Francaisdefrance's Blog

22/02/2012

L’Iran déplie de gros efforts pour nuire aux intérêts israëliens; de très gros, même…

Photo pillée chez http://jssnews.com/

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Azerbaïdjan: une cellule terroriste iranienne démantelée avant des attentats anti israéliens

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L’effort de l’Iran pour s’en prendre aux intérêts israéliens – et juifs dans certains cas – un peu partout dans le monde semble se poursuivre.

L’Azebaïdjan vient d’annoncer qu’il vient de déjouer de nouvelles tentatives d’attentats, qui sont liées de manière claire à l’Iran et au Hezbollah.

La cellule démantelée est liée aux Gardiens de la révolution iraniens, plus précisément à la brigade Al Qods, – l’unité chargée de soutenir les mouvements terroristes liés à l’Iran dans le monde – et directement au Hezbollah, selon le ministre azerbaïdjanais de la sécurité.

Les autorités ont arrêté les membres du groupe et saisi des armes et des explosifs en leur possession.
Selon des informations diffusées par les télévisions locales, les cibles étaient « étrangères », sans que plus de précisions ne soient données.
D’après ces mêmes sources, parmi les terroristes détenus figurent deux membres avérés des brigades Al Qods; ils auraient recrutés une vingtaine de complices locaux, membres d’une même famille, habitant un village des faubourgs de Bakou, la capitale.

Les suspects ont reçu de la drogue de membres du Hezbollah, avec l’instruction de les vendre pour financer les attentats prévus.
Les relations se tendent entre l’Azerbaïdjan, (pays laïc à majorité musulmane, où vit paisiblement une communauté juive peu nombreuse mais dynamique et florissante) et son voisin Iranien.

L’Azerbaïdjan, riche république pétrolière, entretient des relations amicales avec Israël et les Etats-Unis.
Le mois dernier, les autorités ont déjoué un attentat qui visait l’ambassadeur israélien Michael Lotem à Bakou, la capitale, ainsi que deux émissaires du mouvement loubavitch.

Les deux suspects arrêtés ont été recrutés, organisés et financés par un iranien lié aux services de renseignement iranien.
Dans ce dernier cas, il apparaît clairement que ce n’est pas seulement Israël qui est visé:l’Iran planifie donc des attentats qui visent les communautés juives.

La brigade Al Qods est commandée par le général Suleimani, qui rend compte directement à l’Ayatollah Ali Khameiny, « guide suprême » de la révolution iranienne.
Ces attentats sont donc planifiés au plus haut niveau de l’état iranien.
La force Al Qods est, en particulier, responsable de l’attentat de Buenos aires contre l’AMIA, le siège central des organisations juives à Buenos aires, qui avait fait 85 morts et plus de 300 blessés.

Ces dernières années, l’unité a passé le plus clair de son temps à coordonner l’activité du Hamas et du Djihad islamique à Gaza, et à entraîner les terroristes du Hezbollah au sud Liban, renforçant son stock d’armes.

Source: http://www.israel-infos.net/

Merci à Jacques…

14/02/2012

Le coup du tapis volant…

Un militant islamiste algérien qui disparaît dans la nature à peine sorti de prison, c’est pas très bon, ça… Il a disparu, comme ça, par enchantement, le militant islamiste algérien Saïd Arif… Ou bien il est rentré dans sa lampe à huile. Si, du côté de Millau, quelqu’un avait vu passer un tapis volant…

 Où alors, il a rencontré des « potes »; ça peut aussi arriver.

FDF

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Le militant islamiste algérien Saïd Arif, 46 ans, récemment libéré de prison, a disparu sans laisser de traces alors qu’il était assigné à domicile dans un hôtel millavois. «Il ne donne plus signe de vie, on ne sait pas où il est », a commenté une source proche du dossier. Cet ancien militaire algérien avait été condamné en mai 2007 à dix ans de prison dans le procès dit « des filières tchétchènes ». Il était accusé d’avoir fomenté des attentats (déjoués) en 2001 et 2002 en France, en lien avec les groupes dits de La Courneuve-Romainville et de Francfort (Allemagne). Sa peine avait été assortie d’une interdiction définitive du territoire.

À sa libération en décembre 2011, la Cour européenne des droits de l’Homme avait demandé à la France de ne pas l’expulser. Son avocat avait plaidé qu’une expulsion de Saïd Arif vers son pays l’exposerait à un risque de torture. En attendant le jugement au fond, Saïd Arif avait été placé en résidence surveillée dans un hôtel millavois, où il était arrivé entre Noël et le jour de l’an. Mais depuis le 22 janvier, il ne s’est plus rendu au commissariat où il est tenu de pointer. Le commissariat de Millau garde le mutisme le plus complet sur le dossier.

Des liens avec Al-Qaïda ?

Pendant l’enquête, il a été présenté par les services français comme une connaissance du Jordanien Abou Moussad Al-Zarkaoui, ancien chef de l branche iraquienne d’Al-Qaïda. Il aurait rencontré Oussama Ben-Laden en 2000, se serait rendu en Tchétchénie et dans les camps d’entraînement d’Al-Qaïda en Afghanistan, pays dont il avait été expulsé en 2004 vers la Syrie qui l’avait ensuite remis à la France.

Saïd Arif s’est toujours défendu d’avoir envisagé de poser des bombes en France. Joint hier par l’AFP, l’avocat d’Arif a indiqué ne pas être au courant d’un quelconque départ de son client. Il a précisé avoir rappelé aux autorités judiciaires que Saïd Arif « n’avait pas d’argent, pas le droit de travailler », et qu’il lui était donc difficile de subvenir à ses besoins.

Source: http://www.ladepeche.fr/

Merci à Henri…

24/11/2011

Quand on a honte de son pays…

Excellent texte qui devrait remettre quelques idées inculquées à leur place.Ce qui y est raconté est malheureusement réel; mais on va dire que c’est raciste…

FDF

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Devoir de repentance…

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J’ai longtemps cru appartenir au plus beau, au plus glorieux, au plus fier, au plus généreux, au plus intelligent et j’en passe,  pays du monde : la France. En 1962 je me suis aperçu qu’il n’en était rien, puis, toutes réflexions faites, je me suis dit que ce n’était pas la France qui n’était plus ce que je croyais, mais les Français…enfin la grande majorité des Français.

Et puis 50 années ont passé, j’ai vieilli et me suis fait une raison : la France n’est pas si mal puisque tout le monde veut s’y installer et elle est si généreuse avec tout le monde mais est-ce une raison pour l’aimer de nouveau et puis patatras ! Voilà qu’il me faut encore douter de sa valeur, de sa « rayonnance », de son aura, mais est-ce bien de la France qu’il me faut douter ? Ne serait-ce pas, une fois encore, des hommes, des Français, de ceux qui sont censés faire respecter sa dignité, son honneur et, en ce qui concerne mes doutes d’aujourd’hui…sa justice ?
Un film projeté sur France télévision a fait l’éloge des « poseuses de bombes » du FLN pendant la guerre d’Algérie et ce film a indigné non seulement les victimes françaises encore en vie de ces terroristes, de ces meurtrières, mais tout l’ensemble de la communauté « Pieds-Noirs ».
L’une de ces victimes, Nicole Guiraud, a cru qu’il était de son devoir de se dresser contre cette ignominie. A l’âge de dix ans elle a vu son bras se séparer de son corps et depuis 50 ans elle a vécu amputée avec la chance d’avoir survécu alors que tant d’autres enfants sont morts déchiquetés. Nicole Guiraud a osé porter plainte. Comme elle ne pouvait pas le faire contre la France, sa Patrie, elle l’a fait contre les producteurs de ce film et contre la télévision…qui n’est nationale que de nom.
Eh bien, après avoir été amputée d’un bras à dix ans, la justice française vient de l’amputer de son esprit de justice à 60 ans en la condamnant. C’est elle la coupable, coupable de s’être trouvée à 10 ans, dans une pâtisserie à Alger, alors qu’une « héroïne » posait une bombe, une ennemie de notre pays.
Aujourd’hui c’est Nicole Guiraud qui est l’ennemie de ce pays où l’on fait l’éloge, où l’on glorifie, tous ceux qui ont fait couler le sang français, et le feront couler encore…demain.
Merci à DG…

05/11/2011

Nouveau style d’attentats! Augmentation des vols de chaussures dans les mosquées en Algérie

Et en particulier à la mosquée de Bel Air, à Sétif. La crise touche aussi l’Algérie. Le prix de la pompe (comme celui à la pompe…) monte en flèche.

J’a la solution: embaucher un gardien de babouches à l’entrée des « lieux de prière ». Ca fera baisser les chiffres du chômage…

FDF

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Les citoyens habitant la cité « Bel Air » se rendant dans la mosquée pour prier doivent faire face au vol de leurs chaussures, de marques et chères, qui sont revendues à des particuliers ou des magasins.

