Francaisdefrance's Blog

13/03/2012

Ca, c’est du « Poutine »…

Photo d’illustration

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Le jour on nous aurons en France un dirigeant de la trempe de Poutine (sensibilité politique en moins), je pense que le pays ira beaucoup mieux.

Tant que nous aurons des guignols…

Voyez la vidéo ci-dessous (Russie : la méthode Poutine pour mater des dirigeants d’industries voraces):

FDF

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http://www.nationspresse.info/?p=163838

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Merci à DG…

23/02/2012

L’immigration d’accouchement…

Les différentes facettes de l’immigration. Une très prisée: l’immigration d’accouchement.

FDF

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Pourquoi viennent-elles accoucher en France?
 
L’accouchement est gratuit (même pour les irréguliers) et le nouveau-né est automatiquement Français. Les parents non-Français, qui bénéficieront d’allocations diverses, sont inexpulsables de fait jusqu’à majorité de leur enfant, autant dire définitivement.
 
 Comment croire nos dirigeants, auteurs de ces lois suicidaires, lorsqu’ils prétendent (en période électorale) vouloir réduire les flux migratoires?

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« Elles accouchent en France pour que leur enfant ait la nationalité française. Dans les maternités, les sages femmes sont absolument consternées. C’est devenu un fléau ! Il y a une immigration d’accouchement maintenant ! (…) Vous avez des gens qui viennent de l’étranger et du jour au lendemain, ils ont la carte CMU. »

NB : A un autre moment de l’émission, Pierre Jovanovic évoque une « guerre civile » à venir.

(merci à Easteregg et Romegas pour la vidéo)

Voir: http://rutube.ru/tracks/5321875.html

Source: http://rutube.ru/

19/02/2012

Petits éclaircissements, pas forcément agréables, sur le MES…

En gros, pour résumer, c’est l’effacement de la souveraineté du peuple. C’est un peu ce qui se passe au Maghreb. Et l’on voit ce que ça donne. Les peuples de l’Europe vont probablement emboîter le pas. La Grèce, d’ailleurs, a déjà commencé… Ca sent le brûlé, en Europe. Mais nos dirigeants ont des problèmes olfactifs…

FDF

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Qu’est-ce que le MES, que les députés sont invités à voter le 21 février ?

Nicolas SARKOZY  vient de redécouvrir le référendum dans ses dernières déclarations démagogiques, comme à son habitude,  pour lancer sa campagne électorale pour l’élection présidentielle des 22 avril et 6 mai prochain.

Nous devons rappeler que lors du référendum de 2005 pour la ratification du traité de constitution européenne, les Français avaient massivement voté contre.

En 2007, ce président soit- disant démocrate, à peine élu, avait fait ratifier en 2008 par la voie parlementaire le traité simplifié de Lisbonne avec la complicité des élus socialistes des deux chambres (Assemblée Nationale et Sénat) sans que le peuple ne soit consulté.

Nous voyons avec quel mépris les élus de la Nation considèrent le peuple Français, alors que tous les faits nous prouvent aujourd’hui que la création de la monnaie unique européenne ( EURO) est à l’origine de tous nos maux actuels lesquels se sont aggravés avec la crise des subprimes ayant pris naissance aux  États-Unis en 2007  et qui a contaminé tout le système financier international,  obligeant  ces mêmes États à le renflouer, pour éviter que celui-ci  ne se termine par une faillite généralisée entrainant tous les États dans un chaos systémique, aux conséquences incalculables.

Après avoir renfloué les banques et les institutions financières internationales, les États se sont retrouvés avec des dettes souveraines abyssales et se sont exposés à la spéculation orchestrée par des fonds de pension, des hedges fund et  autres intervenants  financiers qui les ont fragilisés, les conduisant à prendre des mesures drastiques destinées à réduire l’endettement respectif de leurs dettes publiques et à appauvrir leurs peuples.

Au lieu de réduire leurs dettes publiques 25 sur 27 des États de l’Union européenne  pour sauver la zone euro d’un éclatement qui ne peut être qu’inéluctable,  ont  adopté le 30 janvier 2012 à Bruxelles  un nouveau traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance dans l’union économique et monétaire (TSCG), le traité Merkel Sarkozy  encore appelé pacte budgétaire.

Ce nouveau traité doit être signé le 1er ou 2 mars avant ratification par les États signataires.

Le mardi 21 février, à la demande du gouvernement, l’Assemblée nationale examinera en procédure d’urgence deux projets de loi :

a)    le projet de loi ratifiant la décision du Conseil européen de modifier l’article 136 du TFUE

b)   le projet de loi ratifiant le traité instituant le Mécanisme européen de stabilité (MES)

Ce qui se prépare dans un silence scandaleux alors que ces projets devraient être au cœur des débats dans toute la presse, va au-delà de tout ce qu’on a connu jusqu’ici, au niveau européen, en matière d’abandon de souveraineté, de recul démocratique et d’opacité.

Pour s’en rendre compte, il faut savoir ce qu’est le MES et de quelle procédure on use pour le faire adopter.

Le Mécanisme Européen de Stabilité (MES) : un FMI européen

Le texte définitif du traité instituant le MES a été adopté par les représentants des États membres de la zone euro le 2 février 2012.

Ce MES est destiné à prendre, à partir de juin 2013, la suite des instruments créés en 2010 pour faire face à la crise de la dette. Ce MES et le Pacte budgétaire (TSCG) sont complémentaires : à partir du 1er mars 2013, pour avoir accès aux aides du MES un État devra avoir accepté toutes les dispositions sur l’austérité budgétaire contenues dans le TSCG.

Le MES, dont le siège est fixé à Luxembourg, est doté du statut d’une institution financière internationale bénéficiant des immunités dont jouissent les institutions internationales. Il n’a donc aucun compte à rendre ni au Parlement européen, ni aux parlements nationaux, ni aux citoyens des États membres et ne peut en aucun cas faire l’objet de poursuites. Par contre, doté de la personnalité juridique, le MES pourra ester en justice. Locaux et archives du MES sont inviolables. Il est exempté de toute obligation imposée par la législation d’un État Membre.  Le MES, ses biens, fonds et avoirs jouissent de l’immunité de toute forme de procédure judiciaire.

En cas de litige entre le MES et un État Membre, c’est la Cour de Justice de l’UE qui est compétente.

Les membres du MES sont les États de la zone euro. L’institution est dirigée par un collège composé des ministres des finances des États membres appelés pour la circonstance « gouverneurs ».  Ces gouverneurs désignent un conseil d’administration. Un Directeur général est nommé. Le Conseil des gouverneurs est compétent pour toutes les décisions relatives à l’intervention du MES. Le Conseil d’administration est compétent pour la gestion de l’institution. Le secret professionnel est imposé à toute personne travaillant ou ayant travaillé pour le MES. Toutes les personnes exerçant une activité au sein du MES bénéficient de l’inviolabilité de leurs papiers et documents officiels et ne peuvent faire l’objet de poursuites en raison des actes accomplis dans l’exercice de leurs fonctions.

Le but du MES est de « mobiliser des ressources financières et de fournir, sous une stricte conditionnalité, » un soutien à la stabilité d’un de ses États membres qui connaît des graves difficultés financières susceptibles de menacer la stabilité financière de la zone euro. A cette fin, il est autorisé à lever des fonds. Son capital est fixé à 700 Milliards d’euros. La contribution de chaque État a été déterminée de la manière suivante :

 

Membres du MES Capital souscrit (EUR)
Allemagne 190 024 800 000
France 142 701 300 000
Italie 125 395 900 000
Espagne 83 325 900 000
Pays-Bas 40 019 000 000
Belgique 24.339.700.000
Grèce 19 716 900 000
Autriche 19 483 800 000
Portugal 17 564 400 000
Finlande 12 581 800 000
Irlande 11 145 400 000
République Slovaque 5 768 000 000
Slovénie 2 993 200 000
Luxembourg 1 752 800 000
Chypre 1 373 400 000
Estonie 1 302  000 000
Malte 511 700 000
Total 700 000 000 000

Le plus grave dans ce nouveau  montage financier que nos élites viennent de créer au sein de l’Union européenne, c’est que par ce traité les États s’engagent de manière irrévocable et inconditionnelle à verser quoiqu’il puisse leur en coûter leur contribution au capital du MES.

Il faut savoir que les États de l’Union européenne déjà très endettés devront une nouvelle fois emprunter sur les marchés financiers pour alimenter ce fonds, sans que nous sachions de quelle façon, ces mêmes États pourront un jour rembourser ces crédits, qui viendront se rajouter aux fonds que nous levons chaque année pour tout juste payer les intérêts des dettes souveraines, dont le montant global ne cesse de croître.

Le MES aura tout pouvoir  de décider de revoir la contribution de chaque État  membre, laquelle décision sera imposée de façon automatique.

Lorsqu’un État sollicitera une demande de soutien de stabilité, celle-ci sera  conditionnée à l’accord de  la Commission Européenne, en liaison avec la Banque Centrale Européenne et du FMI.

Cette négociation devra s’inscrire dans le respect du Pacte budgétaire (TSCG)

Le traité entrera en vigueur deux mois après le dépôt des instruments de ratification par les États signataires dont la souscription représente 90% du total.

Les gouvernements signataires viennent de créer un monstre institutionnel contre lequel les États eux-mêmes et les peuples.

