Francaisdefrance's Blog

06/02/2012

Rapt électoral…

Le système a peur de la France. Gilbert Collard nous explique.

FDF

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ILS SONT PRÊTS A TOUT

 

 C’est tout le système qui se sent menacé par l’élection possible de Marine le Pen. Un système dépassé et méprisant pour au moins 20%, et peut-être plus, d’électeurs et d’électrices à qui les grands principes disent d’aller se faire voir.

 Le journal du dimanche s’en est  allé jusqu’à  tester l’hypothèse dans laquelle Marine ne serait pas candidate : deux bénéficiaires, Sarkozy et Bayrou, et surtout Sarkozy ! A qui profite le crime contre la libre expression du suffrage universel ?

 A vouloir jouer avec l’histoire au point de croire qu’on peut la truquer, la violer, le président de la République des manigances risque de jouer avec le feu et de subir un retour de flamme. Il s’imagine que l’on peut impunément prendre les français pour des cons, il se trompe gravement !

  Toute une stratégie, qu’il faut dénoncer, a été vicieusement mise en place, pour assurer, coûte que coûte, la réélection du tricheur, et ses complices croient jouer finement…

D’abord, on diabolise, à l’aide des communicants qui traquent l’événement qui, même faux, peut se prêter à la polémique, à l’association malfaitrice des idées, à la rengaine fascisante, nazifiante, comme ce fut le cas pour le bal de Vienne, interdit par leur maitre en propagande, l’ignoble Adolphe.

 On passera sous silence que deux membres de cette fraternité d’étudiants furent du complot contre le monstre.

 On utilise comme rampe de lancement médiatique Sos racisme, une association aidée financièrement autant par la droite que par la gauche, dont la démarche profite, crois- t-on, autant à l’une qu’à l’autre. On est certain que la presse relayera. On lâche, BHL, à la retraite des idées depuis le siècle des lumières, qui a une main droite qui trifouille chez Sarkozy et  une main gauche qui tripatouille chez Hollande, en toute pureté, bien sûr. On exhume un intellectuel de service qui vient pérorer. On laisse ensuite cracher les humoristes, toujours indépendants, toujours drôles, sur les radios et les télévisions, comme si de rien n’était puisqu’ils sont drôles. Sous une forme ou sous une autre de grimace, ils passent le message, Marine c’est Hitler, ses électeurs des cons, ses soutiens des merdes, ses idées de la vomissure ; ils créent l’ambiance répulsive. Ils se moquent des autres, évidement, mais le langage n’est pas le même, la haine drolatique n’y est pas.

 Le champion, c’est sans aucun doute Ruquier, le chouchou du service public, qui multiplie les émissions, et qui s’en donne à cœur joie de présenter Marine comme une merde et le front comme une officine nazi. Même s’il a un humour souvent anal, sa merde fait mouche à longueur d’émission.

 Tout cela serait innocent, du spectacle, du divertissement. Mais allez demander à des élus qui tremblent qu’on se moque d’eux, qu’on les brocarde,  qu’on les associe, en riant bien sûr toujours, à la croix gammée ou à la merde, d’apposer leur signature ? Allez demander à des élus à qui on fournit le faux prétexte moral de dire non et qui subissent des pressions de toutes sortes, de dire oui !

Un jour, toute cette magouille médiatique et politique sera analysée. On y verra clair, et, alors, rira bien qui rira le dernier. En France, on dit qu’il faut mettre les rieurs de son côté, c’est vrai, mais tant qu’ils ont envie de rire.

Je crois que beaucoup de françaises et de français n’auront plus envie de rire si Marine est empêchée d’être candidate, si on braque leur bulletin !

On est en train, sous nos yeux, de bâillonner le suffrage universel par la caricature et la pression. Si Marine n’avait pas ses signatures, ce que je persiste à ne pas croire, il y aura des lendemains démocratiques, des explications à fournir, des comptes à rendre au peuple volé. Les mêmes qui font pression diront alors aux refusants, d’aller se démerder avec leurs électeurs !  Ils n’auront jamais fait pression sur eux, qu’ils assument !

 Le système a peur. Il a peur de la vérité. Il a peur du changement. Il a peur de la France !

