Francaisdefrance's Blog

27/02/2012

L’alcool est mauvais pour la santé. Au Yemen, on l’a compris depuis longtemps…

Précurseurs, ces yéménites… Chez eux, pas de retait de permis.

FDF

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Photo d’illustration

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Quatre personnes fouettées en public pour consommation d’alcool

 

Des membres présumés d’Al-Qaïda affirmant appliquer la loi islamique ont fouetté en public dans le Sud du Yémen quatre personnes qu’ils accusent de consommation d’alcool, selon des témoins.

La flagellation a eu lieu dimanche soir en présence de dizaines de personnes sur une place de Jaar, une ville aux mains d’insurgés liés à Al-Qaïda dans la province d’Abyane, a-t-on ajouté.

Les quatre personnes, détenues par les insurgés, ont subi 80 coups de fouet chacun, selon les mêmes sources.

Des centaines de combattants se réclamant des «Partisans de la Charia», un groupe lié à Al-Qaïda, ont pris fin mai le contrôle de Zinjibar, chef-lieu de la province d’Abyane, puis de certains villages de cette province, dont Jaar.

Les insurgés, qui veulent appliquer la charia dans les zones qu’ils contrôlent, ont fait subir ces derniers mois divers  châtiments à plusieurs personnes, dont l’amputation de la main droite pour vol.

Née de la fusion des branches yéménite et saoudienne d’Al-Qaïda, Al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa) a mis à profit l’affaiblissement du pouvoir de Sanaa en raison de la révolte l’an dernier contre l’ancien président Ali Abdallah Saleh pour renforcer sa présence dans le sud et l’est du Yémen.

Source: http://www.arcinfo.ch/fr/

20/02/2012

Maldives: entre niqab et naïades sur les plages…

Le choc de la civilisation avec une idéologie rétrograde. Les Maldives, ce n’est plus ce que c’était. L’islam est passé par là…

FDF

C’est haram, aux Maldives ?

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La face cachée du paradis des Maldives

Les touristes et les habitants gagnés par l’islamisme radical vivent dans deux mondes cloisonnés.

Le paradis maldivien a son envers. Au dos de la carte postale, on pourrait dresser la liste de tous les défis du XXIe siècle, concentrés dans un petit État de 330.000 habitants et de 1192 îles, dont 200 habitées: grand écart entre riches et pauvres, corruption, choc des civilisations, montée de l’islamisme radical, réchauffement climatique, jusqu’à la piraterie…

Contrairement à un autre paradis pour touristes occidentaux, les Seychelles, territoire vierge peuplé au XVIIIe siècle par des colons français, les Maldives ont toujours été habitées. D’abord bouddhistes, ses habitants ont été convertis à l’islam, sans doute au XIIe siècle. Les quelque 900.000 visiteurs annuels qui louent des chambres à 200 euros minimum le savent à peine. Dirigés directement de l’aéroport de Malé, la capitale, vers leur «île hôtel», ils ne rencontrent de maldivien que les serveurs, les femmes de chambre, ou encore celles qui balaient la plage au petit matin.

Frustrations sociales

Le gouvernement veille à ce que les deux populations vivent dans des mondes séparés. L’accès des îles habitées est sévèrement réglementé, le logement chez l’habitant interdit. Les Occidentaux peuvent boire de l’alcool, pas les Maldiviens. L’islam est la seule religion acceptée, les autres sont interdites.

Les visiteuses se prennent des bains de soleil en maillots deux pièces, pas les Maldiviennes. Celles-ci sont fouettées si elles ont des relations sexuelles hors mariage, méthode défendue encore récemment par le gouvernement devant la responsable des droits de l’homme de l’ONU. Les touristes appartiennent aux classes aisées, les Maldiviens se trouvent en général au bas de l’échelle sociale. Le chômage et la drogue sont les deux principaux problèmes de l’archipel.

Les islamistes intolérants ont sans doute puisé dans ces frustrations sociales pour promouvoir une religion encore plus rigoriste. Depuis quelques années, des étudiants vont étudier dans les pays du Golfe ou au Pakistan, souvent grâce à des bourses versées par ces pays, et en reviennent avec des idées extrémistes.