Nous assistons, sans que les médias et les politiques ne voient pas grand-chose à redire, à une pression inadmissible du monde de la finance et des affaires, au démembrement  du siège de la souveraineté populaire, l’État, au profit d’institutions échappant à tout contrôle démocratique.

Une procédure illégale

La création du MES exige une modification de l’article 136 du TFUE. Cette modification, qui est possible si on recourt à la procédure simplifiée pour modifier un traité européen, a été proposée par la Commission européenne et adoptée par le Conseil européen le 25 mars 2011. Elle est formulée comme suit :

« A l’article 136, paragraphe 1, du TFUE, le point suivant est ajouté :

Les États membres dont la monnaie est l’euro peuvent établir un mécanisme de stabilité pouvant, si nécessaire, être activé dans le but de préserver la stabilité de la zone euro dans son ensemble. L’octroi de toute aide financière en vertu du mécanisme sera soumis à de strictes conditionnalités. »

Il est précisé que la base légale de cette modification de l’article 136 du TFUE, via la procédure simplifiée, est fournie par l’article 48, paragraphe 6, du TUE.

Or, cet article stipule, en son §6, alinéa 3, qu’une décision prise sous le régime de la procédure simplifiée « ne peut pas accroître les compétences attribuées à l’Union dans les traités. »

La création du MES pose en réalité des problèmes de compétence entre le MES et les institutions de l’Union.

Les partisans du MES tentent de nous expliquer de façon spécieuse que comme le MES ne serait pas une institution de l’Union il n’aurait pas d’accroissement de ses compétences.

En réalité, cette interprétation ne peut être jugée recevable puisque le traité créant le MES indique sans ambigüité que le MES implique directement la participation de la Commission européenne, en cas  de litige, celle de la Cour de Justice de l’EU, deux institutions de l’Union.

De plus, au sein du MES, le Commissaire européen en charge des affaires économiques et monétaires  y aura un poste d’observateur. C’est la Commission européenne qui sera mandatée pour imposer à l’État concerné les conditions d’une intervention du MES.

Il n’est pas contestable que le MES diminue les pouvoirs des États membres et augmente les compétences attribuées à l’Union, en particulier les pouvoirs de la Commission européenne.

Le projet de loi soumis le 21 février à l’Assemblée nationale pour ratifier la modification à l’article 136 du TFUE vise donc à permettre une extension des compétences de l’Union européenne en toute illégalité.

Un coup d’État?

Qu’est-ce qu’un coup d’ État ? C’est le remplacement d’un pouvoir légitime, issu du peuple, par un pouvoir qui ne l’est pas.

Le transfert, en toute illégalité, à des autorités européennes et internationales qui ne sont soumises à aucun contrôle démocratique de pouvoirs qui relèvent pas nature de la souveraineté populaire s’apparente à un véritable coup d’État.

Les gouvernants qui sont à la manœuvre manifestent leur plus total mépris du respect des exigences démocratiques. Par des artifices de procédure, en interprétant abusivement des règles dont ils se moquent, ils se font les complices d’une entreprise de démantèlement de la démocratie et d’effacement d’un acquis fondamental dans l’histoire de l’humanité : la souveraineté du peuple.

Deux traités antidémocratiques

Les deux traités que sont le  MES et le Pacte budgétaire(TSCG) vont avoir pour conséquence de déposséder les peuples de tout pouvoir en matière budgétaire, comme ils ont été dépossédés de la manière dont l’Euro était géré par la Banque Centrale Européenne.

Rappelons que la démocratie est née progressivement du droit réclamé par les peuples de contrôler les dépenses des gouvernants. La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, adoptée le 26 août 1789, en son article XIV, proclame que « Tous les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs Représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée. »

C’est ce droit fondamental qui leur est aujourd’hui enlevé.  En violation d’une disposition inscrite dans la Constitution de la République : « Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l’homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946 (…). »

Ceux qui approuveront les deux projets de loi soumis le 21 février approuveront le TSCG puisqu’ils sont étroitement liés. Les promesses de renégociation de ce dernier perdent leur peu de crédibilité si leurs auteurs approuvent le MES.

Ces deux traités MES et TSCG confirment que la construction européenne s’est définitivement éloignée de l’idéal démocratique.

Ces deux traités sont, contrairement à ce qu’affirme Hollande, étroitement liés. Ils alimentent l’un et l’autre transfert de pouvoir et perte de souveraineté rendant possible une totale mise sous tutelle financière et budgétaire des États et des peuples.

La France est la première à engager la procédure de ratification du MES. Des mouvements d’opposition se lèvent dans plusieurs pays signataires qui interpellent les élus sur leur attitude future.

Si ces deux textes soumis le 21 février sont adoptés, il est indispensable que soit saisi le Conseil constitutionnel. Y a-t-il, dans le Parlement du pays qui a donné au monde les progrès de 1789, 60 députés et sénateurs pour soumettre au respect de la Constitution des traités qui la violent ?

Que vont faire les élus de l’Assemblée Nationale ? Vont-ils continuer à bafouer impunément le peuple Français ou auront-ils le courage de ne pas voter ces deux textes.

Il est à craindre que nos députés n’aient pas ce courage de redonner au peuple la parole alors que nous avons un président-candidat qui ose sans vergogne et avec cynisme nous dire que s’il était réélu, il n’hésiterait pas à consulter les Français par la voie référendaire.

Les peuples se retrouvent face à un pouvoir technocratique qui ne fera que renforcer leur méfiance envers les élites qui se sont éloignées de l’intérêt général au profit d’intérêts particuliers qui sont en train de confisquer à chaque peuple souverain le droit de choisir  leur destinée dans le concert des États-Nation.

Nous devons exiger que les États-Nation  recouvrent leur entière et pleine souveraineté si nous voulons éviter que l’appauvrissement des peuples ne s’accroissent et ne face basculer le monde dans l’abîme, comme est en train de le faire la Troïka ( La Commission européenne, la BCE et le FMI) avec la Grèce au nom d’un dogme et sous la pression des oligarchies financières.

Fabrice LETAILLEUR

http://lebloglaicdechamps.over-blog.com/

Source:  http://ripostelaique.com/

04/02/2012

Aide à la Grèce: acharnement thérapeutique ?

Dessin pillé chez Fred

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On se demande, en fait, qui va pouvoir sauver la France. Car ne rêvons pas: nous allons subir le même sort économique… Sortez vos chéquiers, déjà, pour sauver la Grèce.

FDF

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La zone euro pourrait devoir apporter 145 milliards à la Grèce

Ces fonds viendraient en complément à l’effort que s’apprêtent à consentir les créanciers privés d’Athènes. Pour le Premier ministre grec Lucas Papademos, ces accords sont imminents.

Les gouvernements de la zone euro pourraient devoir apporter jusqu’à 145 milliards d’euros de financements publics à la Grèce dans le cadre du second plan d’aide au pays actuellement à l’étude, ont indiqué vendredi 3 février plusieurs sources européennes.

Ces fonds viendraient en complément à l’effort que s’apprêtent à consentir les créanciers privés d’Athènes en acceptant une décote de 50% au moins sur leurs obligations grecques et permettraient au pays de ramener sa dette à environ 120% de son produit intérieur brut d’ici 2020.
« C’est principalement à cause du besoin de recapitalisation des banques grecques après la participation du secteur privé (à la restructuration de la dette) », a dit l’une des sources.
En octobre dernier, les membres de la zone euro s’étaient engagés à contribuer à hauteur de 130 milliards d’euros à ce nouveau plan d’aide, destiné à prendre le relais d’un premier programme de prêts bilatéraux de 110 milliards d’euros décidé en mai 2010.
« La phase finale »
De son côté, le Premier ministre grec Lucas Papademos s’est montré confiant sur la perspective d’un accord dans les jours à venir. « Nous sommes dans la phase finale d’une procédure très cruciale du nouveau programme économique de la Grèce et de la finalisation de l’accord qui va alléger la dette publique et assurera le financement du pays pour les prochaines années », a t-il indiqué dans un communiqué vendredi.
Le Premier ministre grec parie sur un accord simultané, avec d’un côté les créanciers publics (UE, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international), et de l’autre les investisseurs privés

Source: http://www.challenges.fr

03/02/2012

Discrimination à l’embauche? Les musulmanes ne pourront pas postuler…

Pole emploi offre un emploi de strip-teaseuse à 12€/h

J’ai trouvé ça pas mal… Excellent, même…

J’ai trouvé aussi du grain à moudre au MRAP, SOS Racisme, la Halde, aux Droits de l’Homme, et tant d’autres; merci qui ?

FDF

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Photo d’illustration

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« Recherche strip-teaseuse, 12 euros de l’heure. Au sein d’un établissement privé vous interprétez des œuvres chorégraphiques avec des techniques classiques du strip-tease topless, du mercredi au samedi. Horaires: de 21h à 5h du matin. »

http://www.elle.fr/Societe/News/Une-educatrice-recoit-une-offre-d-emploi-de-strip-teaseuse-1894502

Il semble qu’offrir un emploi exclusivemlent féminin ne tombe pas dans la discrimination à l’embauche car c’est un emploi que” seules les femmes peuvent occuper”.

Je ne suis pas juriste mais il me semble qu’il y a dans cette affirmation des choses à plaider car il existe aussi des hommes stri-teasers. Il me semble qu’il y a là un glissement sérieux dans l’infraction à la loi sur la non discrimination au travail.

Quelques exceptions peuvent toutefois concerner le sexe et l’âge du candidat recherché.

