Francaisdefrance's Blog

06/02/2012

Mahomet, dont la conduite doit être imitée dans les moindres détails, avait une conception pragmatique du mensonge.

Et bien qu’il se rassure, le « prophète »… Il a été entendu et suivi. Encore de nos jours. Le double langage de l’islam, vous connaissez ? Et la Taqiyya ? Lisez ce qui suit.

FDF

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« la taqiyya servant à duper l’ennemi est permise » (13).

Plusieurs ulémas estiment que la tromperie fait partie intégrante de l’art de la guerre.
« La taqiyya pose un ensemble de problèmes éthiques.
Quiconque croit véritablement que Allah justifie, et même, par l’exemple de son prophète, encourage la tromperie, n’aura aucun scrupule éthique à mentir. »
« Puisque Allah est censé être la source de ces versets révélés, il est considéré comme étant Lui-même implicitement le perpétrateur absolu du mensonge, ce qui n’a rien de surprenant puisque il est décrit dans le Coran comme étant le meilleur makar, c’est-à-dire fourbe, trompeur »
« On peut conclure que face à l’opposition naturelle entre guerre et paix, qui existe dans le cadre occidental, il est plus approprié de parler d’une opposition entre guerre et dissimulation dans le cadre islamique. Car, selon le point de vue islamique, les périodes de paix, qui n’ont lieu que quand l’islam est plus faible que ses rivaux infidèles, sont des périodes de paix simulée et de dissimulation, bref de taqiyya. »

La doctrine de la Taqiyya

Les formulations de la taqiyya
La tromperie dans les exploits guerriers de Mahomet
La taqiyya dans la révélation coranique
La guerre est éternelle
L’hostilité sous les traits de la récrimination
Taqiyya  ou fourberie  musulmane

Voilà qui résume assez le texte ci-dessous,  que je vous conseille de lire, afin de ne pas vous laisser berner encore plus, le  titre à lui seul est suffisamment évocateur et explicite.
ET ENSUITE VOUS  NE POURREZ PAS DIRE QUE VOUS NE SAVIEZ PAS  CE QUI SE TRAMAIT,  et à QUI NOUS AVONS à FAIRE.

JC JC…
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La Taqiyya et les règles de la guerre islamique
par Raymond Ibrahim
Middle East Quarterly

Translation of the original text: How Taqiyya Alters Islam’s Rules of War
Adaptation française: Jean Szlamowicz, pour debriefing.org


L’islam doit apparaître aux non-musulmans comme une religion bien paradoxale. D’un côté, on ne cesse de la présenter comme la religion de la paix et, de l’autre, ses membres sont responsables de la majorité des actes terroristes dans le monde. Les apologistes de l’islam soulignent que cette foi se fonde sur une grande exigence éthique. Les autres constatent qu’il s’agit d’une religion légaliste. La dualité des critères de vérité et de fausseté dans l’islam révèle une nature paradoxale : car si le Coran est contre les croyants qui trompent d’autres croyants (en vertu du fait que « Allah ne guide pas celui qui est outrancier et menteur » (1), la tromperie aux dépens des non-musulmans, généralement appelée, en arabe, taqiyya, reçoit également l’approbation coranique et fait partie des actes légalement permis aux musulmans.
La tromperie musulmane peut être considérée comme un moyen, qui manque, certes, de noblesse, au service de la fin glorieuse que constitue l’hégémonie islamique de la chariah, considérée comme favorable aux musulmans et aux non-musulmans. En ce sens, il s’agit d’un mensonge altruiste, ce qui est autorisé. L’imam Mahmoud al-Masri a récemment donné en exemple une histoire où un musulman raconte un mensonge à un Juif pour le forcer à la conversion, et dont il parle comme d’une « magnifique tromperie ».
La taqiyya a deux utilisations principales. La plus connue consiste à masquer ses convictions religieuses par crainte de persécutions. Il s’agit là de pratiques historiques de la taqiyya au sein de la communauté chiite, dans tous les cas où leurs rivaux sunnites étaient plus nombreux et constituaient une menace. Inversement, les sunnites, loin d’être persécutés, ont toujours pratiqué quand c’était possible une forme de taqiyya au service du djihad contre les incroyants, faisant de la taqiyya une pratique non plus seulement de dissimulation, mais de tromperie active. En fait, le mensonge, qui a, dans l’islam, un fondement doctrinal, est souvent présenté comme égal, et parfois supérieur, aux autres vertus guerrières que sont le courage, la détermination, ou le sacrifice.
On pourra se demander comment il se fait que les musulmans soient à la fois exhortés à la sincérité et encouragés à la tromperie, et que cette dernière soit non seulement dominante mais bénéficie aussi de l’approbation divine.
Qu’est-ce au juste que la taqiyya? Comment les théologiens, ainsi que ceux qui en font usage, la justifient-ils ? Comment s’inscrit-elle dans l’éthique islamique, notamment dans son rapport avec les non-musulmans ? Et, plus précisément, quelles sont les implications de la taqiyya pour toutes les relations entre musulmans et non-musulmans ?

La doctrine de la Taqiyya
Selon la charia, c’est-à-dire l’ensemble des règles qui définissent le comportement d’un musulman dans toutes les circonstances de la vie, la tromperie est non seulement permise dans certaines circonstances mais peut être considérée comme obligatoire. Contrairement à la tradition chrétienne primitive, les musulmans contraints de choisir entre reniement de l’islam et persécution avaient la permission de mentir et de feindre l’apostasie. D’autres juristes ont décrété que les musulmans étaient obligés de mentir afin de se préserver (2), en se fondant sur les versets coraniques qui interdisent aux musulmans de concourir à leur propre mort (3).
Telle est la définition classique de la taqiyya. Construit sur un mot arabe connotant la crainte, le terme de taqiyya passe (notamment auprès des chercheurs occidentaux) pour une stratégie à laquelle on peut avoir recours en cas de persécution religieuse, ainsi que les groupes minoritaires chiites l’ont fait quand ils vivaient au sein de majorité sunnites hostiles (4). La taqiyya a ainsi permis fréquemment aux chiites de masquer leur appartenance religieuse face aux sunnites, non seulement en remisant leurs convictions religieuses à la clandestinité, mais en priant et en se comportant comme des sunnites.
Cependant, l’un des rares ouvrages consacrés à ce sujet, At-Taqiyya fi’l-Islam (« De la dissimulation dans l’islam ») dit clairement que la taqiyya ne se limite pas à la dissimulation par crainte de persécutions. Son auteur, Sami Mukaram, ancien professeur d’études islamiques à l’niversité américaine de Beyrouth, qui a écrit environ vingt-cinq ouvrages sur l’islam, démontre clairement la variété des applications de la taqiyya :

« La taqiyya est d’une importance fondamentale dans l’islam. Pratiquement toutes les factions islamiques la reconnaissent et la pratiquent (…) On peut même dire que la pratique de la taqiyya fait partie de la norme de l’islam, et que les rares factions qui ne la pratiquent pas sont justement en dehors de la norme musulmane. La taqiyya est dominante dans la politique islamique, en particulier durant la période moderne » (5).

La taqiyya n’est donc pas, comme on le suppose souvent, un phénomène exclusivement chiite. Bien sûr, en tant que minorité dispersée au sein de communautés sunnites ennemies, les chiites ont historiquement plus de raisons de pratiquer la dissimulation. Inversement, l’islam sunnite ayant rapidement dominé de vastes empires, de l’Espagne à la Chine, ses membres ne devaient rien à personne et n’eurent pas à faire allégeance à d’autres, ni à se cacher face à des incroyants infidèles (l’Espagne et le Portugal de la Reconquista sont les rares exceptions où les sunnites ont dissimulé leur identité religieuse (6)). Ironiquement, les sunnites qui vivent en Occident se trouvent désormais dans la situation qui était celle des chiites, puisqu’ils vivent comme une minorité encerclée par ses ennemis traditionnels, les chrétiens infidèles. Ces derniers, à la différence des chrétiens de la Reconquista, se comportent rarement en adéquation avec cette inimitié historique, et la reconnaissent encore moins. En fait, les sunnites se retrouvent dans les circonstances générales qui ont fait de la taqiyya un élément important du chiisme mais sans risquer la menace physique qui en avait été initialement la source.

Les formulations de la taqiyya
Le verset 3:28 du Coran est souvent considéré comme le premier qui admet la tromperie envers les non-musulmans :

« Que les croyants ne prennent pas pour alliés des infidèles au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux » (7).

Muhammad ibn Jarir at-Tabari (mort en 923), auteur d’un commentaire du Coran, qui fait autorité, explique ainsi le verset 3:28 :

« Si vous [les musulmans] êtes sous l’autorité de non-musulmans et craignez pour vous-mêmes, conduisez-vous avec une apparence de loyauté envers eux, par la parole, tout en conservant votre hostilité à leur égard par devers vous (…) [sachez que] Allah a interdit aux croyants de se montrer amical ou intime avec les infidèles, sauf si les infidèles les dominent. Dans ce cas précis, qu’ils se comportent amicalement avec eux tout en préservant leur religion » (8).

Toujours à propos de ce verset du Coran, Ibn Kathir (mort en 1373), qui est une autre grande autorité coranique, écrit :

« Quel que soit le lieu ou le moment, quiconque craint des tourments [venant de non-musulmans] peut se protéger en donnant le change ».

Il en veut pour preuve une citation d’Abu Darda, proche compagnon de Mahomet, enjoignant d’« arborer un large sourire face à certaines personnes tandi cœur les maudit »s que notre. Un autre compagnon, connu sous le nom d’Al-Hasan, a dit que « la pratique de la taqiyya est acceptable jusqu’au jour du jugement » (c’est-à-dire jusqu’à la fin des temps) (9).
D’autres savants importants, comme Abu ‘Abdullah al-Qurtubi (1214-73) et Muhyi ‘d-Din ibn al-Arabi (1165-1240), ont étendu la taqiyya jusqu’à l’appliquer à de nombreuses actions. En d’autres termes, les musulmans peuvent se conduire comme des infidèles ou même pire, par exemple en se prosternant et en adorant des idoles et des croix, en portant de faux témoignages, ou même en montrant les faiblesses d’autres musulmans à l’ennemi infidèle — tout est permis sauf tuer un autre musulman :

« la taqiyya, même si elle est pratiquée sans contrainte, ne mène pas à un statut d’infidèle, même si elle peut mener à des péchés méritant le feu de l’enfer » (10).

La tromperie dans les exploits guerriers de Mahomet
Mahomet — qui constitue [pour le musulman] l’exemple de l’être humain parfait, dont la conduite doit être imitée dans les moindres détails — avait une conception pragmatique du mensonge. Il est notamment bien connu qu’il permettait de mentir dans trois situations : pour réconcilier entre deux parties, ou plus, qui sont en conflit, pour calmer sa femme, et à la guerre (11). Selon un manuel de droit arabe consacré au djihad tel qu’il est défini par les quatre écoles du droit islamique,

« les ulémas [savants] considèrent que la tromperie en temps de guerre est légitime (…) la tromperie est une forme de l’art de la guerre » (12).

De plus, selon Mukaram, cette tromperie est classée comme taqiyya:

« la taqiyya servant à duper l’ennemi est permise » (13).

Plusieurs ulémas estiment que la tromperie fait partie intégrante de l’art de la guerre. Ibn al-‘Arabi déclare, par exemple :

« dans les hadiths [citations et actions de Mahomet], le mensonge en temps de guerre est bien attesté. En fait, le mensonge est davantage souligné que l’obligation de courage ».

Ibn al-Munir (mort en 1333) écrit :

« La guerre est tromperie, la guerre la plus parfaite qu’un saint guerrier puisse faire est une guerre de tromperie et non de confrontation, car la confrontation comporte des risques, tandis que l’on peut obtenir la victoire par traîtrise et sans risque pour soi ».

Quant à Ibn Hajar (mort en 1448), il conseille aux musulmans d’adopter

« une attitude très prudente dans la guerre, tout en se lamentant [publiquement] et en portant le deuil de manière à tromper les infidèles » (14).

Cette conception musulmane de la guerre comme tromperie renvoie à la bataille du Fossé (627), qui opposa Mahomet et ses disciples à plusieurs tribus non musulmanes, connues sous le nom de Al-Ahzab. Parmi ces derniers, Na’im ibn Mas’ud se rendit dans le camp musulman et se convertit à l’islam. Quand Mahomet s’aperçut que les Ahzab n’étaient pas au courant de la conversion de Mas’ud, il lui conseilla de retourner auprès d’eux et de les décider à lever le siège. C’est à cette occasion que Mahomet est censé avoir émis l’adage célèbre, « car la guerre est tromperie ». Mas’ud retourna auprès des Ahzab sans qu’ils sachent qu’il avait changé de camp et, de son côté, il donna des informations fausses à ses anciens amis et alliés. Il s’efforça également de générer des querelles entre les différentes tribus jusqu’à ce que, pleines de méfiance les unes envers les autres, elles finissent par se séparer et lever le siège, sauvant ainsi les musulmans de la destruction dans cette période encore embryonnaire [de l’islam] (15).
Plus récemment, des complices de l’attentat du 11-Septembre, tel Khalid Sheikh Muhammad, ont invoqué, dans leur défense, comme raison de leur rôle dans la conspiration, l’argument du prophète selon lequel « la guerre est tromperie ».
On trouve une autre expression encore plus puissante de la légitimité qu’il y a à tromper des infidèles, dans l’anecdote suivante. Un poète, Ka’b ibn Ashraf, avait offensé Mahomet, lequel s’était exclamé « Qui tuera cet homme qui a blessé Allah et son prophète ? ». Un jeune musulman nommé Muhammad ibn Maslama s’était porté volontaire, à condition que pour s’approcher de Ka’b afin de l’assassiner, il ait la permission de lui mentir. Mahomet lui donna son accord. Ibn Maslama alla voir Ka’b et commença à dire du mal de l’islam et de Mahomet. Il continua ainsi jusqu’à ce que ses paroles soient assez convaincantes pour que Ka’b se fie à lui. Ibn Maslama ne tarda pas alors à se présenter avec un autre musulman et à tuer Ka’b qui ne se méfiait plus (16).
Mahomet a pris d’autres positions qui font de la tromperie une action positive, comme lorsqu’il dit :

« Allah m’a commandé de parler de façon équivoque parmi les peuples, au même titre qu’il m’a commandé d’édicter des obligations [religieuses] » ;

ou encore :

« J’ai été envoyé dans des conditions impénétrables »,

et

« celui qui vit dans la dissimulation meurt en martyr » (17).

Bref, les premières sources historiques de l’islam attestent clairement de l’importance suprême de la taqiyya comme d’une forme islamique de guerre. De plus, les premiers musulmans sont souvent décrits comme capables de se sortir de situations difficiles grâce au mensonge, notamment en reniant ou en insultant l’islam et Mahomet avec l’approbation de ce dernier – son seul critère étant que leurs intentions (niya) soient pures (18). Au cours des guerres contre les chrétiens, à chaque fois que les chrétiens avaient le pouvoir, la pratique de la taqiyya devint même plus totale. Ainsi que l’affirme Mukaram :

« la taqiyya était utilisée comme un moyen, pour les musulmans, de repousser le danger, en particulier aux moments critiques où leurs frontières étaient l’objet de guerre avec les Byzantins, et, plus tard, l’objet des raids [croisades] des Francs et des autres » (19).

La taqiyya dans la révélation coranique
Le Coran lui-même apporte d’autres témoignages concernant la taqiyya. Puisque Allah est censé être la source de ces versets révélés, il est considéré comme étant Lui-même implicitement le perpétrateur absolu du mensonge, ce qui n’a rien de surprenant puisque il est décrit dans le Coran comme étant le meilleur makar, c’est-à-dire fourbe, trompeur (par exemple : 3:54, 8:30, 10:21).
Alors que les autres Ecritures saintes contiennent des contradictions, le Coran est le seul texte à propos duquel les commentateurs ont développé une doctrine pour rendre compte des changements visibles d’une injonction à une autre. Un lecteur attentif ne peut manquer de remarquer les versets contradictoires du Coran, notamment la façon dont les versets de paix et de tolérance se retrouvent quasiment côte à côte avec des versets de violence et d’intolérance. Les ulémas furent embarrassés, au départ, pour décider à partir de quels versets codifier l’ordre social de la chariah : celui qui affirme que la religion ne peut exercer de coercition (2:256), ou celui qui ordonne aux croyants de combattre tous les non-musulmans jusqu’à leur conversion, ou au moins leur soumission à l’islam (8:39, 9:5, 9:29) ? Pour résoudre ce dilemme, les commentateurs ont développé la doctrine de l’abrogation, qui, en gros, stipule, quand il y a contradiction, que les versets révélés à Mahomet tardivement prennent le pas sur ceux formulés au début de sa vie. C’est ainsi que, pour déterminer quel verset abroge quel autre, une science théologique consacrée à la chronologie des versets du Coran a été créée (on l’appelle an-Nasikh wa’l Mansukh – ce qui abroge et ce qui est abrogé).
Mais pourquoi y aurait-il une contradiction ? La réponse classique est que, dans les premières années de l’islam, Mahomet et sa communauté étant largement inférieurs en nombre aux infidèles avec lesquels ils étaient en concurrence et qui vivaient avec eux à la Mecque, un message de coexistence pacifique était de rigueur. Cependant, après l’exil des musulmans à Médine, en 622, et le développement de leur force guerrière, les versets les incitant à l’offensive leur furent progressivement « révélés », c’est-à-dire en principe envoyés par Allah, à mesure que la puissance des musulmans augmentait. Dans les textes juridiques, ces versets sont classés en différentes catégories : passivité face à l’agression ; permission de répliquer face à des agresseurs ; commandement incitant à combattre les agresseurs ; commandement incitant à combattre tous les non-musulmans qu’ils aient été initialement agresseurs ou pas (20). Le développement de la puissance musulmane est la seule variable fournie pour expliquer ces changements graduels de politique.
D’autres érudits renforcent cette conception en soulignant que sur une période de 22 ans, le Coran a été révélé petit à petit et a d’abord privilégié des versets ne réclamant pas d’action et restant de nature spirituelle avant de passer ensuite à des prescriptions et des injonctions réclamant de diffuser la foi par le djihad et la conquête, et ce de manière à ne pas rebuter les premiers convertis musulmans face aux devoirs qui sont ceux de l’islam, et éviter qu’ils ne soient découragés par les obligations importantes qui n’apparaîtront que dans les versets plus tardifs (21). Ces versets – tel celui qui dit : « Il vous est prescrit de combattre, même si cette prescription, vous l’avez en horreur » (22), auraient été déplacés à un moment où la guerre n’était pas pensable.
Quelles que soient les interprétations de l’abrogation dans le Coran, l’opinion commune sur la question des versets concernant la guerre et la paix est que, quand les musulmans sont en position de faiblesse, ou minoritaires, ils doivent prêcher et être fidèles à l’éthique des versets mecquois (paix et tolérance) ; alors que, lorsqu’ils sont en position de force, ils doivent passer à l’offensive sur la base des commandements figurant dans les versets de Médine (guerre et conquête). Les avatars de l’histoire islamique témoignent de cette dichotomie et se reflètent dans le proverbe communément admis parmi les musulmans et qui se fonde sur un hadith, selon lequel le djihad doit être réalisé par la main (par la force), ou sinon, par la langue (par le prêche), et si cela n’est pas possible, par le cœur ou par les intentions secrètes de chacun (23).