 Encore un exemple : Valérie Pecresse?  interrogée dans le cadre de l’émission C/ politique sur l’anonymat des parrainages demandés par Marine le Pen, répond, après avoir chanté son attachement au Général, qu’elle n’aime pas trop ce qui est anonyme car cela renvoie à une mauvaise époque,  dit-elle en gros, je cite de mémoire. Petit moyen encore subliminal de faire un lien entre Marine et le Maréchal, sauf que c’est le Général qui avait voulu l’anonymat ! On se rend bien compte que nous avons affaire à une ligne de propagande pour empêcher la démocratie de s’exprimer 

 Ils sont prêts à tout. Même au rapt électoral !

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

14/01/2012

Si les Français savaient, ils risqueraient de « mal voter »…

Et c’est là qu’est tout le problème. Ca peut se résumer en trois mois que l’on entend fréquemment: « la délinquance baisse« … Rectifions: les CHIFFRES que l’on nous balance montrent que la délinquance baisse; en outre, il s’agit de la délinquance routière.

L’art et la manière de savoir lire entre les lignes…  Françaises, Français: dormez tranquille et « votez bien », surtout.

FDF

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RENDONS UN HOMMAGE APPUYé  A TOUS NOS POLICIERS ET POLICIÈRES  QUI FONT UN TRAVAIL REMARQUABLE, SOUVENT AU PÉRIL DE LEURS VIES,  dans le mépris et l’ignorance voule…

JC JC…

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Le grand malaise des forces de l’ordre

Nos forces de l’ordre grondent dans l’ombre depuis des années mais les événements se succèdent, les décisions sont mal reçues par des femmes et des hommes de bonne volonté,  mal rémunérés et sans pouvoir, face à une société dont l’évolution fait peur.

Problème de réduction d’effectifs, manque d’une réelle considération, manque de moyens, manque de pouvoirs surtout…

Au total, ce sont près de 10 000 postes qui ont été supprimés des effectifs des forces de l’ordre en France au cours du dernier mandat présidentiel.

Fonctionnaires non remplacés, escadrons de gendarmerie dissous, écoles de police fermées, et bientôt, plusieurs Compagnies Républicaines de Sécurité connaitront le même sort.

A l’heure où les « incivilités » se multiplient et alors que chacun voit bien les difficultés que devra affronter le pays dans les années qui viennent, le dispositif de sécurité, lui, n’est pas à la hauteur des enjeux.

Mais l’amertume des hommes et femmes en charge de notre sécurité ne s’arrête pas là. Le recrutement aussi pose problème puisqu’à des gardiens de la paix formés et motivés, on préfère engager des « cadets de la république », et autres « Adjoints De Sécurité », personnels peu qualifiés, véritables « policiers à moindre coût ».

En dehors des soucis d’effectifs et de ressources humaines, les forces de l’ordre sont confrontées à un véritable mal-être au regard de leur emploi.

A quoi peut bien servir une police sans pouvoir ? Trop souvent, nos fonctionnaires ont la désagréable impression d’être passé du statut de « Gardien de la paix » à celui de collecteur d’impôts, tant la pression est grande de faire du chiffre et du timbre-amende auprès des automobilistes encore solvables pour remplir les caisses sempiternellement vides d’un Etat trop dispendieux.

Autre exemple, est-il du ressort des forces de police de faire le pied de grue au bas des immeubles pour simuler un semblant sérénité dans tel ou tel quartier, ne faisant par là que déplacer momentanément la délinquance et ses auteurs trop souvent récidivistes et impunis ?

Lorsqu’il ne s’agit plus que de donner l’apparence de la sécurité, c’est que l’on ne croit plus possible de rétablir durablement l’ordre et que l’on se promet des lendemains difficiles…

Enfin, nos institutions souffrent d’un manque évident de pouvoir et de considération. La peur du gendarme n’existe plus pour une part croissante de la population.

Il suffit pour s’en convaincre de mesurer l’évolution de l’intensité des confrontations dans les zones dites sensibles.  De plus en plus souvent ce sont de véritables embuscades qui sont tendues aux véhicules de police, scènes de guerre civile, événements d’une violence inouïe complètement passés sous silence par des médias aux ordres.

Imaginez que les Français sachent, ils risqueraient de mal voter !

