Mohamed Merah: du petit voyou multi-récidiviste à l’assassin sans scrupules à qui on va encore trouver des excuses. C’était un « mauvais musulman »… Mais « bon » ou « mauvais », ça donne à se pencher sérieusement sur la question.
.
.
Un livre à se procurer, je pense. De mon côté, je vais le faire…
Si je peux me permettre un petit clin d’oeil à son auteur: pour moi, l’islam n’est pas une religion. Une idéologie, tout au plus et beaucoup plus dangereuse… De tous temps, les religions ont tué et massacré. Mais jamais autant que l’islam…
FDF
.
Entretien avec Norbert Multeau
à propos de son livre L’islam chez lui chez nous
(propos recueillis par Fabrice Dutilleul)
Suite et source: http://francephi.com/
Dire que ça « braille » de tous côtés comme quoi il n’y AUCUN lien entre les racailles « issues de l’immigration » et l’islamisme… Dire qu’il y en a qui croient encore ça…
FDF
.
Merci à JC JC…
Chez nous; sur nos terres; et oui. Mais pourquoi les a t’on laissé entrer? Pourquoi? Quand je vous dis que si vous n’avez pas le droit d’entrer sans prévenir dans une mosquée, ce n’est certainement pas un hasard…
FDF
.
Et quand je vois l’attitude des CONvertis, je me dis qu’il y a encore beaucoup « d’esprits faibles » en ce bas monde… Corvéables et malléables à souhait.
Et bien, allons nous utiliser les vieilles ripostes qui, en leur temps, on fait leurs preuves?
Et un p’tit coup de « José Castano », un !
Ca ravive les mémoires défaillantes…
FDF
.
Image pillée chez http://webresistant.over-blog.com/
« Le temps des mille ans s’achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de ka terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée » (XXe chant de l’Apocalypse)
Dans un tract du F.L.N. rédigé en Algérie en 1956, on pouvait lire en substance :
Rappelez-vous que, quand nous serons indépendants et dans un minimum de temps, nous combattrons les trois cents kilomètres que nos ancêtres ont envahis en France. Voici les limites, Poitiers, Saint-Etienne, Lyon, les environs des Alpes et les Pyrénées. Toutes ces terres et ces villes sont celles de nos ancêtres. Après la guerre d’Afrique du Nord, nous allons envahir les trois cents kilomètres qui nous appartiennent et les ports de Toulon, Marseille, Bordeaux. Nous sommes les fils de Mohamed, fils de l’Islam.
Cinquante six ans après la diffusion de ce tract, la prophétie est en voie de se réaliser…
Aujourd’hui, le monde arabe, sous l’emprise des faux prophètes que sont les religieux, est obsédé par les souvenirs de grandeur, le tumulte des épopées oubliées, les magnificences des siècles révolus. A leurs fidèles, contemplatifs, crédules et soumis, ils annoncent l’arrivée du Madhi, de l’Envoyé, qui plierait les infidèles sous la loi du cimeterre, comme aux siècles de gloire… Ils font de cette effrayante prédiction leur principal thème de combat dénombrant au passage les millions d’hommes entassés dans les deltas des fleuves d’Asie, les fourmilières humaines qui grouillent aux confins du Gange, celles qui piétinent aux marches des déserts d’Arabie. Ils y ajoutent les peuples du Caucase et de l’Oural, ceux du Moyen-Orient et du Maghreb, ceux du Soudan, du Sénégal et du Niger. Et serrant l’Afrique et l’Asie dans leurs doigts, ils expliquent que rien désormais ne pourrait plus résister à l’avalanche, que c’est le nombre –c’est-à-dire eux- qui fera désormais la loi, que l’Histoire est en marche, que nul ne saurait plus jamais l’arrêter, que les signes qui annoncent la victoire sont évidents et que la fin de l’Occident est déjà écrite quelque part sur les livres de l’Eternel. Le monde arabe est ainsi devenu une gigantesque bouilloire où surgissent de toute part les faux prophètes comme des silhouettes d’apocalypse. Ils ne poussent plus leurs « fidèles » à la bataille… ils les convient à la curée.
C’est ainsi que ces hommes ont imaginé de mobiliser au profit de leurs calculs, la force de bélier de ces masses en mouvement et, couvrant d’un faux sens les mots qui les fascinent, ils leur ont donné des étendards sur lesquels sont peints les symboles éblouissants, mais qui ne dissimulent, en réalité, que de sauvages appétits de conquête, et un goût du meurtre et du sang hérité des âges barbares.
On peut se demander comment ces faux prophètes que sont les Oulémas et les Imans –des religieux !- peuvent allier les commandements de Dieu et les crimes atroces que perpétuent en son nom de par le monde les terroristes islamiques. Eux s’étonnent que l’on ose compromettre ou ralentir la résurrection de l’Islam avec des scrupules de ce genre. La guerre révolutionnaire que ces fanatiques ont entreprise a des exigences… et la terreur qu’ils font peser sur le monde en a d’autres plus cruelles encore. Et pour mieux inculquer à leurs troupes fanatisées cette nécessaire terreur, ils ont recours au miracle du verbe, sacrifiant des foules, offrant des hommes au moloch dans le creux de leurs paumes ouvertes, brassant des vivants inutiles, balayant des millions de morts du revers de leurs mains, et reconstruisant dans les transes de l’extase, un avenir qui n’a plus de sens puisque ne se levant que sur des charniers et des déserts.
En 1968, Abdallah Ghochach, juge suprême du Royaume hachémite de Jordanie s’exprimait en ces termes : « Le Djihad a été légiféré afin de devenir un moyen de propagation de l’Islam. En conséquence, les non-musulmans doivent venir à l’Islam soit de leur plein gré, soit de force par la lutte et le Djihad… La guerre est la base des relations entre les musulmans et leurs adversaires. »
Et voilà qu’aujourd’hui, la haine de l’Occident ramène les arabes vers l’Islam, un Islam farouche, fanatique comme aux premiers âges… Tous les pays arabes ont lancé en leur temps la guerre au nom de la « démocratie » et de la « liberté »… Nous avons connu cela en Algérie. Ils la prolongent dans cette croisade qui s’appelle la guerre sainte et que l’Occident aveuglé par l’obstination chrétienne, la conscience humaine et la morale ne perçoit même pas. Mais on ne la livre plus au nom des Evangiles ou des Philosophies, on se bat pour de chimériques recettes de bonheur, des fictions dangereuses, des illusions puériles. On bourre la cartouchière des terroristes de munitions mais on leur donne aussi une musette gonflée de mensonges qui entretiennent leur colère. On incite les peuples à la haine en indiquant aux uns qu’ils se battent toujours pour les mêmes misères et aux autres que les temps sont venus de recommencer l’épopée. Et du Gange à l’Atlantique, l’Islam renoue des forces irrésistibles… Il faut préparer la grande fête de la guerre pour chasser les infidèles et, fusil au poing et bombes dans les valises, bâtir de nouveaux empires plus étonnants encore que ceux de la légende. Reviendront ainsi les terribles images, celles que nous avons connues en Algérie : Les hommes égorgés, émasculés, pendus aux arbres des bois, les enfants cloués aux portes des masures et les femmes attachées à la queue des chevaux emballés. Enfin, des stratèges diaboliques ont compris le parti que l’on pouvait tirer des colères allumées par les mensonges dans le cœur des naïfs et des crédules. Ils ont cessé de faire la guerre eux-mêmes. Ils y ont poussé les peuples abusés. Ils payent ces mercenaires d’un nouveau genre avec des mots et pour exciter leur ardeur au suicide, ils leur ont insufflé le pire des poisons : La haine.
Partout montent les clameurs de ces peuples qui rêvent de revivre enfin la prodigieuse épopée scandée par le choc des cimeterres et dont les fastes illuminent encore la nuit des temps… Partout ces cris qui menacent l’Occident, l’invectivent et le vouent à la mort. La vieille prédiction de Kipling devient une réalité redoutable : « Voici que montent les multitudes à l’assaut de la passe de Khaybar… » Et pendant ce temps, pendant que s’accélère cette frénésie des peuples acharnés à assassiner l’Occident comme pour se venger d’avoir reçu de lui la vérité qui prête une force gigantesque à leur faiblesse millénaire, l’Occident se bat contre lui-même pour une définition puérile de la liberté.
José CASTANO
Rejoignez les rangs des hommes libres qui ont choisi de ne pas tomber dans la tromperie de l’islam ! Le troisième Reich n’a rien inventé…
FDF
.
« Malgré la propagande massive des organisations islamiques, de plus en plus de gens commencent à reconnaître l’islam pour ce qu’il est en réalité : une tromperie.
Je propose à tous les musulmans culturels ou n’importe quelle autre sorte de musulman non-djihadiste, d’accomplir avec courage ce qui est juste, et de faire le saut décisif : inhalez la vie à pleins poumons, respirez le délicat parfum de la liberté, oubliez cette tromperie de l’islam, et venez rejoindre les rangs des hommes libres, là où tous les membres de la tribu humaine peuvent vivre en paix et dans l’harmonie. »
L’islam n’est pas une religion mais une forme d’esclavage
Amil Imani est un Américain d’origine iranienne. Ancien musulman, il tente d’alerter le monde au danger de l’islam radical et de libérer ses coreligionnaires de l’emprise de l’islam. Écrivain, essayiste, poète, traducteur, conférencier et analyste politique, Imani collabore à la rédaction de FamilySecurityMatters.org et est l’auteur de Obama Meets Ahmadinejad et du thriller Operation Persian Gulf.
Dans le primitif désert d’Arabie, est apparu il y a quatorze siècles, un employé illettré d’une riche veuve, Khadija, prétendant être porteur de préceptes de vie parfaits dictés par Allah : le coran.
Il proclama que l’humanité n’avait rien de mieux à faire que de suivre ces préceptes et d’imiter son comportement dans la vie pour garantir son bonheur et son salut. En contrepartie, les gens devaient adopter l’islam – se soumettre – en inféodant leur liberté à Mahomet.
L’islam est la tromperie ayant rencontré le succès le plus énorme de l’histoire de l’humanité. Des millions de mollahs et d’imams entretiennent cette arnaque et un milliard et demi de croyants en paient le prix. Ils paient en argent, en labeur et même de leur vie pour les reconnaissances de dette des organisations musulmanes qui se faufilent dans la vie sans jamais la moindre goutte de sueur pour gagner leur pain quotidien. L’islam est une arnaque et les musulmans en sont les victimes.
Mahomet, pendant sa période mecquoise, était ridiculisé par les membres de sa propre tribu, les Quraychites, pour ses propos incohérents. Ils le surnommaient le « shaeron majnoon », le poète cinglé.
Le décès de sa première épouse, et très riche patronne, laissa Mahomet dans une situation précaire et à la merci des quolibets et du harcèlement des Mecquois. Il a pris la fuite vers Médine, et dans la sécurité relative de cette ville où vivait une large communauté juive tolérante, il trouva davantage de gens disposés à rejoindre sa clique.
Arrivé à Médine, Mahomet imagina une formule à succès plus performante : il justifia tout en prétendant que c’était la volonté d’Allah. Et Allah ne devait pas être pris à la légère. Il détient les clés du plus magnifique paradis et du plus horrible enfer. L’obéissance aveugle aux paroles et aux désirs de Mahomet devint un devoir pour tout bon musulman. Mahomet se transforma en gardien du paradis et de l’enfer d’Allah. Cette formule magique a très bien marché avec les Bédouins d’Arabie qui prospéraient grâce aux pillages et aux meurtres. Sa religion se répandit comme une pandémie, en un temps record.
Alors que Mahomet rassemblait de plus en plus d’adeptes, il se retourna contre la communauté juive de Médine, tua les hommes, pilla leurs biens et emmena leurs femmes et leurs enfants comme esclaves. C’était la naissance du « djihad ». Etre tout mielleux et cacher son jeu au début, puis dégainer le glaive dès que l’on a gagné en puissance. Cela marchait à l’époque et cela marche encore.
En un temps record, ces sauvages du désert arabique, émoustillés par la promesse gagnant-gagnant de Mahomet – soit tu assassines et tu as le butin dans ce bas-monde, soit tu es tué et tu demeures pour l’éternité dans les jouissances et les voluptés inimaginables du paradis d’Allah – se ruèrent, sabre au clair, en avant vers la conquête des terres lointaines.
Contrôle mental
Les êtres humains se déplacent sur leurs deux pieds, mais c’est l’esprit qui dicte la direction à prendre dans la vie et ce qu’il convient de faire. Là où l’esprit ordonne d’aller, là on va. Cependant, l’esprit humain n’arrive pas dans ce monde avec la marche à suivre. Contrairement à certaines opinions, nous sommes nés ni anges ni démons. Chacun de nous a le potentiel de devenir ange ou démon. La plupart évoluent vers un mélange des deux, quelques rares spécimens évoluent vers une voie angélique, d’autres deviennent l’incarnation du Mal. La programmation mentale joue un rôle crucial dans ce que nous devenons.