Dans l’autre sens, des prêcheurs pakistanais ou saoudiens sont venus répandre un islam agressif. En 2007, une première alerte avait fissuré l’image idyllique du petit État. Un attentat à la bombe avait blessé 12 touristes de passage dans la capitale.

Des bouddhas détruits

Le coup d’État virtuel du7 février dernier est dû à une alliance entre les forces de sécurité et le parti islamiste Adhaalath, qui soutient le nouveau président. Cette formation avait déjà fait parler d’elle en obtenant brièvement la fermeture des spas dans les hôtels, lieux de débauche supposés.

Mardi, dès la démission du président Mohammed Nasheed, des hommes ont voulu signifier l’avènement d’une nouvelle ère. Ils ont fait irruption dans le Musée national et ont détruit des bouddhas de calcaire et de corail, inestimables témoins du passé bouddhiste de l’archipel.

Le parti islamiste a condamné le saccage, mais refuse dans le même temps le cadeau de trois œuvres bouddhistes ­offertes en novembre par l’Inde, le Sri Lanka et le Pakistan. Cette fureur représente une nouvelle victoire pour le ­courant le plus extrême de l’islamisme, celui des talibans ou des militants saoudiens.


Des élections anticipées

Le président déchu des Maldives, Mohammed Nasheed,  a salué la tenue d’élections anticipées sur l’archipel,  sans toutefois annuler un rassemblement de ses partisans organisé vendredi pour appeler  à la démission de son successeur. L’élection présidentielle devait avoir lieu en octobre 2013.  

Mais la date du scrutin a été avancée et a été acceptée  par le nouveau chef de l’État, Mohammed Waheed, une semaine après qu’il ait pris  le pouvoir aux Maldives dont l’ancien président a affirmé avoir été évincé par un coup d’État.  Cet archipel est en proie  à une crise politique émaillée de violences, après la démission le 7 février de Mohammed Nasheed, dans la foulée, d’une mutinerie  de policiers et de semaines  de manifestations d’opposants.

Source: http://www.lefigaro.fr/

03/02/2012

Bienfaits de l’immigration: Hassan Khiar, condamné à 25 ans pour avoir sauvagement tué son bébé de 6 mois…

Ca devient tellement banal…

Mais ça fait réfléchir quant au rétablissement de la peine de mort. Précision: c’eût été un « Occidental », ce serait pareil.

Ce n’est pas notre faute si la majeure partie des actes criminel les plus odieux sont commis par des « bienfaits de l’immigration ». C’est un constat. Des preuves? J’en ai un coffre plein. Des « circonstances atténuantes » aussi.

FDF

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« Le procureur général, Yves Moreau, a retenu, comme circonstances atténuantes, les regrets sincères et un chagrin immense dans le chef d’un homme qui ne comprend toujours pas pourquoi il a passé sa rage sur son bébé. Mais aussi un parcours de vie torturé.
La cour et le jury sont cependant allés au-delà des réquisitions de 20 ans. La peine finalement infligée au jeune homme est de 25 ans. »

Je suis toujours très admiratif  des propos des  juristes  « LES REGRETS SINCÈRES,  LE CHAGRIN IMMENSE  LE PARCOURS DE VIE TORTURé   DE CET HOMME GÉNÉREUX et SENSIBLE« 

Il y   a plein de gens de « FAMILLES  NOMBREUSES à L’AVENIR INCERTAIN »  qui « ONT CRU à L’ELDORADO EUROPÉEN »   qui ne deviennent pas pour autant de sauvages meurtriers, après  avoir « SOMBRé DANS LA DROGUE ET L’ALCOOL »   et si ses « DÉRACINEMENT   et ÉLOIGNEMENT DE SA FAMILLE »   lui pesaient tant, pourquoi n’avoir pas pris le chemin du retour?

Le bébé de 6 mois qu’il a  sauvagement tué ne connaitra jamais  aucun  parcours de vie …….

N.B.  il avait, pour cette procédure, DEUX AVOCATS,  payés par qui ?
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rappel :  Témoignage des psychiatres au procès de Fadele Ahmad, qui a massacré sa fille:
ASSISES BRUXELLES Les psychiatres Marc Goltzberg et Yves Crochelet ont expliqué, vendredi, que l’accusé avait été pris d’une rage destructrice visant sa compagne, son enfant mais aussi lui-même. Fadele Ahmad, 38 ans, est accusé du meurtre de sa fille de 7 mois, Leila, le 2 novembre 2009, à Anderlecht.
Il l’avait saisie par une jambe et l’avait frappée contre le sol à plusieurs reprises.
http://www.dhnet.be/dhjournal/archives_det.phtml?id=1226006

JC JC…

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Hassan Khiar condamné à 25 ans.

