Francaisdefrance's Blog

26/02/2012

Retours sur des traîtrises à l’encontre du peuple de France…

Montage d’illustration…

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Petits rappels avant les présidentielles…

Vous allez adorer…

FDF

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« Depuis cinq ans, aprés avoir promis l’inverse en 2007, ils ont ouvert tout grand les vannes de l’immigration:

200 000 entrées et 100 000 naturalisations par an.

 
Aujourd’hui, à la veille d’une élection importante, ils nous font miroiter la possibilité d’un referendum sur le sujet,  déclarant doctement que « l’immigration est un problème« , ce que nous crions depuis quarante ans!
(http://www.francesoir.fr/actualite/politique/le-sarkozyste-guaino-juge-que-l-immigration-est-un-probleme-188264.html)
 
Désolé, Messieurs, la ficelle a trop servi. Votre « referendum » est à ranger au placard, avec le karcher.
 

UN REFERENDUM SUR L’IMMIGRATION ??

Encore faudrait-il savoir comment il sera formulé : moins d’immigration, suppression de l’immigration ou… plus d’immigration  ?

Il est alors bon de rappeler 2 Points :
 
1 – Qu’en sera-t-il de la Résolution de Strasbourg signée en 1975 ?

conséquence du premier choc pétrolier :
RESOLUTION DE STRASBOURG SIGNEE EN 1975
et création de deux institutions méconnues du grand publique.
– L’UIPA (Union InterParlementaire Arabe)
– L’Association PAEAC (Association Parlementaire pour la coopération Euro-Arab)
 

Passage significatif de cette Résolution :

« L’Association parlementaire pour la Coopération euro-arabe demande aux gouvernements européens de prendre des mesures spéciales pour assurer la libre circulation des travailleurs arabes qui émigrent en Europe… ces droits doivent être équivalents à ceux des citoyens nationaux… permettre aux immigrés et à leurs familles de pratiquer la vie religieuse et culturelle propre aux Arabes… nécessité de créer, à travers la presse et les autres organes d’information, un climat favorable aux immigrés et à leurs familles… exalter, par le biais de la presse et du monde académique, la contribution apportée par la culture arabe au développement européen… les immigrés ont aussi le droit d’exporter en Europe leur culture, d’en faire la propagande et la diffusion… »

 

Immigration, islamisation, discrimination « positive », reniement de nos fondements culturels. Tous ces éléments de la démission de nos pseudos-élites, face aux exigences d’un envahisseur qui ne tire sa force que de notre faiblesse, sont contenus dans ce fameux pacte honteux sans précédent dans l’histoire européenne. La complaisance de nos dirigeants à l’égard de l’Islam y trouve son explication :

Chantage à la « dette » coloniale, chantage au pétrole, chantage au terrorisme

Sont les principaux ingrédients d’une stratégie qui aboutit à la subordination progressive de l’Europe.

JUSQU’A QUAND ?

Et, comme la conférence organisée le 15 juin 2010 sur la coopération Algérie-Europe le stipule, une zone de libre échange est planifiée entre l’Europe et l’Algérie pour 2017. Comprenant évidemment la libre circulation des individus.

2 – N’oublions pas aussi toutes les déclarations de SARKOZY

NICOLAS SARKOZY

MINISTRE ET CANDIDAT à l’élection présidentielle 2007

« La France est un pays qui s’est construit sur la diversité et sur l’immigration. Ça doit continuer. »
Nicolas SARKOZY, alors Ministre de l’Intérieur, le Monde 08/04/2003.

« Aujourd’hui la France profonde est celle des banlieues à majorité musulmane. »

Nicolas SARKOZY, le 19 septembre 2005 à l’Institut.

« Je veux être le président d’une France qui aura compris que la création, demain, sera dans le mélange, dans l’ouverture, dans la rencontre, je n’ai pas peur du mot,… dans le métissage. »

Nicolas Sarkozy, Discours du congrès de l’UMP, 14 janvier 2007.

« La France éternelle, ce n’est pas la France éternellement identique. C’est la France […] qui se métamorphose tous les jours. C’est la France dont le visage change à chaque fois que parmi les Français apparaît un nouveau visage […] C’est l’intelligence collective qui enfante l’avenir, c’est le métissage des cultures et des idées, le mélange, le brassage qui est la principale force de création dans tous les domaines. »

Nicolas SARKOZY, Discours de Besançon, 13 mars 2007

NICOLAS SARKOZY PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE

« Le racisme, l’islamophobie et l’antisémitisme ne s’expliquent pas, ils se combattent. Ce qui vaut pour la France vaut partout ailleurs. Il n’y a rien de plus semblable à un antisémite qu’un islamophobe. Tous deux ont le même visage, celui de la bêtise et de la haine […] La civilisation méditerranéenne n’a jamais été grande que par l’échange, le mélange, et j’ose le dire, le métissage. Elle ne résistera pas autrement demain à l’aplatissement programmé du monde […] La diversité, l’échange, le métissage, l’ouverture à l’autre, tels sont les principes qui doivent fonder l’Union de la Méditerranée ».

Nicolas SARKOZY, lors de sa visite en Algérie, début décembre 2007

« N’en déplaise à quelques-uns que je combats, l’islam, c’est aussi une partie de la France. »

Nicolas SARKOZY, le 1/10/2007 à la Grande Mosquée de Paris à l’occasion de la rupture du jeune

« L’islam, c’est le progrès, la science, la finesse, la modernité. »

Nicolas SARKOZY, le 17 juillet 2008 lors de la pose de la première pierre des nouvelles salles des arts de l’islam au Louvre.

« Les antisémites, les islamophobes, les racistes n’ont rien à faire sur le territoire de la République française. »

Nicolas SARKOZY, Mars 2009.

« Je pense que les Français attendent une France d’après (…) C’est une France où l’expression « Français de souche » aura disparu. »

Nicolas SARKOZY, Extraits de « Témoignage »

ET CERISE SUR LE GATEAU :

CARLA BRUNI-SARKOZY
son épouse et Première Dame de France

« Les Français sont des minables et négatifs. »

  Carla Bruni – Interview au Dailynews le 19 Janvier 2008.  

« Cette société multiculturelle, cette mini-France des potes […] les gens des cités doivent devenir le pouvoir. »

Carla Bruni, le 9/11/2008 dans  le journal du Dimanche  

ALAIN JUPPE  EX PREMIER MINISTRE UMP
ET  ACTUEL MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES

 

« La France est islamo-compatible. »
Alain JUPPÉ – 9 décembre 2009 sur Europe1.  

« La véritable question est de savoir si oui ou non nous sommes prêts à continuer à assurer notre tradition d’accueil et en particulier vis-à-vis de la communauté musulmane. Moi, naturellement, je réponds oui à cette question. »

Alain JUPPÉ – Déclaration du 21 décembre 2009

BRICE HORTEFEUX EX MINISTRE DE L’INTERIEUR EN 2010

« Désormais chaque policier devra intégrer dans son cursus de formation les principes religieux coraniques, notamment connaître les coutumes de l’Islam, les fêtes religieuses et les principaux versets du Coran afin de mieux comprendre ces populations nombreuses qui vivent sur NOTRE sol. Qu’il connaisse un minimum de vocabulaire arabe pour une meilleure compréhension afin de ne pas heurter leur sensibilité (sic) lors des contrôles d’identité, interrogatoires, etc. »

Brice HORTEFEUX – Ministre de l’Intérieur à J.J.BOURDIN sur RMC, le 30 Avril 2010. »

Merci à R.S.

24/02/2012

Mayotte: République Française – Justice musulmane…

On s’est bien fait avoir, avec Mayotte, dernier département en date de la France. Mayotte où rien n’est français, mis à part les aides sociales dont profitent énormément de non-Français…

On se croirait en métropole… 🙂

FDF

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Voir:  http://minurne.blog4ever.com/blog/lirarticle-431391-8603928.html

Merci pour le « cadeau »…

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MAYOTTE,  son CADI,  son immigration-accouchement gratuit,  et son fameux  « droit du sol »,  au fait   nous a-t on demandé notre avis par référendum?

Ah oui j’oubliais  que  SARKO   vient de découvrir  l’usage du référendum,  et qu’il nous les promet………………..mais ses promesses non tenues,  on a déjà donné.

Voir:   http://minurne.blog4ever.com/blog/lirarticle-431391-8603928.html

et vous verrez comment le CADI   donne des instructions  au Préfet de la République,   sur du papier « OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANCAISE  « Tribunal du Grand CADI »

Définition Wikipedia du CADI  :  Un cadi (arabe: قاض [qāḍi], « juge ») est un juge musulman remplissant des fonctions civiles, judiciaires et religieuses. Le cadi est un juge de paix et un notaire, réglant les problèmes de vie quotidienne : mariages, divorces, répudiations, successions, héritages, etc.

MAYOTTE : LE CADI DE LA REPUBLIQUE…
C’est un des derniers « confettis » de la république. Quand l’archipel des Comores a opté pour l’indépendance, une petite île, Mayotte, manifesta son désir de rester français. Mayotte est donc très logiquement devenue territoire d’outre mer, puis fut élevée par référendum au rang de département d’outre-mer le 31 mars 2011, il y a à peine un an.
 
200 000 habitants, à 90% musulmans, sur un petit territoire de 400 km2, à peine la moitié de la Martinique…
 
Et pourtant, chacun sait qu’on y trouve la 1ère maternité de France, puisqu’à Mamoudzou (c’est son nom), on compte chaque année 8 000 naissances.
8 000 naissances pour 200 000 habitants… Evidemment, ça fait beaucoup. Rapporté à la population métropolitaine, ça ferait 2,5 millions de bébés par an dans l’hexagone !
 