Ainsi, lorsque l’appartenance à l’un ou l’autre sexe détermine l’exercice d’un emploi, celui-ci peut être expressément réservé à une femme ou un homme. C’est le cas des offres d’emploi destinées aux artistes, mannequins et modèles.

L’emploi de personnel féminin est également interdit pour certains travaux dangereux (travaux souterrains des mines et carrières par exemple).

L’emploi de jeunes en dessous d’un certain âge est lui aussi interdit dans certains cas. 

En outre, l’accès à certains emploi à des jeunes et des travailleurs âgés peut être admis s’il repose sur des motifs objectivement et raisonnablement justifiés par un but légitime, notamment par le souci de préserver la santé ou la sécurité des travailleurs.    http://vosdroits.service-public.fr/F1642.xhtml#N1008C

Une strip-teaseuse est donc une artiste, un mannequin ou un modèle.

Sachant que les strip-teaseuses sont considérées comme des prostituées et sinon qu’elles sont sollicitées comme telles. Sachant qu’on a longtemps assimilé les artistes aux femmes de mauvaise vie, des “danseuses” entretenues par des papas gâteaux (sugar daddy). Sachant que les modèles, si elles ne sont pas top (model) sont obligées de coucher pour avoir du boulot (comprendre harcèlement sexuel et viol). Sachant que dans l’imaginaire masculin toutes les femmes sont des putes sauf maman…je supppose que Pole emploi va bientôt offrir sans se dissimuler derrière l’euphémisme de strip-teaseuse” des emplois de prostituée, comme c’est le cas dans les pays où la prostitution est légale (Allemagne, Belgique, Pays-bas).

Qu’un organisme d’Etat comme Pôle emploi soit complice de l’exploitation du corps des femmes est un scandale !

Que Pôle emploi ose proposer à des femmes un emploi payé 12€/h pour travailler la nuit, c’est un scandale ! Scandale que cette paye de misère pour un travail dégradant et dangereux. Scandale au regard de ce que rapporte le corps des femmes aux maquereaux de tous genres. Que Pôle emploi accepte de diffuser une telle offre en dit long sur le mépris de notre société vis-à-vis des femmes.

Doit-on comprendre que Pôle emploi teste les demandeuses d’emploi et la société dans une optique de réouverture des maisons closes, de légalisation de la prostitution et de déconsidération des femmes et de leur travail pour qu’en période de chômage et de crise elles quittent le terrain de l’emploi, restent à la maison et pondent des moutards ?

Et si strip-teaseuse et prostituée deviennent des métiers comme les autres, les ligues morales catholiques et musulmanes en particulier, auront beau jeu de surveiller leurs filles, de les enfermer et de les reléguer dans une sous-vie au service des mâles. C’est déjà ce à quoi nous assistons avec les voiles et autres chiffons musulmans contre la dépravation occidentale.

Que dans notre pays les femmes sont discriminées, méprisées, exploitées, je ne cesse de le prouver …Mesdames, réveillez-vous !

Source: http://laconnectrice.wordpress.com/

17/01/2012

On vient de perdre le « triple A » mais on accorde une subvention de 750 000 euros à la Tunisie !

Je me pose sérieusement la question: notre gouvernement comprend il bien tous les signes qui lui sont envoyés? La perte du triple A était un dernier avertissement. Ben non; ça ne suffit pas. On continue à balancer nos euros à droite à gauche… Quel pays!

FDF

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Une convention de subvention 750 000 euros a été signée entre l’ Agence française de développement, l’ ambassade de France et le Pôle de compétitivité de Sousse.

subvention tunisie Subvention de 750 000 euros à la Tunisie

Dans le cadre du Programme de renforcement des capacités commerciales (PRCC) mis en œuvre par les ministères français de l’Economie, des Finances et de l’Industrie et l’Agence française de développement (AFD), une convention de subvention de 750 000 euros a été signée le 10 janvier 2012 entre l’AFD, l’ambassade de France et le Pôle de compétitivité de Sousse, visant à renforcer les capacités commerciales en termes d’activité et de développement concret des exportations.

Le secteur des Industries mécaniques électriques et électroniques (IMEE), domaine de compétence du Pôle de compétitivité de Sousse, est aujourd’hui le premier secteur d’exportation de la Tunisie.

source: babnet.net

09/01/2012

“La France survivra-t-elle à l’invasion migratoire ? “ Conférence le 16 janvier à Paris.

Dessin pillé chez Novopress

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Ohhhhhhhhh, à ne pas manquer, cette conférence, pour celles et ceux qui pourront y assister. On devrait y apprendre bien des choses. Si la censure n’interdit pas son déroulement. Ben oui, le « politiquement correct », ça bastonne où ça veut, quand ça veut…

FDF

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« Nous verrons si la problématique de l’immigration ne doit pas être réexaminée en termes de collaboration et de résistance.
En l’absence de résistances nationales, Caldwell pense que les pays européens disparaîtront, comme Byzance a disparu devant l’Empire ottoman.

La France est une des plus concernée dans cette marche vers l’auto-destruction.
Nous parlerons de tout cela le 16 janvier. D’ici là je vous adresse mes meilleurs vœux pour 2012. »

C’est  clair non???
Face au laxisme  et au désintéressement total de nos dirigeants et politiques  LA RESISTANCE DOIT S’ORGANISER

Source :  http://fr.novopress.info/

JC JC…

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La France survivra-t-elle à l’invasion migratoire ? Une conférence d’Yvan Blot


Yvan Blot, contributeur régulier de la fondation Polémia, donnera une conférence sur le thème “La France survivra-t-elle à l’invasion migratoire ? “  le 16 janvier 2012, à 19h30 à l’Hôtel Néva, 14 rue Brey 75017 Paris.

AGIR POUR LA DEMOCRATIE DIRECTE
73, rue de la Faisanderie 75116 PARIS. Courriel : atheneion@free.fr

site web : www.democratiedirecte.fr



Conférence d’Yvan Blot
La France survivra-t-elle à l’invasion migratoire

Le lundi 16 janvier 2012 à 19h30
à l’Hôtel Néva (rez-de-chaussée)
14 rue de Brey – 75017 Parie (près de l’Etoile)

Un livre d’avertissement est paru aux Etats-Unis et vient d’être traduit en français : Une révolution sous nos yeux ; comment l’Islam va transformer la France et l’Europe de Christopher Caldwell avec une préface de la démographe Michèle Tribalat.
Ce livre traite surtout de l’immigration musulmane et fait un sombre pronostic sur l’avenir de la civilisation européenne. Il met en valeur le profond fossé entre les élites dirigeantes auto-satisfaites et moralement pharisiennes et le peuple qui se situe sur « le front de l’immigration » dans la vie quotidienne.
Il est vrai que l’immigration de populations culturellement non européennes est un problème très grave que les élites négligent quand ils ne s’en font pas complices. On est censé être en démocratie mais quand avons-nous été consultés pour accepter une immigration de masse dans notre pays ? Jamais (à la différence ses Suisses).
Et pourtant, celle-ci pose des problèmes économiques, politiques, culturels et religieux.

L’économie et les migrations
Dans ce domaine, il y a beaucoup de fausses idées : on prétend que l’immigration est nécessaire mais c’est un raisonnement à très court terme caractéristique des oligarques au pouvoir qui méprisent le long terme. Elle a été traitée comme si les hommes étaient des matières premières interchangeables et son coût a été négligé. De plus, comme l’a montré l’économiste libertarien Hans Hermann Hoppe, le libre échange vaut pour les biens et services mais non pour les hommes. Un échange économique repose sur la volonté d’un vendeur et d’un acheteur exprimés dans un contrat. Ce n’est pas le cas de l’immigration où l’avis des receveurs n’est pas pris en compte. Un produit ne viendra pas en France de lui-même mais avec les hommes c’est différent. Le résultat est que la liberté des citoyens est bafouée par une immigration forcée.

La politique et les migrations
Nous verrons l’impact de l’immigration de masse sur notre politique étrangère dans un contexte de perte de souveraineté. Puis nous verrons son impact sur la politique intérieure, occasion de voir comment l’oligarchie trahit tout simplement les intérêts du peuple français. De plus, cette oligarchie s’est attaquée à la liberté d’expression afin que le débat sur l’immigration soit étroitement encadré.

Aspects culturels de l’immigration
Notre culture nationale est discréditée par la repentance alors que les immigrés culturellement non européens forment peu à peu des sociétés parallèles avec des privilèges particuliers. Certes, cette société parallèle demeure minoritaire mais l’histoire est pleine de minorités qui ne se sont pas contenté d’habiter un pays mais qui l’ont remodelé. Les bolcheviks en 1917 étaient une minorité à Saint-Petersbourg mais leur détermination leur a permis de prendre le pouvoir. On est aujourd’hui face à un processus de colonisation culturelle et non de simple immigration d’individus prêts à se fondre dans la nation. Face à l’agressivité des lobbies immigrés qui réclament toujours plus de privilèges de l’Etat, notre culture est en pleine dérive et ne permet pas de présenter un modèle qui permettrait l’intégration. Celle-ci ne se fait que marginalement. Il ne faut pas alors s’étonner des hauts taux de criminalité de la population étrangère et des émeutes qui éclatent ça et là dans les banlieues.