Selon certains citoyens, le ou les voleurs profitent du moment de la prière pour dérober des chaussures aux fidèles, souvent contraints à rejoindre leurs domiciles avec des claquettes et autres sandales en caoutchouc appartenant à la mosquée.

A noter que depuis quelques temps, la mosquée de « Bel Air » se trouve sans imam et gérée par des vacataires qui a fait que la situation actuelle dans cette mosquée, est proche de la débandade en attendant l’intervention salutaire de la tutelle.

04/11/2011

Incendie criminel à Charlie Hebdo: pas le premier cas du genre…

Mais le premier acte criminel des « phalanges » islamistes contre un journal français !

Et ça ne va pas arranger les affaires de la religion d’amour, de paix et de tolérance qui cherche plus que jamais le « dialogue ».

Mauvais plan, les momos…

FDF

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L’incendie criminel dont a été la cible l’immeuble Charlie Hebdo dans la nuit de mardi à mercredi à Paris n’est pas le premier cas de rédaction qui ont subi des attentats ou des dégradations.

• L’Humanité, le 7 novembre 1956. Dans un contexte de guerre froide particulièrement tendu, le journal d’extrême gauche subit l’assaut de manifestants anticommunistes qui tentent d’incendier ses locaux. La veille déjà, L’Huma racontait que «des fascistes ont tenté de pénétrer dans l’immeuble du journal». Les personnes présentes dans le bâtiment se défendent avec des lances à incendie contre ce qui sera évalué à un millier d’assaillants. L’assaut se déroulant quelques jours après qu’il ait titré «Budapest retrouve le sourire» au sujet des révoltes en Hongrie, le journal fait le lien entre cette attaque et les crimes de contre-révolutionnaires hongrois.

• L’Aurore, Minute, L’Arche et la Maison de la Radio, le 3 août 1974. Le terroriste Carlos, membre du Front de Libération de la Palestine revendiquera en 1979 dans une interview accordée au journal Al Watan Al Arabi les explosions simultanées de voitures piégées devant les immeubles parisiens de ces rédactions. Ces attentats ne feront aucune victime, au contraire de celui perpétré le 22 avril 1982 devant les locaux d’Al Watan Al Arabi à Paris. Le mode opératoire sera le même (voiture piégée). L’attaque fera un mort et 63 blessés.

Libération, le 23 octobre 1977. Alors qu’il tente de se désolidariser des mouvements terroristes européens, le journal Libération est pris pour cible par 150 autonomes qui décident d’occuper ses locaux. En cause, l’un des titres du quotidien : «RAF-RFA : la guerre des monstres». Les assaillants, armés de cutters, recouvrent les murs de leurs slogans («Tout journaliste est un flic»). Après une journée de négociations, Serge July, co-fondateur du journal, donne au groupe un droit de réponse.

• FR3, le 11 février 1979. Les employés de la Société française de production, qui fabrique des programmes pour la télévision, se mettent en grève suite à une annonce de licenciements massifs de la part de leur président, Antoine de Clermont-Tonnerre. Un groupe de grévistes détruit le matériel et dégrade les locaux de FR3 à Grenoble. «Il s’agit d’un attentat absurde et coûteux. Cette action est l’œuvre de casseurs et non de spécialistes», déclarera le préfet.

• Charlie Hebdo, le 2 novembre 2011. Déjà menacé après la publication des caricatures de Mahomet en 2006, le journal qui n’avait pas été condamné par la justice décide de publier un numéro spécial Charia Hebdo pour relater de la victoire d’Ennahda en Tunisie et du futur rétablissement de la charia en Libye. La Une, une caricature de Mahomet, est diffusée sur le net avant la publication du numéro spécial, le 2 novembre. Dans la nuit du 1er au 2, les locaux du journal à Paris sont incendiés, provoquant l’indignation des responsables politiques qui voient là une atteinte à la liberté d’expression de la presse.

Source: http://www.lefigaro.fr/

20/08/2011

Attention! les re-voilà !!! Les « packs vengeance » d’Al-Qaïda à nouveau dans les bacs…


Réaction à retardement, chez les adeptes de la « religion » d’amour, de paix, etc… Et en plein ramadan, en outre. Comme quoi le mois du sacrifice reste bien celui du sacrifice des autres. Allez; couchés, les mumuzz! Vous nous fatiguez.

Le malheur est que ce sont encore les soldats qui vont en faire les frais… Ca donne des « excuses » à ceux qui les envoient au massacre.

FDF

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Al-Qaida annonce une campagne de 100 attentats en Irak !


La branche irakienne de l’organisation terroriste veut venger la mort d’Oussama Ben Laden.

La branche irakienne d’al-Qaida a annoncé avoir lancé à partir de la mi-août une campagne de 100 attentats à travers le pays pour venger la mort d’Oussama Ben Laden et d’autres responsables du réseau extrémiste, selon un communiqué publié samedi sur Internet. L’État islamique en Irak a précisé que cette campagne avait commencé le 15 août, sans pour autant revendiquer explicitement les multiples attaques de cette journée la plus sanglante dans le pays depuis plus d’un an.

La campagne, appelée « Vengeance pour Cheikh Oussama Ben Laden et d’autres hauts responsables », a commencé « au milieu du mois du jeûne (ramadan) et, si Dieu veut, s’achèvera après avoir atteint 100 attentats », annonce le communiqué du groupe publié sur le site internet djihadiste Honein. « Ces attentats comporteront des raids, des opérations de martyrs (attentats-suicides), des bombes sur les routes, des attaques avec des pistolets silencieux et des tireurs embusqués, dans toutes les villes, zones rurales et provinces », prévient-il.

Le 15 août, jour qui semble avoir marqué le début de la campagne, puisque le ramadan a commencé le 1er août, une série d’attaques – attentats-suicides, bombes et fusillades – dans dix-huit villes d’Irak a fait 74 morts et plus de 300 blessés, faisant de ce jour le plus meurtrier dans le pays depuis le mois de mai 2010. Dans la nuit de vendredi à samedi, des tracts appelant à rejoindre l’État islamique en Irak et à combattre les soldats américains ont été distribués dans le sud et l’ouest de Bagdad, a annoncé un responsable du ministère de l’Intérieur. Selon des responsables américains et irakiens, le groupe a perdu de sa puissance depuis les années 2006-2007, au plus fort des violences sectaires dans le pays, mais il reste en mesure de mener des attentats coordonnés spectaculaires.

Source: http://www.lepoint.fr/

14/08/2011

Collabos et Résistance: une lutte interminable…

Gaudin et Zorah Driff

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On croyait terminée cette situation pratiquée au siècle dernier, c’est à dire la lutte entre les collabos et la Résistance. Eh bien non. Des collabos, en 2011, il y en a encore; et plus qu’on ne croit. Et des résistants, leur nombre est proportionnel. Je ne comprends pas ce statut de collabos, souvent emprunté par des personnalités très connues, et qui agissent en défaveur des Français qui les ont élus et en méprisant notre République…

FDF

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En commentaire à : http://www.algerie-plus.com/diaspor…


L’inverti pluricipal de Marseille, GAUDIN, fait beaucoup mieux et plus qu’Hollande puisqu’il a accueilli dans sa mairie et dans ses bras la poseuse de bombes Zorah Driff.

Attentat du Milk Bar, attentat du Casino de la Corniche, attentat du Bar Otomatic … Des dizaines de civils massacrés, des dizaines d’amputés parmi lesquels de nombreux enfants. C’était en 1956 … Pour Monsieur Gaudin qui était présent à Toulon lors de la première inauguration du premier Carrefour du Général Salan, le Vent de l’Histoire peut bien souffler, pour lui ce n’est pas la girouette qui tourne mais le vent !

Sont-ce vraiment des hommes, ces politiciens qui peuvent payer leur fauteuil d’édile contre un bain quotidien dans des égoûts qu’ils polluent parce que ni leur coeur ni leur mémoire ni leur intelligence n’ont jamais pris le dessus sur l’unique ivresse pathologique susceptible de leur tourner la tête : L’ambition politicienne de la gloire d’un jour conquise à n’importe quel prix et gardée au tarif de la déchéance humaine.

Les musulmans qui ont éradiqué dans le sang les derniers restes de la présence catholique en Algérie, ceux qui pressent le gouvernement algérien d’en finir avec les communautés protestantes évangéliques de Kabylie, peuvent se passer le mot : Le Maire de Marseille est à leur disposition pour les accueillir et les encourager.

Il y a tout lieu de penser en effet qu’à l’image de l’écrasante majorité de leurs « compatriotes » hexagonaux – ceux qui ont pour programme de vie de ne pas vouloir se prendre la tête – Monsieur Gaudin autant que Monsieur Hollande, en savent à peu près autant sur l’islam que sur le christianisme et que les propos de ces Messieurs sur la colonisation seront, demain, des propos à charge au Nuremberg de la décolonisation quand ils auront à rendre compte de cette autre gigantesque colonisation qu’ils n’aperçoivent manifestement pas et qui est celle de l’Europe !

