22/03/2012
21/03/2012
20/03/2012
19/03/2012
18/03/2012
17/03/2012
Vient de paraître : « L’assassinat de l’Algérie française, terreau de la conquête islamiste actuelle » par le Dr Jean-Claude Pérez…
Voici un ouvrage qui devrait être très intéressant…
FDF
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« L’arabo-islamisme prétend imposer la charia à toute l’humanité. En mettant en œuvre des techniques de guerre révolutionnaire utilisées en Algérie de 1954 à 1962 et au-delà »
Entretien avec le Dr Jean-Claude Perez
Propos recueillis par Fabrice Dutilleul
Quel rapport entre votre combat passé pour l’« Algérie Française » et la situation actuelle, un demi-siècle plus tard ?
Tout d’abord que je ne confonds pas la religion musulmane avec l’arabo-islamisme. Ceci précisé, reconnaissons que le monde actuel est en train de vivre le développement d’une révolution universelle : la
. Cet arabo-islamisme prétend imposer la charia à toute l’humanité en mettant en œuvre des techniques de guerre révolutionnaire utilisées en Algérie de 1954 à 1962 et au-delà : assassinats, actes terroristes, enlèvements d’hommes et de femmes. Actes terroristes qui, au lieu de provoquer un raidissement défensif et offensif des occidentaux, génèrent une attitude de capitulation devant ces nouveaux conquérants. COMME CE FUT LE CAS EN ALGÉRIE. Il est à redouter ou à espérer qu’une nouvelle OAS, internationale cette fois(*), ne se structure un jour dans le but de libérer le monde d’une soumission programmée de l’univers aux exigences des « Épitres jihadiens. »
(*) L’Organisation Armée Secrète s’opposa par les armes à l’abandon l’Algérie française. Le Dr Pérez en fut un des responsables.
Restez-vous toujours aussi anti-gaulliste ?
Plus que jamais. Car l’évènement souche des drames actuels et futurs, l’incertitude que connaît la nation française, l’appauvrissement indiscutable de celle-ci, le comportement invasif d’émigrés animés d’une volonté de conquête, est illustré par la capitulation de De Gaulle à Evian, le 18 et le 19 mars 1962. Capitulation devant le pire ennemi qui ait jamais attaqué la France depuis le début de son histoire.
Vous imputez, avec insistance, l’abandon de l’Algérie française à une volonté du capitalisme financier international. Éprouvez-vous aujourd’hui encore, une conviction identique ?
À nouveau, je réponds « Plus que jamais ! ». De Gaulle fut un instrument de luxe utilisé par le capitalisme financier pour tirer une balle dans la tête de l’Algérie française ou plutôt une balle dans la tête de la France sud-méditerranéenne, dans le but d’augmenter la valeur ajoutée produite par les investissements du capital financier. Dans la meilleure hypothèse pour lui, on doit affirmer qu’il était animé d’une vue à court terme. Car il ignorait, en particulier, que ces capitalistes étaient loin d’être des génies. Ils capitulent eux aussi, désormais, en se soumettant à l’argent liquide des grandes banques arabes.
Comment mobiliser l’Occident contre ce processus invasif et mortel ?
Notre envahisseur actuel ne parle que de Dieu et de sa méthode pour nous soumettre. Notre volonté ou plutôt notre aspiration à respecter le message divin, tel que je l’interprète en tant que chrétien, ne m’oblige pas à capituler. Je ne suis résigné que devant l’inéluctable de la mort et de la séparation avec des êtres qui me sont chers.
Mais j’affirme que la défaite de l’Occident n’est pas inéluctable. Loin de là. Il suffit que le monde chrétien affirme sa volonté de vivre en tant que tel. Il suffit que le monde chrétien refuse l’anéantissement que l’on veut lui faire subir.
Pour cette lutte, il n’est pas inutile, bien au contraire, de connaître les motivations et aspirations des combattants de l’OAS. L’OAS qui, grâce à quelques centaines de combattants, a essayé de contrecarrer les agissements de De Gaulle, agent occasionnel et déterminant de l’arabo-islamisme fondamentaliste. En dernière analyse, l’évènement souche du drame que connaît le monde aujourd’hui, c’est la défaite de la France gaulliste en Algérie.
Votre dernier livre, « L’assassinat de l’Algérie française, terreau de la conquête islamiste actuelle », entend nous faire comprendre ce que vous appelez « la conjuration permanente contre l’Occident chrétien » ?
