Francaisdefrance's Blog

16/02/2012

Rappel: France – des imams appellent au djihad !!!

Chez nous; sur nos terres; et oui. Mais pourquoi les a t’on laissé entrer? Pourquoi? Quand je vous dis que si vous n’avez pas le droit d’entrer sans prévenir dans une mosquée, ce n’est certainement pas un hasard…

FDF

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Et quand je vois l’attitude des CONvertis, je me dis qu’il y a encore beaucoup « d’esprits faibles » en ce bas monde… Corvéables et malléables à souhait.

Et bien, allons nous utiliser les vieilles ripostes qui, en leur temps, on fait leurs preuves?

Ce sera la surprise…


14/12/2011

Une kalachnikov découverte chez un membre de Sharia4Belgium !

Ils n’ont pas sur eux que des colliers de prière… Religion d’amour.

FDF

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Amour, paix et tolérance…

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La police a découvert une kalachnikov lors d’une perquisition chez un membre du mouvement extrémiste Sharia4Belgium à Deurne, écrivent Gazet van Antwerpen et Belang van Limburg. La perquisition a été menée après que ce membre de Sharia4Belgium, dont l’identité n’a pas été dévoilée, a mis l’arme en vente sur internet. L’homme disait vouloir vendre la kalachnikov pour se faire de l’argent. Ce nouvel incident prouverait que ce mouvement n’est pas juste un groupe d’illuminés rassemblés autour de leur leader Abu Imran. Il y aurait de plus en plus d’éléments montrant que ce mouvement évolue d’un groupe de croyants extrémistes vers des djihadistes, qui soutiennent activement des organisations terroristes, selon les journaux.

Source: http://www.lesoir.be/

10/05/2011

Ca commence à trembler chez les intégristes.

La « pêche au gros » a été réalisée par les américains. Reste la friture… Sale temps pour les intégristes islamistes. Les niveaux d’eau sont bas en ces périodes de sécheresse.

FDF

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Coup de filet dans les milieux djihadistes français.

Sept personnes, dont le « cerveau » présumé du groupe, ont été interpellées au cours d »une opération menée en région parisienne.

Click here to find out more!

Une opération « coup de filet » a été menée mardi matin dans les milieux islamistes français en région parisienne. Sept personnes, dont un mineur, ont été interpellées lors de l’opération conduite par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) dans les villes de Garges-lès-Gonesse (Val-d’Oise), Stains (Seine-Saint-Denis) et Paris. Le « cerveau » présumé du groupe djihadiste, ingénieur de formation et originaire de la région parisienne, a été arrêté en fin de matinée à l’aéroport de Roissy en provenance d’Algérie.

Des perquisitions ont été menées par les forces de l’ordre, notamment à Stains. Actuellement, six personnes sont en garde à vue.

Le ministre de l’Intérieur Claude Guéant a précisé mardi après-midi que « rien n’indique que ces personnes s’apprêtaient à commettre un attentat en France ». « Il semble que certains avaient le projet de se former au djihad au Pakistan », a ajouté le ministre lors d’une conférence de presse consacrée à la lutte contre le trafic de drogue dans le cadre d’une réunion du G8. Claude Guéant a expliqué que le coup de filet avait été réalisé à la suite de l’arrestation en janvier 2011 de deux Français à Lahore, au Pakistan.

Lundi, le ministre de l’Intérieur avait assuré qu’il n’existait « pas d’éléments concrets » pouvant laisser croire à un risque d’attentat en France, après la mort du fondateur d’al-Qaida, Oussama Ben Laden.

Source: http://www.lepoint.fr/

03/05/2011

Libye: il y a tant à faire déjà chez nous…

Il est vrai que l’information en cache d’autres. Focaliser la populace sur tel ou tel fait permet de lui faire temporairement oublier la situation dans laquelle on l’a mise. Depuis cette guerre en Lybie, combien de décrets sont passés en douce?
Autre-chose: Oussama Ben Laden vient d’être « atomisé ». Le monde Occidental s’en réjouit et ne pense qu’à ça. Les lauriers de cette victoire sur le terrorisme reviennent par le fait à Obama; lequel est comme par hasard déjà en campagne pour les prochaines présidentielles aux USA… Comme par hasard…
En France, Sarkö Ier profite aussi de la situation en « se félicitant » d’avoir, grâce à notre armée, aidé à l’élimination du chef d’Al-Quaïda. C’est marrant, ça. Il est en campagne aussi, lui…
J’ai une idée: je vais aller demander une augmentation à mon patron. Parce que moi aussi, en tant que Français, j’y suis un peu pour quelque-chose, dans l’élimination de Ben Laden… Pas sûr que ça marche…
FDF
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Lybie: les islamistes à la manoeuvre !


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A l’exception de Marine Le PEN, l’ensemble de la classe médiatico-politique a soutenu l’intervention militaire française en Libye. Alors que Nicolas Sarkosy s’apprête aujourd’hui à envoyer des conseillers militaires sur le terrain, quelques médias commencent enfin à s’interroger sur l’opportunité de cette guerre et sur les fameux « insurgés » que nous sommes censés protéger.

Nouvel Observateur:

La journaliste reporter Sara Daniel découvre qu’un émirat islamique est en formation en Cyrénaïque, et les djihadistes forment une part non négligeable des bataillons de l’insurrection armée par l’Otan…

Des combattants islamistes ont-ils investi les rangs de l’insurrection, comme on le répète à Tripoli? Les services secrets occidentaux n’y croient pas. Et pourtant...

Pour renverser Kadhafi, ce n’est pas de l’Otan dont nous avons besoin, c’est de Dieu!» Abdelkarim alHasadi, l’homme qui se tient devant moi dans sa veste de camouflage se définit comme un militaire et un croyant qui dirige une katiba (camp d’entraînement) forte de près d’un millier d’hommes. Il enrage quand on évoque l’organisation de défense qui a repris ses bombardements autour d’Ajdabiya: « Quand un homme se noie, il tend la main à n’importe qui, même au diable. » La tête d’Al-Hasadi a été mise à prix par Kadhafi. Au cours d’une réunion avec les ambassadeurs des pays de l’Union européenne, Khaled Kaïm, le vice-ministre libyen aux Affaires étrangères, a affirmé que ce membre d’Al-Qaida a établi un émirat islamique en Cyrénaïque, qu’il impose le port de la burqa et liquide les personnes qui refusent de se plier à ses oukases religieux.

