Francaisdefrance's Blog

19/03/2012

Ah ça ira, ça ira, ça ira…

Méluche a pris la Bastille… Sans culotte…

FDF

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LA BASTILLE A MELENCHON, PIÈGE A TONTON

                     A bas les privilèges!!

            Mélenchon, à la tête de ses sans-culottes qui ne manquent  d’aucun culot, a repris à lui tout seul la Bastille médiatique.

           C’est un évènement hystérique!

            On aura tout vu, même la reconquête marcheuse d’un  symbole qui n’appartient à personne sinon à l’histoire de France,  que Mélenchon le tout premier malmène par son tri sélectif.  Robespierre rond de cuir est de retour,dans son fauteuil sénatorial  que pousse tout un peuple dit de gauche venu en car, rouge  d’excitation pseudo-plébéienne.

          Quel mauvais cinéma! Ce n’est pas la Bastille qu’il faut  prendre, c’est la nuit du 4 Août qu’il faut renouveler!

         Virer tous ces incapables verbeux voleurs de symboles qui depuis  des années plombent la France de dettes, de déficits,  d’immigration ruineuse, d’abandon des frontières, de main-mise  des banques, de prébandes de toutes sortes, de copinage, de    confiscation de toute vie démocratique!

         A bas les privilèges dont le tout premier,le jeune sénateur  socialiste élu à trente cinq ans Mélenchon, profite depuis des  lustres sans  passer la main.

         Trente ans de parti socialiste, celà rend forcément  révolutionnaire, tranquillement révolutionnaire.  Un féroce de la  force tranquille, le Mélenchon à tonton qui prône l’insurrection  civique!

        Les communistes et le civisme, ça fait froid dans le dos. C’est  beau comme une tête de guillotiné que le vent ballotte à la  lanterne! 

       Si sous les pavés il y avait la plage, sous les lieux de rendez-  vous, il y a le gag: Mélenchon à l’Opéra Bastille, Hollande au cirque d’hiver! La société du spectacle s’affiche!

      La ballade des bobos heureux à la Bastille c’est bien, sauf que la Bastille n’existe plus.

      En revanche, les privilèges existent toujours aussi sûrement  que le mois d’Août dans le calendrier. A se tromper de symbôle,  on se trompe de vérité. Il faut abolir les privilèges de la  République, qu’on  ne finirait pas d’énumérer dans tous les  domaines. La prise de la Bastille aujourd’hui, c’est du Disneyland  politique, l’abolition des privilèges, c’est le réel.

      Pourquoi députés et sénateurs touchent-ils une sorte de  chômage s’ils ne sont pas réélus?

      Pouquoi les juges ne sont-ils pas responsables?

      Pourquoi l’URSSAF peut-elle se fabriquer des titres à elle même?

      Pourquoi la CGT a-t-elle des châteaux?

      Pourquoi les subventions pleuvent toujours sur les mêmes?

      Pourquoi Nicolas Sarkozy nomme-t-il tous ses amis au conseil  économique et social? 

      Et ainsi de suite!!!

  Faisons de la nuit du 4 Août un évènement essentiel enfin  célébré. Rejoignez le mouvement national pour l’abolition des  privilèges modernes. La vrai Bastille est là, l’autre n’est que pastille pour révolutionnaire enroué.

Gilbert Collard

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Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

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06/03/2012

Comment un système qui a créé le problème peut-il résoudre le problème ?

Notre ami Gilbert Collard est de retour; et en pleine forme…

FDF

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Ca a un peu « secoué » à Bayonne…

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LE JAMBON DE BAYONNE

Dans la ville du jambon, Nicolas le peu preux a été pris en sandwich et obligé de se réfugier comme un vulgaire bock de bière dans un bistrot.

 Nous, on connaît, mais on ne bat jamais en retraite!

D’un coup, celui qui joue avec les milices socialo-mélanchonistes verdâtres et les moralistes subventionnés  pour empêcher Marine le Pen de parler redécouvre la République ! Il s’indigne, s’essouffle dans un lyrisme comique, pour en appeler  au respect de la démocratie ! Un comble ! Quand on jette des pierres, des insultes, des menaces ; quand des nervis empêchent, ou tentent d’empêcher, à Paris, à la Réunion, à Marseille, un peu partout, Marine le Pen de parler ; quand des journalistes militants, armés d’un sécateur entre les dents, coupent systématiquement la parole à une candidate ; quand des pressions sont exercées sur les élus pour qu’ils refusent leur signature ; quand on remplace le débat public par de la « moraline », ce sous-produit commercial de la morale, pour discréditer l’argumentation de l’adversaire tout en utilisant des ventriloques pour vendre ce que l’on condamne , c’est alors la République exemplaire défendue par les deux compères en duo électoral, qui se veulent seuls sur les tréteaux pour confisquer le débat.

 Cette élection est truquée, l’ONU devrait intervenir… Elle est truquée dans les faits, dans les paroles, dans les candidats !

On évite d’aborder la seule vérité : comment un système qui a créé le problème peut-il résoudre le problème ?

 Le mot d’ordre est : continuons gaiement dans nos échecs ! On a raison d’avoir eu tort… C’est l’histoire du fou qui tombe du dixième étage et qui se dit devant chaque étage : « pourvu que cela dure ! » Folie !

Comment oser les réformes structurelles qui sauveront la France du pillage organisé qui l’éventre ? Les chiffres sont connus !

Comment sauver une identité que la mondialisation et le communautarisme déstructurent sous le regard faussement compassionnel des Tartuffes du Murat, restaurant de truffes où ils dînent, loin du peuple pauvre? Comment oser une politique d’immigration qui nous évite de voir craquer, puis tomber les murs de la maison sous la pression démographique ? Au seul nom du respect dû aux murs de la vieille maison qui, ce n’est ni sa faute ni celle des occupants, s’effondre sous le poids.

 La seule solution est dans la rupture avec un système moribond, complice, peureux, qui n’ose pas appeler un chat un chat, Sarkozy  une machine à remonter le temps perdu,  Hollande  un président de canton, Mélenchon  un Marx Brothers !

Ils veulent la République de la continuité financée par des emprunts que nous payons avec le sang des pauvres et la fuite des riches. Philippe Bénéton appelle cela « La politique des somnambules »   Plus personne ne comprend, le but est atteint ! La confusion sur la question économique atteint des sommets d’incompréhension. Les cranes d’œuf savent tout et son contraire… C’est inouï !

Comment les citoyens peuvent-ils encore faire confiance à une génération de politiciens qui ont accepté, sans broncher, depuis 1973, qu’on ne puisse plus emprunter à taux zéro, oui zéro, à notre banque de France, alors qu’on est obligé d’emprunter à trois pour cent, parfois cinq et plus, aux marchés financiers, qui empruntent à la banque européenne à un pour cent !

Ouvrez les yeux et pas seulement le portefeuille ! On nous prend pour des cons !  Comment les citoyens peuvent –ils encore faire confiance à une génération qui a pratiqué la politique de la France Afrique, qui prive les peuples de leur richesse  par le fait de multinationales apatrides, de dictateurs imposés, et les envoie sur les routes humiliantes de l’immigration ?  Seul, le patronat en profite, et le MEDEF, qui a autant de cœur qu’un coffre-fort européen.

 Et nous payons en euros le prix de cette immigration patronale, tandis que les immigrés le payent par la servitude et l’assistanat.

  On doit se rassembler pour la France, de quelque origine que l’on soit. Athées, Chrétiens, Musulmans, qu’importe, seul compte aujourd’hui l’amour du pays, l’amour de la France.

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

Racisme anti-blancs: que font SOS Racisme, le MRAP et les autres?

Ben…………….. rien.

Lamentable…
FDF

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SAINT-GERMAIN-EN-LAYE, LE 11 DÉCEMBRE. Noor avait été violemment agressée par ses adversaires au terme d’un match amical de football féminin.

Trois mois après les faits, l’affaire de la footballeuse de Saint-Germain-en-Laye agressée au cours d’un match amical n’est toujours pas terminée. L’adolescente de 17 ans avait été rouée de coups par l’équipe adverse au terme de la rencontre amicale au Stade Suzanne-Lenglen à Paris (XVe). Si les auteurs des violences ont été sanctionnées par la Ligue de football, la mère de la victime a porté plainte.

C’est Gilbert Collard, le très médiatique avocat, qui défend la joueuse du club de Saint-Germain-en-Laye.

Ce jour-là, le samedi 10 décembre au stade Suzanne-Lenglen à Paris (XVe), l’équipe Seizième ES affronte celle du Saint-Germain-en-Laye FC. La victoire revient aux joueuses des Yvelines qui l’emportent 6 buts à 3.
 Soudain au coup de sifflet final, une bagarre éclate et Noor, une attaquante de Saint-Germain, est violemment agressée par les Parisiennes. La Ligue a puni les membres de l’équipe Seizième ES. « Huit joueuses ont écopé de six mois de suspension et l’auteur des coups les plus violents a écopé de trois ans de suspension, explique un dirigeant du club Seizième ES. Notre éducateur a présenté ses excuses. » L’homme reconnaît le problème de comportement de ses filles. « Elles n’ont pas apprécié de se faire chambrer et elles ont répliqué aux provocations par la violence, ajoute-t-il. Elles ont mal agi.
Ce n’est pas bon pour l’image du football féminin. » Pour le club, le sujet est clos. Pas pour les proches de l’adolescente qui s’était vu prescrire cinq jours d’incapacité de travail. Elle souffrait d’une plaie de 10 cm sur le tibia ou encore d’une contusion à l’épaule et de nombreuses ecchymoses. « C’est de la violence gratuite sur un terrain de sport », estime la mère de Noor. En plus d’une plainte pour coups et blessures, Gilbert Collard dénonce « des injures à caractère raciste ». « Noor a été traitée de sale Blanche par les filles qui l’ont agressée », a-t-il précisé après avoir rencontré sa jeune cliente.

Gilbert Collard a par ailleurs saisi le ministre de l’Intérieur afin d’obtenir des explications officielles sur le refus de prise en compte par des policiers du XVe arrondissement de Paris du caractère raciste de plusieurs insultes à l’encontre de la joueuse. Les fonctionnaires auraient refusé d’inscrire ce motif dans la plainte. « Je n’ai pas eu de réponse du ministre », déplore Gilbert Collard.

Désormais, l’avocat prévoit de se constituer partie civile courant mars afin de poursuivre la procédure. Il espère obtenir une condamnation des auteurs de l’agression mais aussi des dommages et intérêts. « La Ligue de football les a sévèrement punies, c’est un signe », conclut-il.

Source: http://www.leparisien.fr/

Merci à JC JC…

28/02/2012

Mélenchon au « dîner de con »…

Bien vu, Gilbert; bien vu… Je relaie.

