Francaisdefrance's Blog

19/03/2012

Lentement mais sûrement, l’Allemagne met la main sur l’Europe.

La revanche du « petit nerveux à moustaches » ?

Analyse cinglante mais bien réelle de la situation…

FDF

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Carnaval de Cologne- février 2012…

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Jean-Michel Quatrepoint : « Comment Berlin pilote l’Europe »

Depuis la crise des dettes souveraines et le psychodrame hebdomadaire sur la dette de la Grèce, les citoyens de la zone euro ont compris que le centre du pouvoir ne se situait plus à Bruxelles, encore moins à Rome ou à Paris, mais bel et bien à Berlin.

Certes, le duo Merkel-Sarkozy tente de donner l’impression que le couple franco-allemand fonctionne encore à parité. Rien n’est plus faux. En réalité, depuis l’adoption des traités de Nice, puis de Lisbonne, les Européens, à commencer par la France, ont accepté cette montée en puissance du leadership allemand. Ces traités, rappelons-le, mettaient fin à l’un des principes de base de la Communauté européenne. À savoir, la parité entre les grands pays européens, tant au sein du Parlement que de la répartition des voix au Conseil européen

En acceptant que l’Allemagne, réunifiée et forte de ses quatre-vingt millions d’habitants, ait plus de sièges et plus de voix dans certaines autres instances européennes, on lui reconnaissait, de facto, une prééminence. Dans l’Europe de Lisbonne, la France ne pèse plus que les trois-quarts de l’Allemagne.


Jean-Michel Quatrepoint
Vidéo sur http://fortune.fdesouche.com/273862-jean-michel-quatrepoint-comment-berlin-pilote-leurope

Merci à DG…

02/03/2012

L’ Union Européenne a une troupe secrète d’intervention de l’UE contre les Peuples avec droit d’occupation !!!

Des bruits de bottes résonnent au sein de l’UE… L’état policier prend de l’ampleur. Si c’était ça l’Europe que l’on nous a imposée, ce n’était vraiment pas la peine…

On comprend mieux pourquoi nos armées respectives sont envoyées se battre ailleurs; loin…

FDF

Photo « futuriste » d’illustration…

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À propos d’armées secrètes ou de troupes d’intervention policière secrètes. Elles existent depuis longtemps dans l’UE, mais peu de gens le savent (Création de l’Eurogendfor en 2004).

La troupe policière de l’UE existe depuis longtemps – et elle dispose de larges pouvoirs ! Actuellement, c’est une « troupe d’intervention spéciale » forte de 3000 hommes sous le sigle difficile à prononcer « Eurogend­for » (European Gendarmerie Force/troupes de polices européennes). Le commandement se trouve à Vincenza en Italie, loin du siège de l’UE !

Ce corps de police a été créé à l’initia­tive de l’ancienne ministre de la Défense française Michèle Alliot-Marie, pour réprimer à l’avenir plus facilement les manifestations qui dégénèrent toujours à nouveau dans les villes françaises.

Le grand problème est le suivant : Eurogend­for va à l’avenir réduire au niveau européen le droit national et la souveraineté natio­nale des États-membres de l’UE ! Un « conseil de guerre », qui se compose des ministères de la Défense et de la Sécurité des pays de l’UE participant à l’Eurogendfor et du pays concerné, décidera de l’intervention dans un État-membre de l’UE. Voilà comment est réglementée la nouvelle troupe policière de l’UE dans le « document constitutif » dé­nommé Accord de Velsen (NL).

Cela représente pour les observateurs un droit d’occupation par l’UE. Car, si une intervention à l’intérieur d’un pays « ami », membre de l’UE, est une fois décidée, tous les bâtiments et zones occupés par des unités d’Eurogendfor, jouissent de l’immu­nité et ne sont plus accessibles pour les autorités du pays concerné. En fait, il s’agit d’un droit d’occupation par l’UE. Mais il y a pire : l’Eurogendfor ne dispose pas seulement dans le cas particulier de compétences policières mais aussi de compétences qu’ont les ser­vices secrets et elle a le devoir de réinstaller l’ordre et le calme dans la zone d’intervention concernée en collaboration étroite avec l’armée. En cas de besoin, les troupes doivent avoir à disposition toutes les autorisations et tous les moyens pour remplir leur mandat.

Eurogendfor résout divers problèmes pour les gouvernements européens. À l’avenir, ils pourront, lors de troubles sociaux ou de manifestations majeures de longue durée, utiliser des armes à feu contre leurs populations, mettre des zones entières sous quarantaine militaire et retirer les meneurs de la circulation sans avoir à engager leurs propres forces militaires ou policières qui pourraient éventuellement se solidariser avec les manifestants. L’Eurogendfor de son côté, ne pourra pas être poursuivi en justice grâce à ses autorisations exceptionnelles, civiles et militaires.

Notons que ce n’est que grâce au Traité de Lisbonne – qui n’est rien d’autre que l’ancienne « Constitution européenne » controversée sous un nouveau titre – qu’une telle situation incroyable a pu être instaurée. Grâce au jugement du Tribunal constitutionnel su­prême, les politiques allemands, qui ont soutenu ce traité douteux à la quasi-unanimité au Bundestag, auront à l’avenir le droit d’être entendus. Un homme politique allemand, ramené à la réalité, déclare lors d’un entretien privé : « On s’amusera bien au sein de l’Eurogendfor quand à l’avenir l’état d’urgence sera imposé dans les centres chauds de Bottrop ou Neukölln en Allemagne fédérale. »

 

Ndlr. legaulois.info : certaines sources indiquent que des éléments de l’Eurogendfor auraient été acheminés vers la Grèce et seraient actuellement basé dans un camp militaire désaffecté de Larissa (voir ICI).

