Francaisdefrance's Blog

01/03/2012

Le respect de la femme en islam… Images « choc »…

On m’a fait parvenir ce PPS qui montre de façon atroce, comment les islamistes de certains pays traitent les femmes…

Et cette idéologie veut nous envahir? Et il en est qui la soutiennent, de part l’Occident? Honte à eux! Mais franchement; revenons sur terre. Les preuves des atrocités commises par ces intégristes qui obéissent aveuglément à la charia nous parviennent chaque jour. On va bientôt le faire, ce nettoyage des écuries d’Augias.

Ce sont des fous. Pire, même, si c’était possible…

Femmes de tous les pays, aidez nous à vous défendre contre ces monstres barbus issus de la fange du monde! Manifestez vous en masse.

Âmes sensibles, s’abstenir.

FDF

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Musulmanes

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Merci à Martine…

21/02/2012

Record de visites battu hier, insultes comprises…

Je sentais hier une certaine agitation sur ce blog…  Et, qu’Allah en soit remercié

, j’ai pu constater ce matin que ce lundi a été particulièrement fructueux puisque j’ai battu mon record de visites :

6 408 !

La preuve:

Le dernier record datait de novembre 2011, je ne souviens plus quel jour, avec 6 292…

Ca fait plaisir et vous y êtes toutes et tous pour quelque-chose. Alors merci.

Objectif: le million! Le million !!! Non; j’déconne…

FDF

17/02/2012

La haine de Mahomet pour les juifs…

Calligraphie du nom « Mahomet ». Source: http://coranix.org/

Anne-Marie Delcambre nous explique bien des choses. Pas très bon pour les adeptes du « prophète », ça… En revanche, des preuves supplémentaires qui abondent bien en notre sens…

FDF

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09/02/2012

Essai, commentaire et pub…

Je pense avoir réparé… Alors je publie ce charmant commentaire que je viens de recevoir de la part d’un « admirateur »…

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New comment waiting approval on Francaisdefrance’s Blog
francais converti commented on Coucou !

c la dcri qui te pirate petite bite fachiste ! toujours a foutre des articles au lieu de tafer , feneant va tu doit etre au chomage , honteux detre francais de souche quand je te lis tu fais honte au resistant qui ont combattu le nazisme , marine le pen va perdre ALLAH LE TOUT PUISSANT va y veiller ,

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Réponse avec cette « pub »:

FDF

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Dis-moi, « français CONverti« : tu n’es pas obligé de le lire, ce blog. De toutes façons, je te laisse moisir dans ta fange et pour toi, les commentaires sont désormais terminés.

Salam, « cousin » !!!

FDF

08/02/2012

Selon l’évêque du Soudan : « Sept chrétiens ont été crucifiés » !

Ah les pourris ! Et quand on pense que probablement et à courte échéance, dire du mal de l’islam va être considéré comme un délit en Europe…

Je vous ferai grâce des jurons qui me passent par la tête; ça vaut mieux…

FDF

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Photo d’illustration

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Allah, le tout miséricordieux a dit

Coran 5 : 33
« 33 Ceux qui font la guerre à Dieu et à son messager (Mahomet) et cherchent le désordre sur terre, leur salaire sera d’être tués ou crucifiés ou d’avoir une main et le pied opposé coupés ou d’être bannis du pays. Ce sera leur honte en cette vie et ils auront dans l’autre le tourment sans borne, ».

« Attaques et persécutions de la part des milices gouvernementales »

Au Synode pour l’Afrique, qui se réunit ces jours-ci au Vatican, on discute de la crucifixion des chrétiens et nullement dans un sens métaphorique : « Le 13 août, des rebelles sont entrés dans l’église de ma paroisse pour prendre plusieurs fidèles en otage. Et au cours de leur fuite dans la forêt, ils ont tués sept d’entre eux, ils les ont crucifiés à des arbres. » C’est ce que rapporte Monseigneur Hiiboro Kussala, évêque du diocèse de Tombura Yambio dans le sud du Soudan.

Dans son récit, diffusé par Radio Vatican, il témoigne, d’une voix désolée mais ferme, que la haine et les massacres n’ont pas pris fin en mars dernier avec l’incrimination du président Al-Bashir, décidée par le Tribunal International de la Haye, pour crimes contre l’humanité et pour son implication dans le génocide du Darfour. Et comme le résume la chaîne radio du Saint-Siège, les violences continuent aussi sur un autre front, celui qui divise le Nord, essentiellement arabe, gouverné par Al Bashir à Khartoum et où est imposée la loi coranique et le Sud, chrétien et animiste. Des élections politiques, prévues par les accords de paix de 2005 devraient avoir lieu d’ici 2010 alors qu’en 2011 se déroulera le referendum pour l’auto-détermination du Sud. Ces deux consultations sont mises en danger par les attaques à répétition contre les chrétiens, et ces violences sont perpétrées par des groupes rebelles liés au gouvernement de Karthoum. «Non seulement ils reçoivent l’aide du gouvernement du Nord » accuse l’évêque mais « certains d’entre eux ont été formés par Al qaeda en Afghanistan, ils sont contre notre Église, leur but est de terroriser les chrétiens. » La crucifixion des sept paroissiens de Mgr Kussala n’est pas un acte d’horreur isolé : « on assiste à tellement de drames semblables » et par ailleurs : « tous ces groupes de rebelles ont des fusils, des armes, il semble y avoir une volonté manifeste à maintenir le Soudan du Sud dans un état de trouble permanent afin qu’il n’y ait pas la tranquillité nécessaire à la préparation du referendum. »

Quand on lui demande si porter le message de l’Évangile au Soudan signifie risquer le martyre, l’évêque n’a aucune hésitation à répondre : « Tout à fait, c’est exactement comme ça que nous le vivons puisqu’ils sont en train de tuer nos fidèles, ils brûlent leurs maisons, leurs églises, c’est ça le martyre. »
Venir dans vos paroisses, participer à la messe sont des choses qui font peur? : « Eh oui, les gens ont peur parce que les rebelles continuent à tuer. Mais nous, nous ne voulons pas mourir, tout cela renforce la foi des fidèles et ils continuent à venir à l’église. » Ce n’est pas une situation nouvelle comme l’explique au synode le cardinal Gabriel Zubeir Wako, archevêque de Khartoum : « Le problème entre le Sud et le Nord du Soudan est aussi vieux que le Soudan lui-même : un entrelacement de questions complexes, à partir des inégalités dans le développement jusqu’aux disparités dans les opportunités concédées par le gouvernement central et auxquelles il faut ajouter les différences ethniques et religieuses entre les deux peuples. »

La même complexité du Darfour était expliquée aux évêques par Rodophe Andada, ex-représentant de l’ONU et de l’Union Africaine lors de la mission de paix : « La situation a changé radicalement comparativement aux années 2003-2004 mais ceci ne signifie absolument pas que le conflit, beaucoup plus complexe que le laisse entrevoir la description manichéenne communément répandue, soit terminé.

Source: http://prophetie-biblique.com/

06/02/2012

Mahomet, dont la conduite doit être imitée dans les moindres détails, avait une conception pragmatique du mensonge.

Et bien qu’il se rassure, le « prophète »… Il a été entendu et suivi. Encore de nos jours. Le double langage de l’islam, vous connaissez ? Et la Taqiyya ? Lisez ce qui suit.

FDF

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« la taqiyya servant à duper l’ennemi est permise » (13).

Plusieurs ulémas estiment que la tromperie fait partie intégrante de l’art de la guerre.
« La taqiyya pose un ensemble de problèmes éthiques.
Quiconque croit véritablement que Allah justifie, et même, par l’exemple de son prophète, encourage la tromperie, n’aura aucun scrupule éthique à mentir. »
« Puisque Allah est censé être la source de ces versets révélés, il est considéré comme étant Lui-même implicitement le perpétrateur absolu du mensonge, ce qui n’a rien de surprenant puisque il est décrit dans le Coran comme étant le meilleur makar, c’est-à-dire fourbe, trompeur »
« On peut conclure que face à l’opposition naturelle entre guerre et paix, qui existe dans le cadre occidental, il est plus approprié de parler d’une opposition entre guerre et dissimulation dans le cadre islamique. Car, selon le point de vue islamique, les périodes de paix, qui n’ont lieu que quand l’islam est plus faible que ses rivaux infidèles, sont des périodes de paix simulée et de dissimulation, bref de taqiyya. »

La doctrine de la Taqiyya

Les formulations de la taqiyya
La tromperie dans les exploits guerriers de Mahomet
La taqiyya dans la révélation coranique
La guerre est éternelle
L’hostilité sous les traits de la récrimination
Taqiyya  ou fourberie  musulmane

Voilà qui résume assez le texte ci-dessous,  que je vous conseille de lire, afin de ne pas vous laisser berner encore plus, le  titre à lui seul est suffisamment évocateur et explicite.
ET ENSUITE VOUS  NE POURREZ PAS DIRE QUE VOUS NE SAVIEZ PAS  CE QUI SE TRAMAIT,  et à QUI NOUS AVONS à FAIRE.

JC JC…
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La Taqiyya et les règles de la guerre islamique
par Raymond Ibrahim
Middle East Quarterly

Translation of the original text: How Taqiyya Alters Islam’s Rules of War
Adaptation française: Jean Szlamowicz, pour debriefing.org


L’islam doit apparaître aux non-musulmans comme une religion bien paradoxale. D’un côté, on ne cesse de la présenter comme la religion de la paix et, de l’autre, ses membres sont responsables de la majorité des actes terroristes dans le monde. Les apologistes de l’islam soulignent que cette foi se fonde sur une grande exigence éthique. Les autres constatent qu’il s’agit d’une religion légaliste. La dualité des critères de vérité et de fausseté dans l’islam révèle une nature paradoxale : car si le Coran est contre les croyants qui trompent d’autres croyants (en vertu du fait que « Allah ne guide pas celui qui est outrancier et menteur » (1), la tromperie aux dépens des non-musulmans, généralement appelée, en arabe, taqiyya, reçoit également l’approbation coranique et fait partie des actes légalement permis aux musulmans.
La tromperie musulmane peut être considérée comme un moyen, qui manque, certes, de noblesse, au service de la fin glorieuse que constitue l’hégémonie islamique de la chariah, considérée comme favorable aux musulmans et aux non-musulmans. En ce sens, il s’agit d’un mensonge altruiste, ce qui est autorisé. L’imam Mahmoud al-Masri a récemment donné en exemple une histoire où un musulman raconte un mensonge à un Juif pour le forcer à la conversion, et dont il parle comme d’une « magnifique tromperie ».
La taqiyya a deux utilisations principales. La plus connue consiste à masquer ses convictions religieuses par crainte de persécutions. Il s’agit là de pratiques historiques de la taqiyya au sein de la communauté chiite, dans tous les cas où leurs rivaux sunnites étaient plus nombreux et constituaient une menace. Inversement, les sunnites, loin d’être persécutés, ont toujours pratiqué quand c’était possible une forme de taqiyya au service du djihad contre les incroyants, faisant de la taqiyya une pratique non plus seulement de dissimulation, mais de tromperie active. En fait, le mensonge, qui a, dans l’islam, un fondement doctrinal, est souvent présenté comme égal, et parfois supérieur, aux autres vertus guerrières que sont le courage, la détermination, ou le sacrifice.
On pourra se demander comment il se fait que les musulmans soient à la fois exhortés à la sincérité et encouragés à la tromperie, et que cette dernière soit non seulement dominante mais bénéficie aussi de l’approbation divine.
Qu’est-ce au juste que la taqiyya? Comment les théologiens, ainsi que ceux qui en font usage, la justifient-ils ? Comment s’inscrit-elle dans l’éthique islamique, notamment dans son rapport avec les non-musulmans ? Et, plus précisément, quelles sont les implications de la taqiyya pour toutes les relations entre musulmans et non-musulmans ?