Dans L’express

Pour rappel, en 40 ans de pouvoir, le colonel Kadhafi, qui prônait l’émancipation des femmes et aimait s’entourer d’une garde rapprochée de soldates en treillis, a brisé les schémas musulmans traditionnels et alimenté les foyers islamistes dans son pays. « D’après des informations recueillies en Irak par les Américains en 2007, les Libyens représentaient, après les Saoudiens, le plus fort contingent des jihadistes recrutés par Al-Qaïda, et qui ont ensuite rejoint Ben Laden en Afghanistan. Il y a une filière libyenne vers Al-Qaïda », note Denis Bauchard, ancien ambassadeur de France en Jordanie, conseiller à l’Institut français des Relations internationales pour le Moyen-Orient. « L’Est du pays a toujours été sous influence des Frères musulmans », ajoute-t-il par ailleurs.

Ces islamistes profiteraient-ils du chaos libyen pour s’armer?

Qu’ils soient présents ou non parmi les rebelles, les islamistes pourraient être tentés de se renforcer miltairement, sans être inquiétés par les autorités libyennes, désormais absentes du côté Est du pays. D’autant que les rebelles ont déjà amassé, depuis le début de la révolte, une grande partie des armes stockées dans cette zone. « Il y a des filières d’approvisionnement en armements venant d’Egypte, via les Frères musulmans, avec un soutien de gens du Hezbollah, et maintenant des gens du Hamas qui viennent acheter des armes dans cette zone », souligne Pascal Le Pautremat, spécialiste des questions de défense et du monde arabe. Au final, « le risque, c’est que le vide politique qui s’est créé dans l’Est du pays ne soit comblé par les jihadistes. On l’a vu en Irak, on le voit au Yémen », indique Denis Bauchard.

Dans le Figaro, Le grand reporter George Malbrunot fait le point à son tour :

« Le responsable des médias au sein de la branche maghrébine d’al-Qaida a accordé une intéressante interview au journal saoudien Al-Hayyat publié à Londres.

Saleh Abi Mohammad y affirme que l’organisation terroriste a des implantations (des émirats dans le langage d’al-Qaida) à Benghazi, Al-Bayda, Al-Marj, Shihat et surtout à Dernah.
«Nous sommes spécialement présents à Dernah, où sheikh Abdul Hakim est notre émir et où il a formé – aux côtés d’autres frères – un conseil islamique pour gouverner la ville en vertu de la sharia», la loi islamique, déclare Saleh Abi Mohammad.

À l’est de la Libye, les villes d’implantation d’al-Qaida correspondent aux principaux fiefs de la rébellion, appuyées par la coalition occidentale. Le responsable d’al-Qaida confirme également que l’organisation terroriste a acquis récemment des armes, «destinées à protéger nos combattants et à défendre la bannière de l’islam». Des dignitaires algériens et tchadiens s’étaient inquiétés de tels transferts d’armes à al-Qaida

Source: http://www.prechi-precha.fr/2011/04/21/lybie-les-islamistes-a-la-manoeuvre/#more-1057

04/03/2011

Al-Qaida oublié dans les révolutions arabes…

C’est à se demander s’ils ont bien existé un jour, ces cons. Et puis, si Al Quaida existe, il ne faut pas oublier que c’est sur eux que l’on colle la responsabilité de tous tes attentats contre l’Occident… Il leur faut bien un bouc émissaire, à nos « amis » musulmans, adeptes de la « religion » d’amour, de paix et de tolérance. A méditer…

FDF

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Pillé sur: http://www.magharebia.com/

Les deux révolutions populaires qui ont renversé les Présidents Zine El Abidine Ben Ali en Tunisie et Hosni Moubarak en Egypte constituent un nouveau défi pour al-Qaida et ses idéologues.

« Ce défi ne résulte pas d’une frappe militaire ciblée ni de restrictions supplémentaires aux déplacements des leaders d’al-Qaida dans leurs zones de retraite préférées, à la frontière afghano-pakistanaise.

Il résulte plutôt d’un rêve devenu réalité : la chute de régimes habituellement décrits comme « dictatoriaux » ou « apostats » pour avoir gouverné d’une manière contraire aux enseignements de la charia islamique.

Mais l’ironie de la situation est que ce rêve a créé un problème idéologique épineux pour les leaders d’al-Qaida. Les régimes qualifiés de dictatoriaux et oppressifs peuvent être renversés par des soulèvements populaires pacifiques et non seulement par l’action armée, dont certains djihadistes affirment depuis longtemps qu’elle constitue le seul et unique moyen de parvenir à un changement de régime.

Le dilemne intellectuel d’al-Qaida est apparu clairement immédiatement après la chute des régimes tunisien et égyptien. Le Dr Ayman al-Zawahiri, numéro deux d’al-Qaida, a diffusé une série de messages apparemment enregistrés quelques jours seulement avant la démission de Moubarak, à la suite des manifestations qui ont rassemblé dans les rues d’Egypte des millions de manifestants pacifiques appelant à « la chute du régime ».

Ces messages ont été les premiers commentaires faits par al-Zawahiri sur le soulèvement populaire en Egypte. Il y attaque le régime de Moubarak pour s’être présenté comme un régime laïc et démocratique utilisant la charia islamique comme une source de législation et non pas comme fondement unique. Il l’a également critiqué pour avoir affirmé que la souveraineté vient du peuple.

Al-Zawahiri a qualifié le régime de Moubarak de « Jahilia » (non islamique) et l’a critiqué pour avoir affirmé que « le processus démocratique ne peut être que laïc et non religieux ». Il a critiqué les Etats doté de systèmes démocratiques, affichant son dédain pour les islamistes qui appellent à l’adoption « du système connu sous le nom d’Etat civique ».

Les déclarations d’al-Zawahiri semblent hors de propos face aux aspirations des jeunes hommes et femmes qui sont descendus dans les rues d’Egypte et de Tunisie pour demander des régimes véritablement démocratiques en remplacement de ce qu’ils considéraient comme les régimes corrompus de Moubarak et de Ben Ali.

Ses paroles rappellent un message vidéo diffusé il y a des années, dans lequel il affirmait que le changement dans les pays islamiques ne peut être accompli d’une manière pacifique. Dans ce message, qui a été publié sur les forums de discussion en même temps que son dernier appel, il mettait au défi ceux qui ne partagent pas son opinion de fournir « un seul exemple » de révolution pacifique ayant réussi à changer un régime.

Bien que les messages d’al-Zawahiri, à la fois l’ancien et le nouveau, aient été publiés en ligne, le vice-président égyptien Omar Suleiman a annoncé que Moubarak démissionnait, en réponse aux demandes des manifestants. L’armée égyptienne, qui a assumé le pouvoir durant la période de transition, est apparue sérieuse dans sa volonté de répondre aux aspirations des manifestants. Ces derniers ont souhaité le départ de Moubarak, une campagne de lutte contre la corruption rampante dans les institutions de l’Etat, et des amendements constitutionnels qui ouvriraient la porte à une démocratie réelle permettant le transfert pacifique des pouvoirs, le pluralisme politique et la liberté de la presse.