Jusqu’à ma dernière heure, je manifesterai ma foi dans ce que nous avons tenté de défendre en Algérie, cette terre qui méritait un autre destin que celui auquel on l’a condamnée. Je manifesterai ma foi dans l’avenir de cet Occident, illustrée géopolitiquement par la péninsule européenne, de l’Atlantique aux États russes frontaliers de l’Afghanistan. 2014 s’illustrera comme une année d’importance majeure pour le destin de l’Occident, de l’Europe, et par voie de conséquence, de la France. Année de la désertion prévue de l’Occident en Afghanistan avec toutes les conséquences qu’aura cet abandon sur la dynamique révolutionnaire arabo-islamiste orientale et universelle.
L’assassinat de l’Algérie française, terreau de la conquête islamiste actuelle, Dr Jean-Claude Pérez, Éditions Dualpha, collection « vérités pour l’Histoire », 550 pages, 39 euros.
BON DE COMMANDE
Je souhaite commander :
… ex de L’assassinat de l’Algérie française, terreau de la conquête islamiste actuelle (39 euros)
(Également disponible les autres livres du Dr Pérez 🙂
… ex de Debout dans ma mémoire (26 euros)
… ex de Le sang d’Algérie (26 euros)
… ex de Vérités tentaculaires sur l’OAS et la guerre d’Algérie (26 euros)
… ex de L’islamisme dans la guerre d’Algérie (35 euros)
… ex de Attaques et contre-attaques (39 euros)
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Destination France : 5 euros (1 livre)/6 euros (2 livres)/7 euros (3 livres ou plus)
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Maroc: obligée d’épouser son violeur, elle met fin à ses jours…
Il y a des raisonnements que je ne comprends pas. Ce qui suit en fait partie. Dans certains pays du Maghreb, un violeur, pour échapper aux poursuites, doit épouser sa victime… Et parfois, ça vire au drame. Lire l’article ci-dessous.
Bienvenue dans le monde des tarés. Fiers de vous, les momos ?
FDF
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Une jeune fille tient une photo d’Amina lors d’une manifestation à Larache. Crédits photo : ABDELHAK SENNA/AFP
Amina Al Filali,16 ans, a été obligée par la loi à épouser celui qui l’avait violée. La jeune fille s’est suicidée en absorbant de la mort aux rats, déclenchant une réflexion dans le pays sur la protection des femmes.
Elle s’appelait Amina Al Falali, elle avait 16 ans. Le samedi 9 mars, elle s’est tuée près de Tanger avec de la mort aux rats. La raison de son geste bouleverse le Maroc : violée à 15 ans, elle avait été contrainte d’épouser son agresseur. Cet arrangement est prévu par la loi marocaine et permet à son violeur d’échapper à la prison. Le drame a provoqué une vaste mobilisation sur la blogosphère et dans les médias. Une pétition pour l’abrogation de «l’article de loi criminel» et intitulé «Nous sommes tous Amina Al Filali» a été mis en ligne sur Facebook. «Au delà de l’aspect législatif, c’est une affaire de mœurs, de perception de la femme-objet qui perdure, du manque d’éducation à proprement parler et d’éducation sexuelle notamment», estime le quotidien francophone L’Economiste.
Quelque 300 personnes ont organisé jeudi un sit-in, à l’appel de la Ligue démocratique pour les droits de la femme, devant le tribunal de Larache où le jugement entérinant le mariage de l’adolescente avait été prononcé. Un autre sit-in est prévu samedi devant le siège du parlement à Rabat.
L’émotion dans le pays a forcé les politiques à s’exprimer sur la législation de protection des femmes. Fait rare: le gouvernement a largement consacré sa réunion hebdomadaire à l’examen de ce drame. «Cette fille a été violée deux fois, la dernière quand elle a été mariée», a déclaré le porte-parole du gouvernement Mustapha El Khelfi. «Il faut étudier d’une manière approfondie cette situation avec la possibilité d’aggraver les peines dans le cadre d’une réforme de l’article du code pénal. Nous ne pouvons pas ignorer ce drame», a-t-il ajouté.
«Un débat pour réformer cette loi»
La seule femme ministre du gouvernement islamiste, Bassima Hakkaoui, responsable du portefeuille de la solidarité, de la femme et de famille a reconnu un «vrai problème» et préconisé un «débat pour réformer cette loi», sur la chaîne de télévision publique 2M. «C’est un cri de la société», a lancé une ex ministre, Nouzha Skalli, qui occupait le même poste dans le gouvernement précédent. Les deux femmes s’exprimaient sur la chaîne publique qui, fait rare, y consacrait jeudi la quasi totalité de son journal de la mi-journée. «La loi considère la mineure violée comme une criminelle bien qu’elle soit victime de la violence», a dit Nouzha Skalli, regrettant «l’absence de protection en faveur des mineurs». «Il faut réformer le code pénal afin de l’adapter à la nouvelle constitution qui interdit la violence contre les femmes et assure l’égalité des sexes», a-t-elle ajouté. Dans la loi marocaine, le viol est considéré comme un délit, et est punit au maximum de 5 ans de prison. le violeur a la possibilité de choisir entre l’emprisonnement ou le mariage avec sa victime.
