telle mission relève du défi. Car, à ce niveau-là du business, les gens à la tête de ces réseaux sont très organisés. Ils ne font rien au hasard. Méfiants et excessivement prudents, ils s’appuient sur un système de protection et de surveillance très élaboré autour de la cité. Leurs hommes font des rondes en voiture ou à moto, des guetteurs à pied donnent l’alerte au moindre mouvement suspect. Tout un stratagème qu’il nous faut déjouer avant d’arriver jusqu’à eux. L’interception de ce go-fast à Aubervilliers, c’est l’une de mes plus grandes fiertés. Une belle affaire menée de concert avec plusieurs services. Nous avons fait, en quelques minutes, plusieurs arrestations, saisi 40 kilos d’herbe, 10 kilos de résine de cannabis, de l’argent liquide et une arme à feu.

Mercredi 7 septembre. Très mauvaise journée pour ce réseau, qui a perdu en quelques minutes près de 400.000 euros et quelques années de liberté. Mais j’ai précisément choisi ce métier pour mettre des «vilains» hors d’état de nuire. Cette opération m’a valu quelques cernes. Entre les interpellations, les perquisitions, et les rapports, j’ai travaillé 24 heures sans m’arrêter. Mes collègues également. Ce soir, je suis ravi. J’aurai une belle histoire de méchants jetés derrière les barreaux à raconter à mes enfants.

Vendredi 9 septembre. La journée commence plutôt bien.


Un voleur venait d’arracher le collier en or d’une passante qui rentrait chez elle à Aubervilliers. (Jean-Pierre Rey)

On se retrouve avant la prise de service avec les collègues autour de la machine à café. On se refait le film de l’opération go-fast à Aubervilliers. On se délecte des détails et on raconte pour ceux qui n’étaient pas là. On échange nos impressions. Heureusement que nous avons parfois de belles affaires comme celle-là, qui remontent le moral de l’équipe et compensent nombre de journées faites parfois de frustrations. Notre quotidien, c’est surtout un concentré de haine. En Seine-Saint-Denis, les violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique ont augmenté de 10 % en une année. Le message est clair: nous ne sommes pas les bienvenus dans les cités. Mais ce n’est pas bien grave. À la BAC, on est sans complexe et on s’impose. On va absolument partout. La particularité de nos services, c’est le refus de ces zones dites de non-droit. C’est un concept que nous avons banni. J’ai commencé ma carrière en 1995, à l’école de police de Reims. Les autorités de l’époque considéraient certains quartiers difficiles comme impraticables pour les policiers.


Envoyée sur place en urgence, la BAC l’a rapidement identifié puis interpellé. (Jean-Pierre Rey)

Nos supérieurs nous interdisaient formellement d’y aller pour ne pas provoquer et engendrer plus de problèmes. Je n’ai jamais pu accepter cette logique. Battre en retraite face à la délinquance, c’était difficile à digérer pour le jeune policier en devenir que j’étais à l’époque. C’est une aberration pour notre métier et un choix contre-productif. À Reims, la violence s’est depuis propagée au-delà des quartiers populaires pour arriver jusque dans le centre-ville. Après l’école de police, j’ai été affecté au commissariat de Stains. C’était mon tout premier poste. Je me changeais dans des Algeco. C’est là que j’ai appris à travailler avec pas grand-chose. On avait de vieilles machines à écrire et pas assez de rubans. Mais on se débrouillait. On allait en faucher à droite, à gauche. J’étais motivé par l’idée que j’aidais la veuve et l’orphelin avec des bouts de ficelle. Et puis j’ai été plongé dans le grand bain tout de suite, le commissariat se trouvant à quelques centaines de mètres d’une cité à problèmes. Après une année à Stains, j’ai intégré la CDI (Compagnie départementale d’intervention) 93. L’équipe, le travail, l’ambiance, tout était parfait. J’ai adoré ces cinq années avant de devenir, pendant quelques mois, chauffeur dans les ministères. Mais conduire et accompagner des ministres, ce n’est pas de l’anti-crime. Ce n’est pas la raison pour laquelle je me suis engagé dans ce métier. On m’a donc affecté au commissariat d’Aulnay-sous-Bois en 2005 pour intégrer la BAC quelque temps plus tard. Là, j’ai peaufiné mon savoir et ma technique d’intervention pour devenir un vrai «BAC-man». La BAC, c’est de la vraie police ! Les principes y sont simples et clairs. Il y a des voleurs, des bandits, des dealers. On les repère, on leur saute dessus, on les arrête et on les met entre les mains de la justice.

Lundi 19 septembre. Refuser l’instauration des zones de non-droit, c’est imposer sa présence dans les quartiers les plus chauds.