Les autorités égyptiennes ont immédiatement entamé les poursuites contre les responsables de l’ancien régime pour leur implication dans la corruption et ils ont amendé les articles de la constitution permettant une plus grande concurrence pour la présidence et les fauteuils des parlementaires. La nouvelle direction a également commencé à autoriser des partis politiques qui attendaient une autorisation depuis vingt ans, comme le Parti du centre, fondé par d’anciens dirigeants des Frères musulmans.

Cette fraternité semble prête à devenir un parti légal après avoir été interdite pendant des décennies.

Des décennies de violence ont engendré l’oppression, pas le changement

La capacité de la population égyptienne à changer de régime par des manifestations pacifiques remet en mémoire trois décennies de troubles sécuritaires que l’Egypte avait connues après que des djihadistes comme al-Zawahiri eurent insisté sur l’emploi de la violence et de l’action armée comme seules moyens de changer le régime.

Les djihadistes avaient assassiné le Président Anouar Sadate en 1981. Le régime suivant, dirigé par Moubarak, avait réagi en imposant un état d’urgence, en luttant violemment contre les islamistes et en empêchant toute activité politique pouvant conduire à un changement de régime (comme l’a montré la dissolution du Parti des travailleurs et l’interdiction faite aux Frères musulmans de participer à la vie politique).

Ces mesures énergiques à caractère sécuritaire et politique furent renforcées pendant les années 1990 parce que les djihadistes accentuaient leurs actions violentes contre les symboles de l’Etat, contre les responsables politiques et de la sécurité, ainsi que contre des touristes occidentaux en visite en Egypte, et qui constituent un maillon essentiel des moyens d’existence d’une grande partie des employés égyptiens dans le secteur du tourisme.

Cela est devenu la formule proposée par les responsables égyptiens lorsque les visiteurs étrangers soulevaient la question de l’ouverture du champ de plus grandes libertés politiques : tout relâchement de la poigne de fer avec laquelle le régime contrôle les différents segments de la société favoriserait l’accession des islamistes au pouvoir, affirmaient-ils.

Certains responsables acceptaient cet argument et ont ignoré pendant de nombreuses années les atteintes aux droits de l’Homme et les mesures répressives politiques et sécuritaires mise en place en Egypte, ainsi que dans d’autres Etats »policiers ». D’autres tentèrent de persuader l’Egypte et d’autres pays que les réformes politiques et la réponse aux demandes populaires pouvaient aider et non menacer les efforts de lutte contre al-Qaida et ceux décrits comme des militants islamistes.

Mais le régime égyptien s’empressait de refuser les appels à la libéralisation politique, affirmant qu’elle permettrait aux islamistes d’arriver au pouvoir, comme cela avait été le cas des Frères musulmans lors des élections à l’assemblée populaire égyptienne en 2005, et avec le Hamas lors des élections en Palestine en 2006.

Bien que cet argument puisse être vrai dans une certaine mesure, c’est-à-dire que les élections puissent porter les islamistes au pouvoir, la faiblesse fondamentale est, semble-t-il, la confusion entre l’Islam politique et al-Qaida. Il existe de fait une différence fondamentale entre l’Islam politique et le mouvement djihadiste, en ce que ce dernier utilise la violence armée comme moyen essentiel, et parfois le seul, de changer un régime.

Islam politique et al-Qaida

Mais la différence la plus fondamentale entre les islamistes politiques et al-Qaida est leur point de vue différent concernant le pluralisme politique. Bien que la fraternité l’accepte et défende sa participation dans des parlements comportant des partis non islamistes (qui peuvent être laïcs ou nationalistes), al-Qaida et les autres mouvances djihadistes partageant une idéologie similaire ne l’acceptent pas. Ils rejettent ce qu’ils considèrent comme des « parlements infidèles » (dans la mesure où ils contrôlent les lois sur le statut des personnes), rejettent le système du multipartisme, et refusent d’accepter tout transfert démocratique des pouvoirs.

Le Mouvement tunisien du renouveau islamique a fait partie des premiers groupes islamistes à avoir répondu à cette ligne de pensée, qui stipule qu’il n’est pas permis pour des islamistes d’abandonner le pouvoir s’ils perdent les élections. Ce groupe tunisien a déclaré, lors de ses réflexions durant les années 1990, qu’il renoncerait au pouvoir si les islamistes perdaient les élections.

Il est vraisemblable que ce débat entre Islam politique et al-Qaida réapparaisse, alors que le premier se prépare à s’engager dans les luttes électorales qui auront lieu dans les mois qui viennent en Egypte et en Tunisie. Il est également vraisemblable que leur participation politique rencontrera l’opposition des partisans d’al-Qaida au prétexte qu’elle est contraire aux enseignements corrects de l’Islam. »

09/02/2011

Appel au jihad en Egypte.

Tous les jours se confirme que ce sont les extrèmistes musulmans qui ont déclenché tout ce merdier au Maghreb et en Afrique et vont en « récolter les fruits »…

FDF

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Avec application de la charia et tout le toutim…

Al-Qaida/Égypte: appel à la guerre sainte !

La branche irakienne d’al-Qaida a appelé les manifestants égyptiens à la guerre sainte et à instaurer un gouvernement basé sur la loi coranique (charia), a indiqué hier le centre américain de surveillance de sites islamistes (SITE). 

Le communiqué de l’Etat islamique d’Irak (ISI), qui semble être la première réaction d’un groupe lié à al-Qaida sur les évènements en cours en Egypte, a été posté sur des forums jihadistes, selon SITE.

Le message, adressé aux manifestants, affirme que « le marché du jihad » a ouvert en Egypte et que « les portes du martyr sont ouvertes ». Le groupe radical presse les Egyptiens d’ignorer « les chemins décevants » de la démocratie et du « nationalisme payen pourri ». « Votre jihad » lance le communiqué aux Egyptiens, est de soutenir l’islam, les faibles et les opprimés en Egypte, pour « votre peuple » à Gaza et en Irak et pour « chaque musulman qui a été touché par l’oppession du tyran d’Egypte et de ses maîtres à Washington et Tel-Aviv », selon une traduction du texte fournie par SITE.

Source: http://www.lefigaro.fr/

07/02/2011

Al Quaïda recrute des « français » et les forme au djihad !!

Ils ont promis de s’en prendre à la France. Ce qui est terrible est que « EUX », ils tiennent leurs promesses…

FDF

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14 Français s’entraînent dans les camps d’al-Qaida

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Selon le contre-espionnage, une centaine d’Européens, dont quatorze Français, entraînés dans les camps djihadistes, pourraient passer à l’action.