La guerre est éternelle
Que l’islam légitime la tromperie dans le cadre de la guerre n’a, bien sûr, rien d’étonnant. Après tout, comme l’a formulé un auteur élizabéthain, John Lyly, « tout est bon, en amour comme à la guerre » (24). D’autres philosophes ou stratèges non musulmans, comme Sun Tzu, Machiavel et Thomas Hobbes, ont justifié la tromperie dans la guerre. Tromper l’ennemi dans le cadre de la guerre relève du bon sens. La différence cruciale avec l’islam, c’est que la guerre contre l’infidèle est considérée comme permanente, et dure, selon le Coran, jusqu’à ce que « cesse tout chaos et que toutes les religions appartiennent à Allah » (25). Dans son article sur le djihad de l’Encyclopaedia of Islam, Emile Tyan remarque :

« le devoir de jihad existe aussi longtemps que la domination universelle de l’islam n’a pas été atteinte. La paix avec les nations non musulmanes n’est donc que provisoire, et seul le hasard des circonstances peut la justifier de manière provisoire » (26).

De plus, et pour en revenir à la doctrine de l’abrogation, des érudits musulmans comme Ibn Salama (mort en 1020) s’accordent pour dire que le verset 9:5 du Coran, connu sous le nom de ayat as-sayf, ou verset du sabre, abroge environ 124 des versets mecquois plus pacifistes, car cela inclut « tous les versets coraniques qui prêchent autre chose qu’une offensive totale contre les non-croyants » (27). En fait, les quatre écoles de la jurisprudence sunnite sont d’accord pour dire que

« le djihad consiste à faire la guerre aux infidèles qui, après qu’on leur ait enjoint d’embrasser l’islam, ou au moins de payer une [jizya] et de vivre soumis, ont refusé de le faire » (28).

Le caractère obligatoire du djihad est clairement exprimé par la vision du monde dichotomique qui oppose le « royaume de l’islam » au « royaume de la guerre ». Le premier s’appelle, dar al-Islam, ou « règne de la soumission », et représente le monde où domine la chariah. Le second, dar al-Harb, ou règne de la guerre, représente le monde non-islamique. Le combat se perpétue jusqu’à ce que le règne de l’islam engloutisse le monde non-islamique. Cet état de fait est celui qui existe encore aujourd’hui. Le très célèbre historien et philosophe musulman, Ibn Khaldun, (mort en 1406) formule clairement cette opposition :

« Dans la communauté musulmane, le djihad est un devoir religieux en raison de l’universalisme de la mission musulmane et de l’obligation de convertir tout le monde à l’islam par la persuasion ou par la force. Les autres groupes religieux n’avaient pas une mission universelle et le djihad n’était pas un devoir religieux pour eux, excepté pour des raisons défensives. Mais l’islam est obligé de conquérir le pouvoir contre les autres nations » (29).

Enfin, indépendamment de tous les faits avérés, il est bon de noter — à moins qu’on puisse encore trouver déraisonnable qu’une foi ayant un milliard d’adeptes oblige à déclencher en son nom des guerres sans raison — que l’expansionnisme djihadiste est considéré comme un acte altruiste, un peu à la manière de l’idéologie du « fardeau de l’homme blanc » au XIXe siècle. Selon cette logique, que le monde vive en démocratie sous le socialisme, le communisme ou tout autre système de gouvernance, il vit inévitablement enchaîné dans le péché, car le bien suprême de l’humanité réside dans l’accord avec la loi d’Allah. Dans ce contexte, la tromperie musulmane peut être considérée comme un moyen, légèrement inférieur en noblesse, dans un but glorieux : l’hégémonie islamique du règne de la chariah, en tant qu’elle est bonne pour tous, musulmans comme non-musulmans.
Cette conception n’a en fait rien de neuf. Peu après la mort de Mahomet, en 634, avec la déferlante de guerriers du djihad, venue de la péninsule arabique, un commandant perse, qui ne devait pas tarder à succomber à l’invasion, demanda aux musulmans ce qu’ils désiraient. La réponse – mémorable – fut la suivante :

« Allah nous a envoyés ici afin que nous puissions libérer ceux qui le désirent de la servitude de leurs maîtres terrestres et en faire les serviteurs d’Allah, afin de transformer leur misère en richesse et les libérer de la tyrannie et du chaos des [fausses] religions et leur apporter la justice de l’islam. Il nous a envoyés pour apporter sa religion à toutes ses créatures et leur lancer un appel pour qu’ils rejoignent l’islam. Tous ceux qui accepteront cet appel seront saufs et nous les laisserons en paix. Mais quiconque refuse cet appel sera combattu jusqu’à ce que nous accomplissions la promesse d’Allah » (30).

Mille quatre-cent ans plus tard, en mars 2009, le juriste saoudien, Basem Alem, se fit l’écho de cette conception :

« En tant que membre de la vraie religion, j’ai davantage de droit à envahir les autres afin d’imposer un certain mode de vie [la chariah], dont l’histoire a démontré qu’il était le meilleur et le plus juste parmi toutes les civilisations. Tel est le véritable sens du djihad offensif. Quand nous nous engageons dans le djihad, ce n’est pas pour convertir les gens à l’islam, mais pour les libérer du sombre esclavage dans lequel ils vivent » (31).

Et il va sans dire que la taqiyya au service d’un tel altruisme est permise. Par exemple, très récemment, après avoir raconté une histoire où un musulman force un Juif à se convertir à l’islam en lui disant que s’il renonçait à l’islam, les musulmans le tueraient pour apostasie, l’imam Mahmoud al-Masri a parlé d’une « magnifique tromperie » (32). Après tout, d’un point de vue islamique, c’est le Juif qui a été le bénéficiaire de cette tromperie puisqu’elle l’a fait entrer dans l’islam.

Trèves et traités
La nature perpétuelle du djihad est soulignée par le fait, soutenu par les juristes, que 10 ans est la durée maximale de paix pour les musulmans avec les infidèles. Une fois que le traité a expiré, la situation doit être réévaluée. Ils s’appuient sur le traité de paix d’Hudaybiya ratifié en 628 par Mahomet et ses ennemis Quraysh à la Mecque. L’exemple de Mahomet qui brisa ce traité au bout de deux ans (en prétextant une infraction des Quraysh) montre que la seule fonction d’une trève est de permettre aux musulmans s’ils sont affaiblis de gagner du temps et de se regrouper avant une nouvelle offensive (33) :

« Par leur nature même, les traités doivent avoir une durée temporaire, car, dans la théorie juridique musulmane, les relations normales entre territoires musulmans et non-musulmans ne sont pas pacifiques mais guerrières » (34).

En se fondant sur ce point,

« les fuqaha [juristes] sont d’accord pour considérer une trève illimitée comme illégitime, si les musulmans sont en position assez forte pour repartir en guerre contre les non-musulmans » (35).

Bien que la chariah demande aux musulmans d’honorer les traités, il existe donc une sortie possible qui est propice aux abus : si les musulmans pensent, même sans preuves solides, que leurs ennemis vont rompre le traité, ils peuvent le briser les premiers. De plus, certaines écoles de droit islamique, comme celle des Hanafites, affirment que les responsables musulmans peuvent abroger les traités tout simplement si cela semble être à l’avantage de l’islam (36). Cela n’est pas sans rappeler le hadith canonique suivant :

« si tu fais serment de procéder à une action et que tu te rends compte, plus tard, qu’une autre action est meilleure, alors tu devras renier ton serment et faire ce qui est mieux » (37).

Et qu’y a-t-il de mieux et de plus altruiste que de rendre la parole d’Allah dominante en déclenchant à nouveau le djihad dès que possible ? Traditionnellement, les dirigeants musulmans lançaient un djihad au moins une fois par an. Ce rite est particulièrement remarquable chez les sultans ottomans, qui passaient la moitié de leur vie sur le champ de bataille (38). Le devoir de djihad était tellement important, que les sultans n’avaient pas le droit d’effectuer le pèlerinage à la Mecque – qui est pourtant un devoir individuel pour chaque musulman. C’est leur prise en main du djihad qui a permis à ce rite collectif de perdurer, autrement, il serait tombé en désuétude (39).
Pour résumer, le prérequis pour la paix ou la réconciliation est que les musulmans aient l’avantage. C’est ce que démontre un texte sunnite qui fait autorité, Umdat as-Salik, écrit par un érudit égyptien du XIVe siècle, Ahmad Ibn Naqib al-Misri :

« On doit trouver un bénéfice [maslaha] à la trève, autre que le seul status quo, car [il est écrit] :
« Ne soyez pas pusillanimes en offrant la paix à l’ennemi quand vous êtes les plus forts ! » [Coran, 47:35] » (41).

On rappellera un épisode plus récent, et qui est d’une importance majeure pour les dirigeants occidentaux qui recommandent la coopération avec les islamistes. Yasser Arafat venait de négocier un traité de paix qui avait été vivement critiqué comme concédant trop de choses à Israël. Il s’adressa alors à une assemblée musulmane dans une mosquée de Johannesburg, et se justifia en ces termes :

« Je considère cet accord au même titre que l’accord signé par notre prophète Mahomet et les [Banei] Quraysh de la Mecque » (42). En d’autres termes, comme Mahomet, Arafat n’avait donné sa parole que pour la renier une fois que la situation le permettrait, c’est-à-dire quand les Palestiniens seraient à nouveau en position de passer à l’offensive et de reprendre la route de Jérusalem. Dans d’autres contextes, Hudaybiya a fait figure de mot-clé pour les islamistes radicaux. Le Moro Islamic Liberation Front avait trois camps d’entraînement au sein du complexe d’Abu Bakar dans les Philippines et l’un d’eux s’appelait Camp Hudaybiya (43).

L’hostilité sous les traits de la récrimination
Dans les discours à destination des opinions publiques européennes ou américaines, les islamistes soutiennent que le terrorisme qu’ils exercent contre l’Occident n’est que la réciprocité de décennies d’oppression occidentale ou israélienne. Mais dans les écrits qui s’adressent aux autres musulmans, cet esprit vindicatif n’est pas présenté comme la réaction à une provocation militaire ou politique, mais comme le produit d’une obligation religieuse.
Par exemple, quand il s’adresse au public occidental, Ousama ben Laden dresse la liste des récriminations qui justifient sa guerre contre l’Occident, depuis l’oppression des Palestiniens jusqu’à l’exploitation de la femme par l’Occident, ou même le fait que les Etats-Unis n’ont pas signé le protocole de Kyoto, ce qui constitue des arguments audibles pour l’opinion occidentale. Jamais il ne justifie les attaques d’Al-Qaïda contre les cibles occidentales par le simple fait que les nations non musulmanes sont par définition des entités infidèles qui doivent être soumises. En fait, il va jusqu’à faire précéder ses messages à destination de l’Occident de phrases comme « la réciprocité fait partie de la justice », ou « paix à tous ceux qui suivent une voie droite » (43), même si ce que le public occidental comprend par là est sans rapport avec ce qu’il met derrière les mots « paix », « justice » ou « droiture ».
C’est quand Ben Laden s’adresse aux autres musulmans que la vérité ressort. Quand un groupe de musulmans de premier plan avait écrit au peuple américain, peu de temps après les attentats du 11-Septembre, pour affirmer que l’islam cherche à coexister pacifiquement (44), Ben Laden avait pris la plume pour les remettre à leur place :

« En ce qui concerne les relations entre musulmans et infidèles, elles sont résumées par ce mot du Très-Haut : ‘Nous vous renions, et désormais l’inimitié et la haine nous séparent jusqu’à ce que vous croyiez en Allah seul » [Coran 60:4]. Il y a donc une inimitié dont la preuve est l’hostilité farouche ancrée dans nos cœurs. Et cette hostilité farouche, c’est-à-dire cette guerre, ne cessera que si l’infidèle se soumet à l’autorité de l’islam ou qu’il est interdit de faire couler son sang [c’est-à-dire s’il est dhimmi, ou minorité protégée], ou si les musulmans sont, à un moment donné, dans une situation de faiblesse qui les empêche d’agir. Mais si la haine s’éteint de nos cœurs, il s’agit alors d’une très grande apostasie ! (…) Telle est la base et le fondement des relations entre l’infidèle et le musulman. Guerre, animosité, haine, infligées par le musulman à l’infidèle, tel est le fondement de notre religion. Et nous considérons que nous faisons ainsi un acte de justice et de bonté à leur égard » (45).

Les quatre écoles classiques de jurisprudence islamique soutiennent cette conception du monde, faite d’hostilité, en parlant des infidèles en termes similaires. Quand Ben Laden s’adresse à l’Occident en parlant de paix et de justice, ce sont des exemples typiques de taqiyya. Non seulement il s’est engagé dans un djihad physique, mais aussi dans une guerre de propagande, ou, en d’autres termes, une guerre de tromperie. S’il parvient à convaincre l’Occident que le conflit actuel est entièrement dû à l’Occident, il pourra gagner à sa cause une plus grande sympathie. Parallèlement, il sait que si les Américains se rendaient compte que rien hormis leur totale soumission ne peut ramener la paix, sa campagne de propagande serait rapidement compromise. D’où ce besoin constant de masquer ses objectifs et de mettre en avant des récriminations, car, comme le dit le prophète de Ben Laden, « la guerre est tromperie ».

Implications
La taqiyya pose un ensemble de problèmes éthiques. Quiconque croit véritablement que Allah justifie, et même, par l’exemple de son prophète, encourage la tromperie, n’aura aucun scrupule éthique à mentir. Prenons le cas d’Ali Muhammad, le premier « formateur » de Ben Laden et longtemps agent d’Al-Qaïda. Egyptien, il a d’abord fait partie du Jihad Islamique et a servi dans le renseignement militaire de l’armée égyptenne. Après 1984, il a travaillé un temps avec la CIA en Allemagne. Quoique considéré comme peu fiable, il a réussi à aller en Californie, où il s’est enrôlé dans l’armée américaine. Il est vraisemblable qu’il a continué à travailler, à un titre ou un autre, pour la CIA. Il a ensuite entraîné des djihadistes aux Etats-Unis et en Afghanistan et est responsable de plusieurs opérations terroristes en Afrique. Les gens qui le connaissaient avaient pour lui

« de la crainte et du respect pour son incroyable assurance, l’impossibilité qu’il avait d’être intimidé, la détermination absolue qu’il avait de détruire les ennemis de l’islam, et sa foi zélée dans les credos du militantisme islamique fondamentaliste » (46).

De fait, cette phrase résume tout : car une croyance zélée aux fondements de l’islam, qui légitime la tromperie pour faire triompher la parole d’Allah, aura sans nul doute un impact considérable sur la capacité à développer cette « incroyable assurance » pour mentir (47).
Pourtant, la plupart des Occidentaux continuent de croire que les mœurs, les lois et les contraintes éthiques musulmanes sont à peu près identiques à celles de la tradition judéo-chrétienne. Avec naïveté ou arrogance, les grands avocats du multiculturalisme projettent leur propre conception du monde sur les islamistes et pensent qu’une poignée de main et un sourire autour d’une tasse de café, assortis de nombreuses concessions suffiront pour démanteler la puissance de la parole de Dieu et des siècles de tradition immuable. Les faits sont têtus : le bien et le mal dans l’islam ont peu à voir avec les critères universels et restent fonction des enseignements propres à l’islam, dont la majeure partie est en opposition totale avec les normes occidentales.
Il faut donc admettre, en contradiction avec des croyances savantes depuis longtemps établies, que, chez les musulmans, la doctrine de la taqiyya va bien plus loin que la seule dissimulation religieuse afin de préserver son existence et concerne le fait de tromper l’ennemi infidèle de manière plus large. La taqiyya étant une seconde nature du chiisme, ce phénomène devrait apporter un contexte éloquent au zèle chiite iranien pour se procurer la puissance nucléaire, tout en insistant sur ses objectifs pacifistes.
La taqiyya ne concerne pas seulement les affaires internationales. Walid Phares, de la National Defense University, s’est déjà plaint de voir des islamistes américains actifs sur le sol américain, et ce sans la moindre entrave, grâce à leur utilisation de la taqiyya :

« Est-ce que notre gouvernement est au courant de cette doctrine et, ce qui est encore plus important, est-ce que les autorités font quelque chose pour que notre système de défense s’adapte à cette menace dormante et invisible qui se développe en notre propre sein ? » (48).

A la lumière du massacre de Fort Hood, quand Nidal Malik Hasan – musulman américain qui montrait de nombreux signes d’islamisme, qui n’ont pas été pris au sérieux – a tué treize de ses collègues, il faut bien malheureusement répondre par la négative.
Le problème est donc le suivant. La loi islamique divise sans aucune ambiguïté le monde en deux parties perpétuellement en guerre — le monde islamique et le monde non islamique — et il considère que la volonté divine est de voir le premier vaincre le second. Si la guerre contre l’infidèle est un état perpétuel, si la guerre est dissimulation et que la fin justifie les moyens, un certain nombre de musulmans concluront naturellement qu’ils ont le droit — d’origine divine — de mentir, tant que c’est utile, selon eux, pour aider l’islam « jusqu’à ce que le chaos cesse et que toutes les religions appartiennent à Allah » (49).
De plus, une telle dissimulation sera considérée comme le moyen d’une fin altruiste. Les ouvertures au dialogue et à la paix ou même à des trèves temporaires doivent être envisagées en fonction de cette doctrine, ce qui n’est pas sans rappeler les observations pratiques faites par le philosophe James Lorimer, il y a plus d’un siècle :

« Tant que l’islam continue d’exister, la réconciliation de ses partisans, même avec les Juifs et les chrétiens, et plus encore avec le reste de l’humanité, restera un problème insoluble » (50).

On peut conclure que face à l’opposition naturelle entre guerre et paix, qui existe dans le cadre occidental, il est plus approprié de parler d’une opposition entre guerre et dissimulation dans le cadre islamique. Car, selon le point de vue islamique, les périodes de paix, qui n’ont lieu que quand l’islam est plus faible que ses rivaux infidèles, sont des périodes de paix simulée et de dissimulation, bref de taqiyya.