FDF

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MELENCHON, DINER DE CON

   Monsieur pugiladas rêvait d’être un moment dans le cirque Amar où allaient s’affronter pour le bonheur de l’audimat Jean –Luc Mélenchon et Marine le Pen. Voilà ce qu’est la télévision politique aujourd’hui ! La chaîne impose ses invités, veut obliger une candidate de poids à débattre avec un candidat de plume de paon, qui n’a aucune chance d’être au second tour, qui ne représente pas grand-chose, sinon lui –même, c’est-à-dire coups de gueule, grimaces, doigt pointé,  dents sous groin, vociférations, exécration, et, en prime, pour qui l’a en face, postillons d’un cru qui n’est pas chantons sous la pluie. C’est matamore, épée de bois, petit soldat du PS pour ramener la gauche verbale dure, en contrepartie d’un quelque chose, dans l’urne socialiste. Aucun intérêt d’aller perdre son temps à débattre avec lui, qui se prend pour un porte-voix ambulant, une Castafiore de la lutte des classes réduite à la guerre des boutons.

Alors fallait-il débattre ? Dans la mesure où le débat était imposé, non ! Dans la mesure où le débat opposait l’insulteur sonore et compulsif à l’insultée, non !  Il n’empêche qu’on aurait aimé renvoyer le tonton flingueur chez Audiard dont il pastiche la phrase, histoire de lui mettre un silencieux sur l’entonnoir qui lui sert de portevoix. 

Je n’ai aucune sympathie  pour Brasillach. Mais que Jean Marie le Pen ait cité le poète, que je n’aurais pas cité, mais c’est son droit, autorise-t’il  « l’imprécateur banlieusard », à lâcher son artillerie de crachotements sur Marine le Pen ? A trop vouloir donner des leçons, il va se retrouver en caleçon, le Mélenchon !

 On voudrait bien sortir des années d’occupation, mais elles occupent tellement la mauvaise conscience des bonnes consciences, qu’elles reviennent dans le débat par n’importe quelle porte. Dieu sait que les talents pour les ouvrir ne manquent pas…  Pourquoi ?

Mélenchon qui marche au pas avec le parti communiste n’ignore pas que ses alliés furent au temps de la collaboration les premiers amis des Nazis à travers le pacte germano soviétique et que l’Humanité se lisait librement à l’ombre de la croix gammée… Que François Mitterrand était titulaire de la Francisque numéro 2022.

Il reproche à Marine de n’être point sorti de la salle quand son père a cité Brasillach, mais lui, cette hallebarde, que n’a-t-il quitté le PS devant Bousquet ou  Mitterrand, traité d’ailleurs de maréchaliste par Klarsfeld ? Pourquoi ne condamne-t-il pas la direction du parti communiste des années 80, qui demandait un arrêt de l’immigration, les propos de Georges Marchais, son modèle, qui hurlait que le seuil était atteint ?

 Rien à foutre de ces hypocrites !

A vingt-sept ans, le vieux pot de confiture politique qu’on voit aujourd’hui, s’installe sur l’étagère de l’épicerie, comme directeur de cabinet du maire de Massy, puis conseiller municipal, adjoint au maire, conseiller général, et enfin, grâce au PS, sénateur à trente-cinq ans, ministre… Un révolté des boudoirs républicains, en somme ! Un sénateur !Un sénateur ?  Un retraité politicard, c’est tout !

Et le peuple pourrait l’écouter ? Quelle blague ! Tout ce qu’il veut, c’est un poste dans un gouvernement socialiste, une place, un bonne, une belle, parce qu’il aura ramassé les confettis rouges sur sa route pour Hollande. C’est un réac, ce type, et de la pire espèce, la stalino- gueularde, la brutale, la policière, style Stasi, KGB !

 En fin de compte, je pense que Marine le Pen a bien fait de ne pas débattre avec Mélenchon, finalement ce fut un dîner de con dont Mélenchon fut le seul invité !   

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

14/02/2012

Debout les maires de France !

Du « bon » Gilbert Collard… De toutes façons, ce Monsieur ne nous pond que du « bon ».
Ce n’est pas de la « pommade », que je passe à Gilbert; lisez donc…
FDF
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Bienvenue sur ce Blog dédié aux questions Nationales et Internationales. Grand merci de votre participation et de vos réactions aux thèmes abordés. N’hésitez pas à faire connaître ce blog à votre entourage et à m’écrire contacter@gilbertcollard-leblog.com

LE SARKOCRATE

 L’envie de se faire réélire contre vents et marées démocratiques rend sourd Nicolas Sarkozy. Il n’entend pas la colère que ses pressions, celles du premier ministre, relayé par son parti, soulèverait si Marine le Pen n’avait pas ses signatures. L’appareil fait pression sur les élus pour qu’ils n’apposent pas leur paraphe au bas du parchemin, seul moyen maffieux d’éliminer une candidate légitime portant l’espérance d’au moins 20%, sinon plus, de Français. Il espère cocufier une deuxième fois un électorat qu’il a abusé une première fois.

 Venez, votez pour moi, gens de la droite pragmatique, vous aurez Kouchner, Fadéla Amara et son frère, Besson et compagnie ; vous aurez deux cent mille immigrés par an ; vingt milliards de fraude sociale ; l’aide médicale d’Etat, 623 millions d’euros par an ; les délocalisations ; les désindustrialisations ; l’immigration clandestine, 1,7 milliards d’euros ; 1000  chômeurs de plus par jour ; une dette pesant sur chaque français de 65200 euros ! J’en passe est des meilleures. Votez pour moi, dit-il, avec sa diction où fleure bon la distinction du maquignon des affaires, j’ai un projet démocratique, le recours au référendum sur le chômage et l’immigration !

Le même qui d’un côté découvre l’idée défendue par Marine le Pen d’interroger le peuple, seul souverain,  de l’autre, en cinq ans, n’a jamais consulté ce peuple pestiféré pour connaître son avis. Pire, il a cocufié, et c’est le seul à ma connaissance, le suffrage universel : en 2005, la France a dit non au traité sur l’Europe, en 2008, il a fait approuver par ses godillots, sous le nom de traité de Lisbonne, le même texte ! Du casse – toi pauvre con constitutionnel !

Aujourd’hui, 60% des citoyens souhaitent l’anonymat des parrainages ; il s’en fout, seul compte le vide des urnes marinistes.

 La solitude sonore de la candidate est magnifique ! Son combat est exemplaire, en ce sens qu’elle lutte dans la méthode, l’organisation, la confiance, pour un idéal que le système veut étouffer par l’intimidation, la diffamation, la désinformation. Jamais, on n’aura autant été motivé qu’en cette heure où les propriétaires politiques de la France veulent nous mettre à mort.

Rien ne réveillera donc les français ?    

Vous allez continuer à rire avec Ruquier ?

A gober la propagande médiatique des journalistes mariés, pacsés, encartés avec nos adversaires ?

A voir des intervieweurs haineux, des questionneuses fielleuses, débiter péremptoirement leurs leçons apprises dans les antichambres idéologiques ?

A lire, à la une du Figaro, l’interview d’un président qui a peur de se déclarer candidat ?

Vous ne pouvez plus être dupe !

Faut-il qu’on dérange pour qu’on veuille, à droite comme à gauche, l’une et l’autre jouant avec les mêmes cartes truquées,  nous empêcher de révéler la vérité sur le système. 

Nous aimons la France, terre multiple, terre d’histoire, terre de laïcité, terre de nos pères et de nos mères d’où qu’ils viennent, terre de démocratie et de fidélité.

 Notre crime : nous aimons la France et nous ne supportons plus le mal qu’on lui fait.

 Pour nous, pour vous, l’entreprise de pompes funèbres Sarko and Co a fabriqué l’urne funéraire démocratique.

 Debout les morts ! Debout les maires !  

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

06/02/2012

Rapt électoral…

Le système a peur de la France. Gilbert Collard nous explique.

FDF

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ILS SONT PRÊTS A TOUT

 

 C’est tout le système qui se sent menacé par l’élection possible de Marine le Pen. Un système dépassé et méprisant pour au moins 20%, et peut-être plus, d’électeurs et d’électrices à qui les grands principes disent d’aller se faire voir.

 Le journal du dimanche s’en est  allé jusqu’à  tester l’hypothèse dans laquelle Marine ne serait pas candidate : deux bénéficiaires, Sarkozy et Bayrou, et surtout Sarkozy ! A qui profite le crime contre la libre expression du suffrage universel ?

 A vouloir jouer avec l’histoire au point de croire qu’on peut la truquer, la violer, le président de la République des manigances risque de jouer avec le feu et de subir un retour de flamme. Il s’imagine que l’on peut impunément prendre les français pour des cons, il se trompe gravement !

  Toute une stratégie, qu’il faut dénoncer, a été vicieusement mise en place, pour assurer, coûte que coûte, la réélection du tricheur, et ses complices croient jouer finement…

D’abord, on diabolise, à l’aide des communicants qui traquent l’événement qui, même faux, peut se prêter à la polémique, à l’association malfaitrice des idées, à la rengaine fascisante, nazifiante, comme ce fut le cas pour le bal de Vienne, interdit par leur maitre en propagande, l’ignoble Adolphe.

 On passera sous silence que deux membres de cette fraternité d’étudiants furent du complot contre le monstre.

 On utilise comme rampe de lancement médiatique Sos racisme, une association aidée financièrement autant par la droite que par la gauche, dont la démarche profite, crois- t-on, autant à l’une qu’à l’autre. On est certain que la presse relayera. On lâche, BHL, à la retraite des idées depuis le siècle des lumières, qui a une main droite qui trifouille chez Sarkozy et  une main gauche qui tripatouille chez Hollande, en toute pureté, bien sûr. On exhume un intellectuel de service qui vient pérorer. On laisse ensuite cracher les humoristes, toujours indépendants, toujours drôles, sur les radios et les télévisions, comme si de rien n’était puisqu’ils sont drôles. Sous une forme ou sous une autre de grimace, ils passent le message, Marine c’est Hitler, ses électeurs des cons, ses soutiens des merdes, ses idées de la vomissure ; ils créent l’ambiance répulsive. Ils se moquent des autres, évidement, mais le langage n’est pas le même, la haine drolatique n’y est pas.

 Le champion, c’est sans aucun doute Ruquier, le chouchou du service public, qui multiplie les émissions, et qui s’en donne à cœur joie de présenter Marine comme une merde et le front comme une officine nazi. Même s’il a un humour souvent anal, sa merde fait mouche à longueur d’émission.

 Tout cela serait innocent, du spectacle, du divertissement. Mais allez demander à des élus qui tremblent qu’on se moque d’eux, qu’on les brocarde,  qu’on les associe, en riant bien sûr toujours, à la croix gammée ou à la merde, d’apposer leur signature ? Allez demander à des élus à qui on fournit le faux prétexte moral de dire non et qui subissent des pressions de toutes sortes, de dire oui !

Un jour, toute cette magouille médiatique et politique sera analysée. On y verra clair, et, alors, rira bien qui rira le dernier. En France, on dit qu’il faut mettre les rieurs de son côté, c’est vrai, mais tant qu’ils ont envie de rire.

Je crois que beaucoup de françaises et de français n’auront plus envie de rire si Marine est empêchée d’être candidate, si on braque leur bulletin !