Il faut dire que les comoriens (ou plutôt les comoriennes), qui ont opté pour l’indépendance, se rappellent de temps à autre au bon souvenir de leur ancienne métropole et se prennent subitement d’une envie pressante de faire un tour à Mayotte… au moment d’accoucher.
 
Les médecins ne sont pas regardant à Mamoudzou, et ne demandent ni carte d’identité, ni carte vitale. Sur les 8 000 naissances, 5 000 sont des bébés anjouanais et malgaches qui, par le miracle du droit du sol, naissent Français !
 
 
Il se passe décidément de drôles de choses sur cette petite France de l’océan indien…
Ce département d’outre mer administrativement très orthodoxe est dirigé par un Préfet qui représente l’état, un conseil territorial, doté des attributions d’un conseil général et d’un conseil régional, de mairies, des syndicats, etc…
 
Et aussi d’un « Cadi »… Un cadi qui adresse ses directives au Préfet et aux corps constitués, Medef et syndicats inclus !
 
Sur papier en-tête et cachet officiels « République Française – Justice musulmane ».
 
Sans doute un « accommodement raisonnable » ? Qu’en pensent nos candidats à la présidentielle ?

Merci à JC JC…

 

19/02/2012

Petits éclaircissements, pas forcément agréables, sur le MES…

En gros, pour résumer, c’est l’effacement de la souveraineté du peuple. C’est un peu ce qui se passe au Maghreb. Et l’on voit ce que ça donne. Les peuples de l’Europe vont probablement emboîter le pas. La Grèce, d’ailleurs, a déjà commencé… Ca sent le brûlé, en Europe. Mais nos dirigeants ont des problèmes olfactifs…

FDF

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Qu’est-ce que le MES, que les députés sont invités à voter le 21 février ?

Nicolas SARKOZY  vient de redécouvrir le référendum dans ses dernières déclarations démagogiques, comme à son habitude,  pour lancer sa campagne électorale pour l’élection présidentielle des 22 avril et 6 mai prochain.

Nous devons rappeler que lors du référendum de 2005 pour la ratification du traité de constitution européenne, les Français avaient massivement voté contre.

En 2007, ce président soit- disant démocrate, à peine élu, avait fait ratifier en 2008 par la voie parlementaire le traité simplifié de Lisbonne avec la complicité des élus socialistes des deux chambres (Assemblée Nationale et Sénat) sans que le peuple ne soit consulté.

Nous voyons avec quel mépris les élus de la Nation considèrent le peuple Français, alors que tous les faits nous prouvent aujourd’hui que la création de la monnaie unique européenne ( EURO) est à l’origine de tous nos maux actuels lesquels se sont aggravés avec la crise des subprimes ayant pris naissance aux  États-Unis en 2007  et qui a contaminé tout le système financier international,  obligeant  ces mêmes États à le renflouer, pour éviter que celui-ci  ne se termine par une faillite généralisée entrainant tous les États dans un chaos systémique, aux conséquences incalculables.

Après avoir renfloué les banques et les institutions financières internationales, les États se sont retrouvés avec des dettes souveraines abyssales et se sont exposés à la spéculation orchestrée par des fonds de pension, des hedges fund et  autres intervenants  financiers qui les ont fragilisés, les conduisant à prendre des mesures drastiques destinées à réduire l’endettement respectif de leurs dettes publiques et à appauvrir leurs peuples.

Au lieu de réduire leurs dettes publiques 25 sur 27 des États de l’Union européenne  pour sauver la zone euro d’un éclatement qui ne peut être qu’inéluctable,  ont  adopté le 30 janvier 2012 à Bruxelles  un nouveau traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance dans l’union économique et monétaire (TSCG), le traité Merkel Sarkozy  encore appelé pacte budgétaire.

Ce nouveau traité doit être signé le 1er ou 2 mars avant ratification par les États signataires.

Le mardi 21 février, à la demande du gouvernement, l’Assemblée nationale examinera en procédure d’urgence deux projets de loi :

a)    le projet de loi ratifiant la décision du Conseil européen de modifier l’article 136 du TFUE

b)   le projet de loi ratifiant le traité instituant le Mécanisme européen de stabilité (MES)

Ce qui se prépare dans un silence scandaleux alors que ces projets devraient être au cœur des débats dans toute la presse, va au-delà de tout ce qu’on a connu jusqu’ici, au niveau européen, en matière d’abandon de souveraineté, de recul démocratique et d’opacité.

Pour s’en rendre compte, il faut savoir ce qu’est le MES et de quelle procédure on use pour le faire adopter.

Le Mécanisme Européen de Stabilité (MES) : un FMI européen

Le texte définitif du traité instituant le MES a été adopté par les représentants des États membres de la zone euro le 2 février 2012.

Ce MES est destiné à prendre, à partir de juin 2013, la suite des instruments créés en 2010 pour faire face à la crise de la dette. Ce MES et le Pacte budgétaire (TSCG) sont complémentaires : à partir du 1er mars 2013, pour avoir accès aux aides du MES un État devra avoir accepté toutes les dispositions sur l’austérité budgétaire contenues dans le TSCG.

Le MES, dont le siège est fixé à Luxembourg, est doté du statut d’une institution financière internationale bénéficiant des immunités dont jouissent les institutions internationales. Il n’a donc aucun compte à rendre ni au Parlement européen, ni aux parlements nationaux, ni aux citoyens des États membres et ne peut en aucun cas faire l’objet de poursuites. Par contre, doté de la personnalité juridique, le MES pourra ester en justice. Locaux et archives du MES sont inviolables. Il est exempté de toute obligation imposée par la législation d’un État Membre.  Le MES, ses biens, fonds et avoirs jouissent de l’immunité de toute forme de procédure judiciaire.

En cas de litige entre le MES et un État Membre, c’est la Cour de Justice de l’UE qui est compétente.

Les membres du MES sont les États de la zone euro. L’institution est dirigée par un collège composé des ministres des finances des États membres appelés pour la circonstance « gouverneurs ».  Ces gouverneurs désignent un conseil d’administration. Un Directeur général est nommé. Le Conseil des gouverneurs est compétent pour toutes les décisions relatives à l’intervention du MES. Le Conseil d’administration est compétent pour la gestion de l’institution. Le secret professionnel est imposé à toute personne travaillant ou ayant travaillé pour le MES. Toutes les personnes exerçant une activité au sein du MES bénéficient de l’inviolabilité de leurs papiers et documents officiels et ne peuvent faire l’objet de poursuites en raison des actes accomplis dans l’exercice de leurs fonctions.

Le but du MES est de « mobiliser des ressources financières et de fournir, sous une stricte conditionnalité, » un soutien à la stabilité d’un de ses États membres qui connaît des graves difficultés financières susceptibles de menacer la stabilité financière de la zone euro. A cette fin, il est autorisé à lever des fonds. Son capital est fixé à 700 Milliards d’euros. La contribution de chaque État a été déterminée de la manière suivante :

 

Membres du MES Capital souscrit (EUR)
Allemagne 190 024 800 000
France 142 701 300 000
Italie 125 395 900 000
Espagne 83 325 900 000
Pays-Bas 40 019 000 000
Belgique 24.339.700.000
Grèce 19 716 900 000
Autriche 19 483 800 000
Portugal 17 564 400 000
Finlande 12 581 800 000
Irlande 11 145 400 000
République Slovaque 5 768 000 000
Slovénie 2 993 200 000
Luxembourg 1 752 800 000
Chypre 1 373 400 000
Estonie 1 302  000 000
Malte 511 700 000
Total 700 000 000 000

Le plus grave dans ce nouveau  montage financier que nos élites viennent de créer au sein de l’Union européenne, c’est que par ce traité les États s’engagent de manière irrévocable et inconditionnelle à verser quoiqu’il puisse leur en coûter leur contribution au capital du MES.

Il faut savoir que les États de l’Union européenne déjà très endettés devront une nouvelle fois emprunter sur les marchés financiers pour alimenter ce fonds, sans que nous sachions de quelle façon, ces mêmes États pourront un jour rembourser ces crédits, qui viendront se rajouter aux fonds que nous levons chaque année pour tout juste payer les intérêts des dettes souveraines, dont le montant global ne cesse de croître.

Le MES aura tout pouvoir  de décider de revoir la contribution de chaque État  membre, laquelle décision sera imposée de façon automatique.

Lorsqu’un État sollicitera une demande de soutien de stabilité, celle-ci sera  conditionnée à l’accord de  la Commission Européenne, en liaison avec la Banque Centrale Européenne et du FMI.

Cette négociation devra s’inscrire dans le respect du Pacte budgétaire (TSCG)

Le traité entrera en vigueur deux mois après le dépôt des instruments de ratification par les États signataires dont la souscription représente 90% du total.

Les gouvernements signataires viennent de créer un monstre institutionnel contre lequel les États eux-mêmes et les peuples.

Nous assistons, sans que les médias et les politiques ne voient pas grand-chose à redire, à une pression inadmissible du monde de la finance et des affaires, au démembrement  du siège de la souveraineté populaire, l’État, au profit d’institutions échappant à tout contrôle démocratique.

Une procédure illégale

La création du MES exige une modification de l’article 136 du TFUE. Cette modification, qui est possible si on recourt à la procédure simplifiée pour modifier un traité européen, a été proposée par la Commission européenne et adoptée par le Conseil européen le 25 mars 2011. Elle est formulée comme suit :

« A l’article 136, paragraphe 1, du TFUE, le point suivant est ajouté :

Les États membres dont la monnaie est l’euro peuvent établir un mécanisme de stabilité pouvant, si nécessaire, être activé dans le but de préserver la stabilité de la zone euro dans son ensemble. L’octroi de toute aide financière en vertu du mécanisme sera soumis à de strictes conditionnalités. »

Il est précisé que la base légale de cette modification de l’article 136 du TFUE, via la procédure simplifiée, est fournie par l’article 48, paragraphe 6, du TUE.