Aller partout, c’est aussi s’exposer à tous les dangers. Jean-Pierre, le photographe du Figaro Magazine qui me suit comme mon ombre depuis des semaines, en a fait aujourd’hui l’amère expérience. Nous avons été appelés aux Francs-Moisins, une cité de Saint-Denis particulièrement sensible. Je n’aime pas cet endroit. C’est un véritable panier de crabes et les actes de violence y sont particulièrement fréquents et extrêmes. L’appel au secours est douteux, comme souvent. La spécialité du coin, c’est le guet-apens. Et aujourd’hui, mon instinct ne me dit rien de bon. Mais nous avons une mission et nous devons répondre à tous les appels. À peine arrivés sur les lieux, les jeunes se déchaînent. Une pluie de pavés énormes s’abat sur nous. En quelques secondes, une vingtaine d’individus, capuche sur la tête, parviennent à nous encercler. À ce moment, la maîtrise de ces sentiments de panique et de peur, qui ne demandent qu’à s’emparer de nous, est essentielle. Il faut absolument garder la tête froide pour se sortir de ce genre de situation et, surtout, savoir courir. Un bon policier doit savoir ravaler sa fierté et son orgueil et s’enfuir quand cela s’avère nécessaire. Parce qu’un bon policier, c’est d’abord un policier vivant. Nous avons détalé aussi vite que possible. Bien sûr, on s’en tire avec quelques bleus, et notre amour-propre est un peu bousculé. Mais je suis soulagé de voir les coéquipiers arriver très vite pour nous extirper de ce mauvais pas. Dans ces moments, chaque seconde dure une éternité. Jean-Pierre, le photographe, vient de vivre un peu de notre réalité. Il est blême, essoufflé (moi aussi) et il confirme: la peur, on ne la ressent qu’après. C’est le deuxième effet d’une célèbre marque de bonbons. Elle vous revient en pleine figure comme un boomerang… et c’est douloureux. J’appelle ma femme pour entendre sa voix.

Mercredi 28 septembre. Avant de prendre mon service, comme toujours, je vérifie le contenu de ma sacoche


Extraction d’un dealer dans la cité des Beaudottes à Sevran. La tension est palpable. N’importe qui peut prendre les hommes de la BAC pour cible. (Jean-Pierre Rey)

personnelle qui reste sur moi en permanence, dans la voiture. J’y mets l’essentiel pour ma journée. Un vrai kit de survie: trousse de secours, compresses, gouttes pour les yeux (absolument nécessaires quand on reçoit des gaz lacrymogènes), sans oublier ma matraque télescopique et une petite lampe de poche très puissante. C’est le minimum vital et je ne m’en sépare jamais. Pour bien faire ce job, nous devons nous tenir prêts. La BAC départementale de Seine-Saint-Denis a procédé l’an dernier à près de 2200 interpellations. Nous n’avons pas beaucoup de moments de répit. Prendre son service, c’est à chaque fois partir en guerre. Si notre mission est policière, nos instincts et nos réflexes sont quasi militaires. Arriver dans une cité c’est, pour nous, s’introduire en territoire hostile. L’ennemi guette et attend le moindre faux pas pour nous descendre. Dans le 93, c’est parfois une véritable guérilla urbaine. On fait la guerre à un ennemi caché. Au milieu, il y a des civils, une population qui essaie tant bien que mal de mener une vie normale. Nous devons gérer et évoluer avec ces deux extrêmes. Les voyous n’ont plus aucune notion de l’autorité policière. Ils nous perçoivent plutôt comme un gang rival. Nous sommes le «gang police» à qui il faut faire la guerre. Dans tous les cas, nous sommes l’ennemi à abattre. Je n’exagère rien. Je suis aussi militaire depuis 2001, capitaine de réserve au sein des forces spéciales. Mon expérience et ma formation au sein de l’armée me servent énormément sur le terrain des banlieues: savoir progresser en milieu hostile, sécuriser un périmètre à plusieurs, ne jamais laisser un des nôtres seul, ne jamais longer le mur des immeubles car le danger vient souvent d’en haut, des toits qui servent de points stratégiques aux délinquants. Ils se postent là pour nous lancer toutes sortes de projectiles. Ils sont très organisés. L’objectif premier, pour eux, c’est de protéger leur territoire et de préserver leurs points de deal. Un seul de ces points peut rapporter de 10.000 à 15.000 euros par jour. Des enjeux financiers colossaux pour ces dealers. Ils ne lésinent pas sur les moyens. Nous avons aujourd’hui en face de nous des jeunes entraînés. Ils vont à l’étranger, notamment dans les pays du Maghreb, pour apprendre à fabriquer des cocktails Molotov, organiser des guets-apens, «préparer des toits» en entreposant toutes sortes de projectiles (briques, pavés, parpaings, boules de pétanque) à des endroits stratégiques sur les hauteurs des immeubles. Tout cela ne s’improvise pas. Ils l’apprennent, l’appliquent et ce, dans un but précis. Ils sont lourdement armés. C’est devenu très facile d’acheter un Uzi, une kalachnikov, ou un 9 mm automatique. Certaines cités se sont spécialisées uniquement dans le trafic d’armes. Ils n’ont plus besoin d’aller bien loin pour s’équiper. Tout est à portée de main. En comparaison, nos équipements font parfois pâle figure. Le Kevlar de mon gilet pare-balles usé ne résisterait sûrement pas à une rafale de kalach. De toute façon, il n’est pas conçu pour ça. Eux sont prêts à tout pour continuer leurs petites affaires, parce que casser du flic, c’est nous empêcher de casser leur business.

Samedi 8 octobre. Le samedi est un jour comme les autres pour nous ! Le crime ne connaît pas de répit.


