Encore un des délires de l’islam. Une liste loin d’être exhaustive…
FDF
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Quelle belle initiative en ces proches fêtes de Noël. Quel bel exemple d’entraide. Allez, tiens, je participe aussi. Je leur envoie cette grosse tirelire:
Mais je me demande si c’est bien « haram », ces tirelires… D’habitude, « ils » font appel aux dons des « fidèles ». Ces derniers sont ils à ce point démunis?
FDF
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Alignées en forme de pyramide, les tirelires ont été distribuées dimanche dans la mosquée de la rue Lobin à Tours. En une heure, 200 avaient trouvé preneurs. Comme Mourad, venus en chercher une quinzaine, qu’il va distribuer dans sa famille et chez ses amis. « Les dons restent anonymes mais on enregistre le nom de celui qui prend les tirelires. Lui-même doit noter les noms de ceux qui les reçoivent », expliquent Ahmad et Nourdin.
L’idée qu’ils ont eue, avec une vingtaine d’autres jeunes de la communauté islamique d’Indre-et-Loire, a été rondement mise en œuvre. Affiches, messages sur les réseaux sociaux, achat et habillage du millier de tirelires jusqu’à la distribution de dimanche. « Il faut arriver à terminer le chantier de la nouvelle mosquée et du centre culturel, à La Riche. Cela concerne toutes les générations, y compris les jeunes. On espère les sensibiliser avec ces tirelires. »
Jusqu’au 4 mars
L’opération se terminera le 4 mars avec le retour des tirelires – pleines – à la mosquée de Tours. « A raison d’un euro par jour, chaque tirelire contiendra une centaine d’euros. On pourrait atteindre les 100.000 euros au total. »
Une somme qui sera loin de suffire, bien sûr, à l’achèvement des travaux. Le montant total du projet de la nouvelle mosquée de la Riche, en gestation depuis des années, atteint les six millions d’euros. « Pour l’instant, on a 1,5 million devant nous, obtenus grâce aux dons. L’Algérie a donné 480.000 euros, par l’intermédiaire de la Mosquée de Paris. D’autres pays comme le Maroc, l’Arabie Saoudite, le Koweit nous ont fait des promesses, mais. .. le chantier a été arrêté pendant plusieurs mois suite à la défaillance de deux entreprises. Il vient de redémarrer et cette opération des jeunes est très symbolique », explique Salah Mérabti, président de la communauté islamique d’Indre-et-Loire et délégué régional de la Grande Mosquée de Paris
Pour ce représentant des musulmans de Touraine, le manque de lieux adéquats pour fêter l’Aïd est un problème récurrent. « Si on finit le premier niveau de la nouvelle mosquée en 2012, ce sera déjà un grand pas. » »
Source: http://www.maville.com/
Christianophobes, homophobes, racistes anti-blancs, fêlés, momophiles, massacrophiles, (liste non-exhaustive…) je me demande bien qu’est-ce qui ne tourne pas rond chez ces gens là…
Et ça, ce n’est pas corrompre la jeunesse ?
http://sitamnesty.files.wordpress.com/2009/09/presentation_ecole_coranique.pdf
FDF
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Le parti Se-Malaysia (PAS) estime que par son homosexualité, le chanteur britannique prône «l’hédonisme».
Source: http://www.tetu.com/
Comment l’islam pratique la tolérance… Et c’est en France, que ça s’est passé. Dément. Ces gens-là vivent à une autre époque; il n’y a plus de doute.
FDF
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Source: http://www.kabyles.net/
Ca date de juin 2011. Il n’y a pas eu trop de publicité concernant ces faits. Et pour cause… Quand on envahi un pays, on ne le prévient pas à l’avance… L’adage « l’argent est le nerf de la guerre » s’applique bien ici.
FDF
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Lu sur Al-Kanz:
« Nous venons d’ajouter la liste des agences Chaabi où vous pouvez souscrire le compte courant conforme aux principes islamiques. N’hésitez pas à appeler un conseiller ou à lui envoyer un email pour vous renseigner notamment sur les possibilités à venir in cha’a-Llah de financement pour un achat immobilier. C’est le moment : Compte courant islamique : liste des agences en France de Chaabi Bank. Pour ceux qui s’interrogent sur la nécessité ou non de choisir un tel compte courant : Basculer vers un compte conforme au droit musulman ou non ?
C’est fait, c’est officiel, c’est disponible. Depuis hier, la Chaabi Bank*, filiale du groupe Banque Populaire du Maroc, offre à ses clients français un compte courant qui respecte en tout point les exigences de la finance islamique. Boudée par les banques françaises, la clientèle musulmane trouve enfin dans cette initiative la possibilité de disposer d’un produit compatible avec leurs principes éthiques et religieux. Pas de riba, pas d’intérêt usuraire, pas de placements dans des activités haram (illicite). Ce premier produit est évidemment supervisé par un comité d’éthique, un shariab-board, composé de trois membres d’ACERFI. C’est par ailleurs le cabinet IFAAS qui a été mandaté par la Chaabi Bank pour traiter de la compatibilité avec le droit musulman.
On peut penser que la Chaabi Bank, pionnière, proposera in cha’a-Llah par la suite d’autres produits liés au financement d’un achat immobilier, mais aussi des produits financiers très attendus par les entrepreneurs musulmans, qui refusent à juste titre de recourir aux prêts bancaires classiques. Vous n’avez plus d’excuses pour continuer à garder votre compte courant rémunéré par des intérêts ;).