Or, cet article stipule, en son §6, alinéa 3, qu’une décision prise sous le régime de la procédure simplifiée « ne peut pas accroître les compétences attribuées à l’Union dans les traités. »

La création du MES pose en réalité des problèmes de compétence entre le MES et les institutions de l’Union.

Les partisans du MES tentent de nous expliquer de façon spécieuse que comme le MES ne serait pas une institution de l’Union il n’aurait pas d’accroissement de ses compétences.

En réalité, cette interprétation ne peut être jugée recevable puisque le traité créant le MES indique sans ambigüité que le MES implique directement la participation de la Commission européenne, en cas  de litige, celle de la Cour de Justice de l’EU, deux institutions de l’Union.

De plus, au sein du MES, le Commissaire européen en charge des affaires économiques et monétaires  y aura un poste d’observateur. C’est la Commission européenne qui sera mandatée pour imposer à l’État concerné les conditions d’une intervention du MES.

Il n’est pas contestable que le MES diminue les pouvoirs des États membres et augmente les compétences attribuées à l’Union, en particulier les pouvoirs de la Commission européenne.

Le projet de loi soumis le 21 février à l’Assemblée nationale pour ratifier la modification à l’article 136 du TFUE vise donc à permettre une extension des compétences de l’Union européenne en toute illégalité.

Un coup d’État?

Qu’est-ce qu’un coup d’ État ? C’est le remplacement d’un pouvoir légitime, issu du peuple, par un pouvoir qui ne l’est pas.

Le transfert, en toute illégalité, à des autorités européennes et internationales qui ne sont soumises à aucun contrôle démocratique de pouvoirs qui relèvent pas nature de la souveraineté populaire s’apparente à un véritable coup d’État.

Les gouvernants qui sont à la manœuvre manifestent leur plus total mépris du respect des exigences démocratiques. Par des artifices de procédure, en interprétant abusivement des règles dont ils se moquent, ils se font les complices d’une entreprise de démantèlement de la démocratie et d’effacement d’un acquis fondamental dans l’histoire de l’humanité : la souveraineté du peuple.

Deux traités antidémocratiques

Les deux traités que sont le  MES et le Pacte budgétaire(TSCG) vont avoir pour conséquence de déposséder les peuples de tout pouvoir en matière budgétaire, comme ils ont été dépossédés de la manière dont l’Euro était géré par la Banque Centrale Européenne.

Rappelons que la démocratie est née progressivement du droit réclamé par les peuples de contrôler les dépenses des gouvernants. La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, adoptée le 26 août 1789, en son article XIV, proclame que « Tous les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs Représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée. »

C’est ce droit fondamental qui leur est aujourd’hui enlevé.  En violation d’une disposition inscrite dans la Constitution de la République : « Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l’homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946 (…). »

Ceux qui approuveront les deux projets de loi soumis le 21 février approuveront le TSCG puisqu’ils sont étroitement liés. Les promesses de renégociation de ce dernier perdent leur peu de crédibilité si leurs auteurs approuvent le MES.

Ces deux traités MES et TSCG confirment que la construction européenne s’est définitivement éloignée de l’idéal démocratique.

Ces deux traités sont, contrairement à ce qu’affirme Hollande, étroitement liés. Ils alimentent l’un et l’autre transfert de pouvoir et perte de souveraineté rendant possible une totale mise sous tutelle financière et budgétaire des États et des peuples.

La France est la première à engager la procédure de ratification du MES. Des mouvements d’opposition se lèvent dans plusieurs pays signataires qui interpellent les élus sur leur attitude future.

Si ces deux textes soumis le 21 février sont adoptés, il est indispensable que soit saisi le Conseil constitutionnel. Y a-t-il, dans le Parlement du pays qui a donné au monde les progrès de 1789, 60 députés et sénateurs pour soumettre au respect de la Constitution des traités qui la violent ?

Que vont faire les élus de l’Assemblée Nationale ? Vont-ils continuer à bafouer impunément le peuple Français ou auront-ils le courage de ne pas voter ces deux textes.

Il est à craindre que nos députés n’aient pas ce courage de redonner au peuple la parole alors que nous avons un président-candidat qui ose sans vergogne et avec cynisme nous dire que s’il était réélu, il n’hésiterait pas à consulter les Français par la voie référendaire.

Les peuples se retrouvent face à un pouvoir technocratique qui ne fera que renforcer leur méfiance envers les élites qui se sont éloignées de l’intérêt général au profit d’intérêts particuliers qui sont en train de confisquer à chaque peuple souverain le droit de choisir  leur destinée dans le concert des États-Nation.

Nous devons exiger que les États-Nation  recouvrent leur entière et pleine souveraineté si nous voulons éviter que l’appauvrissement des peuples ne s’accroissent et ne face basculer le monde dans l’abîme, comme est en train de le faire la Troïka ( La Commission européenne, la BCE et le FMI) avec la Grèce au nom d’un dogme et sous la pression des oligarchies financières.

Fabrice LETAILLEUR

http://lebloglaicdechamps.over-blog.com/

Source:  http://ripostelaique.com/

14/02/2012

Debout les maires de France !

Du « bon » Gilbert Collard… De toutes façons, ce Monsieur ne nous pond que du « bon ».
Ce n’est pas de la « pommade », que je passe à Gilbert; lisez donc…
FDF
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Bienvenue sur ce Blog dédié aux questions Nationales et Internationales. Grand merci de votre participation et de vos réactions aux thèmes abordés. N’hésitez pas à faire connaître ce blog à votre entourage et à m’écrire contacter@gilbertcollard-leblog.com

LE SARKOCRATE

 L’envie de se faire réélire contre vents et marées démocratiques rend sourd Nicolas Sarkozy. Il n’entend pas la colère que ses pressions, celles du premier ministre, relayé par son parti, soulèverait si Marine le Pen n’avait pas ses signatures. L’appareil fait pression sur les élus pour qu’ils n’apposent pas leur paraphe au bas du parchemin, seul moyen maffieux d’éliminer une candidate légitime portant l’espérance d’au moins 20%, sinon plus, de Français. Il espère cocufier une deuxième fois un électorat qu’il a abusé une première fois.

 Venez, votez pour moi, gens de la droite pragmatique, vous aurez Kouchner, Fadéla Amara et son frère, Besson et compagnie ; vous aurez deux cent mille immigrés par an ; vingt milliards de fraude sociale ; l’aide médicale d’Etat, 623 millions d’euros par an ; les délocalisations ; les désindustrialisations ; l’immigration clandestine, 1,7 milliards d’euros ; 1000  chômeurs de plus par jour ; une dette pesant sur chaque français de 65200 euros ! J’en passe est des meilleures. Votez pour moi, dit-il, avec sa diction où fleure bon la distinction du maquignon des affaires, j’ai un projet démocratique, le recours au référendum sur le chômage et l’immigration !

Le même qui d’un côté découvre l’idée défendue par Marine le Pen d’interroger le peuple, seul souverain,  de l’autre, en cinq ans, n’a jamais consulté ce peuple pestiféré pour connaître son avis. Pire, il a cocufié, et c’est le seul à ma connaissance, le suffrage universel : en 2005, la France a dit non au traité sur l’Europe, en 2008, il a fait approuver par ses godillots, sous le nom de traité de Lisbonne, le même texte ! Du casse – toi pauvre con constitutionnel !

Aujourd’hui, 60% des citoyens souhaitent l’anonymat des parrainages ; il s’en fout, seul compte le vide des urnes marinistes.

 La solitude sonore de la candidate est magnifique ! Son combat est exemplaire, en ce sens qu’elle lutte dans la méthode, l’organisation, la confiance, pour un idéal que le système veut étouffer par l’intimidation, la diffamation, la désinformation. Jamais, on n’aura autant été motivé qu’en cette heure où les propriétaires politiques de la France veulent nous mettre à mort.

Rien ne réveillera donc les français ?    

Vous allez continuer à rire avec Ruquier ?

A gober la propagande médiatique des journalistes mariés, pacsés, encartés avec nos adversaires ?

A voir des intervieweurs haineux, des questionneuses fielleuses, débiter péremptoirement leurs leçons apprises dans les antichambres idéologiques ?

A lire, à la une du Figaro, l’interview d’un président qui a peur de se déclarer candidat ?

Vous ne pouvez plus être dupe !

Faut-il qu’on dérange pour qu’on veuille, à droite comme à gauche, l’une et l’autre jouant avec les mêmes cartes truquées,  nous empêcher de révéler la vérité sur le système. 

Nous aimons la France, terre multiple, terre d’histoire, terre de laïcité, terre de nos pères et de nos mères d’où qu’ils viennent, terre de démocratie et de fidélité.

 Notre crime : nous aimons la France et nous ne supportons plus le mal qu’on lui fait.

 Pour nous, pour vous, l’entreprise de pompes funèbres Sarko and Co a fabriqué l’urne funéraire démocratique.

 Debout les morts ! Debout les maires !  

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

10/02/2012

En France, dans le monde des médias, pas un mot sur cette volonté d’une grande partie des autrichiens à sortir de l’Union Européenne…

On nous a forcés à entrer dans l’UE, malgré un NON majoritaire du peuple de France. Ce fut facile pour nos dirigeants. Mais en sortir est une autre paire de manches. Et que se passe t’il en Autriche ???

FDF

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Initiative populaire: demande de référendum en Autriche pour sortir de l’union Européenne! Qui en parle en France?