L’islam, dès son origine, a découvert le secret crucial de formater les très jeunes esprits, selon l’adage : instruire dans la petite enfance c’est comme sculpter dans le roc. Dans la même veine, les Jésuites disent « Donnez-moi un enfant jusqu’à ses sept ans et je vous rendrai un homme », c’est une application de la philosophie et de la théologie de Saint Augustin. L’importance immense de s’adresser à des enfants très jeunes est également soulignée par des doctrines non-religieuses, allant de la psychanalyse freudienne à la psychologie behavioriste de Watson.
Les apologistes de l’islam
Et nous voilà, au 21ème siècle, face aux assauts des islamistes, des djihadistes et des apologistes de l’islam dans notre culture et notre mode de vie. Voici les fruits nocifs de l’arbre fallacieux planté par Mahomet il y a 1400 ans.
Les docteurs autoproclamés de la religion musulmane pratiquent universellement un enrobage mielleux pour camoufler la vaste escroquerie de l’islam. Ils affirment haut et fort l’importance d’accepter les choses sans discuter, dénigrent la raison, alternent la carotte et le bâton et exigent une soumission inconditionnelle en contrepartie de la promesse du bonheur et du salut. Les masses marchent au pas, entretiennent un clergé parasitaire au mode de vie somptueux, et le manège continue à tourner. Cela fonctionne comme un envoûtement. Tu utilises le djihad de l’épée si tu peux, ou sinon le djihad soft puis tu dégaines le sabre pour terminer le boulot. Et surtout, n’oublie pas : « La fin justifie les moyens », prêchent sans cesse les apologistes de l’islam à leurs hordes.
Les apologistes de l’islam n’exposent jamais la vérité nue de l’islam. Ils ne mentionnent jamais cet islam qui se nourrit de haine, jette de l’acide au visage des femmes qui ont omis leur voile et aux fillettes sur le chemin de l’école, fouette ceux qui arborent des coiffures non-islamiques, lapide à mort ceux qui dévient de ses normes sexuelles et toutes ces sortes d’atrocités comme les crimes d’honneur. Ils ne disent jamais non plus que la pédophilie est institutionnalisée par l’islam.
Le prophète Mahomet a « épousé » une fillette de six ans et a consommé ce mariage quand Aicha avait seulement neuf ans, alors qu’il allait sur ses 60 ans. Quand les apologistes sont confrontés au sujet de ce comportement répugnant du fondateur de leur si « parfaite religion », certains exercent le mécanisme de défense du déni et prétendent que cela ne s’est jamais passé, reniant leurs propres sources historiques les plus fiables. D’autres prétendent que ce n’était pas vraiment un mariage mais une alliance seulement politique, une action de l’émissaire parfait d’Allah. Et depuis lors, des cas innombrables d’enfants violées ont lieu dans le monde musulman, copiant l’exemple de Mahomet. Des fillettes prépubères sont mariées à des vieillards. Il y a peu de temps, le Dr Salih bin Fawzan, un religieux éminent et membre du plus haut Conseil religieux saoudien, a émis une fatwa proclamant qu’il n’y a pas d’âge minimum pour le mariage et que les fillettes peuvent être mariées « même lorsqu’elles sont encore au berceau ».
Pour aggraver le tout, l’islam a des alliés puissants et inconscients dans la masse des braves mais naïfs Américains qui se mettent en quatre pour protéger leur cher principe de liberté de religion. Et toute cette frange bien-pensante de notre société incite Hillary Clinton, par exemple, à accorder un visa à des types comme Tariq Ramadan, qui viennent chez nous pour exploiter le filon d’un système généreux et ouvert afin d’y établir la servitude musulmane.
L’islam est politique jusqu’au noyau. Dans l’islam la mosquée et l’Etat ne sont qu’une seule et même chose, la mosquée est l’Etat et cela remonte au temps de Mahomet. L’islam est également radical à l’extrême. Même l’islam « modéré » est radical dans ses croyances et dans ses actes. Les musulmans sont convaincus que tous les non-musulmans, absolument tous, sont condamnés aux feux de l’enfer et méritent d’être maltraités, comparés aux croyants.
Un vrai musulman ne croit pas à la liberté et il ne le peut pas. Tout est volonté d’Allah, répète Mahomet. Tout ce que fait un musulman est en référence à un ordre ou à un décret d’Allah. C’est pour cette raison que la phrase « Inch Allah » (si Allah veut) accompagne toujours une promesse ou une décision que font les croyants. En acceptant Mahomet en tant qu’émissaire éternel et infaillible d’Allah, le musulman abandonne toute liberté de décider par lui-même.
Les musulmans et la liberté
L’abdication totale de leur liberté n’est pas une simple question de choix personnel pour les musulmans. Ils renoncent à leurs plus précieux droits et s’efforcent que les autres y renoncent aussi, de gré ou de force. On dit que la misère adore avoir de la compagnie. Or ce genre de misère que l’escroquerie de l’islam impose aux musulmans est une peste envahissante et doit être combattue par tous ceux qui chérissent leur liberté innée.
Malgré la propagande massive des organisations islamiques, de plus en plus de gens commencent à reconnaître l’islam pour ce qu’il est en réalité : une tromperie.
Je propose à tous les musulmans culturels ou n’importe quelle autre sorte de musulman non-djihadiste, d’accomplir avec courage ce qui est juste, et de faire le saut décisif : inhalez la vie à pleins poumons, respirez le délicat parfum de la liberté, oubliez cette tromperie de l’islam, et venez rejoindre les rangs des hommes libres, là où tous les membres de la tribu humaine peuvent vivre en paix et dans l’harmonie.
Source : The Fraud of Islam, par Amil Imani, 24 novembre 2011. Traduction par Capucine pour Poste de veille
La taqiyya est non seulement permise mais fortement encouragée. Et ce, dans tous les domaines où les musulmans ont accès… Le mensonge est aussi un pilier de l’islam…
Du moment qu’on le sait…
FDF
.
.
Mahomet — qui constitue [pour le musulman] l’exemple de l’être humain parfait, dont la conduite doit être imitée dans les moindres détails — avait une conception pragmatique du mensonge. »
De plus, selon Mukaram, cette tromperie est classée comme taqiyya:
« la taqiyya servant à duper l’ennemi est permise » (13).
Plusieurs ulémas estiment que la tromperie fait partie intégrante de l’art de la guerre.
« La taqiyya pose un ensemble de problèmes éthiques.
Quiconque croit véritablement que Allah justifie, et même, par l’exemple de son prophète, encourage la tromperie, n’aura aucun scrupule éthique à mentir. »
« Puisque Allah est censé être la source de ces versets révélés, il est considéré comme étant Lui-même implicitement le perpétrateur absolu du mensonge, ce qui n’a rien de surprenant puisque il est décrit dans le Coran comme étant le meilleur makar, c’est-à-dire fourbe, trompeur »
« On peut conclure que face à l’opposition naturelle entre guerre et paix, qui existe dans le cadre occidental, il est plus approprié de parler d’une opposition entre guerre et dissimulation dans le cadre islamique. Car, selon le point de vue islamique, les périodes de paix, qui n’ont lieu que quand l’islam est plus faible que ses rivaux infidèles, sont des périodes de paix simulée et de dissimulation, bref de taqiyya. »
La doctrine de la Taqiyya
Les formulations de la taqiyya
La tromperie dans les exploits guerriers de Mahomet
La taqiyya dans la révélation coranique
La guerre est éternelle
L’hostilité sous les traits de la récrimination
Taqiyya ou fourberie musulmane
Voilà qui résume assez le texte ci-dessous, que je vous conseille de lire, afin de ne pas vous laisser berner encore plus, le titre à lui seul est suffisamment évocateur et explicite.
ET ENSUITE VOUS NE POURREZ PAS DIRE QUE VOUS NE SAVIEZ PAS CE QUI SE TRAMAIT, et à QUI NOUS AVONS à FAIRE.
La Taqiyya et les règles de la guerre islamique
par Raymond Ibrahim
Middle East Quarterly
Translation of the original text: How Taqiyya Alters Islam’s Rules of War
Adaptation française: Jean Szlamowicz, pour debriefing.org
http://www.meforum.org/2577/taqiyya-regles-guerre-islamique
L’islam doit apparaître aux non-musulmans comme une religion bien paradoxale. D’un côté, on ne cesse de la présenter comme la religion de la paix et, de l’autre, ses membres sont responsables de la majorité des actes terroristes dans le monde. Les apologistes de l’islam soulignent que cette foi se fonde sur une grande exigence éthique. Les autres constatent qu’il s’agit d’une religion légaliste. La dualité des critères de vérité et de fausseté dans l’islam révèle une nature paradoxale : car si le Coran est contre les croyants qui trompent d’autres croyants (en vertu du fait que « Allah ne guide pas celui qui est outrancier et menteur » (1), la tromperie aux dépens des non-musulmans, généralement appelée, en arabe, taqiyya, reçoit également l’approbation coranique et fait partie des actes légalement permis aux musulmans.
La tromperie musulmane peut être considérée comme un moyen, qui manque, certes, de noblesse, au service de la fin glorieuse que constitue l’hégémonie islamique de la chariah, considérée comme favorable aux musulmans et aux non-musulmans. En ce sens, il s’agit d’un mensonge altruiste, ce qui est autorisé. L’imam Mahmoud al-Masri a récemment donné en exemple une histoire où un musulman raconte un mensonge à un Juif pour le forcer à la conversion, et dont il parle comme d’une « magnifique tromperie ».
La taqiyya a deux utilisations principales. La plus connue consiste à masquer ses convictions religieuses par crainte de persécutions. Il s’agit là de pratiques historiques de la taqiyya au sein de la communauté chiite, dans tous les cas où leurs rivaux sunnites étaient plus nombreux et constituaient une menace. Inversement, les sunnites, loin d’être persécutés, ont toujours pratiqué quand c’était possible une forme de taqiyya au service du djihad contre les incroyants, faisant de la taqiyya une pratique non plus seulement de dissimulation, mais de tromperie active. En fait, le mensonge, qui a, dans l’islam, un fondement doctrinal, est souvent présenté comme égal, et parfois supérieur, aux autres vertus guerrières que sont le courage, la détermination, ou le sacrifice.
On pourra se demander comment il se fait que les musulmans soient à la fois exhortés à la sincérité et encouragés à la tromperie, et que cette dernière soit non seulement dominante mais bénéficie aussi de l’approbation divine.
Qu’est-ce au juste que la taqiyya? Comment les théologiens, ainsi que ceux qui en font usage, la justifient-ils ? Comment s’inscrit-elle dans l’éthique islamique, notamment dans son rapport avec les non-musulmans ? Et, plus précisément, quelles sont les implications de la taqiyya pour toutes les relations entre musulmans et non-musulmans ?
La doctrine de la Taqiyya
Selon la charia, c’est-à-dire l’ensemble des règles qui définissent le comportement d’un musulman dans toutes les circonstances de la vie, la tromperie est non seulement permise dans certaines circonstances mais peut être considérée comme obligatoire. Contrairement à la tradition chrétienne primitive, les musulmans contraints de choisir entre reniement de l’islam et persécution avaient la permission de mentir et de feindre l’apostasie. D’autres juristes ont décrété que les musulmans étaient obligés de mentir afin de se préserver (2), en se fondant sur les versets coraniques qui interdisent aux musulmans de concourir à leur propre mort (3).
Telle est la définition classique de la taqiyya. Construit sur un mot arabe connotant la crainte, le terme de taqiyya passe (notamment auprès des chercheurs occidentaux) pour une stratégie à laquelle on peut avoir recours en cas de persécution religieuse, ainsi que les groupes minoritaires chiites l’ont fait quand ils vivaient au sein de majorité sunnites hostiles (4). La taqiyya a ainsi permis fréquemment aux chiites de masquer leur appartenance religieuse face aux sunnites, non seulement en remisant leurs convictions religieuses à la clandestinité, mais en priant et en se comportant comme des sunnites.
Cependant, l’un des rares ouvrages consacrés à ce sujet, At-Taqiyya fi’l-Islam (« De la dissimulation dans l’islam ») dit clairement que la taqiyya ne se limite pas à la dissimulation par crainte de persécutions. Son auteur, Sami Mukaram, ancien professeur d’études islamiques à l’niversité américaine de Beyrouth, qui a écrit environ vingt-cinq ouvrages sur l’islam, démontre clairement la variété des applications de la taqiyya :
« La taqiyya est d’une importance fondamentale dans l’islam. Pratiquement toutes les factions islamiques la reconnaissent et la pratiquent (…) On peut même dire que la pratique de la taqiyya fait partie de la norme de l’islam, et que les rares factions qui ne la pratiquent pas sont justement en dehors de la norme musulmane. La taqiyya est dominante dans la politique islamique, en particulier durant la période moderne » (5).