Dans de nombreuses familles où le poids de la tradition et de la religion est très fort, la perte de la virginité hors du mariage est considéré un déshonneur pour la famille. Souvent, des arrangements sont trouvés, avec la contribution de la justice, pour que les filles violées épousent leur agresseur. Le Maroc n’est pas le seul pays du Maghreb dans cette situation. En Tunisie et en Algérie également, si la victime épouse son violeur, celui-ci échappe aux poursuites.
Source: http://www.lefigaro.fr/
16/03/2012
15/03/2012
13/03/2012
La haine de la France d’une grand mère algérienne vivant en France…
Guerre d’Algérie et repentance… Ecoutez ce qui suit et repentez-vous…
Par la voix de ce témoignage, c’est toute l’Algérie qui parle; celle de là-bas et celle d’ici. Celle qui nous hait. Celle qui nous crache dessus. Celle que l’on nourrit…
Ca fait peur.
FDF
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La guerre d’Algérie, Inès et sa soeur Sabrina en ont toujours beaucoup entendu parler grâce à leur grand-mère algérienne. Récemment, la rue en bas de chez elles, à Bobigny, a été rebaptisée « rue du 19 mars 1962″. L’occasion pour les deux soeurs de confronter les souvenirs de leur grand-mère et les réactions des passants qui empruntent la rue chaque jour.
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« Je vais prendre les sous de la France en restant là, en ayant une retraite… »
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A écouter sur http://www.fdesouche.com/284863-la-haine-de-la-france-dune-grand-mere-algerienne-vivant-en-france-appel-lecteur
Aïe! 26% des Algériens rêvent d’émigrer, ils sont 50% au Soudan et 30% au Liban…
Et quand ils sont chez nous, et ils crachent sur notre pays, et sur nous, brûlent notre drapeau, « niquent nos mères et nos soeurs les putes, et notre France » (et j’en passe) en disant que « chez eux ce sont les pays des merveilles »
Les algériens sont 35 millions, ça veut dire que PLUS DE 9 000 000 (9 millions) veulent émigrer…….
mais chuttttttttttt FAUT PAS DIRE CA A AUBRY / BROCHEN et HOLLANDE ça pourrait leur donner des idées et en la matière ils n’ont pas besoin de ça.
Près d’un quart des Algériens souhaitent s’installer à l’étranger. Le chiffre est beaucoup plus important au Soudan, où 50% de la population souhaite émigrer et au Liban l’envie de partir taraude plus de 30% de la population.
JC…
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Le plus inquiétant, dans l’affaire, c’est que chez nous, en France, nous avons déjà largement dépassé le quota qu’ils se sont fixé. Et on ne peut pas pousser les murs de l’Héxagone… Qu’en faire ?
FDF
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26% des Algériens veulent quitter le pays ! (Mais non; pas le notre…).
Le Centre arabe de recherche et d’études politiques (Carep), basé à Doha, a par le biais d’un sondage établi les courants et les différents mouvements qui agitent le Monde arabe.
Les interviewés algériens ont été interrogés de la période du 15 au 27 mai 2011 pour déterminer les tendances des aspirations et des déceptions des Algériens.
Le Centre arabe de recherche et d’études politiques a interrogé les citoyens du Monde arabe sur leur vie, leurs aspirations et leurs déceptions. Voulant jauger la température d’une région en ébullition, le sondage a pour ambition de définir l’opinion publique arabe. Le résultat est plutôt intéressant : l’on apprend, entre autres, que 18% des Algériens sont très satisfaits de leur vie et que si la majorité perçoit des salaires qui couvrent leurs besoins élémentaires, beaucoup ne parviennent pas à faire des économies. Sur le plan politique, l’indice 2011 du Centre arabe met en exergue le divorce entre le gouvernement et les Algériens dont une bonne partie est prête à céder aux sirènes des islamistes.