Regrets sincères et chagrin immense…

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Le procureur général avait retenu des circonstances atténuantes
Sans surprise, Hassan Khiar, alias Fadele Ahmad, 38 ans, a été reconnu coupable, hier en début d’après-midi, du meurtre de sa petite Leila, 6 mois.
Un crime perpétré le 2 novembre 2009, sous les yeux de sa compagne, la mère de l’enfant.
Les avocats de la défense, Mes Maryse Alié et Xavier Carrette, ont une fois de plus mis le paquet sur les nombreuses circonstances atténuantes qu’ils ont invoquées devant la cour et le jury de Bruxelles-Capitale.

Me Alié a en effet souligné l’existence chaotique d’une famille algérienne installée à Tanger, au Maroc, et l’absence d’avenir pour les huit frères et sœurs de l’accusé.

Dans la fougue de la jeunesse, Hassan Khiar a cru en l’eldorado européen pour tenter sa chance en Belgique.

Mais il a dû déchanter, tout en souffrant de son déracinement et de sa rupture de fait avec sa famille.

Plusieurs portes étaient donc ouvertes pour sombrer dans la toxicomanie alcoolique.

Me Carrette a insisté sur l’“autre” Khiar : “On ne voit ici que les aspects négatifs, ceux du dossier judiciaire. Mais à côté de cela, il y a un homme généreux, sensible et impulsif, mais généreux. Ce ne sont pas seulement des regrets qu’il formule, ce sont des remords qui le rongent.”
Mais le procureur général, Yves Moreau, a retenu, comme circonstances atténuantes, les regrets sincères et un chagrin immense dans le chef d’un homme qui ne comprend toujours pas pourquoi il a passé sa rage sur son bébé. Mais aussi un parcours de vie torturé.
La cour et le jury sont cependant allés au-delà des réquisitions de 20 ans. La peine finalement infligée au jeune homme est de 25 ans.

Source: http://www.dhnet.be/

29/12/2011

Un adage pour le moins réel: « dans le cochon, tout est bon! ».

Pour une fois que ça n’a rien à voir avec les musulmans. Je  faire de la température, moi…

Ca se passe en Grande Bretagne. Ca va donner des idées aux « anti-rave party ».

Dommage qu’on ne puisse pas le faire dans les banlieues et « quartiers sensibles » de France. (Pas pu m’empêcher…).

FDF

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Des excréments de cochons pour chasser des adolescents fauteurs de trouble

Une commune anglaise a choisi une méthode radicale contre les rassemblements de jeunes importunant le voisinage: l’épandage d’excréments de cochons.

La mairie de Middlesbrough, ville du nord-est de l’Angleterre, a décidé d’agir après avoir reçu des plaintes de la part des résidents d’un lotissement, ulcérés par la présence de groupes d’adolescents consommant drogue et alcool dans une zone boisée voisine.

Des agents de la mairie ont élagué des arbres, afin de rendre les jeunes plus visibles, avant de déverser une épaisse couche d’excréments de cochon, qui s’est révélée d’une efficacité redoutable pour chasser les indésirables.

« Une inspection a révélé que les lieux étaient utilisés pour la consommation d’alcool et de drogue, puisque du matériel tel que des ‘bongs’ (pipes à eau utilisées pour fumer des drogues) a été retrouvé », a indiqué un porte-parole de la mairie de Middlesbrough, ajoutant que les habitants préféraient encore la « légère odeur » du fumier aux désagréments liés à la présence des jeunes.

Source: http://www.lepoint.fr/

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FDF: 37,4c°, rien de grave…

28/12/2011

L’Algérie rit jaune et goûte aux bienfaits de l’immigration…

Chacun son tour. L’Algérie voit enfin ce que c’est d’apprécier l’immigration et ses bienfaits. Ce pays accueille en son sein des étrangers, à son tour. Chez nous, nous avons principalement bon nombre de « jeunes » issus de l’immigration (algérienne, d’ailleurs) qui se sont fait connaître par des actes de haine remarquables.