JF Kennedy avait dit un jour pour justifier des crédits attribués au renseignement national des Etats-Unis : « Il est quelque chose qui coûte plus cher que le renseignement, c’est l’ignorance ». Peut-être cet adage s’applique-t-il assez à la situation de notre sureté publique. A force de voir dans ces services une variable d’ajustement budgétaire et un instrument du pouvoir, la facture pourrait s’avérer plus lourde que prévue…

Gérard HARDY

Source: http://www.rpf-site.fr/

12/12/2011

Blagounette…

Si vous ne savez pas encore pour qui voter ne pas voter en 2012…

FDF

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Un homme entre dans un bar super High-Tech, de 4ème génération, avec écrans plasma et claviers digitalisés de partout. En plus c’est un robot qui sert à boire. L’homme s’installe confortablement et, dans la nanoseconde qui suit, le barman-robot s’approche et lui demande :

– Quel est votre QI ?

L’homme répond :

– 150

Alors, le robot lui sert un Whisky de 18 ans d’âge, et entame la conversation sur le réchauffement climatique, l’interdépendance environnementale, la physique quantique, les nanotechnologies etc.…

Au bout d’un moment, le client règle sa consommation (naturellement on-line avec sa carte de crédit), et sort. Il est vachement impressionné par ce qui vient de se passer, et décide de revenir tester le robot à nouveau.

C’est d’ailleurs ce qu’il fait le lendemain même. Il revient donc dans ce même bar, et le même scénario se reproduit. Il est à peine assis que le même barman-robot s’approche et lui demande:

– Quel est votre QI ?

Cette fois-ci, l’homme répond :

– 80

Immédiatement, le robot lui sert une bière et lui parle de foot, de tiercé, de ses plats favoris, de femmes etc.…

Au bout d’un moment, l’homme repart. Il est de plus en plus intrigué et décide de revenir à nouveau le jour suivant.

Le lendemain donc, même topo! Le barman-robot s’approche et demande :

– Quel est votre QI ?

Ce coup-là, l’homme répond :

– 20 je crois !

Alors, le robot lui sert un verre de gros Rouge et, en lui posant la main sur l’épaule, lui demande avec condescendance: :

– Alors, comme ça, on va voter Hollande en 2012 ?

Et merci à Vincent…

07/12/2011

Droit de vote aux étrangers: ça bouge de tous cotés !

En plus des pétitions, une manif CONTRE le droit de vote aux étrangers. Dans ce pays démocratique ( http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mocratie ) qu’est la France, avec tous ces appels venant du peuple, le Sénat va t’il en tenir compte?  Rien de moins sur… C’est la Gauche qui décide; et la gauche « aime » les étrangers, surtout en vue des présidentielles. Vu qu’ils ne leur reste que ça comme électorat…

Prions en attendant le 8 décembre (pour ceux qui ne pourront manifester).

FDF

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Jeudi 8 décembre, Résistance républicaine appelle ses adhérents et sympathisants à aller manifester, à partir de 12h30, contre le droit de vote des étrangers, rue de Tournon, Paris 6, devant le

Notre association défend les fondamentaux de la République et, à ce titre, considère que le droit de vote ne peut être accordé qu’aux citoyens de nationalité française, conformément à l’article 3 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen 26 août 1789 :  » – Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. »

En effet, ne peuvent avoir de droits politiques que les individus attachés à la Nation par la nationalité, celle-ci donnant à la fois des droits et des devoirs concernant les autres citoyens. Puisque les citoyens français sont dépositaires de l’intérêt national, à ce titre ils doivent pouvoir voter pour choisir la « respublica ».

Il ne suffit pas de travailler et de payer ses impôts en France pour avoir le droit de décider de sa politique. En effet, que se passerait si les étrangers non européens avaient le droit de vote ?

Ce serait la fin de la notion de citoyenneté de notre pays, chacun de ceux qui y vit y aurait les mêmes droits sans avoir pour autant les mêmes devoirs. Si les étrangers veulent voter comme les Français, il leur appartient de prouver qu’ils aiment la France, reconnaissent ses valeurs, sont prêts à la défendre en demandant leur naturalisation.

Ce serait comme si vous hébergiez un ami pour lui rendre service pendant quelques mois, et que, au motif qu’il participe aux frais, il prenait le droit d’imposer sa vision de la décoration, de choisir vos amis et les vêtements de votre femme et vous interdisait la nourriture qui ne vous convient pas.

Accorder le droit de vote aux élections locales aux étrangers c’est leur permettre de peser sur l’élection du maire et des conseillers municipaux qui sont les électeurs des sénateurs. C’est donc leur permettre de participer, de fait, aux élections nationales réservées aux citoyens français et de choisir à leur place leurs lois voire leur constitution.