Al-Qaida radicalise ses menaces contre la France et n’a jamais tant recruté de «combattants», notamment européens, en vue de mener de prochaines frappes terroristes. Au lendemain du soulèvement en Tunisie et alors que les manifestations se multiplient en Égypte, le contre-espionnage français est plus que jamais en alerte maximale. Quatre notes «blanches» émanant de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), que Le Figaro s’est procurées, en attestent.

Se fondant sur des «éléments recueillis présentement par les services français sur les différents acteurs terroristes de la zone pakistano-afghane», considérée comme «la première pourvoyeuse de menaces susceptible de viser le territoire européen», l’un des documents confidentiels révèle que «la région continue d’attirer les volontaires au combat armé, notamment européens. Ceux-ci sont passés, en moins de trois ans, de quelques cas isolés à plus d’une centaine d’individus.»

Selon cette note de la DCRI, «la présence de 14 Français a été signalée en 2010 dans cette zone». «Plusieurs de ces combattants ont désormais acquis une expérience et une légitimité qui leur permettent de rallier autour d’eux de nouveaux arrivants, préviennent les analystes français du contre-espionnage. Ayant vécu en Europe et nourrissant souvent des griefs personnels à l’encontre de leurs pays d’adoption, ces Européens sont susceptibles de s’impliquer dans des actions terroristes.» À en croire ces experts, celles-ci semblent presque inéluctables. En effet, écrivent-ils, «la volonté d’al-Qaida et, désormais, de certains groupes pakistanais, de conduire des attentats en Occident est avérée: depuis 2009, pas moins de quatre projets aux États-Unis et en Norvège, directement liés aux zones tribales pakistanaises ont échoué ou ont été déjoués».

Le péril islamiste est d’autant plus préoccupant que les services de renseignements ont intercepté un inquiétant message d’al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi). Diffusé le 28 janvier par son «organe médiatique» al-Andalous, il appelle les Tunisiens à «remplacer la religion altérée par la religion révélée et la charia» et soutient que ce sont « les croisés qui sont à l’origine de nos problèmes».

«Une cible privilégiée»

Par ailleurs, une des notes remarque que l’organisation terroriste annonce que l’«Amérique, la France et le Maghreb n’accepteront jamais un véritable changement qui ne sert pas leurs intérêts en Tunisie » et que ces régimes «préparent le lancement d’un nouveau laquais qui les satisfera». «Le communiqué vise spécifiquement la France, accusée “d’avoir soutenu le tyran Ben Ali”», insiste la DCRI. Établissant un parallèle avec la situation en Algérie, Aqmi prévient que les États-Unis et la France «joueront prochainement le même rôle, s’ils n’en sont pas empêchés par les frappes des moudjahidins (…)». «La France et ses ressortissants demeurent une cible privilégiée d’al-Qaida», martèle le contre-espionnage, qui rappelle enfin le message imputé à Ben Laden, qui fustigeait le 21 janvier dernier le non-retrait des troupes françaises en Afghanistan et menaçait de cibler «différents fronts, à l’intérieur et à l’extérieur de la France ».

Divers quotidiens d’Alger, dont al-Watan, rapportaient ce dimanche que les services algériens de sécurité ont démantelé dans le sud-est du pays un réseau d’Aqmi qui projetait des attentats en Europe, notamment en France.

Dans un entretien au Figaro, le préfet Bernard Squarcini, directeur de la DCRI, révélait en juin dernier que deux attentats sont déjoués chaque année sur le sol français. «Nous pêchons à la fois de ­manière intense au chalut pour débusquer les filières djihadistes qui partent en Afghanistan, par exemple, mais aussi au ­harpon, en ciblant des individus fanatisés mais isolés, confiait-il. Notre mission est de les repérer et de les «purger» au plus vite, avant qu’ils ne commettent l’irréparable».


Des prêches plus radicaux dans les mosquées

«La chute du régime du président Ben Ali et la poursuite des manifestations en Égypte ont alimenté des prêches dans plusieurs salles de prières radicales, ces dernières semaines»…

Suite et source: http://tinyurl.com/49zh23j

14/12/2010

Saine lecture: « Al-Qaïda au Maghreb islamique ».

« La France est particulièrement visée ». Merci, çà, on l’avait remarqué…

FDF

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Mohamed Sifaoui donne une analyse approfondie des groupes terroristes qui menacent la France dans son excellent livre « Al-Qaïda au Maghreb Islamique ».

Cette lecture est édifiante. L’auteur montre que les massacres perpétrés sont intrinsèquement liés à l’idéologie islamiste du courant religieux salafiste djihadiste universaliste, qui ne reconnaît aucune démocratie, parce que, pour lui, la seule source de pouvoir est Allah à travers le Coran et l’interprétation du corpus islamique.

Ses émules veulent dans un premier temps « libérer » tous les pays musulmans dont les gouvernants et les citoyens trop paisibles sont considérés comme apostats, puis partir à la conquête du monde.

La France est plus particulièrement visée, car elle est à la fois décrite comme l’ennemi historique des peuples musulmans colonisés et comme l’ennemi juré de l’Islam pour les valeurs qu’elle incarne (démocratie, laïcité, droits de l’homme, égalité de l’homme et de la femme, tolérance…). Chose troublante, si, surtout depuis le 11 septembre 2001, les terroristes sont pourchassés et quelques fois arrêtés, les prêcheurs qui provoquent et légitiment les opérations criminelles meurtrières ont libre accès dans les pays occidentaux et vivent douillettement sans être inquiétés. Ils sont même soutenus par des groupes islamo-gauchistes et, à l’occasion, par la grande presse.

Ce laxisme politique est anormal dans un pays qui prohibe la propagation de toutes les thèses haineuses contraires à ses valeurs. Pire, la tendance est d’abandonner cette question d’une importance vitale à l’extrême droite dans le but inavoué de la faire se déconsidérer plus encore, jugeant sans doute qu’elle n’est pas déjà assez satanisée.

D’autre part, pour se propager, Al-Quaïda a besoin d’exister médiatiquement, ce que lui offrent gracieusement la presse et la télévision. Ses groupes armés ont été considérablement affaiblis mais sa « matrice idéologique », celle qu’il faut détruire, est intacte et continue à séduire. C’est d’autant plus inquiétant que, selon le corpus islamique, tout musulman se doit de prêter main-forte aux djihadistes suivant la théorie des cercles concentriques.

Source: http://notrejournal.info/

14/11/2010

Un nouveau métier: djihadiste « présumé »…

Le stigmatisé du jour est………….