On est en train, sous nos yeux, de bâillonner le suffrage universel par la caricature et la pression. Si Marine n’avait pas ses signatures, ce que je persiste à ne pas croire, il y aura des lendemains démocratiques, des explications à fournir, des comptes à rendre au peuple volé. Les mêmes qui font pression diront alors aux refusants, d’aller se démerder avec leurs électeurs !  Ils n’auront jamais fait pression sur eux, qu’ils assument !

 Le système a peur. Il a peur de la vérité. Il a peur du changement. Il a peur de la France !

 Encore un exemple : Valérie Pecresse?  interrogée dans le cadre de l’émission C/ politique sur l’anonymat des parrainages demandés par Marine le Pen, répond, après avoir chanté son attachement au Général, qu’elle n’aime pas trop ce qui est anonyme car cela renvoie à une mauvaise époque,  dit-elle en gros, je cite de mémoire. Petit moyen encore subliminal de faire un lien entre Marine et le Maréchal, sauf que c’est le Général qui avait voulu l’anonymat ! On se rend bien compte que nous avons affaire à une ligne de propagande pour empêcher la démocratie de s’exprimer 

 Ils sont prêts à tout. Même au rapt électoral !

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

04/02/2012

Le déni de démocratie de la loi sur les parrainages des maires.

Au tour de Gilbert Collard d’émettre son point de vue.

Il est vrai que cette affaire d’ ultra-transparence des parrainages des maires ressemble autant à un délit de liberté d’expression qu’à des menaces…

Le chantage exercé sur le terrain ne donne pas libre choix aux maires… J’ai moi-même (je l’ai déjà signalé ici) contacté un maire UMP au hasard qui a bien confirmé mes doutes…

http://tinyurl.com/8xhvvf6

Dessin pillé chez DNA…

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03/02/2012

« Vous êtes Africaine et vous soutenez Marine Le Pen ?! »

Contrairement à ce que fait circuler une certaine vindicte impopulaire, le FN n’est pas un mouvement de racistes-fachos… Il est réaliste. Pour la France, notre France, pour son avenir, le parti de Marine Le Pen veut une volonté d’intégration bien légitime de la part des candidats à l’immigration. Ce n’est pourtant pas compliqué ?

Car, depuis trop longtemps, c’est le contraire qui se passe: les immigrés veulent fabriquer une France à leur image. Avec l’aide d’associations et d’élus connus pour favoriser l’islamisation de notre pays.

Il est certain que si Marine arrive au pouvoir, on peut s’attendre à du « tri sélectif » parmi les derniers nommés. La France est Française et entend bien le rester.

Certains étrangers l’ont compris et y adhérent. Mais il y a toujours des brebis galeuses bien de chez nous qui font semblant de ne pas comprendre, et ceci dans une optique purement électoraliste. Je ne vise personne en particulier. Mais nombreux sont ceux qui se reconnaitront…
FDF

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« A l’occasion de la présentation du comité de soutien de la candidate FN, sur la péniche Maxim’s à Paris, Mehdi et Badrou ont rencontré Rosine Nahounou, une membre du comité d’origine africaine. Elle explique pourquoi elle a choisi de soutenir Marine Le Pen.

Rosine Nahounou porte un tailleur noir et blanc, cintré. À la tribune, elle dénonce « l’injustice faite au Front national ». Elle fait partie de ces « anonymes » qui se sont enrôlés dans le comité de soutien Bleu Marine. Elle nous donne cinq minutes entre deux bouffées de macarons. Autour, le président du comité, Gilbert Collard, surveille ses troupes. Interview.

Vous n’avez pas l’impression d’être la Rama Yade de Marine Le Pen ?

Ah, non ! Marine Le Pen ne demande pas à avoir une Rama Yade, elle demande des personnes de convictions. J’ai les mêmes objectifs et la même vision que Marine Le Pen. Moi je l’ai dit tout à l’heure, je défends le continent africain parce que je suis d’origine africaine et j’ai de la famille en Afrique. Je vis en France, je respecte la France, je respecte le drapeau français, les lois françaises, la culture française et les valeurs françaises.

Les gens autour de vous ne trouvent-ils pas étrange que vous soutenez Marine Le Pen ?

La plupart des personnes qui trouvent ça étrange sont des gens du parti socialiste. Ils s’exclament, ils me disent : « Ah vous êtes Africaine et vous soutenez Marine Le Pen ?! » Je leur réponds oui, j’ai terminé avec la propagande et la manipulation. Oui, parce que je ne suis pas abrutie, je sais lire, et j’ai fouillé les archives. Et depuis plus de 30 ans, il n’y a que la gauche et la droite qui se distribuent le pouvoir. Ils n’ont rien apporté aux Noirs de France.

Mais les archives du Front National ne sont pas non plus les plus belles…

Lesquelles ? Vous allez me parler de la Guerre d’Algérie peut-être ? À la Guerre d’Algérie, les ordres venaient de l’Elysée. Les vrais responsables sont au pouvoir et ils font porter le chapeau aux simples militaires qu’on envoyait au front.

Est ce que vous n’avez pas l’impression d’être utilisée ?

Je me suis proposé par moi même au Front National. Personne ne m’a appelé. J’ai été à gauche, j’ai été à droite. Mais la gauche ou la droite, j’y crois plus. Et j’ai été séduite par le Front National, notamment sa politique étrangère.

Quelle politique étrangère ?

Allez sur son site, vous verrez qu’elle est pour la souveraineté des nations et l’autonomie des peuples, notamment pour mon continent africain.

Marine Le Pen est la seule pour vous qui a un discours pour l’Afrique donc ?

C’est la seule qui est crédible et cohérente dans ses propos. Je ne veux pas voir des diplômés africains venir en Europe pour travailler dans la sécurité. Je préfère les voir rester en Afrique et les voir développer leur continent africain.

Marine Le Pen ne sera sûrement pas élue, est ce que vous serez triste ?

Pourquoi vous dites qu’elle ne sera pas élue ???!! Si vous vous basez sur les sondages, vous savez bien qu’ils sont commandés par les candidats.

Si elle ne gagne pas, vous serez déçue ?

Je ne serais pas déçue. Et je ne pense pas qu’elle va perdre. »

Mehdi Meklat et Badroudine Said Abdallah

Source:  http://yahoo.bondyblog.fr

Merci à DG…

29/01/2012

Tondre un peu plus le contribuable déjà chauve…

Enfumer l’électeur… Jamais cette expression n’aura eu tant de véracité. Gilbert Collard analyse…

FDF

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Image d’illustration

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On a pas de solution mais on a des chiffres!!

   Plus le paquebot de croisière France, modèle social toute l’année, chaudière à l’euro, baptisé au champagne démagogique et aux emprunts, s’avance vers les récifs, plus la classe politique jongle sur le pont avec des chiffres pour abuser la galerie et épater le cercle des économistes apparus, sans trop se soucier concrètement, du sort des passagers de deuxième et troisième classe. Hollande sur France 2 était humain comme une machine à calculer parlante qui aurait ingurgité un programme à régurgiter sur la nappe d’un Juppé taché, touché, mais tout aussi démagogique dans l’élucubration mathématique assénée.

 De Gaule, qui avait un budget équilibré, n’assommait pas son pays avec des comptes d’apothicaire, des courbes, des courbettes, des chiffrages abscons faits pour nous prendre pour des cons !

 On  imagine les journalistes d’un camp, de l’autre, affairés à retenir le chiffrage ennemi, l’équation équarrisseuse, la statistique fatale, et le politicien obligé, pour paraître crédible, de répondre à coups de- poing sur le P.I.B., tout en sachant que ces élucubrations concernent un monde dépassé, mathématiquement mort !

On est dans l’irréel des chiffres, la mathématique de l’esbroufe. Hollande, Sarko, Bayrou, Mélenchon (on n’ose plus évoquer Éva Jolly), s’assomment et assomment à coups de dogmatique économique dont la seule finalité est de tondre un peu plus le contribuable déjà chauve. Le maintien du vieux système est à ce prix.

 Pendant ce temps, les combines entre amis continuent : on protège des circonscriptions pour Bayrou et Villepin, pour Duflot ; on empêche Marine Le Pen d’être candidate, et l’Allemagne, par chancelière interposée, choisit le futur président de la République franco-allemande ; on maudit, mieux vaut tard que jamais, les voraces banquiers, comme si c’était leur faute si nous avons accepté d’assumer 17OO milliards de dettes et 5O milliards d’intérêts à payer par an ; on enfume l’électeur dans le pseudo savoir économique où il perdrait son latin s’il l’avait encore.

 Qu’ai-je à faire d’économistes qui, depuis 1975, acceptent des budgets toujours en déficit ? Qu’ai-je à faire des donneurs de leçons en finances publiques, aujourd’hui pédants, même s’ils pédalent tous dans la choucroute germanique, alors qu’ils ont laissé faire ?

 Ils portent tous la responsabilité de la situation actuelle. Tous ! Car ils ont tous gouverné en tremblotant sur le gouvernail de la lâcheté politique.

 Nos comptes sociaux sont délabrés, dans un rouge vif, comme l’écharpe de Mélenchon, le rouge coquet cachemire. Nos hôpitaux publics ploient sous le poids des R.T.T.  On débourse 1050 milliards d’euros pour la dépense publique ; elle absorbe 56 %  de la dette du pays ! On subit 20 milliards d’euros de fraude sociale ; on finance des syndicats qui ne représentent que leur bedaine ; on offre des châteaux à la C.G.T. On dénombre 5 millions de chômeurs et 8 millions de pauvres qui se réchauffent en dansant sur les musiques d’un Noah enchanté par sa dette fiscale impayée de cinq cent quatre-vingts mille euros ! Ce sont là les amis exemplaires des tenants de l’ordre moral médiatique, qu’aucun chroniqueur n’égratigne, qu’aucun vengeur en ondes ne cloue au pilori de l’audimat momentané.

 À quoi bon continuer de soigner le malade avec la médecine morbide qui le tue à petit feu ? À quoi bon s’acharner à pratiquer les soins intensifs sur un euro qu’on transfuse avec le sang d’un peuple exsangue et décérébré par une mondialisation et une immigration incontrôlées? On le sait, on le tait. On va banquer pendant des décennies pour que la plus grande escroquerie monétaire des siècles n’avoue pas son forfait.   C’est le modèle issu de l’après-guerre qu’il faut réformer !

 Ce « sont les chefs d’État qui n’ont pas forcement établi le bon diagnostic sur les raisons profondes de cette crise. », assène l’agence de notation qui nous dégrade.

 Tout est dit. Quoiqu’on fasse, dans le carcan actuel, même si l’on pend tous les banquiers à la lanterne, même si l’on supprime tous les bonus, même si l’on bombarde tous les paradis fiscaux, même si l’on hollandise, sarkosize, bayroutise la France, fera-t-on pour autant disparaître les déficits et repartir la croissance ?