Grand silence sur cette volonté par crainte d’une contagion de cette initiative? En Grèce comme en France beaucoup de nationaux souhaitent sortir mais n’ont aucune possibilité de le faire en vertu d’une volonté négative des représentants parlementaires, des industriels, des financiers et des médias! Il ne reste que la volonté issue des différentes constitutions qui permettent l’organisation de référendums suite à une initiative populaire.

On est loin de cela en France ou cette initiative populaire est canalisée si ce n’est interdite de facto!

Voyons le droit français:

L’initiative parlementaire (…) Son fonctionnement est décrit dans l’article 11 de la Constitution. La loi constitutionnelle du 23 juillet 2008 viendra donc renouveler la définition d’une loi référendaire : il fut un temps où l’initiative d’un référendum n’appartenait quasiment qu’aux gouvernants. Notons, comme cela est brièvement mentionné dans cette page, que, sur ce sujet, la France est en retard par rapport à d’autres pays européens qui permettent à des partis politiques ou à une certaine portion du peuple d’être à l’initiative d’un référendum.

(…)  il y a possibilité de référendum si l’on a une demande d’un dixième des citoyens français et d’un cinquième des parlementaires. Il ne s’agit donc pas d’une initiative purement et uniquement populaire. Cette réforme a été jugée par de nombreux constitutionnalistes comme inutile et insuffisante, car elle n’introduit pas une initiative populaire mais bien parlementaire (à savoir, 1/5 du parlement, soit 184 parlementaires). L’aval du peuple n’est qu’une condition supplémentaire (1/10, soit 4 500 000 électeurs environ, c’est-à-dire neuf fois plus qu’en Italie qui a pourtant une population presque aussi nombreuse).

Le peuple n’a donc pas la possibilité de mener l’initiative seul, il doit la quémander. Il n’a toujours pas explicitement le pouvoir de déposer une proposition de loi à l’Assemblée en recueillant un certain seuil de signatures. 

En clair, il faut 4,5 millions de français et 184 parlementaires sachant que ces 4,5 millions n’ont pas la suprématie sur les 184 parlementaires. Ces 4,5 millions de français n’ont le droit que de proposer une loi! Le peuple propose si possible, le parlement dispose dans tous les cas! L’expression de la République? C’est affligeant. C’est dire l’impossibilité qu’il y a d’organiser un  référendum sur l’Europe! Pauvre démocratie française, terre des « droits de l’homme »! Donneuse de leçons alors même que ces dirigeants considérent le peuple français comme mineur! Combien de temps encore?

Rappelons tout de même que Nicolas Sarkozy a utilisé cette idée magnifique d’un référendum suite à « initiative populaire », garante d’une meilleure démocratie qui se révèle virtuelle pour faire passer son « Traité de Lisbonne » garante à coup sûr d’une Europe sans démocratie! On ne peut pas avoir plus de duplicité en politique! Faire croire à la liberté pour mieux emprisonner! En conséquence, quand il s’agit d’enfumage, la droite classique n’a aucune leçon à recevoir de la gauche!

C’est ce que les adhérents de l’UMP commencent à percevoir clairement! Lors d’une réunion dans une assemblée ou il y avait beaucoup d’adhérents de l’UMP, je me suis montré faussement étonné de constater que la plupart de ces « militants » se préparaient à voter pour Marine Le Pen sans trop d’état d’âme! Il est bien évident que si des « militants » de l’UMP mais aussi, ceux de gauche ouvrent les yeux sur les entourloupes, les tours de passe-passes, les discours creux, les engagements non tenus de leurs dirigeants, beaucoup de Français non encartés les ont déja grands ouverts. 

Voici une information ancienne venant d’Autriche qui n’a pas franchie les bureaux de l’AFP ni ceux de la FTP (France Télévision-Pravda). Ni d’ailleurs, les locaux des partis politiques de droite comme de gauche! Etonnant? Pas vraiment…

L’initiative demandant la sortie de l’UE a été déposée

Plate-forme interpartis pour la sortie de l’UE

L’initiative demandant la sortie de l’UE a été remise selon les règles le 20 décembre 2011 au ministère de l’Intérieur, avec 9266 déclarations de soutien dûment paraphées (il faut au minimum 8032 déclarations selon la loi).

Les porte-paroles de la plateforme pour la sortie de l’UE ont rapporté le 20 décembre 2011 le dépôt officiel à 9 heures du matin au ministère de l’Intérieur de l’Initiative demandant la sortie de l’UE. La plateforme et les 9266 personnes soutenant officiellement demandent le rétablissement, par la voie démocratique et de droit public, d’une Autriche libre et neutre et d’en finir avec l’adhésion ruineuse à l’UE, qui n’a rien apporté à la population.
L’Autriche est l’un des trésoriers de l’UE et pourtant les agences d’évaluation, les nouveaux maîtres de la terre, qui ne relèvent d’aucun contrôle démocratique, ne cessent de répandre leur scepticisme envers le pays. Ce sont avant tout les petits et moyens revenus qui en paient le prix, comme cela ressort des sondages de la statistique autrichienne.
L’avenir de l’Autriche ne peut que reposer sur une réflexion concernant nos propres forces dans les domaines de l’économie, de la culture et de l’environnement et dans une perspective d’une vie à long terme en accord avec la nature pour le bien des générations futures et de l’ensemble du monde.
L’Union européenne, le bras droit des chefs des grandes entreprises marque surtout son intérêt pour se débarrasser du principal obstacle à ses flux internationaux de capitaux au détriment des populations, à savoir supprimer les Etats nationaux avec leur mission de protection sociale => «le gouvernement économique de l’UE».
Mais une grande partie de la population ne veut plus être le soutien du plan de sauvetage, c’est-à-dire les payeurs pour ce plan de sauvetage, en acceptant du coup des réductions de leurs revenus.

Inge Rauscher, présidente de «Initiative für Heimat und Umwelt» (IHU), au nom de la plateforme interpartis pour la sortie de l’UE

«Initiative Heimat & Umwelt», 
«Initiative für mehr direkte Demokratie», 
Anti-Gentechnik-Plattform «Pro Leben», 
Tier­schutzorganisation «Animal Spirit».
«Initiative Heimat & Umwelt», 3424 Zeiselmauer, Hageng. 5, tél. +43 2242 70516. 
Courriel: helmutschramm@gmx.at
www.eu-austritts-volksbegehren.at

Suit la justification de cette initiative populaire! 

Justification de l’initiative populaire demandant la sortie de l’Union européenne

Autriche

L’entrée de l’Autriche dans l’Union européenne (appelée dorénavant UE) eut lieu au travers d’une loi constitutionnelle qui avait été soumise à une votation populaire. De ce fait, il est normal de recourir à la même voie pour sortir de l’UE.
La première phrase – et la plus importante – 
de la Constitution fédérale autrichienne, le paragraphe I, s’exprime ainsi: «L’Autriche est une République démocratique. Son droit émane du peuple.» Il en résulte qu’aucun organe de la République autrichienne, laquelle se fonde sur la démocratie, ne peut interdire au peuple le droit de décider de sortir de l’UE ou d’y rester.
C’est très exactement ce droit que réclament les partisans de la demande d’introduction de l’initiative populaire demandant la sortie de l’UE. En cela, ils peuvent s’appuyer sur le meilleur connaisseur de la Constitution autrichienne, l’ancien ministre de la Justice de la République, Hans R. Klecatsky, professeur de droit public à l’Université d’Innsbruck, à la retraite. Il fut l’un des premiers signataires, à la mairie d’Innsbruck, de l’initiative demandant la sortie de l’UE, cela dès le démarrage des travaux en mars 2010. Par ce geste il souligna la légitimité de cette initiative.

Il s’agit de sauvegarder les fondements vitaux de l’Autriche

C’est l’exigence première de l’initiative demandant la sortie de l’UE. Ce n’est pas qu’à partir du traité de Lisbonne, qui sert de fondement pour les activités de l’UE, mais ce fut le coup final qui fit de l’UE une fédération gigantesque (au lieu d’une confédération d’Etats), dans laquelle tous les pays membres et leurs populations ont perdu à quelques détails près le droit d’autodétermination et donc la démocratie.
La mise en place prévue d’un gouvernement de l’économie central pour l’ensemble de l’UE, y compris le droit d’ingérence en matière fiscale des pays membres (autrement dit l’introduction d’impôts UE en plus des impôts nationaux) en est bien la preuve. Beaucoup de décisions, et parmi les plus importantes, sont prises à huis-clos, lors de «sommets» de l’UE, dans l’appareil bureaucratique démesuré de la commission de l’UE et de plus en plus dans des accords entre chefs de gouvernements sans légitimation démocratique. Les parlements des pays membres sont largement dépossédés de leurs pouvoirs, quant aux décisions prises par les populations, il vaut mieux ne plus y penser. Le parlement de l’UE n’a aucune compétence législative et n’est pas, de plus, élu de façon égale. La construction de l’UE a un grave défaut en matière de démocratie, il n’existe pas de séparation des pouvoirs. 
Nous aborderons ci-dessous quelques fondements vitaux détruits par l’adhésion à l’UE.

L’économie du pays

Les petites et moyennes entreprises, en relation étroite avec la population, bénéficient de moins en moins de chances dans un système supranational. Par son appartenance à l’UE, l’Autriche ne peut plus conclure des traités commerciaux qui seraient nécessaires à la protection de l’économie du pays, du fait que toute la politique commerciale est dirigée par les centrales de l’UE. L’Autriche ne pourra retrouver sa capacité de décision dans le domaine de la politique économique en vue d’une reconstruction d’un marché intérieur à l’abri des crises, qu’en sortant de l’UE.