Dalil Boubakeur !

Les djihadistes présumés projetaient de tuer le recteur de la mosquée de Paris… pour obtenir une « franchise Al-Qaïda »…

Des interpellations qui, selon une source proche du dossier, s’inscrivaient dans le cadre d’une enquête sur de présumées filières djihadistes de combattants formés dans les zones tribales à la frontière pakistano-afghane. 

Jeudi l’une des personnes interpellées a été remise en liberté, indique Le Figaro.

Vendredi soir, les quatre autres personnes, des hommes âgés de 20 à 25 ans, ont été mises en examen à Paris, pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ». Toutes quatre ont été placées en détention provisoire. Selon une source proche de l’enquête, au cours de leur garde à vue dans les locaux de la DCRI, « les quatre hommes ont toujours confirmé leur attachement et leur engagement à la cause et ont dit vouloir participer à la lutte armée ». L’un d’entre eux aurait confié aux enquêteurs qu’il espérait obtenir « une franchise Al-Qaïda » en assassinant Dalil Boubakeur, le recteur de la Grande mosquée de Paris. Pour cet assassinat supposé, un « repérage des lieux, du bureau et du dispositif de sécurité » auraient déjà eu lieu, indique Le Figaro. Dalil Boubakeur étant jugé par les djihadistes présumés, partisan d’un « islam trop modéré ». Selon la même source, le juge d’instruction n’a pas mis en examen les quatre hommes pour « tentative d’assassinat », les enquêteurs ne disposant pas d’éléments « suffisamment concrets ». Une source qui ajoute :
« Ce projet d’assassinat était plus au stade de l’intention que des préparatifs ».

Sources : Le Figaro

12/11/2010

Kalifornistan: la polémique…

 

La bande annonce du film Kalifornistan qui sera présenté dans le cadre du Festival du film de la pensée libre qui se déroulera à Ottawa du 12 au 14 novembre.

Ce clip fait allusion à la controverse sur le paradis islamique, des experts ayant prétendu  que le mot traduit par « vierges » dans le verset du coran qui promet 72 vierges aux djihadistes, avait été mal traduit et signifie plutôt « raisins ».

 


http://www.youtube.com/watch?v=L6gRmcY8nBo&feature=player_embedded
source : freethinkingfilmest.ca

18/10/2010

Au nom de l’islam…

De la doc fort intéressante…

FDF

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Premier volet d’un documentaire en deux parties consacré à la naissance et à la montée en puissance des mouvements islamistes et de l’Islam politique du début du XXe siècle à la fin des années 1980 dans le monde arabo-musulman, en Iran et en Afghanistan. Evocation plus particulièrement du royaume saoudien, des Frères Musulmans égyptiens, de la politique du dirigeant égyptien Gamal Abdel NASSER, de la Révolution islamique iranienne et du rôle joué par les puissances occidentales dans le monde musulman. L’enjeu de ce documentaire est de montrer comment le monde musulman a nourri un ressentiment vis-à-vis de l’occident que les mouvements islamistes entendent exprimer et sur lequel ils se sont appuyés pour prospérer. Les images d’archives ou d’illustration alternent avec les interviews de Marc FERRO, historien, Michael BARRY de l’Université de Princeton aux Etats-Unis, Joseph MAILA, politologue libanais, Gilles KEPEL, politologue français, Yunan LABIB RIZQ, historien égyptien, Mustapha KAMEL AL SAYID, philosophe égyptien, Gamal AL BANNA, frère du fondateur des Frères Musulmans, Jean LACOUTURE, écrivain et journaliste français, François BURGAT, politologue français, Ramin JAHANBEGLOO, philosophe iranien, Kaveh BAYATE, historien iranien, Mohamed CHARFI, ancien ministre tunisien de l’Education nationale et du capitaine Paul BARRIL.- Extrait d’un discours d’un islamiste du 18/05/2004 évoquant le Djihad sur la chaîne de télévision saoudienne Al-Madj TV- Interview de l’historien Marc FERRO qui explique que le ressentiment, un héritage d’humiliations, constitue le moteur des évènements actuel dans le monde arabo-islamique. Il revient sur la domination passée du monde islamique sur d’autres peuples.- Interviews d’étudiantes de l’Université du Caire qui évoquent leur rapport à l’occident.- Interview de Michael BARRY de l’Université de Princeton aux Etats-Unis qui explique les raisons du déclin de la civilisation islamique et des puissances musulmanes à partir du XVe siècle au profit des puissances de l’Europe chrétienne. – Interview de Joseph MAILA, politologue libanais qui parle de la domination de l’empire Ottoman avant 1917 et des raisons de son affaiblissement.- Archives : Lawrence d’Arabie et le shérif HUSSEIN ; pélerinage à La Mecque ; Gal Allenby à Jérusalem, Palestine, les troupes turques et Mustapha KEMAL.- Interview de Gilles KEPEL, politologue français, et de Joseph MAILA à propos de la fin du Califat.- Interviews de Yunan LABIB RIZQ, historien égyptien et de Mustapha KAMEL AL SAYID, philosophe égyptien à propos de la situation en Egypte en1920, de la naissance en Egypte en 1928 des Frères Musulmans, une organisation qui prône un islam politique avec comme mot d’ordre « Le Coran est notre constitution », et de son fondateur Hassan AL BANNA.- Archives : Ismailia et Canal de Suez- Interview de Gamal AL BANNA, frère du fondateur des Frères Musulmans qui se revendique d’un islam libéral.- Interview de Joseph MAILA, politologue libanais, à propos du projet des Frères musulmans d’un état islamique fondé sur l’application de la charia, c’est à dire l’utilisation de l’Islam comme mode de régulation étatique, projet qui se réalise avec la fondation de l’Arabie Saoudite dont le Coran est la seule constitution.- Interview de Michael BARRY à propos de l’origine du wahhabisme, un islam rigoriste qui domine en Arabie Saoudite.- Images illustrant modernes modernité technologique et développement économique- Interview d’Hatoun AL FASSI, historienne saoudienne, à propos de la fondation du royaume- Archives : pétrole en Arabie Saoudite- Interviews de Yunan LABIB RIZQ et de Marc FERRO qui reviennent sur les conséquences de la découverte du pétrole dans les pays islamiques.- Archives : accord signé en 1945 entre les Etats-Unis et l’Arabie Saoudite, Université du Caire- Interview de Gamal AL BANNA à propos des idées de son frère Hassan Al BANNA et de l’idéologie des Frères Musulmans.- Archives : combattants en Palestine- Interview de Jean LACOUTURE, écrivain et journaliste français qui revient sur la prise du pouvoir en Egypte par un groupe d’officier dirigé par Gamal Abdel NASSER qui va rayonner sur le monde arabe.- Archives : Gamal Abdel NASSER – Interview de Yunan LABIB RIZQ fait une analogie entre la popularité de NASSER et le concept du Mahdi, « le guide », dans la tradition islamique.- Mustapha KAMEL AL SAYID et Jean LACOUTURE abordent la question de la collaboration entre les Frères Musulmans et NASSER lors de la première année qui suivit le coup d’Etat de 1952 puis la rupture et l’affrontement.- Archives : arrestation Frères Musulmans en Egypte, nationalisation Canal de Suez, Nasser et Khroutchev, visite du roi Faiçal- Interview Joseph MAILA, Michael BARRY, puis Hatoun AL FASSI, à propos de l’action de Nasser, de l’Arabie Saoudite sous influence américaine qui incarne le panislamisme et l’Egypte soutenue par l’Union soviétique qui incarne le panarabisme- Archives : Conférence de l’Organisation de la communauté islamique créée par Fayçal, procès Sayyid QUTB.- François BURGAT, politologue français, revient sur le parcours de Sayyid QUTB, théoricien du radicalisme islamiste, pendu en 1966 sous le régime de NASSER. Il établit un parallèle avec le parcours des membres d’Al Qaida.- Archives : guerre des 6 jours en Israël- Interview de Marc FERRO puis Michael BARRY à propos de la naissance de ce second ressentiment qui donne l’occasion aux islamistes de critiquer la stratégie nationaliste arabe- Archives : obsèques de Nasser- Interview de Joseph MAILA puis Yunan LABIB RIZQà propos de la perte des repères des égyptiens et d’Anouar EL SADATE, le successeur de NASSER à la tête de l’Egypte.- Archives : Anouar EL SADATE priant, puis à Tel Aviv en 1977.- Archives : Révolution islamique chiite de 1979 en Iran, Couronnement du Shah d’Iran- Interview de Ramin JAHANBEGLOO, philosophe iranien qui explique que la révolution iranienne était une réaction populaire à l’occidentalisation forcée du pays.- Archives : Téhéran en 1966, Ayatollah KHOMEINY- Interview de Kaveh BAYATE, historien iranien à propos de la naissance du nationalisme religieux en Iran.- Archives : retour Ayatollah KHOMEINY à Téhéran- Interview de Mohamed CHARFI, ancien ministre tunisien de l’Education nationale et Marc FERRO, sur la révolution iranienne.- Gilles KEPEL évoque plusieurs évènements majeurs de l’année 1979 : la Révolution iranienne, la prise d’assaut de la Grande Mosquée de la Mecque par des djihadistes et l’entrée des troupes soviétiques en Afghanistan.- Archives : prise d’otages de la Grande Mosquée de la Mecque en 1979- Interview du capitaine Paul BARRIL qui a participé à l’opération pour mettre fin à la prise d’otages de la Grande Mosquée de La Mecque.- Interview d’Hatoun AL FASSI à propos des revendications des insurgés.- Interview de Michael BARRY à propos de l’Arabie Saoudite et de l’Iran- Archives : intervention soviétique en Afghanistan en 1979- Interview d’Hatoun AL FASSI à propos des djihadistes soutenus par l’Arabie Saoudite.