Plaquette commerciale disponible dans les agences de la Chaabi BankPlus de détails dans un prochain article in cha’a-Llah. Rendez-vous sur le site de la Chaabi Bank : compte dépôt de la gamme Harmonis
*Disclaimer : la Chaabi Bank a choisi Al-Kanz.org comme partenaire pour faire connaître son produit ».
« Pendant que les musulmans attendent que le vrai halal tombe du ciel, les associations animalistes continuent leur travail de lobbying tant auprès des politiques que des industriels. Lundi dernier, l’Europe votait l’étiquetage « abattus sans étourdissement », ce qui est une excellente nouvelle pour les musulmans, même si une adoption définitive de la mesure devrait bouleverser tout le marché du vrai halal qui sera dans l’obligation de se réinventer. C’est une victoire pour les anti-abattage rituel qui, depuis des années, ne ménagent pas leurs efforts.
Le groupe Carrefour qui a sorti l’an dernier sa marque Carrefour haram halal n’a pas attendu ce vote pour décider d’imposer l’assommage à ses fournisseurs, et partant de décider d’un standard halal qui fait ses affaires au détriment des principes qui régissent le halal. Carrefour, comme d’autres enseignes de la grande distribution, se fiche au fond de savoir ce que veulent les consommateurs en général, les musulmans en particulier. Ce qui lui importe, c’est de leur vendre ses produits.
Dans la lettre qui suit, on apprend que Carrefour a collaboré pendant un an avec la PMAF, une association animaliste, qui à l’instar de la fondation Brigitte-Bardot ou l’OABA fait du lobbying pour imposer ses vues, ce qui au font est de bonne guerre. Quand Carrefour donc prépare sa gamme prétendument halal, elle ne s’assure pas les services d’un organisme spécialiste du halal. Non, Carrefour sollicite une association qui combat l’abattage rituel. Ce qui en dit long sur le mépris de l’enseigne…
Monsieur et cher client,
Objet : produits Carrefour halal
Nous avons pris connaissance de votre e.mail.Votre avis est essentiel pour améliorer la relation de confiance que nous souhaitons développer avec nos clients. C’est pourquoi nous vous remercions de nous avoir contactés pour nous faire part de votre point de vue et de vos attentes.
Carrefour a toujours été attentif à la question du bien-être animal. Depuis plus d’un an, nous travaillons sur le sujet avec la protection mondiale des animaux de ferme (PMAF), association de protection animale dont la mission est reconnue d’utilité publique. Cette association nous accompagne dans la définition des critères à inclure dans nos cahiers des charges en matière de bien-être animal. Ce travail avec la PMAF nous a menés à faire évoluer nos cahiers des charges de viandes Engagement Qualité Carrefour (boeuf, porc, beau, volailles, lapins…) pour rendre obligatoire l’étourdissement des animaux avant abattage.
Notre gamme de produits halal respecte la réglementation halal en vigueur, validée par l’ensemble des mosquées qui autorise l’étourdissement avant saigné pour les volailles.
Espérant que ce nouvel éclairage vous permettra de conserver votre confiance.
Service Consommateurs Carrefour France
Carrefour « respecte la réglementation halal en vigueur ». Tiens donc ! Une fois encore, Carrefour enfume les consommateurs : quelle est donc cette réglementation halal en vigueur ? Ce n’est pas la première fois que le service consommateur du numéro 2 mondial de la grande distribution se moque ouvertement des consommateurs musulmans et les mène en bateau. Il n’existe aucune réglementation halal à proprement parler. C’est du reste pour cette raison que Carrefour est bien décidé à imposer son halal qui n’a de halal que le nom. L’absence de réglementation lui laisse les coudées franches.
Cela dit, cette lettre a un intérêt certain : désormais les consommateurs peuvent lire noir sur blanc que Carrefour recourt à l’assommage des bêtes. Elle confirme ce que nous indiquions il y a quelques semaines quant aux menaces de l’enseigne à l’encontre des fournisseurs qui refuseraient de pratiquer l’étourdissement des bêtes avant abattage. »
Oui, vous avez bien lu. Une collectivité locale, qui est censée et appliquer la loi et respecter la laïcité et la neutralité nécessaires à tout service public subventionne les mosquées en achetant du halal et prend ouvertement en compte une revendication religieuse pour l’élaboration des menus scolaires…
Voir ci-dessous la fiche à compléter par les parents dont les enfants partent en classe de neige.
On notera, et on en est atterrés, que l’on propose deux choix qui ont un rapport étroit avec la religion musulmane : « régime sans porc » et « régime halal » accompagnés, pour, de façon évidente, « noyer le poisson », d’un repas végétarien. Comme si les enfants végétariens étaient en nombre important, plus important par exemple que les enfants catholiques qui auraient pu, au point où on en est, se voir proposer un repas avec poisson le vendredi… qui, finalement, dans un pays de tradition chrétienne choquerait moins que ce « halal », mot inconnu de la plupart des Français il y a encore deux ans, et pratique inexistante auparavant.
Oui, le halal était inexistant en France jusqu’à ces dernières années. Pourtant, des générations de musulmans se sont installées en France depuis cinquante ans. Se sont-ils laissés mourir de faim ?
Pas du tout, ils ont vécu, ils ont mangé, sans problème, de la viande non halal et sans même avoir l’idée de la revendiquer. Ils étaient en terre non musulmane, ils devaient se nourrir, et à ce titre ils avaient licence de manger haram. Comme leurs enfants ont la licence de manger haram à la cantine ou en voyage scolaire.