Notes
(1) Coran 40:28.
(2) Fakhr ad-Din ar-Razi, At-Tafsir al-Kabir (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2000), vol. 10, p. 98.
(3) Coran 2:195, 4:29.
(4) Paul E. Walker, The Oxford Encyclopedia of Islam in the Modern World, John Esposito, ed. (New York: Oxford University Press, 2001), vol. 4, s.v. « Taqiyah, » pp. 186-7; Ibn Babuyah, A Shi’ite Creed, A. A. A. Fyzee, trans. (London: n. p., 1942), pp. 110-2; Etan Kohlberg, « Some Imami-Shi’i Views on Taqiyya, » Journal of the American Oriental Society, 95 (1975): 395-402.
(5) Sami Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam (London: Mu’assisat at-Turath ad-Druzi, 2004), p. 7.
(6) Devin Stewart, « Islam in Spain after the Reconquista », Emory University, p. 2, accès au site, le 27 nov. 2009.
(7) Voir aussi Coran 2:173, 2:185, 4:29, 16:106, 22:78, 40:28, versets cités par les juristes musulmans comme légitimant la taqiyya.
(8) Abu Ja’far Muhammad at-Tabari, Jami’ al-Bayan ‘an ta’wil ayi’l-Coran al-Ma’ruf: Tafsir at-Tabari (Beirut: Dar Ihya’ at-Turath al-‘Arabi, 2001), vol. 3, p. 267.
(9) ‘Imad ad-Din Isma’il Ibn Kathir, Tafsir al-Coran al-Karim (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2001), vol. 1, p. 350.
(10) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 30-7.
(11) Imam Muslim, « Kitab al-Birr wa’s-Salat, Bab Tahrim al-Kidhb wa Bayan al-Mubih Minhu, » Sahih Muslim, rev. ed., Abdul Hamid Siddiqi, trad. (New Delhi: Kitab Bhavan, 2000).
(12) Ahmad Mahmud Karima, Al-Jihad fi’l Islam: Dirasa Fiqhiya Muqarina (Cairo: Al-Azhar, 2003), p. 304.
(13) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, p. 32.
(14) Raymond Ibrahim, The Al Qaeda Reader (New York: Doubleday, 2007), pp. 142-3.
(15) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 32-3.
(16) Ibn Ishaq, The Life of Muhammad (Karachi: Oxford University Press, 1997), pp. 367-8.
(17) Shihab ad-Din Muhammad al-Alusi al-Baghdadi, Ruh al-Ma’ani fi Tafsir al-Coran al-‘Azim wa’ l-Saba’ al-Mithani (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2001), vol. 2, p. 118.
(18) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 11-2.
(19) Ibid., pp. 41-2.
(20) Ibn Qayyim, Tafsir, in Abd al-‘Aziz bin Nasir al-Jalil, At-Tarbiya al-Jihadiya fi Daw’ al-Kitab wa ‘s-Sunna (Riyahd: n. p., 2003), pp. 36-43.
(21) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, p. 20.
(22) Coran 2: 216.
(23) Yahya bin Sharaf ad-Din an-Nawawi, An-Nawawi’s Forty Hadiths, p. 16, accès au site, le 1er août, 2009.
(24) John Lyly, Euphues: The Anatomy of Wit (London, 1578), p. 236.
(25) Coran 8:39.
(26) Emile Tyan, The Encyclopedia of Islam (Leiden: Brill, 1960), vol. 2, s.v. « Djihad », pp. 538-40.
(27) David Bukay, « Peace or Jihad? Abrogation in Islam », Middle East Quarterly, Fall 2007, pp. 3-11, f.n. 58; David S. Powers, « The Exegetical Genre nasikh al-Coran wa-mansukhuhu », in Approaches to the History of the Interpretation of the Coran, Andrew Rippin, ed. (Oxford: Clarendon Press, 1988), pp. 130-1.
(28) Jalil, At-Tarbiya al-Jihadiya fi Daw’ al-Kitab wa ‘ s-Sunna, p. 7.
(29) Ibn Khaldun, The Muqadimmah. An Introduction to History, Franz Rosenthal, trad. (New York: Pantheon, 1958), vol. 1, p. 473.
(30) Hugh Kennedy, The Great Arab Conquests (Philadelphia: Da Capo, 2007), p. 112.
(31) « Saudi Legal Expert Basem Alem: We Have the Right to Wage Offensive Jihad to Impose Our Way of Life », TV Monitor, clip 2108, Middle East Media Research Institute, trad., mar. 26, 2009.
(32) « Egyptian Cleric Mahmoud Al-Masri Recommends Tricking Jews into Becoming Muslims, » TV Monitor, clip 2268, Middle East Media Research Institute, trans., Aug. 10, 2009.
(33) Denis MacEoin, « Tactical Hudna and Islamist Intolerance », Middle East Quarterly, Summer 2008, pp. 39-48.
(34) Majid Khadduri, War and Peace in the Law of Islam (Baltimore: The Johns Hopkins Press, 1955), p. 220.
(35) Ahmad Mahmud Karima, Al-Jihad fi’l Islam: Dirasa Fiqhiya Muqarina, p. 461.
(36) Ibid., p. 469.
(37) Muhammad al-Bukhari, « Judgements (Ahkaam) » Sahih al-Bukhari, book 89, M. Muhsin Khan, trad., accès au site, le 22 juillet 2009.
(38) Michael Bonner, Jihad in Islamic History: Doctrines and Practice (Princeton: Woodstock Publishers, 2006), p. 148.
(39) Ahmed Akgündüz, « Why Did the Ottoman Sultans Not Make Hajj (Pilgrimage)? » accès au site, le 9 nov. 2009.
(40) Ahmad Ibn Naqib al-Misri, Reliance of the Traveller: A Classic Manual of Islamic Sacred Law (Beltsville: Amana Publications, 1994), p. 605.
(41) Daniel Pipes, « Lessons from the Prophet Muhammad’s Diplomacy », Middle East Quarterly, Sept. 1999, pp. 65-72.
(42) Arabinda Acharya, « Training in Terror », IDSS Commentaries, Institute of Defence and Strategic Studies, Nanyang Technological University, Singapore, May 2, 2003.
(43) « Does hypocrite have a past tense? », for clip of Osama bin Laden, accès au site, le 1er août, 2009.
(44) Ibrahim b. Muhammad al-Shahwan, et al., « Correspondence with Saudis: How We Can Coexist », AmericanValues.org, connection du 28 juillet 2009.
(45) Ibrahim, The Al Qaeda Reader, p. 43.
(46) Steven Emerson, « Osama bin Laden’s Special Operations Man », Journal of Counterterrorism and Security International, Sept. 1, 1998.
(47) Pour une liste des infiltrés dans les organisations américaines, voir Daniel Pipes, « Islamists Penetrate Western Security », Mar. 9, 2008.
(48) Walid Phares, « North Carolina: Meet Taqiyya Jihad », International Analyst Network, July 30, 2009.
(49) Coran 8:39.
(50) James Lorimer, The Institutes of the Law of Nations: A Treatise of the Jural Relations of Separate Political Communities (Clark, N.J.: The Lawbook Exchange, Ltd., 2005), p. 124.

Source:  http://www.meforum.org/2577/taqiyya-regles-guerre-islamique

Et: How Taqiyya Alters Islam’s Rules of War

21/12/2011

Leila: une « mauvaise musulmane » ???

Image d’illustration (Delize)

Amis musulmans, continuez à nous donner des leçons…

Si cette jeune femme fait partie de votre « congrégation » faites la lapider; elle le mérite. Elle a parlé aux policiers d’un « pays de merde » en évoquant la France. Elle parle de « terroristes », aussi. C’est donc une immigrée, ou « issue de »…

Et pour la policière agressée, personne n’a de nouvelles?

FDF

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Leila ressemble à une jeune star de cinéma : un physique sur lequel se retournerait Georges Clooney, des yeux de biche, un visage d’ange. Bref, un air à se retrouver devant des projecteurs plutôt que devant un tribunal. Mais voilà, on ne choisit pas toujours. Ou plutôt si. La starlette, ce soir du 19 août dernier, fait la tournée des grands ducs, à défaut d’une tournée cinématographique. Apéro à la maison avec des copines, puis restos et virée dans les bars. A 2 h 30, les quatre filles sont rondes comme des petits pois et entrent dans leur véhicule. Elles papotent à l’intérieur, quand passe une voiture de police. Elles sentent l’alcool à plein nez, mais les policiers sont bons princes : ils conseillent aux filles de rester là et surtout de ne pas utiliser leur voiture. Ils auront une belle surprise quand, une demi-heure plus tard, ils se font doubler en trombe par la Clio de Leila.

À ce moment-là, ils seront beaucoup moins indulgents. Leila, qui a un peu plus de 2 g d’alcool dans le sang, est embarquée au commissariat. Elle refuse le second test d’alcoolémie et se déchaîne : les noms d’oiseaux fusent : « Flics de merde ! vous servez un pays de merde, vous êtes des terroristes pires que les vrais ! » et ainsi de suite. Quand on veut la placer en cellule, Leila passe du verbe à l’action plus radicale : elle balance un grand coup de pied à une jeune policière et la griffe sauvagement au visage. Elle est tellement hystérique qu’il faudra plusieurs policiers pour la maîtriser enfin. Bien conditionnée par son avocate, Leila déclare qu’elle regrette ces incidents. Mais son regard flamboyant crie le contraire. « C’était pas volontaire… », dit-elle d’une voix minaudante. La présidente manque d’avaler de travers : « Pas volontaire ? Vous vous moquez sans doute… » Même un cheval de bois ne pourrait avaler pareil bobard. 70 heures de TIG (Travail d’intérêt général) et 200 € d’amende. « Je n’ai pas de ressources, pour l’amende… » « Vous en aviez pour l’alcool », rétorque la présidente du tac au tac.

Source: http://www.ladepeche.fr/

Et merci à JC JC

25/11/2011

Le pouvoir maléfique d’al-Qaida au Maghreb islamique…

« Aucun paiement de rançon », dit Juppé.  Mais de l’armement, ça irait ?

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Tant qu’il en restera un seul debout… Le problème est qu’ils se « reproduisent » rapidement et partout.

Ils continuent leur enlèvements. Et demandent des rançons. Les otages Français sont le plus souvent libérés. Mais comme dit Juppé: « la France ne paye jamais de rançon! ». Lisez plus bas: les terroristes « vivent » grâce à l’argent des rançons…

On nous explique, là ?

FDF

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« Aqmi a poursuivi une discrète mais réelle expansion dans le Sahel pendant les combats entre les fidèles de Kadhafi et les rebelles du CNT.

Le rapt de deux Français dans une localité proche de la zone de rayonnement d’al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi) remet sur le devant de la scène une organisation terroriste qui semble avoir connu une période d’hibernation durant la révolution libyenne. Aucune action contre des Occidentaux n’avait été signalée depuis la capture en janvier de deux jeunes Français dans un bar de Niamey au Niger. L’enlèvement s’était terminé par la mort des otages lors d’un assaut donné par les forces spéciales françaises pour empêcher les ravisseurs de rejoindre leur sanctuaire malien.

Aqmi, qui compte plusieurs centaines de combattants dans ses katiba (colonnes), a pourtant poursuivi une discrète mais bien réelle expansion dans le Sahel pendant les combats entre les fidèles de Kadhafi et les rebelles du CNT. Ses chefs ont cherché à développer leur profondeur stratégique en passant des alliances en Afrique noire. Des liens se sont tissés avec les extrémistes de la secte islamiste Boko Haram, présente dans le nord du Nigeria, où des affrontements récurrents opposent musulmans et chrétiens. Des passerelles ont été dressées vers la Somalie en proie à la guerre civile et vers le Sénégal pour favoriser le trafic de cocaïne, l’une des sources de revenus d’Aqmi.

La guerre en Libye a surtout été une aubaine pour renforcer les capacités militaires et nouer des contacts politiques. Le pillage des stocks d’armes de l’ancien régime a ouvert la perspective d’un attentat contre un avion de ligne au-dessus d’un aéroport de la région. Une grande quantité de missiles portables sol-air et Sam 7 a disparu. Sur les marchés parallèles, les engins se vendraient à 500 euros l’unité. La disparition de réserves d’explosifs et notamment de semtex pourrait également favoriser des attaques contre les intérêts français. «L’acquisition de l’armement en Libye est une chose tout à fait normale», a confirmé récemment à une agence d’information mauritanienne Mokhtar Belmokhtar, l’un des chefs de la branche sahélienne d’Aqmi.

Mi-terroristes, mi-bandits 

Mi-terroristes, mi-bandits, les djihadistes disposent grâce à l’argent des rançons d’un butin de plusieurs dizaines de millions d’euros pour financer leur arsenal. L’argent sert aussi à acheter des complicités dans la population mais aussi parmi les officiels. «Au Mali tout peut s’acheter même une caserne remplie de militaires», assure un homme d’affaires sahélien. Les groupes circulent par petits convois de véhicules sur un territoire plus grand que la France. Le massif de Tessalit dans le nord du Mali est leur fief pour l’instant imprenable. Ils y ont récemment installé des bases armées fixes. Mais les combattants peuvent se déplacer à leur guise du Tchad à la Mauritanie sans être inquiétés.

En septembre 2010, sept personnes avaient été enlevées à Arlit, le site d’extraction d’uranium du nord du Niger d’Areva. Depuis, quatre otages français -Daniel Larribe, Thierry Dol, Pierre Legrand et Marc Ferret- restent détenus dans les contreforts du Sahara. Le cas de ces prisonniers donne lieu à de discrètes tractations. Mardi, un ancien militaire français impliqué dans ces négociations a été blessé par balle à l’épaule dans des circonstances peu claires. Aqmi exigerait, outre le départ des troupes françaises d’Afghanistan, la libération d’islamistes armés dans plusieurs pays et une rançon de 90 millions d’euros. Les rapts jeudi pourraient encore compliquer l’équation. »

Source: http://www.lefigaro.fr/

31/10/2011

Le président syrien prévient qu’une éventuelle intervention étrangère «enflammerait la Syrie et la région».

Le même que les autres; le même… Et c’est encore un pote à:

FDF
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« C’est sa première interview à un média occidental depuis le début de l’insurrection en Syrie, il y a sept mois. Dans un entretien au Daily Telegraph de dimanche, Bachar el-Assad a menacé les Occidentaux d’un «nouvel Afghanistan»s’ils s’avisaient d’intervenir en Syrie. «Il existe une ligne de faille et si vous jouez avec celle-ci vous risquez de provoquer un séisme», affirme-t-il. «Voulez-vous connaître un nouvel Afghanistan ou même des dizaines d’Afghanistan ? Un problème en Syrie embrasera toute la région», prévient-il. «Damas est désormais le centre de la région. Si l’idée est de diviser la Syrie, cela reviendra à diviser toute la région», a indiqué le chef de l’Etat.

Le dirigeant syrien, qui s’attend à ce que la communauté internationale «fasse monter la pression» même si aucun projet d’intervention n’est pour l’heure évoqué, considère que la protestation en Syrie n’a rien à voir avec le printemps arabe. «Notre histoire est différente de l’Egypte, la Tunisie, le Yémen ou la Libye». «Nous n’avons pas suivi la voie de l’entêtement. Six jours après le début des manifestations, j’ai lancé des réformes. Dès qu’elles ont été annoncées, la tendance s’est inversée, les gens ont commencé à soutenir le gouvernement», assure Bachar el-Assad, qui a passé une loi «autorisant» les manifestations et le multipartisme.

«Le rythme des réformes n’est pas trop lent. Envisager l’avenir exige de la réflexion» se défend celui dont les manifestants réclament le départ pur et simple. Assad estime d’ailleurs que la crise n’est pas que politique. «Le défi est le développement de la société. Nous avons adopté une économie libérale, cela a créé des disparités entre les classes». «Gouverner un pays occidental et la Syrie, c’est comme travailler avec un PC et un Mac, les deux ordinateurs font le même travail mais n’ont pas le même système d’exploitation et ne se comprennent pas», analyse le président. «On ne peut pas analyser ce qui se passe en Syrie à travers les références culturelles occidentales».

«L’armée a fait des erreurs»

Sur la question de la répression qui a fait depuis mars plus de 3000 morts, Bachar el-Assad concède que ses forces de sécurité ont commis «de nombreuses erreurs» au commencement des troubles, mais assure que désormais seuls les «terroristes» et non les civils sont visés.

Ses confidences au Daily Télégraph, entre avertissement et détente – le journaliste note, étonné, qu’Assad l’a reçu en jean -, surviennent alors que la pression de la rue s’intensifie. La chute du colonel Kadhafi en Libye a redynamisé la rébellion. Vendredi, à Homs, 20.000 manifestants ont répondu à un appel lancé sur Facebook pour que «la communauté internationale impose une zone d’exclusion aérienne, afin de permettre à l’Armée syrienne libre (ASL) d’œuvrer avec plus de liberté». Les affrontements entre armée régulière et déserteurs ont redoublé d’intensité samedi, faisant 47 morts en 24 heures dans les rangs des forces du régime.

Sur le front diplomatique, le ton monte également. D’après un influent quotidien koweïtien, la Ligue arabe a averti Assad qu’une intervention internationale et un embargo seraient inévitables si sa médiation échouait. Une réunion s’est tenue ce dimanche au Qatar entre une délégation ministérielle de la Ligue arabe et des responsables syriens, venus apporter la réponse de Damas à des demandes formulées par cette délégation lors d’une réunion mercredi à Damas avec Assad. La Ligue arabe a proposé un plan pour mettre fin aux violences dans le pays, et presse Assad de prendre des mesures concrètes loin de «toute tergiversation». La délégation syrienne apportera sa réponse lundi. »

Source: http://www.lefigaro.fr/

27/10/2011

Soyez plus discrets avec vos mosquées, ça passera mieux…

Le projet de Marseille: pourquoi tant de faste !!!

La folie des grandeurs conduit souvent à la décadence.

Amis musulmans: vous devriez entretenir votre culte avec plus de discrétion. Pourquoi ces mosquées-cathédrales? Qui (nous/vous) coûtent des sommes pharamineuses et défigurent notre paysage. Soyez plus humbles. Vous verrez: des lieux de culte moins « tape à l’oeil », ça passera beaucoup mieux auprès des chrétiens que nous sommes. Chez nous, la tolérance, on l’a déjà prouvée. Chez vous, nettement moins. Fondez-vous dans la masse et faites vous oublier; ça évitera l’islamophobie dont vous plaignez sans cesse. On tolère vos mosquées en terres chrétiennes; vous brûlez nos églises en terres musulmanes. Si on ne veut pas en arriver à la loi du Talion, vous savez ce qui vous reste à faire. Vous avez les cartes en main…

FDF

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Le quotidien régional La Marseillaise a publié hier, des extraits d’un rapport confidentiel sur l’islam à Marseille. Le document, qui préconise une compression des espaces de culte, suscite l’indignation chez les responsables d’associations musulmanes.

A Marseille, les prières de rue, ça dérange

Le document, qui est en fait un rapport confidentiel de 8 pages des services de renseignement français, porte un regard pessimiste sur la communauté musulmane de Marseille. Selon ses termes, « si rares sont les individus radicalisés au point de soutenir les jihadistes, le fondamentalisme aurait progressé au point de gagner la majorité de la population musulmane ». Certaines communautés de musulmans sont ainsi accusées d’enfermer leurs membres « dans une boucle culturelle », accentuant ainsi le « repli communautaire », rapporte le quotidien La Marseillaise.

Selon le rapport, les musulmans de Marseille sont une « population fragilisée, peu informée et peu cultivée y compris sur les préceptes de sa propre religion, se retrouvant entre les mains d’imams auto-proclamés, guère plus compétents que leurs ouailles mais suffisamment charismatiques pour obtenir leur suivisme ».

« Pas plus de mosquées mais mieux de mosquées. »

Le document se penche particulièrement sur la question des prières de rue et du nombre de mosquées. Les auteurs du rapport sous-entendent que les lieux de cultes musulmans sont trop nombreux à cause des divisions intestines dont souffre l’islam marseillais. Ces divisions pousseraient de nombreux musulmans à faire leurs prières dans les rues. La solution préconisée : « reconcentrer (réduire, ndlr) les lieux de culte ».

Ceci aurait pour effet « une professionnalisation des imams, des économies d’échelles, forcerait les fédérations et les obédiences au consensus et éloignerait les intérêts extra-nationaux, facilitant en outre les rapports et l’observation par les partenaires institutionnels. Non pas plus de mosquées mais mieux de mosquées », indique le rapport. En d’autres termes, pour éviter aux fidèles de prier dans les rues, il faudrait réduire le nombre de mosquées. Sur ce point, le rapport est jugé « contradictoire » par Nassera Bernmarnia, directrice de l’Union des familles musulmanes à Marseille.

Moins de mosquées, mais pas de grande mosquée

Alors que le « moins de mosquées » sous-entend naturellement la construction d’édifices capables de fédérer les communautés musulmanes de Marseille, il semble que les auteurs du rapport excluent la construction d’une grande mosquée à Marseille. Pour eux, l’idéal serait un édifice discret, avec un impact sur le paysage urbain.  En d’autres termes, une grande mosquée de Marseille ferait tache sur le décor marseillais.

Pour Nassera Bernmarnia indignée, « encore une fois, on enferme le musulman dans le cliché du terroriste, de celui qui ne respecte rien ». De son côté, Benoit Gilles, journaliste à La Marseillaise, estime pour sa part, que « les rédacteurs mêlent sans peine les généralités et l’anecdote, les stéréotypes grossiers et les observations renseignées ». Un tissu de contradiction en somme, censé défendre la « laïcité à la française ».

Source: http://www.yabiladi.com/

Et merci à DG pour l’info…

10/09/2011

914 interpellations de terroristes présumés en France depuis 2001!

Dont 224  écroués et 132 « éloignés »de France). 

On imagine ce que ça donne au niveau mondial……

FDF

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Bravo à nos services  de surveillance et de police   car si ces pourris n’avaient pas été interpellés, je vous laisse imaginer les carnages qu’ils auraient engendrés, je vous laisse aussi imaginer que les victimes auraient pu être vous, moi, ou des membres de votre famille.