Aspects religieux de l’immigration
La France espère éviter la formation d’un islamisme extrémiste sur notre sol grâce à son héritage laïc. C’est là encore une illusion. Beaucoup de djihaddistes sont prêts à sacrifier leur vie pour leur religion islamique : qui est prêt à sacrifier sa vie pour la laïcité ? La laïcité est un sabre de bois face à un Islam conquérant. Le dynamisme islamique s’oppose au déclin du christianisme protestant et catholique. Un vide religieux se créé et menace ainsi notre identité. Une société peut-elle survivre à la disparition de son socle religieux ? On peut en douter. En Europe, seule la Russie pratique, tout en étant laïque, une promotion de l’Eglise orthodoxe considérée comme inséparable de l’identité nationale. La Pologne a montré comment une religion forte permettait de s’opposer au marxisme. Le sociologue Jules Monnerot a qualifié l’islam de « communisme du 21e siècle ». Si c’est le cas, nous devons revoir aussi la place de la religion dans la société française. Sur le sujet de l’Islam, on constate encore une fois que les élites ont une opinion très différente du peuple. Ce dernier a peur. En fait, à tout moment de l’histoire, lorsqu’une invasion étrangère s’est produite, une grande partie des élites dirigeantes, les oligarques, ont pris le parti de la collaboration.

En conclusion, nous verrons si la problématique de l’immigration ne doit pas être réexaminée en termes de collaboration et de résistance. En l’absence de résistances nationales, Caldwell pense que les pays européens disparaîtront, comme Byzance a disparu devant l’Empire ottoman. La France est une des plus concernée dans cette marche vers l’auto-destruction. Nous parlerons de tout cela le 16 janvier. D’ici là je vous adresse mes meilleurs vœux pour 2012.
Yvan Blot
2/01/2012

05/01/2012

Merci l’euro !

Allez; un peu d’humour pour changer… Et ce n’est même pas anti-muzz. (Faut que j’aille consulter, moi…).

FDF

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Merci à DG…

20/12/2011

Implosion française: tenez vous prêts.

Pas mal ce billet de Lucien SA Oulahbib; pas mal. Un peu défaitiste mais éclairé.

FDF

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L’implosion française : comment cela peut se passer…

Suite à l’effondrement des finances publiques et l’arrêt de l’arrosage en matières de subventions diverses sur les quartiers sensibles les réseaux islamistes financés par l’Arabie Saoudite vont prendre le relais et affirmer leur domination à coup de chantage à l’émeute puisque faute d’argent frais (surtout lorsque la France va être dégradé double A en attendant pire) nombre d’assistés volontaires ne vont pas manquer de se révolter d’ici quelques mois.


Déjà, sentant le vent tourner, les milices néo-staliniennes -soutenues par le bras droit de Hollande-empêchent une Marine Le Pen de parler à l’Université Dauphine (comme au bon vieux temps des années 30 où les staliniens allaient casser du social-dem en compagnie des S.A) tandis que les officines gouvernementales traitent de traitre une Jeannette Bougrab soucieuse de dire ce qu’elle pense sur ce qui se passe aujourd’hui dans les pays de l’islam réel.


L’une de ces milices, l’Union des Étudiants Juifs de France, (l’UEJF), a en fait agi de manière bien plus grave que ces rabbins qui répercutaient les ordres de rassemblement au Vel d’hiv donnés par la Préfecture : bien plus grave parce que ces rabbins ne le faisaient pas volontairement alors que l’UEJF en participant avec SOS Racisme et d’autres officines à une action illégale anti-républicaine, a, sciemment, donné son aval à ces mouvements totalitaires qui traînent devant les tribunaux tout critique de l’islam alors qu’ils vont casser le meeting d’un parti légal dont le programme est en réalité assez proches d’eux en matière d’Etat fort, et de diatribe anti-libérale. L’UEJF se comporte en « soumis » anticipant la domination de ceux qui veulent non seulement le démantèlement d’Israël, mais aussi celui de la France. C’est écoeurant. On peut être en désaccord avec le FN sauf ce qu’il dit n’est pas pire que les propos d’un Mélenchon désireux de briser les reins aux « spéculateurs » pour commencer, aux riches à la fin et ainsi de suite…


Donc cela s’effondre… Le retour au franc permet certes de faire fonctionner la planche à billets, Bayrou anticipe déjà en appelant à consommer français puisque la demande en excès va faire pression sur une offre qui devra uniquement être française puisque l’achat de pièces étrangères sera à terme condamnée car il faut des devises ; impossible à détenir par ailleurs en cas de perte de convertibilité du franc. Bien sûr, la livre sterling, le dollar, le yuan, font appel à leur banque centrale pour renflouer les trous, sauf que l’on peut pas à la fois critiquer ces pays pour leur inflation qui favorise la spéculation, et faire comme eux jusqu’à la catastrophe : la perte de convertibilité, à l’instar du dinar algérien…


Et en cas de contraction mondiale, les choses n’iront qu’en s’aggravant, jusqu’à la cessation de paiements et donc la révolution pour le meilleur comme pour le pire. Tenez-vous prêts.

Lucien SA Oulahbib 7/12/2011

http://www.resiliencetv.fr/?p=9882

14/12/2011

Triple A, mon amour…

Intéressant billet pillé à Michel de Poncin…

FDF

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Ce fameux triple A est devenu l’idole absolue devant laquelle chacun est obligé de s’incliner. Les nouvelles se bousculent à vive allure et ressemblent à un étrange ballet : un pas en avant, puis un pas en arrière. La prétendument vertueuse Allemagne est elle-même menacée ainsi que d’autres pays européens dont la vertu est indiscutable. Standard and Poor’s a craché du venin de son magnifique gratte-ciel à New-York. Loin de nous, l’idée de nous réjouir des perspectives plus ou moins nettes de perte ou de dégradation de la note de la France. Nous remarquerons seulement que certains pays et non des moindres ont perdu leur mascotte sans dommages apparents.

Le pouvoir, en France, affiche une crainte panique en invoquant un intérêt général dont il prétend être le seul juge. La vraie raison est sa fureur dépensière. Ne voulant absolument pas décider des mesures bien connues pour libérer la croissance, il souhaite continuer à dépenser sans mesure : la perte ou la dégradation augmenterait le coût de ses emprunts. Une analyse plus fine conduit à s’interroger sur la franchise de ses cris d’alarme : est-il sincère ? Répondre est impossible tant les campagnes électorales se déroulent dans des ténèbres complexes et malodorantes.

Beaucoup en profitent pour accuser les marchés que l’on assimile aux agences de notation : la confusion est totale. Il y a trois entités distinctes : la réalité économique, les agences de notation et les marchés. Les agences sont des business comme d’autres. Malgré leurs prétentions, elles se trompent souvent ; elles se sont trompées sur la Grèce entraînant dans l’erreur beaucoup d’acteurs. Leur personnel est-il vérolé par l’idéologie mondialiste en vogue ? C’est probable. Elles saluent favorablement des pas pourtant très mesurés vers plus d’Europe, alors que la CEE est largement à la source de la panne de croissance dont elle se plaint amèrement.

Les marchés représentent le juge final contre lequel il est impossible de lutter dans le long terme. Dans le court terme il arrive qu’ils réagissent favorablement sur des apparences. Comme les agences ils saluent par des hausses les légères avancées vers l’Europe.

LES FAUSSES IDEES

Le comportement des acteurs est à la croisée de plusieurs idées erronées.

L’idée que la sainte croissance résoudrait tous les problèmes , permettant, en particulier, d’arrêter les déficits, lesquels durent depuis 37 ans. Pour atteindre les critères de Maastricht, il faudrait plus de 7% de croissance ; le taux de 7% n’est pas impossible en soi, mais il y a aussi l’immensité des dettes à rembourser. L’action sur le déficit budgétaire est un peu l’arbre qui cache la forêt. Le seul objectif raisonnable serait de créer un surplus budgétaire à l’image de certains pays.

Le point essentiel est l’importance de l’endettement public global. A supposer que le déficit budgétaire soit réduit, les conséquences seraient minimes si par ailleurs l’endettement global des pouvoirs publics et de toutes les succursales para publiques augmentent par la création de nouvelles dettes. En plus; l’action sur les déficits se traduit par le déluge d’impôts ce qui est contraire à l’objectif prétendu de la croissance

Quels sont les moyens pour stimuler la croissance ? Nous nous heurtons ici à l’idéologie du « tout-Etat » qui pénètre partout les esprits. Stimuler la croissance par l’intervention de l’État est se condamner à l’échec. La croissance ne peut venir que des acteurs privés et, notamment, des entreprises qu’il faut libérer de tous les obstacles qui les freinent.

Un autre objectif énoncé officiellement est de sauver l’Euro. L’Euro est une très mauvaise idée en soi et cela n’empêche pas de le sanctifier. En plus, il cache un objectif plus ambitieux qui est de sauver l’Europe. L’Europe est un conglomérat à 27, bientôt à 28. Il est ingouvernable et livré à de richissimes Commissaires agissant pratiquement sans contrôle véritable. La richesse incomparable de l’Europe et ses multiples entraves, avec l’inondation des directives et des recours juridiques, expliquent la panne de croissance dont elle est le théâtre. Au « tout État » qui détruit l’économie française se superpose le « tout Super État ». L’idéologie européenne est tellement présente que la seule perspective de voir les budgets des États membres examinés par les gnomes de Bruxelles rempli d’aise les médias. On va jusqu’à évoquer des sanctions quasi automatiques pour les États qui ne respecteraient pas les consignes de Bruxelles : quel beau « bazar » en perspective. Le véritable objectif est une gouvernance économique de l’Europe ce qui est le contraire de la liberté.