La doctrine de la Taqiyya
Selon la charia, c’est-à-dire l’ensemble des règles qui définissent le comportement d’un musulman dans toutes les circonstances de la vie, la tromperie est non seulement permise dans certaines circonstances mais peut être considérée comme obligatoire. Contrairement à la tradition chrétienne primitive, les musulmans contraints de choisir entre reniement de l’islam et persécution avaient la permission de mentir et de feindre l’apostasie. D’autres juristes ont décrété que les musulmans étaient obligés de mentir afin de se préserver (2), en se fondant sur les versets coraniques qui interdisent aux musulmans de concourir à leur propre mort (3).
Telle est la définition classique de la taqiyya. Construit sur un mot arabe connotant la crainte, le terme de taqiyya passe (notamment auprès des chercheurs occidentaux) pour une stratégie à laquelle on peut avoir recours en cas de persécution religieuse, ainsi que les groupes minoritaires chiites l’ont fait quand ils vivaient au sein de majorité sunnites hostiles (4). La taqiyya a ainsi permis fréquemment aux chiites de masquer leur appartenance religieuse face aux sunnites, non seulement en remisant leurs convictions religieuses à la clandestinité, mais en priant et en se comportant comme des sunnites.
Cependant, l’un des rares ouvrages consacrés à ce sujet, At-Taqiyya fi’l-Islam (« De la dissimulation dans l’islam ») dit clairement que la taqiyya ne se limite pas à la dissimulation par crainte de persécutions. Son auteur, Sami Mukaram, ancien professeur d’études islamiques à l’niversité américaine de Beyrouth, qui a écrit environ vingt-cinq ouvrages sur l’islam, démontre clairement la variété des applications de la taqiyya :

« La taqiyya est d’une importance fondamentale dans l’islam. Pratiquement toutes les factions islamiques la reconnaissent et la pratiquent (…) On peut même dire que la pratique de la taqiyya fait partie de la norme de l’islam, et que les rares factions qui ne la pratiquent pas sont justement en dehors de la norme musulmane. La taqiyya est dominante dans la politique islamique, en particulier durant la période moderne » (5).

La taqiyya n’est donc pas, comme on le suppose souvent, un phénomène exclusivement chiite. Bien sûr, en tant que minorité dispersée au sein de communautés sunnites ennemies, les chiites ont historiquement plus de raisons de pratiquer la dissimulation. Inversement, l’islam sunnite ayant rapidement dominé de vastes empires, de l’Espagne à la Chine, ses membres ne devaient rien à personne et n’eurent pas à faire allégeance à d’autres, ni à se cacher face à des incroyants infidèles (l’Espagne et le Portugal de la Reconquista sont les rares exceptions où les sunnites ont dissimulé leur identité religieuse (6)). Ironiquement, les sunnites qui vivent en Occident se trouvent désormais dans la situation qui était celle des chiites, puisqu’ils vivent comme une minorité encerclée par ses ennemis traditionnels, les chrétiens infidèles. Ces derniers, à la différence des chrétiens de la Reconquista, se comportent rarement en adéquation avec cette inimitié historique, et la reconnaissent encore moins. En fait, les sunnites se retrouvent dans les circonstances générales qui ont fait de la taqiyya un élément important du chiisme mais sans risquer la menace physique qui en avait été initialement la source.

Les formulations de la taqiyya
Le verset 3:28 du Coran est souvent considéré comme le premier qui admet la tromperie envers les non-musulmans :

« Que les croyants ne prennent pas pour alliés des infidèles au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux » (7).

Muhammad ibn Jarir at-Tabari (mort en 923), auteur d’un commentaire du Coran, qui fait autorité, explique ainsi le verset 3:28 :

« Si vous [les musulmans] êtes sous l’autorité de non-musulmans et craignez pour vous-mêmes, conduisez-vous avec une apparence de loyauté envers eux, par la parole, tout en conservant votre hostilité à leur égard par devers vous (…) [sachez que] Allah a interdit aux croyants de se montrer amical ou intime avec les infidèles, sauf si les infidèles les dominent. Dans ce cas précis, qu’ils se comportent amicalement avec eux tout en préservant leur religion » (8).

Toujours à propos de ce verset du Coran, Ibn Kathir (mort en 1373), qui est une autre grande autorité coranique, écrit :

« Quel que soit le lieu ou le moment, quiconque craint des tourments [venant de non-musulmans] peut se protéger en donnant le change ».

Il en veut pour preuve une citation d’Abu Darda, proche compagnon de Mahomet, enjoignant d’« arborer un large sourire face à certaines personnes tandi cœur les maudit »s que notre. Un autre compagnon, connu sous le nom d’Al-Hasan, a dit que « la pratique de la taqiyya est acceptable jusqu’au jour du jugement » (c’est-à-dire jusqu’à la fin des temps) (9).
D’autres savants importants, comme Abu ‘Abdullah al-Qurtubi (1214-73) et Muhyi ‘d-Din ibn al-Arabi (1165-1240), ont étendu la taqiyya jusqu’à l’appliquer à de nombreuses actions. En d’autres termes, les musulmans peuvent se conduire comme des infidèles ou même pire, par exemple en se prosternant et en adorant des idoles et des croix, en portant de faux témoignages, ou même en montrant les faiblesses d’autres musulmans à l’ennemi infidèle — tout est permis sauf tuer un autre musulman :

« la taqiyya, même si elle est pratiquée sans contrainte, ne mène pas à un statut d’infidèle, même si elle peut mener à des péchés méritant le feu de l’enfer » (10).

La tromperie dans les exploits guerriers de Mahomet
Mahomet — qui constitue [pour le musulman] l’exemple de l’être humain parfait, dont la conduite doit être imitée dans les moindres détails — avait une conception pragmatique du mensonge. Il est notamment bien connu qu’il permettait de mentir dans trois situations : pour réconcilier entre deux parties, ou plus, qui sont en conflit, pour calmer sa femme, et à la guerre (11). Selon un manuel de droit arabe consacré au djihad tel qu’il est défini par les quatre écoles du droit islamique,

« les ulémas [savants] considèrent que la tromperie en temps de guerre est légitime (…) la tromperie est une forme de l’art de la guerre » (12).

De plus, selon Mukaram, cette tromperie est classée comme taqiyya:

« la taqiyya servant à duper l’ennemi est permise » (13).

Plusieurs ulémas estiment que la tromperie fait partie intégrante de l’art de la guerre. Ibn al-‘Arabi déclare, par exemple :

« dans les hadiths [citations et actions de Mahomet], le mensonge en temps de guerre est bien attesté. En fait, le mensonge est davantage souligné que l’obligation de courage ».

Ibn al-Munir (mort en 1333) écrit :

« La guerre est tromperie, la guerre la plus parfaite qu’un saint guerrier puisse faire est une guerre de tromperie et non de confrontation, car la confrontation comporte des risques, tandis que l’on peut obtenir la victoire par traîtrise et sans risque pour soi ».

Quant à Ibn Hajar (mort en 1448), il conseille aux musulmans d’adopter

« une attitude très prudente dans la guerre, tout en se lamentant [publiquement] et en portant le deuil de manière à tromper les infidèles » (14).

Cette conception musulmane de la guerre comme tromperie renvoie à la bataille du Fossé (627), qui opposa Mahomet et ses disciples à plusieurs tribus non musulmanes, connues sous le nom de Al-Ahzab. Parmi ces derniers, Na’im ibn Mas’ud se rendit dans le camp musulman et se convertit à l’islam. Quand Mahomet s’aperçut que les Ahzab n’étaient pas au courant de la conversion de Mas’ud, il lui conseilla de retourner auprès d’eux et de les décider à lever le siège. C’est à cette occasion que Mahomet est censé avoir émis l’adage célèbre, « car la guerre est tromperie ». Mas’ud retourna auprès des Ahzab sans qu’ils sachent qu’il avait changé de camp et, de son côté, il donna des informations fausses à ses anciens amis et alliés. Il s’efforça également de générer des querelles entre les différentes tribus jusqu’à ce que, pleines de méfiance les unes envers les autres, elles finissent par se séparer et lever le siège, sauvant ainsi les musulmans de la destruction dans cette période encore embryonnaire [de l’islam] (15).
Plus récemment, des complices de l’attentat du 11-Septembre, tel Khalid Sheikh Muhammad, ont invoqué, dans leur défense, comme raison de leur rôle dans la conspiration, l’argument du prophète selon lequel « la guerre est tromperie ».
On trouve une autre expression encore plus puissante de la légitimité qu’il y a à tromper des infidèles, dans l’anecdote suivante. Un poète, Ka’b ibn Ashraf, avait offensé Mahomet, lequel s’était exclamé « Qui tuera cet homme qui a blessé Allah et son prophète ? ». Un jeune musulman nommé Muhammad ibn Maslama s’était porté volontaire, à condition que pour s’approcher de Ka’b afin de l’assassiner, il ait la permission de lui mentir. Mahomet lui donna son accord. Ibn Maslama alla voir Ka’b et commença à dire du mal de l’islam et de Mahomet. Il continua ainsi jusqu’à ce que ses paroles soient assez convaincantes pour que Ka’b se fie à lui. Ibn Maslama ne tarda pas alors à se présenter avec un autre musulman et à tuer Ka’b qui ne se méfiait plus (16).
Mahomet a pris d’autres positions qui font de la tromperie une action positive, comme lorsqu’il dit :

« Allah m’a commandé de parler de façon équivoque parmi les peuples, au même titre qu’il m’a commandé d’édicter des obligations [religieuses] » ;

ou encore :

« J’ai été envoyé dans des conditions impénétrables »,

et

« celui qui vit dans la dissimulation meurt en martyr » (17).

Bref, les premières sources historiques de l’islam attestent clairement de l’importance suprême de la taqiyya comme d’une forme islamique de guerre. De plus, les premiers musulmans sont souvent décrits comme capables de se sortir de situations difficiles grâce au mensonge, notamment en reniant ou en insultant l’islam et Mahomet avec l’approbation de ce dernier – son seul critère étant que leurs intentions (niya) soient pures (18). Au cours des guerres contre les chrétiens, à chaque fois que les chrétiens avaient le pouvoir, la pratique de la taqiyya devint même plus totale. Ainsi que l’affirme Mukaram :

« la taqiyya était utilisée comme un moyen, pour les musulmans, de repousser le danger, en particulier aux moments critiques où leurs frontières étaient l’objet de guerre avec les Byzantins, et, plus tard, l’objet des raids [croisades] des Francs et des autres » (19).

La taqiyya dans la révélation coranique
Le Coran lui-même apporte d’autres témoignages concernant la taqiyya. Puisque Allah est censé être la source de ces versets révélés, il est considéré comme étant Lui-même implicitement le perpétrateur absolu du mensonge, ce qui n’a rien de surprenant puisque il est décrit dans le Coran comme étant le meilleur makar, c’est-à-dire fourbe, trompeur (par exemple : 3:54, 8:30, 10:21).
Alors que les autres Ecritures saintes contiennent des contradictions, le Coran est le seul texte à propos duquel les commentateurs ont développé une doctrine pour rendre compte des changements visibles d’une injonction à une autre. Un lecteur attentif ne peut manquer de remarquer les versets contradictoires du Coran, notamment la façon dont les versets de paix et de tolérance se retrouvent quasiment côte à côte avec des versets de violence et d’intolérance. Les ulémas furent embarrassés, au départ, pour décider à partir de quels versets codifier l’ordre social de la chariah : celui qui affirme que la religion ne peut exercer de coercition (2:256), ou celui qui ordonne aux croyants de combattre tous les non-musulmans jusqu’à leur conversion, ou au moins leur soumission à l’islam (8:39, 9:5, 9:29) ? Pour résoudre ce dilemme, les commentateurs ont développé la doctrine de l’abrogation, qui, en gros, stipule, quand il y a contradiction, que les versets révélés à Mahomet tardivement prennent le pas sur ceux formulés au début de sa vie. C’est ainsi que, pour déterminer quel verset abroge quel autre, une science théologique consacrée à la chronologie des versets du Coran a été créée (on l’appelle an-Nasikh wa’l Mansukh – ce qui abroge et ce qui est abrogé).
Mais pourquoi y aurait-il une contradiction ? La réponse classique est que, dans les premières années de l’islam, Mahomet et sa communauté étant largement inférieurs en nombre aux infidèles avec lesquels ils étaient en concurrence et qui vivaient avec eux à la Mecque, un message de coexistence pacifique était de rigueur. Cependant, après l’exil des musulmans à Médine, en 622, et le développement de leur force guerrière, les versets les incitant à l’offensive leur furent progressivement « révélés », c’est-à-dire en principe envoyés par Allah, à mesure que la puissance des musulmans augmentait. Dans les textes juridiques, ces versets sont classés en différentes catégories : passivité face à l’agression ; permission de répliquer face à des agresseurs ; commandement incitant à combattre les agresseurs ; commandement incitant à combattre tous les non-musulmans qu’ils aient été initialement agresseurs ou pas (20). Le développement de la puissance musulmane est la seule variable fournie pour expliquer ces changements graduels de politique.
D’autres érudits renforcent cette conception en soulignant que sur une période de 22 ans, le Coran a été révélé petit à petit et a d’abord privilégié des versets ne réclamant pas d’action et restant de nature spirituelle avant de passer ensuite à des prescriptions et des injonctions réclamant de diffuser la foi par le djihad et la conquête, et ce de manière à ne pas rebuter les premiers convertis musulmans face aux devoirs qui sont ceux de l’islam, et éviter qu’ils ne soient découragés par les obligations importantes qui n’apparaîtront que dans les versets plus tardifs (21). Ces versets – tel celui qui dit : « Il vous est prescrit de combattre, même si cette prescription, vous l’avez en horreur » (22), auraient été déplacés à un moment où la guerre n’était pas pensable.
Quelles que soient les interprétations de l’abrogation dans le Coran, l’opinion commune sur la question des versets concernant la guerre et la paix est que, quand les musulmans sont en position de faiblesse, ou minoritaires, ils doivent prêcher et être fidèles à l’éthique des versets mecquois (paix et tolérance) ; alors que, lorsqu’ils sont en position de force, ils doivent passer à l’offensive sur la base des commandements figurant dans les versets de Médine (guerre et conquête). Les avatars de l’histoire islamique témoignent de cette dichotomie et se reflètent dans le proverbe communément admis parmi les musulmans et qui se fonde sur un hadith, selon lequel le djihad doit être réalisé par la main (par la force), ou sinon, par la langue (par le prêche), et si cela n’est pas possible, par le cœur ou par les intentions secrètes de chacun (23).