Nous pourrions aider à visualiser l’horreur suicidaire du Maire de Marseille en imaginant que les mairies de Brive, de Limoges et de Tulle aient pu accueillir à bras ouverts le général Lammerding qui fut l’ordonnateur du massacre d’Oradour sur Glane.

Le Liban est tombé, seul, abandonné par toutes les nations qui pouvaient et devaient le défendre. La Serbie, pareillement. Ces « premiers Egyptiens » que sont les Coptes en Egypte ou ces premiers Chrétiens de l’Histoire qui sont encore en Irak ou en Syrie sont littéralement abandonnés par les prétendus Chrétiens d’Europe et d’Amérique … Et se regardent-ils bien, en leur âme et conscience, ceux-là qui, remontés contre les odieux DSK et BHL imputent à crime l’instinct de survie des soldats de Tsahal qui défendent pied à pied leur peuple de 8 millions de juifs encerclés par 300 millions d’aménité islamique ?

La France suit ce même sort mais l’Europe entière est concernée par la même menace selon une situation historique que les militants nationalistes et identitaires prophétisent depuis les années 60. Il y a donc dans ce malheur universel la source d’une espérance puisque, comme face à Hitler, la guerre sainte des Fils de Mahomet regarde toutes les nations du vieux continent.

On peut considérer que la figure du Lieutenant Degueldre (1962) symbolise ce combat et qu’à l’instar de Charles Martel, de Jean Sobieski (11/9/1683 – Vienne), de Don Juan d’Autriche (7/10/1571 – Lépante), d’Isabelle la Catholique (1492) qui firent reculer la congestive poussée vitale de l’islam, cet héroïque Lieutenant et ses Commandos Delta symbolisent à jamais le combat malheureux et trahi des Européens face à la horde rétrograde des sectateurs de la Ch’aria.

Et cet échec, lui, est à rapprocher de la Chute de Constantinople (1453) de la Chute du Liban, de la Chute du Kosovo, évènements contemporains, précurseurs de la déferlante à laquelle nous assistons et qui ressemble immensément à la lointaine approche de la grande vague d’un tsunami que les spectateurs contemplent sans se douter qu’ils seront noyés dans l’heure qui vient.

Haut les coeurs pourtant !

Vale !

Vitus

Source: http://notrejournal.info/

23/07/2011

Tiens? Ils se font appeler comme ça, maintenant ???

Plus c’est gros, plus ça passe. Il est vrai que ça devient fatiguant de mettre tous les actes terroristes sur le dos des islamistes. Ceux-ci s’en plaignent, en plus. Pour Oslo, un bon catho intégriste nationaliste fera l’affaire. Ca dépanne et ça calme momentanément les autres coutumiers du fait…

FDF

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Un « fondamentaliste chrétien » à l’origine du double carnage d’Oslo

« Fondamentaliste chrétien » selon la police, « proche de l’extrême droite » selon les médias norvégiens, Anders Behring Breivik a été arrêté après les deux attentats d’Oslo et d’Utoyea, qui ont fait au moins 91 morts.

La police norvégienne interroge en ce moment un « fondamentaliste chrétien », suspecté d’être l’auteur du carnage qui a fait au moins 91 morts à Oslo et dans ses environs, le pire massacre commis en Norvège depuis la Seconde guerre mondiale. 

Sur la foi des informations qu’il a postées sur Internet, l’homme est un Norvégien « de souche », âgé de 32 ans et « fondamentaliste chrétien », selon un responsable de la police, qui précise également que les opinions politiques du suspect penchent « à droite ». 

Les enquêteurs le tiennent pour responsable des deux attaques de vendredi, l’explosion d’une bombe dans le centre d’Oslo et une fusillade sur une île proche de la capitale norvégienne, Utoeya. 

La police s’est jusqu’à présent refusé à dévoiler le nom du suspect, que les médias norvégiens ont identifié. Il s’appelle Anders Behring Breivik et serait proche des milieux d’extrême-droite, dont il reprend sur Internet la rhétorique islamophobe

Sur son profilFacebook, l’homme se dit « conservateur », « chrétien », célibataire, intéressé par la chasse et par des jeux tels que « World of Warcraft » et « Modern Warfare 2 ». 

Le carnage, qualifié de « tragédie nationale » par le Premier ministre Jens Stoltenberg, a commencé vendredi en milieu d’après-midi par un attentat à la bombe en plein coeur du quartier des ministères à Oslo. Il a fait sept morts et neuf blessés graves. 

Peu après, le suspect a ouvert le feu sur les participants d’une université d’été de la jeunesse du Parti tavailliste (au pouvoir) rassemblés sur l’île d’Utoeya proche de la capitale. Il s’est introduit dans le camp en prétendant vouloir s’assurer de la sécurité des participants après l’explosion d’Oslo et a tiré sur les participants, qu’il avait réunis en cercle. 

Le suspect portait un pull de la police lorsqu’il a été arrêté après la fusillade, mais il n’a jamais été policier. 

Selon un dernier bilan, au moins 84 personnes ont été tuées sur l’île. 

Plusieurs des jeunes ont tenté de s’enfuir à la nage en se jetant à l’eau. « J’ai reçu un SMS qui disait: ‘Ca tire, je me cache' », a raconté le compagnon de l’une des jeunes filles participant à l’université d’été. 

Un journaliste de l’AFP a vu des policiers à bord de bateaux sonder les eaux à la recherche d’éventuelles victimes supplémentaires. 

Un "fondamentaliste chrétien" à l'origine du double carnage d'Oslo

Dans une scène réminiscente des attaques du 11 septembre 2001, le journal de référence norvégien Aftenposten a publié ce samedi en Une une photo du bureau du Premier ministre Jens Stoltenberg, ravagé par l’explosion d’une bombe. Sous la tour grise dont presque toutes les fenêtres ont été soufflées, un titre simplissime: « 22-07-2011 ». 

Samedi à l’aube, la police d’Oslo a annoncé que l’armée et la police allaient renforcer la sécurité auprès des bâtiments et institutions potentiellement menacés après la double attaque, la plus sanglante en Europe depuis les attentats du 11 mars 2004 à Madrid, qui avaient fait 191 morts

Source: http://www.lexpress.fr/

Bonus: http://tinyurl.com/455ayvy

27/06/2011

Sauvons-nous vite d’Afghanistan !

Il est temps de se sauver de ce pays où des malades mentaux en sont maintenant à commettre des attentats contre des hôpitaux. Plus aucun respect, plus rien. Les Russes se sont cassé la g….. en Afghanistan. Ils sont partis et ils ont bien fait. Obama ami du temps à comprendre, et Sarkö, il obéi aux ordres. A quelques mois des présidentielles, ça fait du bien d’annoncer un retrait de nos troupes qui se font massacrer là-bas…

FDF

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Le ministre afghan de la santé a révisé le chiffre de 60 morts annoncé précédemment samedi après l’attentat suicide à la voiture piégée contre un hôpital de la province de Logar, au sud de Kaboul. Son dernier bilan fait état de vingt morts. Il pourrait s’alourdir.

« Les victimes sont toutes des patients, leurs proches, des visiteurs et du personnel de l’hôpital« , a précisé un responsable de la province concernée. Certains des 25 blessés annoncés sont dans un état critique, ont indiqué les autorités. Il y a des femmes et des enfants parmi les victimes, ont affirmé plusieurs sources.

Le ministère afghan de l’Intérieur a également indiqué que ce bilan pourrait encore s’alourdir. Dans la confusion, un premier bilan émis par le ministère de la Santé faisait état d’environ 60 morts.

L’attentat, commis avec un véhicule 4×4 chargé d’explosifs de forte puissance, visait un hôpital à 75 km de Kaboul. Le bâtiment a été détruit. Un témoin a indiqué avoir vu des victimes transformées en torche vivantes et des morceaux de corps humains projetés dans toutes les directions.

Un porte-parole des talibans, Zabihoullah Moudjahid, a écarté toute responsabilité. Il a précisé que les talibans n’attaquaient jamais les hôpitaux.

Mise en garde de M. Karzaï

Le terrorisme « s’étend et menace plus que jamais l’Afghanistan et sa région », avait plus tôt dans la journée estimé le président afghan Hamid Karzaï lors d’une conférence internationale sur le terrorisme réunissant samedi plusieurs chefs d’Etat à Téhéran.

Le président afghan a fait ce constat devant ses homologues iranien, pakistanais et irakien. Son discours a été retransmis à la télévision.

« La paix, la stabilité de nos pays, leur existence et leur intégrité sont réellement menacées », a averti M. Karzaï en affirmant que « tous les pays de la région doivent combattre le terrorisme ».

