Francaisdefrance's Blog

24/01/2012

6 signes qui nous avertissent de nous préparer au pire…

Pas très rassurant. Mais bon; tout ceci m’a l’air logique et les arguments semblent être solides. Accrochez vous.

FDF

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http://gold-up.blogspot.com/2012/01/6-signes-qui-nous-avertissent-de-nous.html

03/12/2011

Alerte en Grande Bretagne !!!

Un dernier sourire et God save the Queen..

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« La fin de l’euro sera au pied du sapin de Noël », a dit quelqu’un récemment…

Courage; fuyons !

« Messieurs les Anglais, tirez les premiers! » (Napoléon Bonaparte)

FDF

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Crise : La Grande-Bretagne se prépare à évacuer ses ressortissants… de la zone euro !

1er décembre

La France rame, l’Espagne souque, l’Italie colmate, la Grèce écope… mais cela suffira-t-il à éviter le naufrage général ? Non, selon la Grande-Bretagne, qui se prépare au pire, y compris au rapatriement d’urgence de ses citoyens pris au piège de la zone euro.

L’histoire nous est contée par The Telegraph. Il y a quelques jours, le gouvernement british a avoué le plus sérieusement du monde être en pleins préparatifs pour pallier à un effondrement bancaire généralisé de la zone euro.

Un ministre de premier plan vient de préciser que ce n’était plus une hypothèse de travail, mais une quasi-certitude. Et l’impétrant d’enfoncer le clou : « c’est dans notre intérêt qu’ils continuent à jouer la montre parce que cela nous donne plus de temps pour nous préparer« .

Les jeux sont faits, rien ne va plus…

Dernier petit détail, le Foreign Office a demandé à ses ambassades européennes d’élaborer des plans d’urgence pour aider les britanniques qui se trouveraient pris les doigts dans la crise.

Deux cas de figure sont notamment évoqués : la fermeture des banques et… le déclenchement d’émeutes de grande ampleur !

Sinon, à part ça, tout va bien…

Source: http://www.egaliteetreconciliation.fr/

25/11/2011

Alerte rouge !

Vous allez comprendre pourquoi avec le PPS qui suit.

FDF

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Ici: revolte

16/11/2011

Sarkozy: « Frauder la Sécu, c’est voler les Français »…

C’est « l’hôpital qui se fout de la charité »…

Vous vous souvenez de la Rollex (12.000,00 €) et de l’avion présidentiel ???

FDF

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Croisière en yacht, voyage en jet privé, villa luxueuse sur la Côte Ouest des États-Unis, dîners au Fouquet’s

La montre? 12 000 euros…

L’avion présidentiel: http://youtu.be/Uxf17w9ni68
Sarkozy: "Frauder la Sécu, c'est voler les Français"

Le président de la République a rouvert pour la présidentielle de 2012 le chantier du financement de la protection sociale et de la compétitivité de la France.

11/11/2011

Bruxelles veut avoir les clefs des coffres d’État des 17 pays de l’euro. Et pourquoi ???

Ce qui suit vaut le coup d’être lu. Un peu long, mais on comprend bien des choses à l’heure où nous sommes au bord du gouffre. Et l’on y apprend comment nous en sommes arrivés là. Inutile de se flageller; nous n’en sommes pas responsables, nous les citoyens de l’Europe. Les mains sales ne sont pas les nôtres. Mais ça, on s’en doutait…

FDF

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Des dettes d’État au franc d’État


« Les clefs des coffres »…  Il n’y a que comme ça qu’ils peuvent sauver l’euro, disent-ils. Le Traité du MES a déjà été signé. Si les parlements nationaux le ratifient c’est la fin de nos démocraties souveraines. Est-ce bien ce que nous voulons? Y a-t-il une alternative?

Pour ceux qui savent comment le système d’argent fonctionne, la solution logique des problèmes actuels est relativement simple. A la télé, du moins aux Pays-Bas, le sujet est encore tabou [1], mais si vous voulez savoir ce qu’il en est, voici une explication. (Et ceux qui savent tout déjà, peuvent passer de suite à 2. Réforme bancaire.)

1.   Le système d’argent actuel

Les banquiers ont maintenant, mondialement, un système d’argent qui est basé sur la création de l’argent du néant. Quasiment tout l’argent sur les comptes bancaires c’est du vent. Il n’y a qu’une toute petite quantité de véritable argent en circulation. Comment ça fonctionne?

Le banquier est un comptable

Chaque fois qu’un banquier fournit un prêt, il ne fournit pas d’argent, mais un avoir. Le prêt ne consiste en rien de plus que des chiffres dans la comptabilité du banquier. Présumons, que tu veuilles faire un emprunt à ta banque, Banque A.Sec. D’un côté le banquier inscrit que tu lui dois 250.000 euros et de l’autre côté qu’il te doit 250.000 euros. Tu les vois arriver sur ton compte. Tu peux les dépenser. Acheter une petite maison? D’accord, achetons une petite maison.

Supposons que tu remettes un chèque au vendeur de la maison. Celui-ci porte ce chèque à sa banque, la Banque Rougeschild. Celle-ci veut alors échanger ce chèque à ta banque, contre du vrai argent bien entendu. Rougeschild sait comment son collègue a sorti les chiffres de son chapeau et il ne se contente pas de vent.

Donc, maintenant, la Banque A.Sec doit débourser du vrai argent. Cependant, dans la pratique, la plupart du temps cela n’est pas nécessaire. C’est que la Banque Rougeschild fournit des prêts continuellement aussi. Et une partie de ces prêts sont dépensés chez des clients de la Banque A.Sec. Donc, ce qui se passe, c’est que la banque Rougeschild échange sa créance de 250.000 euros sur la Banque A.Sec contre une créance de la Banque A.Sec sur Rougeschild.

Des intérêts sur du vent

De cette façon les banquiers peuvent mettre toujours plus de prêts en circulation. Une boîte de vent est échangée contre une autre et les clients ne remarquent pas comment ils sont bernés. Car pour ces boîtes de vent, il faut quand-même payer des intérêts.

Juste, pour s’amuser, un exemple où les banquiers créent des millions, sans qu’il y ait besoin d’un seul centime de véritable argent. Dans la réalité c’est un peu plus complexe, mais quand-même.

Mettons qu’il y ait 3 banques, qui servent respectivement 20%, 30% et 50% de la population. Nous supposons que tous les trois ont le même type de clients, qui ont les mêmes besoins en emprunts et en dépenses. Il sera démontré, que tous les payements que ces banques devront faire au moment où l’emprunteur dépense son emprunt, seront compensés par les recettes de ces dépenses.

Les emprunteurs de la première banque dépensent 20% de leurs emprunts chez des clients de leur propre banque, 30% chez des clients de la Banque 30% et 50% chez les clients de la Banque 50%. Etcetera. Si nous additionnons toutes les recettes de tous les prêts, chaque banque a reçu autant qu’elle a créé. Voilà 100 millions en avoirs sur des comptes bancaires, sans qu’un seul centime de vrai argent ait été dépensé.

Lorsqu’on demande à des banquiers, s’ils créent de l’argent du néant, ils répondent généralement qu’ils ne fournissent des prêts que lorsqu’ils ont des avoirs en face. Cependant, ces avoirs accroissent tout seul par les prêts qu’ils fournissent ensemble.

Trafic des paiements

Tout le trafic des paiements va de la même façon. Si tu fais un paiement à quelqu’un chez une autre banque, c’est ta banque qui doit le payer à l’autre banque. Mais encore le même jour il y aura des paiements par des clients de l’autre banque à des clients de ta banque. Tous ces paiements interbancaires sont tout simplement compensés les uns par les autres.

Ce que les banques paient finalement les unes aux autres, se sont les petites différences entre les paquets de paiements entrants et sortants. Pour faciliter ces transferts toutes les banques ont un compte chez la banque centrale. Les montants dans ces comptes sont considérés comme du vrai argent (car, si elles le voulaient, les banques pourraient demander la totalité de la somme en billets, puis que la banque centrale est autorisée à les imprimer.)

À la banque centrale il y a une règle que chaque soir toutes les banques doivent avoir un avoir positif sur leur compte. Si un banquier est à court, (par ce qu’il a payé plus qu’il n’a reçu ce jour là), il emprunte pour la nuit à un collègue, (qui a alors reçu un peu plus qu’il n’a payé). Et lorsque les collègues ne se font pas confiance, comme ce fut le cas lors de la crise bancaire en 2008 et comme ça l’est à nouveau maintenant depuis quelques mois, alors le banquier peut emprunter à la banque centrale pour un quart de pourcent de plus.

Banquiers entre eux

Entre eux, les banquiers ont convenu des règles sur le capital minimum requis face aux risques calculés, comme ceux des prêts en cours. Ce capital est infime comparé aux risques, mais de cette façon la création d' »argent » du néant est quelque peu freinée et les banques restent davantage au pas les unes avec les autres dans la fourniture des prêts. Ceci augmente leur confiance mutuelle pour se prêter de l’argent, et leur permet à tous de pouvoir optimiser leurs possibilités de profit.

Les banquiers sont en premier lieu des banquiers entre eux. Lorsque des clients des grandes banques Néerlandaises, mécontents des paiements de bonus excessifs, portaient massivement leur argent chez Triodos (une banque connue pour investir dans des projets qui donnent bonne conscience), cet argent manquait aux grosses banques. Heureusement Triodos n’est pas la plus méchante et prêtait cet argent tout simplement à ces mêmes grosses banques. (Malheureusement des banques éthiques n’existent pas, tout au plus des banques avec des airs sympathiques. Mais avec un tel système d’argent on ne peut pas s’attendre à mieux, non?)

Mais dès que des nuages menaçants se présentent à l’horizon et qu’il y a des risques de grosses pertes pour les banques, la confiance mutuelle disparaît immédiatement. Alors, chaque banquier tente de se débrouiller tout seul. Chacun d’eux tente alors d’augmenter ses réserves de caisse et de minimiser les risques. Résultat, pendant des mois les entreprises ne reçoivent guère plus de crédits et les vagues de licenciements et faillites recommencent à ravager le pays. Et si l’orage ne bouge pas de place, cela peut même durer des années. Formidable, non? un tel système bancaire!