Or, voici que parce que ce pays comporterait de 10 à 15 % de musulmans, il faudrait qu’il prenne en compte des particularités alimentaires qui conduisent à tuer de façon cruelle des animaux ? Depuis quand la France est-elle devenue terre d’islam ?
Il est évident qu’il s’agit d’un flagrant délit de violation de nos lois, pour des raisons inacceptables…
…Suite et source: http://tinyurl.com/3dvpr69
Pillé sur un excellent site…Le webmaster a besoin de compétences? Pas de problème. On peut attaquer de suite avec ce « coup du saucisson pendu au rétroviseur de la voiture ».Ca change des chapelets et autres merdouilles comme les petits « coran » en pendentif…
FDF
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J’ai vu, cet après-midi, une voilée, bien maquillée… En compagnie de son chimpanzé. N’allez pas me dire que cette fille là obéit aux principes de l’islam… Ces « coutumes », lois islamiques, port obligatoire du voile, de la burqa, prières dans les rues, etc, c’est bien rien que pour nous emmerder, tout ça…
FDF
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Voici qui en rajoute (pillé sur Facebook…).
FDF
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Un « impur » a pu toucher ces billets !!!
Les muzz ont la phobie du cochon faisons-leur savoir que du cochon ils en touchent pourtant tous les jours……………..sans le savoir.
En effet nos billets de banque passent de mains en mains, pas toujours propres, mêmes que certains mangent du saucisson avec leurs doigts et puis, ces salopards ils touchent des billets de banque.
Aïe ! La contamination est inévitable! j’entends déjà les couinements des muzz vociférant que c’est encore un coup des sionistes. Ils vont encore être « heurtés », ils vont « condamner »…
Ils vont exiger des billets réservés à leur communauté, des billets halal et Fillon prendra ça pour une revendication des plus légitimes bien évidemment.
Vous avez compris, il va falloir diffuser partout ce message. Je vous confirme qu’il n’est protégé par aucun copyright.
Je me pose la question à savoir quels châtiments horribles vont prendre sur la g….. les « mauvais » musulmans ayant consommé sans le savoir du faux halal… Et combien en sont morts? Et dire que tout ces rescapés vivant désormais dans le péché n’auront pas droit aux grandes largesses de Momo le prophète. Les « heurtés », comptez-vous. Bizness, bizness, cousin…
FDF
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Auchan, Leclerc, Carrefour soutiennent le halal non halal
Alors qu’il n’est désormais un secret pour personne que le faux halal est devenu la norme sur le marché du halal, la grande distribution ferme les yeux en toute connaissance de cause sur cette situation scandaleuse. Les poulets de la marque Daz al-Mazak, non halal, sont toujours en rayon.
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Carrefour haram halal dans les rayons
Carrefour déploie sa gamme de produits prétendument halal que les consommateurs musulmans vigilants éviteront évidemment de consommer.
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Ils bloguent sur le halal
Si en 2010 les médias ont amplement couvert la thématique du halal, désormais sujet à part entière, le Net n’est pas en reste. Depuis quelques mois, les sites à vocation informative se multiplient. La ligne éditoriale choisie est clairement celle du halal.
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Source: Al Kanz
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Le marché de la viande halal est caractérisé par une grande opacité. La viande consommée par les musulmans est-elle réellement Halal ? Fethallah Otmani affirme que plus de la moitié de la viande « halal » est vendue sans certification ! Il invite le consommateur musulman à plus d’exigence et de vigilance vis-à-vis du label halal qui est souvent utilisé comme un simple outil marketing. Porte-parole d’AVS (association dont l’objet est de contrôler et d’assurer le respect de l’abattage rituel), Fethallah Otmani est co-auteur avec Mostafa Brahami du livre « Le marché du Halal » paru aux éditions Tawhid.
Source: Oumma.com
On se sent nettement mieux, non?FDF. |
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Source: DB
Quelles relations avec la minorité musulmane ?
Par Aldo-Michel Mungo
Lundi dernier à Bruxelles, le Comité de pilotage des Assises de l’Interculturalité présentait, à la demande du gouvernement belge, ses « propositions pour une société ouverte », véritable catalogue de revendications des musulmans radicaux. Dès l’introduction, on peut lire cette phrase stupéfiante : « Les principes d’égalité entre citoyens, de lutte contre le racisme et la xénophobie et d’égalité de l’homme et de la femme ne sont pas absolus, ils coexistent avec d’autres principes, ce qui parfois entraîne la nécessité d’une mise en balance ». Ce samedi 13 novembre aura lieu un colloque à l’Institut de Sociologie de Bruxelles intitulé « Bruxelles musulmane en 2030 ? » et qui fait suite à une enquête parue au début de l’année dans le magazine Le Vif / L’Express. Tout comme Karl Marx posait la « question juive » au 19ème siècle, désormais nous devons nous demander s’il existe une « question musulmane » dans l’Europe du 21ème siècle. Incontestablement l’article de Daniel Pipes (directeur du Middle East Forum et membre de l’Institut américain pour la paix), paru en mars 2007, sous le titre « Les options peu engageantes de l’Europe », pose la vraie question : « À long terme, l’évolution la plus décisive du continent européen, celle de ses relations avec sa minorité musulmane croissante, suivra l’une de ces trois voies: intégration harmonieuse, expulsion des Musulmans ou prise de pouvoir islamique ». Le scénario