LA REGLE D’OR

Tout ce remue-méninges est proche d’accoucher d’une souris. On présente comme un remède miracle, un accord éventuel, faute de mieux, pour l’inscription dans les constituions d’une règle d’or. Ce système est supposé supprimer les déficits publics dont les politiques sont seuls responsables. Incapables de modérer leurs furies dépensières, ils se ficelleraient eux-mêmes les mains. N’importe quel économiste ou juriste sérieux observera que cette règle ne serait qu’une simple barrière de papier sans aucun effet pratique. D’autre part, l’objectif de cette règle d’or serait limité uniquement aux déficits annuels qui sont, certes, l’une des causes principales de l’endettement croissant, mais pas du tout la seule. Nulle part, il n’est question d’interdire purement et simplement toute création de nouvelles dettes.

Pour terminer, rassurons-nous. Nicolas Sarkozy et Angela Merkel se sont embrassés publiquement et l’idée de la nécessité du couple franco-allemand est ainsi sacralisée. La question est : qui donne le baiser de Judas ?

Michel de PONCINS

Source: http://www.libeco.net/

27/11/2011

La fin de l’euro ne serait pas du pipo…

Quelques infos qui nous le prouvent… Ca va faire mal. A mon avis, les élections 2012 vont passer au second plan; et pour cause.

Le mur n’est plus très loin et le choc risque d’être brutal pour ceux qui ont voulu fermer les yeux et ceux qui y croyaient…

FDF

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Olivier Sarkozy annonce la fin du bal pour l’euro

Hier, sur CNBC (chaîne américaine), OLIVIER SARKOZY, demi-frère de qui vous devinez et qui occupe un poste très important parmi les dirigeants du CARLYLE GROUP, a annoncé que « L’euro allait exploser avant trois mois »« Nous sommes tout proches du point de non retour ».

Cette déclaration survient au moment où l’Allemagne a du mal à trouver de l’argent sur les marchés… C’est la banque centrale allemande qui a dû acheter une partie des obligations allemandes, lors de la dernière émission ! (Source)

  http://www.wikistrike.com/article-l-euro-explose-avant-trois-mois-olivier-sarkozy-demi-frere-de-nicolas-89684607.html

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Vendredi 25 novembre 2011Euro : « on va droit au désastre » (Jacques Attali)

L’économiste, dirigeant de PlaNet Finance, qui a présidé la Commission pour la libération de la croissance française, donne sa vision de la crise économique qui paralyse l’Europe…

La maison Europe brûle. La crise des dettes souveraines menacent la zone euro. Les dirigeants peinent à trouver la parade. Et pourtant il y a urgence. Dans une interview à 20  Minutes, l’économiste Jacques Attali estime qu’il y a plus d’une chance sur deux pour que la monnaie unique disparaisse d’ici la fin de l’année

Faut-il craindre la perte par la France de son AAA que les marchés semblent avoir déjà anticipée ?

http://www.wikistrike.com/article-euro-on-va-droit-au-desastre-jacques-attali-89779248.html

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Vendredi 25 novembre 2011  Londres se prépare à la fin de la zone euro qui prendra feu sous le sapin

Londres se prépare à la fin de la zone euro, mais les « plans » sont flous

Londres (awp/afp) – Les autorités britanniques évoquent désormais ouvertement des « plans » pour faire face à un démantèlement de la zone euro, demandant en particulier aux banques de s’organiser en conséquence, mais les mesures envisagées restent à ce stade particulièrement floues.

http://www.wikistrike.com/article-londres-se-prepare-a-la-fin-de-la-zone-euro-qui-prendra-feu-sous-le-sapin-89843341.html

25/11/2011

Alerte rouge !

Vous allez comprendre pourquoi avec le PPS qui suit.

FDF

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Ici: revolte

23/11/2011

Dette souveraine des Etats = bénéfices souverains pour les banques…

Et oui; merci à la mondialisation et à l’UMP/S…

FDF

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Document à diffuser sans aucune réserve, dans ces conditions de gestion de la dette « dite » souveraine, La France, comme les autres pays de l’union, victimes du traité de Lisbonne, n’en finiront jamais de creuser le gouffre du déficit. Si la dette est souveraine pour les états, le bénéfice est souverain pour les banques privés.

Il y a de quoi s’indigner ! Lors de l’effacement (ou « décote » ou « restructuration » d’une « dette » en monnaie scripturale), il ne s’agit, pour les banques prêteuses de crédits, que d’une « perte comptable » : aucun employé de la banque ne perd quoi que ce soit dans son compte personnel, contrairement à un prêt en argent réel. Grâce à cette méthode de création de la monnaie, la Suisse se situe loin des pays endettés : … suite sur http://dbloud.free.fr/monnaie.htm

01/11/2011

L’euro prend l’eau… La « crise » a bon dos.

Bien, Gilbert; bien…

FDF

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L’EU-ROBLOT

« On est sonné par l’amoncellement des chiffres. Il faudra faire six à huit milliards d’euros d’économie. Or, l’État, à lui seul, dépensera en deux mille douze 5 milliards d’euros de plus qu’en deux mille onze, dont 3,4 milliards d’euros viennent de l’augmentation de la charge de la dette… Il va falloir trouver six à huit milliards d’euros, selon le chef de l’État en chef des dettes françaises. La croissance pour l’année prochaine sera ramenée de 1, 75 % à 1 %… L’agence Moody ‘s place sous surveillance la note de l’État français. On est dans une situation dramatique. La Chine pourrait prêter aux mendiants européens 70 milliards d’euros. La grande philanthrope, honnie hier, pour ses violations répétées des droits de l’homme, qui fait payer à la famille la balle du condamné, possède aujourd’hui toutes les qualités. On oublie tout ! On ne s’indigne plus. Un indigent peut-il s’indigner ? On abdique notre souveraineté devant le souverain qui paye. Pourquoi faudrait-il refuser, argumente le marchand de tapis de l’Élysée ? Il pourrait traduire « on prend le fric où on le trouve »  L’argent n’a pas d’honneur, même s’il a une odeur.  L’Allemagne dicte sa loi financière en ne voyant que ses intérêts. Merkel est présentée comme la bonne marraine de l’Europe par M Langguth. Une marraine qui mange le petit poucet paresseux. Elle n’a cédé sur rien. Paris a renoncé à toutes ses prétentions. Le FESF ne sera pas une banque. Les établissements financiers ont dû accepter une décote de 50 % de la dette grecque. On gagne du temps parce que le temps, ici, c’est l’argent des autres, les contribuables, dont le nom commence par un aveu de vérité. On crie victoire ! L’euro est sauvé, même s’il prend l’eau comme un rafiot monétaire.Les candidats se disputent la dépouille d’un pays qu’ils ont tous dépecé par leur aveuglement, leur lâcheté et leur démagogie, à droite comme à gauche. Quelle confiance accorder à des responsables qui ne voient rien venir, qui dorment sur l’oreiller douillet de leurs avantages, qui livrent le pays aux menottes monétaires de la Chine et de l’Allemagne ? Les gens ne comprennent plus rien. On les enfume dans des débats où la pseudo science économique des uns le dispute à  la pseudo science des autres, où la crise, entité insaisissable, expliquerait tout, où ce n’est la faute à personne. Mais à quoi cela sert –il de gouverner ? À quoi cela sert-il de siéger au parlement, au sénat ? À quoi cela sert-il d’avoir une voix ? L’erreur de diagnostic sur la dette date de 2007 !   Il y a bien une cause à ce merdier  qui nous ruine, nous sacrifie, nous humilie, nous endette pour des décennies, nous vassalise, comme des valets de la finance internationale, nous dépossède de toute souveraineté ? Cette cause c’est l’euro dont on ne voulait pas, mais qu’on nous a imposé avec mépris et dont les eurôlatres ne veulent pas reconnaître l’inéluctable faillite parce qu’elle stigmatise leur incompétence, leur volonté à ne pas voir la réalité. Et personne n’a la volonté de voir, à l’exception de Marine Le Pen, qui prêche dans le tohu – bohu médiatique des chiffres typiquement énarquien, derrière lesquels se cache la souffrance réelle, mais occultée,  des peuples. Quand on dénonce la folie des grandeurs des dirigeants ( l’euro est surévalué d’au moins 30 %),  qui ont vu grand en faisant payer aux petits le prix du pain, du café, du loyer, de la nourriture, de l’assistanat, à un prix jamais atteint dans l’histoire économique, on est traité de ringard bon pour la caverne par une Pecresse pincée comme une pince à billets, ou bien on est accusé de se réfugier dans la maison par un Vals qui barytonne son argument tellement préparé qu’il sent l’huile de coude des camarades communicants. D’abord, la maison, c’est une bonne chose. Ensuite, rompre ce n’est pas fuir, c’est éviter la décimation, qui frappe les soldats, ici, les contribuables, mais qui épargne toujours les généraux à l’abri dans leur palais de palabres. Essayer prudemment, dans une démarche calculée, étudiée, chiffrée, concertée de sortir du guet-apens monétaire, ce n’est pas du repliement, du nostalgisme, c’est du modernisme pragmatique. Ce type d’argument ressassé par l’UMP et Le PS, toujours en harmonie pour ringardiser l’autre, est aussi absurde que de dire à un médecin qui arrête l’hémorragie « vous retournez à la médecine de l’apothicaire » ! Ces gens-là, ces mous, ont peur du combat. Ils subissent. Ils ne croient plus en la France qui se relève. C’est le pire ! La preuve,  c’est que l’idée de revenir au Franc les rend malades, comme si on les privait d’une béquille ruineuse. Et l’on entend toujours la même rengaine, « on ne peut pas sortir de l’euro, la France subirait une attaque financière, ce serait le repliement, on ne pourrait pas financer. »  On a quand même vécu avec le franc ; les anglais n’ont pas l’euro et ils vivent ; quand on voit ce que coute la monnaie unique en son genre, on peut se dire que s’en débarrasser couterait moins cher que de l’avoir sur le dos, et nous rendrait notre liberté de manœuvre, peut être aussi notre liberté tout simplement de vivre comme on veut, sans le carcan des directives technocratiques, sans la Chine au bon cœur, sans l’Allemagne exemplaire, sans la Grèce exsangue, sans les concurrences  déloyales, sans les délocalisations, sans les portes ouvertes au grand vent de la mondialisation. »