L’Etat social

Le principe suprême de l’UE, la dénommée «liberté du marché», soit la totale liberté de circulation des marchandises, la liberté d’établissement, la liberté des services et la libre circulation des personnes, ainsi que la libre circulation des capitaux, le plus important pour les multinationales favorisent une politique de profit maximum qui cause de grands dégâts dans les populations, appliquée par la Cour européenne de justice avec constance depuis des décennies. La politique sociale n’y trouve aucune place. Ce qui revient à dire que les revenus réels sont en baisse et le fossé entre les revenus s’élargit toujours plus.

Les frontières

On ne connaît pas de souffrance à montrer son passeport à la frontière. La suppression des frontières du pays par l’UE et de fait la disparition de tout contrôle par l’Etat en ce qui concerne les personnes et les marchandises a des conséquences désastreuses, des facilités accordées à la criminalité, à l’importation sans retenue de produits dangereux et illégaux. Nous avons de nouveau besoins de contrôles frontaliers adéquats pour la protection de notre population.

La neutralité

La neutralité signifie que l’Etat mène sa propre politique extérieure (comme la Suisse), se tenant à l’écart avec conséquence de tout pacte militaire et, de ce fait, sert la paix. L’armée de l’Union européenne, à laquelle participe l’Autriche, fait de cette union un pacte militaire. A cela il faut ajouter sa proximité à l’OTAN, la plupart des pays de l’UE en sont membres, tout particulièrement les grands pays. Retrouver la neutralité comme base de la politique extérieure de l’Autriche n’est possible qu’en sortant de l’UE.

Pas d’OGM en Autriche

Du fait de la totale liberté du marché, il n’est pas possible qu’un pays membre de l’UE empêche la venue de produits génétiquement manipulés, qu’il s’agisse de fourrage, de pommes de terre industrielles ou d’autres produits contenant des matières génétiquement manipulées. Ces derniers s’insèrent alors dans la chaîne alimentaire, alors même qu’en Autriche on n’utiliserait pas de semences contaminées. On ne peut s’opposer à tout cela que dans la mesure où l’Autriche pourra de nouveau décider elle-même de ses lois alimentaires et soit de nouveau en mesure d’établir des contrôles aux frontières. Tout ceci n’est possible qu’en sortant de l’UE.

Notre propre monnaie

L’internationalisation des monnaies ne fonctionne pas et constitue un facteur important des difficultés financières et économiques actuelles. Reprendre les déficits de pays instables par les pays stables, ce qui est le fondement de l’euro, ne fait qu’aggraver la situation. 
Pour les citoyens autrichiens, il est inadmissible de vouloir à tout prix «sauver» l’euro au moyen d’une garantie sans limite de temps des contributeurs nets de l’UE comme l’Autriche pour les dettes d’autres pays. En sortant de l’UE, l’Autriche pourrait retrouver sa propre monnaie et lutter contre le renchérissement.    •

Inge Rauscher, mandataire de l’initiative demandant la sortie de l’UE, 
Zeiselmauer/Vienne, 20 décembre 2011

Source: http://puteaux-libre.over-blog.com/

09/02/2012

Flagrant délit de pillage…

Il ne se gêne même plus, Sarkö Ier. Il a déjà largement pillé les idées du Front National et puisé dans son programme.

Là, il avance d’un cran, sans honte ni vergogne. Marine Le Pen devrait lui demander des droits d’auteur…

A bout d’arguments, le président-candidat. A bout tout court, je pense…  Reste à souhaiter que les Français ne tomberont pas dans le piège une seconde fois. Cinq ans, ça devrait leur suffire…

Ca fait pitié, quand-même.

FDF

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Photo d’illustration…

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Dans une interview au « Figaro Magazine », le président – pas encore candidat – propose de réformer le droit des étrangers et redit son opposition au mariage gay.

Le candidat ne se cachera plus très longtemps derrière le président. Nicolas Sarkozy a même tranché le moment et la forme de sa déclaration de candidature. C’est ce qu’il assure dans une longue interview accordée au Figaro Magazine de samedi. « Si la question est de savoir si j’ai réfléchi, sur le fond et sur la forme, ma réponse est oui », lâche-t-il, reconnaissant que « le rendez-vous approche ». Le chef de l’État pourrait déclarer sa candidature dans les quinze jours, avant le 25 février. Certains évoquent même la date du jeudi 16 février à l’occasion d’un déplacement dans le Rhône. Et l’UMP a prévu d’organiser le dimanche 19 février un premier meeting à Marseille, au parc Chanot, qui peut rassembler jusqu’à 30 000 personnes.

Soucieux d’accélérer son calendrier, Nicolas Sarkozy a choisi de dévoiler cette semaine les bases de sa campagne présidentielle. Il a ainsi accordé une interview au Figaro Magazine, laquelle est intitulée solennellement « Mes valeurs pour la France ». « Travail, responsabilité, autorité, je me reconnais plus que jamais dans ce triptyque ! Ce sont les valeurs qui permettent de construire un projet personnel et collectif », confie-t-il.

Référendum

Le locataire de l’Élysée lève le voile sur quelques propositions qu’il entend porter pour le prochain quinquennat. Il envisage une grande réforme de l’éducation, deux référendums sur les réformes du système de l’indemnisation du chômage et le droit des étrangers. À ce sujet, Nicolas Sarkozy propose que la juridiction administrative devienne « la seule compétente en matière d’immigration » en vue de faciliter les expulsions. « Contrairement à M. Hollande, je ne suis pas favorable à la régularisation des étrangers en situation irrégulière », rappelle-t-il au passage.

Dans cet entretien, le chef de l’État redit son opposition à trois mesures défendues par le candidat PS, à savoir le droit de vote des étrangers aux élections locales, l« ‘euthanasie légalisée » et le mariage homosexuel. « En ces temps troublés où notre société a besoin de repères, je ne crois pas qu’il faille brouiller l’image de cette institution sociale essentielle qu’est le mariage », juge le président. Nicolas Sarkozy fait aussi la part belle aux « racines chrétiennes, et même judéo-chrétiennes » de la France et insiste sur les valeurs républicaines. « N’est pas le bienvenu sur le territoire de la République celui qui ne respecte pas la République », martèle-t-il.

« Nicolas Sarkozy, challenger »

Après avoir évoqué les questions économiques, Nicolas Sarkozy s’exprime désormais sur des sujets plus « régaliens ». Et ce n’est qu’un début. Tout au long du mois de février, le chef de l’État entend attaquer la gauche et le FN sur l’immigration, la sécurité et la justice. Après des débats techniques sur les questions économiques, le futur candidat de l’UMP veut frapper fort sur le terrain des valeurs pour cliver. Comme il l’a fait mardi au sujet de la politique familiale et jeudi sur le nucléaire, il veut prouver qu’il est le garant du « consensus » national. Un ministre décrypte : « Nicolas Sarkozy est challenger. Hollande est en tête : on fait la course pour le rattraper. Et puis on a besoin du report de voix des électeurs frontistes. » Les adversaires du chef de l’État sont déjà dans la riposte. François Hollande devait prononcer mercredi soir un grand discours sur l’école et la nation. Quant à Marine Le Pen, elle promet de frapper un grand coup lors de son meeting prévu dimanche à Strasbourg. Au menu : immigration, insécurité et laïcité.

Source: http://www.lepoint.fr/

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17/10/2011

« Français, sauvez notre pays en signant la pétition sur ce lien Internet ! »

C’est là que ça se passe… On va finir par l’avoir, notre référendum…

J’ai signé de suite.

FDF

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http://www.les4verites.com/Reclamons-un-referendum-sur-l-immigration-3219.html

Fin du regroupement familial,
Fin du droit du sol,
Réservation des prestations sociales pour les Français.

09/10/2011

Nous sommes en danger. Arrêtons l’immigration !

Nous sommes en danger de perdre notre identité nationale. Nous sommes en danger de perdre nos racines judéo-chrétiennes. Nous sommes en danger de devenir de plus en plus pauvres. J’en passe et des meilleures. Et la source de ces dangers, c’est l’immigration; sous toutes ses formes. Alors, pensons à nos enfants; à nos petits enfants… Luttons pour eux!

FDF

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Nous voulons un référendum sur l’immigration !

Monsieur le Président,

L’immigration massive que nous connaissons est un danger majeur pour notre pays :

– Elle est d’abord un danger pour notre identité nationale. Des millions de personnes sont arrivées en quelques décennies chez nous sans partager notre culture, nos valeurs, nos coutumes. Et souvent même sans avoir la plus petite envie de les adopter et de s’intégrer.

– Elle est aussi un danger financier, notamment pour notre système de protection sociale, déjà en faillite, et pourtant véritable pompe aspirante de l’immigration légale et clandestine.

– Elle est encore un danger pour la sécurité, puisque bon nombre d’immigrés non intégrés s’attaquent à leurs voisins.

– Elle est enfin une menace pour les immigrés parfaitement intégrés et qui risquent un fâcheux amalgame.

Nous vous demandons donc instamment d’organiser au plus vite un référendum sur l’immigration, avec trois questions :

1) Faut-il revenir au droit du sang, c’est-à-dire réserver l’obtention de la nationalité aux enfants des Français et dans des cas exceptionnels aux étrangers méritants qui ont prouvé leur attachement à la France ?

2) Faut-il réserver l’aide sociale aux Français ?

3) Faut-il supprimer le regroupement familial en France ?

Vous avez tenu à maintes reprises le langage de la fermeté et nous vous en remercions. Mais la situation devient chaque jour plus préoccupante. Les trois réformes indiquées par ces questions permettraient de stopper réellement l’immigration et donc de s’attacher sérieusement à l’intégration des immigrés déjà présents sur notre sol. Et elles ne coûteraient rien ; au contraire, elles permettraient de substantielles économies.

Je compte sur votre détermination à défendre la France et les Français pour préparer au plus vite cet indispensable référendum.