En Algérie, les Chinois débarquent; sans haine ni violence. Mais ce n’est pas pour semer la m…. C’est purement économique. Et les Chinois sont loin d’être idiots.

J’ai bien peur que l’Algérie vive ses derniers jours, en tant que pays du Maghreb.Bientôt une province Chinoise???

Le problème est que nous allons ENCORE voir arriver des « invités » qui vont être obligés de quitter leur pays; par la force des choses. 

On ne vous dit pas merci, les Chinois. Mais d’un autre coté, ce que vous faites au pays de Boutéflika les fera probablement réfléchir…

FDF

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Bijour! C’est nous, les Tinois !!!

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L’Algérie rit jaune ! — Mais c’est parfait çà ! …
             

C’est ce qu’on appelle l’effet boomerang :

Immigration en Algérie -Tiens, quelle surprise !


A lire absolument, ça ne manque pas de sel !

Ça mériterait d’être expliqué à nos habitants issus de l’immigration ….

Vu dans des extraits de journaux ça tombe pile en plein débat sur l’identité nationale….. !

Marrant non ? et où sont les donneurs de leçons ????

Les arroseurs arrosés.

*Depuis plusieurs semaines, la presse  algérienne se fait l’écho de tensions entre la communauté chinoise  installée en Algérie et la population locale.

*Tensions qui ont donné lieu  cet été à de graves agressions à l’encontre de ces immigrés  asiatiques et dont la violence a même poussé les autorités chinoises à intervenir auprès de leurs homologues maghrébins pour leur demander de mettre fin à ces pugilats. …..

* Les Chinois ont abusé de la gentillesse des Algériens.

* On  les a accepté malgré leurs défauts, aujourd’hui ils nous agressent chez nous, a déclaré  Mounir à l’A.F.P. —

« Ils boivent de l’alcool  devant leurs boutiques au vu et au su des Algériens et s’exhibent   parfois en short dans le quartier.

Ce sont des comportements contraires à notre  religion et notre culture », a précisé   Abdellah, un autre habitant du  quartier.

Des critiques que Song explique par « un sentiment de concurrence et de jalousie ».

A Bab Ezzouar, à Alger, plus de 200 commerces appartiennent à des Chinois.

« Leurs produits sont vendus à des  prix très compétitifs,ils sont ouverts tous les jours,  donc ils gagnent  de l’argent, ce qui déplaît aux Algériens », observe-t-il.


Étonnant,  non ?

Ces mêmes Chinois sont implantés en France depuis des lustres mais n’ont que rarement attisé le ressentiment des Français,

contrairement à  d’autres communautés.

Mais que les Algériens se rassurent, leurs immigrés Chinois

*ne brûlent pas encore le drapeau national dans la rue.

*n’imposent pas leurs coutumes alimentaires dans les écoles,

*n’exigent pas la construction de temples,

*ne réclament pas d’horaires de piscine aménagés,

* ne contredisent pas l’enseignement des sciences,

*se satisfont de médecins masculins pour leurs épouses,

*ne profitent pas indûment des aides sociales. – etc.,

etc….

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Merci à CH…

22/12/2011

« Suicide-toi ! », a t’on lancé au procès du meurtrier-chauffard Zouhir Bouchtita…

Et encore une « chance pour la France ». Qui a ôté la vie à un septuagénaire.

Je n’ai pas les chiffres officiels, ni officieux. Mais il est certain que largement plus de la moitié des crimes et délits commis sur notre territoire sont le fait de personnes « issues de l’immigration » ou de clandestins.

On ne voit que ça dans les médias. Dans les journaux (où l’on évite soigneusement en général de citer les noms s’ils ne sont pas à consonance française…), sur le Net, sur nos écrans de télé.

Et heureusement qu’ils ne sont qu’une « minorité », comme disent leurs fervents défenseurs…

Mais où va t’on ?