Pantin. Un voleur de sacs à l’arraché vient d’être mis hors circuit. Direction le commissariat. (Jean-Pierre Rey)

Notre très vieille Ford Mondeo est prête. Elle affiche déjà plus de 100.000 kilomètres au compteur et a été rafistolée plusieurs fois. Mais nous n’avons pas vraiment le choix. Nos véhicules sont fatigués, les moyens financiers manquent pour les remplacer. Nous sommes déjà tombés en panne de voiture au beau milieu d’une opération dans une cité. Et ça, pour attraper des vilains… ce n’est pas terrible. Mais aujourd’hui, tout va bien, on nous a mis à disposition des véhicules neufs. L’équipe se met en route, les sacs sont dans le coffre, le matériel d’intervention à disposition, et les radios commencent à crépiter. La journée commence par un petit tour de nos secteurs préférés, Sevran, Bondy, Bobigny… Les points de deal y sont nombreux. En arrivant, nous sommes évidemment repérés. Il y a les «choufs» (les guetteurs), toujours à leurs postes, qui communiquent notre arrivée à leurs copains vendeurs en criant: «Pue! pue!» En langage dealer, cela veut dire: «Prenez garde ! La police arrive !»

Payés entre 40 et 80 euros par jour et parfois un kebab en plus, ces gamins (souvent mineurs) n’ont aucun mal à gagner l’équivalent de mon salaire en un mois. Evidemment, à ce tarif-là, ils font du zèle. Les points de deal sont très organisés. Les «nourrices» sont souvent des habitants des immeubles chargés (ou forcés) de cacher la drogue chez eux et de la laisser à disposition des vendeurs qui, ainsi, ne se font jamais prendre avec de grosses quantités de stupéfiants sur eux. Les «portiers» ont pour mission de bloquer les passages pour gêner au maximum les interventions policières et permettre aux vendeurs de s’échapper. Le patron, lui, n’est jamais bien loin. Il est très souvent installé à la terrasse d’un café et surveille ses petites affaires à distance, quand il n’est pas occupé à trouver des solutions pour blanchir ses capitaux. Un business illégal et qui, à mon sens, doit le rester. Je suis absolument contre l’idée de la dépénalisation du cannabis ou de l’herbe. La légalisation de ces substances ne ferait qu’aggraver les problèmes dans les cités. Les jeunes iraient chercher de l’argent par d’autres moyens : braquages, vols avec violence, saucissonnages à domicile. Paradoxalement, le trafic de stupéfiants canalise un peu certaines cités. Les gros dealers «tiennent» les jeunes et les exhortent à rester tranquilles pour ne pas attirer la police et, ainsi, «bosser tranquillement». Tout ce petit monde compose avec la drogue. Certes, ce commerce permet à certaines familles vivant en situation de grande pauvreté de sortir la tête de l’eau. Elles n’ont pas vraiment d’autres choix que le trafic. Mais cela n’excuse rien, c’est illégal et puni par la loi. Pour le moment c’est calme. Rien à signaler dans nos quartiers préférés. Il est presque 13 heures. Pause déjeuner. Comme souvent, on se réchauffe une petite gamelle en vitesse. Pas le temps de s’arrêter plus de vingt minutes. La rue ne nous laisse guère de répit. Un appel radio nous informe qu’un «vol violence» vient de se dérouler à Stains. Je prends ma radio: «TN93 de BAC12, nous nous rendons sur place!» A peine arrivés sur les lieux, on tombe sur la victime, elle vient de se faire arracher son énorme collier en or et nous désigne au loin l’un des auteurs. Il n’a même pas pris la peine de se sauver. C’est en nous voyant foncer sur lui qu’il prend la fuite. Direction la cité du Clos Saint-Lazare ! Pas de chance pour lui, je connais le secteur comme ma poche ! Avec mes coéquipiers, on l’a très vite rattrapé. On charge notre individu direction le commissariat de Stains. On a attrapé le malfrat, la victime a retrouvé ses effets : voilà encore une belle affaire.

Lundi 17 octobre.Je viens de prendre conscience que cela fait près de sept ans que je travaille à la BAC.


Cité du Gros-Saule, à Aulnay-sous-Bois. La BAC et les policiers ont saisi 20 kg de drogue, 20.000 € en liquide et des armes. (Jean-Pierre Rey)

Comme le temps file ! Sept années à courir, à attraper des vilains, à esquiver les coups, à digérer les insultes et à supporter cette haine contagieuse qui suinte et se répand partout. Et me tente parfois. Mais je me refuse à basculer. Pour faire ce boulot proprement, la règle première, c’est de garder la tête froide. C’est difficile. De plus en plus difficile. Ces dix dernières années, la violence a explosé dans les quartiers, elle a aussi changé de visage. Elle se fait chaque fois plus juvénile. Nos agresseurs n’ont aujourd’hui pas plus de 13 ans, et ce sont bien eux les pires. Ils se montrent d’une férocité inouïe. Mais surtout, dans ces quartiers populaires, la population a évolué. Les jeunes d’origine maghrébine, qui tenaient le marché du deal, ont été peu à peu évincés par les Africains. Cette immigration est bien plus récente. La polygamie fait des dégâts considérables. Les enfants vivent entassés dans de petits appartements. Ils préfèrent traîner dehors et se retrouvent vite à la merci des délinquants. Ils sont bien plus pauvres et ont le sentiment de n’avoir rien à perdre, d’autant que la plupart d’entre eux viennent de pays en guerre où la violence est extrême et fait figure de règle. Sur le terrain, face à ces populations qui règlent leurs comptes à coups de machette ou avec les poings, nous nous retrouvons souvent pris en étau. Récemment, l’un de mes collègues a été mordu par une femme africaine. Son index a été sectionné et ne tenait plus que par la peau.