Pour participer, c’est ici: http://stop-immigration.fr/

06/04/2011

Débat sur la place de l’islam : c’est au peuple français de se prononcer !

Oui, mais en France, quand on lance un référendum (ce qui est très rare tellement on a peur des résultats…), comme celui sur l’Europe en 2005:


« on » ne tient pas compte de l’avis du peuple. C’est ça, la démocratie…

FDF

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Communiqué du Bloc Identitaire:

Lors de la conférence de presse du lundi 4 avril 2011, intitulée : « Face  à l’ampleur de l’islamisation de la France, il faut prendre des mesures de salut public », Pierre Cassen (Riposte laïque), Fabrice Robert (Bloc identitaire) et Christine Tasin (Résistance républicaine) ont expliqué pourquoi l’islam n’est compatible, ni avec notre civilisation, ni avec les principes républicains.

Le pseudo-débat lancé par l’UMP est une supercherie. Sous couvert de rassurer les Français de plus en plus inquiets face à la progression de l’islam, le gouvernement veut, au contraire, favoriser la multiplication de mosquées financées par l’argent public et l’ouverture de centres scolaires musulmans, poursuivre l’adaptation de notre droit aux exigences du Coran et institutionnaliser un peu plus un prétendu « islam de France ».

Pour nous :

• l’islam n’est pas une religion comme les autres, mais un projet politico-religieux totalitaire incompatible tant avec les fondements de la civilisation européenne qu’avec nos principes démocratiques et laïques, sur lesquels il s’appuie pour mieux les détruire demain ; la progression de l’islam en France est la conséquence directe de l’absence totale de maîtrise des flux migratoires extra-européens depuis plusieurs décennies ; • l’islam « modéré » n’existe pas et ne peut pas exister, comme en font la preuve la totalité des pays musulmans dans le monde.

Si les choses continuent ainsi, dans deux générations, la France sera majoritairement peuplée de musulmans, et donc deviendra terre d’islam. Il ne saurait en être question.

En conséquence, en application de nos principes démocratiques les plus élémentaires, le Bloc identitaire demande la tenue d’un référendum portant sur la place de l’islam en France.

Les questions pourraient être formulées ainsi :

• Etes-vous favorable, oui ou non, à la construction de mosquées en France ?

• Etes-vous favorable, oui ou non, à l’édification de minarets en France ?
• Etes-vous favorable, oui ou non, à l’existence d’écoles coraniques en France ?
• Etes-vous favorable, oui ou non, à la révision de la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l’Etat en faveur de l’islam ?
• Etes-vous favorable, oui ou non, à l’adaptation du droit français en fonction des règles du Coran ?
• Etes-vous favorable, oui ou non, à l’affectation d’argent public à des projets cultuels ou culturels musulmans ?

Pour nous, à ces six questions, la réponse est non.

• Etes-vous favorable, oui ou non, à l’interdiction en France de l’abattage des animaux sans étourdissement selon le rite halal ?

• Etes-vous favorable, oui ou non, à l’interdiction en France de la commercialisation de viande d’animaux abattus selon le rite halal ?
• Etes-vous favorable, oui ou non, à l’arrêt de l’immigration extra-européenne vers la France (excepté pour les véritables demandeurs d’asile politique) ?
• Etes-vous favorable, oui ou non, à l’arrêt du regroupement familial dont bénéficient en France les étrangers extra-européens ?

Pour nous, à ces quatre questions, la réponse est oui.

Conscient que c’est faire violence aux musulmans que de leur imposer ces règles strictes de protection de notre identité, nous favoriserons les partenariats avec les pays musulmans afin que les musulmans de France puissent vivre pleinement leur foi musulmane en terre d’Islam.

Et d’ores et déjà, avant que le peuple français ne se prononce, nous demandons que soit instauré un moratoire immédiat sur la construction de mosquées en France.

Les mesures que nous proposons sont les seules qui permettront de stopper l’offensive de l’islam. Il en va de l’avenir de nos enfants et de nos petits-enfants, et de leur droit absolu à préserver et à transmettre l’héritage de la civilisation européenne, à continuer à vivre dans une République laïque et à bénéficier des libertés démocratiques.

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04/12/2010

Suisse: le patriotisme est devenu nationalisme. La faute à qui?

« Le patriotisme est devenu nationalisme » Et ça, c’est contagieux…

Je suit très heureux que Pierre Louis Hikoum me rejoigne sur ce sujet (voir un de mes précédents post). La Suisse prend des décisions patriotes. Pour le bien de ses habitants et de la Nation Hélvétique toute entière. Quand fera t’on de même pour le bien de notre Patrie? On a peur de quoi?  D’être accusés de nationalisme. Trop tard; le patriotisme l’est devenu… Et si le patriotisme est soi-disant devenu xénophobie, c’est la faute à ceux qui ont favorisé et aidé la préférence non-nationale… Je ne citerai pas de nom, la liste est trop longue…

Merci Pierre-Louis.

FDF

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Lu sur: http://hikoum.wordpress.com

La Suisse expulse les criminels étrangers. A quand la France ?

Quantcast

Pratiquement un an, jour pour jour après que le peuple Suisse ait voté contre la défiguration de leurs paysages bucoliques par des minarets, les helvètes ont récidivé. Les électeurs suisses ont, à 52,9%, demandé que soit inscrit dans la Constitution l’expulsion automatique des étrangers qui ont commis un délit grave ou abusé des prestations sociales. Ce vote avait été lancé à l’initiative de l’Union Démocratique du Centre (l’UDC) qui était déjà à l’origine du référendum sur les minarets. En France, les associations bien pensantes se ridiculisent une fois de plus en commentant ce qui ne les regarde aucunement. Ainsi, SOS Racisme nous gratifie d’un superbe communiqué estimant que « La Suisse, sous l’impulsion une fois de plus de la très xénophobe UDC, montre une fois de plus un visage haineux, s’obstinant à voir dans la figure de l’Autre la source de tous les maux réels ou fantasmés de la société ». Vous remarquerez au passage à quel point ils sont ridicules et hors sujet puisqu’il n’est pas question dans ce vote d’être haineux envers les autres, mais bien de faire respecter les lois d’un pays et de trouver un moyen dissuasif à tout étranger de violer les lois du pays d’accueil.

Les brillants intellectuels humanistes qui fleurissent en France auraient pu mettre l’accent sur la difficulté d’application d’une telle loi mais il n’en est rien. D’après ce qui vient d’être voté, lorsqu’un étranger a été condamné pour un délit grave (meurtre, viol, trafic de drogue) ou pour brigandage et effraction, il est « privé de son titre de séjour, indépendamment de son statut ». Même chose s’il a « perçu abusivement des prestations sociales »: renvoi, même en l’absence d’une décision de justice.

Le hic réside dans le fait que la décision suisse a un caractère automatique dans la sanction, sans recours possible. Il faut également savoir que les directives européennes interdisent par ailleurs les expulsions collectives et les mesures discriminatoires. Hors certains Etats au sein de l’Union pensent qu’il y a bel et bien des « mesures discriminatoires », dans le texte adopté par les Helvètes.

Le dernier problème qui survient concernant cette loi réside dans le principe de la proportionnalité qui n’est pas respecté. Ce problème survient, par exemple, lorsque le renvoi implique la séparation d’un couple (l’épouse d’un délinquant ne peut que rester seule en Suisse ou suivre son mari), mais aussi dans le cas d’un mineur qui serait séparé de sa famille, ou de personnes nées en Suisse n’ayant Aucune attache dans le pays d’origine.

Que ce soit le Pacte de la Société des Nations en 1919 ou bien encore la Charte de l’Organisation des Nations Unies en 1945, les deux stipulent que : « Tous les peuples ont le droit de disposer d’eux-mêmes. En vertu de ce droit, ils déterminent librement leur statut politique et assurent librement leur développement économique, social et culturel ». Or, par le biais des lois liberticides de l’Union Européenne, les peuples Européens -et les Suisses dans le cas présent- ne peuvent plus décider, même par le biais du suffrage universel des lois qu’ils veulent voter au sein de leur pays.

Réfléchissez, juste l’espace d’un instant à la gravité de la situation dans laquelle nous nous trouvons. Même les lois que nous voudrions voter pourraient ne pas être appliquées simplement parce que l’Union Européenne n’y est pas favorable. Le premier de nos droits qui est celui de disposer de notre propre destinée est ainsi bafoué!!!

PIERRE-LOUIS HIKOUM

30/11/2010

Minarets: les muzz de Suisse veulent que la chancellerie fasse machine arrière.

Après la tôle de dimanche prise par les étrangers de Suisse qui ont plutôt désormais intérêt à se tenir a carreau, les muzz sans doute vexés et bien em…… ramènent leur fraise. Ils ravivent la polémique des minarets … Toujours à semer la zizanie, ces gens-là… Ils n’arrivent pas à comprendre qu’ils ne sont pas chez eux et en Suisse comme dans d’autres pays d’Europe, ils sont « tolérés »…La « mettre en veilleuse » favoriserait leur intégration et mettrait un terme à toute stigmatisation. Mais de là à ce qu’ils comprennent ça…

FDF

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Un an après la votation sur les minarets, des musulmans de Suisse se mobilisent afin que la Suisse fasse marche arrière. Le Conseil central islamique suisse (CCIS) a annoncé lundi à Zurich le lancement d’une initiative populaire visant à abolir l’interdiction des minarets.

Un comité d’initiative « le plus large possible » doit être créé d’ici la fin décembre au plus tard. Le Conseil central islamique suisse (CCIS) est en contact avec différents acteurs des milieux politiques, culturels et scientifiques.