Source: http://ndpherault.hautetfort.com/

05/10/2010

Les drones américains n’aiment pas les musulmans intégristes…

Et huit de moins, huit !!! Les drones américains commencent à être rentabilisés. Il n’y a pas de petites économies…
FDF

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Des activistes allemands tués par un drone américain au Pakistan

Huit combattants islamistes de nationalité allemande ont trouvé la mort dans une attaque de drone américain dans le nord-ouest du Pakistan, apprend-on auprès des services de renseignement pakistanais.

Ils ont été tués par deux missiles tirés par un drone de la CIA sur une mosquée de Mirali, dans la zone tribale du Nord-Waziristan, fief des taliban et combattants djihadistes, précise-t-on de mêmes sources.

Les militants étaient membres d’un groupe intitulé « Jihad Islami« , ont précisé sans plus de détails des responsables des services secrets pakistanais.

« La foule s’était rassemblée à la mosquée pour prier lors que l’édifice a été frappé par un missile« , a raconté à Reuters un habitant de Mirali, Mohammad Alam, joint par téléphone. « Le secteur a été bouclé par des activistes, qui ne laissent entrer personne« .

Le Nord-Waziristan, qui forme une zone tribale interdite, abrite toute une série d’activistes combattant les autorités pakistanaises, les troupes de l’Isaf ou les deux.

La CIA cherche notamment à éliminer les chefs du réseau Haqqani, une faction de taliban afghans qui opèrent à partir du Nord-Waziristan et lutte avec beaucoup d’efficacité contre les troupes de l’Otan en Afghanistan.

Ces frappes surviennent au lendemain d’une mise en garde des Etats-Unis et de la Grande-Bretagne à l’adresse de leurs ressortissants voyageant en Europe, les prévenant contre le risque de voir Al Qaïda ou des groupes affiliés y commettre des attentats.

Source: http://tinyurl.com/3x33n6b

18/09/2010

La principale autorité de l’islam interdit le voile intégral !

Et dire quon nous les brise depuis de nombreuses semaines avec cette pseudo loi qui ne sera jamais applicable vu les multiples « aménagements » qu’elle contient… En Egypte, ça a été vite reglé; et ça ne date pas d’hier…

FDF


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La polémique fait rage en Egypte depuis que le grand imam de l’Université Al-Azhar, au Caire, a interdit le port du niqab dans les classes de filles. Le gouvernement égyptien a quant à lui décidé d’en finir dans tous les lycées. Pour contrer la montée en force des Frères musulmans?

Trop c’est trop. L’Université d’Al-Azhar au Caire, qui fait référence dans l’ensemble du monde arabo-musulman, a décidé d’interdire le port du niqab (le voile intégral cachant le visage) dans les cours réservés aux filles et donnés par des femmes. Les étudiantes devront également s’abstenir de le porter dans la résidence universitaire de cette prestigieuse institution islamique.

C’est en fait une écolière de 12 ans qui a mis le feu aux poudres il y a quinze jours. Appelons-la Leïla. Couverte de la tête aux pieds, elle a suscité l’ire du grand imam d’Al-Azhar, Mohammed Sayyed Tantaoui, qui rendait une banale visite dans une école tenue par la célèbre institution religieuse. «Le niqab n’est qu’une tradition! Il n’a pas de lien avec la religion, ni de près ni de loin», s’est-il emporté, exigeant de l’enfant qu’elle ôte le voile et montre son visage aux autres filles et à l’institutrice.