Mercredi 19 octobre. Toute cette violence, cette haine, cette misère humaine, c’est pesant parfois.


Avec Sylvie, sa femme, brigadier-chef au Blanc-Mesnil, Christophe D. vient de résoudre une affaire de vol. (Jean-Pierre Rey)

Il n’y a pas de rempart pour nous préserver. En fait, le rempart, c’est nous. On se prend ça en pleine figure et sans filtre. Alors, parfois, c’est plus difficile. Il faut se remotiver, se vider la tête comme ce matin. J’ai décidé de me lever de bonne heure pour aller courir. Dix petits kilomètres pour garder la forme, mais surtout pour évacuer le stress et la tension. Nos pires ennemis. Si on les laisse s’installer, ils peuvent vous ronger de l’intérieur. Beaucoup de mes collègues y ont laissé la vie. Ah, ce fameux malaise de la police ! On s’isole, s’enferme dans le silence et la solitude et, ensuite, la nouvelle tombe. On apprend qu’un collègue s’est pendu, un autre s’est tiré une balle dans la tête… Et ce n’est jamais la faute de personne. Je suis lucide quant à la difficulté de notre mission. Derrière le policier, il y a un être humain avec ses failles et ses fragilités. Alors, je prends les devants. La meilleure façon de me préserver, c’est l’esprit de groupe et la communication. Il faut parler avec les autres, évacuer ses frustrations d’une manière ou d’une autre. Pour moi, c’est le sport. Etre bien dans son corps, c’est être bien dans sa tête. La famille, c’est aussi un pilier essentiel. Je profite de chaque moment avec les enfants, avec Sylvie, ma femme. Je les couvre de bisous, de câlins. Je fais le plein de tendresse avant d’attaquer une grosse journée de boulot. Et c’est comme ça que je tiens mais, surtout, que je suis heureux.

Jeudi 27 octobre. La date d’aujourd’hui marque un triste anniversaire.

Le début des émeutes de l’automne 2005. À l’époque, je venais d’intégrer la BAC et c’est pour moi une des pires périodes de ma carrière de policier. On allait « au feu » tous les jours sans savoir si on reviendrait en vie ou entier à la fin de la journée. Ce qui m’a surtout profondément marqué, c’est qu’à ce moment-là on a vraiment ressenti une haine pure vis-à-vis des policiers. Non seulement on l’a ressentie, mais on l’a sentie dans notre chair. Nombre de mes collègues ont été blessés. Je suis passé souvent à deux doigts de la mort. J’ai vu des boules de pétanque, des casseroles, des plaques d’égout jetées depuis les toits me frôler de quelques centimètres. Mes chaussures ont littéralement fondu, brûlées par l’acide des nombreux cocktails Molotov balancés par ces « pauvres jeunes désœuvrés ». Je me souviens avoir dû évacuer en urgence un de nos collègues, un solide gaillard de 1,90 mètre en état de choc, complètement tétanisé et terrassé par la peur. Une énorme plaque d’égout en fonte venait de passer à un cheveu de son crâne… Il ne s’en est pas remis. Impossible aussi d’ôter de mes souvenirs la vision de ce jeune policier brûlé au visage sous mes yeux. Les jeunes postés au dernier étage d’un immeuble lui avaient jeté de l’essence enflammée en pleine figure. J’étais juste derrière, j’ai eu plus de chance que lui. Ces images me hantent encore.

Lundi 28 novembre. L’ambiance est pesante à la base de Bobigny.

Si je pense aujourd’hui très fort à Damien et à Jérôme, mes deux amis de la BAC morts en service il y a quelques années, c’est parce que la nouvelle est tombée tôt ce matin. Un policier de la BAC de Marseille est entre la vie et la mort, atteint d’une balle en pleine tête. Les cambrioleurs qu’il pourchassait n’ont pas hésité à tirer sur lui avec des armes de guerre. Un des nôtres va certainement mourir. Et pourquoi ? Juste pour quelques tranches de saumon et du foie gras… C’est ce qui a été retrouvé dans le véhicule. Ils avaient braqué un supermarché. Ce policier a mon âge, il a une femme, des enfants. Comme moi. Cela aurait pu m’arriver, ça pourra m’arriver peut-être. Mais pour ma femme et mes enfants, dans ce cas, j’ai tout prévu. J’ai une bonne assurance qui prend en charge mes funérailles, et mon enterrement est déjà payé. Mais la vie ne s’arrête pas à ça ! Demain, je serai à nouveau dans la rue, avec mon équipage, à courir après la délinquance. On fera peut-être une affaire ! On arrêtera un dealer, ou un jeune qui aura brisé la vitre d’une voiture pour prendre le sac à main d’une femme imprudente, qui l’avait laissé bien en vue sur le siège passager. Elle nous dira discrètement : «Merci, heureusement que vous êtes là!» Ces mots, ce sont eux qui vous aident à continuer ce métier: savoir qu’on va arrêter un voyou, qu’on va rassurer une victime…

Source: http://www.lefigaro.fr/

10/12/2011

Le « rachat » de la France passerait par les banlieues…

NOTRE Patrie n’est pas à vendre !