Source (Merci à JP)

Source: http://www.legaulois.info/

Et merci à DG pour cette info…

14/02/2012

Debout les maires de France !

Du « bon » Gilbert Collard… De toutes façons, ce Monsieur ne nous pond que du « bon ».
Ce n’est pas de la « pommade », que je passe à Gilbert; lisez donc…
FDF
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Bienvenue sur ce Blog dédié aux questions Nationales et Internationales. Grand merci de votre participation et de vos réactions aux thèmes abordés. N’hésitez pas à faire connaître ce blog à votre entourage et à m’écrire contacter@gilbertcollard-leblog.com

LE SARKOCRATE

 L’envie de se faire réélire contre vents et marées démocratiques rend sourd Nicolas Sarkozy. Il n’entend pas la colère que ses pressions, celles du premier ministre, relayé par son parti, soulèverait si Marine le Pen n’avait pas ses signatures. L’appareil fait pression sur les élus pour qu’ils n’apposent pas leur paraphe au bas du parchemin, seul moyen maffieux d’éliminer une candidate légitime portant l’espérance d’au moins 20%, sinon plus, de Français. Il espère cocufier une deuxième fois un électorat qu’il a abusé une première fois.

 Venez, votez pour moi, gens de la droite pragmatique, vous aurez Kouchner, Fadéla Amara et son frère, Besson et compagnie ; vous aurez deux cent mille immigrés par an ; vingt milliards de fraude sociale ; l’aide médicale d’Etat, 623 millions d’euros par an ; les délocalisations ; les désindustrialisations ; l’immigration clandestine, 1,7 milliards d’euros ; 1000  chômeurs de plus par jour ; une dette pesant sur chaque français de 65200 euros ! J’en passe est des meilleures. Votez pour moi, dit-il, avec sa diction où fleure bon la distinction du maquignon des affaires, j’ai un projet démocratique, le recours au référendum sur le chômage et l’immigration !

Le même qui d’un côté découvre l’idée défendue par Marine le Pen d’interroger le peuple, seul souverain,  de l’autre, en cinq ans, n’a jamais consulté ce peuple pestiféré pour connaître son avis. Pire, il a cocufié, et c’est le seul à ma connaissance, le suffrage universel : en 2005, la France a dit non au traité sur l’Europe, en 2008, il a fait approuver par ses godillots, sous le nom de traité de Lisbonne, le même texte ! Du casse – toi pauvre con constitutionnel !

Aujourd’hui, 60% des citoyens souhaitent l’anonymat des parrainages ; il s’en fout, seul compte le vide des urnes marinistes.

 La solitude sonore de la candidate est magnifique ! Son combat est exemplaire, en ce sens qu’elle lutte dans la méthode, l’organisation, la confiance, pour un idéal que le système veut étouffer par l’intimidation, la diffamation, la désinformation. Jamais, on n’aura autant été motivé qu’en cette heure où les propriétaires politiques de la France veulent nous mettre à mort.

Rien ne réveillera donc les français ?    

Vous allez continuer à rire avec Ruquier ?

A gober la propagande médiatique des journalistes mariés, pacsés, encartés avec nos adversaires ?

A voir des intervieweurs haineux, des questionneuses fielleuses, débiter péremptoirement leurs leçons apprises dans les antichambres idéologiques ?

A lire, à la une du Figaro, l’interview d’un président qui a peur de se déclarer candidat ?

Vous ne pouvez plus être dupe !

Faut-il qu’on dérange pour qu’on veuille, à droite comme à gauche, l’une et l’autre jouant avec les mêmes cartes truquées,  nous empêcher de révéler la vérité sur le système. 

Nous aimons la France, terre multiple, terre d’histoire, terre de laïcité, terre de nos pères et de nos mères d’où qu’ils viennent, terre de démocratie et de fidélité.

 Notre crime : nous aimons la France et nous ne supportons plus le mal qu’on lui fait.

 Pour nous, pour vous, l’entreprise de pompes funèbres Sarko and Co a fabriqué l’urne funéraire démocratique.

 Debout les morts ! Debout les maires !  

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

10/02/2012

En France, dans le monde des médias, pas un mot sur cette volonté d’une grande partie des autrichiens à sortir de l’Union Européenne…

On nous a forcés à entrer dans l’UE, malgré un NON majoritaire du peuple de France. Ce fut facile pour nos dirigeants. Mais en sortir est une autre paire de manches. Et que se passe t’il en Autriche ???

FDF

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Initiative populaire: demande de référendum en Autriche pour sortir de l’union Européenne! Qui en parle en France?


Grand silence sur cette volonté par crainte d’une contagion de cette initiative? En Grèce comme en France beaucoup de nationaux souhaitent sortir mais n’ont aucune possibilité de le faire en vertu d’une volonté négative des représentants parlementaires, des industriels, des financiers et des médias! Il ne reste que la volonté issue des différentes constitutions qui permettent l’organisation de référendums suite à une initiative populaire.

On est loin de cela en France ou cette initiative populaire est canalisée si ce n’est interdite de facto!