d’une capitale européenne, Bruxelles, devenant une ville musulmane dans à peine 20 ans n’est pas de la politique fiction. Pourquoi ce scénario est-il inquiétant ? Pas parce qu’il faut s’opposer aux religions, notamment à l’islam. Pour ma part, les croyances des gens, leur spiritualité, je ne m’en soucie guère. Chacun est libre de croire ou de ne pas croire. Il existe en Belgique deux principes qui règlent cette question : la liberté religieuse et la neutralité de l’Etat. Cela veut dire que la religion est libre de s’exprimer tant qu’elle n’interfère pas dans le fonctionnement des institutions, et tant que le prescrit religieux ne s’impose pas aux autres citoyens. Notre cohésion sociale repose en grande partie sur ce socle égalitaire. C’est un contrat social qui garantit la neutralité de l’Etat dans le traitement égal de chaque citoyen. Dans nos états occidentaux, la religion n’a pas à intervenir dans la vie de la Cité. Aucune loi, aucune norme ne peut être dictée par une autorité ou une pratique religieuse et s’imposer aux autres citoyens. La neutralité de l’Etat n’a pas été facile à obtenir : souvenons-nous des conflits qu’il a fallu régler pour que l’Eglise catholique se retire du champ politique. Mais dans le même temps, les chrétiens ont conservé le droit de croire et de pratiquer en toute liberté leur religion, dans la sphère privée. Le problème est ailleurs. Il n’est pas religieux, il est politique. Ce qui est en cause, ce n’est pas la religion musulmane, c’est l’islam politique qui veut introduire la charia dans notre société. Car tout nous démontre que l’islam politique veut transformer la façon de vivre des habitants de notre continent. Et n’ayons pas peur des mots : l’islam politique est une idéologie d’extrême droite, fascisante, qui instrumentalise la religion pour parvenir au pouvoir et régir la Cité de manière totalitaire. Le problème n’est pas religieux, il est politique. ET SOCIAL. J’insiste sur le mot : social. Car que se passera-t-il si nous continuons à faire des concessions aux nouveaux bigots barbus ? Nous vivrons tout simplement une vaste régression sociale. Nous reviendrons sur plus d’un siècle de conquêtes sociales: l’émancipation de l’individu face au clergé, l’égalité hommes-femmes, la laïcité, la séparation de l’Eglise et de l’Etat, la mixité, le droit à l’enseignement pour tous, le droit au travail, la fin des prescrits religieux, la liberté d’expression et de pensée. En un mot, la fin des dogmes imposés par les clercs. C’est cela qu’une minorité de musulmans tente de remettre en question. Je parle d’une minorité de musulmans. Mais hélas, ce sont les plus actifs, les plus visibles et les plus nuisibles. Je dirais aussi: les plus malins. Car les politiques actuelles, qui acquissent aux revendications des nouveaux piétistes, conduisent au communautarisme et au repli sur soi identitaire. Et il faut rompre avec cette politique qui multiple les concessions à l’islam rigoriste. C’est l’attitude la plus humaniste, la plus sociale, la plus progressiste car c’est le combat des Lumières. Que constatons-nous dans certains quartiers de nos grandes villes ? Une atmosphère étouffante, des pressions et des injures visant les femmes qui ne portent pas le voile, l’interdiction de fait des commerces qui ne sont pas halal. C’est-à-dire la disparition de tout commerce vendant de l’alcool, du porc et tout ce qui est « illicite » aux yeux des nouveaux inquisiteurs religieux. Des écoles où les enseignants ne peuvent plus parler du darwinisme, des croisades ou de la Shoah sans se faire insulter. Des mosquées qui dictent leur volonté à des dirigeants de gauche qui, par électoralisme, ont tourné le dos à la laïcité. Par actions disséminées, les islamistes transforment nos villes et introduisent petit à petit des éléments de la charia pour tenter d’en faire des villes musulmanes. Mais il faut oser le dire : la charia est contraire aux valeurs de notre civilisation gréco-chrétienne. D’ailleurs, la plus haute juridiction du continent, la Cour européenne des Droits de l’Homme, a dit pour droit le 31 juillet 2001 que la charia est incompatible avec le régime démocratique. Il faut donc cesser de discutailler avec les islamistes sur leurs revendications. Il faut cesser d’accepter leurs coutumes qu’ils tentent de nous imposer. Car il faut être sot ou lâche pour ne pas admettre que l’islam est à l’assaut de l’Europe et de sa capitale. Mais il y a plus grave : un nouveau racisme, qui s’identifie aux vociférations des rappeurs, se manifeste de manière effrayante. Des nouveaux barbares, au vocabulaire limité, crient leur haine contre « les fils de pute » que sont les Français, les Belges, les juifs, les femmes, les homosexuels et les blancs en général. Cela se traduit de plus en plus souvent par des agressions gratuites ultra-violentes. Dont sont victimes en premier lieu les homosexuels et les juifs. Il est intolérable que, dans nos villes, les enfants juifs ne puissent plus aller à l’école publique et doivent se terrer dans des blockhaus gardés par la police. Comment sommes-nous arrivés à une telle situation ? La Belgique est une société d’accueil. Il est vrai que les contingents d’immigrés musulmans, à partir des années ’60, ont été recrutés pour servir les intérêts de l’industrie belge, nous ne l’oublions pas. Mais aucun ouvrier n’a été déporté de force, chacun a été payé et personne n’a été retenu contre son gré en Belgique. Ils ont été accueillis comme l’ont été les immigrés polonais, italiens, espagnols, portugais, et bien d’autres avant eux. Comme l’a été mon père. Comme l’ont été vos pères, mères ou grands-parents. Car cette terre est depuis toujours une terre d’immigration et nous sommes