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Je sais bien que « tout est à vendre »; il suffit d’y mettre le prix.

Mais dans le cas présent, tout l’argent du monde ne doit pas servir à laisser nos « décideurs » permettre cette grande braderie nationale. On n’est pas à Lille, ici… En outre, ce grand manitou Qatari s’est adressé à des élus originaires du Maghreb; convertis d’avance, quoi.

Si la cause est entendue, les envahisseurs vont devoir faire face à la politique de la terre brûlée. Si si…

FDF

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QUAND « ON » LAISSE LE QATAR  CONTINUER  DE PLUS EN PLUS DE SE PAYER LA FRANCE   ET QUAND ON SAIT QUE CELA CACHE  D’AUTRES CHOSES  QUE DES PROJETS ECONOMIQUES…

JC JC

Le Qatar va aider les banlieues françaises

Un fonds qatarien de 50 millions d’euros a été créé pour « aider les entrepreneurs banlieusards ».

« L’émir a décidé de créer un fonds de 50 millions d’euros pour travailler avec vous. Le fonds peut être augmenté », a annoncé l’ambassadeur du Qatar en France à une dizaine d’élus locaux.


Le Qatar a créé un fonds d’investissement de 50 millions d’euros pour financer des projets économiques portés par des habitants des banlieues de France, a annoncé jeudi soir son ambassadeur à Paris, Mohamed Jahan Al-Kuwari. « Le Qatar, ce n’est pas que des paroles. Il faut agir. L’émir a décidé de créer un fonds de 50 millions d’euros pour travailler avec vous. Le fonds peut être augmenté », a annoncé l’ambassadeur à une dizaine d‘élus locaux des quartiers, tous originaires du Maghreb.

Ces élus (cinq hommes et cinq femmes) se sont rendus il y a un mois au Qatar dans l’espoir de nouer des liens économiques entre le riche émirat et les quartiers populaires, où des entrepreneurs se disent victimes de discrimination et bloqués. Ils ont été reçus par l’émir cheikh Hamad Ben Khalifa Al Thani. « Tout le monde était content de vous voir : l’émir, le Premier ministre, le ministre du Commerce », leur a dit l’ambassadeur. « Vous avez représenté la France de façon très moderne. Vous avez donné une très bonne image des Français d’origine arabe », a-t-il insisté.

« Français d’origine arabe » (ambassadeur)

De leur côté, les élus ont affirmé avoir été « impressionnés » par l’accueil « digne de chefs d’État ». S’expliquant sur le fonds de 50 millions d’euros, le diplomate a averti : « Ce n’est pas une aide, ce n’est pas de la charité. Il faut des projets sérieux dans tous les domaines, des projets raisonnables, solides et à long terme. J’espère que, bientôt, on va monter ce partenariat qui va servir la relation entre le Qatar et la France », un pays « stratégique » et « très important pour nous », a souhaité l’ambassadeur. « Les Français d’origine arabe peuvent nous aider dans notre partenariat avec la France. »

Mohamed Al-Kuwari a déclaré qu’une équipe de « professionnels » avait été installée à l’ambassade pour recevoir les entrepreneurs et évaluer la pertinence de leurs projets. En réponse, les élus ont décidé de réunir « rapidement » les membres de leur réseau, d’intervenir auprès de la Confédération générale des petites et moyennes entreprises (CGPME) et de « tous les acteurs de banlieue qui travaillent sur ce sujet », selon Kamal Hamza, président de l’association d’élus. S’agissant de l’emploi, ces élus ont proposé de recueillir les CV des jeunes de banlieue qui souhaitent travailler au Qatar.

Ils ont demandé « un coup de pouce » de l’ambassadeur à ceux qui souhaiteraient travailler en France dans les entreprises où le Qatar est actionnaire.

Source: http://www.lepoint.fr/


12/10/2011

La vérité qui blesse…

Banlieues : Eric Zemmour assimile islam et délinquance…

Et Dieu sait si il a raison. On en a la preuve tous les jours, pour ceux qui s’intéressent au phénomène.

Mais voilà; chez Oumma.com, on s’insurge. Normal, ils sont directement touchés… La relation de cause à effet est pourtant tellement flagrante…

FDF

Un bel exemple… Vous l’avez reconnu ? « La Fouine »…

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« Récidive. Samedi, le chroniqueur Eric Zemmour a tenu des propos singuliers sur l’antenne d’I Télé en dressant un parallèle entre regain de la délinquance en banlieue et pratique accrue de l’islam.

Sollicité à propos d’une déclaration du ministre de l’Intérieur selon lequel il n’y avait « pas de zone de non-droit » en France, le journaliste du Figaro a développé-sans l’étayer par des faits précis- une corrélation entre la seconde religion du pays et l’accroissement du banditisme dans les quartiers populaires : « C’est souvent le droit du plus fort….souvent le droit des bandes. On nous explique dans Le Monde que c’est parfois le droit de l’islam ». Eric Zemmour fait là référence à l’article du quotidien faisant état d’un rapport dirigé par le chercheur Gilles Kepel et dévoilé la semaine dernière par l’Institut Montaigne.