La guerre est éternelle
Que l’islam légitime la tromperie dans le cadre de la guerre n’a, bien sûr, rien d’étonnant. Après tout, comme l’a formulé un auteur élizabéthain, John Lyly, « tout est bon, en amour comme à la guerre » (24). D’autres philosophes ou stratèges non musulmans, comme Sun Tzu, Machiavel et Thomas Hobbes, ont justifié la tromperie dans la guerre. Tromper l’ennemi dans le cadre de la guerre relève du bon sens. La différence cruciale avec l’islam, c’est que la guerre contre l’infidèle est considérée comme permanente, et dure, selon le Coran, jusqu’à ce que « cesse tout chaos et que toutes les religions appartiennent à Allah » (25). Dans son article sur le djihad de l’Encyclopaedia of Islam, Emile Tyan remarque :

« le devoir de jihad existe aussi longtemps que la domination universelle de l’islam n’a pas été atteinte. La paix avec les nations non musulmanes n’est donc que provisoire, et seul le hasard des circonstances peut la justifier de manière provisoire » (26).

De plus, et pour en revenir à la doctrine de l’abrogation, des érudits musulmans comme Ibn Salama (mort en 1020) s’accordent pour dire que le verset 9:5 du Coran, connu sous le nom de ayat as-sayf, ou verset du sabre, abroge environ 124 des versets mecquois plus pacifistes, car cela inclut « tous les versets coraniques qui prêchent autre chose qu’une offensive totale contre les non-croyants » (27). En fait, les quatre écoles de la jurisprudence sunnite sont d’accord pour dire que

« le djihad consiste à faire la guerre aux infidèles qui, après qu’on leur ait enjoint d’embrasser l’islam, ou au moins de payer une [jizya] et de vivre soumis, ont refusé de le faire » (28).

Le caractère obligatoire du djihad est clairement exprimé par la vision du monde dichotomique qui oppose le « royaume de l’islam » au « royaume de la guerre ». Le premier s’appelle, dar al-Islam, ou « règne de la soumission », et représente le monde où domine la chariah. Le second, dar al-Harb, ou règne de la guerre, représente le monde non-islamique. Le combat se perpétue jusqu’à ce que le règne de l’islam engloutisse le monde non-islamique. Cet état de fait est celui qui existe encore aujourd’hui. Le très célèbre historien et philosophe musulman, Ibn Khaldun, (mort en 1406) formule clairement cette opposition :

« Dans la communauté musulmane, le djihad est un devoir religieux en raison de l’universalisme de la mission musulmane et de l’obligation de convertir tout le monde à l’islam par la persuasion ou par la force. Les autres groupes religieux n’avaient pas une mission universelle et le djihad n’était pas un devoir religieux pour eux, excepté pour des raisons défensives. Mais l’islam est obligé de conquérir le pouvoir contre les autres nations » (29).

Enfin, indépendamment de tous les faits avérés, il est bon de noter — à moins qu’on puisse encore trouver déraisonnable qu’une foi ayant un milliard d’adeptes oblige à déclencher en son nom des guerres sans raison — que l’expansionnisme djihadiste est considéré comme un acte altruiste, un peu à la manière de l’idéologie du « fardeau de l’homme blanc » au XIXe siècle. Selon cette logique, que le monde vive en démocratie sous le socialisme, le communisme ou tout autre système de gouvernance, il vit inévitablement enchaîné dans le péché, car le bien suprême de l’humanité réside dans l’accord avec la loi d’Allah. Dans ce contexte, la tromperie musulmane peut être considérée comme un moyen, légèrement inférieur en noblesse, dans un but glorieux : l’hégémonie islamique du règne de la chariah, en tant qu’elle est bonne pour tous, musulmans comme non-musulmans.
Cette conception n’a en fait rien de neuf. Peu après la mort de Mahomet, en 634, avec la déferlante de guerriers du djihad, venue de la péninsule arabique, un commandant perse, qui ne devait pas tarder à succomber à l’invasion, demanda aux musulmans ce qu’ils désiraient. La réponse – mémorable – fut la suivante :

« Allah nous a envoyés ici afin que nous puissions libérer ceux qui le désirent de la servitude de leurs maîtres terrestres et en faire les serviteurs d’Allah, afin de transformer leur misère en richesse et les libérer de la tyrannie et du chaos des [fausses] religions et leur apporter la justice de l’islam. Il nous a envoyés pour apporter sa religion à toutes ses créatures et leur lancer un appel pour qu’ils rejoignent l’islam. Tous ceux qui accepteront cet appel seront saufs et nous les laisserons en paix. Mais quiconque refuse cet appel sera combattu jusqu’à ce que nous accomplissions la promesse d’Allah » (30).

Mille quatre-cent ans plus tard, en mars 2009, le juriste saoudien, Basem Alem, se fit l’écho de cette conception :

« En tant que membre de la vraie religion, j’ai davantage de droit à envahir les autres afin d’imposer un certain mode de vie [la chariah], dont l’histoire a démontré qu’il était le meilleur et le plus juste parmi toutes les civilisations. Tel est le véritable sens du djihad offensif. Quand nous nous engageons dans le djihad, ce n’est pas pour convertir les gens à l’islam, mais pour les libérer du sombre esclavage dans lequel ils vivent » (31).

Et il va sans dire que la taqiyya au service d’un tel altruisme est permise. Par exemple, très récemment, après avoir raconté une histoire où un musulman force un Juif à se convertir à l’islam en lui disant que s’il renonçait à l’islam, les musulmans le tueraient pour apostasie, l’imam Mahmoud al-Masri a parlé d’une « magnifique tromperie » (32). Après tout, d’un point de vue islamique, c’est le Juif qui a été le bénéficiaire de cette tromperie puisqu’elle l’a fait entrer dans l’islam.

Trèves et traités
La nature perpétuelle du djihad est soulignée par le fait, soutenu par les juristes, que 10 ans est la durée maximale de paix pour les musulmans avec les infidèles. Une fois que le traité a expiré, la situation doit être réévaluée. Ils s’appuient sur le traité de paix d’Hudaybiya ratifié en 628 par Mahomet et ses ennemis Quraysh à la Mecque. L’exemple de Mahomet qui brisa ce traité au bout de deux ans (en prétextant une infraction des Quraysh) montre que la seule fonction d’une trève est de permettre aux musulmans s’ils sont affaiblis de gagner du temps et de se regrouper avant une nouvelle offensive (33) :

« Par leur nature même, les traités doivent avoir une durée temporaire, car, dans la théorie juridique musulmane, les relations normales entre territoires musulmans et non-musulmans ne sont pas pacifiques mais guerrières » (34).

En se fondant sur ce point,

« les fuqaha [juristes] sont d’accord pour considérer une trève illimitée comme illégitime, si les musulmans sont en position assez forte pour repartir en guerre contre les non-musulmans » (35).

Bien que la chariah demande aux musulmans d’honorer les traités, il existe donc une sortie possible qui est propice aux abus : si les musulmans pensent, même sans preuves solides, que leurs ennemis vont rompre le traité, ils peuvent le briser les premiers. De plus, certaines écoles de droit islamique, comme celle des Hanafites, affirment que les responsables musulmans peuvent abroger les traités tout simplement si cela semble être à l’avantage de l’islam (36). Cela n’est pas sans rappeler le hadith canonique suivant :

« si tu fais serment de procéder à une action et que tu te rends compte, plus tard, qu’une autre action est meilleure, alors tu devras renier ton serment et faire ce qui est mieux » (37).

Et qu’y a-t-il de mieux et de plus altruiste que de rendre la parole d’Allah dominante en déclenchant à nouveau le djihad dès que possible ? Traditionnellement, les dirigeants musulmans lançaient un djihad au moins une fois par an. Ce rite est particulièrement remarquable chez les sultans ottomans, qui passaient la moitié de leur vie sur le champ de bataille (38). Le devoir de djihad était tellement important, que les sultans n’avaient pas le droit d’effectuer le pèlerinage à la Mecque – qui est pourtant un devoir individuel pour chaque musulman. C’est leur prise en main du djihad qui a permis à ce rite collectif de perdurer, autrement, il serait tombé en désuétude (39).
Pour résumer, le prérequis pour la paix ou la réconciliation est que les musulmans aient l’avantage. C’est ce que démontre un texte sunnite qui fait autorité, Umdat as-Salik, écrit par un érudit égyptien du XIVe siècle, Ahmad Ibn Naqib al-Misri :

« On doit trouver un bénéfice [maslaha] à la trève, autre que le seul status quo, car [il est écrit] :
« Ne soyez pas pusillanimes en offrant la paix à l’ennemi quand vous êtes les plus forts ! » [Coran, 47:35] » (41).

On rappellera un épisode plus récent, et qui est d’une importance majeure pour les dirigeants occidentaux qui recommandent la coopération avec les islamistes. Yasser Arafat venait de négocier un traité de paix qui avait été vivement critiqué comme concédant trop de choses à Israël. Il s’adressa alors à une assemblée musulmane dans une mosquée de Johannesburg, et se justifia en ces termes :

« Je considère cet accord au même titre que l’accord signé par notre prophète Mahomet et les [Banei] Quraysh de la Mecque » (42). En d’autres termes, comme Mahomet, Arafat n’avait donné sa parole que pour la renier une fois que la situation le permettrait, c’est-à-dire quand les Palestiniens seraient à nouveau en position de passer à l’offensive et de reprendre la route de Jérusalem. Dans d’autres contextes, Hudaybiya a fait figure de mot-clé pour les islamistes radicaux. Le Moro Islamic Liberation Front avait trois camps d’entraînement au sein du complexe d’Abu Bakar dans les Philippines et l’un d’eux s’appelait Camp Hudaybiya (43).

L’hostilité sous les traits de la récrimination
Dans les discours à destination des opinions publiques européennes ou américaines, les islamistes soutiennent que le terrorisme qu’ils exercent contre l’Occident n’est que la réciprocité de décennies d’oppression occidentale ou israélienne. Mais dans les écrits qui s’adressent aux autres musulmans, cet esprit vindicatif n’est pas présenté comme la réaction à une provocation militaire ou politique, mais comme le produit d’une obligation religieuse.
Par exemple, quand il s’adresse au public occidental, Ousama ben Laden dresse la liste des récriminations qui justifient sa guerre contre l’Occident, depuis l’oppression des Palestiniens jusqu’à l’exploitation de la femme par l’Occident, ou même le fait que les Etats-Unis n’ont pas signé le protocole de Kyoto, ce qui constitue des arguments audibles pour l’opinion occidentale. Jamais il ne justifie les attaques d’Al-Qaïda contre les cibles occidentales par le simple fait que les nations non musulmanes sont par définition des entités infidèles qui doivent être soumises. En fait, il va jusqu’à faire précéder ses messages à destination de l’Occident de phrases comme « la réciprocité fait partie de la justice », ou « paix à tous ceux qui suivent une voie droite » (43), même si ce que le public occidental comprend par là est sans rapport avec ce qu’il met derrière les mots « paix », « justice » ou « droiture ».
C’est quand Ben Laden s’adresse aux autres musulmans que la vérité ressort. Quand un groupe de musulmans de premier plan avait écrit au peuple américain, peu de temps après les attentats du 11-Septembre, pour affirmer que l’islam cherche à coexister pacifiquement (44), Ben Laden avait pris la plume pour les remettre à leur place :

« En ce qui concerne les relations entre musulmans et infidèles, elles sont résumées par ce mot du Très-Haut : ‘Nous vous renions, et désormais l’inimitié et la haine nous séparent jusqu’à ce que vous croyiez en Allah seul » [Coran 60:4]. Il y a donc une inimitié dont la preuve est l’hostilité farouche ancrée dans nos cœurs. Et cette hostilité farouche, c’est-à-dire cette guerre, ne cessera que si l’infidèle se soumet à l’autorité de l’islam ou qu’il est interdit de faire couler son sang [c’est-à-dire s’il est dhimmi, ou minorité protégée], ou si les musulmans sont, à un moment donné, dans une situation de faiblesse qui les empêche d’agir. Mais si la haine s’éteint de nos cœurs, il s’agit alors d’une très grande apostasie ! (…) Telle est la base et le fondement des relations entre l’infidèle et le musulman. Guerre, animosité, haine, infligées par le musulman à l’infidèle, tel est le fondement de notre religion. Et nous considérons que nous faisons ainsi un acte de justice et de bonté à leur égard » (45).