Ni une ni deux, le haut conseil d’Al-Azhar a prononcé l’interdiction dans la foulée. «Car l’insistance de porter le niqab en présence de femmes est un genre de rigorisme rejeté par la charia islamique.» Certes, il n’est pas question d’en empêcher le port dans la rue ou au travail, mais cette importante autorité de l’islam sunnite veut éviter que le rigorisme ne soit «gravé dans la mentalité des jeunes filles».

Pourquoi ce soudain accès de colère? C’est que la montée du port du voile intégral commence à inquiéter les autorités et certains responsables religieux, qui y voient un signe de progrès de l’islam fondamentaliste, dans un pays déjà très conservateur. Pour l’instant, la grande majorité des Egyptiennes musulmanes s’en tiennent au simple hijab, le foulard cachant les cheveux et le cou. Mais elles sont de plus en plus nombreuses à vouloir voiler leur visage.

L’influence des djihadistes et des chaînes satellitaires

«C’est un phénomène récent, le niqab est étranger à la culture égyptienne», explique à Genève Hasni Abidi, qui dirige le Centre d’études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen (Cermam). «On peut y voir l’influence de l’islam pratiqué dans le Golfe, très présent sur les chaînes satellitaires. Ou encore l’impact des djihadistes revenus d’Afghanistan avec leurs familles. Une importation culturelle qui fait peur en Egypte.»

Avant-hier, le ministre de l’Enseignement a ainsi décidé de réactiver une directive de 1995 interdisant le port du niqab. Il y a quelques mois, le ministre de la Santé en faisait autant pour le personnel soignant.

«Les autorités veulent montrer qu’elles ne laisseront pas faire», poursuit Hasni Abidi. «Un message clair à tous les fondamentalistes. Et aux Frères musulmans. Le principal mouvement d’opposition s’est emparé de cette affaire, défendant le droit des femmes à porter le niqab, au nom de la liberté de religion.»

source : lesquotidiennes.com (Andrès Allemand | 15-10-2009 | 09:32)

11/08/2010

D’excellentes raisons de considérer les djihadistes comme des crétins…


Les terroristes sont des brutes épaisses et des pervers.

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Pour les auteurs de cet article paru dans The Atlantic, la lutte contre le terrorisme est une corvée qui deviendra plus simple si nous parvenons à les maintenir dans leur bêtise naturelle.


La chanson des consanguins tarés :
http://www.youtube.com/watch?v=_zePm4mISis&feature=player_embedded


Lire aussi :

Canada : Selon le chef du Renseignement de sécurité, les journalistes glorifient les terroristes

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Ils se font sauter mutuellement par erreur. Ils ratent même des plans simples. Ils ont des relations intimes avec des vaches et des ânesses.


Nos ennemis terroristes jouent sur notre idée qu’ils sont bien formés et religieusement très pieux.

Pourtant, dans les faits, il s’agit souvent de crétins et de pervers, bien moins organisés et évolués que nous ne l’imaginons.

Davantage de réalisme quant à la vraie nature de nos ennemis peut-il nous aider à empêcher d’agir ceux qui sont vraiment dangereux ?

Dans les années qui ont suivi le 11 septembre, l’image qu’on nous donnait des terroristes était toujours plus ou moins la même : des djihadistes de l’ombre qui, même si leur projet était déjoué, semblaient toujours être passés tout près de réussir à déclencher un attentat épouvantable.

Nous sommes désormais tous familiers des innombrables vidéos de talibans en salwar kameez (pantalon et tunique) noirs, se mouvant avec agilité dans des parcours du combattant ou, plus récemment, perfectionnant leur kung fu dans quelque camp d’entraînement secret.

Même après l’attentat raté de Times Square au printemps dernier, nous continuons à avoir l’impression que nos ennemis sont des tueurs intelligents et évolués : fanatiques, et hautement organisés, deux notions qui leur permettent à la fois de nous maintenir dans la crainte et d’attirer de nouveaux membres.

…beaucoup des « fantassins » du djihad sont idiots et mal formés, peut-être même inaptes à toute formation. Mais cette vision de la communauté des djihadistes est dans une très large mesure trompeuse. Certes, il y a des terroristes déterminés et habiles, des gens comme Mohamed Atta, l’homme prudent et bien formé qui a mené les pirates du 11 septembre. Leurs chefs et leurs recruteurs peuvent être mortellement subtils et manipulateurs, mais la vérité nue c’est que beaucoup des « fantassins » du djihad sont idiots et mal formés, peut-être même inaptes à toute formation. Prendre conscience de cette réalité pourrait nous aider à adapter nos priorités en matière de lutte contre le terrorisme, et la rendre publique pourrait contribuer à démolir les puissantes images de force et de piété sur lesquelles les terroristes s’appuient pour recruter et trouver de l’argent.

…les talibans ont les plus mauvais kamikazes du monde : un sur deux n’arrive à tuer personne d’autre que lui-même. L’écart entre le stéréotype sinistre et la réalité ridicule n’est nulle part plus manifeste qu’en Afghanistan, où l’on peut à juste titre affirmer que les talibans ont les plus mauvais kamikazes du monde : un sur deux n’arrive à tuer personne d’autre que lui-même. Et, malgré l’expérience de plusieurs centaines d’attentats, ou de tentatives d’attentat, ce taux de succès ne s’est pas du tout amélioré depuis cinq ans. En Afghanistan, comme dans beaucoup de cultures, une étreinte virile est une tradition de longue date pour les guerriers qui s’en vont affronter la mort. Et c’est ainsi que de nombreux kamikazes n’arrivent même pas à quitter leur camp d’entraînement ou leur planque, car dans les embrassades avec leur groupe la pression déclenche les explosifs logés sous leur veste.

Selon plusieurs sources des Nations unies, au moins six kamikazes sur le départ sont morts en juillet dernier après une seule étreinte de ce genre, à Paktika.

Beaucoup de talibans sont tout aussi maladroits quand leur plan ne prévoit pas le suicide. En novembre 2009, plusieurs d’entre eux ont été tués quand la bombe artisanale qu’ils transportaient a explosé sans prévenir.

L’explosion a par la même occasion tué le gouverneur « parallèle » mis en place par les insurgés de la province de Balkh.

Jihadists-wide

Quand les terroristes réussissent vraiment un attentat, ou qu’ils en sont tout proches, c’est à des erreurs de la sécurité qu’ils le doivent, bien plus qu’à leur propre expertise. Voyons par exemple le cas de Umar Farouk Abdulmutallab, le « djihadiste au slip » originaire du Nigeria qui avait embarqué dans un avion à destination de Detroit avec un plan suicide dans la tête et des explosifs dans le slip. Les médias ont présenté cet incident comme un plan très élaboré d’Al Qaida, mais Abdulmutallab n’a pas fait preuve de beaucoup de talent ou d’astuce, et de simples mesures de sécurité auraient dû normalement l’empêcher de monter dans l’avion : il voyageait sans bagage, avec un billet aller simple payé en liquide, et tout cela alors même qu’il figurait sur la liste des personnes surveillées du gouvernement américain.