Les montants déménagent d’un compte à l’autre

Revenons à notre maison vendue. Donc, le vendeur dispose maintenant de 250.000 euros en vent, qu’il dépense à son tour. De cette façon ce soi-disant argent va d’un comte au suivant. Donc même si tu n’as jamais pris de crédit, il n’y a que du vent sur ton compte, que tu as reçu pour ton travail ou pour des marchandises que tu as vendues. Si, par exemple, tu étais à la banque ING, la plus grosse banque aux Pays-Bas, cette dernière ne dispose que de 3 centimes de vrai argent pour chaque euro d’avoir dans ton compte.

Toujours moins d’argent en poche

En fait, avec du vent ils ont gonflé ces 3 centimes et les ont multipliés par 33. Quand tu déposes un billet de 100 euros chez ING pour verser sur ton compte, elle fournit des prêts à hauteur de 3300 euros. Autrement dit, pour chaque euro que nous ne gardons pas dans notre poche, les banques gagnent un multiple en intérêts.

Peut-être tu comprends maintenant pourquoi les banques nous séduisent à payer de plus en plus de choses électroniquement. Les cartes de crédits, cartes bancaires, cartes des stations d’essence, cartes de prépaiement, cartes pour les transports publiques, cartes de paiement pour parkings, elles ne servent qu’à une seule chose: faire en sorte que nous n’ayons besoin d’argent comptant le moins possible.

Il y a cependant un revers à la médaille. Les réserves de caisse (les billets de banque et l’avoir échangeable à la banque centrale) ne servent pas qu’à fournir de l’argent comptant aux clients et pour régler les petites différences entre paiements sortants et entrants. C’est aussi la première réserve pour absorber des pertes. Mais, comme les revenus croissent disproportionnellement en baissant le pourcentage de réserves de caisse, la tentation est grande de prendre plus de risques. Ainsi, notre argent plastic moderne contribue au comportement-de-prêt téméraire de nos banquiers.

Regardons ce qui se passe quand on porte un billet de 100 euros à la banque pour le verser sur notre compte. Comme dit, à 3% de réserve de caisse la banque ne dispose que de 3 centimes pour chaque euro sur ton compte.

Dans la colonne de droite tu vois que les revenus augmentent disproportionnellement au fur et à mesure que la réserve de caisse diminue. Et – à l’inverse – si avec un même montant de réserve de caisse la banque voulait retourner de 3% à 4%, elle devrait réduire les prêts en cours d’un quart…

Tous les montants sont temporaires

À des moments convenus tu devras rembourser l’avoir que tu as eu du banquier A.Sec. De tout l’argent en cours, tu dois tenter d’obtenir assez pour payer ces remboursements. Banquier A.Sec écrira alors dans sa comptabilité, que le montant que tu lui dois est diminué et il diminue le montant que tu lui dois. Tu vois disparaître ce montant de ton compte. Ainsi les avoirs créés disparaissent de la circulation. Cela fait donc une diminution de la quantité d' »argent » dans le pays.

Les intérêts

Les intérêts que tu paies ne disparaissent pas de la circulation. C’est avec ça que le banquier paye tous ces frais (tels que: intérêts, assurances, personnel, entretien, factures des sous-traitants qui s’occupent des paiements via internet etc.) et le capital est rehaussé, de manière qu’il puisse prêter davantage encore la fois d’après.

La “masse d’argent” doit croître

Le risque classique pour le banquier c’est que les emprunteurs ne remboursent que partiellement ou pas du tout. Et lorsque le gage s’avère insuffisant, c’est lui qui reste avec des ennuis dans sa comptabilité, c’est à dire, avec des montants qu’il devra tôt ou tard enregistrer comme des pertes.

Pour diminuer le risque de défauts de paiement les banques prennent soin, qu’il y ait de plus en plus de prêts en cours. Car plus il y arrive de l' »argent » en circulation, moins ça vaut. C’est l’inflation bien connue. Le montant que l’emprunteur doit rembourser est fixé. Et comme ce montant diminue en valeur pendant la période du crédit, l’emprunteur peut le gagner plus aisément. S’il doit payer 6% d’intérêts et l’inflation est de 2%, la charge des intérêts est 1/3 moins. [graphique]. Ainsi le nombre de défauts de paiement est considérablement réduit.

D’ailleurs, cet avantage pour les emprunteurs correspond exactement à la diminution de la valeur de l’argent pour les usagers. En fait, en tant qu’usager de l’argent ils paient également une partie des intérêts.

Travailler toujours plus

C’est cette même inflation qui fait que nous devons travailler toujours plus. Chaque fois que plus d' »argent » arrive en circulation nous devons essayer de gagner plus, si nous ne voulons pas nous appauvrir.

Bien entendu, une banque centrale ne racontera jamais que la croissance de l’argent est une nécessité pour les banquiers. Le prétexte officiel c’est que l’inflation contribue à plus d’activité économique.

Et de là sort la croyance largement répandue qu’une économie doit croître pour être saine. Une fable extrêmement dangereuse. C’est qu’une croissance économique n’est pas possible sur une Terre limitée. Et plus nous continuons, plus nous détruisons. Ce que l’on peut dire, c’est qu’un système d’argent qui a besoin d’une masse d’argent croissante pour pouvoir fonctionner, est inapte pour une société durable.

Les dettes d’état

Notre gouvernement dispose d' »argent » par la taxation. Avec cela il finance des choses qui sont importantes pour nous tous, comme des digues, routes, ponts, écoles, hôpitaux, gendarmerie, armée etc. Régulièrement il arrive que le gouvernement fasse des dépenses avant d’avoir levé les impôts correspondants. Dans le système actuel le gouvernement devra alors emprunter de l’argent et payer des intérêts dessus. C’est la dette d’État (aussi appelée dette publique) bien connue. On en a peut-être pris l’habitude, mais en fait c’est quelque chose d’étrange. Dans la communauté des gens exécutent des tâches pour la communauté, tout le monde est payé pour sa contribution et ensuite il reste une dette. Et sur celle-ci nous payons tous – via des impôts supplémentaires – des intérêts.

La création d’argent par des banques à gestion privée

Ceci est causé exclusivement par le fait que dans le passé les représentants du peuple ont cédé la création d’argent à des banquiers privés. Ce fût au temps où l’on accordait encore beaucoup de valeur au conte de fée, racontant que seuls des banquiers pouvaient tenir la gestion monétaire en ordre. Si le gouvernement mettait l’argent en circulation, cela mènerait sûrement à un désastre!

Une démocratie sans argent propre

Le résultat c’est que nous continuons à affirmer que nous vivons dans une démocratie, tandis que l’un des attributs les plus importants de notre société, la création d’argent est entre les mains de banquiers privés. Même si en France les administrateurs de la Banque de France sont désignés par le gouvernement, ces administrateurs n’ont pas d’ordre à en recevoir. La Banque est indépendante du gouvernement. Autrefois elle déterminait également le taux d’intérêt de façon autonome, comme on disait « dans l’intérêt de l’économie ». Maintenant cela est fait par la Banque Centrale Européenne (BCE), dont les 17 banques centrales de la zone euro sont propriétaires et exploitants.

Un taux d’intérêt pour tous

La BCE a relevé le défi impossible de déterminer un taux d’intérêt pour les 17 pays différents, avec des économies complètement différentes et qui ont des possibilités de productivité très différentes. Bien entendu, il est quasiment impossible de fixer un taux d’intérêt, qui ait un effet optimal pour tous les pays. Un changement du taux ne peut entraîner des effets bénéfiques que pour un ou quelques pays. Et les autres pays en portent les conséquences.

L’euro, l’expérimentation monétaire la plus chère de l’histoire

L’euro entrera probablement dans l’histoire comme  l’expérimentation la plus chère qui ait jamais existée. Depuis le commencement du projet en 1970, il était déjà connu, qu’il était voué à l’échec, mais des banquiers et des politiciens têtus l’ont poussé en avant malgré tout. Le problème c’est qu’une monnaie unique ne peut fonctionner dans une zone économique homogène. [2] [3] [4] Voici pourquoi.

Lorsque des consommateurs, dans des pays avec des possibilités de productivité plus réduites, préfèrent acheter des produits d’importation moins chers et meilleurs, la dette extérieure augmente. En même temps, la productivité dans le pays diminue. Un pays qui dispose de sa propre monnaie peut alors dévaluer cette monnaie. Cela rend les produits d’importation plus chers pour sa propre population et les produits d’exportation moins chers pour les acheteurs étrangers. Ainsi la dette diminue et la productivité augmente. Des dévaluations étaient très courantes avant l’introduction de l’euro. Aujourd’hui les pays moins productifs sont comme des rats dans une trappe. Ils ne pourront jamais sortir des dettes. C’est pour cela que la méthode qu’on applique, de combler ces pays avec des dettes encore plus élevées, est étrange et malade.

L’euro couplé à l’adhésion de l’Union Européenne

Les banquiers ont réussi à obtenir que les pays ne peuvent sortir de l’euro sans sortir de l’Union Européenne. Eh bien, ce seront « deux mouches d’un coup ».

L’UE

De plus en plus de gens comprennent, que l’Union européenne est beaucoup moins démocratique et sociale que les citoyens en Europe souhaitent. Bien que cela fusse le cas depuis le départ, beaucoup ne voient que depuis peu que le Parlement Européen n’est qu’un simulacre et pas un parlement avec un pouvoir démocratique. Les gens se rendent compte de plus en plus que la Commission Européenne (CE) et la Banque Centrale Européenne tirent tout le pouvoir vers elles. D’ailleurs, pour la CE et la BCE le nouveau traité européen du MES  [5] sera la trouée pour mettre les parlements européens hors jeu. La ratification de ce traité semble être dans la poche pour elles, car la plupart des députés dorment encore ou ne peuvent pas le croire. (Ou seraient-ils complices?)