tous des descendants d’étrangers. Nous avons ensuite permis à ces nouveaux immigrés de s’établir et de faire venir leur famille; nous leur avons octroyé les droits et les avantages acquis par nos aïeux ; nous avons accordé la nationalité belge à ceux qui la demandaient. Nous avons ouvert nos dispositifs sociaux à des dizaines de milliers de réfugiés conformément aux conventions de Genève ; nous avons régularisé massivement les sans-papiers, nous avons financé la formation des arrivants et l’instruction de leurs enfants pour permettre leur intégration. Pour éviter la concentration des enfants d’immigrés, nous avons même perdu la liberté d’inscrire les nôtres dans l’école de notre choix. Tout cela, les Belges l’ont fait par souci de responsabilité sociale. Nous l’avons fait avec un esprit universaliste, croyant de bonne foi que ces immigrés musulmans souhaitaient vraiment partager nos valeurs et notre style de vie. La société belge a accepté ces efforts parce que l’on a cru que « ça allait prendre », que l’apaisement viendrait, que le « creuset » finirait par fonctionner comme avec les Italiens ou les Espagnols intégrés depuis belle lurette. Mais il faut bien constater que, pendant ce temps, l’ensemble des citoyens belges a dû supporter au quotidien les débordements violents d’une partie de la jeunesse édifiant une culture de la haine qui n’a plus de limites aujourd’hui. Il faut bien constater aussi que certains musulmans radicaux tendent maintenant à revendiquer la non-intégration comme un droit. Nos dirigeants politiques n’ont pas eu le courage d’identifier les signes de l’échec. Ils n’ont pas osé prendre les mesures indispensables pour préserver la cohésion sociale quand il devenait évident qu’elle était en péril … et quand il était encore temps ! Ils ont préféré taxer ceux qui ne se plaignent pas pour apaiser à coups de subsides ceux qui se plaignent sans arrêt. Les nains ont regardé leurs chaussures dès que les problèmes ont surgi. Paralysés par le « politiquement correct », les politiciens ont abandonné le principe – pourtant parfaitement légitime – qui commandait aux immigrés de s’intégrer dans la société d’accueil en assimilant sa culture. Quelques associations antiracistes ont réussi à imposer le droit à la différence pour les immigrés musulmans et l’obligation de s’adapter pour le reste de la population. Les politiciens au pouvoir sont allés jusqu’à entériner le « multiculturalisme », cette idéologie hasardeuse selon laquelle des patrimoines de valeurs complètement différents peuvent former une société cohérente. Ce multiculturalisme n’a jamais été un projet politique examiné démocratiquement ; il a été imposé par quelques associations qui ne représentent pas le peuple belge. Et les politiciens au pouvoir, à quelques exceptions près, n’ont pas eu le courage de s’y opposer. Les nains à nouveau ont regardé leurs chaussures. Aujourd’hui, la multiculturalité est désormais rebaptisée interculturalité, un nouveau concept qui signifie essentiellement que toute croyance – aussi ridicule ou ignoble soit-elle – est correcte et acceptable au nom de la diversité. Ce qu’il aurait fallu c’est fixer l’intégration sociale comme mesure de notre capacité d’accepter de nouveaux arrivants. En d’autres mots : au moment où l’intégration est tombée en panne, il aurait fallu arrêter l’immigration et consacrer l’effort public à intégrer ceux qui se trouvaient déjà là. Au lieu de cela, on continue à ouvrir nos frontières à des pauvres gens que nous ne sommes pas en mesure d’intégrer, pour lesquels nous n’avons ni logement, ni travail. Evidemment, il aurait fallu prendre des mesures impopulaires ; il aurait fallu être ferme ; affronter les gémissements de la gauche bourgeoise et les accusations de racisme des Bobos. Les politiciens n’ont pas eu ce courage ; ils se sont laissé intimider par l’Inquisition antiraciste; ils ont préféré soigner leur image, assurer leur carrière… Et regarder leurs chaussures. Mais il faudra un jour mettre les pieds dans le plat en posant la question fondamentale : à qui doit-on la radicalisation des musulmans en raison du laxisme et de l’instauration du tabou autour de l’intégration ? Pour résoudre le bien-vivre ensemble, il faudra davantage que cinq minutes de courage politique. Il faudra faire le choix de la parole vraie, de la rigueur intellectuelle. Que faire, me demanderez-vous ? Que proposer face à ce défi ? Il n’y a pas de solution miracle mais il y a un passage obligé : nous devons faire front devant les atteintes à la neutralité de l’Etat. Nous devons refuser catégoriquement les privilèges qui sont réclamés pour des raisons religieuses, en dérogation à nos lois démocratiques. Il nous revient le droit de contraindre à respecter notre contrat social quiconque prétend le violer. Le vivre ensemble implique un changement radical d’attitude de la part de chacun. D’une part, il faut cesser de voir en étranger tout homme dès lors qu’il n’est pas blanc: le sens de la citoyenneté n’a pas de couleur. Mais il faut être intraitable avec ceux qui escomptent violer les valeurs du contrat social sous prétexte de leur propre origine. A cet égard, la tolérance n’est pas de mise, et la contrainte est de rigueur. Le mérite de l’Etat moderne est d’avoir aboli les privilèges ; nous ne devons pas tolérer qu’ils soient rétablis, au nom d’un dieu hypothétique. Nous devons refuser toute concession au communautarisme. Et attention, aux soi-disant « accommodements raisonnables » qui ne sont rien d’autre, absolument rien d’autre, que des privilèges religieux, des lois particulières édictées pour quelques-uns. Si nous en admettons le principe, il sera impossible de faire marche arrière