Voyons le droit français:

L’initiative parlementaire (…) Son fonctionnement est décrit dans l’article 11 de la Constitution. La loi constitutionnelle du 23 juillet 2008 viendra donc renouveler la définition d’une loi référendaire : il fut un temps où l’initiative d’un référendum n’appartenait quasiment qu’aux gouvernants. Notons, comme cela est brièvement mentionné dans cette page, que, sur ce sujet, la France est en retard par rapport à d’autres pays européens qui permettent à des partis politiques ou à une certaine portion du peuple d’être à l’initiative d’un référendum.

(…)  il y a possibilité de référendum si l’on a une demande d’un dixième des citoyens français et d’un cinquième des parlementaires. Il ne s’agit donc pas d’une initiative purement et uniquement populaire. Cette réforme a été jugée par de nombreux constitutionnalistes comme inutile et insuffisante, car elle n’introduit pas une initiative populaire mais bien parlementaire (à savoir, 1/5 du parlement, soit 184 parlementaires). L’aval du peuple n’est qu’une condition supplémentaire (1/10, soit 4 500 000 électeurs environ, c’est-à-dire neuf fois plus qu’en Italie qui a pourtant une population presque aussi nombreuse).

Le peuple n’a donc pas la possibilité de mener l’initiative seul, il doit la quémander. Il n’a toujours pas explicitement le pouvoir de déposer une proposition de loi à l’Assemblée en recueillant un certain seuil de signatures. 

En clair, il faut 4,5 millions de français et 184 parlementaires sachant que ces 4,5 millions n’ont pas la suprématie sur les 184 parlementaires. Ces 4,5 millions de français n’ont le droit que de proposer une loi! Le peuple propose si possible, le parlement dispose dans tous les cas! L’expression de la République? C’est affligeant. C’est dire l’impossibilité qu’il y a d’organiser un  référendum sur l’Europe! Pauvre démocratie française, terre des « droits de l’homme »! Donneuse de leçons alors même que ces dirigeants considérent le peuple français comme mineur! Combien de temps encore?

Rappelons tout de même que Nicolas Sarkozy a utilisé cette idée magnifique d’un référendum suite à « initiative populaire », garante d’une meilleure démocratie qui se révèle virtuelle pour faire passer son « Traité de Lisbonne » garante à coup sûr d’une Europe sans démocratie! On ne peut pas avoir plus de duplicité en politique! Faire croire à la liberté pour mieux emprisonner! En conséquence, quand il s’agit d’enfumage, la droite classique n’a aucune leçon à recevoir de la gauche!

C’est ce que les adhérents de l’UMP commencent à percevoir clairement! Lors d’une réunion dans une assemblée ou il y avait beaucoup d’adhérents de l’UMP, je me suis montré faussement étonné de constater que la plupart de ces « militants » se préparaient à voter pour Marine Le Pen sans trop d’état d’âme! Il est bien évident que si des « militants » de l’UMP mais aussi, ceux de gauche ouvrent les yeux sur les entourloupes, les tours de passe-passes, les discours creux, les engagements non tenus de leurs dirigeants, beaucoup de Français non encartés les ont déja grands ouverts. 

Voici une information ancienne venant d’Autriche qui n’a pas franchie les bureaux de l’AFP ni ceux de la FTP (France Télévision-Pravda). Ni d’ailleurs, les locaux des partis politiques de droite comme de gauche! Etonnant? Pas vraiment…

L’initiative demandant la sortie de l’UE a été déposée

Plate-forme interpartis pour la sortie de l’UE

L’initiative demandant la sortie de l’UE a été remise selon les règles le 20 décembre 2011 au ministère de l’Intérieur, avec 9266 déclarations de soutien dûment paraphées (il faut au minimum 8032 déclarations selon la loi).

Les porte-paroles de la plateforme pour la sortie de l’UE ont rapporté le 20 décembre 2011 le dépôt officiel à 9 heures du matin au ministère de l’Intérieur de l’Initiative demandant la sortie de l’UE. La plateforme et les 9266 personnes soutenant officiellement demandent le rétablissement, par la voie démocratique et de droit public, d’une Autriche libre et neutre et d’en finir avec l’adhésion ruineuse à l’UE, qui n’a rien apporté à la population.
L’Autriche est l’un des trésoriers de l’UE et pourtant les agences d’évaluation, les nouveaux maîtres de la terre, qui ne relèvent d’aucun contrôle démocratique, ne cessent de répandre leur scepticisme envers le pays. Ce sont avant tout les petits et moyens revenus qui en paient le prix, comme cela ressort des sondages de la statistique autrichienne.
L’avenir de l’Autriche ne peut que reposer sur une réflexion concernant nos propres forces dans les domaines de l’économie, de la culture et de l’environnement et dans une perspective d’une vie à long terme en accord avec la nature pour le bien des générations futures et de l’ensemble du monde.
L’Union européenne, le bras droit des chefs des grandes entreprises marque surtout son intérêt pour se débarrasser du principal obstacle à ses flux internationaux de capitaux au détriment des populations, à savoir supprimer les Etats nationaux avec leur mission de protection sociale => «le gouvernement économique de l’UE».
Mais une grande partie de la population ne veut plus être le soutien du plan de sauvetage, c’est-à-dire les payeurs pour ce plan de sauvetage, en acceptant du coup des réductions de leurs revenus.

Inge Rauscher, présidente de «Initiative für Heimat und Umwelt» (IHU), au nom de la plateforme interpartis pour la sortie de l’UE

«Initiative Heimat & Umwelt», 
«Initiative für mehr direkte Demokratie», 
Anti-Gentechnik-Plattform «Pro Leben», 
Tier­schutzorganisation «Animal Spirit».
«Initiative Heimat & Umwelt», 3424 Zeiselmauer, Hageng. 5, tél. +43 2242 70516. 
Courriel: helmutschramm@gmx.at
www.eu-austritts-volksbegehren.at

Suit la justification de cette initiative populaire! 