Les Etats-Unis n’est pas le seul pays visé par le terrorisme.

Le directeur général de la police nationale (DGPN), Frédéric Péchenard, a annoncé ce vendredi matin sur France Info que 914 présumés terroristes ont été interpellés en France depuis 2001 et 37 depuis janvier 2011. « Il y a une vigilance particulière » en France, a-t-il déclaré à deux jours de l’anniversaire du 11 septembre. « Elle s’exerce tous les jours depuis les attentats de 1984 ». « Depuis 2001« , a-t-il fait valoir, la police a interpellé en France 914 présumés « terroristes islamistes », dont 224 ont été écroués et 132 « éloignés » de France tels des « prédicateurs » par exemple. 
« En 2011, 37 individus ont été interpellés, 10 écroués et 9 éloignés. », a-t-il précisé. « Nous n’avons pas changé la posture du plan Vigipirate pour l’instant mais naturellement nous sommes particulièrement attentifs à ce qui peut se passer », a dit, par ailleurs, Frédéric Péchenard, interrogé sur les « menaces » terroristes aux Etats-Unis et dans le monde

« Un certain nombre de menaces en France »

« Nous avons nous-mêmes un certain nombre de menaces en France et sur les intérêts français à l’étranger » dans le monde citant à cet égard AQMI, les filières djihadistes ou des « individus auto-radicalisés » et « seuls » sur le territoire français. 
Le DGPN a loué le travail « tous azimuts » sur le terrorisme en France « avec du personnel spécialisé ». « Toutes les forces de police et de gendarmerie sont impliquées dans la lutte contre le terrorisme », a-t-il assuré. « La menace terroriste en France « reste élevée » a répété mardi le ministre de l’Intérieur Claude Guéant, à quelques jours du dixième anniversaire des attentats du 11 septembre. 

Source: http://www.lexpress.fr/

Merci à JC JC pour l’info…

06/09/2011

Un millier de « terroristes islamistes » en Allemagne selon le ministre de l’intérieur !

Et combien, en France?
Et combien dans le reste de l’Europe?
Et pourquoi sont ils là?
Et comment les a t’on laissé entrer?
Et qui les a laissé entrer?
Et pourquoi ne les chasse t’on pas?

FDF

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Actuellement, Al-Qaida ne représente un danger que dans ses structures décentralisées.
Le risque d’un attentat perpétré par un individu isolé constitue la principale crainte, parce que ce « sont plus difficile à repérer ».

Un millier de « terroristes islamistes » seraient actuellement présents sur le sol allemand, a déclaré le ministre de l’intérieur du pays, Hans-Peter Friedrich, au journal Bild, lundi 5 septembre. Parmi ces mille personnes, cent vingt-huit apparaissent comme « dangereuses » et pourraient commettre des actes allant jusqu’à l’attentat, précise M. Friedrich. Une vingtaine d’entre elles auraient participé à des entraînements dans les « camps de terroristes ». Néanmoins, des attaques comme celles contre le World Trade Center de New York, le 11 septembre 2001, ont peu de chances de se reproduire, estime le ministre. « Nous disposons d’un large éventail de moyens modernes pour la sécurité et nous enquêtons au sein même des réseaux extrémistes », a-t-il assuré. Toutes ces personnes sont connues et surveillées par les services de sécurité de l’Etat fédéral.

UN RISQUE D’ACTION ISOLÉE Actuellement, Al-Qaida ne représente un danger que dans ses structures décentralisées. Selon Hans-Peter Friedrich, le risque d’un attentat perpétré par un individu isolé constitue la principale crainte, parce que ce « sont plus difficile à repérer ». Depuis mercredi est jugé à Francfort un jeune Kosovar n’appartenant à aucun réseau mais qui, « piégé » par la propagande sur Internet, selon sa confession, a tué par balle deux GI’s en mars, réalisant le premier attentat islamiste sur le sol allemand.

02/08/2011

Syrie: on tue après la prière, durant le ramadan…

Attention, les gars! Pas de massacres avant la prière! C’est compris ?

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Respect aux autorités syriennes et à leur chef, le beau Bashar El-Assad… Pas de répression avant la prière, mon frère! Mais on massacre au tank, c’est plus vite fait.  Sympa, non?

FDF

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Dix civils ont encore été tués dans le pays lundi soir, après la prière de la rupture du jeûne du ramadan. Le Conseil de sécurité de l’ONU, réuni en urgence, ne s’est accordé sur aucune décision concrète.

• La répression a fait 24 morts lundi

Le début du ramadan n’a pas stoppé la répression en Syrie. Vingt-quatre civils ont été tués lundi dans le pays par les tirs des forces de sécurité, dont dix après la prière du soir de rupture du jeûne, a affirmé Rami Abdel Rahmane, président de l’Observatoire syrien des droits de l’Homme.

À Hama, fief de l’opposition, l’offensive de l’armée syrienne s’est poursuivie lundi soir. Des chars de l’armée syrienne ont pilonné un quartier résidentiel de la ville rebelle du centre du pays, selon un militant joint sur place par téléphone. Lundi matin, des bombardements de tanks avaient tué quatre civils. La veille, cent personnes avaient déjà péri, faisant de dimanche l’un des jours les plus sanglants de la révolte.

Plus tôt dans la journée, des chars sont entrés dans la ville d’al-Boukamal, à la frontière irakienne, où les communications ont été coupées. Des blindés sont également entrés dans al-Houla, au nord-ouest de Homs, au centre du pays, où des tirs nourris ont été entendus. Différents témoignages font aussi état d’une attaque imminente contre Deir Ezzor. Plus de 80 chars et des équipements militaires ont été vus en train de converger vers cette cité de l’est de la Syrie où de premiers affrontements ont fait ce week-end 19 morts.

• Le Conseil de sécurité de l’ONU réuni en urgence

Les violences du week-end à Hama ont provoqué à l’ONU une réunion de consultations d’urgence. Européens et Américains, qui ont déjà adopté des sanctions contre le régime syrien, ont cherché à obtenir une condamnation de Damas mais sans résultat concret.

La Grande-Bretagne la France, l’Allemagne et le Portugal, soutenus par les États-Unis, veulent pousser à l’adoption d’une résolution condamnant la répression, qui pourrait être à nouveau débattue mardi. Des diplomates ont cependant indiqué qu’il était plus probable que le Conseil de sécurité se mette d’accord sur une simple déclaration, non contraignante. La Russie et la Chine, deux des cinq membres permanents du Conseil, avaient déjà menacé d’opposer leur veto à un projet de résolution, soutenues par le Brésil, l’Inde et l’Afrique du Sud.

Moscou et Pékin sont furieux que l’Otan se soit servi de résolutions sur la Libye pour justifier les attaques aériennes contre le régime de Mouammar Kadhafi, et craignent que l’adoption d’une résolution sur la Syrie ouvre la voie à une campagne militaire contre Bashar al-Assad, ce que les responsables européens et de l’Otan ont vivement démenti lundi.

Au cours des discussions à huis clos, un haut responsable de l’ONU a souligné qu’en plus des morts, on compte 3000 disparus et 12.000 personnes jetées en prison depuis le début des manifestations contre le régime syrien en mars.

• Bashar el-Assad félicite ses troupes

«Je salue chaque soldat et le félicite à l’occasion du 66e anniversaire de la création de notre armée», a déclaré le président syrien lundi, au lendemain de la répression qui a fait 100 morts à Hama. «Vous tous représentez l’orgueil et la fierté», a-t-il lancé, faisant fi des réactions de la communauté internationale horrifiée. «Je suis absolument certain que nous sommes capables de faire échouer ce nouvel épisode du complot bien ourdi, qui vise à morceler la Syrie, en prélude à la division de la région entière en petits États qui se battent entre eux», a-t-il martelé. Depuis le début de la contestation, les autorités accusent des «groupes armés» et des «terroristes» de répandre le chaos dans le pays, en s’infiltrant parmi les manifestants et en usant de la violence.

Source: http://www.lefigaro.fr/

07/07/2011

La liste officielle des mouvements et individus terroristes en Russie…

On ne peut pas obtenir la liste française, des fois? Ah ben non; on tomberait dans la discrimination… Une chose me questionne: si les Russes ont la liste, pourquoi ne procèdent ils pas au grand nettoyage? Ils en ont les moyens, non? On les a connus plus expéditifs.

FDF

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L’islam est une religion de paix !

