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Ci-après une réflexion à méditer en ce début d’année…
(Merci à JPD).
FDF
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Ci-après une réflexion à méditer en ce début d’année…
(Merci à JPD).
FDF
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Quelle honte! Se foutre du monde ainsi, c’est de la provocation. « Salauds de pauvres !« , aurait il du rajouter…
FDF
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J’ai honte. Moi qui ronchonne à chaque fois que je reçois mes impôts à payer. Je ne suis pas un « bon musulman citoyen » ! (Je mélange tout, moi… Déformation informationnelle). Je vais de ce pas (et des suivants) voir mon banquier conseiller financier pour tenter d’obtenir un prêt afin de régler ma dette à l’Etat… Pas gagné, ça… On ne prête qu’aux riches. Et puis, après avoir analysé les causeries de Fillon sur l’effort de guerre qui nous attend, j’ai remarqué que l’on n’allait pas trop embêter les riches… Salauds de pauvres !
FDF
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Donc nous devons chacun : 26 072,19 Euros !
Si on regarde bien ce n’est pas énorme, énorme, mais quand on se pose la question pour savoir en combien de temps on pourra rembourser ??? Rien ne va plus !
Pour rembourser, il faut soit un peu de marge ou bien restreindre notre façon de vivre … il reste bien entendu la baguette magique, mais on a un problème, on ne sait plus où elle est cachée !
l’Etat et la sécurité sociale en sont les principaux responsables. Les administrations publiques locales, c’est à dire les collectivités, se sont désendettées de 4,1 milliards d’euros. Leur dette représente désormais moins de 9,5% de la dette totale de la France. Ce qui bat une nouvelle fois en brèche l’argument selon lequel les élus locaux seraient les responsables du dérapage des comptes de la France. Avec 1286,5 milliards d’euros de dette à rembourser, l’Etat ne donne pas le bon exemple, loin s’en faut.
Nous dit-on !
Donc :
1286.5 + 4.1 = 1290.6 milliards d’Euros donc
1 646,1 – 1290,6 = 355,5 milliards d’euros pour la dette sociale !
Mazette, on est mal parti et pas prêts d’y arriver si on ne change pas sérieusement les règles du jeu !
Les pistes sont simples !
Comme disait un de mes amis et client : « le premier argent que l’on gagne c’est celui qu’on ne dépense pas ! »
Le gouffre de l’Etat ce sont d’abord des dépenses structurelles ! Cette jolie expression décrit les fonctionnaires !
Évidemment les fonctionnaires sont une composante indispensable du fonctionnement de l’Etat ! Mais pourquoi y en a-t-il autant puisque les structures régionales et locales ont repris des charges et devoirs de l’Etat, les doublons devraient, en priorité, être supprimés de la charge de l’Etat donc de la nôtre !
On peut lire dans un article La décentralisation : Acte II :
Les agents fonctionnaires titulaires des services transférés sont en position de « mise à disposition provisoire » à partir de l’entrée en vigueur de la loi (1er janvier 2005). A compter de la publication des décrets de partition définitive des services transférés, ils auront un délai de 2 ans pour choisir l’intégration dans la fonction publique territoriale ou rester en position de détachement. Les agents non titulaires ne disposent pas de ce droit d’option et leur contrat est automatiquement repris par la collectivité d’accueil.
La compensation financière devrait être intégrale, les nouvelles ressources devraient correspondre aux ressources que l’Etat consacrait à l’exercice des compétences transférées. L’évaluation sera effectuée par La Commission consultative sur l’évaluation des charges (CCEC) sur la base des 3 années précédant le transfert. Elle évaluera, à l’occasion de l’examen par le Parlement de la loi de finances, l’évolution des transferts de compétences, les modalités de leur compensation ainsi que l’évolution des recettes fiscales.
Les questions des modalités de transferts des personnels de l’Etat vers les collectivités locales, ainsi que celles concernant la compensation financière des transferts de compétences sont celles qui suscitent le plus d’inquiétudes et de polémiques chez les partenaires sociaux ou les élus locaux. Les syndicats de l’Education nationale, par exemple, contestent la nécessité de procéder au transfert des personnels administratifs des lycées et collèges. De nombreux élus locaux, parmi lesquels la quasi totalité des présidents de régions, mettent en doute le caractère intégral des compensations financières annoncées.
On en est où ? Quelqu’un fait-il le point ? Est-il légitime de penser que tout n’a pas été fait et qu’il y a des doublons voire des triplons dans les charges que nous avons à subir ?
Le but n’est pas désigner des cibles, mais ça serait bien si on commençait un peu à nous rendre des comptes !
Certes le système de démocratie représentative, permet à beaucoup de dormir sur leurs 2 oreilles, mais par les temps qui courent, peut être la recherche d’optimisation devient-elle vitale ?
Allez à la prochaine !
Source: http://notrejournal.info
Ca se confirme: le cap des huit millions de pauvres dépassé en France…
Marine, vite !
FDF
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Il a rendu sa carte d’électeur… Photo d’illustration.
Sur les photos, le président bolivien Evo Morales paraît souvent un parfait crétin. Réélu triomphalement en décembre 2009, pour la plus grande satisfaction du quotidien « L’Humanité », il se trouve à la jonction de plusieurs courants hélas convergents en Amérique latine.
Avec les communistes, tout devient possible sur le papier. Tirant ainsi d’une vieille bibliothèque familiale un livre oublié, signé de Renaud de Jouvenel, et consacré à l’Albanie communiste (1) je lis cette perle : « depuis que l’Albanie a chaussé les bottes de sept lieues du socialisme »… C’était écrit en 1958, donc plus de 10 ans après l’événement fondateur et miraculeux… Et en 1992 quand les premiers documents libres ont pu sortir du pays on a pu voir le degré de misère auquel avaient conduit les fameuses « bottes de sept lieues du socialisme ».