La taqiyya n’est donc pas, comme on le suppose souvent, un phénomène exclusivement chiite. Bien sûr, en tant que minorité dispersée au sein de communautés sunnites ennemies, les chiites ont historiquement plus de raisons de pratiquer la dissimulation. Inversement, l’islam sunnite ayant rapidement dominé de vastes empires, de l’Espagne à la Chine, ses membres ne devaient rien à personne et n’eurent pas à faire allégeance à d’autres, ni à se cacher face à des incroyants infidèles (l’Espagne et le Portugal de la Reconquista sont les rares exceptions où les sunnites ont dissimulé leur identité religieuse (6)). Ironiquement, les sunnites qui vivent en Occident se trouvent désormais dans la situation qui était celle des chiites, puisqu’ils vivent comme une minorité encerclée par ses ennemis traditionnels, les chrétiens infidèles. Ces derniers, à la différence des chrétiens de la Reconquista, se comportent rarement en adéquation avec cette inimitié historique, et la reconnaissent encore moins. En fait, les sunnites se retrouvent dans les circonstances générales qui ont fait de la taqiyya un élément important du chiisme mais sans risquer la menace physique qui en avait été initialement la source.
Les formulations de la taqiyya
Le verset 3:28 du Coran est souvent considéré comme le premier qui admet la tromperie envers les non-musulmans :
« Que les croyants ne prennent pas pour alliés des infidèles au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux » (7).
Muhammad ibn Jarir at-Tabari (mort en 923), auteur d’un commentaire du Coran, qui fait autorité, explique ainsi le verset 3:28 :
« Si vous [les musulmans] êtes sous l’autorité de non-musulmans et craignez pour vous-mêmes, conduisez-vous avec une apparence de loyauté envers eux, par la parole, tout en conservant votre hostilité à leur égard par devers vous (…) [sachez que] Allah a interdit aux croyants de se montrer amical ou intime avec les infidèles, sauf si les infidèles les dominent. Dans ce cas précis, qu’ils se comportent amicalement avec eux tout en préservant leur religion » (8).
Toujours à propos de ce verset du Coran, Ibn Kathir (mort en 1373), qui est une autre grande autorité coranique, écrit :
« Quel que soit le lieu ou le moment, quiconque craint des tourments [venant de non-musulmans] peut se protéger en donnant le change ».
Il en veut pour preuve une citation d’Abu Darda, proche compagnon de Mahomet, enjoignant d’« arborer un large sourire face à certaines personnes tandi cœur les maudit »s que notre. Un autre compagnon, connu sous le nom d’Al-Hasan, a dit que « la pratique de la taqiyya est acceptable jusqu’au jour du jugement » (c’est-à-dire jusqu’à la fin des temps) (9).
D’autres savants importants, comme Abu ‘Abdullah al-Qurtubi (1214-73) et Muhyi ‘d-Din ibn al-Arabi (1165-1240), ont étendu la taqiyya jusqu’à l’appliquer à de nombreuses actions. En d’autres termes, les musulmans peuvent se conduire comme des infidèles ou même pire, par exemple en se prosternant et en adorant des idoles et des croix, en portant de faux témoignages, ou même en montrant les faiblesses d’autres musulmans à l’ennemi infidèle — tout est permis sauf tuer un autre musulman :
« la taqiyya, même si elle est pratiquée sans contrainte, ne mène pas à un statut d’infidèle, même si elle peut mener à des péchés méritant le feu de l’enfer » (10).
La tromperie dans les exploits guerriers de Mahomet
Mahomet — qui constitue [pour le musulman] l’exemple de l’être humain parfait, dont la conduite doit être imitée dans les moindres détails — avait une conception pragmatique du mensonge. Il est notamment bien connu qu’il permettait de mentir dans trois situations : pour réconcilier entre deux parties, ou plus, qui sont en conflit, pour calmer sa femme, et à la guerre (11). Selon un manuel de droit arabe consacré au djihad tel qu’il est défini par les quatre écoles du droit islamique,
« les ulémas [savants] considèrent que la tromperie en temps de guerre est légitime (…) la tromperie est une forme de l’art de la guerre » (12).
De plus, selon Mukaram, cette tromperie est classée comme taqiyya:
« la taqiyya servant à duper l’ennemi est permise » (13).
Plusieurs ulémas estiment que la tromperie fait partie intégrante de l’art de la guerre. Ibn al-‘Arabi déclare, par exemple :
« dans les hadiths [citations et actions de Mahomet], le mensonge en temps de guerre est bien attesté. En fait, le mensonge est davantage souligné que l’obligation de courage ».
Ibn al-Munir (mort en 1333) écrit :
« La guerre est tromperie, la guerre la plus parfaite qu’un saint guerrier puisse faire est une guerre de tromperie et non de confrontation, car la confrontation comporte des risques, tandis que l’on peut obtenir la victoire par traîtrise et sans risque pour soi ».
Quant à Ibn Hajar (mort en 1448), il conseille aux musulmans d’adopter
« une attitude très prudente dans la guerre, tout en se lamentant [publiquement] et en portant le deuil de manière à tromper les infidèles » (14).
Cette conception musulmane de la guerre comme tromperie renvoie à la bataille du Fossé (627), qui opposa Mahomet et ses disciples à plusieurs tribus non musulmanes, connues sous le nom de Al-Ahzab. Parmi ces derniers, Na’im ibn Mas’ud se rendit dans le camp musulman et se convertit à l’islam. Quand Mahomet s’aperçut que les Ahzab n’étaient pas au courant de la conversion de Mas’ud, il lui conseilla de retourner auprès d’eux et de les décider à lever le siège. C’est à cette occasion que Mahomet est censé avoir émis l’adage célèbre, « car la guerre est tromperie ». Mas’ud retourna auprès des Ahzab sans qu’ils sachent qu’il avait changé de camp et, de son côté, il donna des informations fausses à ses anciens amis et alliés. Il s’efforça également de générer des querelles entre les différentes tribus jusqu’à ce que, pleines de méfiance les unes envers les autres, elles finissent par se séparer et lever le siège, sauvant ainsi les musulmans de la destruction dans cette période encore embryonnaire [de l’islam] (15).
Plus récemment, des complices de l’attentat du 11-Septembre, tel Khalid Sheikh Muhammad, ont invoqué, dans leur défense, comme raison de leur rôle dans la conspiration, l’argument du prophète selon lequel « la guerre est tromperie ».
On trouve une autre expression encore plus puissante de la légitimité qu’il y a à tromper des infidèles, dans l’anecdote suivante. Un poète, Ka’b ibn Ashraf, avait offensé Mahomet, lequel s’était exclamé « Qui tuera cet homme qui a blessé Allah et son prophète ? ». Un jeune musulman nommé Muhammad ibn Maslama s’était porté volontaire, à condition que pour s’approcher de Ka’b afin de l’assassiner, il ait la permission de lui mentir. Mahomet lui donna son accord. Ibn Maslama alla voir Ka’b et commença à dire du mal de l’islam et de Mahomet. Il continua ainsi jusqu’à ce que ses paroles soient assez convaincantes pour que Ka’b se fie à lui. Ibn Maslama ne tarda pas alors à se présenter avec un autre musulman et à tuer Ka’b qui ne se méfiait plus (16).
Mahomet a pris d’autres positions qui font de la tromperie une action positive, comme lorsqu’il dit :
« Allah m’a commandé de parler de façon équivoque parmi les peuples, au même titre qu’il m’a commandé d’édicter des obligations [religieuses] » ;
ou encore :
« J’ai été envoyé dans des conditions impénétrables »,
et
« celui qui vit dans la dissimulation meurt en martyr » (17).
Bref, les premières sources historiques de l’islam attestent clairement de l’importance suprême de la taqiyya comme d’une forme islamique de guerre. De plus, les premiers musulmans sont souvent décrits comme capables de se sortir de situations difficiles grâce au mensonge, notamment en reniant ou en insultant l’islam et Mahomet avec l’approbation de ce dernier – son seul critère étant que leurs intentions (niya) soient pures (18). Au cours des guerres contre les chrétiens, à chaque fois que les chrétiens avaient le pouvoir, la pratique de la taqiyya devint même plus totale. Ainsi que l’affirme Mukaram :
« la taqiyya était utilisée comme un moyen, pour les musulmans, de repousser le danger, en particulier aux moments critiques où leurs frontières étaient l’objet de guerre avec les Byzantins, et, plus tard, l’objet des raids [croisades] des Francs et des autres » (19).
La taqiyya dans la révélation coranique
Le Coran lui-même apporte d’autres témoignages concernant la taqiyya. Puisque Allah est censé être la source de ces versets révélés, il est considéré comme étant Lui-même implicitement le perpétrateur absolu du mensonge, ce qui n’a rien de surprenant puisque il est décrit dans le Coran comme étant le meilleur makar, c’est-à-dire fourbe, trompeur (par exemple : 3:54, 8:30, 10:21).
Alors que les autres Ecritures saintes contiennent des contradictions, le Coran est le seul texte à propos duquel les commentateurs ont développé une doctrine pour rendre compte des changements visibles d’une injonction à une autre. Un lecteur attentif ne peut manquer de remarquer les versets contradictoires du Coran, notamment la façon dont les versets de paix et de tolérance se retrouvent quasiment côte à côte avec des versets de violence et d’intolérance. Les ulémas furent embarrassés, au départ, pour décider à partir de quels versets codifier l’ordre social de la chariah : celui qui affirme que la religion ne peut exercer de coercition (2:256), ou celui qui ordonne aux croyants de combattre tous les non-musulmans jusqu’à leur conversion, ou au moins leur soumission à l’islam (8:39, 9:5, 9:29) ? Pour résoudre ce dilemme, les commentateurs ont développé la doctrine de l’abrogation, qui, en gros, stipule, quand il y a contradiction, que les versets révélés à Mahomet tardivement prennent le pas sur ceux formulés au début de sa vie. C’est ainsi que, pour déterminer quel verset abroge quel autre, une science théologique consacrée à la chronologie des versets du Coran a été créée (on l’appelle an-Nasikh wa’l Mansukh – ce qui abroge et ce qui est abrogé).
Mais pourquoi y aurait-il une contradiction ? La réponse classique est que, dans les premières années de l’islam, Mahomet et sa communauté étant largement inférieurs en nombre aux infidèles avec lesquels ils étaient en concurrence et qui vivaient avec eux à la Mecque, un message de coexistence pacifique était de rigueur. Cependant, après l’exil des musulmans à Médine, en 622, et le développement de leur force guerrière, les versets les incitant à l’offensive leur furent progressivement « révélés », c’est-à-dire en principe envoyés par Allah, à mesure que la puissance des musulmans augmentait. Dans les textes juridiques, ces versets sont classés en différentes catégories : passivité face à l’agression ; permission de répliquer face à des agresseurs ; commandement incitant à combattre les agresseurs ; commandement incitant à combattre tous les non-musulmans qu’ils aient été initialement agresseurs ou pas (20). Le développement de la puissance musulmane est la seule variable fournie pour expliquer ces changements graduels de politique.
D’autres érudits renforcent cette conception en soulignant que sur une période de 22 ans, le Coran a été révélé petit à petit et a d’abord privilégié des versets ne réclamant pas d’action et restant de nature spirituelle avant de passer ensuite à des prescriptions et des injonctions réclamant de diffuser la foi par le djihad et la conquête, et ce de manière à ne pas rebuter les premiers convertis musulmans face aux devoirs qui sont ceux de l’islam, et éviter qu’ils ne soient découragés par les obligations importantes qui n’apparaîtront que dans les versets plus tardifs (21). Ces versets – tel celui qui dit : « Il vous est prescrit de combattre, même si cette prescription, vous l’avez en horreur » (22), auraient été déplacés à un moment où la guerre n’était pas pensable.
Quelles que soient les interprétations de l’abrogation dans le Coran, l’opinion commune sur la question des versets concernant la guerre et la paix est que, quand les musulmans sont en position de faiblesse, ou minoritaires, ils doivent prêcher et être fidèles à l’éthique des versets mecquois (paix et tolérance) ; alors que, lorsqu’ils sont en position de force, ils doivent passer à l’offensive sur la base des commandements figurant dans les versets de Médine (guerre et conquête). Les avatars de l’histoire islamique témoignent de cette dichotomie et se reflètent dans le proverbe communément admis parmi les musulmans et qui se fonde sur un hadith, selon lequel le djihad doit être réalisé par la main (par la force), ou sinon, par la langue (par le prêche), et si cela n’est pas possible, par le cœur ou par les intentions secrètes de chacun (23).
La guerre est éternelle
Que l’islam légitime la tromperie dans le cadre de la guerre n’a, bien sûr, rien d’étonnant. Après tout, comme l’a formulé un auteur élizabéthain, John Lyly, « tout est bon, en amour comme à la guerre » (24). D’autres philosophes ou stratèges non musulmans, comme Sun Tzu, Machiavel et Thomas Hobbes, ont justifié la tromperie dans la guerre. Tromper l’ennemi dans le cadre de la guerre relève du bon sens. La différence cruciale avec l’islam, c’est que la guerre contre l’infidèle est considérée comme permanente, et dure, selon le Coran, jusqu’à ce que « cesse tout chaos et que toutes les religions appartiennent à Allah » (25). Dans son article sur le djihad de l’Encyclopaedia of Islam, Emile Tyan remarque :
« le devoir de jihad existe aussi longtemps que la domination universelle de l’islam n’a pas été atteinte. La paix avec les nations non musulmanes n’est donc que provisoire, et seul le hasard des circonstances peut la justifier de manière provisoire » (26).