Justification de l’initiative populaire demandant la sortie de l’Union européenne

Autriche

L’entrée de l’Autriche dans l’Union européenne (appelée dorénavant UE) eut lieu au travers d’une loi constitutionnelle qui avait été soumise à une votation populaire. De ce fait, il est normal de recourir à la même voie pour sortir de l’UE.
La première phrase – et la plus importante – 
de la Constitution fédérale autrichienne, le paragraphe I, s’exprime ainsi: «L’Autriche est une République démocratique. Son droit émane du peuple.» Il en résulte qu’aucun organe de la République autrichienne, laquelle se fonde sur la démocratie, ne peut interdire au peuple le droit de décider de sortir de l’UE ou d’y rester.
C’est très exactement ce droit que réclament les partisans de la demande d’introduction de l’initiative populaire demandant la sortie de l’UE. En cela, ils peuvent s’appuyer sur le meilleur connaisseur de la Constitution autrichienne, l’ancien ministre de la Justice de la République, Hans R. Klecatsky, professeur de droit public à l’Université d’Innsbruck, à la retraite. Il fut l’un des premiers signataires, à la mairie d’Innsbruck, de l’initiative demandant la sortie de l’UE, cela dès le démarrage des travaux en mars 2010. Par ce geste il souligna la légitimité de cette initiative.

Il s’agit de sauvegarder les fondements vitaux de l’Autriche

C’est l’exigence première de l’initiative demandant la sortie de l’UE. Ce n’est pas qu’à partir du traité de Lisbonne, qui sert de fondement pour les activités de l’UE, mais ce fut le coup final qui fit de l’UE une fédération gigantesque (au lieu d’une confédération d’Etats), dans laquelle tous les pays membres et leurs populations ont perdu à quelques détails près le droit d’autodétermination et donc la démocratie.
La mise en place prévue d’un gouvernement de l’économie central pour l’ensemble de l’UE, y compris le droit d’ingérence en matière fiscale des pays membres (autrement dit l’introduction d’impôts UE en plus des impôts nationaux) en est bien la preuve. Beaucoup de décisions, et parmi les plus importantes, sont prises à huis-clos, lors de «sommets» de l’UE, dans l’appareil bureaucratique démesuré de la commission de l’UE et de plus en plus dans des accords entre chefs de gouvernements sans légitimation démocratique. Les parlements des pays membres sont largement dépossédés de leurs pouvoirs, quant aux décisions prises par les populations, il vaut mieux ne plus y penser. Le parlement de l’UE n’a aucune compétence législative et n’est pas, de plus, élu de façon égale. La construction de l’UE a un grave défaut en matière de démocratie, il n’existe pas de séparation des pouvoirs. 
Nous aborderons ci-dessous quelques fondements vitaux détruits par l’adhésion à l’UE.

L’économie du pays

Les petites et moyennes entreprises, en relation étroite avec la population, bénéficient de moins en moins de chances dans un système supranational. Par son appartenance à l’UE, l’Autriche ne peut plus conclure des traités commerciaux qui seraient nécessaires à la protection de l’économie du pays, du fait que toute la politique commerciale est dirigée par les centrales de l’UE. L’Autriche ne pourra retrouver sa capacité de décision dans le domaine de la politique économique en vue d’une reconstruction d’un marché intérieur à l’abri des crises, qu’en sortant de l’UE.

L’Etat social

Le principe suprême de l’UE, la dénommée «liberté du marché», soit la totale liberté de circulation des marchandises, la liberté d’établissement, la liberté des services et la libre circulation des personnes, ainsi que la libre circulation des capitaux, le plus important pour les multinationales favorisent une politique de profit maximum qui cause de grands dégâts dans les populations, appliquée par la Cour européenne de justice avec constance depuis des décennies. La politique sociale n’y trouve aucune place. Ce qui revient à dire que les revenus réels sont en baisse et le fossé entre les revenus s’élargit toujours plus.

Les frontières

On ne connaît pas de souffrance à montrer son passeport à la frontière. La suppression des frontières du pays par l’UE et de fait la disparition de tout contrôle par l’Etat en ce qui concerne les personnes et les marchandises a des conséquences désastreuses, des facilités accordées à la criminalité, à l’importation sans retenue de produits dangereux et illégaux. Nous avons de nouveau besoins de contrôles frontaliers adéquats pour la protection de notre population.

La neutralité

La neutralité signifie que l’Etat mène sa propre politique extérieure (comme la Suisse), se tenant à l’écart avec conséquence de tout pacte militaire et, de ce fait, sert la paix. L’armée de l’Union européenne, à laquelle participe l’Autriche, fait de cette union un pacte militaire. A cela il faut ajouter sa proximité à l’OTAN, la plupart des pays de l’UE en sont membres, tout particulièrement les grands pays. Retrouver la neutralité comme base de la politique extérieure de l’Autriche n’est possible qu’en sortant de l’UE.

Pas d’OGM en Autriche

Du fait de la totale liberté du marché, il n’est pas possible qu’un pays membre de l’UE empêche la venue de produits génétiquement manipulés, qu’il s’agisse de fourrage, de pommes de terre industrielles ou d’autres produits contenant des matières génétiquement manipulées. Ces derniers s’insèrent alors dans la chaîne alimentaire, alors même qu’en Autriche on n’utiliserait pas de semences contaminées. On ne peut s’opposer à tout cela que dans la mesure où l’Autriche pourra de nouveau décider elle-même de ses lois alimentaires et soit de nouveau en mesure d’établir des contrôles aux frontières. Tout ceci n’est possible qu’en sortant de l’UE.