  Redonnera-t-on l’envie de vivre à un peuple qui s’est débarrassé de la taille et de la gabelle pour se courber sous le joug de l’euro, des impôts,  de la mondialisation, du chômage, de la désindustrialisation, de la perméabilité des frontières, de la décivilisation, de la dictature insupportable de la pensée unique, d’un système d’entente politique jugulateur, en croyant au coup baguette magique ?

On est dans un autre monde, une autre mer où souffle la tempête, les cartes ne sont plus bonnes. Si l’on ne veut pas embrasser le récif du baiser de la mort, il faut passer par-dessus bord à coup de bulletin de vote dans le cul, tous ces naufrageurs.  

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

25/01/2012

Aux urnes, citoyens !

Encore une belle envolée de Gilbert Collard. Respect…

FDF

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LE ROI EST MORT, VIVENT LES ROIS

         

 La  prudence oblige à le dire, je ne suis pas monarchiste. Mes seuls rois sont Balthazar, Melchior et Gaspard, et ma cour préférée est celle des miracles. Cette opinion ne m’a pas empêché de répondre à l’invitation de royalistes qui, après la messe célébrée, ce 21 janvier, à la mémoire de Louis XVI, avaient organisé une petite réunion de cent cinquante convives. Dans un pays où il faut changer de trottoir quand on passe devant l’Elysée, les royalistes sont peut-être républicains et les républicains royalistes…

  Moi-même et le philosophe Jean François Mattei ( rien à voir avec l’ancien ministre de la santé abrité sous son parasol corse pendant que nos vieux se desséchaient sous la canicule), nous avons dû, tous deux, disserter sur une phrase de Platon : «  Trouver le chemin pour rentrer chez soi. » 

 Depuis longtemps Pierre Dac avait, à sa manière, répondu à la question : « qui suis –je ? »: « Je suis moi, je viens de chez moi et je rentre chez moi. » Là, il fallait être sérieux, bien que l’auditoire fût moins conformiste que Ruquier et la compagnie crétine des donneurs de leçons du scoutisme de la bien – pensance systémique.

Avoir à trouver le chemin pour rentrer chez soi revient à dire qu’on n’est plus chez soi sous le toit de la maison. Est-ce possible ? Sentiment ou réalité ?

 A sa manière, Malika Sorel la républicaine, avait répondu : « On ne peut pas dire à un peuple vous êtes destinés à disparaître et l’  accepter. » Un peuple ?  C’est l’ensemble des hommes et des femmes, d’où qu’ils viennent, quelle que soit leur origine, qui se retrouve  dans l’adhésion à  la Nation, à son histoire, à sa langue, à sa culture, à sa fortune,  à sa grandeur, dans les différences des origines, des idées, mais dans le sentiment de construire un même toit, à condition qu’il y ait encore de quoi fabriquer un toit .

 La zone euro n’est pas une nation !

 Les délocalisations, l’acharnement thérapeutique pour sauver une monnaie inique par « l’empruntite » chronique, le refus idéologique du protectionnisme  trahissent la Nation économique, au moment même où trois journalistes du « Monde », « de l’Express », « de « l’Expansion », écrivent un livre intitulé : « Inévitable protectionnisme »

 Les malversations syndicales tolérées, sinon couvertes, trahissent la Nation ouvrière. La C.G.T. possède des châteaux, vive le roi des cons, n’en déplaise à Mélenchon et à sa sonnaille de brute,  qui nous invite si souvent au dîner !   Les mises à l’écart de Molière, de Saint- Louis, de Clovis, d’Henry IV, de Napoléon,  la suppression de la culture générale à Sciences – po , trahissent la Nation culturelle.

La trouille conformiste et confortable de foutre en l’air un modèle démodé issu de l’après-guerre, qui fabrique du chômage à tour de manivelle à bons sentiments sur l’orgue de barbarie d’un modèle social qui est mort, parce que nous l’avons tué, trahit le devoir de courage national.

Refuser l’orthodoxie de l’establishment et de ses serviteurs, chroniquement attablés aux chroniques, est un acte de salubrité publique !

 Aujourd’hui cinq cent mille emplois industriels ont disparus, le chômage s’aggrave, et on a distribué deux cent mille titres de séjour… A quoi joue-t-on ?

 Devant ce petit public qui cultive les lys dans sa mémoire esseulée, une question venait à l’esprit : comment naissent les révolutions ? Question alchimique angoissante… De l’inertie, de l’incapacité à réformer, des privilèges, de la souffrance… de l’heure qui sonne à l’horloge de l’usure du temps ?

  Des mensonges sur les mots ! Des mensonges sur les faits ! Des mensonges sur les conséquences !

 D’après saint – Just, le seul saint de cette révolution céphalophore, on ne peut régner innocemment. Je me demande finalement si aujourd’hui on ne paye pas le fait que nos monarques républicains ont fait de nous non des citoyens, mais des sujets de leurs lubies : Sujets des banques, sujets des impôts, sujets des délocalisations, sujets des média, sujets de la propagande des groupes de presse amis des pouvoirs, sujets des réseaux clientélistes,  des copinages ; sujets de l’Europe, d’une monnaie moribonde, de l’ultra-libéralisme, des fins de mois faméliques, de la mondialisation,  de la décivilisation,  du communautarisme ; sujets de l’absence de contre-pouvoirs,  des modes de scrutin liberticides, des cumuls rentables et confiscatoires,  de la bien-pensance parlante. Sujet enfin d’une insécurité chronique !    

N’en déplaise à mes commensaux royalistes, le Roi n’est pas mort ! Il serait temps que les citoyens français fraternels prennent enfin le titre qu’on leur vole depuis si longtemps :

Debout les soumis de la République, aux urnes citoyens !  

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

07/01/2012

Sarkö semble croire que « Jeanne d’Arc », ça peut rapporter…

La visite de Sarkö à Domrémy, c’est vraiment « petit »… L’UMP cherche des voix chez celle qui en avait entendues. Décidément incorrigible, le locataire de l’Elysée n’a pas compris que 2007, ça n’a fonctionné qu’une fois. Pour chasser sur les terres du FN, il faut avoir les bonnes armes…

J’ai vu et entendu son discours. « Petit », aussi.

FDF

Lui aussi, aime la France… Depuis peu.

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NICOLAS ATTEND DES VOIX

 

 

A mon père, notaire à Vaucouleurs, qui fit baptiser sa fille Jehanne à Domremy

 

 

 

    Si Paris vaut bien une messe, l’élection présidentielle vaut bien un  tartuffard pèlerinage politique  à Domrémy – la- Pucelle, effectué à dos de sondages fatigués, par le tictaquant troubadour de l’agonie historique française, Nicolas Sarkozy.

 Sous sa présidence ont été chassés à coups de balai de nos livres scolaires Saint Louis, Louis XIV, Molière, et bien d’autres. Notre identité, notre indépendance, notre culture, notre histoire,  notre langue (qu’il fredonne,  plus qu’il ne parle), nos traditions, ont été bafouées, maltraitées.

Un sursaut de Guéant, de Ciotti,  pour donner le change, ne trompe personne.  Avec Georges Pompidou, Nicolas Sarkozy  est le seul président de la Vème République à n’avoir point assisté aux fêtes de Jeanne d’Arc le 8 mai suivant l’élection.

 Et aujourd’hui,  jockey ? cycliste ? Chevauchant à urne rabattue  son destrier électoral, derrière Marine le Pen, à la poursuite de son électorat, il découvre que Jeanne d’Arc, ce qui est une bonne surprise, peut rapporter, c’est le cas de le dire, des voix !  Alors, sus à Domrémy, sonnez matines.

 Il y aurait encore des français pour s’intéresser à l’histoire charnelle de la France ? Et oui, n’en déplaise aux mondialistes nombrilistes acceuillantistes : « La lecture des sondages montre clairement le maintien de la présence de Jeanne d’Arc dans les mémoires et l’absence de toute autre héroïne. » (Alain Corbin, P 70, Seuil).       

 Mais du Fouquet’s à la chapelle du bois chênu édifiée à l’endroit où Jeanne entendit les ordres de saint Michel, de sainte Marguerite et de sainte Catherine, il y a du chemin à parcourir pour être crédible face à la croyante en Dieu et en la France, cette «  femme sans sépulcre et sans portrait », qu’admirait Malraux. Nul qui résista un jour pour la France ne put s’empêcher de penser à elle.  

Croyante en Dieu ?  C’est une affaire de foi, et là, chacun est libre d’y croire ou d’en douter, sans se moquer, en n’oubliant pas, s’il doute, ces mots testamentaires de Vaclav Havel : « Il semble que la chose la plus importante aujourd’hui serait d’adopter une attitude humble à l’égard du monde, de respect en ce qui nous dépasse, de tenir compte du fait qu’il existe des mystères que nous ne comprendrons jamais et de savoir qu’il faut assumer notre responsabilité sans la fonder sur la conviction que nous savons tout… nous ne savons rien, mais l’espoir nul ne peut nous l’ôter. »

Croyante En la France ? Jeanne, qui signait Jehanne, c’est l’amour de la France ! Nul n’en peut douter. Il fallait vraiment le génie de notre peuple, quand il  rêvait en lui, pour réussir ainsi à prophétiser l’exigence de vérité, pour trouver dans ses marches les plus lointaines, les sauveteurs de ses aspirations opprimées : une bergère, une pauvresse :  Jeanne, l’épée de Charles Martel au poing .Comme , dans notre histoire, sainte Geneviève et ses prières ; Gambetta, fils d’immigré et son dirigeable, qui de Tours continue la guerre ; Clémenceau et sa volonté ; de Gaulle et son appel ;  Jean Moulin et ses ombres.

  Des femmes, des hommes inspirés par l’amour fou du pays ont accompli cette personnification rebelle qui seule se dresse contre l’asservissement, l’envahissement,  le renoncement !

Seuls, toujours contre tous : contre les ayatollahs de toutes les chapelles laïques, ecclésiastiques, philosophiques, politiques, juridiques, ironiques… Seuls, toujours seuls, jusqu’au bûcher des flammes de l’oubli, de l’ingratitude, de l’enfer. Seuls contre les combines des « Français reniés », les collabos d’alors, du temps de Jeanne, autre temps, autres traitres, qui ne croyaient pas en la France, les sales cons ! Et pourtant, elle l’a bien foutu en l’air l’imprenable bastille des Tourelles, contre l’avis de tous, vêtue de son armure blanche, brandissant glaive et étendard, accompagnée d’abord par le peuple et ensuite par les chevaliers et capitaines. Le peuple, qui en avait marre d’être occupé, a chargé !

 Elle n’est à personne Jeanne, ni à la droite ni à la gauche ; elle est à celles et ceux qui y croient, surtout en dehors des périodes électorales, et qui lui rendent hommage parce qu’il faut se souvenir « que la patrie chez nous est née du cœur d’une femme, de sa tendresse et de ses larmes, du sang qu’elle a donné pour nous », comme le disait Michelet.