De fait, bien que les terroristes qui frappent en Occident soient souvent bien formés, leur plan échoue par manque de savoir-faire opérationnel. Heureusement, bien qu’ingénieur formé à l’université, Abdulmutallab n’a pas réussi à se faire exploser le slip. Quelques mois plus tard, un autre diplômé de l’université, Faisal Shahzad, aurait grossièrement trafiqué un véhicule pour le faire exploser sur Times Square. Le plan a raté et il a été rapidement arrêté, bien qu’on raconte qu’il avait suivi un entraînement dans un camp de formation au Pakistan. De fait, bien que les terroristes qui frappent en Occident soient souvent bien formés, leur plan échoue par manque de savoir-faire opérationnel. Le 30 juin 2007, deux hommes – l’un médecin et l’autre en cours de doctorat – ont tenté une attaque téméraire contre l’aéroport de Glasgow. Leur formation ne leur a pas servi à grand-chose. Ils prévoyaient de lancer leur Jeep Cherokee bourrée d’essence et de propane contre un terminal de l’aéroport. Mais tout ce qu’ils ont réussi à faire, c’est de projeter leur véhicule, crachant les flammes par les vitres, dans une barrière de sécurité. Le choc violent n’a détruit que la Jeep, et les deux hommes ont été facilement appréhendés ; le conducteur est par la suite mort de ses blessures. (La veille, ces mêmes hommes avaient piégé deux voitures qui devaient exploser à côté d’un night club londonien. Le plan avait échoué : l’une des voitures avait été repérée par des ambulanciers et l’autre, en stationnement interdit, avait été enlevée par la fourrière. Bonus pour les enquêteurs : les téléphones portables des terroristes ratés, bourrés de numéros de complices éventuels, avaient été récupérés dans les voitures).

On observe des comportements tout aussi ineptes aux États-Unis, où les individus arrêtés pour terrorisme ont bien souvent un lourd casier judiciaire et peu de sens pratique pour mettre en application leurs idées violentes. Ainsi, un groupe d’hommes de Miami envisageait (souvent en fumant de la marijuana) de s’attaquer à des cibles au sud de la Floride et à la tour Sears de Chicago, mais ils n’ont pas réussi à se procurer des explosifs et ont été démasqués quand le FBI est parvenu, aisément, à les infiltrer.

Si nos ennemis terroristes ont réussi à faire prévaloir le mythe de leur expertise, ils ont été tout aussi convaincants pour imposer une image de pieux soldats de Dieu. Les talibans et Al Qaida s’appuient sur des sympathisants qui les considèrent comme des musulmans pieux qui combattent les occupants occidentaux immoraux. Mais les renseignements captés par les drones Predator et par d’autres caméras présentes sur le champ de bataille mettent à mal ces idées, parfois de manière très crûment explicite. Une vidéo, récemment enregistrée par la caméra thermique du fusil d’un tireur d’élite, montre deux talibans engagés dans des relations intimes avec une ânesse, au sud de l’Afghanistan. Les vidéos du même genre sont nombreuses, parmi lesquelles une séquence saisie par une caméra de surveillance au sol et montrant un taliban en train d’honorer une vache.

Les officiels du Pentagone et les spécialistes du renseignements admettent en privé que nos ennemis sont également assoiffés de pornographie, ce qui n’a rien de bien choquant pour des hommes jeunes mais cadre mal avec leur image de piété. Beaucoup d’ordinateurs portables saisis chez les talibans ou Al Qaida sont bourrés de cochonneries. Les spécialistes américains du renseignement ont consacré beaucoup de temps à scruter les sites web favoris des terroristes, à la recherche de messages militants cachés. « Nous en avons des téraoctets, déclare un spécialiste d’Al Qaida au département de la défense, s’exprimant sous couvert d’anonymat. Ce n’est pas possible qu’ils cryptent des messages secrets dans tous ces fichiers. Certains de ces types sont tout simplement des pervers. »

…nous devrions aussi tenter d’abattre certains mythes bâtis à propos de nos ennemis, en mettant en lumière leur incompétence, leur absence de sens moral et leurs attitudes bien embarrassantes. Si sordide que puisse être cette prédilection pour la pornographie, elle n’est pas forcément dénuée d’intérêt : ce type de comportement des djihadistes pourrait bien être intéressant pour des actions de propagande. La diplomatie américaine cherche actuellement surtout à « vendre » l’Amérique au monde musulman, mais nous devrions aussi tenter d’abattre certains mythes bâtis à propos de nos ennemis, en mettant en lumière leur incompétence, leur absence de sens moral et leurs attitudes bien embarrassantes. Au-delà d’une modification de la manière dont le monde musulman perçoit les terroristes, cela nous permettrait de faire des choix plus intelligents en matière de contre-terrorisme en étant plus réalistes quant au profil et aux capacités des attaquants potentiels. À mesure que nous travaillons à désorganiser leurs actions de formation, les djihadistes auxquels nous avons à faire face ont de plus en plus de chances d’être mal préparés et, si cela ne garantit pas toujours que leur attaque échouera, cela incite à penser qu’ils viseront probablement des cibles non défendues et faciles à atteindre. Les États-Unis ont dépensé des milliards pour assurer la sécurité des ports depuis le 11 septembre, et pourtant les terroristes ont manifesté peu d’intérêt pour ces cibles et moins encore de capacité à les frapper vraiment. À l’inverse, mêmes de petits investissements dans la formation de la police et des personnels de sécurité des aéroports pourraient faire une grosse différence, car ce sont ces personnes qui ont le plus de chances de croiser le chemin d’un attaquant mal préparé, et de l’empêcher d’agir.

La différence entre un tueur organisé comme Mohamed Atta et tant de ses successeurs malheureux tient à la formation et aux capacités propres des individus. Atta a passé des mois à se former en Afghanistan et il disposait de l’aide des grands leaders d’Al Qaida, ce qui montre à quel point il est important d’éradiquer les refuges d’Al Qaida au Pakistan. Après tout, la lutte contre le terrorisme est une corvée qui deviendra plus simple si nous parvenons à maintenir les terroristes dans leur bêtise naturelle.

Source : The Case for Calling Them Nitwits, par Daniel Byman et Christine Fair, The Atlantic, juillet/août 2010

source et Traduction par Hachebé pour Poste de veille