Le polémiste renchérit : « L’ordre est maintenu par d’autres. Par les clans, par les voyous, parfois par l’imam… Il y a un ordre concurrent, un ordre qui s’est substitué à l’ordre républicain ». D’ordinaire plus conciliant, son interlocuteur Nicolas Domenach du journal Marianne a vivement marqué son désaccord en lui rappelant, au-delà de son « glissement abusif », que le rapport ne contenait aucunement son analyse associant délinquance et islam. Cela n’empêchera pas Eric Zemmour de vouloir conclure de manière péremptoire sur son idée-maîtresse : l’intensification de la pratique religieuse et le repli communautaire constituent, à ses yeux, la cause
 et non la conséquence- de la « ghettoïsation ».

Après son dérapage relatif à l’origine ethnique des trafiquants, son approbation-condamnée par la justice- de la discrimination à l’embauche et sa récente incitation au contrôle « normal des Arabes et des Noirs » par la police, l’homme évincé de France 2 continue de propager un discours idéologique sous couvert de journalisme politique. Déjà ravis par sa dernière interview complaisante de Marine Le Pen, ses admirateurs qui lui vouent un culte systématique -notamment les lecteurs des sites Fdesouche, Riposte laïque et Enquête&Débat devraient être rassurés : l’invité régulier des déjeuners de l’Elysée et des colloques de l’UMP n’a rien perdu de son militantisme islamophobe. Quant au Conseil français du culte musulman, son silence est -comme à l’accoutumée- à la mesure du vacarme causé ailleurs par son homologue du CRIF : assourdissant. »

Source: oumma.com

Bonus: http://youtu.be/yNv70E2MOX8

02/10/2011

Ces médecins qui fuient les banlieues…

Ils n’ont plus le choix. « ON » ne leur donne plus le choix. Ces médecins des banlieues préfèrent fuir que subir. On les comprend…

FDF

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http://envoye-special.france2.fr/envoye-special-la-suite.html


Ca ne pourra pas durer comme ça
encore très longtemps…

Merci à JC JC…

11/09/2011

Assassinat des moines de Tibéhirine: la sécurité militaire algérienne mise en cause.

Il est vrai qu’il ne faut pas tout mettre sur le dos des islamistes intégristes. C’est vrai aussi que cette malheureuse affaire ressemble bien à leurs « pratiques ». Mais ceci m’a toujours laissé perplexe… Ils détruisent les cimetières chrétiens et nos églises, en Algérie. Et ce n’est pas au nom d’Al-Qaïda »… Le gouvernement algérien n’est pas (et n’a jamais été) composé de « saints »… A partir de là, on peut réfléchir…. En attendant, des moines chrétiens ont été sauvagement assassinés. Au nom de quoi?

L’Algérie n’aime pas la France. On sait pourquoi. Nous en avons des preuves tous les jours, que ce soit « au bled » ou dans les banlieues de France…

FDF

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Tibéhirine : un livre accuse l’Algérie

Un nouvel ouvrage sur la mort des moines de Tibéhirine, écrit par le journaliste Jean-Baptiste Rivoire, dévoile des témoignages inédits, mais difficiles à corroborer, mettant de nouveau en cause la sécurité militaire algérienne. Le livre, « Le crime de Tibhirine » (Editions La Découverte), s’appuie notamment sur les déclarations d’anciens membres des services algériens et d’un islamiste affirmant que l’enlèvement a été ordonné par la DRS (sécurité militaire) et réalisé conjointement avec des islamistes.

Dans le livre, les services algériens sont directement mis en cause dans le rapt par un ancien lieutenant dénommé « Kamel », décrit comme un proche du patron du Centre territorial de recherche et d’investigaton (CTRI) de Blida. Selon lui, un petit groupe d’agents infiltrés a accepté, à la demande des chefs de la sécurité militaire, d’organiser l’enlèvement avec une quinzaine de vrais islamistes ignorant la manipulation. Objectif selon « Kamel »: débarrasser la région de témoins gênants, discréditer les islamistes et faire pression sur la France. L’opération se serait décidée début mars 1996 lors d’une réunion au CTRI en présence notamment du patron de la principale unité du contre-espionnage algérien, aujourd’hui décédé. Le livre rapporte aussi les déclarations de « Rachid », ancien islamiste qui dit avoir été membre du commando ayant enlevé les moines et relate l’encerclement du monastère et la difficile marche avec les trappistes dans la nuit qui a suivi. Selon lui, les moines ont été remis quatre jours plus tard à un groupe d’islamistes dirigé par Abderrazak El Para, présenté comme un proche de Zitouni et soupçonné d’avoir été membre du contre-espionnage. L’inconnu demeure sur ce que sont ensuite devenus les trappistes jusqu’à la découverte de leurs têtes.

Espoir de nouvelles investigations

« Ces éléments doivent être accueillis avec beaucoup d’intérêt mais aussi précaution et prudence », a dit Me Patrick Baudouin, avocat des parties civiles. « Le grand intérêt de cet ouvrage est, j’espère, qu’il va ouvrir la voie à de nouvelles investigations judiciaires », a-t-il ajouté. « Une nouvelle fois, la vérité assénée depuis l’origine par les autorités algériennes sur l’enlèvement, la séquestration et l’exécution des moines par les islamistes est battue en brèche », dit-il.