De plus, et pour en revenir à la doctrine de l’abrogation, des érudits musulmans comme Ibn Salama (mort en 1020) s’accordent pour dire que le verset 9:5 du Coran, connu sous le nom de ayat as-sayf, ou verset du sabre, abroge environ 124 des versets mecquois plus pacifistes, car cela inclut « tous les versets coraniques qui prêchent autre chose qu’une offensive totale contre les non-croyants » (27). En fait, les quatre écoles de la jurisprudence sunnite sont d’accord pour dire que
« le djihad consiste à faire la guerre aux infidèles qui, après qu’on leur ait enjoint d’embrasser l’islam, ou au moins de payer une [jizya] et de vivre soumis, ont refusé de le faire » (28).
Le caractère obligatoire du djihad est clairement exprimé par la vision du monde dichotomique qui oppose le « royaume de l’islam » au « royaume de la guerre ». Le premier s’appelle, dar al-Islam, ou « règne de la soumission », et représente le monde où domine la chariah. Le second, dar al-Harb, ou règne de la guerre, représente le monde non-islamique. Le combat se perpétue jusqu’à ce que le règne de l’islam engloutisse le monde non-islamique. Cet état de fait est celui qui existe encore aujourd’hui. Le très célèbre historien et philosophe musulman, Ibn Khaldun, (mort en 1406) formule clairement cette opposition :
« Dans la communauté musulmane, le djihad est un devoir religieux en raison de l’universalisme de la mission musulmane et de l’obligation de convertir tout le monde à l’islam par la persuasion ou par la force. Les autres groupes religieux n’avaient pas une mission universelle et le djihad n’était pas un devoir religieux pour eux, excepté pour des raisons défensives. Mais l’islam est obligé de conquérir le pouvoir contre les autres nations » (29).
Enfin, indépendamment de tous les faits avérés, il est bon de noter — à moins qu’on puisse encore trouver déraisonnable qu’une foi ayant un milliard d’adeptes oblige à déclencher en son nom des guerres sans raison — que l’expansionnisme djihadiste est considéré comme un acte altruiste, un peu à la manière de l’idéologie du « fardeau de l’homme blanc » au XIXe siècle. Selon cette logique, que le monde vive en démocratie sous le socialisme, le communisme ou tout autre système de gouvernance, il vit inévitablement enchaîné dans le péché, car le bien suprême de l’humanité réside dans l’accord avec la loi d’Allah. Dans ce contexte, la tromperie musulmane peut être considérée comme un moyen, légèrement inférieur en noblesse, dans un but glorieux : l’hégémonie islamique du règne de la chariah, en tant qu’elle est bonne pour tous, musulmans comme non-musulmans.
Cette conception n’a en fait rien de neuf. Peu après la mort de Mahomet, en 634, avec la déferlante de guerriers du djihad, venue de la péninsule arabique, un commandant perse, qui ne devait pas tarder à succomber à l’invasion, demanda aux musulmans ce qu’ils désiraient. La réponse – mémorable – fut la suivante :
« Allah nous a envoyés ici afin que nous puissions libérer ceux qui le désirent de la servitude de leurs maîtres terrestres et en faire les serviteurs d’Allah, afin de transformer leur misère en richesse et les libérer de la tyrannie et du chaos des [fausses] religions et leur apporter la justice de l’islam. Il nous a envoyés pour apporter sa religion à toutes ses créatures et leur lancer un appel pour qu’ils rejoignent l’islam. Tous ceux qui accepteront cet appel seront saufs et nous les laisserons en paix. Mais quiconque refuse cet appel sera combattu jusqu’à ce que nous accomplissions la promesse d’Allah » (30).
Mille quatre-cent ans plus tard, en mars 2009, le juriste saoudien, Basem Alem, se fit l’écho de cette conception :
« En tant que membre de la vraie religion, j’ai davantage de droit à envahir les autres afin d’imposer un certain mode de vie [la chariah], dont l’histoire a démontré qu’il était le meilleur et le plus juste parmi toutes les civilisations. Tel est le véritable sens du djihad offensif. Quand nous nous engageons dans le djihad, ce n’est pas pour convertir les gens à l’islam, mais pour les libérer du sombre esclavage dans lequel ils vivent » (31).
Et il va sans dire que la taqiyya au service d’un tel altruisme est permise. Par exemple, très récemment, après avoir raconté une histoire où un musulman force un Juif à se convertir à l’islam en lui disant que s’il renonçait à l’islam, les musulmans le tueraient pour apostasie, l’imam Mahmoud al-Masri a parlé d’une « magnifique tromperie » (32). Après tout, d’un point de vue islamique, c’est le Juif qui a été le bénéficiaire de cette tromperie puisqu’elle l’a fait entrer dans l’islam.
Trèves et traités
La nature perpétuelle du djihad est soulignée par le fait, soutenu par les juristes, que 10 ans est la durée maximale de paix pour les musulmans avec les infidèles. Une fois que le traité a expiré, la situation doit être réévaluée. Ils s’appuient sur le traité de paix d’Hudaybiya ratifié en 628 par Mahomet et ses ennemis Quraysh à la Mecque. L’exemple de Mahomet qui brisa ce traité au bout de deux ans (en prétextant une infraction des Quraysh) montre que la seule fonction d’une trève est de permettre aux musulmans s’ils sont affaiblis de gagner du temps et de se regrouper avant une nouvelle offensive (33) :
« Par leur nature même, les traités doivent avoir une durée temporaire, car, dans la théorie juridique musulmane, les relations normales entre territoires musulmans et non-musulmans ne sont pas pacifiques mais guerrières » (34).
En se fondant sur ce point,
« les fuqaha [juristes] sont d’accord pour considérer une trève illimitée comme illégitime, si les musulmans sont en position assez forte pour repartir en guerre contre les non-musulmans » (35).
Bien que la chariah demande aux musulmans d’honorer les traités, il existe donc une sortie possible qui est propice aux abus : si les musulmans pensent, même sans preuves solides, que leurs ennemis vont rompre le traité, ils peuvent le briser les premiers. De plus, certaines écoles de droit islamique, comme celle des Hanafites, affirment que les responsables musulmans peuvent abroger les traités tout simplement si cela semble être à l’avantage de l’islam (36). Cela n’est pas sans rappeler le hadith canonique suivant :
« si tu fais serment de procéder à une action et que tu te rends compte, plus tard, qu’une autre action est meilleure, alors tu devras renier ton serment et faire ce qui est mieux » (37).
Et qu’y a-t-il de mieux et de plus altruiste que de rendre la parole d’Allah dominante en déclenchant à nouveau le djihad dès que possible ? Traditionnellement, les dirigeants musulmans lançaient un djihad au moins une fois par an. Ce rite est particulièrement remarquable chez les sultans ottomans, qui passaient la moitié de leur vie sur le champ de bataille (38). Le devoir de djihad était tellement important, que les sultans n’avaient pas le droit d’effectuer le pèlerinage à la Mecque – qui est pourtant un devoir individuel pour chaque musulman. C’est leur prise en main du djihad qui a permis à ce rite collectif de perdurer, autrement, il serait tombé en désuétude (39).
Pour résumer, le prérequis pour la paix ou la réconciliation est que les musulmans aient l’avantage. C’est ce que démontre un texte sunnite qui fait autorité, Umdat as-Salik, écrit par un érudit égyptien du XIVe siècle, Ahmad Ibn Naqib al-Misri :
« On doit trouver un bénéfice [maslaha] à la trève, autre que le seul status quo, car [il est écrit] :
« Ne soyez pas pusillanimes en offrant la paix à l’ennemi quand vous êtes les plus forts ! » [Coran, 47:35] » (41).
On rappellera un épisode plus récent, et qui est d’une importance majeure pour les dirigeants occidentaux qui recommandent la coopération avec les islamistes. Yasser Arafat venait de négocier un traité de paix qui avait été vivement critiqué comme concédant trop de choses à Israël. Il s’adressa alors à une assemblée musulmane dans une mosquée de Johannesburg, et se justifia en ces termes :
« Je considère cet accord au même titre que l’accord signé par notre prophète Mahomet et les [Banei] Quraysh de la Mecque » (42). En d’autres termes, comme Mahomet, Arafat n’avait donné sa parole que pour la renier une fois que la situation le permettrait, c’est-à-dire quand les Palestiniens seraient à nouveau en position de passer à l’offensive et de reprendre la route de Jérusalem. Dans d’autres contextes, Hudaybiya a fait figure de mot-clé pour les islamistes radicaux. Le Moro Islamic Liberation Front avait trois camps d’entraînement au sein du complexe d’Abu Bakar dans les Philippines et l’un d’eux s’appelait Camp Hudaybiya (43).
L’hostilité sous les traits de la récrimination
Dans les discours à destination des opinions publiques européennes ou américaines, les islamistes soutiennent que le terrorisme qu’ils exercent contre l’Occident n’est que la réciprocité de décennies d’oppression occidentale ou israélienne. Mais dans les écrits qui s’adressent aux autres musulmans, cet esprit vindicatif n’est pas présenté comme la réaction à une provocation militaire ou politique, mais comme le produit d’une obligation religieuse.
Par exemple, quand il s’adresse au public occidental, Ousama ben Laden dresse la liste des récriminations qui justifient sa guerre contre l’Occident, depuis l’oppression des Palestiniens jusqu’à l’exploitation de la femme par l’Occident, ou même le fait que les Etats-Unis n’ont pas signé le protocole de Kyoto, ce qui constitue des arguments audibles pour l’opinion occidentale. Jamais il ne justifie les attaques d’Al-Qaïda contre les cibles occidentales par le simple fait que les nations non musulmanes sont par définition des entités infidèles qui doivent être soumises. En fait, il va jusqu’à faire précéder ses messages à destination de l’Occident de phrases comme « la réciprocité fait partie de la justice », ou « paix à tous ceux qui suivent une voie droite » (43), même si ce que le public occidental comprend par là est sans rapport avec ce qu’il met derrière les mots « paix », « justice » ou « droiture ».
C’est quand Ben Laden s’adresse aux autres musulmans que la vérité ressort. Quand un groupe de musulmans de premier plan avait écrit au peuple américain, peu de temps après les attentats du 11-Septembre, pour affirmer que l’islam cherche à coexister pacifiquement (44), Ben Laden avait pris la plume pour les remettre à leur place :
« En ce qui concerne les relations entre musulmans et infidèles, elles sont résumées par ce mot du Très-Haut : ‘Nous vous renions, et désormais l’inimitié et la haine nous séparent jusqu’à ce que vous croyiez en Allah seul » [Coran 60:4]. Il y a donc une inimitié dont la preuve est l’hostilité farouche ancrée dans nos cœurs. Et cette hostilité farouche, c’est-à-dire cette guerre, ne cessera que si l’infidèle se soumet à l’autorité de l’islam ou qu’il est interdit de faire couler son sang [c’est-à-dire s’il est dhimmi, ou minorité protégée], ou si les musulmans sont, à un moment donné, dans une situation de faiblesse qui les empêche d’agir. Mais si la haine s’éteint de nos cœurs, il s’agit alors d’une très grande apostasie ! (…) Telle est la base et le fondement des relations entre l’infidèle et le musulman. Guerre, animosité, haine, infligées par le musulman à l’infidèle, tel est le fondement de notre religion. Et nous considérons que nous faisons ainsi un acte de justice et de bonté à leur égard » (45).
Les quatre écoles classiques de jurisprudence islamique soutiennent cette conception du monde, faite d’hostilité, en parlant des infidèles en termes similaires. Quand Ben Laden s’adresse à l’Occident en parlant de paix et de justice, ce sont des exemples typiques de taqiyya. Non seulement il s’est engagé dans un djihad physique, mais aussi dans une guerre de propagande, ou, en d’autres termes, une guerre de tromperie. S’il parvient à convaincre l’Occident que le conflit actuel est entièrement dû à l’Occident, il pourra gagner à sa cause une plus grande sympathie. Parallèlement, il sait que si les Américains se rendaient compte que rien hormis leur totale soumission ne peut ramener la paix, sa campagne de propagande serait rapidement compromise. D’où ce besoin constant de masquer ses objectifs et de mettre en avant des récriminations, car, comme le dit le prophète de Ben Laden, « la guerre est tromperie ».
Implications
La taqiyya pose un ensemble de problèmes éthiques. Quiconque croit véritablement que Allah justifie, et même, par l’exemple de son prophète, encourage la tromperie, n’aura aucun scrupule éthique à mentir. Prenons le cas d’Ali Muhammad, le premier « formateur » de Ben Laden et longtemps agent d’Al-Qaïda. Egyptien, il a d’abord fait partie du Jihad Islamique et a servi dans le renseignement militaire de l’armée égyptenne. Après 1984, il a travaillé un temps avec la CIA en Allemagne. Quoique considéré comme peu fiable, il a réussi à aller en Californie, où il s’est enrôlé dans l’armée américaine. Il est vraisemblable qu’il a continué à travailler, à un titre ou un autre, pour la CIA. Il a ensuite entraîné des djihadistes aux Etats-Unis et en Afghanistan et est responsable de plusieurs opérations terroristes en Afrique. Les gens qui le connaissaient avaient pour lui
« de la crainte et du respect pour son incroyable assurance, l’impossibilité qu’il avait d’être intimidé, la détermination absolue qu’il avait de détruire les ennemis de l’islam, et sa foi zélée dans les credos du militantisme islamique fondamentaliste » (46).