Des revenus insuffisants
Selon le sondage du Centre arabe, 18% des Algériens sont très satisfaits de leur vie. C’est l’une des moyennes les plus faibles du Monde arabe avec la Palestine (17%) et l’Irak (2%). Les Saoudiens, les Mauritaniens et les Soudanais sont ceux qui expriment le plus leur contentement. Au total, 30% des Arabes sont très satisfaits de leur vie. La question des salaires, au cœur de nombreux bras de fer entre les syndicats autonomes et le gouvernement, a également été évaluée par le Centre arabe de recherche. En général, les Algériens se disent plutôt satisfaits de leur situation financière : 14% sont très satisfaits, 48% sont relativement satisfaits, 27% relativement insatisfaits et 11% insatisfaits.Près de 21% des Algériens estiment que le revenu familial suffit à couvrir leurs besoins et qu’ils parviennent à faire des économies. Mais 43% (la grande majorité) perçoit des salaires qui ne lui permettent pas d’épargner. Pire, 32% ont des revenus qui ne couvrent pas leurs besoins et ne suffisent pas à faire des économies. L’Algérie figure parmi les pays les moins sûrs, de l’avis même de ses habitants. Seulement 16% des Algériens se sentent à l’abri du danger dans leur domicile (soit la même moyenne qu’en Palestine), 53% considèrent que leur lieu de vie est relativement sûr. Les havres de quiétude, d’après les Arabes, ressemblent à la Jordanie (72% de ses habitants s’y sentent à l’abri du danger), l’Arabie Saoudite (53%) et – ô surprise – la Mauritanie (61%). Les années de sang qu’a connues l’Algérie ont laissé des traces. A peine 10% des Algériens sont satisfaits du niveau de sécurité de leur pays, 49% sont relativement satisfaits et 12% sont insatisfaits.
2% des Algériens s’impliquent dans la politique
Le sondage montre le peu d’intérêt qu’ils consacrent à la chose politique.
A peine 5% des Algériens sont satisfaits de la situation politique de leur pays. Le désappointement est visible dans beaucoup de pays arabes, à l’exemple du Maroc (4% satisfaits). Mais la palme d’or revient au Liban, où 81% de la population est mécontente. Seule la monarchie saoudienne semble trouver grâce aux yeux de son peuple. La situation économique de leur pays n’agrée pas non plus les Algériens. Seulement 6% de la population algérienne se montre enthousiaste quant à la politique économique de leur pays. Dans tout le Monde arabe, ce sont les Algériens qui accordent le moins d’importance à la chose politique. Seuls 2% se sentent impliqués dans les affaires politiques de leur pays, contre 24% de Soudanais, 21% d’Egyptiens, 15% de Marocains et 9% de Tunisiens. Et si dans tous les pays arabes, la télévision est perçue comme la source d’information la plus crédible, les Marocains et les Algériens croient plus en la presse écrite et Internet.
Algériens et Tunisiens redoutent la nouvelle Libye
Parmi les pays qui menacent la tranquillité des pays arabes figure en bonne place Israël (28% des votants du Monde arabe) et les Etats-Unis (8%). Les Algériens redoutent particulièrement le pays de l’Oncle Sam.
Le conflit du Sahara occidental alimente l’inquiétude des Marocains, dont 51% considèrent que les pays arabes voisins représentent une menace pour leur sécurité.
Les Algériens et les Tunisiens craignent beaucoup plus, à en croire le rapport du Centre arabe de recherche, la Libye nouvelle issue du conflit armé et de l’intervention de l’OTAN.
Parmi les Algériens interrogés, 45% considèrent que le Monde arabe représente une seule nation dont chacune a sa spécificité et 68% estiment que le partenariat arabe-arabe est trop faible et qu’il devrait être intensifié. Près de 79% des Algériens sont en faveur de la libre circulation des personnes dans tous les pays du Monde arabe et 71% vont jusqu’à prôner l’adoption d’une monnaie unique dans le Monde arabe.
89% des Algériens pour la chute de Moubarak
Pas moins de 87% des Algériens ont soutenu la chute du président Ben Ali en Tunisie. A leurs yeux, la révolution tunisienne a éclaté en raison de la corruption (19% des répondants), de la répression des libertés (12%) et de l’injustice (14%).
La révolution égyptienne a eu l’adhésion de 89% des Algériens, soit un peu plus que les Egyptiens eux-mêmes (87%).
92% des Algériens s’opposent à l’héritage du pouvoir
La définition algérienne de la démocratie se confond avec les libertés politiques et civiles (41%), l’égalité et la justice entre les citoyens (22%), un système de gouvernement démocratique (5%) et l’amélioration de la situation économique (2%).