Gilbert Collard

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

09/09/2011

Retour sur un duel de dames…

Personnellement, ce que j’ai pu constater est que Nathalie Kosciusko-Morizet a encore des efforts à faire en matière de persuasion. On voit que Marine Le Pen a désormais l’habitude de ce genre de duel…

FDF

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NKM/Le Pen, le vrai du faux

Europe1.fr et leJDD.fr ont passé au crible leurs propos dans la nouvelle émission Expliquez-vous.

A quelques mois de l’élection présidentielle, Europe 1 et i-Télé vous proposent un nouveau rendez-vous, Expliquez-vous , qui oppose deux politiques chaque mercredi à 19h. A cette occasion, les rédactions d’Europe1.fr et du Jdd.fr s’associent pour passer leurs déclarations au « détecteur de mensonges ». Notre objectif : distinguer le vrai du faux dans leurs propos, les chiffres qu’ils citent notamment.

La présidente du Front national Marine Le Pen et la ministre de l’Ecologie Nathalie Kosciusko-Morizet étaient mercredi les premières invitées de ce nouveau rendez-vous politique animé par Arlette Chabot et Michaël Darmon. Passage en revue des chiffres avancés par l’une et l’autre.

Plan d’aide européen. “Le plan d’aide a coûté 60 milliards d’euros à la France”. C’est ce qu’affirme Marine Le Pen à la ministre de l’Ecologie. C’est faux, d’après les chiffres donnés par Eric Besson lors de la séance de questions au gouvernement du 9 juin , au Sénat. La somme de l’aide apportée par la France au plan de sauvetage au nom de la solidarité européenne est de 32,4 milliards d’euros, si l’on prend en compte l’aide à Grèce, mais aussi au Portugal et à l’Irlande. Depuis, les députés ont voté une aide supplémentaire de 15 milliards . Le total est donc de 47,4 milliards d’euros, et non 60.

Logement social. Selon la fille de Jean-Marie Le Pen, “il y a aujourd’hui en France 700.000 demandeurs de logement sociaux”. Faux. Selon la fondation Abbé Pierre , reprenant les données du ministère du Logement, le véritable chiffre est beaucoup plus important. En 2010, il y a très précisément 1.230.136 ménages en attente d’un logement social, et probablement encore plus de demandeurs si ces ménages ne vivent plus ensemble.

Croissance. Marine Le Pen : “La croissance française était de 0% au second trimestre”. La fille de Jean-Marie Le Pen ne se trompe pas. Au deuxième trimestre 2011, la croissance française s’est maintenu à 0% selon l’Insee.

Croissance et zone euro. “Entre 2001 et 2010, la croissance dans la zone euro a été inférieure à celle des pays qui n’y sont pas“, a affirmé Marine Le Pen. Problème, il s’agit d’une comparaison périlleuse, puisque la zone euro est passée de 12 à 16 membres durant cette période, rendant difficile toute comparaison. Néanmoins, au cours des années 2000, la croissance a en effet été supérieure dans les pays de l’UE dotés d’une monnaie nationale… mais la crise financière a changé la donne : la zone euro a alors été mieux protégée.

Pouvoir d’achat. « Sur le pouvoir d’achat, la France résiste mieux que ses pays voisins », dixit NKM. Indice élaboré par Eurostat pour « calculer le pouvoir d’achat », le PIB par habitant en SPA (standards de pouvoir d’achat) n’indique pas tout à fait la même chose. Entre 2007 et 2010, la France a perdu 1 point, l’Espagne et l’Italie 4, tandis que l’Allemagne en a gagné 2, tout comme la Belgique. Le Luxembourg a, lui, progressé de 8 points.

Emplois industriels. La ministre de l’Ecologie l’a fièrement affirmé : “Pour la première fois depuis des années, la France a créé de nouveaux emplois industriels.” Elle ne s’est pas trompée. Les derniers chiffres de l’emploi industriel, publiés mi-août par l’Insee confirment ses propos : au premier trimestre 2011, l’industrie est redevenue créatrice d’emplois. Le mouvement reste très modeste cependant : 1.300 postes ont été créés au premier trimestre 2011.

La présidente du Front National lui a immédiatement répliqué que “500.000 emplois industriels ont été détruits depuis que Nicolas Sarkozy est au pouvoir.” Un partout, la balle au centre : Marine Le Pen a aussi (presque) raison. Selon la Direction générale de la compétitivité et des services, organisme dépendant du ministère de l’Economie, 500.000 emplois industriels ont été supprimés en France depuis 2000. L’information avancée par la présidente du Front National n’est donc ni totalement fausse, ni totalement exacte. 500.000 emplois ont bien été supprimés, mais pas depuis 2007, depuis 2000.

Taux de chômage. Carton rempli de courbes en main, NKM a tenu à démontrer que l’emploi résistait mieux en France que chez ses voisins. Ce qui n’est pas tout à fait vrai. Selon les dernières statistiques de l’OCDE, le taux de chômage a décru dans la zone euro de 0,5% de mai 2010 à mai 2011. En France, la baisse s’est établie à 0,3%, contre 1,2% pour l’Allemagne, notamment.

Déficit sous présidence Sarkozy. Les deux tiers de la dette sont directement imputables à Nicolas Sarkozy, a accusé la présidente du Front National. Dans un «  rapport sur la situation et les perspectives des finances publiques  » publié en juin 2010 et comptant sur l’exercice 2009, la Cour des comptes expliquait ceci : « Le déficit structurel explique les deux tiers du déficit de 2009 (5,0 points sur 7,5) et seulement un tiers de ce déficit est récupérable au cours des prochaines années (le déficit conjoncturel et le coût du plan de relance) ». En clair : le solde budgétaire négatif cette année-là, n’est dû, que pour un tiers , aux effets de la crise économique.

Source: http://www.europe1.fr/

01/09/2011

« Saboter l’économie des États Croisés est un devoir religieux » !

C’est ça, les momos; on va vous donner de l’élan…

FDF

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Celui qui est considéré comme le mentor de Al-Qaida,  Abu Muhammad al-Maqdisi, connu pour ses livres théorisant le Jihad, a émis une fatwa (soit une obligation religieuse ) décrétant que tous les musulmans ont le devoir religieux de participer aux émeutes contre les «États croisés» comme celles qui ont eu lieu en Grande-Bretagne, les émeutes étant l’une des multiples façons de mener le jihad.

Sheikh-Maqdisi1 Le site de surveillance SITE fait état de cette fatwa publiée sur le site djihadiste du prédicateur Abu Muhammad al-Maqdisi [photo], «The pulpit of tawhid and jihad» (la chaire de la prédication et du combat). Cette fatwa promulguée le 16 août 2011 a été reprise mardi par tous les sites djihadistes.

Dans la partie questions et réponses de son site, sur la chronique «Comité pour la charia», un inconnu a demandé conseil concernant la participation aux émeutes britanniques en tant que moyen de nuire aux Etats ennemis.

SITE reproduit ici la réponse du religieux Abu Mundhir al-Shanqiti :

«Chaque musulman doit y participer et doit contribuer au sabotage des économies des Etats croisés, que ce soit par le boycott économique ou en vandalisant et incendiant leurs propriétés».

Cette fatwa en ligne fait partie du mouvement grandissant dans le cyberespace appelant les forces du djihad à rejoindre l’agitation gauchiste comme moyen d’affaiblir et si possible de renverser les démocraties occidentales. SITE avait déjà mis en garde contre la propagande djihadiste et leur soutien aux émeutes par l’utilisation des médias sociaux et même en disséminant des informations sur la fabrication de bombes.

Cependant, dans cette dernière fatwa, les islamistes appellent à participer physiquement aux émeutes en tant moyen de mener le djihad, et ils franchissent ainsi un pas supplémentaire à ce qu’ils avaient préconisé jusqu’à maintenant sur leurs forums en ligne.

L’ordre a été rétabli en Grande-Bretagne, pour le moment. Mais les émeutes pourraient recommencer n’importe quand, et si les musulmans obéissent aux instructions d’al-Maqdisi, alors la prochaine fois, la police sera confrontée aux radicaux d’extrême-gauche, main dans la main avec les djihadistes.

Source: http://www.petitsechodoran.com/

30/08/2011

La rigueur pour les autres…

Excellent billet de Michel de Poncins que je m’empresse de relayer.