ensuite. Il faut refuser ces revendications déjà acceptées par les ECOLOS et le CDH. Des revendications qui tendent à instaurer le développement séparé des différentes composantes de notre société. Ceux qui prônent ces « accommodements raisonnables » vont dresser définitivement des murs infranchissables. En effet, si chacun obtient satisfaction sur des particularismes identitaires, que restera-t-il du « vivre-ensemble » ? Rien. Il restera une société fondée sur le développement séparé. Une société ségrégationniste. Une société fondée sur le principe de l’apartheid. Il faut dire non aux accommodements raisonnables qui sont la porte ouverte à la scission de la société sur des bases uniquement religieuses et qui vont organiser la société dans l’hystérie piétiste du « pur » (le Halal) et de l’ « impur » (le Haram). Nous ne pouvons nous accommoder de différences religieuses essentiellement revendiquées par des idéologues fondamentalistes et rétrogrades. Car, dans notre société, aucun groupe ne peut se prévaloir de privilèges : tout le monde est sur le même pied. Ces revendications se fondent sur le postulat que plusieurs civilisations peuvent coexister sur le même sol. Cela est faux car cela mène à la guerre civile. Et, c’est évident, seule la position laïque est à même d’assurer la paix civile. Les seuls « accommodements vraiment raisonnables » sont ceux qui s’imposent aux derniers arrivants, comme l’exige la plus élémentaire courtoisie. Ce que nous proposons à nos concitoyens musulmans, en plus de toute notre assistance, de toute notre solidarité sociale, à côté de tous les avantages qu’il y a à vivre en Belgique, c’est simplement qu’ils s’accommodent de nos institutions, de notre mode de vie et de nos traditions. Ce que nous leur proposons – amicalement, avec tout le respect qui leur est dû, avec toute la considération pour les circonstances parfois difficiles qui les ont amenés à émigrer – c’est de devenir partenaires de notre contrat social et de devenir belges à part entière. Mais nous ne pouvons accepter l’ingérence de considérations religieuses, ni donner une légitimité institutionnelle quelconque à cet effet, et encore moins considérer des financements pour de tels agencements. Un contrat, c’est un accord par lequel chacune des parties obtient un droit qui est assorti d’un devoir. En l’occurrence, le devoir est de se soumettre aux mêmes règles que les autres citoyens. Le rejet de ce devoir doit être compris comme un rejet de la citoyenneté belge. Et de cela, chacun doit tirer les conséquences qui s’imposent. Nous devons être intraitables sur la liberté de conscience et d’expression; sur le pluralisme philosophique ; sur l’égalité des droits entre les individus, hommes et femmes ; sur la neutralité de l’Etat ; sur le respect de toutes les minorités ; sur la soumission au processus démocratique ; sur la soumission aux lois nationales ; et sur le respect des traditions et des usages qui sont les nôtres. Les valeurs de la démocratie bénéficient à tous, y compris aux ennemis de la démocratie. Ces valeurs sont notre force. Prenons garde à ce qu’elles ne deviennent pas notre faiblesse. Nul n’entend renoncer à l’Etat de droit ; ce serait renoncer à nous-mêmes. Mais si notre droit est impuissant à faire respecter notre mode de vie, changeons-le ! Mais que constatons-nous encore ? Une vaste régression sociale que beaucoup refusent de voir. Je veux parler de la relégation d’un nombre croissant de femmes musulmanes à la maison parce que leurs maris rétrogrades ne veulent pas qu’elles travaillent avec des hommes. D’une dégradation sanitaire parce que des hommes qui pensent encore vivre au Moyen-âge interdisent à leurs femmes de se faire soigner par d’autres hommes. Des organisations islamistes sont arrivées en très peu de temps à mettre en place une société parallèle, avec son propre ordre, ses propres lois. Pourquoi accepterait-on des imams ce qu’on a dénoncé chez les curés ou chez les rabbins ? Pourquoi cherche-t-on à se rendre sympathique auprès de ceux qui considèrent nos filles comme des putes parce qu’elles ne sont plus vierges ? Lors des prochaines années, de nouvelles revendications vont surgir et contrarier notre droit. Elles seront influencées par les nouveaux bigots et piétistes qui seront appuyés et financés par des organisations et des pays du Moyen-Orient. Parmi ces organisations, celle des Frères Musulmans, la plus dangereuse, a déjà infiltré divers mouvements, associations et partis politiques ; ici en Europe, dans tous les pays d’Europe. Aujourd’hui, nous sommes confrontés à un vaste chantier d’endoctrinement sur l’infériorité des femmes mené par des prédicateurs, via les télévisions par satellite, les cassettes audio et les prêches dans les mosquées de certains imams autodidactes. Que cela soit clair : nous nous opposerons de toutes nos forces à toute volonté d’imposer dans notre pays les lois tribales des bédouins du septième siècle ! Le regroupement familial, qui n’a jamais été sérieusement régulé, aboutit à l’arrivée en grand nombre de femmes et de jeunes femmes sévèrement voilées. Ces femmes sont les victimes d’un endoctrinement politique dispensé sous couvert de la religion. Mais c’est clair : elles ne peuvent pas s’intégrer, elles ne s’intégreront jamais dans le marché du travail. Leur famille, leur mari, ne le veulent d’ailleurs pas. La Belgique en est donc réduite à ne plus être qu’un vaste guichet de CPAS. Une machine à distribuer l’assistanat. Ce n’est pas tenable. Ce n’est pas digne. Ni pour ces femmes, ni pour leurs enfants, ni pour les travailleurs belges ou immigrés installés de longue date et qui, eux, se sont intégrés. Pour résoudre de manière efficace et rapide