Les attentats sont presque devenus quotidiens en Afghanistan en dépit de dix années de présence militaire occidentale. Les Etats-Unis ont annoncé cette semaine le retrait d’un tiers de leurs militaires dans le pays d’ici 2012.

Source: http://www.romandie.com/

21/06/2011

Fillette kamikaze au Pakistan…

 

   

Courageux, les talibans…Ils n’ont même pas les c……. pour se sacrifier eux-même. Et ils envoient des enfants à leur place, ces cons. Ecoeurant!

 

FDF

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La police pakistanaise a indiqué lundi avoir arrêté une petite fille de 9 ans bardée d’explosifs qui devait commettre un attentat suicide à un barrage policier dans un district du nord-ouest secoué par la rébellion islamiste.

Aucune source indépendante ne pouvait confirmer les intentions de la petite fille, mais si les affirmations de la police était confirmés, il s’agirait de la première fois au Pakistan qu’une petite fille est utilisée par des rebelles islamistes pour commettre un attentat contre les forces de sécurité.

Elle a été arrêtée à une cinquantaine de mètres d’un barrage de police des faubourgs de Taimargara, la principale ville du district du Bas Dir, où l’armée avait menée une offensive en 2009 pour déloger les talibans.

«Elle se comportait de manière étrange», a déclaré à l’AFP le chef de la police de la région, Qazi Jamil-ur-Rehman. «Elle portait 8 kg d’explosifs, ce qui est très lourd pour son âge. C’était une écolière innocente qui avait peur. Elle est avec nous, et nous allons tenter de retrouver sa famille».

Selon la police, la fillette a raconté avoir été enlevée quelques jours plus tôt à Peshawar, principale ville du nord-ouest du Pakistan, puis emmenée dans le Bas Dir, proche de la frontière afghane.

«Ils m’ont dit dit d’appuyer sur le bouton»

Elle est apparue devant les caméras de la télévision nationale dans son uniforme bleu et blanc d’écolière. «Ils m’ont dit dit d’appuyer sur le bouton lorsque je serai près de policiers», a-t-elle déclaré à propos de ses ravisseurs lors d’une conférence de presse.

Si les attentats suicide se sont multipliés au Pakistan ces dernières années, ils ont été rarement commis par des femmes ou des enfants, même si les rebelles sont régulièrement accusés d’utiliser des kamikazes adolescents.

Le 26 décembre dernier, une femme kamikaze vêtue d’une burqa avait tué 43 personnes à un point de distribution d’aide alimentaire de l’ONU à Khar, principale ville du district tribal de Bajaur, frontalier de l’Afghanistan.

Le Pakistan est depuis 2007 en proie à une multiplication des attentats qui ont tué près de 4500 personnes, attribués aux talibans et à leurs alliés qui ont déclaré la guerre sainte au gouvernement d’Islamabad pour le punir de son alignement sur la stratégie américaine dans la région.

Source: http://fr.canoe.ca/

17/04/2011

Des internautes arabophones appellent à « punir » la France !

Et ça, ce n’est pas de l’incitation à la haine? Le MRAP ne se bouge pas le cul, là?

FDF

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Interdiction du voile intégral : des internautes déclarent la guerre à la France !


Des internautes ont réagi avec colère sur des forums jihadistes à l’interdiction du voile intégral dans l’espace public en France, appelant à déclarer la guerre à ce pays, a rapporté mercredi le centre américain de surveillance de sites islamistes (SITE).

Des internautes arabophones ont appelé à punir la France, en raison de cette loi jugée « anti-islamique », certains exhortant Al-Qaïda à mener des opérations dans le pays, ajoute SITE. Parmi les propositions postées sur le forum Shumukh al-Islam, figure notamment l’attaque de la Tour Eiffel. Sur une page de discussion intitulée « Déclaration de guerre contre la France croisée », des membres suggèrent également de « répandre l’horreur » via une campagne de mails visant notamment des hôtels parisiens.

Alors que dans une autre discussion, des internautes suggèrent de donner de l’argent pour défendre les musulmanes condamnées à payer une amende en raison du port du voile intégral, un membre propose d’utiliser plutôt l’argent collecté pour « une opération martyre » au coeur du pays.

Depuis lundi, le port du niqab ou de la burqa n’est plus autorisé en France dans la rue, les jardins publics, les gares, les commerces ou les mairies, en vertu d’une loi interdisant la dissimulation du visage.

Il y aurait en France environ 2.000 femmes intégralement voilées, selon diverses estimations.

Source: http://www.fdesouche.com/199097-interdiction-du-voile-integral-des-internautes-declarent-la-guerre-a-la-france

01/04/2011

Dernier avertissement aux chrétiens de Beyrouth?

La christianophobie à son apogée? Non. Il y a encore les massacres. Il y en a eu; il y en aura encore… Continuons à leur offrir des mosquées en terres chrétiennes…

FDF

Marre de cette guerre! Et dire que le roi du monde en déclenche d’autres ailleurs…

Ca commence à bien faire. Encore des soldats Français blessés dans une attaque suicide en Afghanistan. Et Sarkö Ier, en bon chef de guerre qu’il est, est en train de répandre, sur les bons conseils de son pote Obwana, d’autres conflits où la France a tout à y perdre. En particulier ses soldats…

Ce n’est pas « l’homme »qu’il faut condamner; ce sont ceux qui croient encore en lui. Chef d’Etat, chef de parti et chef de guerre,  un seul, au XX ème, siècle a voulu tenter l’expérience de cumuler les trois postes. On sait malheureusement ce que ça a donné.

Français et patriotes: ressaisissez-vous!

FDF

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Afghanistan : six soldats français blessés dans une attaque suicide

Six militaires français ont été légérement blessés hier peu après 14 heures (heure locale) par une attaque suicide des insurgés. Un 4×4 Toyata s’est précipité en direction d’un convoi et s’est fait détonner à proximité d’un VAB. Quatre chasseurs alpins du 7ème BCA et deux légionnaires du 2ème REG ont été blessés (éclats, contusions, traumas sonores). Quatre civils afghans dont trois enfants ont également été touchés, l’attaque ayant eu lieu à proximité d’une école… Cette attaque a eu lieu dans le village de Tatarkhel, dans la vallée d’Alassaï. De source militaire française, on pense que si les insurgés sont conduits à procéder à de telles attaques suicide, c’est que – soumis à une forte pression militaire – ils ne peuvent plus procéder autrement. 

21/02/2011

Attentats de Bombay: peine de mort confirmée pour le seul auteur survivant: ça calme…

Ce n’est pas que je sois systématiquement pour la peine de mort (quoique, quelques cas de meurtres en France ces derniers temps m’ont incité à revoir ma copie) mais là, force est de constater qu’en Inde la Justice mérite son nom. Le genre de décision qui devrait calmer d’autres candidats aux attentats. En France, on leur ferait un procès interminable et couteux sans effet notoires…
FDF

Mohammed Ajmal Amir Kasab, seul auteur survivant de l'attentat de Bomba, blessé,  après son arrestation, le 1er décembre 2008.

Mohammed Ajmal Amir Kasab, seul auteur survivant de l’attentat de Bomba, blessé, après son arrestation, le 1er décembre 2008. Police de Bombay/AFP/archives

La haute cour de Bombay a confirmé lundi en appel la condamnation à mort du seul auteur survivant du commando responsable des attentats de Bombay en 2008, qui avaient fait 166 morts.

Mohammed Ajmal Amir Kasab, un Pakistanais de 23 ans, avait été condamné à la peine capitale en mai 2010 par un tribunal d’exception indien au terme d’un procès d’un an. La peine de mort avait été prononcée en vertu de quatre chefs d’accusation: meurtres, actes de guerre contre l’Inde, complot et terrorisme.

Kasab était le seul accusé survivant du commando. Les neuf autres membres ont été tués lors de l’intervention des forces de l’ordre.

Du 26 au 29 novembre 2008, un commando de dix hommes lourdement armés avait semé la mort dans des hôtels de luxe, un restaurant touristique, la principale gare et un centre juif de Bombay, faisant 166 morts et plus de 300 blessés.

Kasab a été déclaré coupable d’être l’un des deux auteurs du carnage à la gare, qui a fait 52 morts.

L’Inde a imputé les attentats, qualifiés par la presse de « 11-Septembre de l’Inde », au groupe extrémiste Lashkar-e-Taïba (LeT) installé au Pakistan.

La haute cour de Bombay a par ailleurs rejeté un appel de l’Etat concernant l’acquittement prononcé l’an dernier pour deux Indiens qui avaient été accusés d’avoir fourni des plans manuscrits aux dix islamistes.

Depuis son arrestation quelques heures après le début des attentats, Kasab a été placé en isolement dans une prison de la capitale économique. Pour des raisons de sécurité, il n’était pas présent lors de la procédure en appel mais il a suivi les audiences par liaison vidéo.

Il a écouté le verdict en appel les yeux rivés au sol, a rapporté la chaîne de télévision NDTV.