Notre propre monnaie

L’internationalisation des monnaies ne fonctionne pas et constitue un facteur important des difficultés financières et économiques actuelles. Reprendre les déficits de pays instables par les pays stables, ce qui est le fondement de l’euro, ne fait qu’aggraver la situation. 
Pour les citoyens autrichiens, il est inadmissible de vouloir à tout prix «sauver» l’euro au moyen d’une garantie sans limite de temps des contributeurs nets de l’UE comme l’Autriche pour les dettes d’autres pays. En sortant de l’UE, l’Autriche pourrait retrouver sa propre monnaie et lutter contre le renchérissement.    •

Inge Rauscher, mandataire de l’initiative demandant la sortie de l’UE, 
Zeiselmauer/Vienne, 20 décembre 2011

Source: http://puteaux-libre.over-blog.com/

20/12/2011

Comprendre la dette publique des Etats…

Ca se résume en une seule copie d’écran…

Le fameux traité de Lisbonne; désapprouvé démocratiquement par la majorité des Français mais dont le gouvernement n’a pas tenu compte… Ce « phénomène » s’est reproduit dans d’autres pays. Europe démocratique? Laissez nous rire…

Le peuple a très souvent raison. C’est pourquoi on lui demande rarement son avis…

FDF

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09/11/2011

La « dette publique »…

On en entend tous parler mais combien d’entre nous savent ce que c’est exactement? Tout ce qu’on en retient pour l’instant est ce fameux plan d’austérité qui va conduire certains d’entre nous directement à la précarité. C’est comme l’article 123 du Traité de Lisbonne…


Au fait, on nous avait consultés par référendum (pour une fois) sur l’approbation de la création d’une constitution européenne en 2005? Et nous avions répondu ainsi:

Mais nos « hautes instances » n’avaient pas tenu compte de l’avis du peuple en ratifiant deux ans après le Traité de Lisbonne… Voir: http://tinyurl.com/38v4hc

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Explication en vidéo…

FDF

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http://youtu.be/P8fDLyXXUxM

28/06/2011

Suite aux signatures de certains maires PS concernant l’octroi du droit de vote des étrangers…

J’ai reçu une réaction fort intéressante. Voir ci-dessous.

FDF

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« Chers amis,
Petits rappels de base :
1) La constitution de la République Française stipule en son article 3 :
« Sont électeurs, dans les conditions déterminées par la loi, tous les nationaux majeurs des deux sexes, jouissant de leurs droits civils et politiques ». 
Il n’est nullement fait état ici d’un privilège particulier accordé à des non nationaux français!
2) Par contre, comme il est précisé plus loin, les citoyens de l’Union (européenne) peuvent voter aux élections locales pour autant qu’ils justifient d’une résidence sur le lieu de leur vote. Disposition chère à Monsieur Alain Jupé qui fit son maximum pour nous l’introduire dans notre droit national à l’époque.
3) Dans le texte ci après, l’affirmation que le traité de l’Union ouvre cette voie aux étrangers à l’Union est mensongère et voulue certainement ici pour tromper le lecteur. Il n’y est question que des citoyens de l’Union et rien d’autre.
4) Il est consternant de constater chez des élus, fussent-ils des Maires, une telle méconnaissance du plus élémentaire droit constitutionnel des nationaux français.
5) Accorder le droit de vote à des étrangers, dès lors qu’ils résident sur le territoire d’un pays quel qu’il soit, ne peut y ouvrir un droit de vote. en effet, la notion de « résidence » attachée à ce privilège est et sera difficile à cerner. En effet, la location d’un garage, voire même d’un petit studio a été utilisée par X ou Y pour pouvoir voter sur la commune où ce garage ou ce studio étaient situés.
En effet, dans l’esprit des promoteurs de cette disposition revient à dire qu’un certificat de résidence remplacerait la carte nationale d’identité, ce qui n’est pas la même chose du tout!
6) Le privilège du droit de vote accordé à des non nationaux français, c’est à dire non porteurs d’une carte nationale d’identité, qui ne paient pas leurs impôts sur le territoire national, bref qui n’ont à y respecter aucun devoir et se verraient toutefois attribuer le même droit de vote que les nationaux français, ne peut leur être attribué.
En effet, cette disposition viendrait à détruire définitivement la constitution française (déjà, je dois le dire, bien mal en point depuis le traité de Lisbonne, voulu par Monsieur Sarközy de Nagy Bocsa).
Dès lors, on peut penser que cette disposition absurde, pourrait être proposée aux Français par voie de référendum, mais:
– on ne voit pas dans quelle mesure les nationaux français pourraient accorder à des étrangers « résidents » des droits exorbitants, alors qu’ils n’ont aucun devoir à respecter sur le territoire national.
– la destruction de la constitution qu’impliquerait cette disposition devrait inévitablement être cassée par le Conseil Constitutionnel.
Cette proposition des Maires mentionnée ici est contitutionnellement absurde!
Le seul intérêt que l’on peut y trouver, est de désigner à la vindicte populaire l’ignominie profonde de ces personnages qui agissent à l’encontre des règles profondes de la Nation. 
Cordt, »
B.C.
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07/06/2011

Ras le bol ! On subit ou on combat !