FDF

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Tocqueville Magazine
LE FLASH

(A diffuser largement)

Les faits sont clairs. Après beaucoup de va et vient, le gouvernement Sarkozy-Fillon a abattu les cartes. Cela ne se passe pas sans minauderies, le mot rigueur étant encore tabou alors qu’il s’agit bien de rigueur. En résumé, le projet se traduit par un ouragan d’impôts. Saluons, au passage, les gros mensonges : la presse qualifie d’économies ce qui n’est que des impôts comme le rabotage des niches fiscales. Autre mensonge : les mesures ne casseraient pas la croissance ; c’est faux car tout impôt quel qu’il soit nuit à la croissance.

Rappelons-en quelques-uns, bien que la presse soit inondée de l’énumération.

-Taxation des complémentaires santé ; à l’intérieur de cette pure agression vis-à-vis des malades, se trouve un piège supplémentaire : les contrats jugés « non responsables » seront frappés davantage, la définition d’un contrat responsable étant parfaitement embrouillée et ridicule.

– Hausse des prélèvements sociaux sur les revenus du capital, intégration des heures supplémentaires dans le calcul des allégements de charges, relèvement du forfait social qui frappe déjà abusivement les employeurs versant à leurs employés la participation salariale, augmentation de l’impôt sur les sociétés pour les grandes entreprises.

– Hausse des prix du tabac et taxe « obésité » sur les boissons sucrées, fin des exonérations sur les plus-values immobilières au-delà de 15 ans, taxe sur les très gros revenus.

Nous arrêtons là l’énumération qui confirme que le pouvoir depuis 2007 s’est engagé dans une fiscalité galopante se traduisant en particulier par une inventivité permanente avec la création de nouveaux impôts, car il en a déjà imaginé beaucoup avant ces plus récents.

DES EXPLICATIONS QUI NE SONT PAS DES EXCUSES

Momentanément,une apparence de rigueur peut être payante sur le plan électoral, notamment sous les gros yeux de la « sondagerie », nouvelle forme de traficotage de la prétendue démocratie. C’est une première explication.

S’ajoute la panique devant les agences de notation ; cette panique est telle qu’à Bruxelles certains ont proposé sans rire de leur imposer une réglementation. Quelle étrange idée ! Jouer les Cassandre n’est pas de tout repos avec le risque bien connu de générer le malheur que l’on veut précisément éviter. Ces agences sont d’ailleurs d’une gentillesse fort suspecte ; elles viennent de noter AAA la sécurité sociale française, sous le prétexte que l’État français la garantissait en fait ! La non gestion de ce monstre qu’est la « sécu », source inépuisable de ruine pour le peuple français, est ainsi sacralisée !

Autre erreur : pour réduire les déficits, objectif louable en soi, il faudrait se contenter de taper sur le contribuable et de prendre l’argent où il est, d’où la taxation sur les hauts revenus et les entreprises. Parallèlement et principalement, se trouve comme à l’habitude le refus de tailler vigoureusement dans les dépenses.

LES « FROMAGES » DES POLITIQUES SONT EPARGNES

Un dernier aspect parfaitement essentiel se trouve, à savoir la volonté absolue de ne pas toucher aux avantages extravagants des camarades politiciens : la rigueur, oui, mais pour les autres.

Il y a, en France, un élu pour 100 habitants ce qui nous met au tout premier rang parmi les grands États. Cette surcharge en nombre est accrue d’une façon dramatique par la voracité de ce personnel politique. Ce nombre et cette voracité réunis expliquent en grande partie la panne de croissance et la paupérisation du pays, avec tous les problèmes en découlant, comme l’écroulement des retraites, le chômage, la désindustrialisation, le désastre du logement, etc.

Cette «  République Fromagère (R.F.) » dépasse largement le problème des élus ; par exemple, il y a un certain nombre d’anciens premiers ministres en circulation ; le statut de ces personnages est absolument princier et ils ne sont pas les seuls ; que dire des innombrables camarades logés bien au chaud dans des fonctions inutiles et innombrables ? N’oublions pas une pratique courante, à savoir le droit absolu d’un ministre débarqué à obtenir sa vie durant un autre fromage de la R.F à la hauteur de ses ambitions et créé parfois ex nihilo ; ce droit s’étend aux membres des cabinets quand ils sont licenciés dans la foulée.

En préservant absolument le fromage des camarades et en tapant sur le peuple, le pouvoir a perdu définitivement le peu de crédibilité qui lui restait.

Il aurait pu, au moins, se rattraper sur ce plan de cette crédibilité non seulement en arrêtant le flot des dépenses, mais en les réduisant radicalement. Il n’en n’est rien. En témoigne l’annonce récente de 230 mesures (sic) pour adapter la France au réchauffement. L’explication officielle de ce déluge se réfère à la chimère du réchauffement climatique, nouvelle religion d’État. Ce flot impétueux de mesures déclenchera dans toute l’économie l’effet de ruine habituel.

Le flot de dépenses s’écoule également par le réveil abusif de l’Union pour la Méditerranée, autre chimère ; n’oublions pas les guerres multiples menées d’ailleurs sans les procédures normales pour une déclaration d’une guerre. Également, à signaler les efforts continus pour une gouvernance économique de l’Europe qui alourdira dramatiquement l’économie française.

Dans le rappel de tous ces faits, il ne faut jamais oublier les effets pervers du déluge des lois, qui, en lui-même, est une autre cause majeure et permanente de la paupérisation du pays. Ce que la presse baptise pudiquement du nom de détricotage en désignant l’annulation de lois antérieures, est une illustration de ce phénomène avec toutes les incertitudes en résultant.

VERS UNE NOUVELLE DEGRADATION DE L’ECONOMIE

Le résultat de toute cette rigueur parfaitement abusive qui s’abat sur le peuple français ne peut être que la poursuite de la dégradation de l’économie.

Les économistes connaissent bien la seule méthode qui pourrait sortir le pays de l’ornière. Outre la destruction de l’enrichissement personnel fantastique des prédateurs publics, il faut libérer la création de richesse par les entreprises seules capables de créer cette richesse.

Le problème est que la classe politique tout entière est renfermée dans une bulle idéologique et financière. La bulle idéologique est la croyance erronée que l’État peut créer de la richesse. La bulle financière est le formidable confort financier qui en résulte pour cette classe politique.

Si le « noyau dirigeant » du gouvernement et de la prétendue opposition comprenait tout cela, ce serait la rigueur pour les politiques et la prospérité pour tous.

Au moment même où le plan est enfin officialisé, la réalité le rattrape sans tarder. 87 % des Français toutes tendances confondues pensent qu’il faut tailler dans les dépenses. Les marchés réagissent brutalement montrant le fossé croissant entre la classe politique et les autres. Le chômage se rappelle cruellement au souvenir du pouvoir, les jeunes étant particulièrement frappés.

Le « noyau dirigeant » ferait bien de regarder ce qui se passe au sud, quand les peuples se réveillent brusquement, fatigués d’être à la fois bernés et pillés par une camarilla réduite.

Michel de Poncins

15/08/2011

En France le Smic crée des chômeurs; les Suisses échappent à cette malédiction…

Mais la Suisse pratique une politique d’immigration de travail très stricte. Et une politique d’immigration tout court du même acabit. Il n’y a pas de manifestations ethniques, en Suisse… Il y a très peu de racailles « actives », en Suisse. Et pas de « pompes aspirantes » attractives pour les candidats à l’immigration, non plus. Et encore moins d’abus, donc…

FDF

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« Les Suisses forment un peuple vaillant et prospère ; nous le savons tous.

La longue pratique du référendum d’initiative populaire, non seulement au niveau national mais même au niveau cantonal et municipal, leur donnent une arme puissante pour résister à maints assauts.

L’ îlot de prospérité qu’ils connaissent montre le chemin que d’autres Européens et en particulier les Français devraient suivre.

Le pays, qui est l’un des plus riches du monde, est, néanmoins, dépourvu de ressources naturelles. La géographie impose, au contraire, des difficultés très rudes à surmonter.

Certains croient, à tort, que son économie se résume à la banque, à l’assurance et aux avocats ; ce type d’activité ne représente que 15 pour cent des emplois ; tout le reste est composé d’un tissu industriel de premier niveau et de haute technicité. De récentes nouvelles confirment cette description.

Un journal titre : « la Suisse affronte une pénurie de main-d’oeuvre ». Manpower a fait une enquête nationale ; il en résulte que près de la moitié des entreprises sont affectés par la pénurie de talents. L’économie helvète a cruellement besoin de techniciens et de cadres dans des domaines aussi divers que la santé, l’informatique ou l’horlogerie.

En fait, alors que la France se traîne lamentablement avec un taux élevé et persistant de chômage, la Suisse connaît le plein emploi avec un taux de chômage de 2,9 % qui est un des plus faibles du monde.

LA SOUPLESSE DU CONTRAT DE TRAVAIL

Les causes de de cette heureuse situation peuvent être analysées. Un avantage essentiel a trait au contrat de travail. Il n’y a pas de Smic.

Tout le monde sait en France que le Smic crée des chômeurs et l’Insee même le reconnaît ; les Suisses échappent à cette malédiction.

Parallèlement, il existe une réelle flexibilité dans les contrats de travail ce qui permet d’ajuster facilement les équipes à la marche des entre- prises, telles qu’elle se déroule compte tenu des marchés. Le résultat est que les salaires sont plus élevés que dans les pays environnants et les syndicats se plaignent de la concurrence de Français qui viennent travailler en Suisse, notamment à Genève et à Lausanne.