De fait, cette phrase résume tout : car une croyance zélée aux fondements de l’islam, qui légitime la tromperie pour faire triompher la parole d’Allah, aura sans nul doute un impact considérable sur la capacité à développer cette « incroyable assurance » pour mentir (47).
Poutant, la plupart des Occidentaux continuent de croire que les mœurs, les lois et les contraintes éthiques musulmanes sont à peu près identiques à celles de la tradition judéo-chrétienne. Avec naïveté ou arrogance, les grands avocats du multiculturalisme projettent leur propre conception du monde sur les islamistes et pensent qu’une poignée de main et un sourire autour d’une tasse de café, assortis de nombreuses concessions suffiront pour démanteler la puissance de la parole de Dieu et des siècles de tradition immuable. Les faits sont têtus : le bien et le mal dans l’islam ont peu à voir avec les critères universels et restent fonction des enseignements propres à l’islam, dont la majeure partie est en opposition totale avec les normes occidentales.
Il faut donc admettre, en contradiction avec des croyances savantes depuis longtemps établies, que, chez les musulmans, la doctrine de la taqiyya va bien plus loin que la seule dissimulation religieuse afin de préserver son existence et concerne le fait de tromper l’ennemi infidèle de manière plus large. La taqiyya étant une seconde nature du chiisme, ce phénomène devrait apporter un contexte éloquent au zèle chiite iranien pour se procurer la puissance nucléaire, tout en insistant sur ses objectifs pacifistes.
La taqiyya ne concerne pas seulement les affaires internationales. Walid Phares, de la National Defense University, s’est déjà plaint de voir des islamistes américains actifs sur le sol américain, et ce sans la moindre entrave, grâce à leur utilisation de la taqiyya :
« Est-ce que notre gouvernement est au courant de cette doctrine et, ce qui est encore plus important, est-ce que les autorités font quelque chose pour que notre système de défense s’adapte à cette menace dormante et invisible qui se développe en notre propre sein ? » (48).
A la lumière du massacre de Fort Hood, quand Nidal Malik Hasan – musulman américain qui montrait de nombreux signes d’islamisme, qui n’ont pas été pris au sérieux – a tué treize de ses collègues, il faut bien malheureusement répondre par la négative.
Le problème est donc le suivant. La loi islamique divise sans aucune ambiguïté le monde en deux parties perpétuellement en guerre — le monde islamique et le monde non islamique — et il considère que la volonté divine est de voir le premier vaincre le second. Si la guerre contre l’infidèle est un état perpétuel, si la guerre est dissimulation et que la fin justifie les moyens, un certain nombre de musulmans concluront naturellement qu’ils ont le droit — d’origine divine — de mentir, tant que c’est utile, selon eux, pour aider l’islam « jusqu’à ce que le chaos cesse et que toutes les religions appartiennent à Allah » (49).
De plus, une telle dissimulation sera considérée comme le moyen d’une fin altruiste. Les ouvertures au dialogue et à la paix ou même à des trèves temporaires doivent être envisagées en fonction de cette doctrine, ce qui n’est pas sans rappeler les observations pratiques faites par le philosophe James Lorimer, il y a plus d’un siècle :
« Tant que l’islam continue d’exister, la réconciliation de ses partisans, même avec les Juifs et les chrétiens, et plus encore avec le reste de l’humanité, restera un problème insoluble » (50).
On peut conclure que face à l’opposition naturelle entre guerre et paix, qui existe dans le cadre occidental, il est plus approprié de parler d’une opposition entre guerre et dissimulation dans le cadre islamique. Car, selon le point de vue islamique, les périodes de paix, qui n’ont lieu que quand l’islam est plus faible que ses rivaux infidèles, sont des périodes de paix simulée et de dissimulation, bref de taqiyya.
Notes
(1) Coran 40:28.
(2) Fakhr ad-Din ar-Razi, At-Tafsir al-Kabir (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2000), vol. 10, p. 98.
(3) Coran 2:195, 4:29.
(4) Paul E. Walker, The Oxford Encyclopedia of Islam in the Modern World, John Esposito, ed. (New York: Oxford University Press, 2001), vol. 4, s.v. « Taqiyah, » pp. 186-7; Ibn Babuyah, A Shi’ite Creed, A. A. A. Fyzee, trans. (London: n. p., 1942), pp. 110-2; Etan Kohlberg, « Some Imami-Shi’i Views on Taqiyya, » Journal of the American Oriental Society, 95 (1975): 395-402.
(5) Sami Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam (London: Mu’assisat at-Turath ad-Druzi, 2004), p. 7.
(6) Devin Stewart, « Islam in Spain after the Reconquista », Emory University, p. 2, accès au site, le 27 nov. 2009.
(7) Voir aussi Coran 2:173, 2:185, 4:29, 16:106, 22:78, 40:28, versets cités par les juristes musulmans comme légitimant la taqiyya.
(8) Abu Ja’far Muhammad at-Tabari, Jami’ al-Bayan ‘an ta’wil ayi’l-Coran al-Ma’ruf: Tafsir at-Tabari (Beirut: Dar Ihya’ at-Turath al-‘Arabi, 2001), vol. 3, p. 267.
(9) ‘Imad ad-Din Isma’il Ibn Kathir, Tafsir al-Coran al-Karim (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2001), vol. 1, p. 350.
(10) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 30-7.
(11) Imam Muslim, « Kitab al-Birr wa’s-Salat, Bab Tahrim al-Kidhb wa Bayan al-Mubih Minhu, » Sahih Muslim, rev. ed., Abdul Hamid Siddiqi, trad. (New Delhi: Kitab Bhavan, 2000).
(12) Ahmad Mahmud Karima, Al-Jihad fi’l Islam: Dirasa Fiqhiya Muqarina (Cairo: Al-Azhar, 2003), p. 304.
(13) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, p. 32.
(14) Raymond Ibrahim, The Al Qaeda Reader (New York: Doubleday, 2007), pp. 142-3.
(15) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 32-3.
(16) Ibn Ishaq, The Life of Muhammad (Karachi: Oxford University Press, 1997), pp. 367-8.
(17) Shihab ad-Din Muhammad al-Alusi al-Baghdadi, Ruh al-Ma’ani fi Tafsir al-Coran al-‘Azim wa’ l-Saba’ al-Mithani (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2001), vol. 2, p. 118.
(18) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 11-2.
(19) Ibid., pp. 41-2.
(20) Ibn Qayyim, Tafsir, in Abd al-‘Aziz bin Nasir al-Jalil, At-Tarbiya al-Jihadiya fi Daw’ al-Kitab wa ‘s-Sunna (Riyahd: n. p., 2003), pp. 36-43.
(21) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, p. 20.
(22) Coran 2: 216.
(23) Yahya bin Sharaf ad-Din an-Nawawi, An-Nawawi’s Forty Hadiths, p. 16, accès au site, le 1er août, 2009.
(24) John Lyly, Euphues: The Anatomy of Wit (London, 1578), p. 236.
(25) Coran 8:39.
(26) Emile Tyan, The Encyclopedia of Islam (Leiden: Brill, 1960), vol. 2, s.v. « Djihad », pp. 538-40.
(27) David Bukay, « Peace or Jihad? Abrogation in Islam », Middle East Quarterly, Fall 2007, pp. 3-11, f.n. 58; David S. Powers, « The Exegetical Genre nasikh al-Coran wa-mansukhuhu », in Approaches to the History of the Interpretation of the Coran, Andrew Rippin, ed. (Oxford: Clarendon Press, 1988), pp. 130-1.
(28) Jalil, At-Tarbiya al-Jihadiya fi Daw’ al-Kitab wa ‘ s-Sunna, p. 7.
(29) Ibn Khaldun, The Muqadimmah. An Introduction to History, Franz Rosenthal, trad. (New York: Pantheon, 1958), vol. 1, p. 473.
(30) Hugh Kennedy, The Great Arab Conquests (Philadelphia: Da Capo, 2007), p. 112.
(31) « Saudi Legal Expert Basem Alem: We Have the Right to Wage Offensive Jihad to Impose Our Way of Life », TV Monitor, clip 2108, Middle East Media Research Institute, trad., mar. 26, 2009.
(32) « Egyptian Cleric Mahmoud Al-Masri Recommends Tricking Jews into Becoming Muslims, » TV Monitor, clip 2268, Middle East Media Research Institute, trans., Aug. 10, 2009.
(33) Denis MacEoin, « Tactical Hudna and Islamist Intolerance », Middle East Quarterly, Summer 2008, pp. 39-48.
(34) Majid Khadduri, War and Peace in the Law of Islam (Baltimore: The Johns Hopkins Press, 1955), p. 220.
(35) Ahmad Mahmud Karima, Al-Jihad fi’l Islam: Dirasa Fiqhiya Muqarina, p. 461.
(36) Ibid., p. 469.
(37) Muhammad al-Bukhari, « Judgements (Ahkaam) » Sahih al-Bukhari, book 89, M. Muhsin Khan, trad., accès au site, le 22 juillet 2009.
(38) Michael Bonner, Jihad in Islamic History: Doctrines and Practice (Princeton: Woodstock Publishers, 2006), p. 148.
(39) Ahmed Akgündüz, « Why Did the Ottoman Sultans Not Make Hajj (Pilgrimage)? » accès au site, le 9 nov. 2009.
(40) Ahmad Ibn Naqib al-Misri, Reliance of the Traveller: A Classic Manual of Islamic Sacred Law (Beltsville: Amana Publications, 1994), p. 605.
(41) Daniel Pipes, « Lessons from the Prophet Muhammad’s Diplomacy », Middle East Quarterly, Sept. 1999, pp. 65-72.
(42) Arabinda Acharya, « Training in Terror », IDSS Commentaries, Institute of Defence and Strategic Studies, Nanyang Technological University, Singapore, May 2, 2003.
(43) « Does hypocrite have a past tense? », for clip of Osama bin Laden, accès au site, le 1er août, 2009.
(44) Ibrahim b. Muhammad al-Shahwan, et al., « Correspondence with Saudis: How We Can Coexist », AmericanValues.org, connection du 28 juillet 2009.
(45) Ibrahim, The Al Qaeda Reader, p. 43.
(46) Steven Emerson, « Osama bin Laden’s Special Operations Man », Journal of Counterterrorism and Security International, Sept. 1, 1998.
(47) Pour une liste des infiltrés dans les organisations américaines, voir Daniel Pipes, « Islamists Penetrate Western Security », Mar. 9, 2008.
(48) Walid Phares, « North Carolina: Meet Taqiyya Jihad », International Analyst Network, July 30, 2009.
(49) Coran 8:39.
(50) James Lorimer, The Institutes of the Law of Nations: A Treatise of the Jural Relations of Separate Political Communities (Clark, N.J.: The Lawbook Exchange, Ltd., 2005), p. 124.
Merci à JC JC…
Et 80% d’entre elles enseignent l’idéologie extrémiste.
Faut pas rêver. Ailleurs aussi; même la France est concernée. Mais ça, personne ne peut le prouver car les kouffars (infidèles) n’ont pas le droit d’assister ni à une prière ni à un cours coranique. Et il ne se passe pas que ça, dans certaines mosquées. Certains sous-sols sont aménagés…
Faute de preuves « matérielles », allons faire un tour sur les sites islamistes. Nous y trouverons des « choses intéressantes », certainement. Ne serait-ce que chez Forzane Alizza: http://www.forsane-alizza.com/
FDF
.
Alors que des musulmans américains ont défilé à New-York pour protester contre la surveillance policière de leurs mosquées, tout semble indiquer que ces surveillances sont nécessaires.
article de Robert Spencer sur Jihad Watch
Un jeune musulman nommé Abdul Hameed Shehadeh a récemment tenté de rejoindre l’armée U. S., non pas par patriotisme, mais dans le cadre d’un plan pour surprendre les soldats américains et les assassiner au nom de l’islam et le jihad. Mais il a été interpellé et a commencé à parler. Si certaines des informations qu’il a donné des enquêteurs est exacte, il a exposé un réseau djihadiste aux proportions impressionnantes qui devrait mettre fin politiquement correct et au déni dans l’approche des politiciens face au problème du djihad aux Etats-Unis.
Shedaheh a fourni au FBI des informations assez pour remplir un rapport de 22 pages, qui est si compromettants pour lui personnellement que ses avocats tentent maintenant de le supprimer.. Selon le New York Daily News, Shehadeh a été « une source de renseignements. » Parmi les comploteurs djihadistes qu’il nomma «les enseignants de l’orthodoxie islamique salafiste à Brooklyn » et les musulmans qui « distillent des discours pro-jihadiste dans les mosquées ou sur les forums internet « .