ces problèmes, il faut que les populations immigrées soient coupées des Etats étrangers qui tentent d’influer sur notre territoire. Il faut réguler plus strictement le regroupement familial et les régularisations. Il faut réformer l’accès à la nationalité. Ce stop migratoire permettra aux ghettos de se dissoudre dans l’ensemble de la population et de refonder le contrat social qui est le socle du vivre ensemble. Mais il faut aller vite, on ne peut plus attendre des décennies pour renverser la vapeur. Il faudra déplaire, il faudra mettre absolument les points sur les « i ». Ce sera un combat quotidien et le résultat dépendra des électeurs qui, conscients de la situation actuelle, décideront de nous suivre. Car dans une démocratie, ce sont les électeurs qui ont le dernier mot. Quels sont les principales victimes d’une immigration mal ou pas régulée, et qui est majoritairement, c’est un fait, d’origine musulmane ? Les études sont formelles, à cet égard : ce ne sont pas les grands patrons qui sont pénalisés ! C’est le peuple, bien sûr ! Les victimes sont les travailleurs qui ont un petit salaire, et parmi eux beaucoup de Belges d’origine immigrée qui bossent, vivent paisiblement et refusent que l’islam politique contrôle leur vie. Lorsque nous disons « Bruxelles, ville musulmane rétrograde, non merci ! ». Lorsque nous disons « immigration non contrôlée, non merci ! ». Lorsque nous disons « les passe-droits pour les partisans de l’islam politique et les barbus, non merci ! ». Lorsque nous nous battons pour défendre nos valeurs, notre mode de vie. Lorsque nous dénonçons cette gauche irresponsable qui renie la laïcité et noue des alliances avec les représentants les plus bigots des mosquées. Lorsque nous nous opposons aux ECOLOS et au CDH qui font élire des femmes voilées ou les nomment dans l’administration. Lorsque nous tenons ce discours pour que notre société se ressaisisse et relève la tête, Nous sommes à la pointe d’un combat qui est profondément social. Nous sommes les remparts de la démocratie. Pendant trop longtemps, le politiquement correct imposé par la gauche a malmené notre liberté d‘expression. Une petite caste d’intellectuels gauchistes et des staliniens rabiques comme Philippe Moureaux, l’homme qui a transformé certains quartiers de sa commune Molenbeek en vitrine du Hamas, nous ont muselés durant trop d’années. Tous ces gens nous ont interdit de tenir un langage de vérité. Ils nous ont interdit, tout simplement, de décrire les faits. Je crois que ce temps là est révolu. Ils ne nous feront plus taire ! Leurs insultes, plus personne ne les écoute. Ils sont pathétiques quand ils nous accusent d’être « racistes » ou « xénophobes ». Ils ne sont pas seulement odieux. Ils sont surtout ridicules. Voilà pourquoi j’affirme que les conservateurs, ceux qui organisent la régression sociale pour les femmes, les travailleurs et les jeunes, ce sont les leaders de gauche. C’est particulièrement clair, à Bruxelles, où le gouvernement de l’Olivier montre son aveuglement et son incompétence face à la volonté d’islamisation de certaines zones de la ville où nos valeurs, nos priorités, notre conception de la démocratie, n’ont plus droit de cité. Cette gauche liberticide nous dit « ce débat est nauséabond » ! Et je leur demande pourquoi ne peut-on en débattre ? Parce qu’il y est question d’immigration et d’islam ? Quelle surprise ! En 50 ans, la composition ethnique, culturelle et religieuse de nos villes et campagnes a changé plus vite et plus profondément qu’au cours des 10 derniers siècles, mais il ne faudrait surtout pas en parler ? L’islam identitaire de nos villes a progressé en même temps que le djihad mondial mais ceux qui posent des questions sont des salauds. Que des « jeunes en colère » revendiquent leur citoyenneté en proclamant leur haine de l’Occident, rien de plus normal. C’est de l’amour déçu – une déception dont nous serions largement fautifs. Sur tout cela, silence radio parce qu’on risque de déraper, c’est-à-dire de sortir des clous tracés par la coalition de l’aveuglement. Il faut comprendre ces bons esprits : quand on n’a à sa disposition qu’un bouton pour dire oui et un autre pour dire non, ou un seul pouce qu’on peut lever ou baisser, toute question est un piège affreux. Soit l’immigration est une chance, soit elle est une catastrophe. Ange ou salaud, nuance interdite. Citoyens, n’ayons plus peur ! Ne restons plus sur la défensive. Nous sommes animés par la seule volonté que l’Europe ne bascule pas dans une autre civilisation ! Affirmons sereinement, mais avec détermination : Le refus du communautarisme, c’est nous ! La volonté de vivre mieux, dans une ville plus conviviale, qui ne peut plus être ouverte à une immigration non régulée, c’est nous ! Le refus de la loi de la jungle, où les plus radicaux font la pluie et le beau temps et écrasent les faibles, c’est nous ! La solidarité avec ces jeunes filles qui refusent de porter le voile islamique et sont persécutées par les « grands frères », les extrémistes et les adeptes du double discours de Tariq Ramadan, c’est nous ! Vous aussi devenez des Résistants. Ensemble, résistons à l’injustice, à l’obscurantisme, à la remise en cause de l’égalité hommes-femmes. A la négation de notre identité. Citoyens, RESISTONS et partons à la reconquête de nos valeurs. Ce combat, c’est celui de la démocratie au service de la liberté. C’est le combat de la démocratie au service des droits individuels dans une société dont l’Etat garanti aussi la sécurité de chacun. Ensemble, ayons la passion de convaincre autour de nos idées et de nos projets. Citoyens, les seuls combats que l’on perd sont ceux que l’on ne mène pas ! Menons ensemble celui-ci.