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

19/12/2011

La guerre de récession…

Encore une forte analyse de Gilbert Collard. Bien pensé…

FDF

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C’est la guerre de récession, la France y entre !    Les journaux l’annoncent comme ils annoncent la météo,  la pluie, le vent, la froidure ; comme si la chose allait de soi et était la conséquence de l’air du temps, avec pour seul responsable le climatologue inconnu. L’état dégradé des banques, l’état chancelant du triple A, l’état  emphysémateux de l’euro, l’augmentation de tout : du gaz -4,3 %-, du chômage, de la pauvreté, du nombre de français -8 millions- qui ne pourront se chauffer, qui ne pourront se loger cet hiver sans abbé Pierre.

 Et pendant ce temps-là, la France des braqueurs institutionnels continue de piller les caisses ; ce qui ne l’empêche pas, à l’occasion, de faire la morale découpée en tranche de mortadelle médiatique pour le repas du 20 heures,  comme si rien n’était du Pas de Calais, des Bouches du Rhône, de Karachi, province balladurienne, des accords électoraux qui font verdir les roses et rosir les verts, d’un ancien président, hélas pour notre honte, condamné ; comme si de rien n’était du rapport accablant de la Cour des Comptes sur la gestion du comité d’entreprise de la RATP, sous contrôle de la CGT, qui loge ses indignations prolétariennes dans un château à Fontenay- lès-Brils et dépense 447 000 euros pour la fête de fin d’année… Le drapeau rouge teinté  dans le sang du Pétrus populaire !

 On comprend mieux, dès lors, la nécessité d’une subvention, en 2009, de 53 millions d’euros. Combien de pain pour les pauvres ?  Combien de tentes pour les sans-logis ? Chapeau, Thibaut du château, la CGT prend les prolos pour des blaireaux ! En tout cas, on sait maintenant où loger les sans-abris, une belle demeure leur tend les bras, sise à Fontenay-lès-Brils ; on y a de l’espace, de l’air pur, des plafonds hauts, et des caves pleines de pinard.

Vous me direz, il faut bien que les syndicats vivent, sinon qui nous emmerderait au moment de partir en vacances ? Sinon pourquoi l’Etat, c’est-à-dire chacun de nous, signerait chaque année un chèque de 4 milliards d’euros pour financer les  organisations de salariés, qui représentent en tout 8 % des leurs, les cotisations militantes représentant 3 à 4 % du budget ?

Ce qui veut dire que les syndicats français dépendent de l’argent public et représentent en réalité le vide du monde du travail, qu’ils savent seulement sonoriser…

Un rapport parlementaire  dévoilant les privilèges exorbitants accordés aux syndicats a été censuré par la droite combinatoire et la gauche schizophrène, afin que le peuple ne sache pas à quel point, en son nom, on  vole et on trahit.

Chut, il ne faut pas le dire, c’est du populisme… Comme si appeler la police au moment où les voleurs fracturent le coffre, c’était du délationisme ?

 Le journal Capital, qui n’a pas été démenti,  affirme, dans sa livraison de décembre, qu’on pourrait économiser, si on voulait toucher aux privilèges des  baronnets républicains, 80 milliards d’euros !

Et pendant ce temps, la France entre en récession, c’est-à-dire pour le peuple des pauvres dans encore plus de pauvreté, dans encore plus de froid, de faim, de peur. Qu’importe, Fillon se chamaille avec Dati pour la soupe, Rama Yadé, soudain, est sans domicile fixe électoral, Hollande, le regard apeuré sur son destin,  ignore les caisses socialistes du  pas de Calais ; Lang, héroïque, menace de griffer d’un ongle vengeur le visage immaculé de Montebourg ; Joly, enfin, jubile, Chirac est condamné, il y avait longtemps qu’elle n’avait pas bouffé du prisonnier ; Duflot, du balais, a eu sa circonscription en virant la sortante ;  Balladur attend l’heure du laitier avec inquiétude . Et un policier est mort, assassiné à la Kalachnikov ; mais est-ce bien sérieux, au milieu de tous ces problèmes ? Ah la colère…

 Enfin, l’ordre moral règne, l’UNEF, l’union des jeunes socialistes, SOS racisme, l’union des étudiants juifs de France, ont empêché Marine Le Pen de s’exprimer à Paris-Dauphine ! Et tout le monde a trouvé cela bien ! Même Sapin, le bien nommé à l’approche des fêtes, a dit « comprendre », qu’on porte atteinte à la liberté d’expression. Décidément, à gauche, ça sent le sapin pour la défense des libertés.

Ne nous quittons pas sur une mauvaise nouvelle : récession, certes, mais le Qatar veille… il sponsorise, n’écoutant que son grand cœur, des projets en banlieues

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

05/12/2011

Droit de vote des étrangers: notre France est à vendre…

Excellente réflexion de Gilbert Collard sur le droit de vote des étrangers. Si c’est approuvé au Sénat, c’est que notre Patrie est à vendre. Elle était déjà en location ou squattée, il n’y aura plus qu’à passer chez le notaire… Frais d’acquisition à la charge du vendeur, cette fois…

Pauvre de nous.

FDF

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     Il ne faut pas s’y faire,  même si c’est dans l’air du vent  des moulins écolo-socialistes, et, fut un temps, sarkosistes : la France serait, selon le projet socialiste, à toute personne qui paie quelque impôt. 

 Même s’il n’est pas  français, même s’il s’en retournera un jour dans son légitime pays d’origine, monsieur tout le monde du grand monde sans frontière devrait, selon les verts et les roses, un beau bouquet de chrysanthèmes, pouvoir voter pour élire maire et président de conseil général, et plus tard, inévitablement, être élu !

 On se préparerait de sacrés lendemains communautaristes.

L’argument en faveur du droit de vote des étrangers est simple : ils paient l’impôt, donc en même temps, ils achètent le droit de peser sur le destin d’un pays qui n’est pas le leur ! On vend le droit de vote au prix de l’impôt. En un mot, la citoyenneté étrangère se ramène à cette idée : je paye donc je vote ! Pays à vendre…  

  S’y opposer, au nom  du lien entre la citoyenneté et le vote, entre la Nation et le Citoyen, entre la France, son destin maitrisé et les Français de toutes origines qui la peuplent, principes qui claquent au vent de Valmy, c’est être forcément raciste !

Vous me direz, ils n’ont plus rien d’autres à sortir que cette connerie démodée, vieille comme Tonton et SOS racisme, son instrument politique de propagande.

 Ces gentils principes socialo-verdoyants ont été soutenus par le Sarko du temps où il était scout de gauche, avec ses cheftaines Fadéla Ammara, Rama Yadé, et d’autres. Il a belle gueule de s’y opposer aujourd’hui ! 

 La gauche cherche des électeurs de remplacement à l’électorat populaire qui lui tourne le dos, fatigué des flonflons des bobos, des trahisons, et elle croit les avoir trouvés chez les étrangers de passage qui paient l’impôt et « participent à la vie de la cité ».Qu’est-ce que cela veut dire participer à la vie de la cité ? Encore une phrase dont on passera des années impossibles à chercher l’existence concrète !

Que je sache un Français qui paye l’impôt en Tunisie, au Maroc, au Sénégal, ne vote pas, et c’est normal. Décider par le vote de la conduite d’une nation impose l’attachement, l’ancrage à cette nation : pour voter, devenez Français, ce n’est pas une honte, sinon votez chez vous, et pour qui vous voulez !

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

28/11/2011

Et si on parlait signatures ???

Pour avoir pratiqué cette « chasse aux signatures », je peux affirmer que tout ce que dit Gilbert Collard est vrai… Les maires sont sous pression: un maire UMP m’a signalé en catimini que lui et tous ses collègues de même sensibilité avaient reçu des « consignes » de ne donner leur signature qu’à l’UMP exclusivement! Et pourtant, combien d’entre eux seraient prêts à favoriser Marine Le Pen !

Le respect de l’anonymat dans ces situations feraient sans doute basculer Sarkö Ier de son piédestal. De toutes façons, je pense qu’en 2012, il n’y aura pas besoin de ça…

Lamentable façon de gouverner…

FDF

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LES CINQ CENTS

 

         

                         Et si derrière le parrainage des maires de France pour la candidature à l’élection présidentielle, il y avait des parrains qui pratiquent l’intimidation, la menace, le chantage, pour que les signatures soient données aux uns et pas aux autres ? En un mot, pour que les vieux partis, qui se partagent le pouvoir depuis des lustres, avec leurs combines faciles, comme  l’hélitreuillage électoral  de Duflot,  ne soient pas importunés par l’irruption de la démocratie spontanée dans l’élection ?

 C’est un système de terreur qui est braqué sur les maires de France. Il faut cinq cents signatures pour qu’une candidate qui est crédité de 20 % des suffrages puisse se présenter. Les signataires, dont les noms seront connus, peuvent subir des représailles politiques de toutes natures et de ce fait hésiter, craindre, ne pas signer !

 Il y a, bien sûr, des femmes et des hommes courageux, qui ne se laisseront pas impressionner, qui, même sans partager les idées, donneront leur signature, par respect pour le libre accès au concours démocratique. Mais d’autres, moins courageux, où tout simplement tenus politiquement, refuseront. C’est une entrave à l’expression du suffrage universel.

 Ce système a été mis en place pour « empêcher les candidatures fantaisistes ». Qui oserait dire que la candidature de Marine le Pen, de Christine Boutin, de Dupont- Aignan, de Philippe Poutou, ou du  représentant du CPNT, serait fantaisiste ?

 On pourrait, peut-être, le dire des « écolos dingos », mais eux, qui représentaient aux dernières présidentielles 1,57%, n’ont aucune difficulté pour obtenir les signatures !

  Cette exigence  est un verrou. Le seul moyen, pour dégager les signataires de toutes pressions, est l’anonymat. Parce que, de toutes parts, des maires honnêtes, qui souhaitent seulement que le débat démocratique ait lieu, racontent les tyrannies qu’ils subissent au jour le jour. La liberté d’engagement passe par le respect de l’anonymat. Dès l’instant où la voix d’un citoyen compte dans le fonctionnement de la démocratie, on doit le protéger des pressions, des intimidations, sinon on truque l’élection. Par la mainmise sur les signatures,  on kidnappe un candidat qui menace, on l’efface du combat ! On voit dans quel état est notre irréprochable démocratie, derrière le parrainage, les parrains !

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

 

21/11/2011

BHL: le voleur de gloire…

Pillé chez Gilbert Collard. BHL en prend pour son grade. En outre, c’est ce que beaucoup pensent de cet énergumène…

FDF

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BHL, nom d’un virus ravageur !   