Accorder le droit de vote aux élections locales aux étrangers c’est leur permettre d’imposer, de fait, des traditions contraires aux nôtres, c’est leur permettre de faire voter des subventions sur des critères non pas d’intérêt commun mais sur des critères qui pourraient être communautaristes ou religieux, c’est leur permettre d’imposer peu à peu des salles et des piscines où hommes et femmes seraient séparés et c’est leur permettre d’imposer dans les cantines scolaires des revendications alimentaires pour en chasser le porc et y introduire le halal, qui contrevient avec la loi du 9 décembre 1905, puisque tout achat de halal finance une mosquée.

Pour toutes ces raisons, Résistance républicaine sera présente jeudi 8 décembre pour demander aux sénateurs de ne pas voter la proposition de loi qui va leur être présentée, au nom de la République, au nom de la France.

Christine Tasin

Présidente de Resistance republicaine

24/11/2011

Vote des étrangers: retournement de veste à l’UMP…

« Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis »… Dans le cas présent, ce proverbe tombe mal à propos. Dans 6 mois environ, les Français seront appelés aux urnes. Et là, afin de les inciter à glisser le « bon » bulletin dans l’urne, il faut les écouter et faire au moins semblant de vouloir aspirer à leurs désirs et simuler que l’on est d’accord avec eux. Première chose.

Seconde chose: il faut promettre le contraire de ce qu’annonce l’adversaire.

En fait, la politique, c’est facile…

Marine: débarrasse nous de tout ça en 2012; merci.

FDF

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L’actuel ministre de l’Intérieur comme le président de la République ont changé d’avis quant à cette mesure qu’ils estimaient de bon sens.

Devant une assemblée de maires, le président de la République a donc jugé « hasardeuse » la mesure socialiste visant à accorder le droit de vote aux étrangers lors des élections locales. La contradiction n’effraie visiblement pas le futur candidat à sa succession.

Ministre de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy évoquait, avec la même gravité, la même force de conviction, une mesure de « bon sens ». Un immigré qui travaille et paye des impôts en France « doit pouvoir choisir son maire », disait-il. C’était en 2005 et face à la grogne – discrète – d’élus et de militants UMP, il avait ensuite exigé la réciprocité de la part des pays dont sont originaires les étrangers (hors UE) vivant dans l’Hexagone.

Une proposition minoritaire dans son camp que Nicolas Sarkozy a longtemps portée, défendue et assumée, en privé comme en public. À tel point qu’il aurait confié à l’un de ses visiteurs, en 2009, qu’il proposerait une loi sur le sujet s’il était réélu en 2012… Ainsi se posait-il en homme libre, faisant fi des doctrines partisanes. On ignore donc aujourd’hui la véritable raison de son revirement – même si on la devine, en jetant un oeil sur les sondages qui donnent Marine Le Pen à 20 % d’intentions de vote au premier tour de la présidentielle.

« La droite a tort de se braquer sur cette question »

Il en est un autre, certes plus discret, qui s’est prononcé « à titre personnel » en faveur du droit de vote des étrangers aux élections locales. Il s’agit de Claude Guéant, aujourd’hui inlassable pourfendeur de cette proposition inscrite dans les priorités socialistes. Au printemps dernier, en marge d’un déplacement à Milan, bien avant que la Droite populaire ne rédige une pétition contre le vote des étrangers, le ministre de l’Intérieur confiait au Point y être favorable, « comme le président de la République ». Il précisait cependant que les Français n’étaient « pas encore mûrs sur le sujet ».

« La droite a tort de se braquer sur cette question. Les élus n’ont pas à craindre le vote des étrangers. Ces derniers ne croient plus aux idées de la gauche faites de misérabilisme et d’assistanat à leur égard. Ils voteront pour des maires de droite, si cette mesure entre en vigueur », analyse un important ministre de Sarkozy, qui se dit ouvert à l’extension du droit de vote pour les étrangers

Source: http://www.lepoint.fr/

03/11/2011

Le vote des immigrés voulu par le PS sera un vote « ethnique » !!!

Et tout le danger vient de là. Alors préparons au pire ou……………… résistons !!!

Tiens, en passant, les villes de France dont les maires socialistes ont voté pour le vote des étrangers: (26 villes signent un appel pour le droit de vote des étrangers).