L’Union Européenne a comme principe déposé l’économie de marché libre. Presque tout le monde a compris entre-temps, que la dérégulation des banques, la privatisation des infrastructures et l’abolition des tâches gouvernementales mènent à une société dure et ravagée par des crises. Ces principes sont désuets. Les défenseurs de ces principe ne pourront les imposer qu’avec de la violence. La Grèce ne sera pas la dernière victime.

Le scénario du FMI

La CE et la BCE coopèrent maintenant avec le FMI pour écraser des pays trop endettés sous des dettes encore plus lourdes. Le scénario pour prendre le pouvoir a été appliqué maintes fois par le FMI durant ces dernières cinquante années. Cela se déroule comme ceci: on commence par manoeuvrer un pays dans des difficultés et dès qu’il se trouve endetté, on l’écrase sous des dettes supplémentaires telles, qu’il ne peut même plus payer les intérêts. Ensuite on garde le pays sous tutelle et on prend soin d’affaiblir le gouvernement le plus possible en imposant des coupes budgétaires de plus en plus grandes. Avec des mesures d’austérité, on fait saigner la population bien comme il faut. Ainsi elle sera plus rapidement satisfaite, lorsqu’on lui laissera un peu d’air. Et dès que les choses seront bien déréglées, on vendra les richesses du pays à des investisseurs étrangers et on introduira une économie de marché totalement libre.

Nous aussi

Qui réfléchit un peu, voit qu’avec le scénario des fonds de secours tous les pays de la zone euro se retrouvent endettés. Cela aussi est prévu dans le scénario criminel. Les prêts massifs servent d’abord à pouvoir mettre un pays sous tutelle. Dès que cela est un fait, ils peuvent déclarer que le pays ne pourra jamais rembourser ses dettes. En suivant, ils peuvent manoeuvrer les victimes suivantes dans les dettes. Ce sont les gouvernements qui se sont portés garants pour les prêts. Ils devront couper leurs dépenses pour payer les pertes. Et pour tous les pays le même refrain sera répété, que les gouvernements devront réduire, réduire, réduire leurs dépenses. Jusqu’à ce que quasiment rien ne reste du rôle et de la fonction du gouvernement national et que Bruxelles peut prendre le pouvoir. Bien entendu, cela s’accompagnera d’énormes troubles sociaux. Vous pouvez lire le reste dans le livre de Naomi Klein, La Stratégie du Choc (The Shock Doctrine).

2.   La réforme bancaire

Le franc d’État

La solution est simple. Au lieu de dépenser des milliards d’euros supplémentaires pour un euro qui est voué à disparaître tôt ou tard et au lieu de nous laisser prescrire des mesures d’austérité par la Commission Européenne et la banque centrale Européenne non-démocratiques, nous pouvons introduire un franc d’État.

Techniquement cela est relativement simple à réaliser. À la place de la banque centrale actuelle, il y aura une nouvelle banque centrale de l’État. Celle-ci tombera sous la responsabilité du Ministère des Finances et sera contrôlée par le Parlement. Une commission de gens bien formés veillera sur les intérêts à long terme du système d’argent.

La banque d’État sera la seule qui est habilitée à créer de l’argent. Tous les prêts seront fournis en argent d’État, que ce soit sous forme électronique ou en espèces. Il sera interdit aux banques commerciales et aux institutions financières de créer des avoirs du néant. Tous les nouveaux avoirs devront être couverts à 100% par de l’argent d’État. En ce qui concerne les prêts en cours au moment de la réforme, les banques qui les ont émis en resteront responsables jusqu’à leur remboursement par les emprunteurs. Pour autant qu’elles veuillent, les banques commerciales pourront devenir des intermédiaires entre la banque d’État et le public pour la fourniture de crédits et elles pourront gérer les comptes des clients au nom de la banque d’État. Dans ce cas, pour le public, rien ne change à leurs comptes existants. Les avoirs en euros seront transformés 1:1 en francs d’État. Comme intermédiaires, les banques ne recevront pas d’intérêts, mais une commission pour leurs services.

Émission de francs d’État

L’émission de francs d’État fournit une quantité comparable d’euros. Ceux-ci pourront être gardés par la banque d’État pour le paiement de dettes et également comme réserve stratégique gigantesque. Il ne me semble pas impensable qu’à un moment ou un autre le nouveau franc d’État puisse être attaqué sur les marchés d’échange. Nous serons à peu près le seul pays au monde qui aura son propre argent d’État et les banquiers privés puissants ne nous en seront pas reconnaissants.

Pas d’austérité

La cause des mesures d’austérité sont les prêts gigantesques que le FMI, la CE et la BCE ont chargés délibérément sur la Grèce, lorsque le pays croulait déjà sous trop de dettes. Il était prévisible qu’après la prise de pouvoir ces prêts seraient déclarés irrécupérables à un moment ou un autre et que les pertes arriveraient sur les épaules des citoyens des autres pays de la zone euro.

Il n’y a pas longtemps, le fonds de secours s’élevait à 440 milliards d’euros. C’était en moyenne1320 euros par citoyen euro. Le 27 octobre 2011 il en restait 250 milliards, lorsque les chefs de gouvernement de la zone euro ont décidé d’en faire 1000 milliards d’euros à l’aide d’un tour de passe-passe de comptabilité. (Exactement, la formule du vent.) Il va de soi, que nous sommes garants maintenant pour 1000 milliards, c’est à dire 3300 euros en moyenne pour chaque citoyen euro. Quand le prochain fonds de secours, le MES, sera ratifié par les Parlements nationaux, s’y rajoutera une obligation de 700 milliards (2100 euros en moyenne par citoyen euro). Ensuite, ce fonds MES pourra être rehaussé à l’infini sans avoir besoin d’aval parlementaire.

Donc la cause des mesures d’austérité n’est pas liée à la situation française. Bien entendu, nous avons nos difficultés avec le vieillissement, qui demandent des adaptations, mais cela n’implique pas forcément que nous devons renoncer à notre gouvernement, à nos acquis sociaux, culturels et autres.

Arrêtons l’euro, arrêtons l’UE et arrêtons les mesures d’austérité.

Caisses de retraite

Tu peux épargner de l’argent pendant ta vie pour ta retraite, mais ce que tu pourras en faire dépendra largement de la situation à ce moment-là. Déjà avant 1980 il était clair qu’aux environs de 2015 une énorme vague grise devait arriver de gens de 65 ans et plus, face à laquelle il y aurait une population active de plus en plus réduite. Les caisses de retraite ont laissé croire leurs cotisants à cette fausse idée, qu’ils disposeraient d’une retraite à valeur garantie. C’est quelque chose qu’elles n’auraient jamais dû promettre avec cette situation prévisible. Pour les générations de retraités précédentes la situation était bien différente. Grâce à un rapport très favorable entre peu de retraités et une grande population active, les retraites pouvaient, pour ainsi dire, être payées directement par les cotisations de la population active. Ces temps sont révolus.

Les caisses de retraite complémentaire ont généralement investi une partie des cotisations payées dans des obligations d’État. En fait, une partie des retraites est donc dès à présent payée par nos impôts. Une autre partie provient des investissements à l’étranger. Autrement dit, des bénéfices d’entreprises à l’étranger. Encore autrement dit, du fait que des ouvriers ailleurs sur le globe exécutent une partie de leur travail pour payer nos retraites. Donc, une sorte de colonialisme financier.

Personnellement je préfèrerais que nous prenions soin de nous-mêmes et soignons nos personnes âgées nous-mêmes. À mon avis, il y a assez de possibilités pour cela, si nous construisons notre société pas à pas sur des bases de durabilité et coopération au lieu de compétition et de gains financiers.

Système d’argent moins cher

Le système d’argent de l’État peut fonctionner de façon bien meilleur marché que le système d’argent privé que nous avons aujourd’hui. En premier lieu, tous les intérêts vont à la caisse de l’État et profitent ainsi à la collectivité. Les intérêts pourront rester plus bas, puis que la banque d’État n’a pas besoin de faire des bénéfices. (Pas de gros salaires pour les financial boys, pas de primes, pas de construction de capitaux onéreuse.)

La banque d’État n’a pas besoin d’un capital propre, puis que l’argent appartient à la collectivité. En fait, c’est nous tous qui garantissons la valeur de notre argent. Les défauts de paiement pourront être traités de la même manière que des dettes fiscales.

Argent permanent

Actuellement tout l’argent en circulation consiste de prêts en cours, qui devront être remplacés tout le temps. Pour diminuer les besoins d’emprunts, la banque d’État pourra décider de laisser une partie de tout l’argent en circulation en permanence (accompagné d’une politique fiscale appropriée). Dans ce nouveau système le gouvernement peut aisément réaliser ce fond d’argent permanent en faisant un nombre de dépenses (= mettre de l’argent en circulation) sans lever les impôts correspondants.

Inflation

En soi, le système d’argent d’État ne connaît pas de nécessité d’inflation. Il peut même continuer à fonctionner parfaitement en périodes de déflation. Les emprunteurs ne connaîtront plus l’avantage relatif de la diminution de valeur de leurs remboursements. Par contre, les frais d’intérêts pourront toujours être plus bas et pour des investissements démocratiquement voulus ils peuvent être supprimés en totalité. (Et si les taux d’intérêts bas causaient des problèmes dans le contexte international, la charge des intérêts pourrait être compensée fiscalement, totalement ou partiellement.)

Dettes d’État

La dette d’État (dette publique) actuelle a été causée par des dépenses du gouvernement pour lesquelles les impôts n’étaient pas levés d’avance. La dette d’État peut être supprimée au plus tôt avec les francs d’État nouvellement créés. Cela arrête les paiements des intérêts. Ensuite le concept de dette d’État pourra être jeté à la poubelle, puis que l’État, en cas de besoin, pourra s’adresser à sa propre banque. Pour les dépassements du budget les cas permis et les limites pourront être décrits, de même que les conditions pour des exceptions, pour lesquelles nous pouvons penser à une majorité parlementaire requise des deux tiers. Les règles pourront être ancrées dans la constitution.