Un bon gros coup de gueule comme je les aime…

FDF

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J’ai plus envie !

Par Philippe CARRESE

J’ai plus envie de me prendre le quart-monde dans la gueule chaque fois que je mets un pied sur la Canebière. à Marseille.

> Je m’apprêtais à écrire une chronique rafraîchissante pour un magazine d’été riant, bien décidé à taire mes énervements habituels. J’avais pris de bonnes résolutions, rangé ma parano dans ma poche et mes colères avec mes tenues d’hiver, au fond d’un placard. Je m’apprêtais même à faire de l’humour. Quelques fois, j’y arrive. Mais voilà. Une randonnée pédestre éprouvante entre les Cinq Avenues et le cours d’Estienne d’Orves a sapé mon moral et éradiqué mes résolutions optimistes.

> J’ai plus envie de relativiser. J’ai plus envie de faire de l’humour. Et j’ai plus envie de subir ce cauchemar quotidien.

> J’ai plus envie de supporter toute la misère du monde à chaque coin de rue.

> J’ai plus envie de slalomer sans cesse entre des culs-de-jatte mendiants, des épaves avinées et des cartons d’emballages de fast-foods abandonnés sur le bitume chaotique du premier arrondissement.

> J’ai plus envie de cette odeur de pourriture qui me saute à la gorge, de cette odeur d’urine à tous les angles de travioles, de cette odeur de merdes de chiens écrasées sur tous les trottoirs, de ces relents de transpiration et de crasse sur les banquettes arrière du 41.

> J’ai plus envie de perdre des heures en bagnole dans un centre-ville laid, dévasté par manque total de prise de conscience individuelle et d’organisation collective.

> J’ai plus envie de voir ma difficile survie professionnelle lézardée par des bureaucrates en R.T.T, assenant au petit peuple que la voiture est un luxe inutile, eux qui n’ont sans doute plus pris un métro depuis des lustres.

> J’ai plus envie de me retrouver sur le parvis de la gare Saint Charles à onze heures du soir avec mes jambes et ma mauvaise humeur comme alternative à l’absence totale de transports en commun et à la présence suspecte de rares transports individuels qui frisent l’escroquerie.

> J’ai plus envie.

> J’ai plus envie de baisser les yeux devant l’indolence arrogante de jeunes connards.

> J’ai plus envie de jouer les voitures-balais pour de malheureux touristes étrangers bouleversés, fraîchement dévalisés par des crétins sans loi ni repère.

> J’ai plus envie de me retrouver à chercher des mots d’apaisement et à soliloquer des propos hypocrites sur la fraternité et la tolérance lorsque mes enfants se font racketter en bas de ma ruelle.

> J’ai plus envie de me laisser railler par ces troupeaux d’abrutis incultes, vociférant et bruyants au milieu des trottoirs qui n’ont qu’une douzaine de mots à leur vocabulaire, dont le mot « respect » qu’ils utilisent comme une rengaine sans en connaître le sens.
J’ai plus envie de contempler mon environnement urbain saccagé par des tags bâclés et des graffitis bourrés de fautes d’orthographe. L’illettrisme est un vrai fléau, il plombe même l’ardeur des vandales.

> Et aussi…

> J’ai plus envie de voir les dernières bastides mises à bas, les derniers jardins effacés d’un trait négligent sur des plans d’architectes en mal de terrains à lotir.

> J’ai plus envie de cette ville qui saccage son passé historique sous les assauts des promoteurs (le comblement de l’îlot Malaval est une honte).

> J’ai plus envie de cette ville qui perd sa mémoire au profit du béton.

> Et encore…

> J’ai plus envie d’écouter poliment les commentaires avisés des journalistes parisiens en mal de clichés, plus envie d’entendre leurs discours lénifiants sur la formidable mixité marseillaise. Elle est où, la mixité ? De la rue Thiers au boulevard des Dames, la décrépitude est monochrome.

> J’ai plus envie de traverser le quartier Saint Lazare et de me croire à Kaboul.

> J’ai plus envie non plus de me fader encore et toujours les exposés béats de mes concitoyens fortunés, tous persuadés que le milieu de la cité phocéenne se situe entre la rue Jean Mermoz et le boulevard Lord Duveen. Désolé les gars, le centre ville, à Marseille, c’est au milieu du cloaque, pas à Saint Giniez. Tous les naufrages économiques de l’histoire récente de ma ville tournent autour de cette erreur fondamentale l’appréciation de la haute bourgeoisie locale.

> J’ai plus envie de ce manque d’imagination institutionnalisé, plus envie de palabrer sans fin avec des parents dont la seule idée d’avenir pour leur progéniture se résume à : «un boulot à la mairie ou au département».

> J’ai plus envie d’entendre les mots «tranquille» «on s’arrange» «hé c’est bon, allez, ha» prononcés paresseusement par des piliers de bistrots.

> J’ai plus envie de ce manque de rigueur élevé en principe de vie.

> J’ai plus envie de l’incivisme, plus envie de la médiocrité comme religion, plus envie du manque d’ambition comme profession de foi.

> J’ai plus envie des discours placebo autour de l’équipe locale de foot en lieu et place d’une vraie réflexion sur la culture populaire. J’ai plus envie non plus de me tordre à payer des impôts démesurés et de subir l’insalubrité à longueur de vie.

> J’ai plus envie de m’excuser d’être Marseillais devant chaque nouveau venu croisé, décontenancé par sa découverte de ma ville. Ma ville !

> Et pourtant, Marseille.