Les quatre écoles classiques de jurisprudence islamique soutiennent cette conception du monde, faite d’hostilité, en parlant des infidèles en termes similaires. Quand Ben Laden s’adresse à l’Occident en parlant de paix et de justice, ce sont des exemples typiques de taqiyya. Non seulement il s’est engagé dans un djihad physique, mais aussi dans une guerre de propagande, ou, en d’autres termes, une guerre de tromperie. S’il parvient à convaincre l’Occident que le conflit actuel est entièrement dû à l’Occident, il pourra gagner à sa cause une plus grande sympathie. Parallèlement, il sait que si les Américains se rendaient compte que rien hormis leur totale soumission ne peut ramener la paix, sa campagne de propagande serait rapidement compromise. D’où ce besoin constant de masquer ses objectifs et de mettre en avant des récriminations, car, comme le dit le prophète de Ben Laden, « la guerre est tromperie ».

Implications
La taqiyya pose un ensemble de problèmes éthiques. Quiconque croit véritablement que Allah justifie, et même, par l’exemple de son prophète, encourage la tromperie, n’aura aucun scrupule éthique à mentir. Prenons le cas d’Ali Muhammad, le premier « formateur » de Ben Laden et longtemps agent d’Al-Qaïda. Egyptien, il a d’abord fait partie du Jihad Islamique et a servi dans le renseignement militaire de l’armée égyptenne. Après 1984, il a travaillé un temps avec la CIA en Allemagne. Quoique considéré comme peu fiable, il a réussi à aller en Californie, où il s’est enrôlé dans l’armée américaine. Il est vraisemblable qu’il a continué à travailler, à un titre ou un autre, pour la CIA. Il a ensuite entraîné des djihadistes aux Etats-Unis et en Afghanistan et est responsable de plusieurs opérations terroristes en Afrique. Les gens qui le connaissaient avaient pour lui

« de la crainte et du respect pour son incroyable assurance, l’impossibilité qu’il avait d’être intimidé, la détermination absolue qu’il avait de détruire les ennemis de l’islam, et sa foi zélée dans les credos du militantisme islamique fondamentaliste » (46).

De fait, cette phrase résume tout : car une croyance zélée aux fondements de l’islam, qui légitime la tromperie pour faire triompher la parole d’Allah, aura sans nul doute un impact considérable sur la capacité à développer cette « incroyable assurance » pour mentir (47).
Pourtant, la plupart des Occidentaux continuent de croire que les mœurs, les lois et les contraintes éthiques musulmanes sont à peu près identiques à celles de la tradition judéo-chrétienne. Avec naïveté ou arrogance, les grands avocats du multiculturalisme projettent leur propre conception du monde sur les islamistes et pensent qu’une poignée de main et un sourire autour d’une tasse de café, assortis de nombreuses concessions suffiront pour démanteler la puissance de la parole de Dieu et des siècles de tradition immuable. Les faits sont têtus : le bien et le mal dans l’islam ont peu à voir avec les critères universels et restent fonction des enseignements propres à l’islam, dont la majeure partie est en opposition totale avec les normes occidentales.
Il faut donc admettre, en contradiction avec des croyances savantes depuis longtemps établies, que, chez les musulmans, la doctrine de la taqiyya va bien plus loin que la seule dissimulation religieuse afin de préserver son existence et concerne le fait de tromper l’ennemi infidèle de manière plus large. La taqiyya étant une seconde nature du chiisme, ce phénomène devrait apporter un contexte éloquent au zèle chiite iranien pour se procurer la puissance nucléaire, tout en insistant sur ses objectifs pacifistes.
La taqiyya ne concerne pas seulement les affaires internationales. Walid Phares, de la National Defense University, s’est déjà plaint de voir des islamistes américains actifs sur le sol américain, et ce sans la moindre entrave, grâce à leur utilisation de la taqiyya :

« Est-ce que notre gouvernement est au courant de cette doctrine et, ce qui est encore plus important, est-ce que les autorités font quelque chose pour que notre système de défense s’adapte à cette menace dormante et invisible qui se développe en notre propre sein ? » (48).

A la lumière du massacre de Fort Hood, quand Nidal Malik Hasan – musulman américain qui montrait de nombreux signes d’islamisme, qui n’ont pas été pris au sérieux – a tué treize de ses collègues, il faut bien malheureusement répondre par la négative.
Le problème est donc le suivant. La loi islamique divise sans aucune ambiguïté le monde en deux parties perpétuellement en guerre — le monde islamique et le monde non islamique — et il considère que la volonté divine est de voir le premier vaincre le second. Si la guerre contre l’infidèle est un état perpétuel, si la guerre est dissimulation et que la fin justifie les moyens, un certain nombre de musulmans concluront naturellement qu’ils ont le droit — d’origine divine — de mentir, tant que c’est utile, selon eux, pour aider l’islam « jusqu’à ce que le chaos cesse et que toutes les religions appartiennent à Allah » (49).
De plus, une telle dissimulation sera considérée comme le moyen d’une fin altruiste. Les ouvertures au dialogue et à la paix ou même à des trèves temporaires doivent être envisagées en fonction de cette doctrine, ce qui n’est pas sans rappeler les observations pratiques faites par le philosophe James Lorimer, il y a plus d’un siècle :

« Tant que l’islam continue d’exister, la réconciliation de ses partisans, même avec les Juifs et les chrétiens, et plus encore avec le reste de l’humanité, restera un problème insoluble » (50).

On peut conclure que face à l’opposition naturelle entre guerre et paix, qui existe dans le cadre occidental, il est plus approprié de parler d’une opposition entre guerre et dissimulation dans le cadre islamique. Car, selon le point de vue islamique, les périodes de paix, qui n’ont lieu que quand l’islam est plus faible que ses rivaux infidèles, sont des périodes de paix simulée et de dissimulation, bref de taqiyya.

Notes
(1) Coran 40:28.
(2) Fakhr ad-Din ar-Razi, At-Tafsir al-Kabir (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2000), vol. 10, p. 98.
(3) Coran 2:195, 4:29.
(4) Paul E. Walker, The Oxford Encyclopedia of Islam in the Modern World, John Esposito, ed. (New York: Oxford University Press, 2001), vol. 4, s.v. « Taqiyah, » pp. 186-7; Ibn Babuyah, A Shi’ite Creed, A. A. A. Fyzee, trans. (London: n. p., 1942), pp. 110-2; Etan Kohlberg, « Some Imami-Shi’i Views on Taqiyya, » Journal of the American Oriental Society, 95 (1975): 395-402.
(5) Sami Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam (London: Mu’assisat at-Turath ad-Druzi, 2004), p. 7.
(6) Devin Stewart, « Islam in Spain after the Reconquista », Emory University, p. 2, accès au site, le 27 nov. 2009.
(7) Voir aussi Coran 2:173, 2:185, 4:29, 16:106, 22:78, 40:28, versets cités par les juristes musulmans comme légitimant la taqiyya.
(8) Abu Ja’far Muhammad at-Tabari, Jami’ al-Bayan ‘an ta’wil ayi’l-Coran al-Ma’ruf: Tafsir at-Tabari (Beirut: Dar Ihya’ at-Turath al-‘Arabi, 2001), vol. 3, p. 267.
(9) ‘Imad ad-Din Isma’il Ibn Kathir, Tafsir al-Coran al-Karim (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2001), vol. 1, p. 350.
(10) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 30-7.
(11) Imam Muslim, « Kitab al-Birr wa’s-Salat, Bab Tahrim al-Kidhb wa Bayan al-Mubih Minhu, » Sahih Muslim, rev. ed., Abdul Hamid Siddiqi, trad. (New Delhi: Kitab Bhavan, 2000).
(12) Ahmad Mahmud Karima, Al-Jihad fi’l Islam: Dirasa Fiqhiya Muqarina (Cairo: Al-Azhar, 2003), p. 304.
(13) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, p. 32.
(14) Raymond Ibrahim, The Al Qaeda Reader (New York: Doubleday, 2007), pp. 142-3.
(15) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 32-3.
(16) Ibn Ishaq, The Life of Muhammad (Karachi: Oxford University Press, 1997), pp. 367-8.
(17) Shihab ad-Din Muhammad al-Alusi al-Baghdadi, Ruh al-Ma’ani fi Tafsir al-Coran al-‘Azim wa’ l-Saba’ al-Mithani (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2001), vol. 2, p. 118.
(18) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 11-2.
(19) Ibid., pp. 41-2.
(20) Ibn Qayyim, Tafsir, in Abd al-‘Aziz bin Nasir al-Jalil, At-Tarbiya al-Jihadiya fi Daw’ al-Kitab wa ‘s-Sunna (Riyahd: n. p., 2003), pp. 36-43.
(21) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, p. 20.
(22) Coran 2: 216.
(23) Yahya bin Sharaf ad-Din an-Nawawi, An-Nawawi’s Forty Hadiths, p. 16, accès au site, le 1er août, 2009.
(24) John Lyly, Euphues: The Anatomy of Wit (London, 1578), p. 236.
(25) Coran 8:39.
(26) Emile Tyan, The Encyclopedia of Islam (Leiden: Brill, 1960), vol. 2, s.v. « Djihad », pp. 538-40.
(27) David Bukay, « Peace or Jihad? Abrogation in Islam », Middle East Quarterly, Fall 2007, pp. 3-11, f.n. 58; David S. Powers, « The Exegetical Genre nasikh al-Coran wa-mansukhuhu », in Approaches to the History of the Interpretation of the Coran, Andrew Rippin, ed. (Oxford: Clarendon Press, 1988), pp. 130-1.
(28) Jalil, At-Tarbiya al-Jihadiya fi Daw’ al-Kitab wa ‘ s-Sunna, p. 7.
(29) Ibn Khaldun, The Muqadimmah. An Introduction to History, Franz Rosenthal, trad. (New York: Pantheon, 1958), vol. 1, p. 473.
(30) Hugh Kennedy, The Great Arab Conquests (Philadelphia: Da Capo, 2007), p. 112.
(31) « Saudi Legal Expert Basem Alem: We Have the Right to Wage Offensive Jihad to Impose Our Way of Life », TV Monitor, clip 2108, Middle East Media Research Institute, trad., mar. 26, 2009.
(32) « Egyptian Cleric Mahmoud Al-Masri Recommends Tricking Jews into Becoming Muslims, » TV Monitor, clip 2268, Middle East Media Research Institute, trans., Aug. 10, 2009.
(33) Denis MacEoin, « Tactical Hudna and Islamist Intolerance », Middle East Quarterly, Summer 2008, pp. 39-48.
(34) Majid Khadduri, War and Peace in the Law of Islam (Baltimore: The Johns Hopkins Press, 1955), p. 220.
(35) Ahmad Mahmud Karima, Al-Jihad fi’l Islam: Dirasa Fiqhiya Muqarina, p. 461.
(36) Ibid., p. 469.
(37) Muhammad al-Bukhari, « Judgements (Ahkaam) » Sahih al-Bukhari, book 89, M. Muhsin Khan, trad., accès au site, le 22 juillet 2009.
(38) Michael Bonner, Jihad in Islamic History: Doctrines and Practice (Princeton: Woodstock Publishers, 2006), p. 148.
(39) Ahmed Akgündüz, « Why Did the Ottoman Sultans Not Make Hajj (Pilgrimage)? » accès au site, le 9 nov. 2009.
(40) Ahmad Ibn Naqib al-Misri, Reliance of the Traveller: A Classic Manual of Islamic Sacred Law (Beltsville: Amana Publications, 1994), p. 605.
(41) Daniel Pipes, « Lessons from the Prophet Muhammad’s Diplomacy », Middle East Quarterly, Sept. 1999, pp. 65-72.
(42) Arabinda Acharya, « Training in Terror », IDSS Commentaries, Institute of Defence and Strategic Studies, Nanyang Technological University, Singapore, May 2, 2003.
(43) « Does hypocrite have a past tense? », for clip of Osama bin Laden, accès au site, le 1er août, 2009.
(44) Ibrahim b. Muhammad al-Shahwan, et al., « Correspondence with Saudis: How We Can Coexist », AmericanValues.org, connection du 28 juillet 2009.
(45) Ibrahim, The Al Qaeda Reader, p. 43.
(46) Steven Emerson, « Osama bin Laden’s Special Operations Man », Journal of Counterterrorism and Security International, Sept. 1, 1998.
(47) Pour une liste des infiltrés dans les organisations américaines, voir Daniel Pipes, « Islamists Penetrate Western Security », Mar. 9, 2008.
(48) Walid Phares, « North Carolina: Meet Taqiyya Jihad », International Analyst Network, July 30, 2009.
(49) Coran 8:39.
(50) James Lorimer, The Institutes of the Law of Nations: A Treatise of the Jural Relations of Separate Political Communities (Clark, N.J.: The Lawbook Exchange, Ltd., 2005), p. 124.