FDF

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« Suicide-toi ! », a lancé une voix dans la salle lorsque le prévenu, Zouhir Bouchtita, 21 ans, a pris place dans le box pour y répondre d’homicide involontaire aggravé par deux circonstances : la conduite en état d’ivresse et le délit de fuite. Après l’accident survenu sur la place d’Oraison, le jeune conducteur et son passager qui avaient passé la nuit en discothèque, s’étaient en effet enfuis, en abandonnant la voiture. »

FORCE EST DE CONSTATER  QU’ILS TUENT DES GENS  ET QUE LEUR PREMIERE REACTION EST GENERALEMENT DE PRENDRE LA FUITE,  QUAND CE N’EST PAS L’AVION POUR RENTRER AU BLED…

JC JC…

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Accident mortel : le chauffard d’Oraison a été incarcéré

Il sera jugé dans deux mois.
Ce que contesta avec une véhémence inattendue l’avocat du prévenu
Me Mohand Chibout.

Photo Eric Camoin

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Tous les accidents sont dramatiques et constituent pour les familles une tragédie dont beaucoup ne se relèvent jamais. Dans l’énumération morbide des 26 accidents qui se sont produits depuis le début de l’année pour un total de 28 tués, il en est, hélas, de plus pénibles que d’autres parce que, dans leur déroulement, ils conjuguent tout ce qu’il peut y avoir de haïssable chez un chauffard : l’alcool, peut-être aussi les stupéfiants, (les analyses le diront), la vitesse et l’inconscience pour soi-même et autrui. Un cocktail fatal qui a fait une victime dimanche au petit matin à Oraison : André Dast, un homme de 79 ans, fauché par une puissante voiture au volant de laquelle se trouvait un jeune homme de 21 ans. L’éthylomètre révélera plus tard un taux d’alcoolémie de 0,86 mg par litre d’air expiré, soit 1,72 g par litre de sang.

Tristesse et colère

Dans la salle d’audience du tribunal de Digne, hier en fin de matinée, la détresse de la famille était immense. Les filles de la victime, Jacqueline et Nicole, sa petite fille, Aurélie, plusieurs de ses petits fils étaient recroquevillés les uns contre les autres pour mieux affronter, entre tristesse et colère, la terrible réalité.

« Suicide-toi ! », a lancé une voix dans la salle lorsque le prévenu, Zouhir Bouchtita, 21 ans, a pris place dans le box pour y répondre d’homicide involontaire aggravé par deux circonstances : la conduite en état d’ivresse et le délit de fuite. Après l’accident survenu sur la place d’Oraison, le jeune conducteur et son passager qui avaient passé la nuit en discothèque, s’étaient en effet enfuis, en abandonnant la voiture.

Pour le procureur de la République, Pierre-Jean Gaury, il y a dans les faits suffisamment d’éléments pour justifier une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel. Ce que contesta avec une véhémence inattendue l’avocat du prévenu Me Mohand Chibout, au prétexte « que l’ouverture d’une information aurait permis de mieux cerner la réalité » et « que cet empressement était le signe d’une absence de sérénité de la part du parquet. »

Incident d’audience

Des propos « déplacés » que le représentant du ministère public, outré, s’empressa de faire acter par le greffier. Le président Fabrice Lecras mit fin à la joute verbale en sollicitant de toutes les parties la dignité qui sied à la justice au moment de leur donner la parole pour leur intervention sur le fond . Le prévenu ayant sollicité un délai pour être jugé se posait, en effet, la question de son maintien ou non en détention

Pour le procureur Gaury, l’incarcération apparaît évidente afin d’empêcher le prévenu de se soustraire à ses responsabilités. Avis partagé par la partie civile pour qui « l’ordre public a été gravement et durablement troublé. » Me Chibout enfin, tout en assurant la famille de la victime de son empathie, plaida pour la remise en liberté de son client. « Je suis désolé. Je suis sincère, je suis vraiment désolé », déclara le prévenu avant que le tribunal se retire. Dix minutes plus tard le mandat de dépôt était prononcé et le procès fixé au 23 février.

Zaoui Bouchtita a été incarcéré à la maison d’arrêt de Digne.

François de BOUCHONY

Source: http://www.laprovence.com/


21/12/2011

Leila: une « mauvaise musulmane » ???

Image d’illustration (Delize)

Amis musulmans, continuez à nous donner des leçons…

Si cette jeune femme fait partie de votre « congrégation » faites la lapider; elle le mérite. Elle a parlé aux policiers d’un « pays de merde » en évoquant la France. Elle parle de « terroristes », aussi. C’est donc une immigrée, ou « issue de »…

Et pour la policière agressée, personne n’a de nouvelles?