1. ABU SAYYAF GROUP (Al Harakat Al Islamiyya)*.
2. AFGHAN SUPPORT COMMITTEE (ASC) (Lajnat Ul Masa Eidatul Afghania ; Jamiat Ayat-Ur-Rhas Al Islamiac ; Jamiat Ihya Ul Turath Al Islamia ; Ahya Ul Turas)* ; Office Locations : Headquarters – G.T. Road (probably Grand Trunk Road), near Pushtoon Garhi Pabbi, Peshawar, Pakistan ; Cheprahar Hadda, Mia Omar Sabaqah School, Jalabad, Afghanistan.
3. AL BARAKA EXCHANGE L.L.C.* ; P.O. BOX 3313 Deira Dubai, United Arab Emirates ; P.O. Box 20066, Dubai, United Arab Emirates. Reported to be owned or controlled by Ali Ahmed Nur Jim’Ale (QI.J.41.01).
4. AL FURQAN (Dzemilijati Furkan ; Dzem’ijjetul Furqan ; Association for Citizens Rights and Resistance to Lies ; Dzemijetul Furkan ; Association of Citizens for the Support of Truth and Suppression of Lies ; Sirat ; Association for Education, Culture and Building Society-Sirat ; Association for Education, Cultural, and to Create Society-Sirat ; Istikamet ; In Siratel ; Citizens’ Association for Support and Prevention of lies – Furqan)* ; 30a Put Mladih Muslimana (ex. Pavla Lukaca Street), 71 000 Sarajevo, Bosnia and Herzegovina ; 42 Muhameda Hadzijahica, Sarajevo, Bosnia and Herzegovina ; 70 and 53 Strosmajerova Street, Zenica, Bosnia and Herzegovina ; 72 ul. Strossmajerova, Zenica, Bosnia and Herzegovina ; Zlatnih Ljiljana Street, Zavidovici, Bosnia and Herzegovina. Registered in Bosnia and Herzegovina as a citizens’ association under the name of « Citizens’ Association for Support and Prevention of lies – Furqan » on 26 Sep. 1997. Al Furqan ceased its work by decision of the Ministry of Justice of the Bosnia and Herzegovina Federation (decision number 03-054-286/97 dated 8 Nov. 2002). Al Furqan was no longer in existence as at Dec. 2008.
5. AL RASHID TRUST (Al-Rasheed Trust ; Al Rasheed Trust ; Al-Rashid Trust ; Aid Organization of the Ulema, Pakistan ; Al Amin Welfare Trust ; Al Amin Trust ; Al Ameen Trust ; Al-Ameen Trust ; Al Madina Trust ; Al-Madina Trust)* ; 302b-40, Good Earth Court, Opposite Pia Planitarium, Block 13a, Gulshan -l Igbal, Karachi, Pakistan ; Phone 4979263 ; 617 Clifton Center, Block 5, 6th Floor, Clifton, Karachi, Pakistan ; Phone 587-2545 ; Jamia Maajid, Sulalman Park, Melgium Pura, Lahore, Pakistan ; Jamia Masjid, Sulaiman Park, Begum Pura, Lahore, Pakistan ; Phone 042-6812081 ; Kitab Ghar, Darul Ifta Wal Irshad, Nazimabad No. 4, Karachi, Pakistan, Phone 6683301 ; Phone 0300-8209199 ; Fax 6623814 ; Kitas Ghar, Nazimabad 4, Dahgel-Iftah, Karachi, Pakistan ; Office Dha’rbi-M’unin ZR Brothers, Katcherry Road, Chowk Yadgaar, Peshawar, Pakistan ; Office Dha’rbi-M’unin, Opposite Khyber Bank, Abbottabad Road, Mansehra, Pakistan ; Office Dha’rbi-M’unin, Rm No. 3, Moti Plaza, Near Liaquat Bagh, Muree Road, Rawalpindi, Pakistan ; Office Dha’rbi-M’unin, Top Floor, Dr. Dawa Khan Dental Clinic Surgeon, Main Baxae, Mingora, Swat, Pakistan ; j) 605 Landmark Plaza, 11 Chundrigar Road, Opposite Jang Building, Karachi, Pakistan ; Phone 2623818-19. Headquarters are in Pakistan. Operations in Afghanistan : Herat Jalalabad, Kabul, Kandahar, Mazar Sherif. Also operations in Kosovo, Chechnya. Has two account numbers (No. 05501741 and No. 06500138) in Habib Bank Ltd. (Foreign Exchange Branch), Pakistan. Involved in the financing of Al-Qaida and the Taliban. Until 21 Oct. 2008, this entity appeared also as « Aid Organization of the Ulema, Pakistan » under permanent reference number QE.A.73.02., listed on 24 Apr. 2002 and amended on 25 Jul. 2006. Based on information confirming that the two entries Al Rashid Trust (QE.A.5.01.) and Aid Organization of the Ulema, Pakistan (QE.A.73.02.) refer to the same entity, the Al-Qaida and Taliban Sanctions Committee decided on 21 Oct. 2008 to consolidate the relevant information contained in both entries in the present entry.
6. AL-AKHTAR TRUST INTERNATIONAL (Al Akhtar Trust ; Al-Akhtar Medical Centre ; Akhtarabad Medical Camp ; Pakistan Relief Foundation ; Pakistani Relief Foundation ; Azmat-e-Pakistan Trust ; Azmat Pakistan Trust)* ; Gulistan-e-Jauhar, Block 12, Karachi, Pakistan ; ST-1/A, Gulsahn-e-Iqbal, Block 2, Karachi, 25300, Pakistan. Regional offices in Pakistan : Bahawalpur, Bawalnagar, Gilgit, Islamabad, Mirpur Khas, Tando-Jan-Muhammad. Akhtarabad Medical Camp is in Spin Boldak, Afghanistan.
7. AL-BARAKAAT* ; Bakaara Market, Mogadishu, Somalia.
8. AL-BARAKAAT BANK*.
9. AL-BARAKAAT WIRING SERVICE* ; 2940 Pillsbury Avenue, Suite 4, Minneapolis, Minnesota 55408.
10. AL-BARAKAT BANK OF SOMALIA (BSS) (Barakat Bank of Somalia)* ; Mogadishu, Somalia ; Bossaso, Somalia.
11. AL-BARAKAT FINANCE GROUP* ; Dubai, UAE ; Mogadishu, Somalia.
12. AL-BARAKAT FINANCIAL HOLDING CO.* ; Dubai, UAE ; Mogadishu, Somalia.
13. AL-BARAKAT GLOBAL TELECOMMUNICATIONS (Barakaat Globetelcompany ; Al Barakat Telecommunications Ltd.)* ; P.O. Box 3313, Dubai, UAE ; Mogadishu, Somalia ; Hargeysa, Somalia.
14. AL-BARAKAT GROUP OF COMPANIES SOMALIA LIMITED (Al-Barakat Financial Company)* ; Mogadishu, Somalia ; P.O. Box 3313, Dubai, United Arab Emirates.
15. AL-BARAKAT INTERNATIONAL (Baraco Co.)* ; P.O. Box 2923, Dubai, UAE.
16. AL-BARAKAT INVESTMENTS* ; P.O. Box 3313, Deira, Dubai, UAE.
17. AL-HAMATI SWEETS BAKERIES* ; Al-Mukallah, Hadhramawt Governorate, Yemen.
18. AL-HARAMAIN & AL MASJED AL-AQSA CHARITY FOUNDATION (Al Haramain Al Masjed Al Aqsa ; Al Haramayn Al Masjid Al Aqsa ; Al-Haramayn and Al Masjid Al Aqsa Charitable Foundation ; Al Harammein Al Masjed Al-Aqsa Charity Foundation)* ; 14 Bihacka Street, Sarajevo, Bosnia and Herzegovina ; 2A Hasiba Brankovica, Sarajevo, Bosnia and Herzegovina ; Описание : Branch Address ; 64 Potur mahala Street, Travnik, Bosnia and Herzegovina ; Zenica, Bosnia and Herzegovina. Used to be officially registered in Bosnia and Herzegovina under registry number 24. Al-Haramain & Al Masjed Al-Aqsa Charity Foundation ceased its work by decision of the Ministry of Justice of the Bosnia and Herzegovina Federation (decision on cessation of operation number 03-05-2-203/04). It was no longer in existence as at Dec. 2008. Its premises and humanitarian activities were transferred under Government supervision to a new entity called Sretna Buducnost.
19. AL-HARAMAIN FOUNDATION (Indonesia) (Yayasan Al-Manahil-Indonesia)* ; Jalan Laut Sulawesi Blok DII/4, Kavling Angkatan Laut Duren Sawit, Jakarta Timur 13440 Indonesia ; Tel : 021-86611265 and 021-86611266 ; Fax : 021-8620174 ; Jl. Jati padang II, No. 18-A, Jakarta Selatan 12540, Indonsia. Tel. 021-789-2870, fax 021-780-0188. Lembaga Pelayanan Pesantren & Studi Islam.
20. AL-HARAMAIN FOUNDATION (Pakistan)* ; House # 279, Nazimuddin Road, F-10/1, Islamabad, Pakistan.
21. AL-HARAMAIN FOUNDATION (UNION OF THE COMOROS)* ; 1652 Moroni, Union of the Comoros.
22. AL-HARAMAIN FOUNDATION (UNITED STATES OF AMERICA)* ; 1257 Siskiyou Blvd. Ashland, OR 97520, United States of America ; 2151 E Division St., Springfield, MO 65803, United States of America ; 3800 Highway 99 S, Ashland, OR 97520, United States of America. The United States-based branch of Al-Haramain Foundation was formally established by Suliman Hamd Suleiman al-Buthe (QI.A.179.04) and another associate in 1997. Review pursuant to Security Council resolution 1822 (2008) was concluded on 19 Oct. 2009.
23. AL-HARAMAIN ISLAMIC FOUNDATION (Vazir ; Vezir)* ; 64 Poturmahala, Travnik, Bosnia and Herzegovina ; Sarajevo, Bosnia and Herzegovina. Under criminal investigation by the authorities of Bosnia and Herzegovina as of Nov. 2007. Employees and associates include Najib Ben Mohamed Ben Salem Al-Waz (listed under permanent reference number QI.A.104.03.) and Safet Durguti (listed under permanent reference number QI.D.153.03.).
24. AL-HARAMAIN ISLAMIC FOUNDATION* ; Somalia.
25. AL-HARAMAIN : AFGHANISTAN BRANCH* ; Afghanistan.
26. AL-HARAMAIN : ALBANIA BRANCH* ; Irfan Tomini Street, # 58, Tirana, Albania.
27. AL-HARAMAIN : BANGLADESH BRANCH* ; House 1, Road 1, S-6, Uttara, Dhaka, Bangladesh.
28. AL-HARAMAIN : ETHIOPIA BRANCH* ; Woreda District 24 Kebele Section 13, Addis Ababa, Ethiopia.
29. AL-HARAMAIN : THE NETHERLANDS BRANCH (Stichting Al Haramain Humanitarian Aid)* ; Jan Hanzenstraat 114, 1053SV, Amsterdam, The Netherlands.
30. AL-HARAMAYN FOUNDATION (KENYA)* ; Dadaab, Kenya ; Garissa, Kenya ; Nairobi, Kenya.
31. AL-HARAMAYN FOUNDATION (TANZANIA)* ; P.O. Box. 3616 ; Dar es Salaam, Tanzania ; Singida ; Tanga.
32. AL-ITIHAAD AL-ISLAMIYA / AIAI* ; Reported to operate in Somalia and Ethiopia. Leadership includes Hassan Abdullah Hersi Al-Turki (listed under permanent reference number QI.A.172.04.) and Hassan Dahir Aweys (listed under permanent reference number QI.D.42.01.).
33. AL-NUR HONEY PRESS SHOPS (Al-Nur Honey Center)* ; Sanaa, Yemen. Established by Mohamed Mohamed A-Hamati from Hufash district, El Mahweet Governerate, Yemen.
34. AL-QAIDA (« The Base » ; Al Qaeda ; Islamic Salvation Foundation ; The Group for the Preservation of the Holy Sites ; The Islamic Army for the Liberation of Holy Places ; The World Islamic Front for Jihad Against Jews and Crusaders ; Usama Bin Laden Network ; Usama Bin Laden Organization ; Al Qa’ida ; Islamic Army)*.
35. AL-QAIDA IN IRAQ (AQI ; al-Tawhid ; the Monotheism and Jihad Group ; Qaida of the Jihad in the Land of the Two Rivers ; Al-Qaida of Jihad in the Land of the Two Rivers ; The Organization of Jihad’s Base in the Country of the Two Rivers ; The Organization Base of Jihad/Country of the Two Rivers ; The Organization Base of Jihad/Mesopotamia ; Tanzim Qa’idat Al-Jihad fi Bilad al-Rafidayn ; Tanzeem Qa’idat al Jihad/Bilad al Raafidaini ; Jama’at Al-Tawhid Wa’al-Jihad ; JTJ ; Islamic State of Iraq ; ISI ; al-Zarqawi network)*.
36. AL-QAIDA IN THE ARABIAN PENINSULA (AQAP) (Al-Qaida of Jihad Organization in the Arabian Peninsula ; Tanzim Qa idat al-Jihad fi Jazirat al-Arab ; Al-Qaida Organization in the Arabian Peninsula (AQAP) ; Al-Qaida in the South Arabian Peninsula ; Al-Qaida in Yemen (AQY)* ; AQAP is a regional affiliate of Al-Qaida (QE.A.4.01) and an armed group operating primarily in Arabian Peninsula. Location : Yemen. Alternative location : Saudi Arabia (2004 – 2006). Formed in Jan. 2009 when Al-Qaida in Yemen combined with Saudi Arabian Al-Qaida operatives. Leader of AQAP is Nasir ’abd-al-Karim ’Abdullah Al-Wahishi (QI.A.274.10.) and his deputy is Said Ali Al-Shihri (QI.A.275.10.).
37. AL-SHABAAB (Al-Shabab ; Shabaab ; The Youth ; Mujahidin Al-Shabaab Movement ; Mujahideen Youth Movement ; Mujahidin Youth Movement ; MYM ; Harakat Shabab Al-Mujahidin ; Hizbul Shabaab ; Hisb’ul Shabaab ; Al-Shabaab Al-Islamiya ; Youth Wing ; Al-Shabaab Al-Islaam ; Al-Shabaab Al-Jihaad ; The Unity of Islamic Youth ; Harakat Al-Shabaab Al-Mujaahidiin ; Harakatul Shabaab Al Mujaahidiin ; Mujaahidiin Youth Movement)* ; Somalia.
38. AL-SHIFA, HONEY PRESS FOR INDUSTRY AND COMMERCE* ; P.O. Box 8089, Al-Hasabah, Sanaa, Yemen ; By The Shrine Next To The Gas Station, Jamal Street, Ta iz, Yemen ; Al- Arudh Square, Khur Maksar, Aden, Yemen ; Al-Nasr Street, Doha, Qatar.
39. ANSAR AL-ISLAM (Devotees of Islam ; Jund Al-Islam ; Soldiers of Islam ; Kurdistan Supporters of Islam ; Supporters of islam in Kurdistan ; Followers of Islam in Kurdistan ; Kurdish Taliban ; Soldiers of God ; Ansar Al-Sunna Army ; Jaish Ansar Al-Sunna ; Ansar Al-Sunna)* ; Associated with Al-Qaida (QE.A.4.01.) and Al-Qaida in Iraq (QE.J.115.04). Located and primarily active in northern Iraq but maintains a presence in western and central Iraq.
40. ARMED ISLAMIC GROUP (Al Jamm’ah Al-Islamiah Al-Musallah ; GIA ; Groupement Islamique Arme)* ; Algeria.
41. ASAT TRUST REG.* ; Altenbach 8, 9490 Vaduz Fl, Liechtenstein.
42. ASBAT AL-ANSAR* ; Ein el-Hilweh camp, Lebanon.
43. BA TAQWA FOR COMMERCE AND REAL ESTATE COMPANY LIMITED (Hochburg AG ; c/o Asat Trust reg.)* ; Vaduz, Liechtenstein ; (formerly c/o Astat Trust reg.).
44. BARAKAAT BANK OF SOMALIA (Barakaat Bank of Somalia Ltd. ; Baraka Bank of Somalia ; Barakat Banks and Remittances)* ; Bakaara Market, Mogadishu, Somalia ; Dubai, United Arab Emirates. Reported to be owned or controlled by Ali Ahmed Nur Jim’Ale (QI.J.41.01).
45. BARAKAAT BOSTON* ; 266 Neponset Avenue, Apt. 43, Dorchester, Massachusetts 02122-3224, United States of America.
46. BARAKAAT CONSTRUCTION COMPANY* ; P.O. Box 3313, Dubai, UAE.
47. BARAKAAT GROUP OF COMPANIES* ; Mogadishu, Somalia.
48. BARAKAAT INTERNATIONAL, INC.* ; 1929 South 5th Street, Suite 205, Minneapolis, Minnesota, United States of America.
49. BARAKAAT NORTH AMERICA, INC.* ; 925 Washington Street, Dorchester, Massachusetts, United States of America ; Inc., 925 Washington Street, Dorchester, Massachusetts ; 2019 Bank Street, Ottawa, Ontario, Canada.
50. BARAKAAT RED SEA TELECOMMUNICATIONS* ; Bossaso, Somalia ; Nakhiil, Somalia ; Huruuse, Somalia ; Raxmo, Somalia ; Ticis, Somalia ; Kowthar, Somalia ; Noobir, Somalia ; Bubaarag, Somalia ; Gufure, Somalia ; Xuuxuule, Somalia ; Ala Aamin, Somalia ; Guureeye, Somalia ; Najax, Somalia ; Carafaat, Somalia.
51. BARAKAAT TELECOMMUNICATIONS CO. SOMALIA, LTD.* ; P.O. Box 3313, Dubai, UAE. Reported to be owned or controlled by Ali Ahmed Nur Jim’Ale (QI.J.41.01).
52. BARAKAAT WIRE TRANSFER COMPANY* ; 4419 South Brandon Street, Seattle, Washington, United States of America.
53. BARAKAT COMPUTER CONSULTING (BCC)*.
54. BARAKAT CONSULTING GROUP (BCG)*.
55. BARAKAT GLOBAL TELEPHONE COMPANY* ; Bakaara Market, Mogadishu, Somalia.
56. BARAKAT INTERNATIONAL COMPANIES (BICO)* ; Bakaara Market, Mogadishu, Somalia.
57. BARAKAT POST EXPRESS (BPE)*.
58. BARAKAT REFRESHMENT COMPANY* ; Bakaara Market, Mogadishu, Somalia.
59. BARAKAT TELECOMMUNICATIONS COMPANY LIMITED (BTELCO)* ; Bakara Market, Dar Salaam Building, Mogadishu, Somalia. Office closed and defunct in the Netherlands as at Aug. 2009.
60. BARAKO TRADING COMPANY, LLC (Baraka Trading Company)* ; P.O. Box 3313, Dubai, UAE. Until 23 Mar. 2009 this entity was also listed as Baraka Trading Company (QE.B.54.01). Reported to be owned or controlled by Ali Ahmed Nur Jim’Ale (QI.J.41.01).
61. BENEVOLENCE INTERNATIONAL FOUNDATION (Al Bir Al Dawalia ; BIF-USA ; Mezhdunarodnyj blagotvoritl’nyl Fond ; BIF)* ; 14) Tbilisi, Georgia ; 15) Nazran, Ingushetia ; 16) Burgemeester Kessensingel 40, Masstricht, Netherlands ; 17) Stichting Benevolence International Nederland (A.K.A. Benevolence International Nederland, A.K.A. BIN). Radeborg 14B, 6228 CV Maastricht, Netherlands. Chamber of commerce registration : 14063277 ; 18) House 111, First Floor, Street 64, F-10/3, Islamabad, Pakistan ; 19) P.O. Box 1055, Peshawar, Pakistan ; 20) Azovskaya 6, km. 3, off. 401, Moscow, Russia 113149 ; 21) Ulitsa Oktyabr »skaya, dom. 89, Moscow, Russia 127521 ; 22) P.O. Box 1937, Khartoum, Sudan ; 23) P.O. Box 7600, Jeddah 21472, Saudi Arabia ; 24) P.O. Box 10845, Riyadh 11442, Saudi Arabia ; 25) Dushanbe, Tajikistan ; 26) United Kingdom. Other locations of BIF Activities : 1) Afghanistan ; 2) Bangladesh ; 3) Gaza Strip ; 4) Bosnia and Herzegovina ; 5) Yemen ; U.S. Locations : 1) 8820 Mobile Avenue, IA, Oak Lawn, Illinois, 60453 United States of America ; 2) P.O. Box 548, Worth, Illinois, 60482 United States of America ; 3) (Formerly located at) 9838 S. Roberts Road, Suite 1W, Palos Hills, Illinois, 60465 United States of America ; 4) (Formerly located at) 20-24 Branford Place, Suite 705, Newark, New Jersey, 07102 United States of America. Other Locations : 1) Bashir Safar Ugli 69, Baku, Azerbaijan ; 2) 69 Boshir Safaroglu St., Baku, Azerbaijan ; 3) Sarajevo, Bosnia and Herzegovina ; 4) Zenica, Bosnia and Herzegovina ; 5) (Last known address) 3 King Street, South Waterloo, Ontario, N2J 3Z6 Canada ; 6) (Last known address) P.O. Box 1508 Station 1, Mississauga, Ontario, L4Y 4G2 Canada ; 7) (Last known address) 2465 Cawthra Rd., #203, Mississauga, Ontario, L5A 3P2 Canada ; 8) Ottawa, Canada ; 9) Grozny, Chechnya ; 10) 91 Paihonggou, Lanzhou, Gansu, China 730000 ; 11) Hrvatov 30, 41000, Zagreb, Croatia ; 12) Makhachkala, Daghestan ; 13) Duisi, Georgia. Employer Identification Number (United States of America) 36-3823186.
62. BENEVOLENCE INTERNATIONAL FUND (Benevolent International Fund)* ; Locations : 1) (Last known address) 2465 Cawthra Rd., Unit 203, Mississauga, Ontario, L5A 3P2 Canada ; 2) (Last known address) P.O. Box 1508, Station B, Mississauga, Ontario, L4Y 4G2 Canada ; 3) (Last known address) P.O. Box 40015, 75 King Street South, Waterloo, Ontario, N2J 4V1 Canada ; 4) (Last known address) 92 King Street, 201, Waterloo, Ontario, N2J 1P5 Canada.
63. BOSANSKA IDEALNA FUTURA (BIF-Bosnia ; Bosnian Ideal Future)* ; 1 Kanal Street, 72000 Zenica, Bosnia and Herzegovina ; 12 Salke Lagumdzije Street, 71000 Sarajevo, Bosnia and Herzegovina ; 16 Hakije Mazica Street, 72000 Zenica, Bosnia and Herzegovina ; 35 Hamze Celenke Street, Ilidza, Zenica, Bosnia and Herzegovina ; Sehidska Street, Breza, Bosnia and Herzegovina. Bosanska Idealna Futura was officially registered in Bosnia and Herzegovina as an association and humanitarian organization under registry number 59. It was the legal successor of the Bosnia and Herzegovina offices of Benevolence International Foundation (listed under permanent reference number QE.B.93.02.), doing business as BECF Charitable Educational Center, Benevolence Educational Center. Bosanska Idealna Futura was no longer in existence as at Dec. 2008.
64. DJAMAT HOUMAT DAAWA SALAFIA (DHDS) (El-Ahouel ; Djamaat Houmah Al-Dawah Al-Salafiat ; Katibat el Ahouel)* ; Located in western Algeria. A branch of the Armed Islamic Group (GIA) (QE.A.6.01.) formed as a result of the break that occurred in 1996 when Afghanistan veteran Kada Benchikha Larbi decided to oppose the head of GIA. As at 1999, the group was led by Mohammed Benslim. Yahia Djouadi (QI.D.249.08) subsequently made DHDS part of the Organization of Al-Qaida in the Islamic Maghreb (QE.T.14.01). Estimated in Nov. 2007 to comprise approx. 50 members. Review pursuant to Security Council resolution 1822 (2008) was concluded on 30 Jul. 2009.
65. EASTERN TURKISTAN ISLAMIC MOVEMENT (the Eastern Turkistan Islamic Party ; the Eastern Turkistan Islamic Party of Allah ; Islamic Party of Turkestan ; Djamaat Turkistan)*.
66. EGYPTIAN ISLAMIC JIHAD (Egyptian al-Jihad ; Jihad Group ; New Jihad ; Al-Jihad ; Egyptian Islamic Movement)*.
67. GLOBAL RELIEF FOUNDATION (GRF) (Fondation Secours Mondial (FSM) ; Secours Mondial de France (SEMONDE) ; Fondation Secours Mondial – Belgique a.s.b.l. ; Fondation Secours Mondial v.z.w. ; Stichting Wereldhulp – Belgie v.z.w. ; Fondation Secours Mondial – Kosova ; Fondation Secours Mondial « World Relief » ; FSM)* ; 49 rue du Lazaret, 67100 Strasebourg, France ; 9935 South 76th Avenue, Unit 1, Bridgeview, Illinois 60455, United States of America ; House 267 Street No. 54, Sector F – 11/4, Islamabad, Pakistan ; P.O. Box 1406, Bridgeview, Illinois 60455, United States of America ; P.O. Box 6, 1040 Etterbeek 2, Brussels, Belgium ; Rr. Skenderbeu 76, Lagjja Sefa, Gjakova, Kosovo ; Rruga e Kavajes, Building No. 3, Apartment No. 61, P.O. Box 2892, Tirana, Albania ; Rue des Bataves 69, 1040 Etterbeek, Brussels, Belgium ; Vaatjesstraat, 29, 2580 Putte, Belgium ; Ylli Morina Road, Djakovica, Kosovo. Other Foreign Locations : Afghanistan, Azerbaijan, Bangladesh, China, Eritrea, Ethiopia, Georgia, India, Iraq, Jordan, Lebanon, West Bank and Gaza, Sierra Leone, Somalia and Syria. Federal Employer Identification ( United States of America) : 36-3804626. V.A.T. Number : BE 454,419,759. Belgian addresses incorrect : these are the addresses of Putte et Bruxelles de l association sans but lucratif since 1998.
68. HARAKAT UL JIHAD ISLAMI (HUJI ; Movement of Islamic Holy War ; Harkat-ul-Jihad-al Islami ; Harkat-al-Jihad-ul Islami ; Harkat-ul-Jehad-al Islami ; Harakat ul Jihad-e-Islami ; Harakat-ul-Ansar ; HUA)* ; Was established in Afganistan in 1980. In 1993, Harakat-ul Jihad Islami merged with Harakat ul-Mujahidin to from Harakat ul-Ansar. In 1997, Harakat-ul Jihad Islami split from Harakat ul-Ansar and resumed using its former name. Operations are in India, Pakistan and Afghanistan.
69. HARAKAT UL-MUJAHIDIN / HUM (al-Faran ; Al-Hadid ; Al-Hadith ; Harakat ul-Ansar ; HUA ; Harakat ul-Mujahideen)*.
70. HEYATUL ULYA*.
71. INTERNATIONAL ISLAMIC RELIEF ORGANIZATION, INDONESIA, BRANCH OFFICE (International Islamic Relief Agency ; International Relief Organization ; Islamic Relief Organization ; Islamic World Relief ; International Islamic Aid Organization ; Islamic Salvation Committee ; The Human Relief Committee of the Muslim League ; World Islamic Relief Organization ; Al Igatha Al-Islamiya ; Hayat al-Aghatha al-Islamia al-Alamiya ; Hayat al-Igatha ; Hayat Al-’Igatha ; Ighatha ; Igatha ; Igassa ; Igasa ; Igase ; Egassa ; IIRO)* ; International Islamic Relief Organization, Indonesia Office ; Jalan Raya Cipinang Jaya No. 90 ; East Jakarta, 13410, Indonesia ; P.O. Box 3654 ; Jakarta 54021, Indonesia.
72. INTERNATIONAL ISLAMIC RELIEF ORGANIZATION, PHILIPPINES, BRANCH OFFICES (International Islamic Relief Agency ; International Relief Organization ; Islamic Relief Organization ; Islamic World Relief ; International Islamic Aid Organization ; Islamic Salvation Committee ; The Human Relief Committee of the Muslim League ; World Islamic Relief Organization ; Al Igatha Al-Islamiya ; Hayat al-Aghatha al-Islamia al-Alamiya ; Hayat al-Igatha ; Hayat Al-’Igatha ; Ighatha ; Igatha ; Igassa ; Igasa ; Igase ; Egassa ; IIRO)* ; Basilan, Philippines ; Cotabato City, Philippines ; International Islamic Relief Organization, Philippines Office ; 201 Heart Tower Building ; 108 Valero Street ; Salcedo Village, Makati City ; Manila, Philippines ; Marawi City, Philippines ; Tawi Tawi, Philippines ; Zamboanga City, Philippines.
73. ISLAMIC ARMY OF ADEN*.
74. ISLAMIC INTERNATIONAL BRIGADE (IIB) (The Islamic Peacekeeping Brigade ; The Islamic Peacekeeping Army ; The International Brigade ; Islamic Peacekeeping Battalion ; Islamic Peacekeeping International Brigade ; International Battalion)*.