Même où il y a la mort, sa présence rend l’horreur dérisoire, un rien apprêtée, futile.  La mort chez BHL, est vendeuse, poseuse. Il suffit de regarder les photos du  costard philosophique noir, style pompes funèbres, la chemise blanche immaculée, faux panache poilu d’Henry IV,  au milieu des décombres de Benghazi, pour avoir envie, malgré l’horreur, de rire, d’un rire sinistre , de la folie narcissique de ce  pitre patenté par les médias et par un président de la République assoiffé de  gloire militaire facile, soucieux seulement de redorer de sang ses ratages tunisiens.  Mais enfin, on doit tout lui pardonner, à ce philosophe sans philosophie, qui dindonne depuis des années sur les tréteaux de la plus obscène publicité, et qui continue dans l’adulation.  On  lui pardonne  d’avoir, le cancre, cru à l’existence de Jean Baptiste Botul, un auteur inventé par un journaliste du canard enchaîné,  Frédéric Pages ; on lui pardonne d’avoir défendu DSK jusqu’au bout de la centième éjaculation sordide ; on lui pardonne d’avoir tenté par tous les moyens d’être sur l’estrade aux côtés de Sarkozy et Cameron à Benghazi, alors que visiblement on ne voulait pas de lui, qu’on l’a éjecté comme une vieille groupie en chaleur médiatique ;d’avoir gardé le silence sur le sort des Palestiniens ; d’avoir contribué à la violation du droit international en se foutant des populations civiles massacrées ; d’avoir la lâcheté de s’exonérer de toute responsabilité dans l’avenir extrémiste de la Libye, et de se soucier comme de son premier brushing des armes aujourd’hui aux mains des terroristes ;   d’avoir accepté la mise à mort cruelle et indigne du tyran, alors même qu’il s’était offusqué de sa voix pédante,  des photos de DSK menotté ; d’avoir pour seule explication que «  l’ordre ancien ne laissait pas le choix. » (  Entre l’ordre ancien du Shah d’Iran et l’ordre nouveau de Khomeiny, il n’y a qu’une bombe atomique !) ; on lui pardonne d’avoir contribué à la mise en place d’un régime qui réintroduit la polygamie et la charia !

 On lui pardonne tout ! Il n’a même pas d’explication à donner sur le financement de son opération cinématographique, littéraire et politique, au service de deux opportunismes, le sien et celui de Sarkozy !

 La guerre est belle, bellement belle, dans l’Express, sous la plume onirique de Christophe Barbier, qui écrit, enivré par l’épopée du pickpocket de gloire : «  Oui, dans les cailloux du Djebel Nefoussa, sous les étoiles de Tobrouk, aux carrefours épargnés de Benghazi, et dans les rues libérées de Tripoli, Lévy tient la plume, Malraux crache l’encre. »  C’est poétique, épique, sauf que Malraux pendant la guerre d’Espagne a risqué sa peau, et que ce que l’un, le Bernard d’Arabie, a écrit avec son ordinateur dans la fureur feutrée du bruit des touches, l’autre, le grand, l’avait écrit dans le ciel avec son sang ! Notre époque a les héros qu’elle mérite et les thuriféraires qu’elle peut.

 On lui pardonne tout, au chevalier casqué de cheveux gris impeccables, qu’aucun vent du boulet ne décoiffera jamais !

 Pourquoi ?

Parce qu’il est, pour l’instant, du bon côté du manche des mots, servant encore la campagne électorale du général en chef des cuisines du Fouquet’s, en stigmatisant : « Ceux qui sont fiers d’être français quand on jette un immigré dehors, comme les fripouilles du FN. »  Fripouilles ? On est des fripouilles ! L’insulte est un honneur, venant d’un escroc intellectuel qui ne fait pas la différence entre un canular littéraire, l’imaginaire Botul, et une œuvre véritable ; qui défend un pornographe priapique; qui se lave les mains,  moites des conséquences de ses actes ; qui vole l’inspiration,  pour écrire et publier dans sa seule présence mondaine sur le terrain d’un conflit, où pas un jour son café ne fut froid ni ses tartines privées de beurre ;qui favorise la réélection d’un président  béat d’avoir une droite populaire ; qui se fout du sort des Palestiniens, qui ne valent pas un immigré expulsé légalement et combien rarement par un pouvoir français sarkosiste.

  La fripouille, c’est lui, qui traîne ses fripes  éternelles de dandy démodé dans les cimetières des révoltes humaines, aux lendemains effrayants pour l’État d’Israël et, peut-être  pour le monde, mais  qui comptera ses droits d’auteur, amplifiés par la publicité des médias, en toute friponnerie rentable.  Finalement, le moribond littéraire se refait une santé morale, à peu de frais, en insultant  une fois de plus des citoyens honnêtes, qui ont l’indignité d’aimer prioritairement la France et qui, jamais, ne trouveront la moindre fierté à voir un immigré expulsé.

Au demeurant, et concrètement, qu’a-t’il fait pour ces immigrés, le Don Quichotte des moulins à pub ? En a-t-il hébergé un seul ? Abandonnera-t-il ses droits d’auteur à l’amélioration matérielle de leur sort ? Non !

 Il s’absout lui-même de ses friponneries,  dans la fierté de son nombril, en désignant une population à la vindicte collective, à l’insulte, et le tour est joué ! Il n’est pas un salaud puisque les autres le sont… Facile rhétorique du bouc émissaire ! Le bouc l’encorne de son mépris ! Ceux qui votent et ceux qui ne votent pas n’ont –ils pas envie de relever le gant, de réagir, de mettre un terme à ces pratiques contraires à la démocratie ?

Dimanche, par exemple, sur France 2, on débattait du programme de Marine Le Pen, pour le critiquer, bien sûr. Aucun représentant de ses idées n’était là pour répondre. Il y avait deux journalistes de gauche, un artiste de gauche – comment peut-on être artiste si l’on n’est pas de gauche ? – et un représentant de l’UMP ! Il ne faut pas se gêner. On est entre amis. C’est la démocratie médiatique !  

Que feraient-ils ces salisseurs professionnels avec leurs hypocrites rengaines de révoltés,  s’ils n’avaient Marine Le Pen, les uns pour se décrasser d’eux -mêmes, les suivants pour exister dans le commentaire médiatique savantasse et rémunéré qui leur assure une présence permanente devant les micros et les caméras, et  les derniers pour endiguer le mascaret politique qui menace leur complicité confiscatoire du suffrage universel .

 Vous leur enlevez la leçon de morale, l’anathème, ils n’existent plus, ils se désintègrent sur pied, ils ne sont plus rien.

Alors, laissons-nous traiter de fripouilles !  Doriot, le communiste devenu fasciste, avait bien traité Léon Blum de… xénophobe !

 Que rachètent-ils dans le secret de leur haine, quel vrai visage se cache sous le masque médiatique de ces vengeurs ?

 Fripouilles de France, unissez-vous contre les fripons masqués de l’euro, de la finance bancaire internationale, du déficit commercial,  de la mondialisation, du néocolonialisme guerrier, de l’insécurité angélique, de l’impôt accablant, de la France endettée qui ajoute de la dette à la dette, de la fraude sociale,  du chômage chronique, de l’immigration patronale, des valeurs bafouées ( la langue,  1500 ans d’histoire,  l’école… )

Il fut un temps où, pour défendre le peuple de France dans toutes ses origines,  on recevait des balles. Nous on reçoit des crachats, ce n’est pas cher payé,  surtout quand les cracheurs sont à bout  de salive !

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

01/11/2011

L’euro prend l’eau… La « crise » a bon dos.

Bien, Gilbert; bien…

FDF

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L’EU-ROBLOT

« On est sonné par l’amoncellement des chiffres. Il faudra faire six à huit milliards d’euros d’économie. Or, l’État, à lui seul, dépensera en deux mille douze 5 milliards d’euros de plus qu’en deux mille onze, dont 3,4 milliards d’euros viennent de l’augmentation de la charge de la dette… Il va falloir trouver six à huit milliards d’euros, selon le chef de l’État en chef des dettes françaises. La croissance pour l’année prochaine sera ramenée de 1, 75 % à 1 %… L’agence Moody ‘s place sous surveillance la note de l’État français. On est dans une situation dramatique. La Chine pourrait prêter aux mendiants européens 70 milliards d’euros. La grande philanthrope, honnie hier, pour ses violations répétées des droits de l’homme, qui fait payer à la famille la balle du condamné, possède aujourd’hui toutes les qualités. On oublie tout ! On ne s’indigne plus. Un indigent peut-il s’indigner ? On abdique notre souveraineté devant le souverain qui paye. Pourquoi faudrait-il refuser, argumente le marchand de tapis de l’Élysée ? Il pourrait traduire « on prend le fric où on le trouve »  L’argent n’a pas d’honneur, même s’il a une odeur.  L’Allemagne dicte sa loi financière en ne voyant que ses intérêts. Merkel est présentée comme la bonne marraine de l’Europe par M Langguth. Une marraine qui mange le petit poucet paresseux. Elle n’a cédé sur rien. Paris a renoncé à toutes ses prétentions. Le FESF ne sera pas une banque. Les établissements financiers ont dû accepter une décote de 50 % de la dette grecque. On gagne du temps parce que le temps, ici, c’est l’argent des autres, les contribuables, dont le nom commence par un aveu de vérité. On crie victoire ! L’euro est sauvé, même s’il prend l’eau comme un rafiot monétaire.Les candidats se disputent la dépouille d’un pays qu’ils ont tous dépecé par leur aveuglement, leur lâcheté et leur démagogie, à droite comme à gauche. Quelle confiance accorder à des responsables qui ne voient rien venir, qui dorment sur l’oreiller douillet de leurs avantages, qui livrent le pays aux menottes monétaires de la Chine et de l’Allemagne ? Les gens ne comprennent plus rien. On les enfume dans des débats où la pseudo science économique des uns le dispute à  la pseudo science des autres, où la crise, entité insaisissable, expliquerait tout, où ce n’est la faute à personne. Mais à quoi cela sert –il de gouverner ? À quoi cela sert-il de siéger au parlement, au sénat ? À quoi cela sert-il d’avoir une voix ? L’erreur de diagnostic sur la dette date de 2007 !   Il y a bien une cause à ce merdier  qui nous ruine, nous sacrifie, nous humilie, nous endette pour des décennies, nous vassalise, comme des valets de la finance internationale, nous dépossède de toute souveraineté ? Cette cause c’est l’euro dont on ne voulait pas, mais qu’on nous a imposé avec mépris et dont les eurôlatres ne veulent pas reconnaître l’inéluctable faillite parce qu’elle stigmatise leur incompétence, leur volonté à ne pas voir la réalité. Et personne n’a la volonté de voir, à l’exception de Marine Le Pen, qui prêche dans le tohu – bohu médiatique des chiffres typiquement énarquien, derrière lesquels se cache la souffrance réelle, mais occultée,  des peuples. Quand on dénonce la folie des grandeurs des dirigeants ( l’euro est surévalué d’au moins 30 %),  qui ont vu grand en faisant payer aux petits le prix du pain, du café, du loyer, de la nourriture, de l’assistanat, à un prix jamais atteint dans l’histoire économique, on est traité de ringard bon pour la caverne par une Pecresse pincée comme une pince à billets, ou bien on est accusé de se réfugier dans la maison par un Vals qui barytonne son argument tellement préparé qu’il sent l’huile de coude des camarades communicants. D’abord, la maison, c’est une bonne chose. Ensuite, rompre ce n’est pas fuir, c’est éviter la décimation, qui frappe les soldats, ici, les contribuables, mais qui épargne toujours les généraux à l’abri dans leur palais de palabres. Essayer prudemment, dans une démarche calculée, étudiée, chiffrée, concertée de sortir du guet-apens monétaire, ce n’est pas du repliement, du nostalgisme, c’est du modernisme pragmatique. Ce type d’argument ressassé par l’UMP et Le PS, toujours en harmonie pour ringardiser l’autre, est aussi absurde que de dire à un médecin qui arrête l’hémorragie « vous retournez à la médecine de l’apothicaire » ! Ces gens-là, ces mous, ont peur du combat. Ils subissent. Ils ne croient plus en la France qui se relève. C’est le pire ! La preuve,  c’est que l’idée de revenir au Franc les rend malades, comme si on les privait d’une béquille ruineuse. Et l’on entend toujours la même rengaine, « on ne peut pas sortir de l’euro, la France subirait une attaque financière, ce serait le repliement, on ne pourrait pas financer. »  On a quand même vécu avec le franc ; les anglais n’ont pas l’euro et ils vivent ; quand on voit ce que coute la monnaie unique en son genre, on peut se dire que s’en débarrasser couterait moins cher que de l’avoir sur le dos, et nous rendrait notre liberté de manœuvre, peut être aussi notre liberté tout simplement de vivre comme on veut, sans le carcan des directives technocratiques, sans la Chine au bon cœur, sans l’Allemagne exemplaire, sans la Grèce exsangue, sans les concurrences  déloyales, sans les délocalisations, sans les portes ouvertes au grand vent de la mondialisation. »