Ici:

  • Angers,

  • Aubervilliers,

  • Bègles,

  • Besançon,

  • Caen,

  • Chelles,

  • Clichy-la-Garenne,

  • Creil,

  • Erstein,

  • Grenoble,

  • Illkirch-Graffenstaden,

  • Les Ulis,

  • Lille,

  • Metz,

  • Montbéliard,

  • Nantes,

  • Paris,

  • Pau,

  • Périgueux,

  • Quimper,

  • Reims,

  • Rennes,

  • Rouen,

  • Saint-Denis,

  • Strasbourg,

  • Toulouse.

  • Félicitons chaudement ces élus qui ont choisi démocratiquement de brader NOTRE citoyenneté !

FDF

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« Ce sont des scènes de ghetto, cela ne se passe pas ainsi dans mon quartier », direz-vous en visionnant rapidement ce document, avant de passer à des sujets plus agréables.  Attention! la politique de l’autruche atteint là ses limites.
A mesure que la lèpre se propage, ceux qui le peuvent déménagent, les autres rasent les murs. A Marseille, le centre-ville traditionnel (Canebière comprise) est atteint; à Paris,  les quartiers avoisinant la Gare du Nord, parmi bien d’autres, sont entre LEURS mains. La France rurale est contaminée à son tour. Le mouvement ne peut que s’étendre: Tous les démographes indépendants savent et font savoir qu’ILS seront majoritaires en France avant le milieu du siècle. ILS auront pris le pouvoir politique bien avant, grâce au vote immigré qui sera avant tout un vote ethnique!
Si la tendance actuelle se poursuit, si rien n’est fait pour l’inverser, demain, si vous avez de la chance, il y aura peut-être de la place pour vos
 enfants dans un ghetto… de Souchiens réfractaires. On enverra des casques-bleus pour protéger ceux qui tardent à se convertir. La situation des chrétiens du Liban, celle des coptes d’Egypte et celle des Serbes du Kossovo  préfigure ce qui nous attend. 
Il n’y a pas d’enjeu plus crucial. N’accordez aucune confiance aux partis et hommes politiques qui nient cette évidence. Ils n’ont rien d’autre à proposer que le « métissage » et le « multicommunautarisme », c’est à dire le suicide ethnique et culturel, en guise de réponse à un problème dont ils sont pleinement responsables. »
R.S.

11/10/2011

Mayotte: le mauvais calcul électoral…

Il fallait s’y attendre. Mayotte se révolte. « On » a voulu, sans consulter le peuple Français, encore une fois, faire de Mayotte un nouveau département… C’était purement une manoeuvre électoraliste. Pour récupérer des voix, uniquement, en vue des élections.

Gros plouf; gros plantage.

Aujourd’hui Mayotte se révolte. Et quand une population comme celle de cette île (à majorité musulmane) se révolte, ça fait mal. Il est vrai que ce ne sont pas les moutons de l’Héxagone à qui on fait subir les pires des pires humiliations et que l’on ne considère même pas. On les méprise, on les oublie, ils ne sont bons qu’à payer et s’appauvrissent sans broncher. Il y a bien une ou deux manifs par ci par là, mais c’est du menu fretin. Français de souche: « bouclez la et crachez au bassinet! ». La pauvreté, vous allez vous y habituer.

Mais à Mayotte, les « nouveaux Français » en ont marre de se serrer la ceinture; et ils le font savoir… Et ce n’est que le début. Et si ce tsunami touchait le continent?

On peut toujours rêver…

En tout état de cause, nos Hautes Autorités sauront comment calmer la révolte venue d’Outre Mer: « on » va satisfaire leurs demandes; toutes leurs demandes. Après tout, ce sont ceux du continent qui vont en faire encore les frais. Et comme ces derniers sont masos, ça va passer tout seul; comme d’hab…

FDF

A Mayotte, quand on a faim, on a faim…

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Depuis plusieurs jours, l’île de Mayotte que des politiciens irresponsables ont, par misérable calcul électoral, et

sans avoir préalablement consulté le peuple français, transformé en département, vit un véritable climat

insurrectionnel.