Influence démocratique

La moindre influence des banquiers sur la forme de notre société laissera la place à plus d’influence démocratique. Cela offre la possibilité d’entamer la transition vers une société durable. Éclaircissement, intéressement et concertation de la population seront de grande importance pour la réaliser. Il ne me semble pas exclu que pour cela des structures démocratiques améliorées soient nécessaires.

Europe

L’Union Européenne offre chaque jour beaucoup de facilités au commerce international. Mais est-ce que le prix ne devient pas trop élevé maintenant? Est-ce que nous voulons échanger nos démocraties souveraines contre la gouvernance dictatoriale de la Commission Européenne, qui veut couper jusqu’à l’os dans tous nos acquis et transformer notre société en terrain de jeux financiers? Personnellement je pense que dans ce cas ces facilités sont payées beaucoup trop chères.

D’ailleurs, la coopération avec nos partenaires européens ne s’arrêtera pas quand nous quitterons l’UE. La coopération véritable est basée sur le commerce, l’industrie et le tourisme et sur tout qui sert des intérêts mutuels.

Notes et références:

[1]

Le 25 octobre 2011, chez « Pauw en Witteman » (programme de palabre d’une chaîne néerlandaise) l’invitée Sunny Bergman se fait fermer la bouche résolument par Ewald Engelen, qui se présente comme géologue financier et qui vient éclairer l’histoire de crise de la perspective de la presse globale. Après que EE ait présenté la misère sommairement, Sunny Bergman remarque: “Mais il est également juste de soumettre à discussion le modèle de croissance économique en soi.”
EE, comme mordu par un chien: “Oui, c’est une prise de position luxueuse. C’est vraiment à faire. Quand on roule dans une belle bagnole attrayante.. » – SB: « Je n’ai pas de belle voiture. » – « non, d’accord, et qu’on peut acheter de bonnes choses à manger chez Marché. Mais pour beaucoup, beaucoup d’autres gens cela est une exercice qui n’existe nulle part dans leur image du monde. » (Et donc, surtout pas dans l’image du monde de cet Ewald lui-même.)

[1] Dans les études scientifiques sur le “optimum currency areas” (régions optimales pour une monnaie) nous pouvons distinguer des études centrées sur les conditions nécessaires et celles d’après 1970 (lorsque les politiciens avaient décidé qu’ils voulaient une monnaie unique), qui sont davantage centrées sur les coûts et bénéfices.

Roman Horvath and Lubos Komarek dans “OPTIMUM CURRENCY AREA THEORY: AN APPROACH FOR THINKING ABOUT MONETARY INTEGRATION” (2002)

(Traduction Française, voir en dessous.)

“It is possible to distinguish two major streams of the optimum currency area literature. The first stream tries to find the crucial economic characteristics to determine where the (illusionary) borders for exchange rates should be drawn (1960s-1970s). The second stream (1970s-till now) assumes that any single country fulfills completely the requirements to make it an optimal member of a monetary union. As a result, the second approach does not continue in the search for characteristics, identified as important for choosing the participants in an optimum currency area. This literature focuses on studying the costs and the benefits to a country intending to participate in a currency area.”

“Il est possible de distinguer deux courants majeurs dans la littérature sur les régions optimales pour une monnaie. Le premier courant tente de trouver les caractéristiques clefs pour déterminer où les frontières (imaginaires) pour des taux de change devraient être établies (années 60 et 70). Le deuxième courant (de 1970 jusqu’aujourd’hui) suppose que n’importe quel pays individuel répond entièrement aux exigences pour en faire un membre optimal d’une union monétaire. Par conséquent, la deuxième approche ne continue pas à rechercher les caractéristiques, qui ont été identifiées comme importantes pour choisir les participants dans une région monétaire optimale. Cette littérature-ci est centrée sur l’étude des coûts et bénéfices pour un pays qui a l’intention de participer dans une région [union] monétaire.”

http://wrap.warwick.ac.uk/1539/1/WRAP_Horvath_twerp647.pdf , page 7.

Friedman décrit les avantages de cours de change flexibles comme suit : « Comme on le constate habituellement, les prix et les salaires dans un pays sont relativement rigides et [ces] facteurs sont immobiles entre pays. Par conséquent, lors d’une demande négative ou d’un choc dans l’approvisionnement, le seul instrument pour éviter une plus grande inflation ou du chômage est un changement dans le taux de change flexible (ce qui veut dire réévaluer ou dévaluer la monnaie). Cela ramènera l’économie vers l’équilibre interne et externe initial. (…) Sous le régime de taux de change fixes, il y aurait toujours l’impact déplaisant du chômage ou de l’inflation. »

http://wrap.warwick.ac.uk/1539/1/WRAP_Horvath_twerp647.pdf , page 8.

[2] Yrd. Doç. Dr. Hüseyin Mualla YÜCEOL, Mersin Üniversitesi İktisadi ve İdari Bilimler Fakültesi, Maliye Bölümü, dans “WHY THE EUROPEAN UNION IS NOT AN OPTIMAL CURRENCY AREA: THE LIMITS OF INTEGRATION” (« POURQUOI L’UNION EUROPÉENNE N’EST PAS UNE REGION DE MONNAIE OPTIMALE : LES LIMITES D’UNE INTÉGRATION »)

« L’Europe n’est pas une région de monnaie optimale. Néanmoins, le 1er janvier 1999 onze pays de l’UE ont démarré une Union Monétaire Européenne en adoptant une monnaie partagée, l’euro, tandis que l’UE ne répond pas à tous le critères pour une région monétaire optimale. Aussi, joindre l’UE n’est pas la même chose que joindre l’euro, aussi bien pour les anciens et les nouveaux membres. »

http://eab.ege.edu.tr/pdf/6_2/C6-S2-M6.pdf , page 66

[3] Paul de Grauwe, parties d’un speech:

(Traduction Française, voir en dessous.)

“With up to twenty-seven members instead of the present twelve, the challenge for ensuring a smooth functioning of the enlarged Eurozone will be daunting. The reason is that in such a large group the probability of what economists call ‘asymmetric shocks’ will increase significantly. This means that some countries may experience a boom and inflationary pressures while others experience deflationary forces. If too many asymmetric shocks occur, the ECB will be paralyzed, not knowing whether to increase or to reduce the interest rates. As a result, member countries will often feel frustrated with the ECB policies that do not (and cannot) take into account the different economic conditions of the individual member countries. This leads us to the question whether the enlarged EMU will, in fact, be an optimal currency area.” (…)

“If a country is hit by negative shocks brought about by agglomeration effects, the wage cuts necessary to deal with these shocks will inevitably be very large. To give an example: If Ford Motor were to close down a plant in Belgium and to invest in Poland instead, the wage cut of Belgian workers that would convince Ford Motor not to make this move would have to be 50% or more given that the wage not feasible, then flexibility dictates that the Belgian workers be willing to move.”

« Avec vingt-sept membres au lieu des douze d’aujourd’hui, le défi pour s’assurer d’un fonctionnement fluide de la zone euro élargie sera terrible. La raison en est que dans un groupe si large la probabilité de ce que les économistes appellent des ‘chocs asymétriques’ augmente de façon significative. Cela veut dire, que certains pays peuvent avoir une hausse et une pression inflationniste, tandis que d’autres ont des forces déflationnistes. Si trop de chocs asymétriques surviennent, la Banque Centrale Européenne sera paralysée, ne sachant pas si elle doit augmenter ou réduire les taux d’intérêt. Par conséquence les pays membres se sentiront souvent frustrés par la politique de la banque Centrale Européenne, qui ne tient pas compte et ne peut pas tenir compte) les conditions économiques différentes dans les pays membres individuels. Cela nous mène à la question si l’Union Monétaire Européenne élargie sera une région de monnaie optimale. » (…)

« Si un pays est touché par des chocs négatifs causés par des effets d’accumulation, les baisses de salaires nécessaires pour gérer ces chocs seront inévitablement très importantes. Si Ford Motors fermait une usine en Belgique et, à la place, investit en Pologne, les baisses de salaires des travailleurs Belges devraient être de 50% ou plus pour convaincre Ford Motors de ne pas déménager. Et vu que de tels salaires ne sont pas faisables, la flexibilité dicte que les travailleurs Belges accepteraient de déménager. »

http://mostlyeconomics.wordpress.com/2010/06/21/were-europes-curent-problems-never-imagined/ 

[5]

MES, le nouveau dictateur européen (article)
http://www.courtfool.info/fr_MES_le_nouveau_dictateur_Europeen.htm

MES, le nouveau dictateur européen (vidéo, 3:50)
http://www.youtube.com/watch?v=rFTbIGahzhU

MES, un coup d’état dans 17 pays
http://www.courtfool.info/fr_MES_un_coup_d_etat_dans_17_pays.htm

traduit le 5 novembre 2011

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Copyright:

La reproduction de cet article est libre, de préférence avec une mention du lien vers l’article original:  http://www.courtfool.info/fr_Des_dettes_d_Etat_au_franc_d_Etat.htm  .

L’auteur peut être contacté via www.courtfool.info/fr_contact.htm

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Source: Rudo de Ruijter,
Chercheur indépendant,
Pays-Bas

08/11/2011

Honteux ! G20: la nuit à 37 000 € de Sarkozy !

Le plan d’austérité commence bien ! Français: travaillez plus pour qu’il gagne plus ! « Je serai le président du pouvoir d’achat », qu’il promettait, le roi du monde !

Cela devient cynique; et outrageant.


FDF

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En pleine crise économique, et alors que le gouvernement racle les fonds de tiroirs à la recherche des milliards manquants, le prix de la nuit d’hôtel de Nicolas Sarkozy à Cannes, la semaine dernière pour le sommet du G20, frise la provocation.