Depuis 70 ans, la paix du travail est totale en Suisse grâce en particulier à l’accord des partenaires sociaux. Autre fait notable : le nombre d’heures de travail annuel qui est de 1600 en France est de 1900 en Suisse. Les efforts de formation sont considérables et, dans le classement international des grandes écoles, les écoles et universités suisses sont bien mieux placées que les établissements correspondants en France.

SUPPRESSION DU STATUT DES FONCTIONNAIRES

Il y a quelques années, une initiative populaire a conduit au changement de statut des fonctionnaires.

Ceux-ci avaient depuis 1927 un statut aussi néfaste que le statut actuel en France et ce statut fut aboli. Sans être aussi libres que des employeurs privés, les employeurs publics ont, depuis lors, des moyens de se séparer des collaborateurs qui ne donnent plus satisfaction. L’avancement à l’ancienneté fut remplacé par l’avancement au mérite. La gestion souple est introduite. Jusque là, il y avait impossibilité de transférer des fonctionnaires d’une administration à l’autre : c’est devenu possible. La méthode s’étend au niveau cantonal et municipal. Le consensus fut général, lors de la réforme, y compris chez les fonctionnaires eux-mêmes qui, mieux informés qu’en France, ont compris que c’était leur intérêt.

Il faut mentionner aussi le fait que la Suisse a su résister à l’entreprise européenne en refusant à plusieurs reprises, justement par référendum, l’entrée dans l’Europe.

De ce fait, elle négocie d’égal à égal avec les autorités européennes. Ce n’est pas sans difficultés, car certains politiciens, alléchés par la richesse incomparable des commissaires européens et autres eurocrates, poussent fortement à l’adhésion de la Suisse à l’Europe !

La Suisse ne connait pas la pyramide insupportable d’élus qui écrabouillent littéralement l’économie française. Ceux qui existent montre un souci réel des fonds publics au lieu de la voracité sans limite de nos élus. Il n’y a que sept ministres qui sont appelés « conseillers fédéraux ». Chacun n’a que trois collaborateurs. La présidence change chaque année et le président est le seul à avoir une voiture de fonction. Les autres se rendent à leur travail par leurs propres moyens.

Les députés ne votent que fort peu de lois nouvelles chaque année : la pays échappe donc au déchainement législatif qui détruit les entreprises en France. Leur rémunération est si faible qu’ils sont tous obligés de continuer à exercer leur métier par ailleurs.

AVANTAGE D’UNE MONNAIE FORTE

Un des facteurs principaux du succès est l’existence d’une monnaie forte ; depuis des lustres et très régulièrement, le franc suisse se trouve réévalué dans les faits par rapport aux autres monnaies. Cela montre le caractère mensonger de ce que l’on appelle les dévaluations compétitives.

L’intérêt d’une monnaie forte est double. D’abord, dans la compétition mondiale, que la Suisse ne refuse pas bien au contraire, les entrepreneurs sont conduits à l’excellence à la fois dans les décisions et dans les investissements. Il est facile de remarquer que le pays est à l’origine de firmes tout à fait considérables dans le domaine pharmaceutique ou dans d’autres domaines. Un autre avantage est de donner aux acteurs économiques la possibilité de faire des investissements à l’étranger dans des conditions favorables étant donnée la force de la monnaie nationale. Là aussi, la compétitivité issue de la liberté joue un rôle et permet justement aux firmes suisses de devenir des géants mondiaux sans payer trop cher la place à conquérir.

Il faut ajouter ce que personne ne met en lumière.

Les dévaluations pratiquées par le pouvoir politique sont immorales. Il y a bien longtemps, Moïse reçut sur le Mont Sinaï les commandements de Dieu dont le célèbre : « Tu ne voleras pas ».

Depuis ce fait historique, toutes les législations ont imposé, à la fois aux croyants et aux incroyants, le respect des contrats privés et de la propriété.

Or, la dévaluation imposée par les pouvoirs politiques est une rupture de contrat et une atteinte à la propriété. Elle est, en plus et ce n’est pas un hasard, inopérante, comme l’exemple de la Suisse le montre.

Pour conclure, comme disait maman Laetitia : « Pourvou que cela doure ».

Michel de Poncins » .


Je souhaiterais ajouter à ce texte emprunt d’une vérité profonde que, par exemple, les certificats de travail en Suisse sont bien différents des nôtres.

Dans la mesure du respect de la politesse, sans excès et sans médisance, il est possible à l’employeur Suisse d’émettre un certificat de travail écrit conforme à la réalité … élogieux ou critique … selon le cas.

C’est ainsi qu’en Suisse on peut écrire :

 » Monsieur X est une personne consciencieuse, méthodique et exigeante sur la qualité du travail rendu.

Ses connaissances techniques lui ont permis de mener à bien toutes les tâches qui lui ont été confiées et ceci à notre entière satisfaction.

Nous avons également apprécié son contact agréable avec ses différents interlocuteurs et sa grande disponibilité. Grâce à son sens de l’écoute il a été un collaborateur très apprécié dans son environnement professionnel.

Pour des raisons personnelles Monsieur X a décidé de nous quitter au —-. Nous regrettons cette situation et ne pouvons que le recommander à tout employeur désirant faire appel à ses services. »

et oui …

< Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur > !!!

Source: http://notrejournal.info/

12/08/2011

L’Espagne autorisée à fermer ses frontières aux Roumains! Pis nous ! Pis nous !

C’est bien la preuve que la situation économique d’un pays est très liée à l’immigration… Hé hé…

C’est trop injuste. Les Roumains (romanichels, tsiganes,  bohémiens, etc…) ne sont pas présents qu’en Espagne. D’un autre coté, si on les vire d’Espagne, devinez où ils vont débarquer?                                                                                                                                  Là:

Et comme disait Coluche, « ils vont venir retirer le pain de la bouche à nos arabes »

http://michel.buze.perso.neuf.fr/lavache/coluche_je_me_marre.htm

Ca va faire des frictions.

FDF

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La Commission européenne (CE) a autorisé l’Espagne à restreindre l’accès des travailleurs roumains à son marché du travail jusqu’au 31 décembre 2012, a annoncé jeudi un communiqué de presse de la CE.

« Dans la décision adoptée aujourd’hui, la Commission européenne autorise l’Espagne а imposer, jusqu’au 31 décembre 2012, des restrictions temporaires concernant l’accès des ressortissants roumains à son marché du travail. Ces restrictions s’appliqueront à l’ensemble des secteurs et des régions. La décision ne concerne toutefois pas les ressortissants roumains déjà actifs sur le marché du travail espagnol », lit-on dans le communiqué.

La Commission européenne a autorisé ces restrictions temporaires compte tenu de l’actuelle situation économique de l’Espagne. Ce pays fait face à de graves perturbations sur son marché du travail, caractérisées par un taux de chômage record dans l’UE (21 % en juin 2011, contre 9,4 % en moyenne dans l’UE et 9,9 % dans la zone euro) ainsi que par une reprise économique lente (la croissance du PIB n’a été que de 0,3 % au premier trimestre 2011 par rapport au trimestre précédent, contre 0,8 % dans l’UE et la zone euro).

Malgré une baisse, probablement causée par la récession économique, du nombre de ressortissants roumains venant travailler en Espagne au cours des dernières années, leur afflux demeure important. Le nombre de Roumains résidant habituellement en Espagne a augmenté, passant de 388 000 au 1er janvier 2006 à 823 000 au 1er janvier 2010.

Sur les 850.000 ressortissants roumains, recensés  par le ministère espagnol du Travail fin 2010, 38% sont au chômage.

Source: http://french.ruvr.ru/

22/07/2011

Chroniques d’une catastrophe annoncée…

Encore une réflexion non dénuée d’intérêt… (Toujours de B.C.). Préparez déjà vos costumes sombres pour vous être prêts à aller aux obsèques de la Grèce; pour commencer…

FDF

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Cette fois, les « capitaines » ne seront pas les derniers à quitter le navire…

Ecoutez! Ecoutez les chaînes de radio!

Nous vivons des heures pathètiques. Il faut entendre le bourrage de crâne que nous instillent tous ces docteurs Diafoirus eurofanatiques, penchés au chevet de l’euro moribond!

Ce serait à croûler de rire si ce n’était pas aussi grave!

Comme le préconnisait déjà Molière, ils n’ont qu’un remède : « la saignée! La saignée! La saignée! »

Reste qu’en fait, en réalité, que c’est vrai, celà risque de saigner, mais sans doute pas comme ils le pensent…

Pour l’heure chez les Diafoirus eurôlatres, c’est l’affollement, et tous préconnisent l’acharnement thérapeutique, alors que l’état du malade, à l’évidence, ainsi que la plus élémentaire des charités serait de lui appliquer l’extrème onction.

Comme dessert:

Suite à l’agonie de la monnaie unique à laquelle nous assistons actuellement, à la demande d’un certain nombre d’entre nous, il est proposé d’ouvrir une souscription pour la confection d’une plaque commémorative que nous pourrions porter en délégation afin de l’apposer sur l’entrée de la Commission de Bruxelles.

Le texte proposé est le suivant:

EURO

Monnaie unique absurde imposée aux peuples d’Europe.

1999 – 2011

Merci de me faire part de vos réactions à cette proposition et du montant que vous pourriez y consacrer afin que nous ouvrions une structure collectrice ad hoc.

Alliance pour la Souveraineté de la France.

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