Un avocat de la cour suprême, K.T.S. Tulsi, a déclaré à cette chaîne que les attentats de novembre 2008 étaient « la pire tragédie depuis l’indépendance de l’Inde ».

« Des femmes et des enfants ont été tués sans pitié. Les auteurs n’ont pas eu d’égard pour la vie humaine. Dans de tels cas, quelqu’un d’aussi diabolique ne mérite aucune pitié », a-t-il ajouté.

Au cours de la procédure en appel, qui a commencé en octobre 2010, les conseils de Kasab avaient demandé un nouveau procès, argumentant n’avoir pas eu assez de temps pour venir à bout des 11.000 pages du dossier d’accusation avant le début du procès.

Les avocats de Kasab peuvent encore interjeter appel auprès de la cour suprême à New Delhi, la plus haute juridiction du pays. En dernier ressort, ils peuvent demander la grâce de la présidente de l’Inde.

En Inde, la dernière exécution, par pendaison, a eu lieu en 2004 et la précédente remontait à 1998.

Après les attentats, les relations entre l’Inde et le Pakistan, deux pays rivaux d’Asie du sud qui se sont opposés lors de trois guerres depuis leur indépendance concomitante en 1947, s’étaient brutalement tendues et le processus de paix, entamé en 2004, avait été interrompu.

Les deux pays ont annoncé début février avoir convenu de reprendre leurs pourparlers de paix.

Source: http://www.ladepeche.fr/

09/02/2011

Egypte: un gouvernement pas très « clean »…

On se plaint, en France: MAM, Fillon, SarkÖ Ier, la mère Aubry, Cohn-Bendit, qui ont tous des casseroles. Mais en Egypte, le gouvernement entre dans le livre des records…

FDF

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Un membre du clan Moubarak est soupçonné d’avoir commandité l’attentat anti-chrétien d’Alexandrie

La justice égyptienne soupçonne un ancien ministre de l’Intérieur d’avoir secrètement organisé un attentat terroriste imputé à Al Qaida.

Depuis treize ans, et jusqu’au 31 janvier dernier, il était un membre éminent du gouvernement. Hier, l’ex-ministre de l’Intérieur égyptien, Habib El Adly, a été mis en examen pour son implication supposée dans l’attentat anti-copte du Nouvel An qui a causé la mort de 24 personnes à Alexandrie. Le procureur général Abd-el-Majid Mahmud a considéré qu’il existait suffisamment d’éléments « sérieux » pour ouvrir une enquête sur l’ancien homme fort du régime Moubarak.

Interrogé par Al Jazeera, un avocat copte, Ramzi Mamdouh, a déclaré avoir présenté au procureur une requête en ce sens à la suite d’articles parus notamment dans la presse libanaise et faisant état d’une curieuse rumeur : un diplomate anglais aurait expliqué à ses homologues français que le Premier ministre David Cameron était désireux de voir Hosni Moubarak quitter le pouvoir en raison d’une information confidentielle obtenue récemment par l’ambassade britannique du Caire. Venu demander l’asile politique, le lieutenant Fathi Abdelwahid, ancien membre de la police secrète du régime, a révélé que l’attentat d’Alexandrie résulterait d’une machination organisée par l’ex-ministre de l’Intérieur. L’objectif consistait à s’attirer la solidarité des gouvernements occidentaux en provoquant un attentat qui serait sous-traité par des extrémistes islamistes, eux-mêmes recrutés -et finalement piégés- par un intermédiaire.

Inside job

Ironie du sort, c’est le mardi 25 janvier, au premier jour de la révolte qui secoue le pays, qu’un entretien -rétrospectivement édifiant- avec le ministre paraît dans la presse égyptienne. Selon le quotidien pro-gouvernemental Al-Ahram, Habib El Adly accusa Al-Qaida et « l’armée islamique de Gaza » d’être les organisations responsables de l’attentat. Insistant quant à l’absence, sur le territoire national, de toute cellule affiliée au label de Ben Laden, le ministre a présenté, à l’inverse, la bande de Gaza comme une véritable pépinière de terroristes plus ou moins liés au Hamas et à Al-Qaida. Un discours parfaitement aligné sur les positions du gouvernement israélien. Il y a deux semaines, ces propos pouvaient encore s’apparenter à la rhétorique coutumière consistant à amplifier la menace terroriste dans la région. Au vu du soupçon judiciaire qui pèse désormais sur Habib El Adly, ses accusations à l’encontre de « terroristes-islamistes-militants-de-la-cause-palestinienne » semblent davantage relever d’une propagande purement et simplement mensongère. L’enquête ouverte par la justice s’annonce d’ores et déjà particulièrement sensible : il s’agira non seulement de vérifier le rôle exact de l’ancien ministre – qui a désormais pour interdiction de quitter l’Égypte- mais aussi de déterminer sur quelles complicités étatiques -nationales et/ou étrangères- il a pu s’appuyer pour élaborer un tel complot.

Dans les prochains jours, la réaction de la classe politique française et des éditorialistes hexagonaux à l’égard de cette stupéfiante information ne manquera pas d’être intéressante à suivre. Oumma et La Vie avaient été les seuls médias à souligner un fait singulier : l’absence de toute revendication formelle pour l’attentat d’Alexandrie. Cet élément méconnu du grand public n’a guère empêché la plupart des journaux français de reprendre à leur compte la version officielle du gouvernement égyptien. Comme l’avait fait Nicolas Sarkozy en instrumentalisant ce drame, il était plus sans doute plus commode de ne pas faire de contre-enquête et de se contenter d’alerter l’opinion publique sur une « épuration religieuse » en cours au Moyen-Orient. Une note d’espoir s’est fait néanmoins entendre : à l’inverse de l’intelligentsia française, les Coptes sur place ne semblent pas avoir cédé au piège consistant à se représenter tous leurs concitoyens comme les membres d’une communauté musulmane devenue tout à coup hostile et dangereuse. L’attentat d’Alexandrie n’a pas complètement atteint le but fomenté par ses commanditaires.

Source: http://oumma.com/

07/02/2011

Al Quaïda recrute des « français » et les forme au djihad !!

Ils ont promis de s’en prendre à la France. Ce qui est terrible est que « EUX », ils tiennent leurs promesses…

FDF

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14 Français s’entraînent dans les camps d’al-Qaida

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Selon le contre-espionnage, une centaine d’Européens, dont quatorze Français, entraînés dans les camps djihadistes, pourraient passer à l’action.

Al-Qaida radicalise ses menaces contre la France et n’a jamais tant recruté de «combattants», notamment européens, en vue de mener de prochaines frappes terroristes. Au lendemain du soulèvement en Tunisie et alors que les manifestations se multiplient en Égypte, le contre-espionnage français est plus que jamais en alerte maximale. Quatre notes «blanches» émanant de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), que Le Figaro s’est procurées, en attestent.

Se fondant sur des «éléments recueillis présentement par les services français sur les différents acteurs terroristes de la zone pakistano-afghane», considérée comme «la première pourvoyeuse de menaces susceptible de viser le territoire européen», l’un des documents confidentiels révèle que «la région continue d’attirer les volontaires au combat armé, notamment européens. Ceux-ci sont passés, en moins de trois ans, de quelques cas isolés à plus d’une centaine d’individus.»

Selon cette note de la DCRI, «la présence de 14 Français a été signalée en 2010 dans cette zone». «Plusieurs de ces combattants ont désormais acquis une expérience et une légitimité qui leur permettent de rallier autour d’eux de nouveaux arrivants, préviennent les analystes français du contre-espionnage. Ayant vécu en Europe et nourrissant souvent des griefs personnels à l’encontre de leurs pays d’adoption, ces Européens sont susceptibles de s’impliquer dans des actions terroristes.» À en croire ces experts, celles-ci semblent presque inéluctables. En effet, écrivent-ils, «la volonté d’al-Qaida et, désormais, de certains groupes pakistanais, de conduire des attentats en Occident est avérée: depuis 2009, pas moins de quatre projets aux États-Unis et en Norvège, directement liés aux zones tribales pakistanaises ont échoué ou ont été déjoués».

Le péril islamiste est d’autant plus préoccupant que les services de renseignements ont intercepté un inquiétant message d’al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi). Diffusé le 28 janvier par son «organe médiatique» al-Andalous, il appelle les Tunisiens à «remplacer la religion altérée par la religion révélée et la charia» et soutient que ce sont « les croisés qui sont à l’origine de nos problèmes».