Les groupes de pression musulmans dans les Etats-Unis clament que tous les musulmans sont heureux d’accepter les libertés constitutionnelles et le pluralisme, et que quiconque suggère le contraire est un « islamophobe ». Si les révélations de Shehadeh sont vraies, cependant, le salafisme appelant à l’imposition de la loi islamique dans toute sa plénitude, notamment la lapidation, des décapitations, des amputations, et la guerre contre les infidèles, est prêché non seulement en Arabie Saoudite, le Yémen et l’Iran, mais aussi ici, à Brooklyn.
Et tandis que le politiquement correct des médias exige que nous acceptions que les mosquées aux États-Unis soient exactement équivalentes aux églises et aux synagogues, ni plus, ni moins, Shehadeh affirme que les discours pro-djihadistes sont prêchés dans les mosquées de la région de New York. Ce n’est pas vraiment surprenant, malgré le fait qu’il va à l’encontre du dogme auquel le gouvernement, les médias dominants et les porte-paroles des musulmans en Amérique adhèrent tous. En 1998, Cheikh Muhammad Hisham Kabbani, un chef soufi, a visité 114 mosquées aux États-Unis. Puis il donna son témoignage devant un Forum du Département d’Etat ouvert en Janvier 1999, et a affirmé que 80% des mosquées américaines enseignent l’idéologie extrémiste.
Une étude du Center for Religious Freedom en 2005 et une cartographie du Mapping Sharia Project de 2008 ont confirmé ces conclusions. Chacune ont montré indépendament que plus de 80% des mosquées en Amérique prêchent la haine des juifs et des chrétiens et la nécessité d’imposer la loi islamique en définitive. Tout récemment, à l’été 2011, est venu encore une autre étude qui a montré que seulement 19 pour cent des mosquées aux USA n’enseignent pas la violence djihad et / ou le suprématisme islamique.
Shehadeh a aussi nommé d’autres comploteurs du jihad, comme « un chauffeur de taxi » et « un étudiant de Staten Islande qui a participé à une collecte de fonds au Brooklyn College pour un terroriste », une « musulmane éthiopienne dans l’armée U. S.. » Il a même identifié un « membre réputé du Hamas qui vit à Syracuse. » Shehadeh dit qu’ en 2008 il est allé à « une conférence au Centre islamique de Brooklyn en 2008 avec un dénommé« Omar »et un deuxième homme qui vendait des T-shirts imprimés de slogans djihadistes ».
Tous ces témoignages suggèrent que les sentiments jihadistes sont beaucoup plus répandus chez les musulmans aux Etats-Unis que la plupart des analystes ont été disposés à reconnaître. »
Robert Spencer- Jihad Watch
Sur le même sujet lire « Le livre du Jihâd enseigné à la mosquée de Pontoise »
Source: http://www.islamisation.fr/
FDF
.
Depuis que l’Islam s’est invité dans nos pays – ou que certains l’y ont invité … – on ne cesse de déplorer ses attaques contre nos modes de vie, notre civilisation, nos valeurs. Le danger d’une ségrégation progressive se concrétise au sein même des pays occidentaux, à mesure que l’on se rend compte de l’incompatibilité du dogme islamique avec nos principes essentiels.
Beaucoup se demandent comment réagir, et se lancent dans des combats courageux, qui en envahissant un fast-food halal, qui en tentant de réglementer les signes religieux visibles dans l’espace public, qui en lançant une campagne d’opposition à la venue de conférenciers haineux …
Bravo !
Encore faut-il, pour que le combat soit efficace partir sur les meilleures bases. Sun Tzu recommandait en son temps au général de prendre le temps de connaître son ennemi avant de le combattre : «Qui connaît son ennemi comme il se connaît, en cent combats ne sera point défait. Qui se connaît mais ne connaît pas l’ennemi sera victorieux une fois sur deux. Que dire de ceux qui ne se connaissent pas plus que leurs ennemis ? »
C’est là la clé de toute victoire. C’est ce à quoi l’Islam nous oblige : faire notre propre examen de conscience, étudier cette religion, comprendre sa conception du monde, la façon dont elle conditionne la pensée des croyants, et surtout la pensée de ses soldats pour lui opposer la meilleure défense, et surtout, riposter au plus juste.
Cette pensée musulmane, et l’histoire de cette pensée ont été très bien décrites par de nombreux islamologues (se reporter aux ouvrages cités à la fin de l’article). Dans son ouvrage récent « The Closing of the Muslim Mind », le politologue Robert Reilly nous apporte encore d’autres clés de lecture de la pensée musulmane, capitales pour comprendre la dynamique de développement de l’Islam (ouvrage abordé ici par Hélios d’Alexandrie, ou encore là par Aristide).
Pour simplifier, tout en gardant à l’esprit les dangers du manichéisme, il faut avancer qu’il y a eu aux débuts de l’Islam une lutte entre deux écoles de pensée :
– Une école de pensée rationaliste, ayant intégré certains principes de la philosophie grecque, notamment par l’assimilation des chrétiens et juifs conquis dans la phase d’expansion de l’Islam. Pour ces gens, la raison ne s’oppose pas à la révélation de Mahomet, même si cette dernière peut contenir des mystères bien au-delà de la raison – on n’explique pas Dieu tout de même ! Ainsi, selon eux, la raison permet de comprendre et d’expliquer le monde. L’homme, par son entendement peut le déchiffrer et l’ordonner, se comprendre lui-même, distinguer le bien et le mal, et ainsi tenter de se gouverner, de bâtir sa société par ses moyens. Tout cela entre dans le dessein de Dieu. Cette école de pensée, celle des Moutazilites, a été influente à partir du 8ème siècle, mais n’a pu perdurer car combattue par cette autre école de pensée, que voici.
L’autre école de pensée, qui, dans une logique politique, une logique de prise de pouvoir s’est opposée radicalement aux Moutazilites et à toute forme de rationalisme est l’école Asharite. Elle prône la toute puissance absolue de Dieu, et rejette absolument tout ce qui pourrait la limiter : l’idée d’un ordonnancement de la nature par exemple, d’une nature évoluant de façon autonome par rapport à Dieu, tout comme l’idée que l’homme puisse raisonner par lui-même, sans prendre ses commandements de Dieu, sont inconcevables dans cette école de pensée. Pour elle, le monde est entièrement soumis à Dieu, qui le fait exister à tout instant, qui le recrée constamment. Il n’y a donc plus de logique dans ce système, pas de possibilité d’explication : mon stylo ne tombe pas de mon bureau à cause de la gravité mais parce que Dieu le veut ainsi, à chaque instant de sa chute, comme Dieu pourrait vouloir au contraire que mon stylo se mette à voler. Dès lors, comment tenter de vivre dans un monde incompréhensible, un monde dont on supprime toutes les clés de lecture ? En obéissant aveuglément à Dieu, en observant à la lettre, à la virgule, ses commandements transmis par la révélation (Coran et exemplarité de la vie de Mahomet), en troquant sa conscience pour une soumission absolue. C’est cette école de pensée qui a très tôt prévalu contre les Moutazilites, celle là qui a façonné l’Islam que nous avons aujourd’hui.
A cette lumière, nous pouvons comprendre alors quelle est la vision du monde pour un (bon ?) musulman, c’est-à-dire pour celui qui se soumet à la volonté de Dieu : tout, absolument tout, est volonté de Dieu.
Et de fait, si tout est volonté de Dieu, hier, aujourd’hui et demain (inch’a allah !), alors le musulman ne comprend, en tant que musulman que deux façons de faire :
Et à ce propos, aux objections qui me seront certainement formulées du type « et les musulmans modérés alors ? Et mon ami Mohammed qui n’a jamais fait de mal à personne et n’en fera jamais ? », je répondrais d’avance : « demandez donc à ces musulmans modérés ce que représente pour eux un bon musulman … ». En gros, entre asharite et moutazilite, choisis ton camp camarade ! On ne peut être à la fois asharite, c’est-à-dire comme 99% des musulmans actuels, partisans du principe de la lecture littérale et de la soumission aveugle, et à la fois moutazilite … C’est incompatible ! Et d’ailleurs, qui donc est encore moutazilite aujourd’hui, qui est légitime pour interpréter le coran et raisonner d’égal à égal avec Dieu ? A part Malek Chebel et ses appels à un Islam raisonné, un Islam des lumières qui n’existe que dans ses rêves, je ne vois pas grand monde … sans parler des difficultés de lecture des positionnements de chacun engendrées par cette taqiyya qui permet au croyant en terre infidèle de dissimuler ses vraies croyances et ses vrais objectifs.
Quand on a compris cela, on peut atteindre le vif de notre sujet, à savoir comment traiter l’Islam en tant que religion et en tant que phénomène politique, toutes choses qui se révèlent être en l’occurrence une seule et même en Islam : par la force, par le rapport de force, le seul langage que l’Islam connaisse intrinsèquement, le seul langage que l’Islam reconnaisse. Nous avons beau jeu de palabrer, négocier, discuter, dialoguer, d’accorder concessions et accommodements raisonnables à l’Islam au nom de principes que nous seuls estimons supérieurs : il n’y voit qu’un rapport de force en sa faveur. Seule compte pour lui et face à lui la mobilisation de la force, de la force du droit et de la loi, la force du nombre voire la force des armes ou de l’argent … Et seule compte la mobilisation effective, tangible, qui pourra s’imposer face à lui et être interprétée par lui comme volonté supérieure de Dieu lui même. Menaces, leçons de morale et gros yeux n’ont aucun effet.
Des conférenciers haineux projettent un mauvais coup ? Il faut se mobiliser en force, pétitionner, manifester. Un droit musulman, parallèle et illégal, se développe à l’ombre des mosquées ? Il faut se mobiliser en force, faire donner la police et la loi. Les islamistes tentent un coup dans les pays du printemps arabe ? Il faut se mobiliser en force, envoyer la troupe là-bas, fulminer ici. La démographie des islamistes nous submerge jusque dans nos propres pays ? Il faut se mobiliser en force, faire davantage d’enfants qu’eux …
Pas si facile, hein …
Mais pour efficace qu’elle puisse paraître, cette réponse de la force à la force, même si elle est très bien comprise par l’adversaire islamiste (et pour cause, voyez donc l’offensive des prières de rue en masse !), même si c’est elle qui a historiquement permis à l’Occident de résister à l’offensive de l’Islam, cette réponse est en train d’échouer, en tant qu’elle n’est que la seule à être proposée.
Echec car n’opposer qu’une résistance frontale, force contre force, muscles contre muscles, face à l’Islam est éminemment dangereux : l’avantage du nombre ne va bientôt plus être en faveur de l’Occident sur son terrain même. La démographie des musulmans est leur première arme comme nous en ont obligeamment averti Erdogan lui-même (« Grâce à votre démocratie nous vous envahirons, grâce à notre modèle coranique et à notre démographie, nous vous vaincrons »), Boumediene («Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour faire irruption dans l’hémisphère nord. Et certainement pas en amis. Car ils y feront irruption pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant de leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous offrira la victoire», tout cela déclaré très officiellement à l’ONU en 1974), ou encore Rachid Gacem, le très digne trésorier d’une mosquée de Roubaix en France, appelant de ses vœux l’établissement de la charia en France lorsque les musulmans y seront devenus majoritaires. En France, certains prévoient que la « minorité » musulmane actuelle dépassera les 40% de la population à l’horizon 2050, voire avant.
Echec par ailleurs car l’Occident, en pleine décrépitude morale, en plein doute ontologique, aux valeurs minées par son relativisme, sa tolérance à l’intolérance, et sa xénophilie semble bien faible face aux convictions islamiques. C’est bien résumé par Michel Onfray en un tableau très noir, et, espérons le, certainement bien trop pessimiste : alors que l’islamiste est prêt à mourir pour sa foi, qui aujourd’hui est prêt à mourir pour ses idées ? Qui aujourd’hui est prêt à mourir pour son pouvoir d’achat, pour son canapé ?
Et échec enfin, car agir systématiquement dans le rapport de force ne fera qu’aggraver le fanatisme, de part et d’autre. Il confortera le musulman dans le rejet de l’Occident, son ennemi, et de ses valeurs, et d’un autre côté, il fera de nous des fanatiques, aveuglés par la violence de la lutte, et oublieux de nos valeurs, du sens de notre combat, et du rôle de la vérité dans ce dernier. Nous luttons contre l’Islam non pas car il est notre ennemi, mais car c’est lui qui nous désigne comme son ennemi. Nous luttons contre l’Islam car sa vision du monde est fausse et mortifère, car il est une impasse individuelle et sociétale pour le développement, tant sur le plan économique que sur les plans humains, moraux et spirituels. Nous ne prévaudrons pas car nous sommes ou serons les plus forts mais car nous aurons raison – même si cela nous aidera grandement d’être les plus forts !
Et là, effectivement, il faut convoquer aux côtés de Sun Tzu cet autre grand stratège : Clausewitz. Il nous enseigne que pour vaincre, il conviendra d’attirer l’ennemi hors de son terrain, dans un environnement qu’il ne maîtrise pas, le nôtre.