Source:  http://www.meforum.org/2577/taqiyya-regles-guerre-islamique

Et: How Taqiyya Alters Islam’s Rules of War

17/12/2011

Interview des enfants d’une kamikaze…

Une courte vidéo pour montrer à quel point la fanatisation est ancrée dans de très jeunes esprits. La mère de ces mômes s’est fait exploser au nom d’Allah. Et regardez bien l’expression béate du « journaliste »…

Pas belle, la « religion » d’amour, de paix et de tolérance? Pauvres gosses…

FDF

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http://youtu.be/AQm2i7QLgBg

12/12/2011

Le site de la Grande Mosquée de Paris hacké… par des Saoudiens !

Ne riez pas; ça pourrait bien vous arriver (à moi aussi)…

Depuis le temps que la mosquée de Paris est dans le collimateur d’Allah, ce dernier s’est mis à son clavier et pan !

FDF

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Dessin « pillé » chez Bivouac-ID

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La Grande Mosquée de Paris et son Recteur Dalil Boubakeur sont très critiqués au sein de la communauté musulmane française qui ne sent pas représentée sur des questions importantes la concernant. Halal, formation des imams, interdiction du niqab, prières de rue, représentativité… Les musulmans de France ont divorcé avec les prises de positions de la mosquée de Paris, la fracture semble définitive.

Activisme ou sensibilisation à la sécurité, le site internet de la mosquée a été piraté par un groupe de hackers Saoudiens. Est une manière de sensibiliser la GMP sur des questions de sécurité informatique ou y-a-t-il un message plus politique, plus religieux ? il s’agit probablement des deux : )

Source: http://www.ajib.fr/

Les barbus toujours aussi cons…

C’est Geert Wilders qui doit bien se marrer…

FDF

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QUI C’EST QUI FAIT TOUJOURS CHIER  LE MONDE AVEC LEUR OBSCURANTISME  LEUR FANATISME,   LEUR ESPRIT OPTUS  ET MEURTRIER ???? ……………………..
MAIS TOUJOURS LES MÊMES;   QUI ENSUITE JOUENT LES VICTIMES…
JC JC

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Pays-Bas : des barbus radicaux  attaquent Irshad Manji !

Les deux musulmans radicaux belges qui ont perturbé un débat, mercredi soir, à Amsterdam sont toujours en état d’arrestation. Ils seront présentés au juge-commissaire, probablement vendredi, a indiqué la police néerlandaise.
Les deux hommes, âgés de 19 et 22 ans, faisaient partie d’un groupe d’une vingtaine de personnes qui ont perturbé un débat sur la religion organisé au centre « De Balie » à Amsterdam. Une des intervenantes dans le débat, Irshad Manji, écrivaine et militante canadienne qui défend un islam moderne, a été bombardée d’oeufs par les manifestants. Les activistes qui ont perturbé le débat seraient membres du groupe belge Sharia4Belgium qui a créé une branche néerlandaise: Sharia4Holland. (MUA)

Source: Irshad Manji participait à un débat sur la modernisation de l’islam à Amsterdam dans le cadre d’une tournée de promotion de son dernier livre, Allah, Liberty and Love, parrainée par la Fondation européenne pour la démocratie. Le parlementaire néerlandais Tofik Dibi participait également au débat. Pour les barbus, la modernisation de l’islam signifie un retour au 7e siècle, Allahu Akbar, et la démocratie est une hérésie…

Les deux musulmans radicaux belges qui ont perturbé un débat, mercredi soir, à Amsterdam sont toujours en état d’arrestation. Ils seront présentés au juge-commissaire, probablement vendredi, a indiqué la police néerlandaise.

Les deux hommes, âgés de 19 et 22 ans, faisaient partie d’un groupe d’une vingtaine de personnes qui ont perturbé un débat sur la religion organisé au centre « De Balie » à Amsterdam. Une des intervenantes dans le débat, Irshad Manji, écrivaine et militante canadienne qui défend un islam moderne, a été bombardée d’oeufs par les manifestants. Les activistes qui ont perturbé le débat seraient membres du groupe belge Sharia4Belgium qui a créé une branche néerlandaise: Sharia4Holland.

Les extrémistes ont hurlé « Takfir ! » à plusieurs reprises, appelant ainsi à l’exécution de Manji et de Dibi. Après avoir menacé de rompre le cou de Manji, ils ont exigé que l’événement, parrainé par la Fondation européenne pour la démocratie, prenne fin. Les conférenciers ont refusé de quitter l’estrade. Le débat sur la modernisation de l’islam a repris après que la police eut procédé à l’arrestation d’un certain nombre de radicaux.

Source : RTL et European Foundation for Democracy

& http://www.rtl.be/

01/12/2011

Rachid, mon frère…

Piqué sur Facebook… ( ou Fesse-Bouc », comme dirait Henri…).

On s’y croirait.


FDF

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Rachid, mon frère,

Avec la grâce d’Allah tout puissant, nous sommes à présent maîtres de la ville de Bruxelles.
Tout le monde nous craint.
Plus personne ne nous importune quand nous ne respectons pas les lois de la Belgique.
Je me demande pourquoi tu hésites à venir nous rejoindre.
A ton arrivée, tu te feras inscrire à l’Office des Etrangers, comme travailleur clandestin qui veut régulariser sa situation.

Sois sans crainte, personne ne t’embêtera avant des années. On ne te donnera pas de travail mais une carte qui te permettra d’avoir les avantages d’un travailleur.

Au pire, des associations t’aideront à trouver un toit, te nourriront et te fourniront même un avocat.
Mais pour cela il faudrait qu’on te trouve et dans notre commune de Molenbeek.

Allah soit béni – personne ne viendra te chercher.

Viens avec les enfants car les allocations familiales sont très intéressantes: c’est de l’argent que tu reçois en plus, rien que parce tu as une grande famille. Actuellement, une seule de tes femmes sera considérée comme légitime mais ce n’est pas grave: les autres seront inscrites comme mères célibataires avec charge de famille et toucheront environ 450 EUR par mois pour s’en occuper.

Tu devras aussi aller t’inscrire au chômage. C’est un peu long car il y a beaucoup d’étrangers: des Dupont, des Durand, des Van de Velde… qu’il faut encore laisser passer à leur tour. Mais lorsque nous serons définitivement au pouvoir, nous créerons des guichets pour eux. En attendant, comme ce sont ces Belges qui payent, il faut se montrer patient.

Mais une fois que c’est fait, il te suffit de toucher l’argent à la fin du mois, personne ne vérifie rien.

A partir de là, nous avons nos commerces, nos banques, tu ne manqueras de rien et tu vivras comme un roi.

Ton fils aîné Abdel, celui qui rêve d’ouvrir une épicerie, sera ravi.

Ici, nous passons avant tout le monde, nous avons plein d’avantages, nous ne payons pas de taxes, nous ne suivons aucune règle et en plus, les Belges sont nos meilleurs clients car pendant que leurs magasins sont ouverts, ils travaillent et ils ne peuvent pas y aller, ces idiots.

Ce qui est nouveau pour nous, c’est les élections: ils nous demandent notre avis pour tout et en plus, on peut choisir des Marocains bien de chez nous. Ici à Molenbeek, il faut voter pour les socialistes. Leur chef s’appelle Moureaux. Il fait tout ce qu’on lui demande. Il a même fait une loi pour que quand on te reproche quelque chose, tu puisses t’en sortir sans problème: il suffit de dire que c’était un acte raciste.
Ca marche très bien.

Nous espérons obtenir bientôt le droit de vote aussi aux législatives: c’est là qu’on choisit quel imam fera la loi pendant quelques années.

Beaucoup de socialistes et d’écolos nous l’ont promis pour bientôt. Grâce à notre nombre, c’est bientôt nous qui ferons la loi coranique et mettrons un peu d’ordre dans ce pays trop laxiste.

Qu’Allah tout puissant accompagne tes pas, Mustapha.

P.S. Ne viens pas en voiture. Mon fils Samir en a déjà plusieurs pour toi, tu choisiras.

15/11/2011

« Combien ça coûte ? ». Les trois otages au Yemen libérés sains et saufs. Qu’ Allah soit remercié…

C’est sympa, les ONG; ça fait voyager, on voit du pays… Mais c’est dangereux. Que foutaient ces trois otages dans cette zone hostile, alors qu’il y a déjà eu nombre d’enlèvements qui ne se sont pas toujours bien passés (Michel Germaneau ne vous a pas servi de leçon?)?

En outre, l’aide humanitaire, la France en a besoin. Plus que jamais. On n’y achète pas d’ armes avec le matériel pillé et il n’y a pas ni « enlèvements » ni rançon.

« La France ne paye jamais de rançon », s’est défendu Bernard Valero. Ah bon? On paye en armes, et en matériel militaire, alors?

Arrêtez de nous prendre pour des demeurés. Et aux humanitaires, écrivez votre bouquin, c’est de l’argent facile, et occupez vous des Français qui se serrent de plus en plus la ceinture, plutôt. La Croix Rouge embauche…

Et un grand merci au sultanat d’Oman. La France saura vous être reconnaissante; si ce n’est déjà fait… Qu’Allah vous bénisse.

FDF

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Deux des trois ex-otages lundi, lors d'une conférence de presse organisée à Oman.

Les trois humanitaires de l’ONG Triangle, âgés de 25 à 30 ans, sont en route vers Paris. Ils étaient détenus depuis plus de cinq mois au Yémen.

Les trois otages français – deux femmes et un homme âgés de 25 à 30 ans – détenus au Yémen depuis plus de cinq mois ont quitté le sultanat d’Oman à bord d’un avion spécial français. Ils devraient atterir à Paris en début de soirée. «Nous sommes très heureux d’être enfin libres et de pouvoir retourner dans nos familles», ont fait fait savoir les trois ex-otages avant d’embarquer. «Nous remercions tous les trois le sultan Qabous d’Oman pour son implication et pour tous les efforts déployés afin de nous mener vers la liberté, et nous sommes très reconnaissants pour l’hospitalité qui a été offerte au cours de notre présence à Oman».

Les otages ont été libérés dès samedi, mais la nouvelle n’a été rendue publique qu’après qu’ils ont réussi à rallier le sultanat d’Oman dans la nuit de dimanche après plusieurs heures de route. «Ils ont été emmenés à bord de trois voitures différentes, qui ont pris la route à deux heures d’intervalle chacune», explique un dignitaire tribal yéménite ayant contribué à leur libération.

Les anciens otages ont ensuite traversé à bord d’un avion militaire omanais les mille kilomètres qui les séparaient de la capitale du sultanat, Mascate. De là, ils ont pu monter à bord de l’avion spécial français. Un homme d’affaires yéménite, Ahmed Ben Férid al-Souraimeh, qui vit en exil dans le sultanat d’Oman et a contribué à leur libération, se trouvait avec eux dans le premier avion militaire omanais.

Les trois humanitaires, âgés de 25 à 30 ans, appartiennent à l’ONG française Triangle Génération Humanitaire. «On n’imaginait pas un dénouement aussi rapide», explique le co-directeur de l’ONG, Christian Lombard, lundi matin. «On a été avertis dans la nuit, on a été un peu surpris, mais c’est un grand soulagement».

Les otages transférés de cache en cache

L'unique preuve de vie des otages lors de leur captivité : une vidéo prise par les ravisseurs et diffusée sur Internet.
L’unique preuve de vie des otages lors de leur captivité : une vidéo prise par les ravisseurs et diffusée sur Internet.