Les sept moines ont été enlevés dans la nuit du 26 au 27 mars 1996 dans leur monastère isolé situé près de Medea. Le Groupe islamique armé (GIA) de Djamel Zitouni avait revendiqué l’enlèvement et l’assassinat des moines. Leurs têtes ont été retrouvées le 30 mai au bord d’une route de montagne.  Après avoir suivi la thèse islamiste, l’enquête judiciaire s’est réorientée depuis 2009 et le témoignage d’un ancien attaché de défense à Alger vers une bavure de l’armée algérienne. Avant ces révélations, des témoignages d’officiers algériens dissidents avaient relevé le rôle trouble des autorités algériennes, accusant Alger d’avoir manipulé le groupe armé ayant revendiqué l’enlèvement.

Source: http://www.lefigaro.fr/

04/09/2011

Petit chef d’oeuvre en son genre…

Un poème qui devrait faire rabattre leur caquet à tous ceux du « bled » qui chialent et vomissent leur haine sur les vilains Français qui ont tenté de « coloniser » l’Algérie…

Et qui ne comprendront jamais qu’on a voulu avant tout leur rendre service en essayant de leur montrer le chemin de la modernité et de l’essor économique, ce qu’il n’ont toujours pas compris. La preuve, ils continuent à suivre les préceptes d’une idéologie où le meurtre est prédominant. Leur descendance qui fait la loi dans les « zones sensibles » de France nous le montre tous les jours…

On aurait du les laisser croupir dans leur fange.

FDF

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Photo pillée chez: http://www.petitsechodoran.com/

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Pardon petit féllagha par Pierre-Jean Vaillard.

Pierre-Jean Vaillard (Sète, 12 mars 1918 – 17 février 1988) 

Pierre Jean Vaillard était un habitué des tournées en Algérie Française où il était très apprécié.   

Il venait avec l’équipe des « Trois Baudets ».>
Voila ce qu’il pensait de la culpabilité coloniale de la France,déjà avant 1962. (vue par les locaux dérangés… )
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  « Fellagha »

  Quand ma pensée s’en va vers l’Afrique du Nord
Je me sens, tout d’un coup, bourrelé de remords
Que l’Algérie soit une province française,
C’est évident, bien sûr, bien qu’à tous ça ne plaise
Que des hommes aient fait d’un bled qui n’était rien,
Ce beau pays algérien
Nul ne peut dire le contraire…
Seulement, ces temps-ci, il faut compter, là bas,
Avec un mécontent, un certain fellagha.
Et, petit fellagha, c’est à toi que je pense
En voyant ta rancune à l’égard de la France.
J’ai beaucoup réfléchi et ma méditation
Me décide à venir te demander pardon.
Oui, pardon, Fellagha, pardon pour mon grand-père
Qui vint tracer des routes et labourer la terre.
Il est tombé chez toi, il a tout chamboulé.
Où poussaient des cailloux, il a foutu du blé
Et, mettant après cela le comble de l’ignoble, 
Où poussaient des cailloux il a fait un vignoble
Pardon, cher petit Fellagha,
Oh, pardon de tous ces dégâts.
Et mon affreux grand-père (il faut qu’on le confesse)
N’était pas seul de son espèce.
Ces autres scélérats ont bâti des cités
Ils ont installé l’eau et l’électricité.
Et tu n’en voulais pas, c’est la claire évidence
Puisque avant qu’arrive la France
Tu n’avais, en dehors de la Casbah d’Alger,
Que la tente ou bien le gourbi pour te loger.
Et tu t’éclairais à l’huile
Nos maisons, bien sûr, c’était la tuile.
De l’électricité, là encore soyons francs,
Tu ne demandais pas qu’on te mette au courant
Tu t’es habitué à ces choses infâmes
Mais à regret et la mort dans l’âme
Stoïquement, d’ailleurs, supportant ces malheurs,
Avec courage et bonne humeur.
Mais tu engraissais, mais de mauvaise graisse
Car tu prenais le car, ( une invention traîtresse)
Ce même car que, pris d’un délire divin,
Tu devais, un beau jour, pousser dans le ravin.
Je comprend ta rancoeur, je comprends ta colère,
Tu n’es pas au niveau des Arabes du Caire
Tu gâches et tu vis mieux qu’un fellagha égyptien.
A quoi Nasser … Nasser .. a rien
Nous avons massacré les lions, les panthères,
Nous avons asséché les marais millénaires.
Les moustiques sont morts… les poux, De Profundis.
Nous avons tout tué, jusqu’à la Syphillis.
Ah! Pardon, Fellagha, pour tous ces carnages.
Nous avons fait tout cela, c’est bougrement dommage.
Car si d’autres idiots l’avaient fait, inspirés
C’est nous qui maintenant, viendrions vous libérer,
Et bouffer les marrons cuits pour ces imbéciles.
C’aurait été moins long et beaucoup plus facile.
Bien pardon, Fellagha, de t’avoir mieux nourri, 
  Et d’avoir à tes pieds nus, mis (oh maladresse),
Des souliers…
Dont tu voudrais nous « botter les fesses« ….
ce  jour là.. malheur a toi pour les prochaines années.. nos successeurs seront pires que nous.. !!

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Merci à C.H……

01/09/2011

Jamel Debbouze promet la révolution d’immigrés « énervés » !

 Et dire qu’il y en qui payent (cher) pour aller applaudir ce type qui se fout de son public (masochiste) en direct.   