Vous retrouvez ce logo en haut, à droite, et en première ligne sur ce blog… Ce n’est pas un hasard… Signez, il en va de notre avenir.
FDF
Ce nouveau label est une initiative visant à la collecte de signatures, dans l’optique de faire valoir nos droits devant la cour européenne : mobilisez-vous et dites « non à la charia ». |
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MANIFESTE DE l’ALLIANCE
Avant-propos
C’est pour toutes ces raisons que nous vous incitons à signer la Charte des Nations qui refusent la Charia.
[1] Le mot charia est cité dans le Coran comme étant la voie à suivre par les musulmans : « Juge donc parmi eux d’après ce que Dieu a fait descendre. Ne suis pas leurs passions, loin de la vérité qui t’est venue. À chacun de vous, Nous avons assigné une voie (chirʿah) et un plan à suivre. » Sourate 5, verset 48 ou « Puis Nous t’avons mis sur la voie (charî’a) de l’Ordre (une religion claire et parfaite). Suis-la donc et ne suis pas les passions de ceux qui ne savent pas. » Sourate 45, verset 18.
2 Il est d’usage de désigner en Occident la charia par le terme de loi islamique (Terme qui est d’ailleurs utilisé en lieu et place de « droit musulman ») qui est une traduction très approximative puisque n’englobant que partiellement le véritable sens du mot.
3 Le terme dhimma (arabe : ḏimma, ذمة) appartient au vocabulaire technique du droit musulman et désigne habituellement, en pays d’islam, le système juridique auquel est soumis un non-musulman.
Contact : alliance.stop.charia@gmail.com
Alors là, je me régale ! Je me gausse ! J’ imagine la tronche que certains vont tirer en prenant connaissance de ce qui suit ! Et des médicaments halal, ça ne verra jamais le jour, certain…
FDF
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Merci à Huguette pour l’info…
Affaire Charia Hebdo: les « heurtés, comptez vous !
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Vous êtes tous désormais au courant de cette affaire qui nous rappelle, si besoin l’était, la tolérance appliquée à la mode de chez « eux »… Dans l’islam, l’humour est « haram ». Les muzz, car ce sont certainement eux, ont incendiés les locaux du journal satyrique. Et TOUTE la classe politique s’en est offusquée, TOUTE !!!. On n’avait jamais vu ça. Ce soutien est bien encore la preuve que les intégristes sont en perte de vitesse dans leurs sombres objectifs de nous soumettre à leur idéologie nauséabonde. Et, un mal pour un bien, on peut voir là que la liberté d’expression revient dans ses rails.
Ayant eu l’info très tôt de la publication quelque peu provocatrice moins qu’ humoristique du n° sorti hier, et ayant « senti le vent », j’avais pris le soin de faire réserver dix exemplaires chez mon libraire habituel. Rien que ça!
L’anecdote est que mon libraire s’est retrouvé en rupture de stock dès le matin et m’a demandé de lui redonner un numéro, rien que pour lui… J’en ai gardé deux pour moi et les autres sont déjà entre les mains de potes à moi.
Dis, Charb, tu nous ressort un nouveau tirage, stp? Si oui, prévois large; il y aura de la demande. Et si ces abrutis ne comprennent rien à l’humour, on ne peut plus rien pour eux…
FDF
« Les religions chrétiennes furent sanglantes et meurtrières en s’éloignant de leurs textes tandis que l’islam le fut en se rapprochant des siens « .
Paroles du journaliste Eric Conan
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La page de Charlie Hebdo sur Facebook était envahie jeudi par une multitude de commentaires, parfois extrêmes, de musulmans indignés par la Une du journal représentant Mahomet, se réjouissant de l’incendie qui a touché l’hebdomadaire ou répétant à l’envi la profession de foi de l’islam.
« Je témoigne qu?il n?y a de vraie divinité que Dieu et que Mouhamed est son messager« , indique ainsi un commentaire qui revient très fréquemment, citant en arabe, ou traduite en français, la profession de foi musulmane, premier pilier de l’islam.
Elle est inscrite des dizaines et des dizaines de fois, citée généralement quatre fois par chaque internaute et dupliquée ensuite par d’autres.
« Tu as touché notre prophète« , « Allez au diable, Charlie Hebdo« , « Honte à Charlie Hebdo, vous avez gagné un bon tirage mais vous récolterez les conséquences » indiquent par ailleurs des messages de menaces, tandis que d’autres argumentent.
« Les musulmans demande une seule chose des excuses publiques« , dit l’un d’eux. « Si vous parlez de la liberté, alors pensez à ce que ça fait si je caricature Jésus », dit un autre. Ou encore : « Votre liberté s’arrête lorsque la liberté des autres commence… ».
« Mais où est Charlie ? hahahahahahahahaha », s’interroge un autre message, qui se réjouit visiblement de l’incendie.
Au total, des centaines de commentaires se retrouvent sur le « mur » de Charlie Hebdo, certains prenant aussi la défense du journal. « Vive Charlie Hebdo! », « Merci Charlie », « Soutien à Charlie Hebdo !!!!! », peut-on lire notamment.
Les locaux de l’hebdomadaire satirique ont été victimes dans la nuit de mardi à mercredi d’un incendie, alors que le journal sortait mercredi un numéro rebaptisé « Charia hebdo », avec le prophète Mahomet comme « rédacteur en chef ».
Source: http://actu.orange.fr/