En dépensant un peu plus de 37 000 € pour une nuit dans une suite de l’hôtel Majestic de Cannes, le Président français se hisse sur la plus haute marche du podium des dirigeants peu regardants à la dépense. Il devance Barack Obama et Silvio Berlusconi, hébergés au Carlton voisin, pour respectivement 35 000 € et 29 000 € la suite. Le président chinois Hu Jintao, objet de toutes les attentions, a payé trois fois moins cher sa chambre au Gray d’Albion, soit 11 600 €. Sans pour autant dormir dans un Formule1, le Premier ministre anglais David Cameron peut s’enorgueillir d’avoir été le plus économe des dirigeants présents à Cannes. Il n’aura déboursé « que » 1950€ pour une nuit au Marriott. C’est toujours 300 € de plus que le salaire mensuel médian en France. On est loin de la « République irréprochable » du candidat Sarkozy en 2007. Il ne suffira pas de geler le salaire du Président et des ministres pour y parvenir.

Source: http://www.ladepeche.fr/

03/11/2011

Sarkö a offert 920 millions d’euros pour le TGV du Maroc !!!

Même pas honte…

En ces temps d’austérité que nous commençons à connaître, il est des choses que Sarkö Ier devrait éviter de faire. Moi qui le croyais président des Français…

FDF

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L’immigration est une priorité budgétaire pour le gouvernement de Nicolas Sarkozy !  

« 632 millions d’euros »

Rappel :  SARKOZY est allé au MAROC, en septembre 2011 et finance une partie de leur TGV, à hauteur de 920 millions d’euros  –   et s’il n’y avait que ça…


Hallucinant ! Alors que la France connaît l’une des pires crises financières des cinquante dernières années, le gouvernement vient de décider d’augmenter le budget pour l’accueil des immigrés.
Ainsi, la part consacrée à l’immigration et à l’asile dans le budget 2012 est en augmentation de 27%. Une augmentation de pratiquement 30%, car il faut, selon le ministère de l’Intérieur,
« tenir compte du niveau élevé des besoins d’hébergement des demandeurs d’asile ».

Au total, la mission immigration, asile et intégration voit ses crédits augmenter de 14,1% pour 2012, pour atteindre 632 millions d’euros, dont 376 millions d’euros pour l’asile contre 296 millions en 2011, selon les éléments fournis par le ministère.

Sourcehttp://fr.novopress.info/

01/11/2011

L’euro prend l’eau… La « crise » a bon dos.

Bien, Gilbert; bien…

FDF

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L’EU-ROBLOT

« On est sonné par l’amoncellement des chiffres. Il faudra faire six à huit milliards d’euros d’économie. Or, l’État, à lui seul, dépensera en deux mille douze 5 milliards d’euros de plus qu’en deux mille onze, dont 3,4 milliards d’euros viennent de l’augmentation de la charge de la dette… Il va falloir trouver six à huit milliards d’euros, selon le chef de l’État en chef des dettes françaises. La croissance pour l’année prochaine sera ramenée de 1, 75 % à 1 %… L’agence Moody ‘s place sous surveillance la note de l’État français. On est dans une situation dramatique. La Chine pourrait prêter aux mendiants européens 70 milliards d’euros. La grande philanthrope, honnie hier, pour ses violations répétées des droits de l’homme, qui fait payer à la famille la balle du condamné, possède aujourd’hui toutes les qualités. On oublie tout ! On ne s’indigne plus. Un indigent peut-il s’indigner ? On abdique notre souveraineté devant le souverain qui paye. Pourquoi faudrait-il refuser, argumente le marchand de tapis de l’Élysée ? Il pourrait traduire « on prend le fric où on le trouve »  L’argent n’a pas d’honneur, même s’il a une odeur.  L’Allemagne dicte sa loi financière en ne voyant que ses intérêts. Merkel est présentée comme la bonne marraine de l’Europe par M Langguth. Une marraine qui mange le petit poucet paresseux. Elle n’a cédé sur rien. Paris a renoncé à toutes ses prétentions. Le FESF ne sera pas une banque. Les établissements financiers ont dû accepter une décote de 50 % de la dette grecque. On gagne du temps parce que le temps, ici, c’est l’argent des autres, les contribuables, dont le nom commence par un aveu de vérité. On crie victoire ! L’euro est sauvé, même s’il prend l’eau comme un rafiot monétaire.Les candidats se disputent la dépouille d’un pays qu’ils ont tous dépecé par leur aveuglement, leur lâcheté et leur démagogie, à droite comme à gauche. Quelle confiance accorder à des responsables qui ne voient rien venir, qui dorment sur l’oreiller douillet de leurs avantages, qui livrent le pays aux menottes monétaires de la Chine et de l’Allemagne ? Les gens ne comprennent plus rien. On les enfume dans des débats où la pseudo science économique des uns le dispute à  la pseudo science des autres, où la crise, entité insaisissable, expliquerait tout, où ce n’est la faute à personne. Mais à quoi cela sert –il de gouverner ? À quoi cela sert-il de siéger au parlement, au sénat ? À quoi cela sert-il d’avoir une voix ? L’erreur de diagnostic sur la dette date de 2007 !   Il y a bien une cause à ce merdier  qui nous ruine, nous sacrifie, nous humilie, nous endette pour des décennies, nous vassalise, comme des valets de la finance internationale, nous dépossède de toute souveraineté ? Cette cause c’est l’euro dont on ne voulait pas, mais qu’on nous a imposé avec mépris et dont les eurôlatres ne veulent pas reconnaître l’inéluctable faillite parce qu’elle stigmatise leur incompétence, leur volonté à ne pas voir la réalité. Et personne n’a la volonté de voir, à l’exception de Marine Le Pen, qui prêche dans le tohu – bohu médiatique des chiffres typiquement énarquien, derrière lesquels se cache la souffrance réelle, mais occultée,  des peuples. Quand on dénonce la folie des grandeurs des dirigeants ( l’euro est surévalué d’au moins 30 %),  qui ont vu grand en faisant payer aux petits le prix du pain, du café, du loyer, de la nourriture, de l’assistanat, à un prix jamais atteint dans l’histoire économique, on est traité de ringard bon pour la caverne par une Pecresse pincée comme une pince à billets, ou bien on est accusé de se réfugier dans la maison par un Vals qui barytonne son argument tellement préparé qu’il sent l’huile de coude des camarades communicants. D’abord, la maison, c’est une bonne chose. Ensuite, rompre ce n’est pas fuir, c’est éviter la décimation, qui frappe les soldats, ici, les contribuables, mais qui épargne toujours les généraux à l’abri dans leur palais de palabres. Essayer prudemment, dans une démarche calculée, étudiée, chiffrée, concertée de sortir du guet-apens monétaire, ce n’est pas du repliement, du nostalgisme, c’est du modernisme pragmatique. Ce type d’argument ressassé par l’UMP et Le PS, toujours en harmonie pour ringardiser l’autre, est aussi absurde que de dire à un médecin qui arrête l’hémorragie « vous retournez à la médecine de l’apothicaire » ! Ces gens-là, ces mous, ont peur du combat. Ils subissent. Ils ne croient plus en la France qui se relève. C’est le pire ! La preuve,  c’est que l’idée de revenir au Franc les rend malades, comme si on les privait d’une béquille ruineuse. Et l’on entend toujours la même rengaine, « on ne peut pas sortir de l’euro, la France subirait une attaque financière, ce serait le repliement, on ne pourrait pas financer. »  On a quand même vécu avec le franc ; les anglais n’ont pas l’euro et ils vivent ; quand on voit ce que coute la monnaie unique en son genre, on peut se dire que s’en débarrasser couterait moins cher que de l’avoir sur le dos, et nous rendrait notre liberté de manœuvre, peut être aussi notre liberté tout simplement de vivre comme on veut, sans le carcan des directives technocratiques, sans la Chine au bon cœur, sans l’Allemagne exemplaire, sans la Grèce exsangue, sans les concurrences  déloyales, sans les délocalisations, sans les portes ouvertes au grand vent de la mondialisation. »

Gilbert Collard

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

24/10/2011

Les vols chez les commerçants en forte hausse; vivement la charia !

Mais non, j’rigole! Quoique cette nouvelle loi « démocratique » qui vient d’atteindre la Libye et la Tunisie risque bien de remplacer notre code civil et notre code pénal… Des mains coupées, des lapidations, des têtes tranchées, des viols « punitifs » collectifs (ça, on a déjà…), des pendaisons… Que du bonheur.

Sérieusement, les vols en magasins se font de plus en plus fréquents. Et ce n’est pas simplement à cause de la crise… On ne vole pas QUE de la nourriture. On vole…… pour le plaisir de voler.

FDF

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Gels douche, fromages, alcools, maquillages et vêtements sont parmi les marchandises les plus volées dans les magasins toulousains. Des vols motivés par «la facilité», dénoncent les commerçants.

«C’est le surplus que je ne pourrai pas m’acheter, le petit truc pour le fun : une écharpe, du maquillage… La nourriture, c’est autre chose. » Salaire modeste, un ado à charge, Mélanie (1) n’a rien d’une voleuse compulsive. Mais depuis quelques années, elle chaparde : pour quelques fringues achetées chez Zara, un foulard léger est tombé dans le sac, l’antivol discrètement arraché.

Alimentaire, cosmétiques, vêtements… dans tous ces commerces du centre ville toulousain, comme dans les grandes surfaces, le vol à l’étalage reste un fléau. L’an dernier, 8 000 € de marchandises ont par exemple disparu au Carrefour City de la place Arnaud-Bernard, un de ces supermarchés de proximité qui a poussé en ville. En tête des produits les plus volés : les gels douche et shampoings, puis les fromages (Kiri, Babybel), enfin les canettes, dévoile Jimmy Couderc, le gérant. S’il a identifié une dizaine d’habitués qui squattent cette place de Toulouse, le commerçant a aussi intercepté une mamie avec des biscottes de la marque Céréal et autres emplettes dans son chariot. « Elle a tout contesté et rendu les produits. » Mais aussi une étudiante en droit, une future avocate qui l’a supplié de ne pas appeler la police. Pour 20 € de marchandises achetées, elle en dissimulait autant dans son sac. « Tout ce qu’elle avait envie de prendre sur le moment », explique le gérant. Pour lui, le vol de subsistance est rare. Le principal moteur, juge-t-il, c’est « la facilité » : « pourquoi payer si on peut avoir gratuitement ? ». La crise s’installe, les tentations demeurent…

Rouge à lèvres et mascara

Même constat près du métro Jean-Jaurès, dans un commerce d’alimentaire. Ici ce sont les bouteilles de vin que l’on surveille de près. Plus agaçant, les emballages de sandwiches jetés ici ou là trahissent le casse-croûte englouti sur place. Puis disparaissent quantité de bonbons et chips.