Gilbert Collard

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

19/10/2011

Ni pute ni facho…

Sacré Gilbert! Toujours à nous sortir des analyses pertinentes autant que réalistes…

FDF

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« Je ne suis pas d’extrême droite, Marine n’ont plus ;

elle n’est ni de droite ni de gauche, elle est du seul parti qui vaille aujourd’hui, le parti du sauvetage de la France ! »

Quelle semaine nauséabonde !

Aux rendez-vous des lieux d’aisance médiatique, les bobos ont pu déféquer dans l’hilarité tribale leurs injures, en toute impunité apparente. Cette charge de cavalerie des crottins, marchant au pas, hennissant au son de la même fanfare, relève de l’orchestration «  idéoconologique. »  Le chef d’orchestre de cet orphéon farineux est le comique secoué, Laurent Ruquier. Au prétexte préparé, il a montré ma photo pour permettre à Gérard Darmon de dire que « je suis un petit con », « à la droite d’Hitler ». 

Rien que cela. Tout le monde a ri…dans le studio… C’est en effet très drôle… surtout pour les victimes du nazisme !

On a vu, en gros plan Ruquier rire des épaules, car cet arlequin mécanique ne rit pas, il se secoue, comme un sac à puces à pouffer. Darmon était fier de faire encore rire, ce qui ne fut pas le cas le lendemain dans son téléfilm, qui fut un « bide »,  pour reprendre l’expression utilisée à ce sujet ! 

Laurent Ruquier est de gauche, c’est son droit, mais il a fait de son émission une essoreuse  idéologique, une foire aux bobos, une machine médiatique où la moquerie est une propagande démodée des pays de l’injure.

Au moment prévu, Darmon, qui expectore difficilement une réplique après l’autre dans un rot de nicotine, a lâché devant les insomniaques, pas forcément soumis, son immondice hitlérienne qui balançait au bas de sa mâchoire comme le pendu au bas de la corde. 

Après, dans direct 8, un autre humoriste, un certain Madénian, a traité les gens du front de « Fils de pute »… Morandini, hommage lui soit rendu, a donné une leçon à Ruquier en stigmatisant cette fiente verbale. N’empêche, si l’on en croit ce fils de vierge, toutes nos mères sont des putes… Si l’on en croit Gérard Darmon, président du tribunal de Nuremberg des bobos, on est tous des nazis, des fils de pute d’Hitler…

On en est là aujourd’hui dans le débat politique, malgré les misères du peuple de France. 

Ces gens dont le vocabulaire, « petit con », « fils de pute »,  « bras droit d’Hitler », tient dans un papier hygiénique croient, faire la mode sans même pouvoir croire ce qu’ils disent. Ils s’imaginent exister comme au temps de tonton, être des flingueurs flattant une opinion hypnotisée, être dans le ton ! Ils tombent à plat.

L’opinion n’est plus dupe de ces intermittents de l’indignation promotionnelle qui s’engraissent dans les beaux quartiers et les gros cachets.

Voilà le programme de la gauche intellectuelle : traiter l’adversaire de « fils de pute », « de nazis », « de collaborateur », ce dernier trait étant l’humour de la compagne de Montebourg, une plume de primaire socialiste !

Qui peut encore les croire ? 

Pourquoi tant de haine pour des compatriotes qui votent démocratiquement ?

Mais quelque chose s’est passé. Au lendemain de ma promotion au rang de génocidaire, des centaines de gens indignés m’ont écrit, les uns marinistes, les autres incertains, pour me dire leur indignation, leur écœurement, leur amitié.

Un professeur de libertés publiques, dans son cours, sans prendre parti, à même analysé pour ses étudiants, la technique antidémocratique de la diabolisation comique, la «  ruquiérisation ».  Il a été acclamé !

Tous ces bouffons sans autre roi que l’audimat ignorent la France et ses malheurs, ils rient en suivant le corbillard, les policiers ripoux, les ministres écoutés, les valises de fric, les magistrats mis en cause, les épouses qui balancent, les Grecs qui nous braquent, l’Euro qui nous ruine, la dette qui s’aggrave, les pauvres plus pauvres, les fins de mois qui n’en finissent pas d’affamer, les augmentations de tout, l’arrogance des banques, la jeunesse sans issue, la vieillesse sans respect,  la France sans bouclier. 

Je crois qu’ils ne font rire qu’eux-mêmes,  méconnaissant la réalité sociologique, qui ne supporte plus l’insulte, qui n’a plus peur, qui a compris le fonctionnement du système exclusif, qui se partage la dépouille, couteau de gauche, fourchette de droite, « serviteurs vertueux qui pillent la maison ».

Je remercie les milliers de Français qui m’ont envoyé un message ! Je ne suis pas seul. Marine n’est pas seule, la reconstruction n’est pas seule !

Je devais faire une conférence devant le cercle de Wallonie sur mon livre « les dérives judiciaires », sans aucun rapport avec la politique.

Au dernier moment, j’ai été décommandé sous la pression de Willi Borsus,  un libéral, Émile Hoyos, un écolo et, surtout, Benoit Lutgen, centre gauche.

Voici ce que m’écrivent les organisateurs, à lire attentivement :

« Le président du cercle de Wallonie, Pierre Rion, son administrateur délégué, André Van Hecke, son comité de contenu et ses mille cinq cents membres tiennent à vous présenter leurs plus vives excuses pour le gâchis provoqué par une médiatisation manipulée ( je souligne) de l’invitation que nous vous avions faite. 

C’est la première fois que nous nous retrouvons dans une situation d’instrumentalisation (je souligne) de la classe politique par quelques journalistes “engagés”.

Le jour de la rentrée parlementaire, une équipe de la RTBF se croit obligée d’interpeller les principaux représentants de tous les partis en brandissant la couverture du Cercle et en ne posant qu’une question :

“Trouvez-vous normal que le Cercle de Wallonie reçoive Gilbert Collard, soutien affiché de Marine Le Pen, candidate de l’extrême droite à la présidence française ?”  […]

Nous sommes bien en présence d’une démarche de censure ( je souligne) initiée par la presse et relayée par le politique “pensée unique”. Ce journalisme militant est un véritable danger pour notre démocratie et pour la liberté d’expression. Il refuse le débat et prend les citoyens en otage en les considérant comme incapables d’avoir leur propre jugement.

C’est la raison pour laquelle nous organisons le 19 octobre prochain un grand débat sur le sujet : “Journaliste : acteur ou témoin ?”

Merci de nous avoir entendus, désolés et furieux d’avoir dû céder notamment pour protéger la soixantaine de nos collaborateurs… »

 

« Désolés et furieux », je sais maintenant que cet état d’esprit est partagé par de plus en plus de Français.

Je ne suis pas d’extrême droite, Marine n’ont plus ; elle n’est ni de droite ni de gauche, elle est du seul parti qui vaille aujourd’hui, le parti du sauvetage de la France !

Est –ce un crime que d’aimer son pays et de dire la vérité ?

Je me sens bien. Je suis heureux d’être avec vous, anonymes honnis. Je me bats pour une grande cause qui ne porte en elle aucune haine, aucun racisme, aucune censure, aucune insulte,  une cause commune,  qui ferait rire les épaules  électrocutées de Ruquier, une passion française, l’attachement à la Nation, à son respect, à sa souveraineté, à ses valeurs républicaines,  à sa culture, à son histoire ; un ensemble auquel tant d’hommes et de femmes ont adhéré, d’où qu’ils soient venus, parce que le modèle était respectable, fier, républicain, non négociable. 

Je sais que Marine le Pen a le courage de dire «  le vrai sur le réel »  et que le réel aujourd’hui déménage les faussaires, les démagogues,  les truqueurs. 

Oui,  j’aime ma maison, ses vieilles pierres, ses neuves pierres et ceux qui y viennent, qui y vivent, pourvu qu’ils respectent les meubles !

C’est ça, un « fils de pute », un « bras droit d’Hitler »…

source : Le blog de Gilbert Collard

10/10/2011

Faussaires et semeurs de haine…

Depuis des lustres, il est « de bon ton » de diaboliser le Front National. Méthodes peu enviables et rabaissantes pour leurs auteurs… Gilbert Collard, qui s’est rapproché du mouvement de Marine Le Pen en a vite fait les frais. C’est « petit ».  Me Collard nous raconte…

FDF

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« D’abord et avant toute chose, je tiens à vous alerter sur un texte islamophobe, franchement dégueulasse, qui circule sur internet et qui m’est attribué. Il s’agit d’un faux ! Je n’en suis pas l’auteur. J’ai déposé plainte pour usurpation d’identité et usage de faux. C’est la deuxième fois, c’est la deuxième plainte. Ces méthodes en disent long sur la rage de nos ennemis qui veulent fabriquer du raciste là où il n’y en a pas, qui n’hésitent pas à exaspérer les tensions, à utiliser comme instrument un racisme inventé, fabriqué de toutes pièces pour alimenter leur boutique de propagande anti raciste. C’est ignoble et cela en dit long sur l’exploitation que « les belles âmes » font de l’anti –racisme. Elles inventent du racisme dans leurs usines morales pour pouvoir le combattre, quitte à jouer les faussaires, à colporter des ignominies durables qui salissent une communauté que je respecte, en me blessant au plus profond de moi-même dans mon respect pour autrui. Ces faux, ces usurpations d’identité relayent la propagande politique des Darmon,  Ruquier,  Madénian,  qui cherchent par tous les moyens- le ricanement,  la caricature, le  mensonge, l’ outrance- à accréditer l’idée vide qu’on est forcément xénophobe parce qu’on a rejoint Marine Le Pen. Le racisme est un crime, et attribuer, sous couvert d’un faux ou d’une formule forcément drôle, dans une émission de télévision ou sur internet, ce crime inventé à autrui, est l’aveu d’une exploitation commerciale de l’anti racisme, du mépris de la personne victime potentielle des vrais racistes, dont on se sert à des fins électoralistes. Ils s’inventent des racistes, fabriqués de toute fausse pièce, pour exister dans leur posture d’imposteurs. Ces textes ignobles qu’on m’attribue au risque de provoquer la haine d’une communauté contre moi et les miens, la colère de certains, la violence d’autres, à un but : diaboliser, même si le diable habite l’âme sournoise des falsificateurs ! Confirmer dans l’opinion qu’on est « des fils de pute ! », « des bras droits d’Hitler »,  « des collabos » ; ce fonds de commerce utilise les ustensiles de la propagande du bouc émissaire : on est là, habillé de racisme par la confection sur mesure Ruquier faussaire et compagnie aérienne Darmon. Les mal-logés, les mal- payés, les maltraités, les humiliés, les laissés pour compte,  les violentés, les exploités peuvent souffrir tranquilles, les victimes du racisme, toutes les victimes, du blanc au noir, sont défendues (enfin pas toutes, on sélectionne)  par les vengeurs en onde. C’est facile ! Ça ne coûte que le mal qu’on fait à autrui, que le mensonge et la falsification.