75. ISLAMIC JIHAD GROUP (Jama’at al-Jihad ; Jamiyat ; Libyan Society ; Kazakh Jama’at ; Jamaat Mojahedin ; Jamiat al-Jihad al-Islami ; Dzhamaat Modzhakhedov ; Islamic Jihad Group of Uzbekistan ; al-Djihad al-Islami ; Zamaat Modzhakhedov Tsentralnoy Asii ; Islamic Jihad Union)*.
76. ISLAMIC MOVEMENT OF UZBEKISTAN (IMU)*.
77. JAISH-I-MOHAMMED (Army of Moammed)* ; Pakistan.
78. JAM’YAH TA’AWUN AL-ISLAMIA (Society of Islamic Cooperation ; Jam’iyat al Ta’awun al Islamiyya ; Jit)* ; Qandahar City, Afghanistan.
79. JEMAAH ISLAMIYAH (Jema’ah Islamiyah ; Jemaah Islamiya ; Jemaah Islamiah ; Jamaah Islamiyah ; Jama’ah Islamiyah)* ; The network in South-East Asia. Founded by the late Abdullah Sungkar.
80. LAJNAT AL DAAWA AL ISLAMIYA (LDI)*.
81. LASHKAR I JHANGVI (LJ)*.
82. LASHKAR-E-TAYYIBA (Lashkar-e-Toiba ; Lashkar-i-Taiba ; Army of the Righteous ; Al Mansoorian ; Al Mansooreen ; Army of the Pure ; Army of the Pure and Righteous ; LET ; Pasban-e-Kashmir ; Paasban-I-Ahle-Hadith ; Paasban-e-Kashmir ; Pasban-e-Ahle-Hadith ; Paasban-e-Ahle-Hadis ; Pashan-e-ahle-Hadis ; Lashkar e Tayyaba ; Jamaat-ud-Dawa ; JUD ; Jama,at al-Dawa ; Jamaat ud-Daawa ; Jamaat ul-Dawah ; Jamaat-ul-Dawa ; Jama,at-i-Dawat ; Jamaiat-ud-Dawa ; Jama,at-ud-Da,awah ; Jama,at-ud-Da,awa ; Jamaati-ud-Dawa)*.
83. LIBYAN ISLAMIC FIGHTING GROUP (LIFG)*.
84. MAKHTAB AL-KHIDAMAT (MAK ; Al Kifah)*.
85. MAMOUN DARKAZANLI IMPORT-EXPORT COMPANY (Darkazanli Company ; Darkazanli Export-Import Sonderposten)* ; Uhlenhorsterweg 34 11 Hamburg, Germany.
86. MOROCCAN ISLAMIC COMBATANT GROUP (Groupe Islamique Combattant Marocain ; GICM)*.
87. MOVEMENT FOR REFORM IN ARABIA (Movement for Islamic Reform in Arabia ; MIRA ; Al Islah (Reform) ; MRA ; Al-Harakat al-Islamiyah lil-Islah ; Islamic Movement for Reform ; Movement for (Islamic) Reform in Arabia Ltd ; Movement for Reform in Arabia Ltd)* ;BM Box : MIRA, London WC1N 3XX, United Kingdom ; Safiee Suite, EBC House, Townsend Lane, London, NW 9 8LL, United Kingdom. Email address : info@islah.org, Tel : 020 8452 0303, Fax : 020 8452 0808, UK Company number 03834450.
88. NADA INTERNATIONAL ANSTALT* ; Vaduz, Liechtenstein ; (formerly c/o Asat Trust reg.). Liquidated and deleted from Commercial Registry.
89. PARKA TRADING COMPANY* ; P.O. Box 3313, Deira, Dubai, UAE.
90. RABITA TRUST* ; Room 9a, 2nd Floor, Wahdat Road, Education Town, Lahore, Pakistan ; Wares Colony, Lahore, Pakistan.
91. RAJAH SOLAIMAN MOVEMENT (Rajah Solaiman Islamic Movement ; Rajah Solaiman Revolutionary Movement)* ;Barangay Mal-Ong, Anda, Pangasinan Province, Philippines ; Number 50, Purdue Street, Cubao, Quezon City, Philippines ; Sitio Dueg, Barangay Maasin, San Clemente, Tarlac Province, Philippines. Had its office at the Fi-Sabilillah Da’awa and Media Foundation Incorporated at number 50, Purdue Street, Cubao, Quezon City, which is also the residence of the entity’s founder, Hilarion Del Rosario Santos III (listed under permanent reference number QI.S.244.08.). Associated with the Abu Sayyaf Group (listed under permanent reference number QE.A.1.01.) and Jemaah Islamiyah (listed under permanent reference number QE.J.92.02.) including explosives training and other support for terrorist attacks in the Philippines in 2004 and 2005. Received funding from the International Islamic Relief Organization, Philippines, branch offices (listed under permanent reference number QE.I.126.06.) through Khadafi Abubakar Janjalani (listed under permanent reference number QI.J.180.04.).
92. RED SEA BARAKAT COMPANY LIMITED* ; Bakaara Market, Mogadishu, Somalia.
93. REVIVAL OF ISLAMIC HERITAGE SOCIETY (Jamiat Ihia Al-Turath Al-Islamiya ; Revival of Islamic Society Heritage on the African Continent ; Jamia Ihya ul Turath ; RIHS)* ;Afghanistan; Pakistan. NOTE : Only the Pakistan and Afghanistan offices of this entity are hereby designated.
94. RIYADUS-SALIKHIN RECONNAISSANCE AND SABOTAGE BATTALION OF CHECHEN MARTYRS (RSRSBCM) (Riyadus-Salikhin Reconnaissance and Sabotage Battalion ; Riyadh-as-Saliheen ; The Sabotage and Military Surveillance Group of the Riyadh al-Salihin Martyrs ; Firqat al-Takhrib wa al-Istitla al-Askariyah li Shuhada Riyadh al-Salihin ; Riyadus-Salikhin Reconnaissance and Sabotage battalion of Shahids (martyrs)*.
95. SANABEL RELIEF AGENCY LIMITED (Sanabel Relief Agency ; Sanabel L’il-Igatha ; SRA ; Sara ; Al-Rahama Relief Foundation Limited)* ; 1011 Stockport Rd, Levenshulme, Manchester M9 2TB, United Kingdom ; 54 Anson Road, London, NW2 6AD, United Kingdom ; 63 South Rd, Sparkbrook, Birmingham B 111 EX, United Kingdom ; 98 Gresham Road, Middlesbrough, United Kingdom ; P.O. Box 50, Manchester M19 25P, United Kingdom. Charity number : 1083469. Registration number : 3713110. Review pursuant to Security Council resolution 1822 (2008) was concluded on 28 Sep. 2009.
96. SOMALI INTERNATIONAL RELIEF ORGANIZATION* ; 1806 Riverside Avenue, 2nd Floor, Minneapolis, Minnesota, United States of America.
97. SOMALI INTERNET COMPANY*.
98. SOMALI NETWORK AB* ; Hallybybacken 15, 70 Spanga, Sweden.
99. SPECIAL PURPOSE ISLAMIC REGIMENT (SPIR) (The Islamic Special Purpose Regiment ; The al-Jiahad-Fisi-Sabililah Special Islamic Regiment ; Islamic Regiment of Special Meaning)*.
100. TAIBAH INTERNATIONAL-BOSNIA OFFICES (Taibah International Aid Agency ; Taibah International Aid Association ; Al Taibah, Intl ; Taibah International Aide Association)* ; 26 Tabhanska Street, Visoko, Bosnia and Herzegovina ; 3 Velika Cilna Ulica, Visoko, Bosnia and Herzegovina ; 6 Avde Smajlovica Street, Novo Sarajevo, Bosnia and Herzegovina. In 2002-2004, Taibah International – Bosnia offices used premises of the Culture Home in Hadzici, Sarajevo, Bosnia and Herzegovina. The organization was officially registered in Bosnia and Herzegovina as a branch of Taibah International Aid Association under registry number 7. Taibah International – Bosnia offices ceased its work by decision of the Ministry of Justice of the Bosnia and Herzegovina Federation (decision on cessation of operation number 03-05-2-70/03).
101. THE ORGANIZATION OF AL-QAIDA IN THE ISLAMIC MAGHREB (Le Groupe Salafiste Pour La Prediction et Le Combat ; Salafist Group For Call and Combat)* ; Estimated in Nov. 2007 to comprise approx. 700 members regrouped in cells in Algeria and northern Mali. Its Emir is Abdelmalek Droukdel (listed under permanent reference number QI.D.232.07.).
102. TUNISIAN COMBATANT GROUP (Groupe Combattant Tunisien ; Groupe Islamiste Combattant Tunisien ; GICT)*.
103. UMMAH TAMEER E-NAU (UTN)* ; Street 13, Wazir Akbar Khan, Kabul, Afghanistan ; Pakistan.
104. WAFA HUMANITARIAN ORGANIZATION (Al Wafa ; Al Wafa Organization ; Wafa Al-Igatha al-Islamia)* ; Jordan House No. 125, Street 54, Phase II Hayatabad, Peshawar, Pakistan.Offices in : Saudi Arabia, Kuwait, and UAE. Физические лица
1. ABD AL HAMID SULAIMAN AL-MUJIL (Dr. Abd al-Hamid Al-Mujal ; Dr. Abd Abdul-Hamid bin Sulaiman Al-Mu’jil ; Abd al-Hamid Sulaiman Al-Mu’jil ; Dr. Abd Al-Hamid Al-Mu’ajjal ; Abd al-Hamid Mu’jil ; A.S. Mujel ; Abu Abdallah ; Abdulhamid Sulaiman M.Al Mojil)* ; 28.04.1949 г.р., Kuwait. DOB : 29.04.1949.
2. ABD AL WAHAB ABD AL HAFIZ (Ferdjani Mouloud ; Rabah Di Roma ; Mourad ; Abdel Wahab Abdelhafid ; Said)* ; 07.09.1967 г.р., Algiers, Algeria (30.10.1968 г.р., Algeria).
3. ABD AL-RAHMAN MUHAMMAD JAFFAR ’ALI (Abd al-Rahman Muhammad Jaffir ; Abd al-Rahman Muhammad Jafir ’Ali ; Abd al-Rahman Jaffir Ali ; Abdul Rahman Mohamed Jaffer Ali ; Abdulrahman Mohammad Jaffar ; ’Ali Al-Khal ; Abu Muhammad Al-Khal)* ; 15.01.1968 г.р., Muharraq, Bahrain.
4. ABD ALLAH MOHAMED RAGAB ABDEL RAHMAN (Abu Al-Khayr ; Ahmad Hasan ; Abu Jihad)* ; 03.11.1957 г.р., Kafr Al-Shaykh, Egypt.
5. ABD EL KADER MAHMOUD MOHAMED EL SAYED (Es Sayed Kader)* ; 26.12.1962 г.р., Egypt.
6. ABD-AL-MAJID AZIZ AL-ZINDANI (Abdelmajid Al-Zindani ; Shaykh ’Abd Al-Madjid Al-Zindani ; Sheikh Abd Al-Meguid Al-Zindani)* ; 1942 г.р., Yemen DOB : Approximately 1950.
7. ABDELGHANI MZOUDI (Abdelghani Mazwati ; Abdelghani Mazuti)* ; 06.12.1972 г.р., Marrakesh, Morocco.
8. ABDELHADI BEN DEBKA (Abd Al Hadi ; Hadi ; L’Hadi Bendebka ; El Hadj Ben Debka)* ; 17.11.1963 г.р., Algiers, Algeria.
9. ABDELHALIM HAFED ABDELFATTAH REMADNA (Abdelhalim Remadna ; Jalloul)* ; 02.04.1966 г.р., Biskra, Algeria.
10. ABDELKADER LAAGOUB* ; 23.04.1966 г.р., Casablanca, Morocco.
11. ABDELMALEK DROUKDEL (Abou Mossaab Abdelouadoud)* ; 20.04.1970 г.р., Meftah, Wilaya of Blida, Algeria.
12. ABDERRAHMANE KIFANE* ; 07.03.1963 г.р., Casablanca, Morocco.
13. ABDUL BAQI* ; 1962 г.р., Jalalabad city, Nangarhar province, Afghanistan.
14. ABDUL BARI AKHUND (Haji Mullah Sahib)* ; 1953 г.р., Helmand province, Afghanistan.
15. ABDUL GHAFAR QURISHI (Abdul Ghaffar Qureshi)*.
16. ABDUL GHAFAR SHINWARY* ; 29.03.1965 г.р., Kandahar, Afghanistan.
17. ABDUL GHAFOOR* ; Kunar province, Afghanistan.
18. ABDUL GHANI BARADAR (Mullah Baradar Akhund)* ; 1968 г.р., Weetmak villag, Dehrawood district, Uruzgan province, Afghanistan. Примерный г.р. 1968.
19. ABDUL HAI HAZEM* ; 1971 г.р., Ghazni.
20. ABDUL HAKIM MUJAHID MUHAMMAD AWRANG (Abdul Hakim Mojahed ; Abdul Hakim Mujahid Moh Aurang)* ; 1956 г.р., Khajakhel village, Sharan district, Paktika province, Afghanistan.
21. ABDUL HAKIM MURAD (Murad abdul Hakim Hasim ; Murad Abdul Hakim Ali Hashim ; Murad Abdul Hakim Al Hashim ; Saeed Akman ; Saeed Ahmed)* ; 04.01.1968 г.р., Kuwait.
22. ABDUL HAQ (Maimaitiming Maimaiti ; Abdul Heq ; Abuduhake ; Abdulheq Jundullah ; ’Abd Al-Haq ; Memetiming Memeti ; Memetiming Aximu ; Memetiming Qekeman ; Maiumaitimin Maimaiti ; Abdul Saimaiti ; Muhammad Ahmed Khaliq ; Maimaiti Iman ; Muhelisi ; Qerman ; Saifuding)* ; 10.10.1971 г.р., Chele County, Khuttan Area, Xinjiang Uighur Autonomous Region, China.
23. ABDUL JABBAR OMARI* ; Zabul, Afghanistan. Примерный г.р. 1958.
24. ABDUL JALIL HAQQANI (Nazar Jan)* ; 1963 г.р., Arghandaab district, Kandahar province, Afghanistan. Примерный г.р. 1963.
25. ABDUL KABIR MOHAMMAD JAN (A. Kabir)* ; 1963 г.р., Zardran tribe, Paktja province, Afghanistan. Примерный г.р. 1963.
26. ABDUL LATIF MANSUR (Abdul Latif Mansoor)* ; 1968 г.р., Zurmat district, Paktia province, Afghanistan.
27. ABDUL LATIF SALEH (Abdul Latif A.A. Saleh ; Abdyl Latif Saleh ; Dr. Abd al-Latif Saleh ; Abdul Latif A.A. Saleh Abu Hussein ; Abd al-Latif Salih ; Abu Amir)* ; 05.03.1957 г.р., Baghdad, Iraq.
28. ABDUL MANAF KASMURI (Muhammad Al-Filipini ; Intan)* ; 28.05.1955 г.р., Selangor, Malaysia.
29. ABDUL MANAN*.
30. ABDUL MANAN NYAZI (Abdul Manan Nayazi ; Abdul Manan Niazi ; Baryaly ; Baryalai)* ; 1968 г.р., Pashtoon Zarghoon district, Herat province, Afghanistan. DOB : Approximately 1968.
31. ABDUL QADEER ABDUL BASEER* ; 1964 г.р., Nangarhar, Afghanistan.
32. ABDUL RAHIM AL-TALHI ( Abdul-Rahim Hammad al-Talhi ; Abd Al-Rahim Hamad al-Tahi ; Abdulrheem Hammad A Altalhi ; Abe Al-Rahim al-Talahi ; Abd Al-Rahim Al Tahli ; Abd al-Rahim al-Talhi ; Abdulrahim Al Tahi ; Abdulrahim al-Talji ; Abd-Al-Rahim al Talji ; Abdul Rahim ; Abu Al Bara a Al Naji ; Shuwayb Junayd ; Abdul Rahim Hammad Ahmad Al-Talhi)* ; 08.12.1961 г.р., Al-Shefa, Al-Taif, Saudi Arabia.
33. ABDUL RAHMAN AGHA* ; 1958 г.р., Arghandab district, Kandahar province, Afghanistan.
34. ABDUL RAHMAN AHMAD HOTTAK (Hottak Sahib)* ; 1957 г.р., Ghazni province, Afghanistan.
35. ABDUL RAHMAN YASIN (Taha Abdul Rahman S. ; Taher Abdul Rahman S. ; Yasin Abdul Rahman Said ; Yasin Aboud)* ; 10.04.1960 г.р., Bloomington, Indiana, United States of America.
36. ABDUL RAHMAN ZAHED (Abdul Rehman Zahid)* ; Logar province, Kharwar district, Afghanistan ; Between 1963 and 1968.
37. ABDUL RAQIB TAKHARI* ; Takhar province, Afghanistan ; DOB : Between 1968 and 1973.
38. ABDUL RAUF KHADEM* ; Uruzgan/Kandahar, Afghanistan. Примерный г.р. 1958-1963.
39. ABDUL RAZAQ* ; 1958 г.р., Arghandab district, Kandahar province, Afghanistan.
40. ABDUL RAZAQ AKHUND LALA AKHUND* ; 1958 г.р., Spin Boldak District, Kandahar province, Afghanistan, in the area bordering Chaman district, Quetta, Pakistan.
41. ABDUL SALAM HANAFI ALI MARDAN QUL (Abdussalam Hanifi ; Hanafi Saheb)* ; 1968 г.р., Darzab district, Faryab district, Afghanistan. Примерный г.р. 1968.
42. ABDUL SALAM ZAEEF (Abdussalam Zaeef)* ; 1968 г.р., Kandahar, Afghanistan.
43. ABDUL SAMAD KHAKSAR* ; Kandahar, Afghanistan DOB : Between 1958 and 1963.
44. ABDUL SATAR PAKTIN (Abdul Sattar Paktis)* ; Paktia, Afghanistan.
45. ABDUL WAHAB* ; 1973 г.р., Faryab province, Afghanistan.
46. ABDUL WAHED SHAFIQ* ; 1968 г.р., Ningarhar province, Afghanistan. DOB : Approximately 1968.
47. ABDUL WASAY MU’TASIM AGHA (Mustasim Aga Jan ; Agha Jan ; Abdul Wasay Agha Jan Motasem)* ; 1968 г.р., Kandahar city, Afghanistan ; DOB : Approximately 1968.
48. ABDUL-HAQ WASSIQ (Abdul-Haq Wasseq)* ; 1975 г.р., Central Ghazni province, Afghanistan ; DOB : Approximately 1975.
49. ABDULHAI MOTMAEN* ; Zabul province, Afghanistan. Примерный г.р. 1973.
50. ABDULHAI SALEK*.
51. ABDULLAH AHMED ABDULLAH EL ALFI (Abu Mariam ; Al-Masri Abu Mohamed ; Saleh)* ; 06.06.1963 г.р., Gharbia, Egypt.
52. ABDULLAH ANSHORI (Abu Fatih ; Thoyib Ibnu ; Toyib Ibnu ; Abu Fathi)* ; 1958 г.р., Pacitan, East Java, Indonesia.
53. ABDULLAH HAMAD* ; 1972 г.р., Helmand, Afghanistan.
54. ABDULLAHI HUSSEIN KAHIE*.
55. ABID HAMMADOU (Abdelhamid Abou Zeid ; Youcef Adel ; Abou Abdellah)* ; 12.12.1965 г.р., Touggourt, Wilaya (province) of Ouargla, Algeria.
56. ABU BAKAR BA’ASYIR (Baasyir Abu Bakar ; Bashir Abu Bakar ; Abdus Samad ; Abdus Somad)* ; 17.08.1938 г.р., Jombang, East Java, Indonesia.
57. ABU BAKR AL-JAZIRI (Yasir Al-Jazari)*.
58. ABU RUSDAN (Abu Thoriq ; Rusdjan ; Rusjan ; Rusydan ; Thoriquddin ; Thoriquiddin ; Thoriquidin ; Toriquddin)* ; 16.08.1960 г.р., Kudus, Central Java, Indonesia.
59. ABU SUFIAN AL-SALAMABI MUHAMMED AHMED ABD AL-RAZZIQ (Abousofian Abdelrazek ; Abousofian Salman Abdelrazik ; Abousofian Abdelrazik ; Abousofiane Abdelrazik ; Sofian Abdelrazik ; Abou El Layth ; Aboulail ; Abu Juiriah ; Abu Sufian ; Abulail ; Djolaiba the Sudanese ; Jolaiba ; Ould El Sayeigh ; Abu Sufian Abd Al Razeq)* ; 06.08.1962 г.р., Al-Bawgah (Albaouga), Sudan.
60. ADEL ABDUL JALIL IBRAHIM BATTERJEE (Adil Al-Battarjee ; Adel Batterjee ; Adil Abd al Jalil Batarji ; Adel AbdulJaleel I. Batterjee)* ; 01.07.1946 г.р., Jeddah, Saudi Arabia. DOB : 01.06.1946.
61. ADEL BEN AL-AZHAR BEN YOUSSEF BEN SOLTANE (Zakariya)* ; 14.07.1970 г.р., Tunis, Tunisia.
62. ADEM YILMAZ (Talha)* ; 04.11.1978 г.р., Bayburt, Turkey.
63. ADIL MUHAMMAD MAHMUD ABD AL-KHALIQ (Adel Mohamed Mahmoud Abdul Khaliq ; Adel Mohamed Mahmood Abdul Khaled)* ; 02.03.1984 г.р., Bahrain.
64. AGHA JAN ALIZAI (Haji Agha Jan Alizai ; Hajji Agha Jan ; Agha Jan Alazai ; Haji Loi Lala ; Loi Agha)* ; 15.10.1963 г.р., Hitemchai Village, Helmand Province, Afghanistan.
65. AGUS DWIKARNA* ; 11.08.1964 г.р., Makassar, South Sulawesi, Indonesia.
66. AHMAD JAN AKHUNDZADA SHUKOOR AKHUNDZADA (Ahmad Jan Akhunzada ; Ahmad Jan Akhund Zada)* ; Uruzgan province, Afghanistan.
67. AHMAD ZERFAOUI (Abdullah ; Abdalla ; Smail ; Abu Khaoula ; Abu Cholder ; Nuhr)* ; 15.07.1963 г.р., Chrea, Algeria.
68. AHMADULLAH (Ahmadulla)* ; 1975 г.р., Qarabah district, Ghazni province, Afghanistan. DOB : Approximately 1975.
69. AHMED ABDI AW-MOHAMED (Abu Zubeyr, Muktar Abdirahman ; Abuzubair, Muktar Abdulrahim ; Aw Mohammed, Ahmed Abdi ; Aw-Mohamud, Ahmed Abdi ; Godane ; Godani ; Mukhtar, Shaykh ; Zubeyr, Abu)* ; 10.07.1977 г.р., Hargeysa, Somalia.
70. AHMED DEGHDEGH (Abd El Illah)* ; 17.01.1967 г.р., Anser, Wilaya (province) of Jijel, Algeria.
71. AHMED EL BOUHALI (Abu Katada)* ; 31.05.1963 г.р., Sidi Kacem, Morocco (31.05.1963 г.р., Sidi Kacem, Morocco).
72. AHMED HOSNI RARRBO (Rarrbo Abdallah ; Rarrbo Abdullah ; Rarrbo Ahmed Hosni)* ; 12.09.1974 г.р., Bologhine, Algeria (12.09.1974 г.р., France).
73. AHMED JAN AKHUND* ; Kandahar province, Afghanistan. Примерный г.р. 1953-1958.
74. AHMED KHALFAN GHAILANI (Ahmad Abu Bakr ; Ahmed Abubakar ; Ahmed Abubakar K. ; Ahmed Abubakar Khalfan ; Ahmed Abubakary K. ; Ahmed Ahmed Khalfan ; Ghailani Abubakary Khalfan Ahmed ; Ghailani Ahmed ; Ghilani Ahmad Khalafan ; Hussein Mahafudh Abubakar Ahmed Abdallah ; Khalfan Ahmed ; Mohammed Shariff Omar ; Ahmed The Tanzanian ; Foopie ; Fupi ; Ahmed A ; Al Tanzani Ahmad ; Bakr Abu ; Khabar Abu ; Ali Ahmed Khalfan ; Haytham al-Kini)* ; 14.03.1974 г.р., Zanzibar, Tanzania. Возможно г.р. : 13.04.1974, 14.04.1974, 01.08.1970.
75. AHMED MOHAMMED HAMED ALI (Abdurehman Ahmed Mohammed ; Ahmed Hamed ; Ali Ahmed Mohammed ; Ali Hamed ; Hemed Ahmed ; Shieb Ahmed ; Abu Fatima ; Abu Islam ; Abu Khadiijah ; Ahmed The Egyptian ; Ahmed Ahmed ; Al-Masri Ahmad ; Al-Surir Abu Islam ; Shuaib)* ; 13.01.1967 г.р., Badari, Asyout, Egypt.
76. AIMAN MUHAMMED RABI AL-ZAWAHIRI (Ayman Al-Zawahari ; Ahmed Fuad Salim ; Al Zawahry Aiman Mohamed Rabi Abdel Muaz ; Al Zawahiri Ayman ; Abdul Qader Abdul Aziz Abdul Moez Al Doctor ; Al Zawahry Aiman Mohamed Rabi ; Al Zawahry Aiman Mohamed Rabie ; Al Zawahry Aiman Mohamed Robi ; Dhawahri Ayman ; Eddaouahiri Ayman ; Nur Al Deen Abu Mohammed ; Abu Fatma ; Abu Mohammed ; Ayman Al Zawahari ; Ahmad Fuad Salim)* ; 19.06.1951 г.р., Giza, Egypt.
77. AKHTAR MOHAMMAD MANSOUR SHAH MOHAMMED (Akhtar Mohammad Mansour Khan Muhammad ; Akhtar Muhammad Mansoor ; Akhtar Mohammad Mansoor)* ; 1960 г.р., Kandahar, Afghanistan ; Kalanko Joftian, Zurmat district, Paktia province, Afghanistan.
78. AKHTAR MOHAMMAD MAZ-HARI* ; 1970 г.р., Kunduz, Afghanistan.
79. AKRAM TURKI HISHAN AL-MAZIDIH (Akram Turki Al-Hishan ; Abu Jarrah ; Abu Akram)* ; 1974 г.р., DOB : a) 1974 b) 1975.
80. AL SAYYID AHMED FATHI HUSSEIN ELIWAH (Al Sayyid Ahmed Fathi Hussein Eliwa ; Al Sayyid Ahmed Fathi Hussein Alaiwah ; Al Sayyid Ahmed Fathi Hussein Elaiwa ; Al Sayyid Ahmed Fathi Hussein Elewah ; Al Sayyid Ahmed Fathi Hussein Alaywah ; El Sayed Ahmad Fathi Hussein Elaiwa ; Hatim ; Hisham ; Abu Umar)* ; 30.07.1964 г.р., Suez ; Alexandria, Egypt. Возможно 30.01.1964г.р.
81. AL-AZHAR BEN KHALIFA BEN AHMED ROUINE (Salmane ; Lazhar)* ; 20.11.1975 г.р., Sfax, Tunisia.
82. AL-AZHAR BEN MOHAMMED BEN EL-ABED AL-TLILI (Lazar Ben Mohammed Tlili)* ; 26.03.1969 г.р., Feriana, Al-Kasrain, Tunisia.
83. AL-MOKHTAR BEN MOHAMED BEN AL-MOKHTAR BOUCHOUCHA (Bushusha Mokhtar)* ; 13.10.1969 г.р., Tunis, Tunisia.
84. ALI ABBAS ABDI*.
85. ALI AHMED NUR JIM’ALE (Ahmed Ali Jimale ; Ahmad Nur Ali Jim’ale ; Ahmed Nur Jumale ; Ahmed Ali Jumali ; Ahmed Ali Jumale ; Sheikh Ahmed Jimale)* ; 1954 г.р., Eilbur, Somalia.
86. ALI GHALEB HIMMAT* ; 16.06.1938 г.р., Damascus, Syrian Arab Republic.
87. ALI MOHAMED EL HEIT (Kamel Mohamed ; Alм Di Roma ; Kamel Mohamed ; Ali Il Barbuto)* ; 20.03.1970 г.р., Rouiba, Algeria (30.01.1971 г. ; 20.03.1970 г.р., Algeria).
88. ALI SAYYID MUHAMED MUSTAFA BAKRI (Ali Salim ; Abd Al-Aziz ; Al-Masri)* ; 18.04.1966 г.р., Beni- Suef.
89. ALLAH DAD TAYEB WALI MUHAMMAD (Allah Dad Tayyab ; Allah Dad Tabeeb)* ; 1963 г.р., Kandahar city, Afghanistan ; DOB : Approximately 1963.
90. ALLAHDAD (Akhund)* ; 1953 г.р., Spinboldak district, Kandahar province, Afghanistan. Примерный г.р. 1953.
91. ALY SOLIMAN MASSOUD ABDUL SAYED (Ibn El Qaim ; Mohamed Osman ; adam)* ; 1969 г.р., Tripoli, Libyan Arab Jamahiriya.
92. AMIN MUHAMMAD UL HAQ SAAM KHAN (Al-Haq Amin ; Amin Muhammad ; Dr. Amin ; Ul-Haq Dr. Amin)* ; 1960 г.р., Nangarhar Province, Afghanistan.
93. AMINULLAH AMIN*.
94. AMIR ABDULLAH (Amir Abdullah Sahib)* ; 1972 г.р., Paktika Province, Afghanistan.
95. AMIR KHAN MOTAQI (Amir Khan Muttaqi)* ; Helmand province, Afghanistan. Примерный г.р. 1968.
96. AMRAN MANSOR (Henry)* ; 25.05.1964 г.р., Johor, Malaysia.
97. ANGELO RAMIREZ TRINIDAD (Calib Trinidad ; Kalib Trinidad ; Abdul Khalil ; Abdukahlil ; Abu Khalil ; Anis)* ; 20.03.1978 г.р., Gattaran, Cagayan Province, Philippines.
98. ANWAR NASSER ABDULLA AL-AULAQI (Anwar al-Aulaqi ; Anwar al-Awlaki ; Anwar al-Awlaqi ; Anwar Nasser Aulaqi ; Anwar Nasser Abdullah Aulaqi ; Anwar Nasser Abdulla Aulaqi)* ; 21.04.1971 г.р., Las Cruces, New Mexico, United States of America. DOB : 22 Apr. 1971.
99. AQEEL ABDULAZIZ AQEEL AL-AQEEL (Aqeel Abdulaziz Al-Aqil ; Ageel Abdulaziz A. Alageel)* ; 29.04.1949 г.р., Unaizah, Saudi Arabia.
100. AREFULLAH AREF* ; 1958 г.р., Zurmat district, Paktia province, Afghanistan. Примерный г.р. 1958.
101. ARIF QASMANI (Muhammad Arif Qasmani ; Muhammad ’Arif Qasmani ; Mohammad Arif Qasmani ; Arif Umer ; Qasmani Baba ; Memon Baba ; Baba Ji)* ; 1944 г.р., Pakistan DOB : Approximately 1944.
102. ARIS MUNANDAR* ; 01.01.1971 г.р., Sambi, Boyolali, Java, Indonesia. Дата рождения между 1962 и 1968 годами.
103. ARSALAN RAHMANI MOHAMMAD DAULAT (Arsala Rahmani)* ; 1941 г.р., Khaleqdad village, Urgon district, Paktika province, Afghanistan.
104. ASCHRAF AL-DAGMA (Aschraf Al-Dagma ; Aschraf Al Dagma ; Aschraf Al Dagma ; Aschraf Al Dagma)* ; 28.04.1969 г.р., Absan, Gaza Strip, Palestinian Territories (28.04.1969 г.р., Kannyouiz, Palestinian Territories ; 28.04.1969 г.р., Gaza Strip, Palestinian Territories ; 28.04.1969 г.р., Palestinian Territories ; 28.04.1969 г.р., Abasan, Gaza Strip).
105. ATA ABDOULAZIZ RASHID (Ata Abdoul Aziz Barzingy ; Abdoulaziz Ata Rashid)* ; 01.12.1973 г.р., Sulaimaniya, Iraq (01.12.1973 г.р.).
106. ATILLA SELEK (Muaz)* ; 28.02.1985 г.р., Ulm, Germany.
107. ATIQULLAH*.
108. ATTIQULLAH AKHUND* ; 1953 г.р., Shawali Kott district, Kandahar, Afghanistan.
109. AWEYS DAHIR UBEIDULLAHI*.
110. AZIZIRAHMAN*.
111. BADRUDDIN HAQQANI* ; Approximately 1975-1979.
112. BASHIR MOHAMED MAHAMOUD (Bashir Mohamed Mahmoud ; Bashir Mahmud Mohammed ; Bashir Mohamed Mohamud ; Bashir Mohamed Mohamoud ; Bashir Yare ; Bashir Qorgab ; Gure Gap ; Abu Muscab ; Qorgab)* ; 1982 г.р., DOB : Circa 1979-1982.
113. BEKKAY HARRACH (Abu Talha al Maghrabi ; al Hafidh Abu Talha der Deutsche (« the German »)* ; 04.09.1977 г.р., Berkane, Morocco…
Suite et sources:

