Francaisdefrance's Blog

06/03/2012

Comment un système qui a créé le problème peut-il résoudre le problème ?

Notre ami Gilbert Collard est de retour; et en pleine forme…

FDF

.

Ca a un peu « secoué » à Bayonne…

.

LE JAMBON DE BAYONNE

Dans la ville du jambon, Nicolas le peu preux a été pris en sandwich et obligé de se réfugier comme un vulgaire bock de bière dans un bistrot.

 Nous, on connaît, mais on ne bat jamais en retraite!

D’un coup, celui qui joue avec les milices socialo-mélanchonistes verdâtres et les moralistes subventionnés  pour empêcher Marine le Pen de parler redécouvre la République ! Il s’indigne, s’essouffle dans un lyrisme comique, pour en appeler  au respect de la démocratie ! Un comble ! Quand on jette des pierres, des insultes, des menaces ; quand des nervis empêchent, ou tentent d’empêcher, à Paris, à la Réunion, à Marseille, un peu partout, Marine le Pen de parler ; quand des journalistes militants, armés d’un sécateur entre les dents, coupent systématiquement la parole à une candidate ; quand des pressions sont exercées sur les élus pour qu’ils refusent leur signature ; quand on remplace le débat public par de la « moraline », ce sous-produit commercial de la morale, pour discréditer l’argumentation de l’adversaire tout en utilisant des ventriloques pour vendre ce que l’on condamne , c’est alors la République exemplaire défendue par les deux compères en duo électoral, qui se veulent seuls sur les tréteaux pour confisquer le débat.

 Cette élection est truquée, l’ONU devrait intervenir… Elle est truquée dans les faits, dans les paroles, dans les candidats !

On évite d’aborder la seule vérité : comment un système qui a créé le problème peut-il résoudre le problème ?

 Le mot d’ordre est : continuons gaiement dans nos échecs ! On a raison d’avoir eu tort… C’est l’histoire du fou qui tombe du dixième étage et qui se dit devant chaque étage : « pourvu que cela dure ! » Folie !

Comment oser les réformes structurelles qui sauveront la France du pillage organisé qui l’éventre ? Les chiffres sont connus !

Comment sauver une identité que la mondialisation et le communautarisme déstructurent sous le regard faussement compassionnel des Tartuffes du Murat, restaurant de truffes où ils dînent, loin du peuple pauvre? Comment oser une politique d’immigration qui nous évite de voir craquer, puis tomber les murs de la maison sous la pression démographique ? Au seul nom du respect dû aux murs de la vieille maison qui, ce n’est ni sa faute ni celle des occupants, s’effondre sous le poids.

 La seule solution est dans la rupture avec un système moribond, complice, peureux, qui n’ose pas appeler un chat un chat, Sarkozy  une machine à remonter le temps perdu,  Hollande  un président de canton, Mélenchon  un Marx Brothers !

Ils veulent la République de la continuité financée par des emprunts que nous payons avec le sang des pauvres et la fuite des riches. Philippe Bénéton appelle cela « La politique des somnambules »   Plus personne ne comprend, le but est atteint ! La confusion sur la question économique atteint des sommets d’incompréhension. Les cranes d’œuf savent tout et son contraire… C’est inouï !

Comment les citoyens peuvent-ils encore faire confiance à une génération de politiciens qui ont accepté, sans broncher, depuis 1973, qu’on ne puisse plus emprunter à taux zéro, oui zéro, à notre banque de France, alors qu’on est obligé d’emprunter à trois pour cent, parfois cinq et plus, aux marchés financiers, qui empruntent à la banque européenne à un pour cent !

Ouvrez les yeux et pas seulement le portefeuille ! On nous prend pour des cons !  Comment les citoyens peuvent –ils encore faire confiance à une génération qui a pratiqué la politique de la France Afrique, qui prive les peuples de leur richesse  par le fait de multinationales apatrides, de dictateurs imposés, et les envoie sur les routes humiliantes de l’immigration ?  Seul, le patronat en profite, et le MEDEF, qui a autant de cœur qu’un coffre-fort européen.

 Et nous payons en euros le prix de cette immigration patronale, tandis que les immigrés le payent par la servitude et l’assistanat.

  On doit se rassembler pour la France, de quelque origine que l’on soit. Athées, Chrétiens, Musulmans, qu’importe, seul compte aujourd’hui l’amour du pays, l’amour de la France.

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

08/02/2012

« L’immigrat­ion incontrôlé­e, c’est importer des pauvres de l’étranger afin d’appauvri­r encore les pauvres français. »

C’est la journée « immigration », ce mercredi…

FDF

.

Dessin pillé chez http://talent.paperblog.fr/

.

Pourquoi, n’en déplaise à Mélenchon, beaucoup d’ouvriers votent-ils FN ?

Les ouvriers (comme tant d’autres français) sont déboussolés car les repères politiques traditionnels ont explosé: en effet, à quelques semaines de l’élection présidentielle de 2012, tandis que l’extrême-­droite propose un programme économique quasiment communiste, l’extrême-­gauche s’est convertie à l’ultralibéralisme immigratio­niste!

Le programme actuel du FN recycle ainsi les idées communistes d’autrefois en s’opposant à un afflux massif d’immigrés constituant un lumpenprolétariat semi-servi­le offert au patronat. Il convient de se souvenir que « La France aux français » fut jadis un slogan de syndicalistes communistes et que feu Georges Marchais s’opposait fermement à une immigration entraînant mécaniquement une pression à la baisse des salaires.

Pendant que le FN se « communise », la gauche et l’extrême-­gauche actuelles militent (du Front de Gauche à LO en passant par le PS et le NPA) pour l’ouverture sans contrôle des frontières, faisant ainsi le jeu des grands patrons du CAC40 toujours avides de chair fraîche à exploiter à moindre coût. Le prolétaire importé du Tiers-Mond­e et exploité directement en France économise ainsi un déménagement industriel dispendieux dans la mesure où il permet une « délocalisation immobile »: l’usine reste sur place et ce sont les ouvriers français qui sont délocalisés…à Pôle Emploi. Et tant pis si ledit prolétaire importé apporte avec lui des coutumes ou des préceptes politico-religieux incompatibles avec les valeurs républicaines: ce qui compte, c’est de dégager du bénéfice pour les actionnaires.

L’immigrat­ion incontrôlé­e, c’est importer des pauvres de l’étranger afin d’appauvri­r encore les pauvres français. C’est ainsi que, faisant le jeu du patronat, la gauche et l’extrême-­gauche, ultralibérales en matière d’immigration, jettent un électorat ouvrier se sentant trahi dans les bras de Le Pen, père et fille. Le comble étant que ce sont les marxistes ou ceux qui s’inspiren­t du marxisme qui servent à la fois « d’idiots utiles » aux capitalist­es les plus cyniques et de pourvoyeurs de voix à l’ extrême droite. »
Marc Nièvre

Source: http://ripostelaique.com