FDF

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Leila ressemble à une jeune star de cinéma : un physique sur lequel se retournerait Georges Clooney, des yeux de biche, un visage d’ange. Bref, un air à se retrouver devant des projecteurs plutôt que devant un tribunal. Mais voilà, on ne choisit pas toujours. Ou plutôt si. La starlette, ce soir du 19 août dernier, fait la tournée des grands ducs, à défaut d’une tournée cinématographique. Apéro à la maison avec des copines, puis restos et virée dans les bars. A 2 h 30, les quatre filles sont rondes comme des petits pois et entrent dans leur véhicule. Elles papotent à l’intérieur, quand passe une voiture de police. Elles sentent l’alcool à plein nez, mais les policiers sont bons princes : ils conseillent aux filles de rester là et surtout de ne pas utiliser leur voiture. Ils auront une belle surprise quand, une demi-heure plus tard, ils se font doubler en trombe par la Clio de Leila.

À ce moment-là, ils seront beaucoup moins indulgents. Leila, qui a un peu plus de 2 g d’alcool dans le sang, est embarquée au commissariat. Elle refuse le second test d’alcoolémie et se déchaîne : les noms d’oiseaux fusent : « Flics de merde ! vous servez un pays de merde, vous êtes des terroristes pires que les vrais ! » et ainsi de suite. Quand on veut la placer en cellule, Leila passe du verbe à l’action plus radicale : elle balance un grand coup de pied à une jeune policière et la griffe sauvagement au visage. Elle est tellement hystérique qu’il faudra plusieurs policiers pour la maîtriser enfin. Bien conditionnée par son avocate, Leila déclare qu’elle regrette ces incidents. Mais son regard flamboyant crie le contraire. « C’était pas volontaire… », dit-elle d’une voix minaudante. La présidente manque d’avaler de travers : « Pas volontaire ? Vous vous moquez sans doute… » Même un cheval de bois ne pourrait avaler pareil bobard. 70 heures de TIG (Travail d’intérêt général) et 200 € d’amende. « Je n’ai pas de ressources, pour l’amende… » « Vous en aviez pour l’alcool », rétorque la présidente du tac au tac.

Source: http://www.ladepeche.fr/

Et merci à JC JC

09/10/2011

L’offensive islamiste de plus en plus agressive en Algérie…

L’Algérie est en passe de replonger dans le Moyen-Âge (dont elle est n’est encore pas si loin, d’ailleurs; ce sera facile…). Des illuminés islamiques lancent une fatwa pour faire fermer les débits de boissons alcoolisées… Au nom de quoi ?

FDF

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La fetwa et la fitna d’El Hachemi Sahnouni

Sahnouni et Abderrazak Zeraoui Hamadache

Dans une hallucinante fetwa, l’ancien dirigeant du parti dissous, d’El Hachemi Sahnouni, et Abderezak Zeraoui Hamadache lancent un appel, dans un tract diffusé hier aux citoyens, les incitant à se soulever pour la fermeture des débits de boissons alcoolisées.

Encouragés par une islamisation rampante de la société, conséquence d’une orientation idéologique des tenants du pouvoir, des anciens du FIS dissous passent à l’offensive. Deux imams radicaux, Hachemi Sahnouni et Abderrazak Zeraoui ont signé une fatwa qui sonne comme appel à la désobéissance aux lois de la République.

« Nous appelons les comités des quartiers populaires à multiplier leur contestation demandant la fermeture définitive des bars et des débits de boissons alcoolisées prohibées par la religion du Prophète, parce qu’elles pervertissent notre jeunesse et détruisent ses mœurs religieuses (…)« , ont-ils écrit dans leur tract infamant. Une incitation à la violence, à la haine, à l’intolérance et, plus dangereux encore, à dresser des Algériens les uns contre les autres. Un véritable appel à « la fitna« . Visiblement galvanisé par le virage conservateur pris par le pouvoir de Bouteflika, l’ancien prédicateur de la mosquée Essouna de Bab El-Oued (Alger) s’érige ainsi en inquisiteur.