04/07/2011

Le magazine féminin d’Al-Qaïda…

Fièrement halal… Les « zheurtés » vont encore brailler. Laissons les faire…

FDF

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27/06/2011

Sauvons-nous vite d’Afghanistan !

Il est temps de se sauver de ce pays où des malades mentaux en sont maintenant à commettre des attentats contre des hôpitaux. Plus aucun respect, plus rien. Les Russes se sont cassé la g….. en Afghanistan. Ils sont partis et ils ont bien fait. Obama ami du temps à comprendre, et Sarkö, il obéi aux ordres. A quelques mois des présidentielles, ça fait du bien d’annoncer un retrait de nos troupes qui se font massacrer là-bas…

FDF

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Le ministre afghan de la santé a révisé le chiffre de 60 morts annoncé précédemment samedi après l’attentat suicide à la voiture piégée contre un hôpital de la province de Logar, au sud de Kaboul. Son dernier bilan fait état de vingt morts. Il pourrait s’alourdir.

« Les victimes sont toutes des patients, leurs proches, des visiteurs et du personnel de l’hôpital« , a précisé un responsable de la province concernée. Certains des 25 blessés annoncés sont dans un état critique, ont indiqué les autorités. Il y a des femmes et des enfants parmi les victimes, ont affirmé plusieurs sources.

Le ministère afghan de l’Intérieur a également indiqué que ce bilan pourrait encore s’alourdir. Dans la confusion, un premier bilan émis par le ministère de la Santé faisait état d’environ 60 morts.

L’attentat, commis avec un véhicule 4×4 chargé d’explosifs de forte puissance, visait un hôpital à 75 km de Kaboul. Le bâtiment a été détruit. Un témoin a indiqué avoir vu des victimes transformées en torche vivantes et des morceaux de corps humains projetés dans toutes les directions.

Un porte-parole des talibans, Zabihoullah Moudjahid, a écarté toute responsabilité. Il a précisé que les talibans n’attaquaient jamais les hôpitaux.

Mise en garde de M. Karzaï

Le terrorisme « s’étend et menace plus que jamais l’Afghanistan et sa région », avait plus tôt dans la journée estimé le président afghan Hamid Karzaï lors d’une conférence internationale sur le terrorisme réunissant samedi plusieurs chefs d’Etat à Téhéran.

Le président afghan a fait ce constat devant ses homologues iranien, pakistanais et irakien. Son discours a été retransmis à la télévision.

« La paix, la stabilité de nos pays, leur existence et leur intégrité sont réellement menacées », a averti M. Karzaï en affirmant que « tous les pays de la région doivent combattre le terrorisme ».

Les attentats sont presque devenus quotidiens en Afghanistan en dépit de dix années de présence militaire occidentale. Les Etats-Unis ont annoncé cette semaine le retrait d’un tiers de leurs militaires dans le pays d’ici 2012.

Source: http://www.romandie.com/

14/05/2011

« Les terroristes sont des êtres humains »… Ah bon ?

Première nouvelle.

J’ai déniché l’article qui suit qui m’a fait bondir: il ne fallait pas tuer Ben Laden… Mais combien d’êtres humains (femmes et enfants compris) Ben Laden a t’il fait tuer? Pourquoi laisser en vie un terroriste pour qui tuer est un but? Le « droit pénal », Ben Laden n’en n’avait rien à faire lorsqu’il organisait ses attentats meurtriers.

FDF

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Les terroristes ne sont pas sans droit(s)

Les terroristes sont des êtres humains, Oussama Ben Laden ne fait pas exception ici. En tant que tels, ils sont titulaires des droits de l’homme, y compris le droit à la vie, le droit d’être traité avec humanité et le droit à un procès pénal équitable. Les droits de l’homme fondamentaux restent valables même dans un état d’urgence. En temps de paix, le droit à la vie n’est suspendu que d’une manière exceptionnelle, en particulier dans les cas de légitime défense. S’il s’avère exact que Ben Laden était désarmé et s’il a été tué d’une manière ciblée, alors la légitime défense peut être exclue car elle doit être la réponse nécessaire à une agression immédiate et illégale à l’encontre des soldats des forces spéciales entrés en action. La supposition erronée d’une situation de légitime défense est une autre excuse possible même si l’acte homicide reste alors objectivement illégal. À la différence de ce que le président américain semble estimer, la « liquidation » de  Ben Laden dessert ainsi la justice et non pas le contraire.

Un Etat de droit se doit de traiter même ses ennemis avec humanité. Il arrête les terroristes afin de les déférer à la justice. A l’image de ce que l’Allemagne a fait avec la RAF (Fraction armée rouge) et fait aujourd’hui avec les membres d’Al-Qaïda. Si la culpabilité des personnes en question est constatée par un tribunal impartial, des condamnations à des peines fermes, allant jusqu’à la peine de mort aux États-Unis, peuvent en résulter. Une liquidation sans action en justice s’apparente à une exécution extralégale chose pour laquelle des États de non-droit sont dénoncés régulièrement devant les organismes de droits de l’homme.

Il est vrai qu’en temps de guerre, lors d’un « conflit armé » au sens du droit international humanitaire, la situation juridique se présente quelque peu différemment. Ainsi, des « liquidations » sont admises, pour autant que les cibles participent directement aux hostilités et ce pendant la durée de cette participation. Dans un conflit international l’interdiction de tuer est abrogée par rapport aux combattants et dans un conflit non-international par rapport aux combattants de fait. Ceux-ci peuvent même être tués d’une manière ciblée dans certaines circonstances en particulier en tenant compte de la nécessaire proportionnalité des moyens, c’est-à-dire en donnant la préférence aux mesures moins lourdes (arrestation) et en évitant des victimes civiles superflues. Si ceci devait se produire sur un territoire étranger, l’accord de l’État en question serait nécessaire, sans quoi il s’agirait d’une atteinte à sa souveraineté en violation du droit international. Contrairement à ce qu’on entend parfois actuellement, les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU au sujet de la lutte contre le terrorisme international et contre Al-Qaïda en particulier (résolution 1267 de 1999 ainsi que résolution 1974 de 2011), n’autorisent ni des opérations sur un territoire étranger ni des arrestations, voire des liquidations de terroristes quelconques. Seule l’obligation classique d’extrader ou de juger (aut dedere aut judicare) des suspects terroristes peut être déduite de ces textes.

Dans le cas d’espèce, la licéité d’une liquidation ciblée ne peut d’ores et déjà être admise car les États-Unis – contrairement à la rhétorique trompeuse de la « guerre contre le terrorisme » – ne se trouvent pas dans un conflit armé avec Al-Qaïda. Un réseau terroriste ayant des structures souples et organisé de manière décentralisée ne remplit pas la condition de « partie au conflit » au sens du droit international humanitaire. Il lui manque pour ce faire une structure de commandement militaire centralisée et hiérarchique ainsi que le contrôle d’une certaine partie d’un territoire. Si l’on devait malgré cela proclamer un conflit armé mondial contre Al-Qaida, le monde entier deviendrait alors un champ de bataille ; la conception classique d’un conflit armé limité à un différend militaire sur un territoire national bien déterminé serait étendue à l’infini.

Nul ne doute que des franchissements de frontières lors d’un conflit armé puissent être fréquents, en particulier dans le cadre du repli d’une partie au conflit sur le territoire d’un pays voisin (ainsi les Talibans afghans se replient-ils fréquemment au Pakistan voisin). Mais cette expansion territoriale reste étroitement liée au conflit initial et ne transforme pas le monde entier en champ de bataille, une transformation aux conséquences imprévisibles pour les suspects de terrorisme identifiés comme cibles militaires. Une telle lutte mondiale porterait en outre la guerre dans tous les pays dans lesquels des « terroristes » sont présents, même si l’État belligérant n’est pas en état de guerre avec ces mêmes pays. En fin de compte et même si on devait admettre l’existence d’un conflit armé entre les États-Unis et Al-Qaïda, seuls ceux qui participent directement aux hostilités peuvent être les cibles d’une attaque militaire. Pour cela, il leur faudrait mener ou au moins planifier eux-mêmes d’une manière déterminante des opérations militaires et exercer une fonction continue de combattant ; cette condition ne paraît pas remplie dans le cas de Ben Laden, étant donné que, selon l’opinion majoritaire, il n’était plus que le dirigeant moral d’Al-Qaïda, sans influence aucune sur les opérations militaires concrètes.