Tant pis si je les prive de leur goûter : je hais le racisme, forme suprême de la connerie ! Mais je hais tout autant les exploiteurs du racisme, qui entretiennent le mal qu’ils seraient censés éradiquer, pour diviser la France et empêcher qu’on dise la vérité sur la situation du pays.

Vous vous en rendez compte, ils en sont à faire des faux ! Il serait temps que les populations comprennent qu’on les manipule, qu’on les trompe, que notre Nation, l’une des plus accueillantes, n’est pas raciste, mais seulement épuisée moralement, financièrement, et qu’il faut chercher des solutions, dans la dignité de tous, avant l’orage que les météorologues de la morale auront laissé venir sous leur parapluie de prêchi-prêcha. Ils font comme si le monde n’avait pas changé, comme si les combines politiques de la consanguinité entre droite et gauche marchaient encore, comme si la dette n’était pas la sœur jumelle de la banqueroute d’ancien régime, comme si l’impôt aggravé ne tuait pas les peuples jusqu’au sursaut furieux de l’agonisant, comme si l’abandon de toute souveraineté était indifférent aux orphelins de la grandeur, comme si l’insécurité, la délinquance chronique n’empoisonnaient pas la liberté de tous les jours, comme si la mondialisation, l’ultra libéralisme, la loi des marchés, la mainmise des banques ne réduisaient pas en esclavage un pays dépossédé de lui-même et en recherche désespérée de fierté. Ils font comme si les milliards qu’ils jettent par les fenêtres de l’euro, ils ne les prenaient pas dans nos poches. Comme si la générosité d’un peuple envers le monde entier n’avait pas sa limite dans les privations que ce peuple doit s’imposer jusqu’à en crever. Le monde a changé, eux, les bien-pensants, ne changent pas, englués dans les confitures du pouvoir à manger des brioches pendant que le peuple manque de pain. Brioches, servies sur les plateaux de télévision, qu’ils trempent, pour être irréprochables, dans les tasses de chez Hermès de l’anti racisme. Les corps des autres s’épuisent, mangent mal,  tremblent, s’angoissent, ne sont plus soignés, mais, eux, ils ont l’âme belle… »

Gilbert Collard

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

11/09/2011

Un nouveau soutien « de poids » pour Marine Le Pen.

Excellente nouvelle…

FDF

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Marine Le Pen reçoit le soutien de l’ex-patron des RG

Après l’avocat Gilbert Collard, président de son comité de soutien, Marine Le Pen a renregistré, hier, un nouveau soutien de poids. En marge des «Journées d’été» du Front national, Yves Bertrand, l’ancien patron des Renseignements généraux (RG), de 1992 à 2004, a qualifié la fille de Jean-Marie Le Pen de «respectable», «républicaine» et appelle à réintégrer le FN «dans la famille» de droite.

Hier 4 à 500 personnes ont pris place au Palais des congrès de Nice pour ovationner le président d’honneur du Front National, Jean-Marie Le Pen, venu soutenir sa fille et ouvrir les «Journées d’été de Marine Le Pen» dédiées à la présidentielle. Pour la rentrée politique de la candidate FN, en baisse dans les sondages (???), plusieurs centaines de cadres du parti étaient réunis à Nice.

Source: http://www.ladepeche.fr/

07/09/2011

La rentrée vue par Gilbert Collard…

Le blog à Gilbert Collard… Un site à visiter souvent.

FDF

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 L’été est terminé, la parenthèse se referme sur nous comme un étau, avec ses pinces  cruelles. On se réveille des mois de juillet et d’août. La tempête a soufflé sous le soleil de nos ensommeillements vacanciers. L’Euro, monnaie mensonge, se meurt, unité monétaire unique en son genre, qui n’a produit aucune croissance et généré seulement que  de la dette, toujours de la dette. Pour sauver le système, plus précisément la crédibilité de ses complices, on est pauvre, mais on va payer ;  on est endetté, 18OO milliards d’euros au moins, mais on va se priver, on va souffrir sous le poids des charges, des restrictions, de la vie plus dure, pour que les menteurs tiennent le coup dans leurs mensonges jusqu’à l’élection présidentielle.  On (qui on ? toujours les pauvres cons), donc, «on » va devoir économiser 1 milliard d’euros en 2011 et en 2012, 11 milliards. Alors même que la Grèce ne tiendra pas ses objectifs ; son sauvetage devient presque impossible ! Ce qui importe, c’est de faire une bonne figure qui masque la trogne du croque-mort jusqu’à  l’élection présidentielle. … Mais quelle morale politique ont-ils absorbée, depuis tant d’années, nos pseudo dirigeants, pour conduire en état somnambulique le pays, au point de n’avoir pas vu  les dangers qui le menaçaient ?On demeurera accueillant même si l’on ne peut plus accueillir. On demeurera généreux, même si l’on n’a plus un sou. On hébergera, même si l’on n’a plus un toit. Un maire  demandera de faire intervenir l’armée dans les banlieues où règne les gangs, mais on a un chef d’Etat, chef de guerre des boutons de télé, qui, « attend avec impatience le voyage à Benghazi. »,  «   Ça va être énorme. », Claironne- t-il !   On sauvera le monde et ses printemps confus, même si l’on ignore où mènent ces guerres ruineuses, forcément morales, puisqu’elles chassent nos amis du passé, les tyrans, devenus, de fréquentables, infréquentables. La rhétorique des bons sentiments est imparable. L’enfer politique est pavé de bonnes intentions électorales prestigieuses. Abdel Hakim Belhaj, aujourd’hui gouverneur militaire de Tripoli, est un « ancien » djihadiste, militant islamiste, adoubé par Ben Laden,  emprisonné, autrefois recherché par la CIA ! Il aurait changé sous la barbe. Pourquoi pas le père Noel ? Il accorde au monde une interview où la naïveté de l’intervieweur n’a d’égale que la rouerie du personnage, qui serait un Lincoln du désert !  Enfin, soyons optimistes, et croyons que tout change, même les hommes qui par conviction purgent des années de prison et subissent la torture…  Espérons-le aussi pour Israël, qui se sent bien seul en ce moment… Le couvre –feu a été décrété à Tunis. Que cache cet incendie qu’on essaye d’étouffer ?

 Et pendant ce temps, on oublie la France, en situation pré révolutionnaire, et les français qui triment, s’épuisent, se cherchent une adresse dans la mondialisation, de plus en plus étrangers dans leur propre pays, obligés de subir un destin qu’on leur interdit de choisir, obligés d’avoir honte d’eux-mêmes.La propagande de la bien-pensance terrorise, le mimétisme général  enmoutonne les Français qui portent le fardeau !

 Le souci du réel va reprendre un jour, ses droits. Un matin, je l’espère, on réconciliera notre réel, c’est à dire notre passé, notre présent et notre futur.

Le réel d’aujourd’hui, que nos élites ne veulent pas voir, c’est la vie, c’est une certaine rue religieuse et provocante qui prie, c’est le travail difficile, c’est le chômage, c’est la pauvreté, c’est l’insécurité ;c’est Delanoë le fêtard qui fête, à la mairie de Paris, la rupture du jeûne par les musulmans, sans se soucier des Juifs, des chrétiens, des protestants, des autres, et des athées, bafouant la laïcité dans sa neutralité ; c’est Jean Claude Gaudin qui accueille, bras ouverts, accent chaud, une terroriste à la retraite, poseuse de bombes à Alger ;qui, pour excuse, ose avouer  qu’il l’ignorait…

C’est un parking à Marseille aux mains des voyous, sans que la police bronche ce petit doigt qui griffonne avec dextérité les contraventions ; c’est une jeune fille violée en pleine rue, un train attaqué ; c’est le tribalisme galopant, l’accentuation des particularismes, l’exacerbation des fanatismes les plus archaïques, les bandes qui ne tolèrent comme loi que leurs propres règles ; c’est le sentiment de  devenir étranger sur son propre territoire qui déchiquette à pleines dents l’unité de la nation ; c’est l’imposition totalitaire de l’idéologie des bobos du micro qui ont le monopole rémunéré de la parole et qui ont la prétention du savoir absolu, du jugement définitif , de la Morale. Jusqu’à quand acceptera-t-on d’être nié dans notre réalité, dans notre culture, dans notre histoire, dans notre vie, dans le présent de notre passé ?  D’être insulté parce qu’on n’est pas d’accord avec l’entreprise de pompes funèbres ? Clovis, Louis IX, François Ier, Louis XII, Louis XIV, Napoléon Ier, s’effacent des programmes d’histoire, sous la gomme du « politiquement correct ».  Molière et Victor Hugo s’en vont, dos courbé, chassés des manuels, sans doute le premier pour avoir inventé Tartuffe et le second pour avoir chanté la France. Enfin, rien n’est perdu, nos petits apprendront comment l’empire du Mali s’est construit !

C’est la rentrée, c’est la sortie !

Il y a eu la France d’en haut, d’en bas, celle qui se lève tôt, celle qui se couche tard. Un jour, espérons, il y aura la France qui en a marre, marre de ces institutions désuètes, pourries, qui datent de la préhistoire  des  combines politiques, et qui s’époumonent à diriger la vie sociale sans rien diriger, pour le seul profit du partage du pouvoir dans un conformisme de langage mensonger, qui grime de bonnes paroles une réalité insupportable.

Il faut construire un humanisme du présent, fondé sur la lucidité qui prend en compte la force des choses, sur la mémoire collective, sur le qualitatif et non le quantitatif, il faut un courage d’avenir ! Pour l’instant l’avenir, c’est le retour lugubre, prétendument essentiel, de DSK… Comme si on n’avait rien d’autre à penser !!!

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

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