La Bolivie semble actuellement bien décidée à prendre le même chemin.
Elle le fait, décision démagogique après décision démagogique.
Alors qu’en Europe la tendance générale déplace vers le haut l’âge de la retraite, ici de 60 à 62 ans, ailleurs de 65 à 67, selon des définitions différentes, le gouvernement de La Paz se propose de le ramener, au contraire, de le ramener de 65 à 58 ans.
« La réforme prévoit la nationalisation des retraites, la fermeture de caisses privées (l’Espagnol BBVA et le Suisse Zurich) qui géraient la retraite de 1,3 million de Boliviens, et l’abaissement de la retraite de 65 à 58 ans », semblait applaudir « Libération » le 26 novembre.
Immédiatement, « l’Huma » mettait en ligne une grand photo du camarade Morales, puisqu’il s’agit bien entendu, de « changer le monde ». Le commentaire va évidemment dans le même sens : « C’est la nouvelle politique pour redistribuer aux travailleurs, en vue d’une baisse de la pauvreté et d’une plus grande égalité, a plaidé Evo Morales en présentant la réforme. » Argument suprême pour les communistes : « Elle effraie les milieux d’affaires… » Voila donc qui suffit à assurer le journal de la pertinence de la mesure.
Depuis le départ, Evo Morales se situe dans le sillage d’Ugo Chavez et de sa prétendue « révolution bolivarienne », simple relais de l’agitation castriste et des diverses tentatives d’insurrections armées. Disposant d’une confortable rente pétrolière, le Venezuela, un des pays dirigeants de l’OPEP, pose à la puissance régionale. Il dispose de quelques satellites, dont l’Équateur, divers partis en Amérique centrale et, depuis la victoire de Morales, de la Bolivie.
Dans ce pays, par ailleurs, le gouvernement actuel joue à la fois sur la corde de « l’indianisme », très prisé des intellectuels germanopratins et sur le registre du misérabilisme. Il est supposé représenter les provinces montagnardes pauvres et rencontre d’ailleurs, bien évidemment, le séparatisme toujours injuste des riches.
Enfin une particularité locale fait de ce pays l’un des plus instables du sous-continent. Plus de 100 coups d’État en un siècle d’indépendance.
Il hérite aussi d’une vieille tradition, celle du « Mouvement nationaliste révolutionnaire » fondé en 1941 par Victor Paz Estenssero. Dans ma jeunesse nous trouvions cette tentative, considérée comme de centre gauche, fort sympathique. Elle était saluée en particulier par le grand spécialiste dans lequel nous puisions au cours des années 1960, à Paris, notre faux savoir sur l’Amérique latine : Marcel Niedergang, collaborateur de l’inévitable et sentencieux quotidien « Le Monde » (2). Entré en 1952 au service étranger de cette institution, ce journaliste, décédé en 2002, aura intoxiqué des générations de lecteurs. Grosso modo le discours récurrent consiste à soutenir que tous les problèmes de l’Amérique du sud sont occasionnés au fond par son homologue du nord. Cette thèse demeure centralement répandue chez les plupart des intellectuels, journalistes, diplomates et cinéastes parisiens. On la rencontre parfois même en Province.
Bref ce qui paraissait sympathique dans ce programme se proposait, en effet, au-delà du marxisme et des méchants financiers internationaux, d’utiliser les richesses minières pour le bien du peuple. J’avoue humblement moi-même avoir succombé trop longtemps à cette séduction.
Car, nous pouvons l’observer en France même avec les quelques secteurs privilégiés bien connu, les plateformes de ce genre réussissent certes à créer quelques zones d’illusions, d’ailleurs très éphémères. Mais, globalement tout cela en réalité n’aboutit jamais qu’à une seule conséquence : rendre, après une petite phase très artificielle d’euphorie, les pauvres encore plus pauvres. De ce point de vue, certes, on peut revenir au constat de base : avec les communistes tout redevient toujours, amèrement, possible.
La prospérité générale d’un peuple ne peut évoluer au bout du compte qu’en fonction directe de la productivité et de la compétitivité du pays, dans la création de bien et de services. Cette loi d’airain de l’économie déplaît en général aux tenants des utopies socialistes.
De toute évidence ramener à 58 ans l’âge de la retraite amènera les Boliviens à produire moins donc à consommer moins. Certains esthètes saluent aujourd’hui cette tendance du nom de décroissance.
En termes économiques, cela s’appelle la paupérisation.
JG Malliarakis
Apostilles http://www.insolent.fr
« Salauds de pauvres »! C’est à cette expression que me fait penser l’article qui suit. C’est le titre d’un bouquin de Jacques Deroo, que j’avais lu à l’époque de sa sortie. Ca se passera de commentaires sauf que, l’autre jour, j’ai vu des « hijabées » avec leurs nichées devant un relais du Secours Catholique. Déjà largement aidées par NOS allocations, ces dames se permettent encore d’aller pleurer en costume de provocation (sport national de ces gens-là) auprès d’une communauté qu’ils haïssent. Alors que des français de souche durement touchés par la crise n’osent s’y rendre, par fierté, je pense… Mais pour ces gens-là, les « issus de l’immigration », l’exploitation des largesses de notre société française est devenu une habitude. En outre, ils nous méprisent…Alors, pour éviter ce genre d’images insultantes pour les citoyens de la République que nous sommes, que le Secours Catholique ne distribue que des denrées alimentaires NON-HALAL. Et nous les pauvres, les vrais, les sous-chiens, oseront nous peut être nous y rendre; la tête haute…
FDF
Plus de 7 millions de Français sont considérés comme pauvres./Photo DDM
Source: http://tinyurl.com/2dwc9xt