Les trois humanitaires avaient disparu le 28 mai à Seyoun (600 km à l’est de Sanaa), chef-lieu du Hadramout. Ils travaillaient pour un programme de développement agricole et notamment pour la remise en état d’infrastructures, cette la région, dans laquelle «on est bien intégrés», selon Verbruggen. Selon un chef tribal qui a requis l’anonymat, les trois ingénieurs ont passé plusieurs semaines dans cette ville, avant d’être transférés vers une ferme de la région de Loder, un fief d’al-Qaida dans la province sudiste d’Abyane.

Cette position étant régulièrement attaquée, notamment par des drones américains, les otages ont alors été déplacés dans les montagnes d’Al-Kour, une chaîne aride à cheval entre les provinces d’Abyane et Chabwa. Peu avant leur libération, les Français avaient été transférés à Azzan, un autre fief d’al-Qaida dans la province de Chabwa. Chabwa, un fief de al-Qaida dans la Péninsule arabique (Aqpa), est la province d’origine d’Anwar al-Aulaqi,l’imam américano-yéménite tué le 30 septembre dans une frappe américaine au Yémen.

La France dément avoir payé une rançon de plusieurs millions de dollars !

Un responsable gouvernemental avait fait état dimanche d’une médiation tribale pour la libération des otages français. «La médiation tribale a été menée auprès de Fahd al-Qussa, un chef d’al-Qaida dans la Péninsule arabique (Aqpa), dont les hommes retenaient en otage les trois Français», a précisé un responsable local. «La libération des otages français a été négociée par des dignitaires de la tribu d’Al-Awalaq auprès de Fahd al-Qussa, qui appartient à cette tribu», a indiqué le médiateur tribal, qui a requis l’anonymat.

Une rançon de plusieurs millions de dollars aurait été payée pour la libération des trois Français, ont indiqué des sources tribale et de sécurité. «Un riche homme d’affaires yéménite, Ahmed Ben Férid al-Souraimeh, qui vit en exil dans le sultanat d’Oman, a joué un rôle déterminant dans la libération des otages», a expliqué la source tribale sans plus de détails. Fin octobre, le ministre français de la Défense Gérard Longuet avait indiqué que les demandes des ravisseurs étaient «assez confuses». Des sources tribales avaient indiqué fin juillet que les trois otages français étaient aux mains d’éléments d’al-Qaida qui demandaient une rançon de 12 millions de dollars pour les libérer. «Nous ne payons pas de rançon», a assuré lors d’un point-presse le porte-parole du ministère, Bernard Valero.

Après la disparition de ses trois employés, l’ONG avait suspendu ses programmes au Yémen en proie à une vague de violences liées à un mouvement de contestation du régime et à un regain d’activité d’al-Qaida dans le Sud. Le Yémen est le théâtre de fréquents enlèvements d’étrangers par des tribus. Plus de 200 d’entre eux y ont été enlevés ces 15 dernières années et la grande majorité ont été libérés sains et saufs.

Source: http://www.lefigaro.fr/

31/10/2011

Lettre ouverte à nos amis…………..de longue date.

Depuis le temps que ça me démangeais…Trop fort ce texte, faites lui donc faire le tour de l’Europe, ce sera suffisant .


FDF

Amis Tunisiens, Algériens, Marocains, Egyptiens, Lybiens, et tous les autres, bravo, bravo, bravo, ce que vous avez fait est fantastique, vraiment, parole d’Allah !

Oui, vous avez su, de haute lutte, exiler les tyrans qui oppressaient vos pays.
Oui, vous avez su conquérir votre liberté de haute lutte.

Oui, nous Français et Belges, dont les ancêtres avaient déjà fait cela il y a quelques années, nous sommes admiratifs pour votre courage et votre ténacité.
Admiratifs et un peu tristes car, évidemment, vous allez nous quitter !!

C’est pour retourner chez vous bien sûr, pour profiter pleinement de cette reconquête politique et économique et rebâtir un pays, grand et digne, juste et travailleur, social et intègre, qui ne sera donc pas calqué sur le modèle occidental décadent que vous aurez connu chez nous.

N’ayez pas de serrement au cœur, nous comprenons vos priorités : les maigres allocations et autres avantages sociaux que nous pouvons vous octroyer ne sont qu’une goutte d’eau par rapport à la manne céleste qui vous attend.

Nous comprenons qu’ayant peut être un peu trop souffert de notre envahissante chrétienté, vous préfériez revenir dans une république laïque et libre, et que vous aspirez à occuper dorénavant des postes à hautes responsabilités, rémunérés en conséquence, et que vous aurez plaisir à retrouver la douceur de votre climat sud-méditerranéen.

Bien sûr, soyez en convaincus, nous serons très tristes car vous allez beaucoup nous manquer.

Nous ne trouverons plus de prénoms à consonance maghrébine à la lecture des faits divers, beaucoup de coutelleries vont devoir fermer, les producteurs de moutons devront se reconvertir, SOS racisme, la LICRA, le Cran, et le MRAP vont mettre la clef sous la porte, les démineurs vont connaître le chômage, les vagues de réduction d’effectifs vont frapper nos forces de l’ordre, les banlieues ne seront plus si joliment illuminées la nuit par les voitures incendiées, le prix du café dans les bistrots va augmenter, mais nous nous résignons et nous supporterons tout cela.

Mieux, nous voulons aussi vous remercier : nous allons affréter tous les moyens de transports disponibles pour que le retour au pays se fasse dans les meilleures conditions possibles…

Allez, sans vous retourner, sans peur ni honte de nous abandonner dans une situation critique car, rappelez-vous, nous avons encore les Roumains et tous les gens du voyage qui circulent avec de luxueuses berlines et de magnifiques maisons roulantes… 

Par contre, pour les prochaines fêtes de Pâques, de Noël, et de St. Nicolas (eh oui, nous y croyons encore à celui-là), envoyez-nous des dattes, du thé à la menthe, du coucous et du jasmin, car ici, après votre départ nous n’en aurons plus !

Et si jamais, nous ne pouvons pas nous passer de vous, vous nous accueillerez.
Vous aurez certainement développé des allocations pour des émigrés, la mutuelle.
 Vous vous ouvrirez sans problèmes à une société multiculturelle, vous nous permettrez d’élever des cochons et vos forces de l’ordre supporteront d’être insultées….

Nous revendiquerons des droits sans obligations et si ça ne marche pas, ben…. On caillassera vos administrations et on mettra le feu à quelques bagnoles…..

Merci de nous avoir appris comment faire.

Après tout…. l’histoire est un éternel recommencement…

Un souvenir à emporter. Ne nous remerciez pas, c’est tout naturel:

Une jolie carte postale…

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On vous regrettera…

A faire suivre…

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Merci à JC JC pour « l’éclair »…

21/08/2011

Allah le « miséricordieux »…

Des malades, je vous dis; des malades…

FDF

L’esclavage des chrétiens en terres d’islam dure depuis des siècles…

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Pakistan – Une famille chrétienne mis en esclavage par un musulman

Punjab (Pakistan) – Il y a de cela une trentaine d’années, Zulfiquar Masih, un chrétien pauvre de Rahim Yar Khan, dut emprunter de l’argent à un riche propriétaire terrien et homme d’affaires musulman, Basharat Ali Gulo.

Seulement, les intérêts ne cessèrent d’augmenter, et Zulfiquar se retrouva bientôt avec des intérêts de 500% à rembourser, somme qu’il ne pouvait pas payer. C’est ainsi que la famille de Zulfiquar Masih, soit 26 personnes, hommes, femmes et enfants, devinrent les esclaves de Basharat Ali Gulo, enfermés dans une prison privée et contraints de travailler sur ses terres… 


C’est grâce au diocèse catholique de Bahawalpur qu’ils ont pu recouvrer leur liberté. Ce dernier a, en effet, déposé une plainte contre Basharat Ali Gulo, le tribunal lui a donné raison et ordonné la libération de cette infortunée famille victime de la rapacité et l’absence totale de miséricorde de ce musulman dont pourtant le dieu est dit « miséricordieux »

Fr. Rafael a déclaré à Asia News que « des milliers de travailleurs sont aujourd’hui dans des conditions esclavages au Pakistan ».
Dans la province de Sindh les hindous sont mis en esclavage pendant des générations.

Source: http://infos-meconnues.blogspot.com/

23/07/2011

Message d’ un avocat clairvoyant et plein de bon sens !


A méditer et à diffuser largement…
FDF
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N’ en déplaise aux angéliques car demain il sera trop tard !
Maître Collard que tout le monde connaît pour son franc parler !
C’est un rappel , mais il le mérite ……….
DE QUOI SE POSER BEAUCOUP DE QUESTIONS …….
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Bonjour,
Comme le démontrent les lignes qui suivent, j’ ai été contraint de prendre conscience de l’ extrême difficulté à définir ce qu’ est un infidèle.
Choisir entre Allah ou le Christ, alors que l’Islam est de loin la religion qui progresse le plus vite en notre pays.
Le mois dernier, je participais au stage annuel de remise à niveau, nécessaire au renouvellement de mon habilitation de sécurité dans les prisons.
Il y avait dans le cursus une présentation par trois intervenants représentant respectivement les religions Catholique, Protestante, Juive et Musulmane, expliquant les fondements de leurs doctrines respectives.
C’ est avec un intérêt tout particulier que j’ attendais l’ exposé de l’Imam.
La prestation de ce dernier fut remarquable, assortie d’ une projection vidéo.
A l’ issue des présentations, vint le temps des questions/réponses, et lorsque ce fut mon tour, je demandai :
Je vous prie de me corriger si je me trompe, mais j’ ai cru comprendre que la majorité des Imams et autorités religieuses ont décrété le Jihad (guerre sainte), à l’ encontre les infidèles du monde entier, et que, en tuant un infidèle (ce qui est une obligation faite à tous les musulmans), ceux-ci sont assurés d’ aller au paradis.
Dans ce cas, pourriez-vous me donner la définition de ce qu’est un infidèle ?
Sans rien objecter à mon interprétation et sans la moindre hésitation, l’Imam répondit : un non musulman !!!
Je rétorquais : alors permettez-moi de m’ assurer que j’ ai bien compris :
L’ ensemble des adorateurs d’Allah doivent obéir au commandement de tuer quiconque n’ appartient pas à votre religion, afin de gagner leur place au paradis, n’ est-ce pas ?
Son visage qui affichait jusqu’alors une expression pleine d’ assurance et d’ autorité se transforma soudain en celui d’ un garnement surpris la main dans le pot de confiture !!!
C’ est exact rétorqua-t-il dans un murmure.
Je repris : Eh bien, j’ ai beaucoup de mal à essayer de m’ imaginer le Pape Benoît XVI exhortant tous les Catholiques à massacrer vos coreligionnaires ou le Pasteur Stanley en en faisant autant pour garantir aux Protestants une place au paradis. 
L’Imam se retrouva sans voix !
Je poursuivis : J’ ai également des difficultés à me considérer comme votre ami, lorsque vous-même et vos confrères incitez vos fidèles à m’ égorger !
Juste une autre question :
Choisirez vous de suivre Allah qui vous ordonne de me tuer afin d’ obtenir le paradis, ou le Christ qui m’ incite à vous aimer afin que j’ accède, moi aussi, au paradis, parce qu’ il veut que j’ y sois en votre compagnie ?
On aurait pu entendre une mouche voler, tandis que l’Imam demeurait silencieux.
Inutile de préciser que les organisateurs et promoteurs du séminaire de formation à la diversification n’ ont pas particulièrement apprécié cette façon de traiter le ministre du culte Islamique et d’ exposer quelques vérités à propos des dogmes de cette religion.
Au cours des trente années à venir, il y aura suffisamment d’ électeurs musulmansen notre pays pour installer un gouvernement de leur choix, avec l’ application de la Sharia en guise de loi.
Il m’ apparaît que tous les citoyens de ce pays devraient pouvoir prendre connaissance de ces lignes, mais avec le système de justice et de médias libéraux combinés à la mode démente du politiquement correct, il n’ y a aucune chance que ce texte soit largement publié.
C’ est pourquoi je vous demande de le diffuser à tous les contacts de votre Internet.

19/05/2011

Muhamad Ibrahim Makkawi: chef par interim d’Al-Quaïda…

Ils en ont trouvé un beau, là. Il « promet », le chef par intérim d’Al-Quaïda. Sa tête est déjà mise à  prix 5 millions de dollars. Il faudrait le dégommer tout de suite, pendant que c’est chaud. Et pas attendre des années comme pour Ben Laden. Les USA ont prouvé qu’ils pouvaient le faire. Et du coup, ça déstabiliserait encore plus la nébuleuse terroriste islamique. Ils ne vont pas changer de chef tous les 15 jours, non? Ce n’est pas parce que DSK occupe tous les médias qu’il faut oublier les fous d’Allah…

FDF

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Al-Qaida se dote d’un chef par intérim

Portrait de Saif Al-Adel sur la liste des criminels recherchés par le FBI.