Pour mémoire, ce Lampedusa d’outre-mer ne produit rien et l’immense majorité de sa population est au chômage

ou vit des prestations généreusement versées par la France ; à 60% ses habitants ne parlent que le swahili ou le

malgache, les musulmans polygames y sont majoritaires et sur 200 000 habitants, l’on compte au moins 60 000

immigrés clandestins. Quant à la maternité de Mamoudzou elle met au monde chaque année 7000 jeunes

compatriotes, dont 80% nés de mères immigrées originaires de toute l’Afrique orientale et jusqu’à la cuvette du

Congo[1].

Pour donner une apparence de légalité à cette départementalisation, les politiciens irresponsables qui nous

gouvernent ont organisé un simulacre de référendum concernant les seuls habitants de Mayotte, à l’exclusion des

Français métropolitains qui, pourtant, vont de leurs deniers, assurer le suivi de l’opération… Cette seule population

appelée à voter n’allant pas refuser les avantages sociaux promis par le nouveau statut de l’île, ce fut donc à 95%

qu’elle plébiscita la départementalisation, synonyme pour elle de RSA et d’alignement sur les prestations de

l’assistanat servies en Métropole.

Cette manne tardant à être concrétisées, nos « chers » nouveaux compatriotes ont entrepris de détruire avec

méthode les équipements ultra modernes payés par les Français hexagonaux. A la date de rédaction de ce texte,

l’île est ainsi en situation quasi insurrectionnelle. Une fois de plus impuissant et dépassé par les évènements, le

gouvernement français va, à quelques mois d’un scrutin dans lequel il joue sa survie, acheter la paix sociale en

acceptant les exigences des Mahorais qui seront soldées par les impôts des autres Français.

Face à ce véritable diktat qu’est la départementalisation de Mayotte, le plus incroyable est que, juridiquement, il

n’existe plus aucun moyen de revenir en arrière, c’est-à-dire au statut antérieur qui permettait de maintenir cette île

de l’océan indien dans l’ensemble français mais sans avoir à subir les conséquences dramatiques de cette

surréaliste départementalisation.

Bernard Lugan

09/10/2011

[1] Voir à ce sujet les nombreux articles et dossiers consacrés par l’Afrique Réelle à cette question

13/07/2011

Libye: la France continue le massacre…

Il est certain que l’intervention française en Libye ne nous coûte pas encore assez cher… Il faut continuer cette guerre avec l’argent du contribuable à qui on vide encore les poches avec des augmentations de toutes sortes (essence, etc…) et non-revalorisations d’aides (SMIC, par exemple). Mais à quoi pensent nos dirigeants?

Et la France? Elle n’a besoin de rien, par hasard ??? Ben si: que l’on se penche sur ce qui préoccupe son peuple… Quoi de plus légitime?

FDF

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L’intervention française en Libye se poursuivra

Le PS, avec quelques réserves, a voté avec la majorité pour le maintien de l’engagement militaire.

Les députés ont donné leur feu vert mardi, par 482 voix contre 27, à la poursuite des opérations militaires lancées en Libye le 19 mars dernier, au surlendemain du vote de la résolution 1973 du Conseil de sécurité de l’ONU. Un vote dont l’issue comportait d’autant moins de surprise que le Parti socialiste avait annoncé son intention d’appuyer le renouvellement de l’engagement français. La consigne n’a toutefois pas été suivie par quelques députés PS, tel Henri Emmanuelli (Landes) qui s’est prononcé contre, «au nom de la liberté des peuples à s’autodéterminer». Les communistes ont voté contre.

Pour François Fillon qui est intervenu en ouverture des débats, «nous n’avons jamais dit ou pensé que l’intervention en Libye allait être facile et se conclure en quelques jours». Il ne faut donc pas relâcher l’effort – telle est la pointe de l’argumentation développée par les intervenants de la majorité. «Kadhafi est acculé. Le point de rupture n’est pas encore atteint mais c’est maintenant qu’il faut être plus ferme que jamais», a dit le premier ministre en demandant aux députés la poursuite des opérations. Pour le chef du gouvernement, le premier objectif, éviter un bain de sang à Benghazi, le fief des rebelles, a été atteint. «Partout, les Libyens libres gagnent du terrain», a-t-il insisté, jugeant que «Kadhafi est acculé».

Le sort du dirigeant libyen, qui doit être «mis à l’écart», a été rappelé par Alain Juppé. Ce départ, a-t-il souligné, figure parmi «les paramètres d’une solution politique qui sont agréés par tous», ou presque, les États-Unis, l’Union européenne et, malgré encore quelques réticences d’affichage, par l’Union africaine. «Quand et comment Kadhafi doit partir? C’est encore le pas qui reste à faire», a une nouvelle fois déclaré le chef de la diplomatie. «Nous préparons intensément le jour d’après», a-t-il ajouté, mentionnant la nécessaire mise en place d’un gouvernement de transition. Et «espérant» se rendre bientôt à Benghazi.