Le texte de l’initiative devrait être soumis à la Chancellerie fédérale pour examen « dans tous les cas » en janvier 2011 déjà. Si on veut abolir l’interdiction des minarets en Suisse, il faut le faire en empruntant la même voie utilisée pour introduire cette interdiction, ont expliqué à la presse des représentants du CCIS.

Incompréhension

A part engendrer de l’incompréhension, l’interdiction des minarets « n’a servi à rien », si ce n’est à ternir l’image de la Suisse à l’étranger, estime le CCIS. Elle est en contradiction avec la Constitution concernant l’égalité des droits et l’interdiction de discrimination.

L’interdiction « vise clairement l’abaissement des musulmans en Suisse », affirme le CCIS. Il n’existe aucune justification pour une interdiction des minarets. Du point de vue du droit de bâtir, le minaret n’est pas différent d’un temple hindouiste ou bouddhiste ou d’un clocher d’église.

« Faux-pas »

Le CCIS dit avoir « espéré en vain » qu’un « débat fertile » s’instaure après la votation pour savoir comment la minorité musulmane peut être acceptée « en tant que citoyens valables et non-stigmatisés ». Au lieu de ça, « les élites politiques » se sont contentées d’expliquer à l’étranger que ce vote était un « faux-pas ».

Le 29 novembre 2009, le peuple suisse a accepté l’initiative de l’UDC contre les minarets par 57% des votants. En octobre dernier, le Conseil des Etats a rejeté une pétition exigeant que l’interdiction des minarets soit retirée de la Constitution.

Source: http://www.romandie.com/

29/11/2010

Après la victoire au référendum d’hier en Suisse: interview d’Oskar Freysinger.

Le peuple de Suisse a parlé nettement ce dimanche par la voix des urnes. Oskar Freysinger analyse cette victoire.

FDF

Oskar Freysinger: «L’UDC fait la différence entre un crime et un délit»

Le conseiller national UDC valaisan Oskar Freysinger a été sur tous les fronts durant la campagne.

Quel est votre sentiment au sortir de cette campagne?

Je me suis énormément engagé sur le terrain et j’ai senti un élan pour notre initiative dans la popu­lation. J’ai aussi perçu la division de nos adversaires. Ils étaient nombreux et s’encombraient les uns les autres. J’ai également constaté la montée des insultes à mon égard. Cela montre que certains n’ont pas d’argument face à notre message. Ils s’attaquent alors au messager.

Craignez-vous que la loi d’application accouche d’un texte qui ne réponde pas à l’esprit de l’initiative?

Non, sur cette question, le Parlement ne peut pas transiger. Il n’y aura désormais qu’une procédure pénale avec l’automatisme. Ensuite, le Parlement discutera du catalogue en regard de la gravité des crimes. Nous avons toujours dit être flexibles et savons faire la différence entre un «crime» et un «délit».

Contrairement à ce qu’ont raconté nos adversaires, l’UDC ne veut pas expulser pour un paquet de chewing-gums volé. Par contre, nous pourrons désormais expulser entre 700 et 800 criminels dangereux de plus. Ce qui signifie 700 à 800 victimes de moins.

Simonetta Sommaruga annonce la mise en place immédiate d’un groupe de travail. Intéressé?

Pas vraiment. Le candidat idéal serait un juriste comme Yves Nidegger (ndlr: conseiller national genevois). Je salue par ailleurs la rapidité de la décision de la conseillère fédérale. Mais je n’étais pas inquiet! Ce que je sais de Mme Sommaruga me laissait présager qu’en femme pragmatique et respectueuse de la volonté du peuple, elle ferait son devoir.

Après cette victoire, peut-on aller encore plus loin?

Non. Le chapitre de la criminalité des étrangers est clos. Mais il y a d’autres chapitres sécuritaires. Si à l’intérieur de la Suisse nous voulons vivre dans une sécurité qui se passe d’un déploiement incessant de forces de l’ordre, nous devons réintroduire un cordon sanitaire et renforcer les contrôles aux frontières. L’Espace Schengen n’apporte pas les garanties prévues…

Suite et source: http://tinyurl.com/38uhubx

28/11/2010

A 52,9%, les Suisses votent pour le renvoi des criminels étrangers !

A 52, 9 % !!!

 

Excellentissime !!! On vote quand, en France ???

FDF

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Les Suisses ont approuvé l’initiative de la droite populiste sur l’expulsion automatique de criminels étrangers, un an après le vote sur l’interdiction de construction des minarets.

Selon un décompte des voix dans 25 des 26 cantons, les Suisses ont approuvé dimanche 28 novembre l’initiative de la droite populiste sur l’expulsion automatique de criminels étrangers.

Selon ces chiffres, le oui en faveur du durcissement de la politique de renvoi pour les criminels étrangers l’emporte avec 52,9% des voix dans contre 47,1% contre.


Le contre-projet présenté par le gouvernement a quant à lui été repoussé à 54,2%.

Selon les chiffres définitifs, seuls les électeurs de cantons essentiellement francophones dont le canton de Genève, de même que ceux du canton du Jura, Bâle-Ville, Fribourg, Vaud et Neuchâtel, ont dit non au tour de vis réclamé par le parti de droite dure, l’UDC.
Un an après le vote sur l’interdiction de construire des minarets

Un an après le vote sur l’interdiction de construire des minarets sur le sol helvétique, le projet de l’UDC, avait déchaîné les passions dans la Confédération. Le texte vise à aller plus loin que la loi actuelle en retirant automatiquement le droit de séjour aux étrangers coupables d’un nombre élargi d’infractions dont les « viol, délit sexuel grave, actes de violence tels que le brigandage », le « trafic de drogue » mais aussi l' »abus de l’aide sociale ».

Le gouvernement ainsi que la majorité des partis l’avaient dénoncé d’une seule voix, l’estimant non conforme à la Constitution et au droit international en raison de l’absence de prise en compte de la proportionnalité des délits et l’automaticité des renvois. Pour tenter d’éviter un nouveau scandale, Berne a lancé un contre-projet qui prend en compte la gravité des délits et sur lequel les Suisses devront également se prononcer.

Mais dans un pays comptant 21,77% d’étrangers, le thème de prédilection de l’UDC a rencontré de nombreux échos parmi les électeurs. Ainsi le dernier sondage de l’institut gfs.bern donnait la semaine dernière le texte gagnant à 54% contre 43% de non, laissant planer la menace d’un « nouveau coup dur pour l’image de la Suisse » sur la scène internationale, selon le parti socialiste.
source : tempsreel.nouvelobs.com

La Suisse se prononce sur l’expulsion des étrangers condamnés.

 

Le premier pas… Ils ont au moins une démocratie, nos amis suisses. Si on faisait pareil en France, il est certain qu’il faudrait s’attendre à des « surprises »… Mais chez nous, le peuple n’a pas le droit de s’exprimer directement… Dommage…

FDF

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« La Suisse pourrait approuver dimanche par référendum une proposition de l’UDC (droite) visant à expulser les étrangers reconnus coupables de meurtre, de viol, de trafic de drogue ou d’abus à l’aide sociale, nouveau signe de l’hostilité croissante envers l’immigration dans le pays.

Un sondage GFS paru le 17 novembre donnait l’initiative gagnante avec 54% des voix. L’UDC (Union démocratique du Centre) avait déjà été à l’origine de l’interdiction l’an dernier de la construction de nouveaux minarets en Suisse, approuvée par plus de 57% des électeurs lors d’une « votation populaire ».

Les opposants à l’expulsion automatique soulignent qu’elle enfreindrait les traités internationaux contre la discrimination et le principe de libre circulation des personnes en Europe.

La législation actuelle peut autoriser l’expulsion d’étrangers reconnus coupables de crimes graves, mais seulement au cas par cas.

Le gouvernement a présenté une contre-proposition pour lier le renvoi des immigrés à la sévérité de la peine prononcée plutôt qu’à une liste arbitraire de crimes.

Les électeurs suisses devront également se prononcer sur une proposition du Parti socialiste (centre gauche) de taxer à au moins 22% les revenus annuels supérieurs à 250.000 francs (190.000 euros environ).

Il s’agirait de fixer un impôt sur le revenu minimum, alors que les taux d’imposition varient actuellement entre cantons, ce qui permet à certains d’entre eux d’attirer les entreprises et les riches contribuables.

Le monde des affaires a fait activement campagne contre cette proposition en expliquant qu’elle risquait de provoquer un exode des capitaux et des sociétés et le soutien à cette initiative s’est nettement réduit ces dernières semaines.

Elle était créditée de 46% des voix dans un sondage la semaine dernière, contre 58% en octobre. »


Source: euroinvestor.fr

16/11/2010

Un référendum sur l’immigration; vite !!!

Lettre d’information des « 4 Vérités ».

Réclamons un référendum sur l’immigration!


Signez et faites signer notre pétition !

07/11/2010

Ca nous pend au nez… La Grèce débordée par l’immigration illégale.

Les bienfaits de l’immigration… L’ouverture des frontières… La libre circulation des personnes… Pourtant, on était prévenus.

FDF

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Un centre de rétention dans le village de Filakio à la frontière entre la Grèce et la Turquie, le 5 novembre 2010.Un centre de rétention dans le village de Filakio à la frontière entre la Grèce et la Turquie, le 5 novembre 2010. AFP PHOTO /Sakis Mitrolidis 

A mi-côte d’une route empruntée par les tracteurs des paysans grecs, un bâtiment jauni avec un toit en tuile rouge. Aux barreaux des fenêtres, les couvertures sèchent, dans une cour surmontée de barbelés, des panneaux de basket sous lesquels personne ne joue.