Dans les grandes surfaces Carrefour de l’agglomération, les parfums et les cosmétiques sont en tête du palmarès des vols, indique un porte-parole de l’enseigne. Mais ce qui coûte le plus aux hypers, ce sont les CD, DVD et jeux informatiques.

Le maquillage : ouvert en mai, le grand magasin Yves Rocher rue Alsace a aussitôt connu un succès fou… Rouge à lèvres, mascara et eaux de toilette : 4 000 € se sont volatilisés en quelques mois. Même les hommes s’y mettent, observe Sophie Camus, la responsable. Sa mère, la gérante, plaide pour la présence de vigiles dans la rue. À eux de courir après les voleurs.

(1) Prénom d’emprunt.


« Dans les commerces de vêtements, une petite partie des vols est le fait de M. Tout-le-monde. La grosse majorité de la fauche provient de vraies bandes organisées. Des filles qui en ont fait un métier et qu’à force on connaît », observe Marc Fridman qui possède notamment le Levis Store de la rue Saint-Rome. Plusieurs fois interpelées par la police qui a découvert des appartements remplis de vêtements, ces pros du vol, équipées de sacs tapissés, se sont du coup déplacées vers d’autres villes : Albi, Pau… où elles écument les boutiques.


Les vols constatés à Toulouse. Entre le 1er janvier et le 30 septembre 2011, 555 plaintes ont été enregistrées à Toulouse. Trente de moins que l’an dernier. Un chiffre cependant très peu représentatif des vols à l’étalage. La plupart du temps, la police n’est pas appelée par les commerçants.« Il n’y a plus un magasin en ville qui n’a pas un vigile. C’est un marché qui se développe, comme celui de la sécurité en général. »

Laurent Cuzacq, directeur des sociétés de sécurité privé CSOSP et Kevlar.

Source: http://www.ladepeche.fr/

30/08/2011

« Je serai le président du pouvoir d’achat ! » Nicolas Sarközy.

Ca se confirme: le cap des huit millions de pauvres dépassé en France…

Marine, vite !

FDF

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Il a rendu sa carte d’électeur… Photo d’illustration.

Si la crise a touché l’ensemble des Français, elle a surtout affecté les plus modestes : la France métropolitaine comptait 8,2 millions de pauvres en 2009, contre 7,8 millions l’année précédente, selon une étude de l’Insee publiée hier.

En 2009, 13,5 % de la population étaient considérées comme pauvres, c’est-à-dire vivant avec moins de 954 € par mois, contre 13 % en 2008.

2009 est « vraiment la première année pleine où se ressentent les effets de la crise » amorcée en 2008, a commenté Jean-Louis Lhéritier, chef de département à l’Insee.

Outre l’augmentation du nombre de personnes vivant sous le seuil de pauvreté (qui représente 60 % du niveau de vie médian), l’Insee note que « le niveau de vie des 10 % des personnes les plus modestes est inférieur à 10 410 € annuels, en baisse de 1,1 % par rapport à 2008 ».

A l’autre bout de l’échelle, « les déciles de niveau de vie supérieurs augmentent » et le niveau de vie des 10 % les plus aisés est supérieur à 35 840 € annuels, soit 0,7 % de plus qu’en 2008.

Sans grande surprise, les chômeurs, plus nombreux du fait de la crise, ont grossi dans les rangs des plus modestes : ils représentent 9,8 % des personnes appartenant aux deux premiers déciles contre 8,5 % en 2008.

Source: http://www.ladepeche.fr/

02/07/2011

Messieurs les élus Français, prenez en de la graine !

Je ne connais pas beaucoup de maires ou d’élus Français qui feraient la même chose. Il est certain que ce maire catalan sera réélu aux prochaines élections… C’est ce qui se nomme être solidaire. Surtout en ces temps de crise. En France, on opte plutôt pour le cumul de mandats et les parachutes dorés.

A bon entendeur…

FDF

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500.000 euros seront économisés en 4 ans de mandat !

Le maire de Girona, Carles Puigdemont, renonce à son salaire.

Dimanche 26.6.2011. 00:00h L’austérité financière appliquée par le gouvernement catalan se répercute à Girona, ville dont le nouveau maire, Carles Puigdemont, a décidé d’économiser 500.000 euros à la collectivité pendant son mandat. Pour cela, il élimine son propre salaire de maire des postes de dépense municipaux.

Le nouveau maire de Girona, Carles Puigdemont, élu le 22 mai et en passe de prendre ses fonctions vendredi 1er juillet, a choisi un engagement solidaire pour faire face à la crise. Il a en effet décidé de renoncer au salaire qui lui est réservé en tant que premier magistrat, dans le but de réduire les dépenses de fonctionnement de la municipalité. M. Puigdemont, qui assume également un poste de député au nom de la coalition centriste Convergence et Union, se contentera du salaire réservé à cette dernière fonction, qui exige une présence régulière au Parlement de la Catalogne, à Barcelone. Selon son propre calcul, présenté vendredi dans une interview accordée à l’agence Europa Press, ce choix permettra d’éviter une dépense de 500.000 euros jusqu’à la fin de son mandat, qui expirera en 2015. D’autre part, le conseil municipal de Girona, précédemment à majorité socialiste, sera réduit à 10 délégations, contre 17 jusqu’à présent. Cette évolution, qui entraînera une gouvernance nouvelle, suscitera une économie importante.

Le nouveau maire, qui prend les rênes de la ville de Girona après une première tentative effectuée à l’occasion des élections municipales de 2007, s’apprête à appliquer dans sa ville, à sa mesure, les stratégies financières drastiques mises en places depuis 6 mois par gouvernement de la Generalitat de Catalunya, dont il partage la couleur politique. Dans ce sens, il souhaite agir en s’appuyant sur un « gouvernement », au sens municipal du terme,« austère et resserré ».

Carles Puigdemont
Source: http://www.la-clau.net/

25/02/2011

Jeu de « qui est le plus pourri »…

Un petit diaporama qui va nous faire comprendre pourquoi vous nous n’arrivons plus à boucler nos fins de mois… Et aussi nous montrer qu’au détriment de cette infamie, les loups ne se mangent pas entre eux. La crise, ce n’est pas pour tout le monde. Quelque soit le pays en question.

« Salauds de pauvres« , qu’ils doivent se dire…

FDF

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Lire http://www.challenges.fr/diapo/nav/220/sous-la-tente-de-muammar-al-kadhafi.html?idPhoto=2347

05/02/2011

L’aide médicale d’Etat ne connait pas la crise…

On continue à creuser le trou…

Éloquent n’est-ce-pas !… Encore un grand merci à nos politiques qui continuent à nous pousser dans le précipice, en dilapidant, de façon éhontée, le fruit de notre travail.

Pour vivre heureux dans notre pays je préconise » aux citoyens français » de se passer le visage au cirage et de porter turban et barbe noir.


Lire: Aide_medicale_d’Etat0001

25/01/2011

Bakchich a pu éplucher les notes de frais de Dominique Baudis…

Eh bien, on ne vous félicite pas, Monsieur Baudis… Et ce n’est que la partie cachée de l’iceberg, chez nos élites…

FDF

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Les mille et une notes de frais de Dominique Baudis

Depuis son arrivée, Dominique Baudis s’est plu à expliquer comment il avait assaini la situation. Disons qu’après un redressement indéniable, amorcé avant son arrivée par une équipe budgétaire rigoureuse nommée en urgence, les mauvaises habitudes ont désormais repris le dessus : explosion en 2009 du budget de la Présidence, confortables notes de frais pour Dominique Baudis et …son épouse, et enfin retour en force de quelques seconds couteaux, au détriment des gestionnaires avisés à qui on devait un début de remise en ordre dans la maison.. 

Près de 350000 euros par an pour la Présidence

Inscrit dans l’airain du budget 2009, une hausse sensible des dépenses du boss : 180000 euros de missions et réceptions, (contre 150000 en 2008), 92 800 euros de frais de transports. L’Orient il est vrai est lointain… Dominique Baudis dispose en outre d’une carte de crédit, qui a chauffé fort. Près de 55000 euros de frais ont été dépensés en 2008 et autant en 2007. Simple partie émergée de l’iceberg ? D’après certaines indiscrétions de la direction financière, le patron disposerait d’autres cartes de crédit.

Généreux, Baudis ne se lasse pas non plus d’organiser de petites sauteries dans les splendides locaux de l’IMA pour ses amis de l’UMP. Et on n’évoquera pas la revalorisation du traitement mensuel du président de l’IMA de quelque 6 000 euros à désormais 10 000 euros (et non 100 000 comme inscrit par erreur ce matin mercredi ) par mois. Dès son arrivée, Dominique Baudis réclame un tel salaire, égal, explique-t-il, à ce qu’il touchait au CSA. Dans une note confidentielle, le directeur général adjoint, François Baudet, émettait quelques réserves. Deux ans plus tard, Baudis parvient à ses fins.

La situation était tellement tendue en fin d’année dernière que les gestionnaires de l’Institut ont été sommés, au dernier moment, de trouver quelques rustines pour combler le trou ainsi creusé. Quelques dizaines de milliers d’euros avaient été pris, in extremis, sur le service des relations humaines !

Ysabel Baudis, star du monde arabe !

Les équipes de Bakchich on pu regarder à la loupe les confortables notes de frais de Dominique Baudis : voyages de madame à Damas, Tunis, Abou Dhabi, Louxor ; escapades du président dans les bons hôtels de Tunisie plusieurs fois durant le même été ; remboursements de multiples frais de restaurants (jusqu’à 755 euros dans un resto chinois, sans justificatifs).