Du côté de l’opposition socialiste, l’appui à l’intervention a été tempéré par des «réserves et des critiques». Ces dernières ont notamment porté sur le «flou» des objectifs de guerre, la «grande absence» de l’Europe, le manque d’un «juste retour» des Américains et les pistes encore peu avérées d’une sortie politique. «Nous ne voulons rien compromettre mais que l’on nous précise les choses», a réclamé Pierre Moscovici (PS, Doubs), en marge du débat. À la tribune, Bernard Cazeneuve (PS, Manche) a d’ailleurs réclamé une «clause de revoyure en septembre».

Une facture de plus de 100 millions d’euros !

Chargé de porter la parole socialiste dans ce débat, l’élu de la Manche a également évoqué la facture de l’intervention militaire, de plus de 100 millions d’euros à ce jour…

Suite et source: http://tinyurl.com/5s4lwvg

27/06/2011

Borloo parle déjà d’alliance anti-FN…

Ce type est un extraterrestre. Habituellement, dans toutes les élections, « on » attend que la date arrive pour envisager des alliances et toujours contre le Front National. Borloo, lui, prend les devants. Il sait très bien qu’il ne sera pas élu aux présidentielles 2012. On se demande alors pourquoi il a quitté l’UMP? Il veut une alliance des centres dès maintenant. Et si il y parvient, à l’approche de l’échéance, il rejoindra l’UMP. Et lors du second tour, L’UMP s’alliera avec le Parti Socialiste (UMPS…) pour tenter de battre le FN… Comme toujours. C’est ainsi que l’on se rend compte que chez ces gens là, l’identité politique n’est de vigueur que durant les périodes hors élections. Ensuite, sentant le danger, ceux qui se battent bec et ongles entre eux toute le reste du temps, n’hésitent pas à trahir leurs idées premières pour pactiser avec l’ennemi (un UMP votera PS et inversement), et tout cela pour barrer la route au seul mouvement politique qui pourra rétablir la fierté d’être Français.

Le FN ne veut pas d’alliance. Et les dernières cantonales ont prouvé qu’il n’en n’avait pas besoin.

J’ai vécu ça cette année, lors du dépouillement à la mairie de la ville où je vote. Le candidat FN ayant éliminé l’UMP au PREMIER tour, et talonnant le candidat PS, j’ai entendu de mes oreilles le député UMP du coin brailler: « c’est comme ça? Je vote PS au second tour! ». Quelle foi en son identité politique! Ecoeurant ! Ca en dit long sur sur cette alter-gouvernance qui a mis la France dans le piteux état où elle est aujourd’hui.

Marine, vite !

FDF

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Pour Borloo, l’Alliance des centres est «la force anti-FN»…

 
Hervé Morin et Jean-Louis Borloo ont rassemblé, dimanche, 3 000 sympathisants à Épinay-sur-seine.
Hervé Morin et Jean-Louis Borloo ont rassemblé, dimanche, 3 000 sympathisants à Épinay-sur-seine.

Un «pique-nique festif» a réuni dimanche à Épinay-sur-Seine les membres de la future confédération centriste. Sans Bayrou, attaqué par Morin.

Au départ, ce devait être «un petit banquet républicain», parole de Borloo. À l’arrivée, le «pique-nique festif» des membres de la future Alliance centriste a réuni dimanche à Épinay-sur-Seine près de 3000 supporteurs inconditionnels de la candidature à la présidentielle de l’ex-ministre de l’Écologie. Ils ont accueilli leur héros au son de Qu’on me donne l’envie, de Johnny Hallyday.

Jean-Louis Borloo a saisi le message et s’est mis au diapason de ses partisans : «L’Alliance est fondée ici, à Épinay, pour les décennies qui viennent, a-t-il assuré. C’est une force politique alternative entre un PS dépassé par les enjeux du XXIe siècle et une UMP qui s’est rétrécie sur la peur de l’autre, incapable d’entrer dans l’action mais très capable de rentrer dans la dénonciation.» Accusé par l’UMP de faire courir à la majorité le risque d’un «21 avril à l’envers», il a proclamé : «C’est nous la force anti-21 avril, parce qu’on répond aux Français par l’action. Si on laisse s’affronter le vainqueur de la primaire entre énarques socialistes et l’UMP actuelle, je vous garantis qu’on aura un FN au second tour.»