C’est ce vers quoi les pays musulmans se sont dirigés au 20ème siècle, prenant le virage de la sécularisation de leurs sociétés, entraînés par l’Occident sur son propre terrain de la modernité, tentant d’y arrimer leur développement. L’Islam a failli s’y perdre. Mais cela a échoué du fait de la réaction islamiste, portée notamment par les Frères Musulmans à partir des années 20, et prônant le retour au fondamentaux de l’Islam, le fondamentalisme (voir à ce sujet le reportage de CBN News, particulièrement probant avec la démonstration de la progression du port du voile en Egypte). Cet échec de la sécularisation des pays musulmans (comme le prouve l’issue islamiste des printemps arabes) doit nous indiquer qu’il ne suffit pas d’agir sur les sociétés, que c’est au cœur même de la doctrine musulmane que doit porter notre action « clausewitzienne ». Et je vois deux moyens d’atteindre au cœur de cette doctrine : la conversion et l’effondrement.
La conversion, c’est le renoncement du musulman à l’Islam pour mieux embrasser la foi chrétienne et son rationalisme – à la base, n’en déplaise à nos amis ultra-laïques, de la construction de nos sociétés occidentales, certes avec quelques autres apports. Il s’agit d’emmener le musulman sur le terrain de l’amour, un concept qui manque cruellement à l’Islam, un concept pourtant au cœur des aspirations humaines, et au cœur de la foi chrétienne – et de l’emmener aussi sur le terrain de la raison, nous y reviendrons. Nous pourrons nous inspirer ici de l’exemple de Joseph Fadelle ou de celui de Charles de Foucauld (écrits à relire avec les lunettes de son époque, en faisant notamment attention à ne pas commettre de lecture anachronique sur les conceptions racialistes dont il se réclame).
L’Etat et l’action politique se devant cependant de rester laïques, ils ne sauraient s’engager dans cette voie, la conversion devant être envisagée à titre individuel, aux échelles du « convertisseur », du converti, et de leur liberté absolue de conscience. Je ne développerai pas davantage ici, mais tiens tout de même à rappeler que le danger que représente la conversion pour la survie de l’Islam est à l’image des efforts qu’il déploie pour s’en défendre : enfermement du croyant dans le système communautaire de l’oumma, qui permet de contrôler sa conscience pour mieux lui interdire la liberté, statut du dhimmi pour le chrétien en terre d’Islam, avatar d’« untermensch », à peine mieux considéré que le juif sous le 3ème Reich, interdiction de diffusion de tout élément de sa doctrine, persécutions diverses, et enfin, peine de mort pour l’apostat …
L’effondrement, c’est l’arme de destruction massive de l’Islam, offerte grâce à l’analyse de cette religion par la science occidentale récente, et le relevé de ses incohérences, comme j’ai pu en parler dans ma chronique précédente. C’est mettre le musulman devant la preuve effective de l’irrationalité totale de ses croyances. Malgré tous ses efforts pour rejeter la rationalité, l’Islam peut contraindre la nature humaine mais ne peut la changer. L’homme garde ce fond d’intelligence, qui s’il peut d’un côté lui faire comprendre l’intérêt d’embrasser l’Islam devant la contrainte physique, devant la forme de libération que peut représenter l’abandon de toute raison propre, peut également lui faire comprendre la fausseté des bases et fondements de cette religion. Même si rien n’a de sens en Islam, même si seul Dieu est sensé, il faut tout de même faire preuve d’un minimum de sens pour décider d’adhérer. C’est sur cette capacité de sens là, ce minimum raisonnable qu’il faut s’appuyer, et avec Clausewitz, emmener le musulman sur le terrain du réel et de la raison. Et le questionner sur les sources de sa foi, comme pourrait le faire un néophyte sincère :
Ou encore le questionner sur les incohérences du dogme islamique …
a) Moins bien que le Pakistan ?
b) Comme le Pakistan ?
c) Mieux que le Pakistan ?
Avancées sur ton certes badin, toutes ces questions posent au musulman le problème de sa propre rationalité … Face à l’incohérence, au malaise, s’il se permet le moindre doute, toute sa foi sera emportée. Ouvrir la porte à la raison, ne serait-ce qu’en tentant de définir un Islam des Lumières, c’est faire s’écrouler tout l’édifice tant il ne repose que sur la négation de la raison, la soumission à l’irrationnel. C’est pour ainsi dire transformer l’asharite en moutazilite.
Et au delà, pratiquer cette tactique de l’effondrement, c’est questionner systématiquement l’Islam, c’est exiger des justifications, des preuves et des fondements indiscutables à chacune de ses demandes d’accommodement, ses demandes d’espace vital réservé, ses demandes de davantage de ségrégation religieuse. C’est sortir le fait politique hors de sa justification religieuse et irrationnelle. Et surtout, c’est diffuser le plus largement possible les travaux, parfois encore obscurs, des chercheurs qui ont soulevé sur des bases rationnelles les incohérences des sources et du dogme islamique. Comme souligné précédemment, c’est l’Islam qui en nous désignant, « Occident », comme son ennemi à coloniser, oblige l’Occident à le connaître davantage. Pour ma part, je n’avais rien demandé ! Je n’y connaissais pas grand-chose avant que l’Islam ne frappe à ma porte, chez mes amis, dans ma ville, dans mon pays. Connaitre l’Islam, dénoncer ses travers, ses vices et sa fausseté, c’est désormais notre responsabilité absolue puisque nous les connaissons. C’est en particulier la nôtre, nous, lecteurs et contributeurs de Poste de veille.
Il ressort de tout cet exposé que si le premier levier d’action face à l’islamisation reste et restera la force, en particulier la force et la rigueur de la loi, il ne sera jamais aussi efficace que lorsqu’on lui adjoindra les leviers de la conversion et de l’effondrement. Particulièrement ce dernier, dont on peut user au plan collectif, au contraire de la conversion et des questions de liberté personnelle de conscience qu’elle pose. Et par ailleurs, ces deux derniers leviers présentent l’immense avantage de ne pas essentialiser les musulmans, de ne pas les identifier à l’Islam, de ne pas les confondre avec leur foi. Bien au contraire, il s’agit de faire appel à leur part de raison, leur capacité d’amour même, il s’agit de les extraire du « système Islam » et de son irrationalité, et de les considérer pour ce qu’ils sont : des frères et des sœurs d’humanité.
Lorsque les travaux établissant la fausseté des sources du coran seront repris dans des reportages, publiés dans de grands journaux, diffusés à la télévision, et viendront en appui, par exemple, de la règlementation de l’habillement religieux dans la sphère publique, lorsqu’une collectivité pourra interdire la viande halal dans ses cantines sur la base de rapports scientifiques incontestables établissant la nocivité de l’égorgement rituel, lorsque l’imposture de l’établissement de la Mecque comme ville sainte sera devenu sujet de boutade entre historiens autant qu’entre collégiens, que restera-t-il à nos barbus ?
« Vous connaitrez la vérité, et la vérité vous rendra libres. » – Evangile de St Jean, chap. 8, v.32
« Et c’est ainsi que la vérité éclata, mettant en échec toutes leurs manœuvres. » – Coran, s. 7, v.118
Et en bonus, quelques lectures indispensables …
Le messie et son prophète, d’Edouard Marie Gallez
L’Islam des Interdits, d’Anne Marie Delcambre
Les Fondations de l’Islam, d’Alfred Louis de Prémare
The Closing of the Muslim Mind, de Robert Reilly
La colère d’un français, de Maurice Vidal
La lecture Syro-araméenne du Coran, de Christoph Luxenberg
Le Coran, traduction et commentaire systématique, de Bruno Bonnet Eymard
Le Coran, de Sami Aldeeb
Source: http://www.postedeveille.ca/
Alors que Fabienne Keller vient de soutenir le bien fondé du financement public de la Grande Mosquée de Strasbourg face à Marine le Pen sur La Chaîne Parlementaire (1.700.000 euros d’argent public dont 610.000 votés par la ville sous le mandat de Fabienne Keller) il est temps de dénoncer la collaboration de l’UMP avec l’islamisme radical :
L’évènement majeur de l’année 2008 à la mosquée de Strasbourg fut l’accueil de Muhammad Said Ramadan al-Bûti, du 25 au 30 décembre 2008, pour une série de conférences ayant attiré de nombreux fidèles et imams venu boire les paroles de celui qui est considéré comme un grand savant par la direction de la mosquée « alsacienne ». L’objet de sa venue était en particulier de donner ses « recommandations et conseils aux imams et aumôniers« d’après le programme de ses conférences. Muhammad Said Ramadan al-Bûti, né en Turquie en 1929, diplômé de l’université islamique de Al-Azhar, fut doyen de la faculté de loi islamique de Damas. A l’heure actuelle, il est le directeur du département des Croyances et Religions (Al-`Aqâ’id wal-Adyân) à l’Université de Damas. Autant dire que ses prises de positions font autorité dans le monde sunnite. Ses avis juridiques (Fatawas), consultables en arabe ou en anglais sur son site Internet, sont lus avec une grande attention chez les musulmans ayant fait souche en Europe.
Dans son livre Islamistes, apologistes et libres penseurs ( Presses universitaire de Bordeaux, 2006) Ghassan Finianos , professeur de pensée arabe à l’université de Bordeaux, présente de manière synthétique les principaux positionnements de Muhammad Said Ramadan al-Bûti à la page 71 :
« Comme chez les islamistes, l’islam, selon al-Bûti, est valable en tout temps et en tout lieu [1] ; il est facteur de force, car il est dogme (‘aqîda), éthique et code ( nizâm)[2] et non un phénomène social. Il est l’avenir de l’humanité[3], ce qui signifie qu’il n’est pas un legs (turât) [4] La sûrâ se substitue, chez lui, à la démocratie. Malgré son importance, il n’est pas, pour le gouvernant, une obligation stricte[5]. De plus, il ne concerne pas les masses populaires qui doivent obéir, sans jouir pourtant d’aucun rôle dans la vie politique[6]. Cela est contradictoire avec le libéralisme et le pluralisme politique[7]. Donc la souveraineté n’appartient qu’à Dieu, ou peut être à son représentant terrestre[8]. Al-Bûti justifie la violence en vue de la conquête du pouvoir et, par conséquent, de la propagation des valeurs de l’islam[9] »
Le recours au djihâd afin d’asseoir une théocratie méprisant la démocratie, voilà l’idéologie du savant accueilli en grande pompe à la mosquée de Strasbourg qui fait d’ailleurs figurer dans la sélection d’ouvrages de son site Internet son livre Djihad en islam, comment le comprendre et le pratiquer.
Dans son site Internet[10], al-Bûti répond aux questions des visiteurs voulant le consulter sur toutes sortes de sujets. A l’un d’entre eux il répond :
« Si vous voulez dire que les masses doivent se gouverner par elles-mêmes, cela rentre en contradiction avec les règles de l’islam, car celui qui fixe les règles est seulement Allah et les lois islamiques[11] »
A un autre, se présentant comme un étudiant étranger en France ne sachant si la charia l’autorise à pratiquer du sport avec des filles en short, al-Bûti répond :
« Le consensus de la majorité des juristes sur la question est que la partie située entre les anches et les genoux est privée. Ainsi, si le pantalon recouvrant le genoux est permis, il n’est pas permis qu’un pantalon s’arrête au dessus [12]»
Révélateur de l’abysse culturel séparant culture occidentale et islamique, le juriste interdit à toute personne non mariée d’écrire… des lettres d’amour.
Question d’un internaute : « Si vous essayez de vous marier avec quelqu’un, est-il permis de lui écrire des lettres d’amour ou des poèmes d’amour (exprimant vos sentiments ?) :
Muhammad Said Ramadan al-Bûti : «Ecrire des lettres d’amour avant le contrat de mariage n’est pas permis »
A un autre, ne sachant quoi dire à sa sœur ne voulant pas porter le voile au prétexte que, selon elle, cela serait facultatif en islam, al-Bûti répond :
« Le chemin de la persuasion est de lui réciter les commandements d’Allah sur le voile pour les femmes dans les sourates (coraniques) Al-Nour et Al-Ahzab »
C’est ainsi que les contribuables d’Alsace-Lorraine ont été ponctionnés pour financer une mosquée acquise à l’islam le plus orthodoxe, ce qui n’a pas (encore) offusqué grand monde.
On mesure aujourd’hui toute la naïveté d’un communiqué de presse de la mairie du 5 septembre 2002 où Fabienne Keller assurait : « Notre position de fond est claire et peut s’énoncer en quelques principes. Nous voulons, à Strasbourg un islam républicain et français. […] »
Nous disposons d’autres preuves accablantes confirmant que la Grande Mosquée est acquise à l’islam le plus radical. Nous attendons les explications de l’UMP qui, via le Conseil régional, le Conseil général, et la mairie à l’époque, a financé sur fonds public 10% de cette verrue architecturale et idéologique.