Près de 30% des Algériens considèrent qu’un système démocratique, s’il comporte des défaillances, reste le meilleur mode de gouvernance. Cette idée semble mieux ancrée au Liban (59%), en Mauritanie (45%) et au Soudan (37%).
Pas moins de 92% des Algériens s’opposent à l’héritage du pouvoir dans une république. Au total, 62% ne font pas confiance à leur gouvernement, 31% désapprouvent l’Assemblée populaire nationale (APN) et 19% ont perdu la foi quant à leurs représentants locaux. Aussi, 21% des Algériens considèrent que la politique extérieure de leur pays ne les représente pas.
48% accepteraient un parti islamiste au pouvoir
Dès lors qu’il s’agit d’accepter le jeu de la démocratie, les Algériens se montrent moins enthousiastes : 42% des Algériens se disent prêts à accepter l’arrivée au pouvoir d’un parti avec lequel ils ne sont pas d’accord.
C’est beaucoup moins en comparaison avec d’autres pays arabes, comme la Mauritanie où 83% de la population est prête à accepter le choix des urnes quel qu’il soit.
Vingt ans après l’arrêt du processus électoral, 48% des Algériens se disent disposés à accepter un parti islamiste à la tête de l’Etat, s’il reçoit assez de voix pour le porter au pouvoir. Les partis laïcs ont moins la cote : seulement 38% des Algériens accepteraient au pouvoir un parti qui prône la séparation de la politique et la religion.
Des Algériens au-dessus de la loi ?
La propagation de la corruption inquiète 51% de la population algérienne. Près 56% considèrent que l’Etat applique la loi, mais ils le soupçonnent de ménager une partie de la population. 31% soulignent que certains citoyens seraient, à leurs yeux, au-dessus des lois.
Pour le reste, 16% des citoyens algériens sont très satisfaits des prestations de santé publique de leur pays et les cours dispensés dans les écoles publiques sont appréciés par 13% de la population algérienne.
26% des Algériens rêvent d’émigrer
Près d’un quart des Algériens souhaitent s’installer à l’étranger. Le chiffre est beaucoup plus important au Soudan, où 50% de la population souhaite émigrer et au Liban l’envie de partir taraude plus de 30% de la population.
Principal critère pour le mariage : La religion
La religion tient une place particulière dans la vie des Algériens :
13% estiment que les postes-clés dans le gouvernement devraient revenir à des hommes pratiquants et 18% préfèrent conclure des affaires (commerciales ou autres) avec des musulmans pratiquants.
Selon le Centre arabe de recherche, la religion représente le critère le plus important pour un mariage : 40% des Algériens choisissent ainsi leur partenaire pour la vie en fonction de sa religiosité, 23% jugent sa situation financière et 14% son niveau intellectuel.
Un indice 2011 pour prendre le pouls de l’opinion publique arabe :
Les études sur les peuples des pays arabes s’intensifient. Après le baromètre 2011 publié récemment, le Centre de recherche arabe et d’études politiques, basé à Doha, tente, à son tour, de décrypter les courants et les différents mouvements qui agitent la région.
A travers un sondage ayant concerné 12 173 personnes venant d’Algérie, Maroc, Tunisie, Egypte, Soudan, Palestine, Liban, Jordanie, Irak, et Arabie Saoudite, le Centre arabe de recherche met ainsi en place le premier indice du Monde arabe.
Une expérience qui devrait être renouvelée annuellement. Les interviewés algériens ont été interrogés du 15 au 27 mai 2011.
Amel Blidi
Commentaires de racailles: toujours en dessous de la ceinture…
Tags: algérie, algérien, bizut, chances pour la France, commentaire insultant, commentaires, cousin, délinquance, diversité, en profondeur, enfiler, fachos, francaisdefrance, identification, identité nationale, immigration, invasion, mouchoirs, on t'aime, Pied Gris, pine d'huitre, provocation, proxy, racaille, racisme anti blancs, résistance, refoulés sexuels
Ca ne doit pas être très marrant, d’être des refoulés sexuels…
Encore un commentaire insultant d’un « zissu de l’immigration » algérienne, je pense…
Tu veux nous « enfiler en profondeur »? Mais avec quoi, pine d’huitre ???
Au fait, ce n’est pas un proxy qui nous empêche de t’identifier, cousin; on évolue, en France…
Nous aussi, on t’aime.
FDF
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Pied Gris commented on Toulouse : le pont Bayard rebaptisé « Pont du 19-Mars 1962 » !
Est ce que t’es deg fdf , on vous enfile sec et en profondeur bande d’enfoirés de fachos ! =) !!!
Tu veux des mouchoirs ? Pauvre bizut ! 😉
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