Portrait de Saif Al-Adel sur la liste des criminels recherchés par le FBI.AP/Anonymous

Saïf Al-Adel, un haut responsable égyptien d’Al-Qaida, aurait été désigné chef par intérim du groupe extrémiste, après la mort d’Oussama Ben Laden, rapporte la chaîne d’informations CNN.

Al-Adel, ancien membre des forces spéciales égyptiennes et du Djihad islamique égyptien, est âgé d’environ 50 ans et serait le chef de la branche militaire d’Al-Qaida. Egalement connu sous le nom de Muhamad Ibrahim Makkawi, il est inculpé pour sa participation présumée aux attentats contre les ambassades américaines de Nairobi et Dar es-Salaam en 1998, et une récompense de 5 millions de dollars est offerte pour son arrestation.

FÉBRILITÉ DES MILITANTS D’AL-QAIDA

La chaîne américaine s’appuie sur des informations fournies par Noman Benotman, un ancien militant extrémiste libyen qui a renoncé à l’idéologie d’Al-Qaida. M. Benotman a indiqué que cette nomination était motivée par la fébrilité des militants d’Al-Qaida face à l’absence de chef.

La désignation de Saïf Al-Adel a également été rapportée par le journal pakistanais The News, qui cite des sources non identifiées dans un article daté de Rawalpindi, une ville proche d’Islamabad qui abrite le siège de l’armée pakistanaise.

Selon M. Benotman, cette nomination à la tête d’Al-Qaida pourrait être une manière pour la nébuleuse de tester les réactions à l’arrivée au pouvoir d’un chef ne venant pas de la péninsule Arabique, terre sainte de l’islam, en vue de l’introduction de celui qui apparaît comme le successeur naturel de Ben Laden, Ayman Al-Zawahiri, un Egyptien. Oussama Ben Laden était, lui, originaire d’Arabie saoudite.

Source: http://www.lemonde.fr/

12/03/2011

Geert Wilders aux musulmans: « Libérez-vous. Il n’en tient qu’à vous. »

Excellente réflexion de Geert Wilders.

Il connaît certainement mieux les momos qu’ils ne se connaissent eux mêmes.

A lire et faire suivre…

FDF

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Le site « Muslims Debate » a demandé à Geert Wilders pourquoi il est devenu anti-islam, et quel serait son message aux musulmans. Geert Wilders est bien un humaniste qui n’est ni raciste, ni d’extrême-droite comme aiment à le décrire les médias. Voici sa réponse (traduction). Merci à Marie-Françoise pour cette information.

En 1982 j’ai visité pour la première fois un pays musulman. J’avais 18 ans et je voyageais avec un ami néerlandais d’Eilat en Israël à la station balnéaire égyptienne de Charm el-Cheikh.

Nous étions deux étudiants, sacs au dos, presque sans le sou.  Nous avons dormi sur les plages et trouvé l’hospitalité chez des Égyptiens, qui, spontanément, nous avaient invités à prendre le thé. Je me rappelle bien ma première impression de l’Egypte: j’ai été profondément touché par la bonté et la bienveillance de ce peuple.

Je me souviens aussi de ma seconde impression majeure de l’Égypte: j’ai été frappé par la peur qui accablait ces gens aimables.

Pendant que nous étions à Charm el-Cheikh, le président Moubarak vint visiter la ville. Je me souviens de la peur qui a soudain envahit cette ville quand il fut annoncé que Moubarak arrivait pour une visite inattendue. Je revois encore la cohorte de voitures noires, le jour de sa visite, et la sensation de peur quasiment palpable ressentie par le peuple, comme un souffle glacial sur cette journée d’été très chaude.

Ce fut une expérience étrange; Moubarak n’est pourtant pas considéré comme le pire des tyrans et pourtant, la peur qu’ont les Égyptiens de leur chef pouvait se ressentir, même par moi.  J’imagine ce que les Saoudiens ressentent quand leur roi est en ville, comment les Libyens se sentent quand Kadhafi annonce sa venue, comment les Irakiens devaient trembler quand Saddam Hussein approchait. Et quelques années plus tard, j’ai lu dans le Coran comment les Arabes du VIIème siècle se sentaient en présence de Mahomet. Plusieurs versets décrivent comment il «jetait l’effroi dans leurs cours» (sourates 8:12, 8:60, 33:26, 59:12).

Puis de Charm el-Cheikh, mon ami et moi sommes allés au Caire. La ville était pauvre et incroyablement sale. Nous nous demandions comment cet endroit pauvre et sale pouvait être voisin d’Israël si propre. L’explication, qui nous fut donnée par des Arabes, avec qui nous avions discuté de cette pauvreté, est qu’ils n’étaient en aucunes façons responsables de cette affection. Pour eux, cette misère était la conséquence du complot mondial des «impérialistes» et des «sionistes», visant à asservir et appauvrir les musulmans. J’ai trouvé l’explication peu convaincante et mon instinct me dictait que le contraste avait plutôt un rapport avec la différence culturelle entre Israël et l’Égypte. Autrefois l’Égypte avait la civilisation la plus avancée sur Terre. Pourquoi n’a-t-elle pas progressé avec le reste du monde?

Vers la fin des années 1890, Winston Churchill était soldat et correspondant de guerre dans l’ouest des Indes britanniques (aujourd’hui le Pakistan) et au Soudan. Churchill était alors un jeune homme perspicace, dont les mois passés au Pakistan et au Soudan lui permirent de comprendre avec une clarté parfaite quel est le problème avec l’islam et « les malédictions » qu’il pose sur ses adeptes.

Il écrit « Parallèlement à une frénésie fanatique, ., il y a cette apathie craintive et fataliste ». « Ses effets sont observables dans de nombreux pays. Attitude imprévoyante, agriculture négligée, méthodes commerciales dépassées et insécurité concernant la propriété existent là où les adeptes du Prophète vivent et gouvernent. Le fait que dans la loi mahométane toute femme doit appartenir à un seul homme comme sa propriété absolue, que ce soit en tant qu’enfant, épouse ou concubine, retarde la disparition définitive de l’esclavage jusqu’à ce que l’islam cesse d’être un grand pouvoir parmi les hommes. Individuellement, certains musulmans peuvent montrer des qualités exceptionnelles – mais l’influence de la religion paralyse le développement social de ceux qui la suivent. » Et Churchill concluait :« Aucune force rétrograde plus forte n’existe dans le monde. « 

Il y a des gens qui disent que je déteste les musulmans. Je ne déteste pas les musulmans.

Cela m’attriste de voir comment l’islam les a privés de leur dignité. Le mal que l’islam fait aux musulmans est visible dans la façon dont ils traitent leurs filles. Le 11 mars 2002, quinze écolières sont mortes en Arabie Saoudite alors qu’elles tentaient de fuir leur école dans la ville sainte de La Mecque. Un incendie avait mis le feu au bâtiment. Les filles coururent vers la porte de l’école mais celle-ci était verrouillée. Les clés étaient dans les mains d’un gardien de sexe masculin qui refusait d’ouvrir les portes parce que les filles ne portaient pas la tenue islamique correcte imposée aux femmes par la loi saoudienne: voile couvrant le visage et les vêtements.

Les fillettes habillées « indécemment » tentaient frénétiquement de sauver leurs jeunes vies. La police saoudienne arriva et a battu les filles pour les repousser dans l’immeuble en flammes. Les agents de la Mutaween, la « Commission pour la promotion de la vertu et la prévention du vice », a également battu des passants et des pompiers qui essayaient d’aider les filles. « C’est un péché de les approcher  » les policiers mirent en garde les spectateurs. « Ce n’est pas seulement un péché, c’est également une infraction pénale. »

Les filles n’ont pas une très grande valeur dans l’Islam, le Coran dit que la naissance d’une fille assombrit le visage d’un père et le remplit de mélancolie » (Sourate 43:15). Néanmoins, l’incident survenu à l’école de La Mecque a attiré des réactions de colère. L’Islam est inhumain, mais les musulmans sont des êtres humains, donc capable d’amour – cette force puissante que Mahomet méprisait. L’humanité a prévalu à la Mecque chez les pères qui ont été affectés par la mort de leurs filles. Elle a également prévalu chez les pompiers qui se sont confrontés à la Mutaween qui battaient les filles pour les repousser à l’intérieur, et chez les journalistes du journal saoudien qui, pour la première fois dans l’histoire de l’Arabie, a critiqué la redoutée et puissante « Commission pour la promotion de la vertu et la prévention du vice. » Toutefois, les protestations musulmanes contre l’inhumanité islamique sont rares. La plupart des musulmans, même dans les pays occidentaux, vont dans les mosquées et écoutent les versets coraniques choquants et des sermons rebutants sans se révolter.

Je suis un agnostique. Mais les Chrétiens et les Juifs disent que Dieu a créé l’homme à son image. Ils croient qu’en étant eux-mêmes, des êtres libres et rationnels, capables d’amour, ils peuvent parvenir à Le connaître. Ils peuvent même raisonner avec Lui, ce qu’ont fait les Juifs tout au long de leur histoire.

Le Coran, au contraire, dit que « Rien ne peut être comparé à Allah » (sourate 16:74, 42:11). Qu’il n’a absolument rien de commun avec nous. Qu’il est absurde de supposer que Dieu a créé l’homme à son image. Le concept biblique que Dieu est notre père ne se trouve pas dans l’Islam. Il n’y a pas de relation personnelle entre l’homme et Dieu. Le but de l’Islam est la soumission totale de soi et des autres à un Allah inconnaissable, qui doit être servi au travers d’une obéissance totale à Mahomet en tant que chef de l’État islamique (sourates 3:31, 4:80, 24:62, 48:10, 57:28). Et l’histoire nous a appris que Mahomet n’était pas du tout un prophète d’amour et de compassion, mais un meurtrier de masse, un tyran et un pédophile. Les musulmans ne pouvaient trouver un modèle plus déplorable.

Sans liberté individuelle, il n’est pas surprenant que la notion que l’homme est un être responsable ne soit pas très développée dans l’Islam. Les musulmans ont tendance à être très fatalistes. Peut-être – il faut du moins l’espérer – que seulement quelques radicaux prennent les exhortations coraniques à mener le djihad contre les impies au sérieux. Néanmoins, la plupart des musulmans n’ont jamais élevé la voix contre les radicaux. Il s’agit de l' »apathie craintive et fataliste » décrite par Churchill.

L’islam prive les musulmans de leur liberté. C’est malheureux, parce que les gens libres sont capables de réaliser de grandes choses, comme l’histoire l’a montrée. Les arabes, turcs, iraniens, indiens, les peuples indonésiens ont un énorme potentiel. S’ils n’étaient pas captifs de l’islam, s’ils pouvaient se libérer du joug de l’islam, s’ils cessaient de prendre Mahomet comme modèle et s’ils se débarrassaient du Coran, ils seraient en mesure de réaliser de grandes choses qui bénéficieraient non seulement à eux mais au monde entier.

En tant qu’Hollandais, européen et homme politique occidental, ma responsabilité est d’abord d’aider le peuple néerlandais, les Européens et les Occidentaux. Toutefois, puisque la libération des musulmans bénéficierait à chacun d’entre nous, je soutiens sans réserve les musulmans qui aiment la liberté.

Mon message pour eux est clair: le fatalisme n’est pas une solution; l’expression « Inch ‘Allah » est une malédiction, la soumission est une honte.

Libérez-vous. Il n’en tient qu’à vous.

Geert Wilders

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« Piqué » chez Gérard Brazon…

10/02/2011

Pourquoi je ne t’aime pas…

J’ai trouvé ça pas mal et tellement vrai… Vous allez appréciez aussi, je pense. Du moins ceux qui ont tout compris.

FDF

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J’ai écrit ce que j’ai sur le cœur et qui m’est de plus en plus insupportable… 

« Pourquoi je ne t’aime pas, toi qui vis dans mon pays comme chez toi! Imagine:

Je viens chez toi parce qu’un autre m’y a invité…

Je m’installe dans ta maison, mais je ne viens pas seul, je viens avec ma famille, mais aussi mes idées, ma façon de vivre…

 

Et puis je vis de ton argent, je ne travaille pas, parce que du pays où je viens, on ne m’ a pas éduqué sinon qu’en respectant ma tradition beaucoup trop vieille. 