Le centre de rétention de Filakio, en Grèce, abrite aujourd’hui environ 200 immigrants clandestins. Des familles afghanes, des jeunes Irakiens mais aussi des Maghrébins et des Ivoiriens qui rêvent tous d’Europe. «Je n’ai pas de travail et plus de famille à Kirkourk (Irak). Je veux juste essayer vivre comme vous», explique Omar, qui a tenté de passer la frontière avec 19 autres migrants. Il a été le seul à ne pas réussir. Dans son survêtement du Milan AC sale, il n’a toujours pas vu un médecin, ni un traducteur depuis six jours. «La vie au centre est folle…» Une situation qui inquiète les associations humanitaires mais aussi l’UE, alertée par les Grecs, qui vient d’envoyer 175 gardes-frontières en renfort.

Un passage périlleux

C’est la Grèce elle-même qui a tiré la sonnette d’alarme.  Car la pression migratoire est très forte. Pas moins de 90% de l’immigration illégale dans l’espace Schengen passerait maintenant par la Grèce. Particulièrement à la frontière avec la Turquie où 38.000 personnes ont été arrêtées depuis le début de l’année (un afflux plus important qu’aux Canaries en 2006 ou à Lampedusa en 2008). Découragés par les patrouilles en mer Egée, les passeurs se sont rabattus depuis quelques semaines sur la frontière terrestre gréco-turque, dans la zone d’Orestiada où le fleuve Evros peut être traversé à pied l’été. Un franchissement périlleux, sans garanties. On a déjà retrouvé 40 noyés et les mailles se resserrent.

«La nuit, ils sont attirés par la lumière de la petite église de Paraskevi. Les policiers se postent là et en arrêtent énormément, sur ces chemins de terre», détaille Nikos, chauffeur dont le cousin a servi ici. Dans cette zone d’une dizaine de kilomètres, les patrouilles mobiles (un Grec et deux étrangers) capturent chaque jour entre 200 et 300 clandestins qui peuvent être retenus pendant des semaines dans des centres débordés  (76000 interpellations depuis le début de l’année). Ensuite, la reconduite, l’asile ou les camps de fortune à Athènes avant la fuite à l’ouest…

Suite et source: http://tinyurl.com/26bfb44

04/11/2010

USA : L’Oklahoma interdit l’application de la charia !!!

Ils prennent des mesures préventives, là-bas. Je crois qu’ils ont raison… Un exemple à suivre… Bien évidemment, les islamistes chialent déjà. C’est une habitude, chez eux… Ben faudra qu’ils s’y fassent, à ce qu’on contrarie leurs projets malsains. Ca va pleuvoir; on s’en charge…

FDF

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Dans le cadre des élections qui se sont déroulées aux USA hier, les électeurs de l’Oklahoma étaient appelés à se prononcer sur une proposition d’initiative populaire portant sur la charia. Cette procédure s’apparente à un référendum.

NO_Sharia

Les électeurs d’Oklahoma ont approuvé une proposition qui interdirait aux juges de prendre en considération le droit international ou la loi islamique dans leurs décisions.

La proposition a été parrainée par le républicain Duncan Rex, qui l’a qualifiée de «mesure préventive» destinée à empêcher les juges activistes de «légiférer sur le banc ou de mettre en application le droit international ou la charia.» Pour les membres de la communauté musulmane, cette mesure est une attaque contre l’islam, et certains d’entre eux se sont dits sont prêts à la contester devant les tribunaux.

Source : Voters ban judges from using international law, AP, 2 novembre 2010

source : postedeveille.ca

29/10/2010

Réclamons un référendum sur l’immigration!




Depuis plusieurs mois, le sujet de l’immigration est devenu l’un des sujets principaux des lecteurs des « 4 Vérités ».
Il est clair, en effet, que l’immigration, loin d’être une « chance pour la France » (comme elle l’a peut-être été jadis), est devenue un danger. 

Au moins pour trois raisons. La première et la plus profonde concerne la perte progressive de notre identité nationale. Progressivement s’imposent à nous des coutumes, et parfois même des lois qui n’ont rien de français. Des grandes marques obligent ainsi leurs clients à payer l’impôt islamique – qu’ils soient musulmans ou non. Car c’est bien cela que signifie produire « halal »…

La deuxième raison concerne l’insécurité. Il est évident qu’il n’y a pas de fatalité génétique pré-déterminant telle personne à être un délinquant. Mais il est non moins évident que des centaines de milliers d’immigrés non intégrés sont autant de « clients » pour la délinquance.
La troisième raison concerne nos finances publiques. Ce n’est un secret pour personne que notre État-providence est en faillite. Pourtant, il continue à tourner à plein régime pour les immigrés, y compris clandestins !

Face à cela, il était important de « parler vrai » et de cesser de se prosterner machinalement devant l’idole du « politiquement correct ». C’est naturellement la première mission d’un journal comme les « 4 Vérités ». Mais, depuis plusieurs semaines, je suis convaincu que cela ne suffit pas. Et j’ai passé une bonne partie de l’été à consulter et à réfléchir à ce que nous pourrions faire pour agir concrètement. Sachant que nous n’avons évidemment pas vocation à remplacer les partis politiques.

Progressivement, s’est imposée l’idée qu’il y avait au moins une méthode (à vrai dire, je n’en ai pas trouvé d’autre !) pour mettre l’immigration au cœur de la campagne pour 2012, sans gêner aucun des candidats de droite, sans empiéter sur le travail des partis de droite : réclamer un référendum sur le sujet.

Tous les sondages indiquent en effet que le tiers au moins des Français est inquiet de cette immigration non contrôlée (soit un peu plus de 20 millions de personnes).

Il s’agit donc de faire en sorte que les politiques écoutent le peuple. Pour cela, le référendum reste la meilleure méthode. Et la période électorale est aussi la meilleure période.

C’est pourquoi nous venons de lancer une grande pétition, pour laquelle il faut absolument que nous récoltions des centaines de milliers de signatures, réclamant un référendum au chef de l’État sur ce sujet. Avec 3 axes :

Fin du regroupement familial,
Fin du droit du sol,
Réservation des prestations sociales pour les Français.

Idéalement, il faudrait 5 millions de signatures pour obtenir un référendum d’initiative populaire. Je n’ignore pas la difficulté, mais ensemble, nous pouvons y parvenir. D’autant que les médias et les politiques pourront difficilement ignorer longtemps ce mouvement. Cela ne risque pas de gêner Nicolas Sarkozy puisque cela lui offrirait au contraire l’occasion de recommencer le « coup » de 2007, en montrant par des actes qu’il assume l’image de « populiste » et qu’il préfère écouter le peuple de droite que les « élites » politico-médiatiques. Et cela ne gênera pas non plus le FN qui aura ainsi une belle occasion de mettre en avant l’un des points fondamentaux de son programme.

Je crois même que cela pourrait faire avancer rapidement la cause de l’entente à droite, en montrant aux appareils partisans que les électeurs du centre-droit, de l’UMP et du FN sont en réalité beaucoup plus semblables qu’on ne veut bien le dire et qu’il est de plus en plus urgent de préparer une plate-forme commune pour sortir la France de la spirale du déclin.

Cette pétition sera double : sur papier (avec le prochain numéro des « 4 Vérités » ou avec le suivant, je vous adresserai un courrier à ce sujet) et sur internet.

Comme vous le savez, internet est l’un des derniers espaces de liberté disponibles et c’est un moyen efficace pour atteindre des dizaines de milliers de personnes. C’est pourquoi nous avons lancé un site dédié à la réclamation de ce référendum : <http://stop-immigration.fr/>. Vous pouvez d’ores et déjà signer la pétition et la faire signer par tout votre carnet d’adresses.

D’après ce que j’ai pu voir du monde politico-médiatique, à partir de 50 000 signatures, nous commencerons à « intriguer » (et à irriter les « bonnes consciences »). Et, à partir de 500 000 signatures, nous serons en mesure d’imposer que cette question soit l’une des deux ou trois questions centrales de la campagne de 2012. À nous tous de jouer !

SIGNEZ LA PETITION ET FAITES SUIVRE A VOS AMIS :
http://stop-immigration.fr/

26/10/2010

Quand l’extreme droite demande un référendum sur l’adhésion de la Turquie…




Réunis samedi à Vienne, à l’invitation de Heinz-Christian Strache (Parti de la liberté -FPÖ-, Autriche) les leaders d’extrême droite d’Italie, Slovaquie, Belgique, Danemark et Suède, jugeant que la Turquie n’avait pas sa place dans l’Union européenne, ont préconisé qu’un référendum soit organisé à l’échelle européenne comme le permet le Traité de Lisbonne.

Il faudrait 1 million de signatures, dit-il, pour valider cette consultation exceptionnelle des pays membres. Mais les termes assez flous du Traité indique un « nombre substantiel »…

« Ce serait le début d’une Union euro-asiatico-africaine, qui irait totalement à l’encontre du projet de paix en Europe. En conséquence il ne faut pas le permettre » a déclaré Heinz-Christian Strache.

Manquaient à l’appel, le Front national (France), la Hongrie, la Grèce et la Bulgarie…

Source: http://www.armenews.com/article.php3?id_article=64893


Conférence d’Oskar Freysinger(UDC) : «L’islam est-il une menace ?» 


Freysinger chez les Belges

04/10/2010

Réclamons un référendum sur l’immigration!

Immigration. On ne va pas une nouvelle fois « les » laisser décider « démocratiquement » (comme pour le référendum sur l’Europe…) à notre place? A quoi sert le peuple, alors? Qu’à payer des impôts?

FDF


Signez et faites signer cette pétition !


Aidez-nous à développer cette lettre d’information: proposez à vos amis de s’inscrire. C’est facile et c’est gratuit: il suffit de laisser son courriel dans la case prévue à cet effet, en haut à droite du site des 4 Vérités .

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