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La carte bleue "corporate" de l’IMA finance un peu plus que les faux-frais  de Dominique Baudis. Elle autorise certaines libertés au dirigeant de l’UMP :  1- les allers-retours entre Paris et Toulouse -avec Air France-  de sa femme Ysabel  2-les notes de restaurant du XVIe arrondissement, où il réside. Avec un petite préférence pour le "joyeux dragon", une gargotte où il a réussi à claquer 755 euros en un repas…  3- Des séjours à l’hôtel Sinbad d’Hammamet, où il conforte les relations franco-tunisiennes.  Bakchich s’est procuré aussi bien les notes de restaurant que les relevés de carte bancaire. Un beau voyage de Tunis à Passy en passant par Toulouse. - JPG - 68 ko  

La carte bleue « corporate » de l’IMA finance un peu plus que les faux-frais de Dominique Baudis. Elle autorise certaines libertés au dirigeant de l’UMP : 1- les allers-retours entre Paris et Toulouse -avec Air France- de sa femme Ysabel 2-les notes de restaurant du XVIe arrondissement, où il réside. Avec un petite préférence pour le « joyeux dragon », une gargotte où il a réussi à claquer 755 euros en un repas… 3- Des séjours à l’hôtel Sinbad d’Hammamet, où il conforte les relations franco-tunisiennes. Bakchich s’est procuré aussi bien les notes de restaurant que les relevés de carte bancaire. Un beau voyage de Tunis à Passy en passant par Toulouse.

Interrogé par Bakchich, Dominique Baudis se montre sans états d’âme. Les voyages de Madame ? « Ecoutez, mon épouse a écrit un livre décisif sur la chanteuse Oum Kalsoum, mes interlocuteurs dans le monde arabe réclament sa présence ». Ysabel a écrit aussi un ouvrage sur les 1001 nuits, mais qui, apparemment, a moins marqué son cher époux, qui ne l’évoque pas. Ysabel Baudis s’avère une star dans le monde arabe, et on l’ignorait !

Ysabel Baudis, reine d’Orient, voyage aux frais de l’Ima - JPG - 71.9 ko  

Ysabel Baudis, reine d’Orient, voyage aux frais de l’Ima

Les frais de restaurant, innombrables, sont facturés souvent dans des établissements de Toulouse, dont il était maire, ou encore dans le seizième arrondissement, fort loin de l’IMA, mais où il réside. Quant aux frais de voyage à Taiwan et la note salée chez Divellec, un des plus grands restos de Paris, pour les diplomates asiatiques, ils seraient justifiés par un projet d’exposition, explique Baudis à Bakchich, sur « les liens ancestraux » entre la Chine et le monde arabe. Un sujet d’actualité, ou on n’y connaît rien.

Au restaurant le Divellec, une des cantines les plus chères de Paris, Dominique Baudis régale, pour 458 euros, le représentant de Taïwan, avec la carte professionnelle de l’IMA. Le monde arabe n’a pas de frontières ! Explication de M. Baudis : "Nous préparons une expo sur la relation entre la Chine et le monde arabe". Du bel échange culturel. - JPG - 42.3 ko  

Au restaurant le Divellec, une des cantines les plus chères de Paris, Dominique Baudis régale, pour 458 euros, le représentant de Taïwan, avec la carte professionnelle de l’IMA. Le monde arabe n’a pas de frontières ! Explication de M. Baudis : « Nous préparons une expo sur la relation entre la Chine et le monde arabe ». Du bel échange culturel.

Amoureux de la presse, le patron de l’IMA achète les journaux où qu’il soit, à Toulouse ou dans le seizième arrondissement où il réside. Et se fait rembourser à l’euro près. 80 euros par ci, 10 euros par là, il n’y a pas de petites économies !. «  Les contrôleurs de la Cour des Comptes, se justifie-t-il, n’ont rien trouvé à redire ». Et peu importe que la plupart des salariés de l’IMA lisent, eux, la presse sur place !

Toulouse, capitale arabe !

Plus surprenant encore, on découvre de multiples allers-retours entre Paris et Toulouse, payés par l’IMA. Là encore les déplacements de Dominique Baudis seraient dus au projet d’exposition entre la ville de Toulouse et l’IMA. Est-il normal, pour autant, que les voyages de madame (voir document) soient payés par l’IMA ? «  Les voyages de mon épouse, affirme tranquillement monsieur Baudis, n’ont jamais été imputés sur la maison ». Les notes de carte bleue que Bakchich s’est procurées prouvent évidemment le contraire.

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Dominique et Ysabel Baudis convolent en couple vers Toulouse, aux frais de l’IMA - JPG - 32 ko  

Dominique et Ysabel Baudis convolent en couple vers Toulouse, aux frais de l’IMA

Plus grave, Dominique Baudis est en train d’écarter le petit groupe qui avait réussi à imposer quelques cadrages budgétaires à cette institution à la dérive.

En effet, le principal gestionnaire de l’IMA, un administrateur de la ville de Paris détaché à Bercy, François Baudet, vient d’annoncer qu’il ne demandait pas le renouvellement de son mandat. À plusieurs reprises, ces derniers mois, il avait été désavoué par le directeur général, Moktah Taleb Bendiaf, connu pour les longues siestes qu’il s’accorde sur son lieu de travail et que Dominique Baudis a reconduit en avril dernier. «  M. Taleb Bendiaf, écrivait le personnel de l’IMA dans une lettre ouverte le 10 avril 2008, n’a pas rempli les tâches qui lui incombent tant au plan administratif que culturel…Il est urgent de nommer un directeur général ayant les compétences ».

Accessoirement, ce cadre algérien, dont les avantages et salaires s’élèvent à 200000 euros, avait été stigmatisé dans le rapport de la Cour des Comptes de 2007 pour ne pas avoir payé les impôts qu’il aurait du normalement verser. «  L’un des avantages les plus importants dont bénéficie le titulaire de la fonction, note les magistrats de la rue Cambon, consiste à échapper à toute retenue fiscale au motif que ce salaire constituerait selon l’IMA une indemnité représentative de frais ». Cette habitude est d’autant plus fâcheuse, que le directeur général se voit, par ailleurs, remboursé tous ses frais.

Relents de festaille, de mangeaille !

François Baudet avait une autre bonne raison de quitter la caverne d’Ali-Baba. Il y a un an, le patron de l’IMA nommait, au même rang que lui, un vieux routier de l’IMA, le franco-syrien Badredinne Arodaky, qui s’était fait connaître pour ses engagements successivement pro- palestinien puis pro-syrien. En 2007, la Cour des Comptes s’était montrée fort critique sur la façon dont Arodaky, directeur commercial, avait géré la boutique de l’IMA, la Medina. La Cour des Comptes note qu’« aucune politique commerciale digne de ce nom » n’avait été mise en place. Aujourd’hui, le commercial créatif est promu par Dominique Baudis et devrait prendre le contrôle de la gestion de l’IMA.

Aurait-on été victime, sur les bords de la Seine, d’un trop joli mirage ? Les splendides expositions organisées encore et à prix d’or par l’IMA ne doivent pas masquer la réalité. Le rêve franco-arabe à Paris s’estompe. Et ne reste que ce qu’en arabe on nomme tegr’a, les relents de festaille, de mangeaille !

Source: http://www.bakchich.info/

Le « coût » des voeux…

Eh oui, mes amis; c’est la crise…

FDF

Meilleurs voeux !


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Depuis fin décembre 2010 et jusqu’à la fin du mois de janvier 2011, si vous avez essayé de contacter votre député ou votre maire, vous avez constaté qu’il était « in-tou-chable » parce que, justement, il était à la fête. Le calcul montre que l’ensemble des frais déclenchés représentent environ 0,2% du Pib : c’est suffisant pour conduire à des délocalisations, au chômage et à la pauvreté.


DES VOEUX ET DES BUFFETS

Notre hyper président à l’aide de son merveilleux tapis volant va partout en janvier pour « offrir » ses vœux à ce qu’on appelle les forces vives de la nation et dont beaucoup n’en sont que des branches mortes. Ce n’est que la pointe de l’iceberg des vœux publics français qui sont un véritable scandale générant l’effet de ruine dans toutes les catégories de la population avec par ricochet le chômage et la pauvreté.

Depuis fin décembre 2010 et jusqu’à la fin du mois de janvier 2011, si vous avez essayé de contacter votre député ou votre maire, vous avez constaté qu’il était « in-tou-chable » parce que, justement, il était à la fête. Vœux et ensuite « galettes des rois » se succèdent sans interruption, les galettes des rois ne gênant guère ces fameux républicains dès lors qu’elles sont gouleyantes. Un ministre, naguère, s’est vanté d’avoir invité pour recevoir « ses » vœux 10 000 personnes au total, dans « son » ministère, « sa » ville et « sa » présidence de région. Il était présenté avec gourmandise par la  presse comme un « pro », tant son adresse était grande dans la préparation et la tenue de ces multiples fêtes.

Dans les fêtes et réceptions publiques, il peut, certes, arriver que les simples contribuables soient invités. Cela fait partie de ce que l’on dénomme « la stratégie des miettes » : les prédateurs publics spéculent sur leur modeste joie pour continuer à les spolier en paix. Il s’agit, d’ailleurs, de « miettes » en bonne et due forme et parfois, on les aperçoit voleter au coin des vestons. En dehors de ces quelques contribuables invités par erreur, les Hommes de l’État se retrouvent entre eux dans ces réceptions de début d’année : le Président du Conseil Général donne la main au Député, qui la transmet au Chef Syndicaliste. Le Président d’association subventionnée la saisit au passage et la repasse au directeur de société d’économie mixte ; tiens voici le Sous-Préfet qui rend la main au Président du Conseil Général, terminant ainsi la boucle meurtrière. La balade des mains se produit entre gens qui vivent tous des impôts. On écoute les discours d’une oreille distraite en lorgnant sur le buffet.