[1] Muhammad Said Ramadan al-Bûti, Min al-fikr wa al-qalb, Maktabat al-Fârâbi, Damas, 1988, p.69
[2] Muhammad Said Ramadan al-Bûti, Tagribat al-tarbiya al-islâmiyya fi-mizân al baht, Maktabat al-Fârâbi, Damas, 1990, p.16
[3] En réponse à un article paru dans la revue libanaise al-Mustaqbal al-arabi (juin 1985), rédigé par un chef de département de philosophie d’une université arabe Muhammad Said Ramadan al-Bûti s’efforce de démontrer, dans son fascicule al-Dîn wa al-falsafa (Maktabat al-Fârâbi, Damas, 1994), l’antériorité ontologique de la vérité religieuse par rapport à la vérité philosophique.
[4] Muhammad Said Ramadan al-Bûti, Hiwâr hawl muskilât hadariyya, al-Sarika al muttahida li-al-tibâ’â wa al nasr, Damas, 1990, p.67-69.
[5] M-S-R al-Bûti, Fiqh al-sîra al-nabawiyya, Dâr al-fikr, Damas, 1980, p.219
[6] M-S-R al-Bûti, ‘Äla tariq al- ‘awda ilâ al-islâm, Mu’assasat al-risâlâ, Bayrouth, 1992.p.57.
[7] M-S-R al-Bûti, al-Islâm al muskilat al-sâhâb, Maktabat al-Fârâbi, Damas, 1973. p.73.
[8] M-S-R al-Bûti, Kubrâ al-yaqiniyyât al-kawniyya, Dâr al-fikr, Damas, 1395 h, p.389.
[9] M-S-R al-Bûti, al-Gihâd fi al-islâm, Dâr al-fikr, Damas, 1997
[12] Ibid.
Source: http://www.islamisation.fr/
.
* C’est la « bienpensance » qui le dit. Et Christine Tasin qui le décrypte d’une façon pour le moins magistrale…
FDF
.
Encore une preuve de la malsaine médiatisation de cette sombre et triste affaire…
FDF
.
Source: http://www.islamisation.fr/
Pas tort, Oskar; pas tort…
FDF
.
Le fer de lance de l’initiative antiminarets Oskar Freysinger (UDC) tient à distinguer ses propres critiques de l’islam de celles d’un Anders Behring Breivik, en soulignant l’importance du débat.
Source: http://www.tdg.ch/
Encore une preuve de la lâcheté des talibans qui profitent de l’innocence des enfants… Bande de fumiers !
FDF
.
Sans doute les talibans trouvent-ils que le commerce d’enfants kamikazes coûte trop cher … toujours est-il que maintenant, ils exploitent les enfants chinois, pakistanais ou Afghans, en les apprennant au Djihad … à partir de 5 ans …
Encore une de leurs techniques, toutes plus odieuse que les autres … Quand aux fillettes, si elles ne sont pas aptes à la guerre … eh bien le plus simple est de les envoyer se faire sauter en toute innocence, procédé déjà utilisé de nombreuse fois …
Des centaines d’enfants apprennent à devenir des tueurs dans le camp de militants basé au Nord Waziristan avant d’être envoyés de l’autre côté de la frontière pour se battre contre les troupes occidentales. Ces enfants sont d’ethnie turque Ouïgour – des musulmans chinois en fuite qui se sont installés au Pakistan, en Afghanistan et au Kazakhstan.
L’art de jouer sur les mots afin de ne pas heurter, de ne pas froisser, ou de complaire. C’est selon… Cet « art » se nomme de la désinformation. C’est ainsi que l’on « tient » le peuple. Et on ne peut pas s’en prendre qu’à ceux qui diffusent le « politiquement correct »; il faut voir aussi du coté de ceux qui, de « très haut », leur donnent les ordres…
FDF
.
Est-ce la mode de parler « politiquement correct » ou est-ce la peur de froisser les français issus de l’immigration ?
A trop vouloir louvoyer sur les mots du dictionnaire français, les media diffusent des informations erronées qui tendent à banaliser des actes à caractère gravissime.
Ainsi, hier, ils annonçaient dans un entrefilet, « violences confessionnelles en Egypte ».
Peut-on qualifier de violences confessionnelles, les assassinats de chrétiens dans un pays arabe ?
Il faudrait que les journalistes qui rédigent leurs articles soient plus objectifs et nous donnent leurs informations sans langue de bois. On ne peut pas, en effet, parler de violences confessionnelles lorsqu’il s’agit, ni plus ni moins, d’une guerre entre les religions musulmane et chrétienne qui s’amplifie dans les pays arabo-musulmans qui ne tolèrent pas d’autre religion que la leur.
Depuis les émeutes égyptiennes, on compte dans ce pays, plusieurs assassinats contre les chrétiens que les media appellent « coptes » pour noyer le poisson.
En évitant de dire et d’écrire le mot chrétien, ils laissent entendre que ce pourraient être des « ethnies » qui se disputent un morceau de territoire…
Pourtant, il s’agit bien d’une guerre contre les chrétiens d’Egypte, de Tunisie et d’ailleurs qui est en train de se dessiner dans ces pays. Et les islamistes fondamentalistes d’Al Qaeda n’ont rien à voir dans ces crimes, contrairement à ce que voudraient nous faire croire les media depuis l’attentat terroriste du 31 décembre dernier au Caire.
Il y a quelques jours, c’étaient deux familles entières, femmes, enfants, hommes qui étaient sauvagement massacrées, en pleine nuit, avec la complicité des voisins musulmans dans un village égyptien.
Hier, une église a été incendiée et deux personnes sont mortes dans des affrontements entre chrétiens et musulmans.
En Tunisie, en Algérie, en Egypte et ailleurs dans le monde arabe, les crimes commis sur des chrétiens sont annoncés, dans la presse française, comme des évènements anodins, des incidents de parcours, de banals faits divers.
Pourtant, ils devraient savoir que le Djihad, la guerre sainte en arabe, est une vraie guerre lancée, par les musulmans, aux religions juive et chrétienne. C’est écrit dans leur livre.
Le danger réside, principalement, dans le fait que les media français cachent ou minimisent ces informations,
– Soit par peur d’être traduits en justice pour avoir stigmatisé les populations musulmanes en écrivant la stricte réalité des faits ; d’autant que les Français musulmans ne sont pas tous anti chrétiens ou anti juifs, loin s’en faut.
– Soit par idéalisme qui les pousse à ne pas diffuser cette stricte réalité des faits.
Dans les deux cas, la presse française fait preuve d’un manque total de professionnalisme.
On aurait préféré lire, en France, les deux actes graves qui se sont produits en Egypte, en pleine ville du Caire « libérée », comme on a pu le faire dans la presse étrangère :
« Deux hommes ont été tués ce samedi dans des violences entre musulmans et chrétiens. Par ailleurs, une église a été incendiée en banlieue du Caire. » Guysen international
Vous avouerez que cette information, sans langue de bois, donne la mesure de la situation nouvelle, en Egypte.
Sauf que… ça ne colle plus avec ce désir de démocratie des égyptiens ou des tunisiens qui se sont soulevés et dont la presse a fait les choux gras, pendant des mois.
On brûle des synagogues, on brûle des églises, on crie « Mort aux juifs » et on assassine des chrétiens. Est-ce que l’on doit qualifier ces actes de simples « violences confessionnelles » ?
Dans les pays arabo-musulmans en révolution il y a une nouvelle guerre qui prend le pas sur celle qui a été soigneusement manœuvrée par les islamistes.
Source: http://echodupays.kazeo.com/
Ils ont promis de s’en prendre à la France. Ce qui est terrible est que « EUX », ils tiennent leurs promesses…
FDF
.
Al-Qaida radicalise ses menaces contre la France et n’a jamais tant recruté de «combattants», notamment européens, en vue de mener de prochaines frappes terroristes. Au lendemain du soulèvement en Tunisie et alors que les manifestations se multiplient en Égypte, le contre-espionnage français est plus que jamais en alerte maximale. Quatre notes «blanches» émanant de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), que Le Figaro s’est procurées, en attestent.
Se fondant sur des «éléments recueillis présentement par les services français sur les différents acteurs terroristes de la zone pakistano-afghane», considérée comme «la première pourvoyeuse de menaces susceptible de viser le territoire européen», l’un des documents confidentiels révèle que «la région continue d’attirer les volontaires au combat armé, notamment européens. Ceux-ci sont passés, en moins de trois ans, de quelques cas isolés à plus d’une centaine d’individus.»
Selon cette note de la DCRI, «la présence de 14 Français a été signalée en 2010 dans cette zone». «Plusieurs de ces combattants ont désormais acquis une expérience et une légitimité qui leur permettent de rallier autour d’eux de nouveaux arrivants, préviennent les analystes français du contre-espionnage. Ayant vécu en Europe et nourrissant souvent des griefs personnels à l’encontre de leurs pays d’adoption, ces Européens sont susceptibles de s’impliquer dans des actions terroristes.» À en croire ces experts, celles-ci semblent presque inéluctables. En effet, écrivent-ils, «la volonté d’al-Qaida et, désormais, de certains groupes pakistanais, de conduire des attentats en Occident est avérée: depuis 2009, pas moins de quatre projets aux États-Unis et en Norvège, directement liés aux zones tribales pakistanaises ont échoué ou ont été déjoués».
Le péril islamiste est d’autant plus préoccupant que les services de renseignements ont intercepté un inquiétant message d’al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi). Diffusé le 28 janvier par son «organe médiatique» al-Andalous, il appelle les Tunisiens à «remplacer la religion altérée par la religion révélée et la charia» et soutient que ce sont « les croisés qui sont à l’origine de nos problèmes».
Par ailleurs, une des notes remarque que l’organisation terroriste annonce que l’«Amérique, la France et le Maghreb n’accepteront jamais un véritable changement qui ne sert pas leurs intérêts en Tunisie » et que ces régimes «préparent le lancement d’un nouveau laquais qui les satisfera». «Le communiqué vise spécifiquement la France, accusée “d’avoir soutenu le tyran Ben Ali”», insiste la DCRI. Établissant un parallèle avec la situation en Algérie, Aqmi prévient que les États-Unis et la France «joueront prochainement le même rôle, s’ils n’en sont pas empêchés par les frappes des moudjahidins (…)». «La France et ses ressortissants demeurent une cible privilégiée d’al-Qaida», martèle le contre-espionnage, qui rappelle enfin le message imputé à Ben Laden, qui fustigeait le 21 janvier dernier le non-retrait des troupes françaises en Afghanistan et menaçait de cibler «différents fronts, à l’intérieur et à l’extérieur de la France ».
Divers quotidiens d’Alger, dont al-Watan, rapportaient ce dimanche que les services algériens de sécurité ont démantelé dans le sud-est du pays un réseau d’Aqmi qui projetait des attentats en Europe, notamment en France.
Dans un entretien au Figaro, le préfet Bernard Squarcini, directeur de la DCRI, révélait en juin dernier que deux attentats sont déjoués chaque année sur le sol français. «Nous pêchons à la fois de manière intense au chalut pour débusquer les filières djihadistes qui partent en Afghanistan, par exemple, mais aussi au harpon, en ciblant des individus fanatisés mais isolés, confiait-il. Notre mission est de les repérer et de les «purger» au plus vite, avant qu’ils ne commettent l’irréparable».
«La chute du régime du président Ben Ali et la poursuite des manifestations en Égypte ont alimenté des prêches dans plusieurs salles de prières radicales, ces dernières semaines»…
…Suite et source: http://tinyurl.com/49zh23j
Il est de notre devoir d’arrêter ce massacre…
FDF
.
Jusqu’où peut aller le fanatisme et la cruauté des adeptes de la « religion » d’amour, de paix et de tolérance… Des cinglés!
FDF
.
(1) Il se peut que ce soit une référence à la bannière noire portant la légende « Il n´y a d´autre Dieu qu´Allah est Mahomet est son messager », qui apparaît sur plusieurs sites associés à Al-Qaïda et au djihad mondial.
Lu sur: http://www.mosci.info/
La télé suédoise a diffusé cette interview de Daniel Arrospide de Stockholm, un politicien local qui a infiltré l’une des plus grandes mosquées de la ville pendant six mois :
Arrospide : « Des groupes extrémistes font du recrutement de terroristes pour le compte d’Al-Qaïda, au vu et au su de l’imam.
La mosquée relance régulièrement des individus et leur offre de l’argent. Dans le cas d’une personne mariée, une grosse somme d’argent est promise à la famille de celui qui choisit de mourir pour Allah. Ils visent surtout des chômeurs, des itinérants, des individus sans avenir.
On parle beaucoup de djihad, de guerre contre les impurs, les impies, les incroyants. Contre les Suédois.
L’attentat de samedi ne m’a pas surpris. Je sentais que quelque chose se tramait à Stockholm, que tôt ou tard, une bombe allait exploser.
Je suis convaincu qu’il y aura d’autres attentats à Stockholm. Il y a définitivement des cellules dormantes à Stockholm.
Les dix radicaux de la mosquée sont libres de faire ce qu’ils veulent en Suède. Ils sont en mesure de commettre des attentats terroristes.
Et même pire, comme faire sauter une centrale nucléaire. »
Source et publication: Poste de Veille