> Pourquoi j’ai plus droit à ma ville ?

Source: http://voxpop.over-blog.com/

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Nous non plus, (même si on n’habite pas Marseille, car c’est tout pareil ailleurs et parfois pire!), on n’a plus envie!

Mais, quand bien même nous n’avons jamais ratifié les accords de Schengen, et qu’après que nous ayons massivement repoussé la constitution du Giscard, le chef de l’Etat nous l’ayant illégitimement imposée par la voie parlementaire en l’appelant « Traité de Lisbonne », nous sommes bien obligés de subir aussi longtemps que nous accepterons de respecter ces dispositions scélérates qui nous imposent de supporter toute la misère du monde alors que nous ne l’avons pas voulu! 

Ca ne sert à rien de larmoyer quand on viole nos filles, que l’on dévaste nos villes, que l’on pille nos maisons, que l’on défonce le crâne de nos policiers etc…

Quand on en est là, que l’on a le dos au mur et que l’on comprend que nos vies sont menacées, que la sécurité des biens et des personnes n’existe quasiment plus nulle part sur le territoire national, soit on accepte d’être détruits, soit on combat!

Tout le reste n’est que littérature!

Qu’en pensent les « souchiens » originaires de Lyon, Lille, Strasbourg, Arras, Roubaix, Saint-Denis et tant d’autres lieux?
Merci à BC…


01/10/2010

NON à L’impôt européen!

Avec le traité de Lisbonne, l’Union européenne a acquis la personnalité juridique étatique. Elle a donc aujourd’hui la capacité de prélever l’impôt directement, sans passer par les États membres. Ce point a été caché aux peuples d’Europe lors de la ratification du traité de Lisbonne. Mais aujourd’hui des voix s’élèvent à Bruxelles pour que l’Union européenne dispose d’une fiscalité propre. Une fois de plus les fanatiques de la supra-nationalité ont menti.

Rappel:



Créer un impôt européen constituerait un grand préjudice pour les peuples d’Europe. Cet impôt s’ajouterait aux nombreux prélèvements opérés par l’Union Européenne sur les citoyens (droits de douane, TVA, dotations financières des États, etc.).

Alors que l’économie française souffre, comme les autres, de la plus grande récession que l’on ait connue depuis des générations, alors que les familles modestes ont du mal  équilibrer leur budget, un nouvel impôt prendrait l’allure d’une calamité. Il aurait pour effet de renforcer la récession économique et d’accroître le chômage.

Le Rassemblement pour l’Indépendance de la France (RIF) condamne avec force toute tentative d’instaurer un impôt européen. Il invite les Françaises et les Français à marquer leur refus de cet impôt et à signer la présente pétition.

La pétition est accessible sur le site du RIF www.r-i-f.org

http://r-i-f.org/?p=816

Alain Bournazel

Secrétaire général du Rassemblement pour l’indépendance de la France

14/09/2010

La fin de la démocratie: le 8 février 2008…

On ne nous a pas donné le choix. On n’a pas tenu compte de l’opinion et de l’avis des peuples. Maintenant, nous allons devoir nous battre… Quel gâchis!

FDF


13 septembre 2010


Une date, sera certainement retenue par les historiens pour désigner l’éclipse de la démocratie en France : le 8 février 2008 – jour de la ratification du Traité de Lisbonne par le Parlement.

Dès 1957, à la veille de la signature du Traité de Rome, Pierre Mendès France prévenait : « L’abdication d’une démocratie peut prendre deux formes, soit elle recourt à une dictature interne…, soit à la délégation de ses pouvoirs à une autorité extérieure. », nous y sommes. Un pouvoir supranational a dépossédé le peuple souverain, avec la complicité active ou passive des élites du pays.

Désormais, la personnalité juridique est accordée à l’Union Européenne, l’autorisant à s’autoproclamer État. Cela lui permettra, bientôt, d’occuper le siège de la France au Conseil de sécurité des Nations unies, comme c’est déjà le cas à l’O.M.C (Organisation Mondiale du Commerce).

La nébuleuse du “droit européen”, fatras volontairement obscur de plusieurs milliers de pages, concentrant l’autorité dans les seules mains des oracles de Bruxelles, a de graves conséquences pour nos compatriotes. Voici, entre autres, deux des aspects les plus dangereux : (more…)

26/07/2010

Le traité illégitime de Lisbonne ne peut fonder aucun droit en France.




Les soussignés déclarent illégitime le traité de Lisbonne ratifié par le Parlement français en février 2008 :

Le Peuple français a rejeté le 29 mai 2005 le projet de « constitution européenne ».
Ce même projet, sous la forme du traité de Lisbonne, a été ratifié dans le mépris du peuple et la trahison de l’indépendance nationale, avec l’approbation, au Parlement, de  représentants non mandatés à cet effet.
La souveraineté est inhérente à notre Nation ; nul représentant ne peut l’abolir.

Or, le traité porte une atteinte mortelle à l’indépendance et à l’unité de la Nation.
Il met fin à notre liberté chèrement acquise, et à notre faculté de décider de notre avenir.
En validant la « charte des droits fondamentaux », il mène au communautarisme, à l’inégalité des droits entre Français, et à la désintégration nationale.

Illégitime, il est nul et non avenu, comme le seront les textes et jugements fondés sur lui.

Les auteurs de cette forfaiture devront en répondre devant le peuple.