«Une cible privilégiée»

Par ailleurs, une des notes remarque que l’organisation terroriste annonce que l’«Amérique, la France et le Maghreb n’accepteront jamais un véritable changement qui ne sert pas leurs intérêts en Tunisie » et que ces régimes «préparent le lancement d’un nouveau laquais qui les satisfera». «Le communiqué vise spécifiquement la France, accusée “d’avoir soutenu le tyran Ben Ali”», insiste la DCRI. Établissant un parallèle avec la situation en Algérie, Aqmi prévient que les États-Unis et la France «joueront prochainement le même rôle, s’ils n’en sont pas empêchés par les frappes des moudjahidins (…)». «La France et ses ressortissants demeurent une cible privilégiée d’al-Qaida», martèle le contre-espionnage, qui rappelle enfin le message imputé à Ben Laden, qui fustigeait le 21 janvier dernier le non-retrait des troupes françaises en Afghanistan et menaçait de cibler «différents fronts, à l’intérieur et à l’extérieur de la France ».

Divers quotidiens d’Alger, dont al-Watan, rapportaient ce dimanche que les services algériens de sécurité ont démantelé dans le sud-est du pays un réseau d’Aqmi qui projetait des attentats en Europe, notamment en France.

Dans un entretien au Figaro, le préfet Bernard Squarcini, directeur de la DCRI, révélait en juin dernier que deux attentats sont déjoués chaque année sur le sol français. «Nous pêchons à la fois de ­manière intense au chalut pour débusquer les filières djihadistes qui partent en Afghanistan, par exemple, mais aussi au ­harpon, en ciblant des individus fanatisés mais isolés, confiait-il. Notre mission est de les repérer et de les «purger» au plus vite, avant qu’ils ne commettent l’irréparable».


Des prêches plus radicaux dans les mosquées

«La chute du régime du président Ben Ali et la poursuite des manifestations en Égypte ont alimenté des prêches dans plusieurs salles de prières radicales, ces dernières semaines»…

Suite et source: http://tinyurl.com/49zh23j

29/01/2011

Des voeux explosifs pour une « veuve noire » en Russie.

Quand on vous répète que les mobiles, c’est dangereux pour la santé…

FDF

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Une kamikaze tuée par un SMS de Nouvel An !

La jeune femme aurait reçu un message lui souhaitant une bonne année 2011. Un texto qui aurait immédiatement déclenché la ceinture d’explosifs reliée à son portable. Ce sont les conclusions des services de sécurité russes après avoir constaté de la mort d’une «veuve noire» —surnom donné aux femmes kamikazes utilisées par la rébellion islamiste du Caucase du Nord notamment lors des attentats du métro de Moscou en mars 2010.

La terroriste devait faire partie d’un commando de djihadistes. Son groupe avait planifié une attaque dans le centre de Moscou le soir du Nouvel an. Elle aurait dû faire exploser ses charges sur la place Rouge. Toujours selon des sources de la sécurité russe, ce commando aurait des affinités avec celui responsable de l’attaque de l’aéroport de Domodedovo lundi 24 janvier 2011.

Les services de renseignements sont persuadés qu’un texto impromptu envoyé par l’opérateur de téléphonie mobile a mis fin à l’opération au moment où la terroriste se trouvait dans une maison moscovite appartenant au commando, la tuant sur le coup.

Plusieurs sortes de détonateurs sont utilisés par les terroristes. La dernière tendance tend à démontrer que les portables sont le plus souvent utilisés. Ils permettent ainsi aux complices du candidat au suicide de choisir à distance le moment de la détonation en envoyant un simple SMS.

La jeune femme n’a pas été identifiée mais son mari serait en prison pour des liens avérés avec des groupes de terroristes islamistes radicaux. Plus d’informations circulent au sujet de l’équipe responsable de l’attentat de Domodedovo. Le FSB penche pour un groupe de commando-suicide entraîné au Pakistan. La police cherche toujours à identifier le terroriste masculin dont la tête a été retrouvée à l’aéroport.

Comme le soulignait sur Slate Anne Applebaum juste après l’attentat de l’aéroport de Domodedovo:

«depuis 1999, la Russie a subi, en moyenne, au moins une attaque terroriste importante par an. Elles sont généralement imputées à des Tchétchènes ou autres nord-Caucasiens —citoyens de la Fédération russe—mais de nombreux cas restent non résolus. Quand les Tchétchènes ont perdu leur guerre pour la souveraineté au début des années 2000, certains de leurs dirigeants ont promis de livrer leur combat jusqu’au cœur de la Russie.»

Source: http://www.slate.fr/

Merci à FM…

01/01/2011

Chrétiens d’Orient: ça tourne au massacre !!!

 

Le message d’origine, daté du 1 janvier à 10 heures, est déjà dépassé par les évènements quelques heures aprés:  Une voiture piégée devant une église d’Alexandrie (Egypte) à fait une vingtaine de morts et les habitations de nombreux chrétiens en Irak ont été touchées par des bombes, ce même jour. Lorsque cette retransmission vous parviendra, d’autres attentats auront probablement eu lieu. Cela tourne au massacre…
 


 

Philippines et Nigéria

des attentats contre des églises entachent Noël

68 morts plus de 130 blessés

Et pour ceux qui pensent encore que l’islam est une religion de paix, qu’ils se réveillent en lisant les lignes directement tirées du « SAINT » coran !!!


« Quand vous rencontrez les infidèles tuez-les jusqu’à en faire un grand carnage… »
coran 47 :4


A noter que tout individu non musulman
est considéré comme étant un infidèle


Les violences ont fait vendredi 68 morts et près de 130 blessés dans le pays africain, touché par sept explosions qui visaiennt des églises et les Chrétiens dans la ville de Jos et de Maiduguri.
Dans l’archipel des Philippines, une bombe a explosé dans une église pendant une messe de Noël blessant 11 personnes.
Les fêtes de Noël auront été particulièrement macabres au Nigéria.
Une série sans précédent d’attentats à la bombe et d’attaques d’églises ont fait trente huit morts à travers le pays
24 décembre.

Au lendemain de ces événements tragiques, les autorités tentaient de contenir les violences comme elles le pouvaient.
Au total SOIXANTE HUIT personnes sont mortes et CENT TRENTE ont été blessées.
Une grande partie d’entre elles ont été les victimes de sept explosions en deux endroits de la ville de Jos alors qu’elles faisaient leurs courses de Noël. Ces attentats n’ont pas été revendiqués.
Les autres victimes ont péri dans diverses attaques d’églises qui ont secoué la ville de Maiduguri.

Les membres présumés de la secte Boko Haram, dont le soulèvement l’an dernier avait conduit à des affrontements meurtriers avec les forces de l’ordre, ont attaqué une église baptiste, tuant quatre fidèles et le pasteur.

Dans une autre partie de la ville, considérée comme un «fief» islamiste, ils ont tué un garde et attaqué une autre église.

Des soldats nigérians auraient également réussi à empêcher une autre attaque visant une troisième église à Maiduguri. «Un nombre indéterminé d’hommes armés ont tiré autour de l’église et une patrouille militaire positionnée dans le secteur a riposté. L’échange de tirs a duré quelques minutes», a indiqué le lieutenant Abdullahi, précisant qu’une quatrième église avait elle été brûlée.
Par ailleurs aux Philippines, un attentat a fait au moins onze blessés -un prêtre et dix fidèles lors de la messe de minuit dans une chapelle chrétienne d’un camp de la police à Jolo, sur l’île du même nom où opère un groupe lié à Al-Qaïda, a annoncé samedi la police de la province de Sulu, dans le sud des Philippines.
L’île de Jolo est le bastion de l’insurrection islamiste d’Abou Sayyaf, un groupe vraisemblablement lié au réseau terroriste d’Oussama ben Laden, mais l’attentat n’a pas été revendiqué.
> Des enquêteurs ont retrouvé des morceaux d’un téléphone mobile qui semble avoir servi à déclencher la bombe.

Tous les blessés dans l’attentat sont des civils. Une femme était toujours hospitalisée en observation samedi.
Le père Romeo Villanueva, 72 ans, a déclaré qu’un prêtre récemment ordonné, le père Ricky Bacoldol, qui l’assistait pour la messe de minuit, était grièvement blessé à la jambe.

“J’étais en train de lire l’Evangile (…) quand il y a eu une forte explosion”,
a déclaré l’homme d’église, joint par téléphone par l’Associated Press.
Il a ajouté qu’une partie du toit et du plafond s’était effondrée alors qu’une cinquantaine de personnes se trouvaient déjà dans la chapelle et que d’autres arrivaient.

Le porte-parole du président Benigno Aquino III, Edwin Lacierda, a dénoncé un attentat qui “viole les principes de base du respect et de la paix pour tous ceux à qui la foi est chère”. Il a rejeté toute justification religieuse ou politique de cet attentat.
Les Philippines sont un archipel à majorité catholique mais les chrétiens y sont minoritaires à Jolo et dans les provinces des îles voisines, à majorité musulmanes.
Deux chrétiens étaient morts dans un attentat l’an dernier contre la principale cathédrale de Jolo, et par le passé des grenades ont été lancées contre l’édifice religieux.
Ces attaques sont imputées à Abou Sayyaf, auteur d’enlèvements et de décapitations.