Sahnouni se sent en terrain conquis, lui, dont la responsabilité politique dans la violence qui a embrasé le pays durant les années 1990 n’est plus à démontrer. S’attribuant ainsi « le rôle » de la conscience de la société, les prédicateurs jugent curieusement que « ce sont les débits de boissons alcoolisées qui sont la cause de nombreux problèmes des Algériens parce qu’elles propagent la perversion et éloignent des solutions réelles et justes« . Les deux prêcheurs estiment dans leur propagande intégriste que « le nombre de crimes a augmenté et les bagarres sont de plus en plus nombreuses entre les buveurs d’alcool et d’honorables citoyens à cause de la multiplication des débits de boissons« .

Invraisemblable. Est-ce parce qu’il existe des imams pédophiles qu’il faudrait fermer les mosquées ? Faut-il interdire les matchs de football pour mettre un terme à la violence dans les stades ! Le raccourci est vite pris. Faut-il chercher les sources de la violence ailleurs que dans les bars ? Ne sont-elles pas d’ordre politique ? L’extrémisme religieux revient au-devant de la scène au moment même où le terrorisme continue de faire des victimes innocentes. Bien évidemment, d’El Hachemi Sahnouni n’oserait pas pointer du doit la cause réelle du mal qui ronge l’Etat et la société. Sahnouni en est-il seulement conscient ?

Pour le moins étrange, il a choisi de se fourvoyer aujourd’hui dans cette espèce de « guerre civile » contre les débits de boissons et leur clientèle. L’a-t-il fait de lui-même et par lui-même sans la tutelle d’un quelconque sponsor politique interne ou externe ? A l’heure, faut-il le noter, on traverse une phase très délicate politiquement du fait des exigences du changement démocratique imposé par ce qui se passe dans le monde arabe et les nécessités de la situation interne. Il est aisé en effet de remarquer que ce personnage évite soigneusement de s’attaquer au pouvoir politique.

Pouvoir et islamistes, même combat

Depuis quelques années, l’opinion publique assiste avec stupéfaction et inquiétude à une campagne de stigmatisation menée par le pouvoir de Bouteflika contre des Algériens parce qu’ils épousent une religion autre que l’Islam, contre les non-jeûneurs. Des femmes sont souvent persécutées. Le gouvernement a trouvé un stratagème juridique pour interdire aux descendants de détenteurs de licence d’exploitation de débits de boissons alcoolisées d’en hériter. Depuis, de nombreux bars sont fermés, notamment dans l’Algérois. D’autres propriétaires de débits de boissons alcoolisées, sous une pression de l’administration policière avec l’appui de leurs supplétifs, ont fermé boutique.

Au nom de quoi ? Au nom d’innombrables prétextes de pratique commerciale qui dissimulent mal une action de moralisation de la société. Ainsi, des concessions « symboliques« , mais combien importantes, sont instrumentalisées par le pouvoir au profit des islamistes et aux forces conservatrices dans le but d’acheter leur soutien et surtout leur silence au moment où les peuples se soulèvent contre les dictatures. Est-il nécessaire de rappeler, durant les événements du début janvier dernier, que le gouvernement a fait recours aux imams pour dissuader les Algériens de descendre dans la rue pour réclamer leurs droits politiques. Au mois du Ramadhan dernier, le gouvernement a chargé son ministre des Affaires religieuses d’exhorter les commerçants à ne pas augmenter les prix des produits de large consommation. Alors que la mission de contrôle des prix est du ressort du ministère du Commerce.

Ainsi, nous assistons à un glissement dangereux de l’Etat en s’appuyant sur le discours religieux, souvent extrémiste, dans la gestion des affaires publiques. L’opinion publique s’inquiète de cette collusion historique et dangereuse entre le pouvoir et les islamistes. Le caractère républicain de l’Etat en pâtit. Par ailleurs, la question que soulève la fetwa de l’ancien dirigeant du FIS dissous va au-delà d’anecdotiques beuveries. Elle pose sérieusement la problématique des libertés individuelles et publiques dans une société mortellement étouffée.

En filigrane, dans son douteux combat, El Hachemi Sahnouni ne désespère pas, après l’épisode meurtrier des années 1990, de ramener l’Algérie au Moyen-Âge, en faisant feu de tout bois. De nombreux observateurs tirent la sonnette d’alarme, attirant l’attention sur la propagation de l’idéologie wahhabite et salafiste dans de nombreuses mosquées tolérée par le pouvoir en place. Pour peu, son hégémonie n’est pas remise en cause par les tenants de cette idéologie obscurantiste. Mais pas seulement. Le pouvoir met à contribution tous ses appareils idéologiques.