Les soussignés :

Personnes :

MM. Jean-Pierre Chevènement, ancien Ministre, Président du Mouvement des Citoyens ; Paul Marie Coûteaux, Député français au Parlement européen ; Nicolas Dupont-Aignan, Député et Président de Debout la République ; Jean Foyer, ancien Ministre, Garde des Sceaux ; Pierre Marie  Gallois (Général CR) ; Maxime Gremetz, Député ; Alain Griotteray (Grand Officier de la Légion d’Honneur, ancien Député-Maire); Pierre Lefranc, Préfet honoraire ; Pierre Lévy, Directeur de Bastille, République, Nation ; Patrick Louis, Député français au Parlement européen ; S.A.R. le Prince  Charles-Philippe d’Orléans; Michel Pinton, essayiste ancien député ; Henri Tisot, écrivain ; Philippe de Saint-Robert, écrivain ; Philippe de Villiers, Député français au Parlement européen ;

Mouvements :

Académie du Gaullisme ; Association nationale pour le développement de l’Action spirituelle ; Club Aramis ; Debout la République ; Forum pour la France ; France bonapartiste ; Mieux être, Mieux Vivre ; Mouvement démocrate français ; Mouvement pour la France (MPF) ; Nouvelle Union démocratique du Travail ; Racines et Futur Mouvement gaulliste indépendant ; Rassemblement citoyen pour la France (RCPF) ; Rassemblement pour l’Indépendance et la Souveraineté de la France (R.I.F.) ; Union gaulliste pour la Démocratie ; Union  du Peuple français ;

Au nom des mouvements qu’il regroupe, le Forum pour la France appelle les Français à signer cette pétition nationale :

Nous nous joignons aux personnalités et mouvements porteurs de la présente déclaration d’illégitimité et de nullité du traité de Lisbonne.

Liste des premiers signataires de la pétition nationale :

MM. Robert Archenault, Pierre Aunac universitaire économiste, Hervé Beaudin, Grégory Beaudouin (MRC), Claude Beaulieu président du Comité Valmy, Pierre Bersac, Marc Bonnaud consultant, Bernard Bonnaves, Rémi Bonnevialle, Philippe Bourcier de Carbon universitaire démographe, Hugues Bourdain, Alain Bournazel essayiste Secrétaire général du RIF, Jean-Pierre. Brasseur, Michel Bretagnol, Max Cabantous alias : écrivain Maxime Lenôtre, Thierry Cabrita directeur d’établissements sociaux, Michel Castelin, Raoul Cayol, Bernard Chalumeau, Xavier de Chasteigner ingénieur, Hubert Chavelet, Régis Chaynes, Alain Chevalérias consultant directeur de revue, Georges Clément, Jean-Pierre Collot, Alain Corvez colonel (e.r.), Jacques Cotteray, Jean-Paul Cruse, Dominique Daguet écrivain fondateur des Cahiers Bleus, Yves Danancier, Raphaël Dargent essayiste président de Jeune France, Christian Darlot chercheur au CNRS, Jacques Dauer, directeur de 18 juin, Michel Debray amiral (2S), René Delacroix, J-D. Delaire, Thierry Delbos, Jacques Derenne général (e.r.), Jacques Destere, Jean-Guy Dubois, Dominique Farcis, Marc Favre d’Echallens, F. Ferrier  (Identité nationale et tradition, Conseil Régional de Lorraine), Yves Floucat universitaire, Henri Fouquereau Secrétaire général du Forum pour la France, Francis Gandon universitaire, Claude Gaucherand contre-amiral (2S), Denis Griesmar, Philippe Hartemann prieur, Alain Hartog, Pierre Hillard essayiste, Jean Hourcade essayiste ancien Conseiller culturel, Philippe Kaminski essayiste, Edouard Kaprielian, Alain Kerhervé essayiste, Jean-Gérard Lapacherie essayiste, Louis-Etienne Lapierre, François Lardeau, Jean-Pierre Laroute, Jean Lasserre, Daniel Lauton, Christian Lechevalier, Henry de Lesquen essayiste, Philippe Loubière directeur de Lettre(s), Andy Loubry directeur de « webtélé libre », François Mainguy, Mickaël Maistre instituteur, Christian Marot rédacteur en chef de Vérités bruxelloises, Georges Martin, Henri Massol, Denis Mikolajczak, Yves Morand, Michel Mourlet écrivain, Sébastien Nantz, Thibault Nivière, Jack. Pétroussenko, Roland de Phily officier de réserve, Yves Picarda, Michel de Poncins, Philippe Rallion, Dr Manoutcher Razmara ancien Ministre d’Iran, Eric Rebaud tailleur de pierres, Jean-Louis Rival, Romain Rochas ancien haut fonctionnaire des Communautés européennes, Claude Rochet universitaire, Bernard Roland colonel (e.r.), David Saforcada président de France bonapartiste, Albert Salon essayiste, Jean-Louis Schoonheere, Joseph Spiteri, Pierre Stouvenel syndicaliste, Henri de Suzanne, Hubert Wiart ;
et de Mmes : A. Archenault, Yvonne Bollmann universitaire auteur de La bataille des langues en Europe, Bibiane Bonnevie, Annie Bourdain, Françoise Buy-Rebaud, Béatrice Decoster-Mallet, Marie-Louise Dujol, Solange Fabry, Brigitte Farcis, Hélène Faure-Lequien, Sylvie Lebois, M-A. Mainguy, Frédérique Salon, Geneviève Seguin ancien proviseur, Anne de Vaureix,  Françoise Zemmal.

NON, c’est NON ! : Edition : Allemande  – Anglaise  – Espagnole 

14/05/2009

Démocratie…

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