Je suis venu chez toi parce qu’on vit mieux, et parce que je viens d’un pays désolé, on t’a obligé à me regarder avec compassion et à tout faire pour que je vive mieux chez toi.

Je ne change pas mes habitudes puisque tu dois t’habituer aux miennes, sinon, tu es intolérant, raciste, xénophobe, populiste, donc honni de ta bien-pensance….

Et comme tout est fait pour que je sois bien accueilli, je ne vois pas pourquoi je ferai l’effort!

Et puis mes traditions, ma religion m’ont toujours habitué à la facilité: si c’est comme ça, c’est parce qu’Allah le veut..

Donc, je laisse Allah guider ma vie, mais, par contre, je respecte sa loi, enfin, quand ça m’arrange..

Et puis je ne change toujours pas et puis me fâche parce que tu ne veux pas que je puisse utiliser ta maison comme si c’était la mienne!

Heureusement que l’élite de ton pays est là pour me protéger, autrement tu me mettrais dehors, pauvre fou inconscient…!

Elle fait tout pour que je puisse respecter mes coutumes, je peux même envahir tes rues pour prier mon Dieu

Et puis je te rappelles que je suis aussi chez moi!

Tu te rends compte que ton attitude n’est pas digne de ton pays qui vante la liberté, et comme je me fous que ta liberté à toi en souffre! Tu dois te plier à ma façon de vivre, et de toutes façons tu le feras, parce que nous sommes les plus nombreux et donc les plus forts.

Donc, tu pars et me laisse ta maison, tu pars pour ré-essayer de trouver ce que tu viens de perdre, mais comme tu n’as plus d’argent, tu deviens miséreux.

Mais pourquoi te faire aider, moi, j’ai plus besoin d’aides que toi et puis, je les mérites plus que toi.

Et puis moi, je suis bien ici, je peux vraiment tout faire comme chez moi, même brûler ton drapeau et y mettre le mien, celui de mon pays où je ne veux surtout pas vivre! Tu n’y penses pas, c’est trop dur, je n’aurais pas les mêmes moyens…

Ici, je peux me servir, te frapper si tu refuses de me donner ce que je veux, ta police ne me fera rien, et si elle le fait, des bien -pensants la puniront..

Ah oui, si je me fais arrêter, effectivement, ce sera dur, mais moins dur que dans le pays d’où je viens.

Et puis, j’ai mes frères dans tes prisons, j’ai même un imam et plein de gens de chez toi qui font comme tu devrais faire: m’aider!

Et puis, il y a tous ces gens qui sont persuadés que le mélange de ma culture et de la tienne sont l’avenir de ce monde sans frontière.

Ces gens sont idiots, mais me rendent service, peut-être que je ne les oublierai pas quand je serai devenu le maître de ton pays..
J’aurai besoin de serviteurs..

Alors, je te regarde avec arrogance et fais attention de me respecter, je vaut mieux que toi, puisque je fais ce que je veux et que je suis ton invité! …………. »

Voilà, c’est comme ça comme ça que je te vois et c’est pour ça que je ne t’aime pas et que je ne veux pas que mes enfants partagent ton avenir.

Martel

 

 

vu sur http://www.mediaslibres.com/tribune/post/2011/02/10/Pourquoi-je-ne-t-aime-pas

24/01/2011

Un imam de Londres viole une « infidèle », selon les principes du coran…

Ecoeurant. Sous le couvert des dires d’Allah, ils assouvissent leurs déviations personnelles… Tarés!

FDF

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«Allah ordonne que les musulmans tuent les infidèles et violent leurs épouses et leurs filles. Le prophète pratiquait régulièrement de tels actes sous les ordres d’Allah. Alllah dit que les non-musulmans sont des bestiaux et les plus viles créatures. Pour Allah, les non musulmans ne sont jamais des victimes innocentes». L’imam britannique Abdul Mukin a mis ses enseignements en pratique et brutalement violé une infidèle. Au tribunal, des femmes en burqa ont crié à l’islamophobie et à l’injustice. 

Elles ont maintenant compris qu’il faut importer la charia en Grande-Bretagne, comme l’a suggéré l’archevêque de Cantorbéry, pour que justice soit rendue selon les préceptes de l’islam.

Le prêche de cet imam, qui déshumanise les «non musulmans», s’appuie sur la vision suprématiste du monde enseignée par l’islam. Il n’y a pas de place pour le jugement moral fondé sur la loi naturelle. Si Allah ordonne le meurtre – et que le prophète pratiquait le meurtre et le viol des infidèles – ces exhortations irrationnelles dictent la conduite du musulman d’aujourd’hui. Refuser l’impunité au violeur des femmes infidèles serait raciste!

L’imam Mukin officiait à la East London Mosque, la plus importante de Londres. Cliquez ici pour le site officiel de cette mosquée. Le réseau FOX News a diffusé un reportage sur les démêlés de cet imam avec la justice: Non-Muslims Deserve to Be Punished. Cliquezici pour y accéder.

Au cours d’une session de questions/réponses à la East London Mosque, l’imam prédicateur Abdul Mukin s’est fait poser une question par une musulmane portant le niqab, au sujet d’une récente fatwa d’un imam bien connu.

Musulmane: «L’imam borgne Hamza Mesri a dit que les musulmans britanniques peuvent tuer les infidèles et avoir des rapports sexuels avec leurs épouses et leurs filles. Êtes-vous d’accord avec lui?»

Imam: «Ce n’est pas ce que dit l’imam Hamza qui importe ni la question de savoir si je suis d’accord avec lui. C’est dans le Coran et c’est donc ce qu’ordonne Allah».

Musulmane: «Mais pourquoi Allah dirait-il aux musulmans de tuer et de violer des non musulmans innocents?»

Imam: «Parce que les non-musulmans ne sont jamais innocents, ils sont coupables de nier Allah et son prophète. Si vous ne me croyez pas, l’autorité juridique est ici, c’est le plus haut avocat musulman de la Grande-Bretagne, Anjem Choudhary

Musulmane: «Mais notre prophète a été envoyé comme miséricorde pour toute l’humanité, il n’a jamais fait de mal à quiconque de toute sa vie.»

Imam: «Oui, il n’a jamais fait de mal à un musulman dans sa vie. Mais Allah dit que les non-musulmans sont les bestiaux les plus inférieurs et les plus viles créatures – dans les versets 8.22, 8.55, 95.5 et 98.6 – et les musulmans ont reçu l’ordre de les tuer»…

Suite et source: http://tinyurl.com/4sgzkdd

22/01/2011

La décapitation de Kab bin Ashraf…

Encore de merveilleuses histoires orientales au pays des merguez… Comment voulez-vous qu’avec des « enseignements » pareils, les muzz se sentent « bien dans leur tête »?

FDF

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Kab bin Ashraf fut décapité pour avoir écrit quelques poèmes diffamatoires sur les femmes musulmanes et pour avoir exposé Muhammad comme étant un faux prophète.  

BUKHARI, VOLUME 5, #369
Narration de Jabir Abdullah 

Le messager d’Allah dit « qui est disposé à tuer Ka`b bin al-Ashraf, qui a blessé Allah et son apôtre ?». Sur quoi Maslama se leva en disant, « O messager d’Allah ! Souhaiterais-tu que je le tue ? » Le prophète dit, « oui ». Maslama dit, « Alors permet moi de mentir (c.-à-d. pour tromper Ka`b). Le prophète dit, « Tu peux ».

Maslama alla voir Ka`b et dit, « Cet homme (c.-à-d. Muhammad) exige que nous payons le Sadaqa (c.-à-d. le Zakat) [impôts], il nous cause des ennuis, et je suis venu pour t’emprunter quelque chose ». Sur ce, Ka`b dit, « Par Allah, tu finiras par te lasser de lui ! ». Maslama dit, « Puisque nous l’avons suivi jusqu’à maintenant, nous ne voulons pas l’abandonner ; à moins et jusqu’à ce que nous voyions comment il va finir. Maintenant nous voulons que tu nous prêtes une charge de chameau ou deux de nourriture ». Ka`b dit, « oui, mais vous devrez m’hypothéquer quelque chose ». Maslama et son compagnon dirent, « Que veux-tu ? ». Ka`b répondit, « hypothéquez moi vos femmes ». Ils dirent, « Comment pouvons-nous t’hypothéquer nos femmes, tu es le plus beau des Arabes ? ». Ka`b dit, « hypothéquez moi alors vos fils ». Ils dirent, « comment pouvons-nous t’hypothéquer nos fils ? Ils seront injuriés lorsqu’on dira tels et tels ont été hypothéqués pour une charge de chameau de nourriture. Cela nous causerait un grand déshonneur. Nous t’hypothèquerons nos bras ».

Maslama et son compagnon promirent à Ka`b que Maslama reviendrait vers lui. Il vint vers lui le soir, avec son frère de lait, Abu Na’ila. Ka`b les invita à rentrer dans son fort et descendit à leur rencontre. Son épouse lui demanda, « où vas-tu à cette heure ? ». Ka`b répondit, « nulle part, Maslama et mon frère (de lait) Abu Na’ila sont là ». Son épouse dit, « j’entends une voix sanguinaire ». Ka`b dit « il ne s’agit que de mon frère Maslama et de mon frère de lait Abu Na’ila. Un homme généreux doit répondre à un appel de nuit, même si on l’invite à être tué ».

Maslama avait deux hommes avec lui. Alors il entra avec les deux hommes, et leur dit, « quand Ka`b arrivera, je toucherai ses cheveux et les sentirai, lorsque vous verrez que je tiendrai sa tête, frappez le [decapitez le]. Je vous laisserai sentir sa tête ».

Ka`b bin al-Ashraf descendit vers eux enveloppé dans ses vêtements, répandant du parfum. Maslama dit, « je n’ai jamais senti de meilleur parfum que celui-ci ». Ka`b répondit, « j’ai les meilleures femmes arabes qui savent utiliser ce type de parfum ». Maslama demanda à Ka`b « Me permettrais-tu de sentir ta tête ? ». Ka`b dit « oui ». Maslama la sentit et la fit sentir à ses compagnons. Alors il demanda de nouveau à Ka`b « Me laisseras-tu (sentir ta tête) ? ». Ka`b dit, « oui ». Lorsque Maslama le tint fortement, il dit (à ses compagnons) « allez-y ! ». Ils le tuèrent et allèrent chez le prophète pour l’informer.

Du Tabaqat, vol. 2, page 37 :  

« Ensuite ils coupèrent sa tête et l’emportèrent avec eux… ils posèrent sa tête devant lui [Muhammad]. Il (le prophète) loua Allah pour ce massacre ».

23/12/2010

Le coran – Livre d’horreur déconseillé aux moins (et au plus) de 18 ans !

Des maboules, je vous dis; des maboules…

FDF

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Voici ce que Allah, le tout miséricordieux réserve aux non-musulmans…

« … le coupable souhaitera pouvoir se racheter du châtiment de ce jour en livrant ses enfants, son épouse et son frère, même son clan qui lui donnait asile et tous ceux qui sont sur terre, si cela pouvait le sauver. En aucun cas ! Car l’Enfer est un brasier ardent arrachant brutalement le cuir chevelu… » (Coran 70:11-16) 

« Celui qui recevra le châtiment le plus léger, en Enfer, sera un homme sous le pied duquel on placera un charbon ardent et dont le cerveau se mettra à bouillonner sous l’effet de sa chaleur. » (Sahih al-Boukhari)

« Certes, ceux qui ne croient pas en Nos révélations, Nous les ferons entrer dans le Feu. Chaque fois que leur peau se sera consumée, Nous leur en donnerons une autre en échange, afin qu’ils goûtent au châtiment. Certes, Dieu est Puissant et Sage. » (Coran 4:56)

« … et il leur sera versé sur la tête, (en Enfer), un liquide bouillant qui fera fondre leurs entrailles et leur peau. » (Coran 22:19-20)

« L’eau bouillante se déversera sur leurs têtes et s’infiltrera jusqu’à leur abdomen. Elle déchirera leurs entrailles, qui sortiront par leurs pieds. Elle ressortira ensuite par leurs pieds, et tout sera fondu. Puis, ils retrouveront leur état initial. » (Tirmidhi)

« Là, le feu brûlera leur visage et ils auront les lèvres crispées. » (Coran 23:104)

« Ceux qui rejettent l’Écriture et ce avec quoi Nous avons envoyé Nos messagers sauront bientôt… quand, des carcans au cou et chargés de chaînes, ils seront traînés dans l’eau bouillante, puis précipités dans le Feu. » (Coran 40:70-72)

Source: http://prophetie-biblique.com/

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