FDF

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                On peut aussi lui apprendre a déménager ? Pour rejoindre ses copains des cités.

Il faut boycotter ses spectacles, il ne nous mérite pas et si ça ne lui plaît pas, qu’ il rentre au bled!
 Sachez qu’il habite rue St-Louis-en-l’Ile …( quartier haut de gamme de Paris ) à plus ou moins 20.000 €uros le m2 !

Irresponsable, Jamel Debbouze ? Le « comique » a lancé un message incendiaire à destination des banlieues et des enfants d’immigrés qui vont « s’énerver » et suivre les modèles
tunisiens et égyptiens… En gros faire la révolution ! Depuis les beaux quartiers parisiens où il réside depuis plusieurs années, Jamel Debbouze la joue « choc des civilisations ».
Face à des Français de plus en plus inquiets par les enjeux de l’immigration et par la délinquance issue des banlieues, il oppose la colère
des « jeunes » issus de l’immigration, qui vont « gagner leur liberté ». « Au même titre que l’Egypte, que la Tunisie, ou encore l’Allemagne de l’Est, ils vont s’énerver, ils vont vouloir regagner leur liberté »,
a-t-il déclaré sur RTL. Le parallèle entre des banlieusards vivant d’allocations (je parle évidemment de ceux qui vont faire la révolution, parce que la majorité des banlieusards,
issus ou non de l’immigration bossent et ont mieux à faire que d’aller brûler des voitures et « gagner leur liberté » en lançant des pavés sur les policiers)
et les peuples arabes excédés par des décennies d’autoritarisme, de corruption et de sous-développement, est évidemment totalement stupide. Mais pas de doute que les propos de Jamel Debbouze auront malgré tout un impact catastrophique sur des paumés de banlieue
qui n’en demandaient pas tant pour haïr leur pays et faire porter le poids de leurs échecs sur la société dans son ensemble. Si Jamel Debbouze est peut-être hilarant sur scène (???), il serait temps qu’à l’image de tous ces « people » qui croient que la célébrité
les rend plus aptes à donner leur avis, se concentre sur ce qu’il croit savoir faire et qu’il évite de mettre de l’huile sur le feu…

        Et ça continue ! S’il faisait ça dans son pays, il ne serait pas prêt de revoir la lumière du jour,

car en Algérie, ou au Maroc, on ne s’amuse pas avec les invitations à la révolution…

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Suite à un mail reçu que j’ai « adoucit »…

FDF

24/08/2011

Délinquance: faites très attention !!!

Ils kidnappent des automobilistes et les dévalisent !

Photo d’illustration (oui, je sais, le volant est à droite… (-:)

C’est bien beau de rapporter des faits (comme moi, d’ailleurs…). Mais encore faut il en tirer les leçons qui s’imposent… Un homme averti en vaut deux. En attendant d’atomiser cette gangrène de la société, mieux vaut connaître leurs pratiques…

Leçon…

FDF

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A trois reprises, un gang a enlevé des automobilistes dans des parkings souterrains à Paris. Les malfrats séquestrent les victimes, leur soutirent carte bleue et code confidentiel et vident leurs comptes.

Un gang de « jeunes » malfrats, attirés par les cartes bancaires de riches victimes, sévit depuis plusieurs semaines à Paris. Les membres de cette équipe repèrent leurs cibles à leur puissante voiture, avant de les enlever dans des parkings souterrains. Ils n’hésitent pas à les séquestrer pendant plusieurs heures pour leur soutirer leur code confidentiel avant de vider leurs comptes.

Les victimes sont ensuite relâchées, traumatisées, en proche banlieue. Plusieurs services d’enquête parisiens tentent de remonter la piste de ces ravisseurs particulièrement déterminés.
Car ce mode opératoire, jusqu’alors peu répandu, inquiète policiers et magistrats. « C’est une technique quasi imparable, à moins de se trouver à proximité des lieux des faits pour pouvoir intervenir aussitôt ou d’être alerté très vite par des témoins de la scène, confie un haut fonctionnaire. Par ailleurs, recourir à un enlèvement suivi d’une séquestration pour une carte bancaire dénote d’une réelle montée en puissance dans les atteintes contre les particuliers. Ce sont des faits très graves. »

Les ravisseurs se sont emparés de près de 5 000 €

La dernière agression en date remonte au 20 août. Ce jour-là, au volant de sa berline BMW, un automobiliste se dirige vers un parking souterrain rue d’Auteuil, dans le XVIe arrondissement de la capitale. A sa descente de voiture, le conducteur, âgé d’une quarantaine d’années, est surpris par deux inconnus, le visage cagoulé et munis d’une arme de poing. Ces derniers lui intiment l’ordre de remettre ses clefs, sa carte bancaire et son code confidentiel et l’enferment dans le coffre de sa BMW.
Les deux malfaiteurs ressortent du garage en conduisant le véhicule de leur victime et opèrent des retraits avec la carte volée dans des distributeurs d’argent à Paris et en banlieue.
« Il est resté dans le coffre tout le long du périple de ses ravisseurs, qui se sont finalement emparés de près de 5000 €, relate une source proche de l’affaire. La victime a ensuite été abandonnée dans une rue de Châtillon, dans les Hauts-de-Seine. Ce gang n’en était pas à son coup d’essai. »

Source: http://www.leparisien.fr/

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