Certains pourraient se demander si le total des frais occasionnés par ces vœux représente un chiffre assez significatif pour générer la pauvreté dans le corps social. Or le calcul montre qu’en fait les frais occasionnés par les vœux publics en France, lesquels constituent une véritable exception française, représentent à peu près 0,2 % du PIB ce qui est tout à fait considérable et suffisant pour faire partir des industries et générer le chômage et la pauvreté dans une mesure certes difficile à évaluer.

LE CALCUL

Voici les termes du calcul qui est assez compliqué.

Il y a d’abord les buffets : pas de vœux réussis sans buffets bien garnis. Pour évaluer le coût des buffets il faut d’abord savoir combien il y a de puissances invitantes suivant la terminologie prétentieuse de ces gens. Bien entendu au départ il y a les 40 ministres ; mais il faut ajouter bien d’autres puissances invitantes comme les dirigeants de l’opposition qui vivent aussi des fonds publics, les dirigeants d’un grand nombre d’assemblées et puis les dirigeants de groupes parlementaires et des Hautes Autorités Administratives. L’évaluation approximative de toute cette population nous amène à 300. il faut maintenant ajouter le millefeuille administratif qui pèse si lourdement sur toute la France. Le rapport Balladur avait évalué à 591 unités le millefeuille administratif ; nous pouvons arrondir à 600 et nous voilà à un total de 900. Que penser des 36 000 communes ? Les communes les plus importantes, les syndicats des communes, et l’intercommunalité nous conduisent probablement à 1000 puissances invitantes supplémentaires ce qui nous porte à 1900 ; arrondissons à 2000.

D’autres éléments doivent être pris en compte. Président et Ministres font la fête tous les jours mais les puissances invitantes de moindre catégorie ne font pas la fête tous les jours : il faut faire une moyenne. Soyons modestes et limitons à quatre fêtes en moyenne ce qui nous porte le total à 8000 fêtes. Combien de fêtards dans chacune des fêtes ? Certains se refusent à venir en donnant une publicité à ce refus ; ce fut le cas récent d’un chef syndicaliste très attaché à la ruine de la France et qui a fait savoir qu’il ne viendrait pas aux vœux du président. Hormis ce cas exceptionnel, l’on se précipite en général pour être invité et il est vexant dans les provinces de ne pas serrer la louche du préfet à cette occasion. Là aussi nous sommes obligés de prendre des moyennes et nous supposons 200 fêtards par séance. Nous voici avec 1 600 000 fêtards.

Dans notre évaluation à la louche, si l’on peut dire, il reste à savoir à combien nous évaluons la place. Il faut tenir compte non seulement des frais des traiteurs mais des transports pour amener les fêtards avec souvent des fonds publics et prendre en considération l’amortissement ainsi que l’entretien des fabuleux palais dans lesquelles se passent ces multiples fêtes. Nous supposons en moyenne un coût de 200 € par place et nous voici à 320 millions d’euros simplement pour le prix des buffets bien garnis.

LE TEMPS

Nous allons surprendre nos lecteurs car nous n’en sommes qu’au début du scandale et encore au sommet de l’iceberg. Un économiste honnête, doublé d’un comptable scrupuleux, doit prendre en compte le temps des fêtards. En effet, faisant preuve pour une fois de gentillesse, nous pensons que ces fêtards sont des personnes de très grand talent. Souvent appartenant aux branches morts de la nation ils exercent, certes, leurs talents d’une façon nuisible : voir les chefs syndicalistes ou les dirigeants de l’éducation nationale. Au lieu de passer la journée bouche bée devant une puissance invitante dont ils n’ont rien à faire ils pourraient créer de la richesse dans leur domaine de compétence. Nous ne prendrons pas pour l’évaluation de la valeur de ce temps le tarif d’un PDG du CAC 40, ce qui ne voudrait rien dire. Nous prenons seulement 2000 € par vacation de fêtard ; 2 000 euros multiplié par 1 600 000 nous donne 3,2 milliards d’euros

Avec le coût des buffets nous voici à 3,52 milliards d’euros.

D’AUTRES FRAIS

Nous n’avons pas encore fini car lorsque l’on détricote les causes du désastre français l’on n’est jamais au bout. Une troisième catégorie d’autres frais doit être prise en compte.

Que les lecteurs sceptiques prennent la peine de sortir de chez eux. A la campagne en début janvier ils recevront en pleine figure par voie d’affiche sur les routes les vœux du Conseil Général dont ils n’ont rien à faire et à Paris, pendant huit jours, les vœux du Maire. Il faut voir les dames du quartier remercier avec effusion le Maire pour la boite de chocolat qu’il leur a « offerte » avec l’argent qu’il a ramassé dans toutes les rues, non sans en garder précautionneusement une part pour lui.

Ajouter les cartes de vœux avec frais d’envoi à toute la population, les frais de dessinateurs et de logos, les affiches, les services de communication. Un ministre, naguère, voulant sans doute montrer son attachement aux valeurs de la République avait envoyé en France et à l’étranger des milliers de cartes de vœux avec des images obscènes mettant en jeu certaines de nos gloires nationales. Quand l’on voit, dans le journal local, la photo d’un Conseiller Général venu « offrir » les vœux du Conseil Général dans un asile de vieux, il faut bien comprendre de quoi il s’agit. Ce Conseiller Général reçoit pour cette tâche sympathique une prime plus ses frais de déplacement, le tout probablement sans impôt. Ne pas oublier le temps des attachés de cabinet chargés de préparer les discours et d’y semer les phrases idiotes habituelles.

LE TOTAL GENERAL

Personne n’a intérêt à nous informer sur cette dernière catégorie de frais qui se perdent dans le marécage nauséabond de la comptabilité publique. L’on peut imaginer que cela nous conduit à un total général de 4 milliards d’euros soit 0,2 % du PIB. Les impôts et charges nécessaires pour financer cette insupportable spécificité française mènent à due concurrence aux délocalisations, au chômage, voire à la pauvreté. Les innombrables fêtards objecteront que nous parlons de gouttes d’eau : objection classique. Mais de multiples gouttes d’eau forment le torrent de la ruine que les prédateurs publics infligent aux autres.

Un diplomate allemand rencontré par hasard il y a quelques années lors d’un mois de janvier avait dit que les vœux publics dans son pays se réduisaient à presque rien mais avait du abréger l’entretien pour courir entendre des phrases idiotes lors d’une cérémonie !

Source: Michel de Poncins (Tocqueville Magazine).

24/01/2011

Algérie: c’est la débandade!

Pas besoin de commentaires… Mieux vaut en rire; pour l’instant.

FDF

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17/01/2011

Le séjour de Rama Yade en Afrique du Sud nous a coûté 45 000 euros !!!

C’est la crise. Faut il vous le répéter sans cesse ?

FDF

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L’ancienne secrétaire d’Etat et nouvel ambassadeur auprès de l’Unesco, Rama Yade, ne voyage pas vraiment à l’économie.


Son voyage en Afrique du Sud à l’occasion de la Coupe du monde de football a en effet coûté près de 45.000 euros aux contribuables français.

A la demande du député UMP Christian Vanneste, la facture détaillée du déplacement a été publiée au Journal Officiel et s’élève au chiffre faramineux 44 089,93 euros pour cinq personnes – Rama Yade, trois membres de son cabinet et un agent de sécurité, sur quatre jours.

Comble de l’indécence : Rama Yade avait créé la polémique avant la compétition en dénonçant l’hébergement luxueux des joueurs de l’équipe de France. « J’attends que l’équipe de France nous éblouisse par ses résultats plutôt que par le clinquant des hôtels. Moi, je les ai appelés à la décence en temps de crise », avait-elle déclaré, sans peur du ridicule.

« Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais… » devise éternelle des politiciens modernes.


Source: Novopress.info

13/10/2010

Pénurie de carburants…

Ca touche aussi le Moyen Orient; en voici la preuve irréfutable…

FDF

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Merci à DB…

01/09/2010

Russie: « Pour aider l’Etat, fumez et buvez! »

Chez nous, en France, on ne nous le dit pas aussi directement… Mais l’idée est la même… On a du bol, quand-même. Et en plus, on nous impose du halal; nourriture oh combien saine et pure…

FDF

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Le ministre russe des Finances, Alexeï Koudrine a déclaré que plus ses concitoyens consommaient de la vodka et des cigarettes, des produits taxés, plus ils aidaient à la résolution de «problèmes sociaux» du pays.

Et en plus, nous sommes écolos…

01.09.2010

L’alcool et le tabac font plus de 500 000 morts par an en Russie.

« Pour que les gens comprennent: celui qui boit de la vodka et celui qui fume aide plus l’Etat. Si tu fumes un paquet de cigarettes, alors tu as donné des fonds pour règler les problèmes sociaux comme le soutien à la politique démographique, le développement de services sociaux, le soutien à la natalité », a-t-il dit, selon l’agence Interfax.

Cette prise de position est pour le moins étonnante, alors que la vodka et autres alcools forts sont à l’orgine d’un demi-million de morts chaque année en Russie.

Cette mortalité se répercute sur l’espérance de vie des hommes (60 ans d’après l’OMS), qui est inférieure à celle de pays pauvres comme le Bangladesh ou le Honduras, selon des estimations officielles.

Pour tenter de lutter contre cette surmortalité, la ville de Moscou a introduit à partir de mercredi une interdiction de la vente d’alcools forts entre 22 h et 10 h.


Source: http://tinyurl.com/39qndln

30/07/2010

La crise dure depuis 2065 ANS !

La vie est un éternel recommencement…


La pensée du jour :

« Les finances publiques doivent être saines,

le budget doit être équilibré,

la dette publique doit être réduite,

l’arrogance de l’administration doit être combattue et contrôlée,

et l’aide aux pays étrangers doit être diminuée de peur que Rome ne tombe en faillite.

La population doit encore apprendre à travailler au lieu de vivre de l’aide publique. « 

Cicéron – 55 AVANT JÉSUS CHRIST

MORALITE :

C’est rassurant !

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