Au-delà de ces questions juridiques complexes qui ne font en aucun cas l’unanimité, une autre question bien plus fondamentale se pose : l’Occident veut-il refuser tout droit à la vie et tous les droits de l’homme à ses ennemis terroristes et ainsi les qualifier de cible militaire sans protection aucune ? Poser la question équivaut à répondre par la négative. La supériorité morale et politique d’une société libre et démocratique se traduit tout d’abord par le fait de réserver un traitement juste à ses ennemis, reconnus comme des individus jouissants de droits et non par l’annulation de ceux-ci. On ne mène pas une « guerre » contre des terroristes mais on les combat à l’aide des moyens du droit pénal d’un Etat de droit. C’est l’unique moyen de rendre service à la justice et du seul fondement d’une réelle victoire sur l’injustice terroriste.

Kai Ambos, professeur de droit pénal à la Georg-August-Universität Göttingen

Source: http://www.lemonde.fr/

13/05/2011

Algérie: des pratiquants salafistes s’intronisent animateurs de halaqate au profit des jeunes «désœuvrés».

Attention DANGER ! Car des « jeunes désoeuvrés », il y en a plein, en France, aussi… Et beaucoup sont Algériens de coeur, avant tout.

FDF

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Le grand retour des halaqate

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A coup de fetwas et de rappels à l’ordre : depuis quelque temps, un peu partout dans les quartiers d’Alger, notamment dans les marchés informels ou à la sortie des mosquées, des pratiquants salafistes s’intronisent animateurs de halaqate au profit des jeunes «désœuvrés». El Watan Week-end a pu se faire inviter dans une de ces rencontres que le pouvoir surveille de près.

«Nous ne faisons rien dans la clandestinité. Il s’agit de la pratique de notre religion et il est de l’obligation de chaque musulman de propager l’Islam et ses préceptes, et de rappeler les musulmans à la foi d’Allah», annonce d’emblée akh (frère) Moussa*, animateur de halaqa dans la banlieue est d’Alger. Si les halaqate, sorte de cours cycliques et thématiques – les théologiens considèrent que c’est un «rappel» – traitant des préceptes de l’Islam sont fortement recommandées par les oulémas, elles inquiètent toutefois plusieurs spécialistes. Car par une pratique biaisée à huis clos, ces rencontres présentent un risque d’endoctrinement et de déviation des lois de la charia qui mènerait à «la radicalisation des idées et au ralliement de certains groupes islamistes extrémistes», selon les termes d’un spécialiste de la lutte antiterroriste. «Sans pour autant stigmatiser ces groupes – car il y en a qui le font de bonne foi –, la surveillance est de rigueur», tranche-t-il.

Selon certains animateurs, la raison du retour des halaqate serait liée à la levée récente de l’état d’urgence. «Aujourd’hui, nous ne craignons plus les interpellations, car avant, nous étions assimilés aux terroristes et on pouvait facilement être interpellés et jugés pour apologie du terrorisme ou de soutien aux terroristes», poursuit notre interlocuteur. Pour d’autres, ce succès correspond à un repositionnement en vue de la réappropriation du champ politique. «Nous avons reçu des garanties du ministère de l’Intérieur quant à l’agrément de notre parti (ex-FIS) mais sous une autre appellation. Ce qui explique ce soutien sans condition des milieux islamistes au président de la République : sur toutes les lèvres, revient ainsi “Rebbi ykhalina Bouteflika“».

Machination ?

Même si la semaine dernière, le ministre de l’Intérieur, Daho Ould Kablia, a exclu cette éventualité. Selon le quotidien Le Soir d’Algérie, le président Bouteflika aurait signifié clairement que le FIS relève de l’histoire ancienne et qu’aucun parti de mouvance islamique ne sera agréé sous aucune forme. Pour d’autres sources, ce retour n’est qu’une machination du pouvoir : une carte que l’on pourrait brandir pour étouffer toute réclamation de changement. Les halaqate que les Algériens avaient connues à la fin des années 1980 étaient l’essence même de l’ex-FIS, le principal pourvoyeur de fidèles et de sympathisants. A l’instauration de l’état d’urgence, les mosquées ont été placées sous haute surveillance, notamment celles dites salafistes. Les portes des mosquées n’étaient ouvertes que pour la prière et tout rassemblement à l’intérieur était formellement prohibé…

…Suite et source: http://www.elwatan.com/weekend/contrechamps/le-grand-retour-des-halaqate-13-05-2011-124223_184.php

02/05/2011

Trois membres d’Al-Quaïda arrêtés en Allemagne…

Mais il en reste combien??? La pieuvre Al Quaïda a été décapitée, selon Obama; mais restent les tentacules…

FDF

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 Le Parquet fédéral allemand a annoncé l’arrestation vendredi matin de trois membres présumés d’Al-Qaïda, qui représentaient un danger imminent, selon le ministre de l’Intérieur.

Dans son communiqué, le Parquet, dont le siège est à Karlsruhe (sud-ouest), n’a fourni aucune précision sur les suspects ni sur les circonstances de leur arrestation dans son communiqué, renvoyant à la tenue d’une conférence de presse samedi à 09H00 GMT.

Le ministre allemand de l’Intérieur, Hans-Peter Friedrich, a affirmé que cette arrestation avait permis d’écarter un danger imminent et concret.

Mais il convient de rester vigilant, a ajouté le ministre, cité par le porte-parole gouvernemental Steffen Seibert, sur le site de micro-blogging Twitter.

Le quotidien Die Welt affirme, dans son édition à parue samedi, que ce groupe préparait un attentat dans les transports en commun publics d’une grande ville allemande, citant un enquêteur, tout en précisant que la cible exacte n’avait pas encore été choisie.

Le journal Bild, qui cite des sources au sein des services de sécurité, affirme qu’il s’agit de trois jeunes Marocains de Rhénanie du Nord-Westphalie, la grande région industrielle de l’ouest du pays, qui préparaient vraisemblablement des attentats en Allemagne.

Une grande quantité d’explosifs, dont de l’acétone, a aussi été saisie, selon le quotidien à grand tirage.

Le journal régional Rheinische Post précise que les suspects, sous surveillance discrète des services de sécurité depuis l’automne dernier, avaient déjà effectué des essais avec ces explosifs, selon des sources proches de l’enquête.

Bild écrit que la police criminelle (BKA) a trouvé la trace de ces suspects en surveillant des ordinateurs et des téléphones portables, alors que le Rheinische Post affirme que ce sont des commandes de produits chimiques dans des pharmacies qui ont attiré l’attention des policiers.

Les trois personnes arrêtées doivent être présentées à un juge samedi, ajoute le communiqué du Parquet.

Selon Bild, deux d’entre elles ont été interpellés dans la nuit de jeudi à vendredi à Düsseldorf (ouest), la troisième à Bochum, dans l’ancien bassin minier de la Ruhr. Ces trois hommes ont été identifiés comme étant Abdeladim K. et Jamil S., originaires de Düsseldorf, et Ahmed Sh. de Bochum.

En septembre 2007, trois hommes, dont deux convertis à l’islam, avaient été arrêtés alors qu’ils préparaient des attentats anti-américains dans la région du Sauerland, dans l’ouest de l’Allemagne. Ils étaient en possession de 410 kg d’explosifs et rêvaient d’un deuxième 11-Septembre, selon la justice.

Les trois hommes, ainsi qu’un complice arrêté en Turquie, ont été condamnés l’an dernier à des peines allant de 5 ans à 12 ans de prison pour complot visant à commettre des attentats en Allemagne.

Source: AFP

15/04/2011

Deux « Français » arrêtés au Pakistan.

Les bienfaits de la diversité, l’immigration, les chances pour la France, etc… Deux « Français »… Ils se nomment Zoaib et Sharaf… Belle publicité pour les VRAIS Français!

FDF

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Deux « Français » soupçonnés d’appartenir à un groupe terroriste international ont été arrêtés par les services de sécurité pakistanais il y a plusieurs semaines au Pakistan, a-t-on appris aujourd’hui de sources française et pakistanaises. Les deux hommes, prénommés Zoaib et Sharaf, ont entre 19 et 22 ans et seraient originaires de la région parisienne. « Ils sont de nationalité française » indiquent des responsables des services de renseignements pakistanais, sous couvert de l’anonymat.

Les autorités ont fait état de leurs liens avec un haut responsable présumé d’Al-Qaïda, Umar Patek, qui serait impliqué dans l’attentat à la bombe contre une discothèque en 2002 à Bali, a annoncé un haut responsable français de la sécurité.

D’après un responsable des services de renseignements pakistanais, les militants français -dont l’un a des liens familiaux au Pakistan- ont été arrêtés dans le cadre de l’enquête consécutive à l’arrestation, le 25 janvier, de Patek.

Selon ce responsable pakistanais, les deux suspects « français » avaient l’intention de se rendre avec Umar Patek dans la région du Nord-Waziristan, au Pakistan, où est basé le haut commandement d’Al-Qaïda. Les sources pakistanaise précisent que l’appartenance des deux hommes au groupe de Patek ne signifie en aucun cas qu’ils soient impliqués dans les attaques de Bali, surtout au vu de leur âge.

Un responsable français du contre-terrorisme, s’exprimant sous couvert de l’anonymat, a confirmé ces arrestations.

L’ambassade de France a transmis aux autorités pakistanaises une demande de visite consulaire des deux détenus, a déclaré un responsable de l’ambassade de France à Islamabad.

Source: http://www.lefigaro.fr/

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17/03/2011

Libération d’un membre d’Al-Quaïda…

Il faut reconnaître que dans le domaine de la libération des prisonniers terroristes, les américains sont rodés…

FDF

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Lire:La_liberation_d’un_membre_d’Al_Qaida

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PS: si on ne peut plus rigoler…

26/02/2011

Intox? Le retour d’Action Directe…

Les nouveaux « nettoyeurs » sont là? Le NPA n »est plus crédible, c’est vrai, question anarchie et révolution. Le « facteur » part en vrille (voir son affiche débile de soutien à la révolution en Tunisie que j’ai publiée ici-même récemment).

Bref. Plus c’est gros, plus ça passe. Je suis tout de même sceptique… Et si c’était un coup du « facteur masqué »? Allez savoir…

FDF

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« La section antiterroriste de la brigade criminelle de Paris a été saisie après l’envoi de courriers annonçant la réactivation du groupe terroriste d’extrême gauche. Ce tract a fait l’effet d’une bombe dans les commissariats des Hauts-de-Seine :

«À la mémoire de Jean-Marc Rouillan, Nathalie Ménigon et Joëlle Aubron. Réactivation du mouvement anarchiste. À bas la dictature capitaliste. La victoire et la liberté sont pour demain. Nous donnerons les shérifs modernes aux vermines. Vos heures sont comptées. Nous commencerons l’extermination par le 92.»

Ces lettres sont parvenues aux commissariats de Sèvres, Clichy-la-Garenne et Vanves, ainsi qu’aux postes de police de Chaville, Malakoff et du Plessis-Robinson. »

Source: http://lesalonbeige.blogs.com/

19/02/2011

Vidéo sur le financement halal…

A ne pas manquer de visionner. Les « pro-halal » vont devenir fous… Et ce n’est pourtant que la triste réalité…

FDF

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Ici:

07/02/2011

Al Quaïda recrute des « français » et les forme au djihad !!

Ils ont promis de s’en prendre à la France. Ce qui est terrible est que « EUX », ils tiennent leurs promesses…

FDF

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14 Français s’entraînent dans les camps d’al-Qaida

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Selon le contre-espionnage, une centaine d’Européens, dont quatorze Français, entraînés dans les camps djihadistes, pourraient passer à l’action.

Al-Qaida radicalise ses menaces contre la France et n’a jamais tant recruté de «combattants», notamment européens, en vue de mener de prochaines frappes terroristes. Au lendemain du soulèvement en Tunisie et alors que les manifestations se multiplient en Égypte, le contre-espionnage français est plus que jamais en alerte maximale. Quatre notes «blanches» émanant de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), que Le Figaro s’est procurées, en attestent.

Se fondant sur des «éléments recueillis présentement par les services français sur les différents acteurs terroristes de la zone pakistano-afghane», considérée comme «la première pourvoyeuse de menaces susceptible de viser le territoire européen», l’un des documents confidentiels révèle que «la région continue d’attirer les volontaires au combat armé, notamment européens. Ceux-ci sont passés, en moins de trois ans, de quelques cas isolés à plus d’une centaine d’individus.»

Selon cette note de la DCRI, «la présence de 14 Français a été signalée en 2010 dans cette zone». «Plusieurs de ces combattants ont désormais acquis une expérience et une légitimité qui leur permettent de rallier autour d’eux de nouveaux arrivants, préviennent les analystes français du contre-espionnage. Ayant vécu en Europe et nourrissant souvent des griefs personnels à l’encontre de leurs pays d’adoption, ces Européens sont susceptibles de s’impliquer dans des actions terroristes.» À en croire ces experts, celles-ci semblent presque inéluctables. En effet, écrivent-ils, «la volonté d’al-Qaida et, désormais, de certains groupes pakistanais, de conduire des attentats en Occident est avérée: depuis 2009, pas moins de quatre projets aux États-Unis et en Norvège, directement liés aux zones tribales pakistanaises ont échoué ou ont été déjoués».

Le péril islamiste est d’autant plus préoccupant que les services de renseignements ont intercepté un inquiétant message d’al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi). Diffusé le 28 janvier par son «organe médiatique» al-Andalous, il appelle les Tunisiens à «remplacer la religion altérée par la religion révélée et la charia» et soutient que ce sont « les croisés qui sont à l’origine de nos problèmes».

«Une cible privilégiée»

Par ailleurs, une des notes remarque que l’organisation terroriste annonce que l’«Amérique, la France et le Maghreb n’accepteront jamais un véritable changement qui ne sert pas leurs intérêts en Tunisie » et que ces régimes «préparent le lancement d’un nouveau laquais qui les satisfera». «Le communiqué vise spécifiquement la France, accusée “d’avoir soutenu le tyran Ben Ali”», insiste la DCRI. Établissant un parallèle avec la situation en Algérie, Aqmi prévient que les États-Unis et la France «joueront prochainement le même rôle, s’ils n’en sont pas empêchés par les frappes des moudjahidins (…)». «La France et ses ressortissants demeurent une cible privilégiée d’al-Qaida», martèle le contre-espionnage, qui rappelle enfin le message imputé à Ben Laden, qui fustigeait le 21 janvier dernier le non-retrait des troupes françaises en Afghanistan et menaçait de cibler «différents fronts, à l’intérieur et à l’extérieur de la France ».

Divers quotidiens d’Alger, dont al-Watan, rapportaient ce dimanche que les services algériens de sécurité ont démantelé dans le sud-est du pays un réseau d’Aqmi qui projetait des attentats en Europe, notamment en France.

Dans un entretien au Figaro, le préfet Bernard Squarcini, directeur de la DCRI, révélait en juin dernier que deux attentats sont déjoués chaque année sur le sol français. «Nous pêchons à la fois de ­manière intense au chalut pour débusquer les filières djihadistes qui partent en Afghanistan, par exemple, mais aussi au ­harpon, en ciblant des individus fanatisés mais isolés, confiait-il. Notre mission est de les repérer et de les «purger» au plus vite, avant qu’ils ne commettent l’irréparable».


Des prêches plus radicaux dans les mosquées

«La chute du régime du président Ben Ali et la poursuite des manifestations en Égypte ont alimenté des prêches dans plusieurs salles de prières radicales, ces dernières semaines»…

Suite et source: http://tinyurl.com/49zh23j

22/01/2011

« l’islam bafoué par les terroristes »… Nouveau leit-motiv ?

Ils ont (enfin) peur ou bien est-ce encore une manipulation sournoise à laquelle ils nous ont habitués??? Personnellement et connaissant maintenant bien ces gens-là, tout ceci me laisse sceptique… Ne nous laissons pas attendrir. Méfiance…

FDF

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Des musulmans de France condamnent le terrorisme islamique

Une pétition, rassemblant toutes les sensibilités de la communauté musulmane de France, condamne fermement les attentats contre les chrétiens au Moyen-Orient

Voilà une prise de position qui devrait faire date dans l’histoire de l’islam de France. En signant un « appel » commun, initié par le trimestriel Respect magazine, publié mercredi 12 janvier par le quotidien Libération, et intitulé « l’islam bafoué par les terroristes », une centaine de personnalités de la communauté musulmane française ont à la fois répondu à une forte attente, et marqué sans doute une étape dans l’intégration de cette communauté au sein de la République française.

Certes, à plusieurs reprises déjà, des représentants du monde musulman, notamment le CFCM (conseil français du culte musulman), la Mosquée de Paris, et au plan européen, la fédération des organisations islamiques en Europe, avaient publié des condamnations des attentats contre les chrétiens au Moyen-Orient, qu’il s’agisse de ceux perpétrés à Bagdad ou ceux visant les coptes d’Alexandrie le 31 décembre dernier. Mais jamais cela n’avait été fait d’une manière aussi ferme, radicale, et jamais non plus par un collectif rassemblant l’ensemble des sensibilités de la communauté en France.

En effet, l’islam, en tant que tel, n’apparaissait pas jusqu’ici dans les communiqués. Comme pour gommer le fait que les terroristes se réclamaient de cette religion. Cette fois, c’est explicite : le texte parle de ces « atrocités commises “au nom de l’islam” » et rappelle « haut et fort que ces meurtriers ne sont pas de l’islam, et qu’ils ne représentent en rien les musulmans ». Sans complexe donc, le texte s’attaque de front au problème religieux. De même, il parle d’une « usurpation d’identité », au lieu de s’en tenir à la rhétorique utilisée jusqu’ici, consistant à mettre en face des victimes chrétiennes les victimes musulmanes du terrorisme. La pétition ne parle que des « massacres des chrétiens ».

« Société civile musulmane »

Seconde nouveauté, la diversité des signataires. Dans une communau té particulièrement divisée, de par ses origines multiples, le consensus a été trouvé : en bas de l’appel figurent des religieux, de la Mosquée de Paris (Dalil Boubakeur) au CFCM (Mohammed Moussaoui), de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), proche des Frères musulmans (Tareq Oubrou), au soufisme (Khaled Bentounès). Mais la pétition, et c’est sa richesse, est aussi le fait de personnalités issues de la « société civile musulmane », entrepreneurs, journalistes, intellectuels ou hommes politiques. Le panel va donc au-delà des croyants mêmes, pour s’étendre à tous ceux qui se reconnaissent de culture musulmane.

C’est la réponse que nombreux, en France, attendaient. Le député UMP du Tarn Bernard Carayon avait la semaine dernière appelé les Français musulmans à dénoncer les massacres, et à manifester, vendredi 7 janvier, sur le parvis de Notre-Dame. Dans les rangs catholiques aussi, la pression se faisait ressentir.

Et si le P. Christophe Roucou, responsable du service national pour les relations avec l’islam des évêques de France s’est dès mercredi 12 janvier au matin réjoui de la pétition, c’est aussi parce qu’il est conscient que, au sein des catholiques, un sentiment d’hostilité à l’encontre des musulmans est en train de monter, à la suite de ces attentats.

Eviter tout amalgame

Côté musulmans aussi, la demande d’une prise de position commune , pour éviter tout amalgame, s’est imposée. Comme l’explique le rédacteur en chef de Respect magazine, Marc Cheb Sun, il fallait non seulement une condam na tion plus forte, mais aussi plus visible. Depuis quelques jours, aussi, les débats étaient rudes, au sein du Conseil français du culte musulman, pour réunir l’ensemble de la communauté autour d’une initiative forte.

Les signataires de l’appel se désignent eux-mêmes comme des « citoyens » d’un « pays multiconfessionnel ». « C’est aussi l’islam qu’on assassine en commettant ces crimes en son nom », écrivent-ils. Une manière de représenter un autre islam, l’islam de France, décomplexé mais responsable. Cette première manifeste sans aucun doute une certaine maturité de la part de cette toute nouvelle compo sante culturelle et religieuse de la société française.

Source: http://www.la-croix.com/

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