La symbolique d’Épinay, où François Mitterrand remporta le congrès fondateur du PS en 1971, a aussi inspiré les autres orateurs. Hervé de Charette, président de la Convention démocrate, a senti «le souffle d’Épinay, 40 ans après Mitterrand et par 40 °C à l’ombre». Pour lui, «ce souffle a un nom, Jean-Louis Borloo». «Il aura fallu dix ans à François Mitterrand pour aller d’Épinay à la victoire, nous, nous avons dix mois», a renchéri Jean-Marie Bockel, le chef de la Gauche moderne.

Ricanements 

Son homologue du Nouveau Centre, Hervé Morin, a surtout parlé d’un grand absent : François Bayrou. «On me dit de manière assez insistante que les belles sirènes de l’Élysée chantent de plus en plus fort à l’oreille de notre Ulysse du Béarn, que la douce Marielle lui aurait délié la corde qui l’attachait au mât de sa petite embarcation», a-t-il glissé. L’allusion a fait ricaner les initiés présents dans le public, ces ex-UDF qui rendent l’eurodéputée Marielle de Sarnez responsable de la «gauchisation» du président du MoDem. «Voir François Bayrou se rapprocher de Nicolas Sarkozy et, me dit-on, pourquoi pas, appeler à voter pour lui, serait tout de même un grand moment de patinage artistique politique, qui resterait à coup sûr dans l’histoire», a ajouté Hervé Morin, avant de conclure : «Affaire à suivre».

En attendant, ce sont les proches de Jean-Louis Borloo qui défilent à l’Élysée à l’invitation de Nicolas Sarkozy. Son lieutenant Laurent Hénart, député de Meurthe-et-Moselle, a déjà été reçu. Le député maire NC de Drancy Jean-Christophe Lagarde le sera cette semaine.

Source: http://www.lefigaro.fr/

08/06/2011

Elections au Conseil français du culte musulman: « A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire »…

Franchement, il ne fallait pas s’attendre à une autre réaction… Toujours à contester, à pleurer, à « dénoncer », à se plaindre et j’en passe. Ca ne m’étonne pas que ce soit bordélique dans leurs pays d’origine et qu’il faille sans cesse une main de fer au pouvoir pour les rendre « citoyens » . On les connait bien, maintenant, les muzz.

FDF

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CFCM : la Grande Mosquée de Paris conteste la légitimité du scrutin

Il n’a pas fallu attendre longtemps pour que la Grande Mosquée de Paris conteste les élections Conseil français du culte musulman (CFCM) qui se sont tenues dimanche 5 juin.

« Ce scrutin n’est en rien représentatif de la totalité des musulmans de France et des mosquées, puisque deux grandes organisations importantes du CFCM, ainsi que la Grande Mosquée de Lyon n’y ont pas participé, en dénonçant les critères injustes du règlement électoral et les actions hégémoniques de certaines fédérations », indique l’institution dans un communiqué parue lundi 6 juin, qui prend tout de même acte des résultats.

« En effet, une seule équipe (le RMF, ndlr) a eu le « terrain électoral » à elle seule. Et comme dit le Cid de Corneille : « A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire » », estime-t-on. Et d’ajouter que « contrairement aux propos contenus dans le communiqué du CFCM du 5 juin 2011, le « travail collégial » n’a jamais été la forme de gestion de cette institution. »

Non contente de la décision prise par sa fédération régionale Sud-Ouest, présidée par Abdallah Zekri, de participer aux élections, la Grande Mosquée de Paris souligne que les listes présentées en son nom « ont été déposées en violation » des directives de la Fédération nationale (FNGMP), « dont les membres avaient à l’unanimité réclamé un report de ces élections ».

Les listes qui se sont présentées en son nom ont tout de même obtenu trois sièges au sein du bureau national. Elle reste loin du RMF, qui est désormais la première force du CFCM avec 30 élus sur 41 sièges à l’issue du scrutin.

Source: saphirnews.com

15/03/2011

Peuple de France

Encore une bonne raison de ne pas se tromper de bulletin dans les urnes dès ce dimanche…

FDF

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