Et, en France vous voulez que cela fasse pareil ?
Si oui, restez dans l’ombre !
Ne réagissez surtout pas !
Laissez faire et convertissez vous !
ALLAH EST GRAND

22/12/2010

C’est Noël, offrez-vous un terroriste jihadislamiste…

Joyeux Noël …

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Une vingtaine de terroristes sunnites du Fatah al Islam, sortis d’un « camp palestinien » au Liban, se sont, apparemment, infiltrés en Grèce, en Allemagne et en France. Dans une note, classée ‘confidentiel défense’, les noms de trois terroristes jihadiques – Imad Karoum, Youssef Kayed et Ahmad Sidawi – sont cités. Après avoir gagné la Syrie, puis la Turquie, ils ont, semble-t-il, rejoint l’Europe en utilisant des filières clandestines. Des passeurs en Syrie puis en Turquie les ont acheminés, sans passeport, jusqu’en Grèce et en Bulgarie, où ils se sont fait établir de faux papiers d’identité pour quelques centaines de dollars. Certains de ces djihadistes ont été appréhendés à Sofia. D’autres ont été expulsés par les services grecs et bulgares. Certains, donc pas tous. Ces terroristes jihadiques sont des instruments entre les mains de certaines factions sunnites chez certaines puissances sunnites (factions jihadiques sunnites saoudiennes, irakiennes, yéménites, syriennes ?). Ils n’ont pas de problèmes d’argent. Ils peuvent rester des mois dans leurs maisons à attendre des consignes.

Je rappelle, pour mémoire, que depuis l’assassinat, du général libanais François al Hadj, le mercredi 12 décembre 2007, le Liban n’existe plus. A vrai dire, ce nouvel assassinat, n’était guère surprenant. Dans le quotidien libanais L’Orient-le-Jour, du 6 décembre 2007, on pouvait lire, les propos, tenus la veille, 5 décembre, par Samir Geagea, chef chrétien du Parti des Forces Libanaises : « Le dossier de la présidentielle se trouve désormais en Iran, hélas ». Samir Geagea avait également critiqué, à juste titre, le général Michel Aoun, auquel Geagea avait reproché d’offrir « une façade chrétienne à une république islamique ». Geagea avait encore ajouté que le fond du problème, c’était qu’« il existe une décision délibérée de torpiller l’élection présidentielle au Liban ». Parlant de la Syrie, M. Geagea avait affirmé : « Comme vous le savez, les Syriens sont à la fois le problème et la solution. Ils créent le problème, puis fixent un prix pour son règlement ». Geagea avait également ajouté que le chef du mouvement Amal (ndlr le chiite Nabih Berri) discutait au nom de son mouvement et au nom du Hezbollah : « S’il n’y avait que le mouvement Amal, la question aurait été réglée depuis longtemps ». A propos de la candidature du général Michel Sleiman aux élections présidentielles, Geagea avait affirmé que ce n’est pas la personne du général Sleiman qui faisait problème, mais le fait qu’elle allait exiger un amendement constitutionnel « et qu’elle perpétue la tradition de l’accession d’un militaire à la présidence de la République ».

Mercredi 12 décembre 2007, à 8h43, lexpress.fr lâchait la terrible nouvelle : « Un officier supérieur libanais et quatre autres personnes ont trouvé la mort dans un (…) attentat (…) dans la banlieue est de Beyrouth. (…) Plusieurs dizaines de personnes ont également été blessées par l’explosion survenue à Baabda, une localité chrétienne où se trouve le palais présidentiel. (…) L’officier tué est le général François al Hadj, chef des opérations au sein de l’armée libanaise. Il était pressenti pour succéder à l’actuel chef des armées Michel Sleiman, le candidat de consensus pour la présidence de la République. (…) Lundi (ndlr 10 décembre 2007), le président du parlement libanais (ndlr le chiite Nabih Berri, chef du Amal) a reporté l’élection présidentielle au 17 décembre. Il s’agissait du huitième report de ce scrutin à chaque fois ajourné en raison de divergences entre la coalition anti-syrienne au pouvoir et l’opposition soutenue par Damas. Les deux camps se sont mis d’accord la semaine dernière sur le nom du général Michel Sleiman, un chrétien maronite, pour le poste laissé vacant depuis l’expiration du mandat d’Emile Lahoud, le 24 novembre ».

Le 11 décembre 2007, soit quelques heures avant l’attentat, Le Salon Beige, reprenait, les propos, du journaliste libanais Maroun Charbel, sur le Liban : « Après avoir exigé du général Sleiman qu’il soumette pour approbation, avant son élection, le nom de chacun des membres de son nouveau gouvernement et des grands commis de l’Etat – ce qu’il a refusé de faire – l’opposition rejette ce soir toutes les formules d’amendement de la Constitution avant un accord politique global (…) Plus d’une voix s’est élevée à Beyrouth aujourd’hui pour souligner que les arguties constitutionnelles, le nom du prochain Premier ministre, etc. ne sont que des faux-semblants (…) Après la brèche ouverte en obtenant une invitation à Annapolis, Damas enfonce le clou en se faisant téléphoner deux fois par Sarkozy (ndmg – l’omniprésident à vocation universelle). En recevant le roi de Jordanie Abdallah II qui reçoit en ce moment, en visite officielle, le ministre syrien des Affaires étrangères. Abdallah II est très probablement le truchement du roi Abdallah d’Arabie Saoudite. Et là aussi les tractations vont bon train. Et l’équation est simple : un retour dans le giron de la communauté internationale des pays fréquentables contre l’une des cartes de la main syrienne. Le Liban ou la Terre sainte ».

De son côté, l’AFP, annonçait, le 12 décembre 2007 : « Un général de l’armée libanaise (…) responsable des opérations contre des rebelles islamistes l’été dernier, a été tué mercredi dans un attentat (…) François al-Hadj était chef des opérations l’été dernier lors des combats meurtriers entre l’armée libanaise et les islamistes du Fatah al-Islam dans le camp de réfugiés palestiniens de Nahr al-Bared, dans le nord du Liban. C’était aussi un proche du candidat favori à la présidence, le chef de l’armée Michel Sleiman. Selon plusieurs sources, il était pressenti pour le remplacer à la tête de l’armée après son éventuelle élection (…) L’attentat pourrait être lié aux événements de Nahr al-Bared qui ont fait plusieurs centaines de morts. (…), Pour le député de la majorité parlementaire anti-syrienne Boutros Harb, il s’agirait plutôt d’une réaction contre l’armée au moment où le général Sleiman faisait figure d’un candidat de consensus aux yeux de la majorité et de l’opposition soutenue par Damas ».

Dans L’Orient-le-Jour du 12 décembre 2007, on pouvait lire les propos tenus quelques heures avant l’attentat par Samir Geagea, chef du Parti des Forces Libanaises : « Ce qui s’est passé ces dernières semaines nous pousse à conclure que certaines parties ne veulent pas qu’un président soit élu ou bien désirent que l’État soit un État de façade, à l’instar de ce qui s’est passé entre 1990 et 2005 ». Geagea avait affirmé avoir été « surpris de voir que l’opposition est affublée de deux visages et de deux paroles. (…) Elle s’est empressée d’inventer des prétextes, les uns après les autres, afin de retarder l’opération électorale. (…) Aujourd’hui, nous sommes sûrs que l’opposition ne veut pas d’élection, et peut-être qu’elle ne veut pas de la République non plus », avait affirmé Geagea.

Encore le mercredi 12 décembre 2007, à 8h56, mediarabe.info commentait l’attentat et citait Adnane Ghamlouche, correspondant de la télévision Al Arabiya à Beyrouth : « L’armée libanaise, massivement déployée sur les lieux de l’attentat qui a tué le chef des opérations, le brigadier François al-Hadj, a arrêté deux individus. L’un des deux suspects serait un homme de grande taille, appréhendé à quelques mètres de la voiture qui a explosé au passage de la victime. L’homme serait barbu. Il a été conduit, avec le deuxième suspect, vers le ministère de la Défense. Il pourrait s’agir d’un islamiste barbu. Cette hypothèse rejoint l’hypothèse développée par certains analystes libanais, qui n’excluent pas une implication du Fatah Al-Islam dans l’attentat, dans le cadre d’une vengeance après sa défaite dans le camp de Nahr El-Bared, où François al-Hadj conduisait les opérations de l’armée ».

Mediarabe.info, toujours le mercredi 12 décembre 2007, à 7h10, par l’entremise de Khaled Asmar à Beyrouth, écrivait : « Lors d’une réunion du Front national progressiste, dirigé par le Baas au pouvoir en Syrie, Farouk Chareh, le vice-président syrien, a lancé une virulente offensive politique hier, un événement qui expliquerait, a posteriori, le nouvel attentat survenu ce matin au Liban (…) Farouk Chareh a affirmé en effet que ‘les amis et les alliés de la Syrie sont aujourd’hui plus puissants que jamais, même du temps où l’armée syrienne était présente au Liban’. Chareh, qui représente l’aile dure du Baas, et adepte à la confrontation généralisée, a ajouté que ‘personne ne pourra faire pression sur le président du Parlement Nabih Berri, sur le Hezbollah ou sur l’opposition, quand bien même aurait été sollicitée l’aide d’une puissance externe telle que les États-Unis ou Israël’. Évoquant l’élection présidentielle libanaise, le champion du Baas syrien (ndlr Farouk Chareh, le vice-président syrien) a précisé que son pays était attaché à l’entente entre toutes les parties au Liban et que la solution doit provenir des Libanais eux-mêmes (tout en les empêchant d’y parvenir). (…) Le vice-président syrien (ndlr Farouk Chareh) a insisté sur le choix du futur Premier ministre (ndlr libanais) et sur le tiers de blocage réclamé par l’opposition (ndlr libanaises pro-syrienne et pro-iranienne). Ainsi, (ndlr le vice-président syrien) Chareh a soutenu les conditions imposées par le Hezbollah et par le général Michel Aoun pour accepter de siéger au Parlement et élire le futur président. La majorité libanaise accuse la Syrie d’être derrière le nouvel attentat, puisque Chareh (ndlr le vice-président syrien) s’était félicité de ‘la fermeté avec laquelle Damas avait fait face aux défis, aux pressions et à toutes les tentatives visant à l’isoler’ et avait évoqué que Damas avait brisé l’isolement et avait obligé la communauté internationale à s’ouvrir sur la Syrie, voulant pour preuve les nombreuses visites de personnalités européennes, et plus particulièrement françaises (évidemment…). La Syrie estimait aussi avoir réussi à forcer la communauté internationale et arabe à normaliser leurs relations avec Damas, sans que la Syrie n’ait rien cédé ».

En résumé, on pouvait déjà retenir, à l’époque, ce qui suit. Le dossier de la présidentielle libanaise se trouve en Iran. Le général Michel Aoun veut offrir une façade chrétienne à une république islamique. Les Syriens sont à la fois le problème et la solution. Ils créent le problème, puis fixent un prix pour son règlement. Le chef du mouvement Amal (ndlr le chiite Nabih Berri) discutait au nom de son mouvement et au nom du Hezbollah. S’il n’y avait que le mouvement Amal, la question aurait été réglée depuis longtemps. L’officier tué est le général François al Hadj, chef des opérations au sein de l’armée libanaise. Il était pressenti pour succéder à l’actuel chef des armées Michel Sleiman, le candidat de consensus pour la présidence de la République. Damas enfonce le clou en se faisant téléphoner deux fois par Sarkozy. En recevant le roi de Jordanie Abdallah II qui reçoit en ce moment, en visite officielle, le ministre syrien des Affaires étrangères. Abdallah II est très probablement le truchement du roi Abdallah d’Arabie Saoudite. François al-Hadj était chef des opérations l’été dernier lors des combats meurtriers entre l’armée libanaise et les islamistes du Fatah al-Islam dans le camp de réfugiés palestiniens de Nahr al-Bared, dans le nord du Liban. L’attentat ressemble à une réaction contre l’armée au moment où le général Sleiman faisait figure d’un candidat de consensus aux yeux de la majorité et de l’opposition soutenue par Damas. Certaines parties ne veulent pas qu’un président soit élu. L’opposition pro-syrienne et pro-iranienne s’est empressée d’inventer des prétextes afin de retarder l’opération électorale. L’opposition ne veut pas d’élection, et peut-être qu’elle ne veut pas de la République libanaise non plus. Certains analystes libanais n’excluent pas une implication du Fatah Al-Islam dans l’attentat, dans le cadre d’une vengeance après sa défaite dans le camp de Nahr El-Bared. Farouk Chareh, vice-président syrien, a affirmé, que les amis et les alliés de la Syrie sont aujourd’hui plus puissants que jamais ; et qu’il est un adepte de la confrontation généralisée. La Syrie estime aussi avoir réussi à forcer la communauté internationale et arabe à normaliser leurs relations avec Damas, sans que la Syrie n’ait rien cédé.

Le dossier de la présidentielle libanaise se trouve en Iran. Le général « chrétien » Michel Aoun, allié du Hezbollah, de la Syrie et de l’Iran, veut offrir une façade chrétienne à une république libanaise islamique. La Syrie a reçu le roi de Jordanie Abdallah II qui est en réalité le truchement du roi Abdallah d’Arabie Saoudite. Ce qui n’a pas empêché et n’empêche toujours pas la Syrie de poursuivre sa politique terroriste. La Syrie a été invitée par Madame Rice à la Conférence d’Annapolis. Ce qui n’a pas empêché et n’empêche toujours pas la Syrie de poursuivre sa politique terroriste. L’opposition libanaise pro-syrienne et pro-iranienne ne veut pas d’élection présidentielle. Elle ne veut pas de la République libanaise non plus. Farouk Chareh, vice-président syrien, a affirmé, mardi 11 décembre, qu’il est un adepte de la confrontation généralisée. Quelques heures plus tard, soit ce matin 12 décembre, le général libanais François al Hadj est assassiné. L’Iran, sans lequel le Hezbollah et la Syrie ne sont rien, ne cesse donc de marquer des points. Le Liban, n’existe plus. Ni les USA ni l’Arabie saoudite n’ont bougé le petit doigt. Ce fut le premier fruit pourri de la Conférence d’Annapolis : les mollahs intégristes et génocidaires iraniens ont eu et ont encore le vent en poupe.

Le 22 mai 2007 nos médias racontaient que l’armée libanaise continuait de bombarder le « camp de réfugiés palestiniens » de Nahr al Bared, à proximité de Tripoli, dans le nord du Liban. Des « activistes » du mouvement islamiste Fatah al Islam étaient retranchés dans ce « camp ». Quelques 20 « activistes » du Fatah al Islam, 32 soldats et 27 civils étaient morts depuis le début des combats. C’étaient les combats les plus violents entre l’armée libanaise et des « activistes » depuis la guerre civile de 1975-1990. L’armée libanaise avait renforcé sa présence autour du camp de Nahr al Bared. Voilà pour la version officielle. En réalité, les douze « camps palestiniens » du Liban – et surtout celui de Nahr al Bared – étaient et demeurent de petites villes. Pire, c’étaient et ce sont des Etats (« palestiniens ») dans l’Etat (libanais). En vertu d’un accord aberrant entre les Libanais et les « Palestiniens », l’armée et la police libanaises n’ont pas le droit d’entrer dans ces « camps palestiniens ». Le Fatah al Islam est un mouvement terroriste jihadique, lié à Al-Qaïda, qui a été créé au Liban en novembre 2006. Le Fatah al Islam implanté au Liban se compose de terroristes « palestiniens », mais aussi de terroristes originaires de divers pays musulmans. Le Fatah al Islam avait assassiné des civils chrétiens libanais le 13 février 2007. Le Fatah al Islam avait participé au cambriolage d’une banque au Liban.

Ce sont des terroristes jihadiques sunnites de ce même Fatah al Islam qui, en ce temps de Noël 2010, se sont infiltrés en Grèce, en Allemagne et en France. Pour Noël, offrez-vous un terroriste jihadique.

 

source: Michel Garroté-drzz.info

16/12/2010

Savez vous pourquoi les musulmans prient dans les rues?

Et bien après avoir mûrement réfléchi, j’en ai déduit que c’était à cause de ça:

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Attentat-suicide près d’une mosquée en Iran: 39 morts

 

Un double attentat-suicide a fait au moins 39 morts et 90 blessés mercredi pendant une cérémonie chiite organisée devant une mosquée du sud-est de l’Iran, près de la frontière pakistanaise, selon l’agence de presse officielle IRNA. Un groupe armé sunnite de la région a revendiqué l’attaque.

L’attentat perpétré par deux kamikazes, d’après les autorités, a eu lieu devant la mosquée de l’imam Hussein, à Chahbahar. Il visait un groupe de fidèles lors d’une cérémonie de deuil à la veille de l’Achoura, date centrale du calendrier chiite, qui commémore la mort de l’imam Hussein, petit-fils du prophète Mahomet, dans une bataille au VIIe siècle. Parmi les 39 personnes tuées figurent trois femmes et un nouveau-né, selon un responsable de la médecine légale, Fariborz Ayati, cité par IRNA.

L’un des assaillants a fait sauter une bombe devant la mosquée et l’autre au milieu d’une foule de fidèles, a rapporté la télévision officielle, faisant état de l’arrestation d’un troisième individu. Les forces de sécurité ont tiré sur l’un des kamikazes sans parvenir à l’empêcher de déclencher ses explosifs, a déclaré le vice-ministre de l’Intérieur, Ali Abdollahi….

http://tinyurl.com/3xbekhq

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Mais non; j’déconne…



FDF

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