Des médias (publics et privés) et l’école distillent un discours d’intolérance et de haine. Foncièrement hostile aux aspirations de liberté, de démocratie et de justice de la société, le pouvoir a fait le choix de faire alliance avec des forces les plus archaïques. Quitte à mettre l’Etat en péril. Cette situation rappelle curieusement la période du début des années quatre-vingt. Faut-il alors considérer que la transition politique qui se joue actuellement doit absolument se négocier avec les islamistes purs et durs ?

Source: http://www.lematindz.net/

27/08/2011

Albi: il est certain qu’ Abdallah n’est pas un « bon musulman »…

Il aime bien boire, Abdallah. Mais devrait surveiller ses fréquentations…

FDF

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Albi. Massacré sur sa chaise au cours d’une soirée arrosée

Abdallah est assis au premier rang de la salle d’audience du tribunal correctionnel. Salement amoché, un nez cassé, un gros hématome à l’œil droit et les lèvres tuméfiées, il attend le jugement de ses tortionnaires. « Je ne sais pas pourquoi ils m’ont battu, je ne les ai pas insultés. J’ai crié au secours, au secours et c’est les voisins qui ont appelé la police. » Il ne souvient plus trop de cette soirée, dans la nuit de lundi à mardi. Il avait bu, tout le monde avait bu. Une soirée beaucoup trop arrosée. Hier, deux de ses bourreaux d’un soir, ont fait l’objet d’une comparution immédiate pour des violences en réunion avec plusieurs circonstances aggravantes dont la vulnérabilité de la victime (problèmes psychologiques) et la récidive. Les deux autres compères de la beuverie qui a mal tourné ont été mis hors de cause. Dans le box, Malika Krouk, 46 ans, sous curatelle renforcée, 4 enfants placés et 14 condamnations au casier judiciaire. Elle est sortie de prison en février. Elle venait de purger 3 ans pour des violences. A ses côtés, Georges Coulomb, 41 ans, une enfant de 4 ans dans une famille d’accueil, 12 condamnations et en récidive. Avec, pour tous les deux, de sérieux problèmes d’alcool.

« Une soirée d’épaves»

Au hasard d’une rencontre avec Malika, Abdallah s’est retrouvé dans un appartement où l’alcool a coulé à flots. Jusqu’à ce que Georges, qui avait perçu un mauvais regard, lui assène un coup de tête et que Malika ne prenne la relève à coups de gifles. Une furie. Inconscient, Abdallah est relevé et placé en sang sur une chaise. Il n’a dû son salut qu’à l’arrivée des policiers de la BAC.

« Que ce serait-il passé s’ils n’étaient pas intervenus ? », se demande ,inquiet, Me Albarède. Pour le procureur, « c’était une proie facile dans cette soirée d’épaves où il a été massacré. » Il requiert 3 ans de prison dont 18 avec sursis et mise à l’épreuve (SME) contre Malika et 3 ans dont 2 ans SME contre Georges. Pour Me Alary, l’alcool a sérieusement altéré le discernement de Malika « qui s’autodétruit depuis l’âge de 23 ans. » Pour Me Meyer-Soullier, « le coup de tête de Georges a été impulsif, idiot. Il était alcoolisé. Il lui faut absolument un suivi médical. » Le tribunal a répondu en partie à leurs attentes. Malika et Georges ont été condamnés à 3 ans de prison dont 2 avec sursis et mise à l’épreuve, assortis d’une obligation de soins. Un mandat de dépôt a été décerné à leur encontre. Les deux compères ont commencé à purger leur peine, loi de tout alcool.

Source: http://www.ladepeche.fr/

 

02/08/2011

V’la aut’chose! Red Bull: une boisson considérée « haram »…

Les délires de  l’islam.

Décidément, « ils » nous feront toujours rire. Ca change des attentats meurtriers…

Ils n’ont qu’à égorger les cannettes de Red Bull avec la capsule tournée vers La Mecque. Et ça deviendra « halal ».

FDF

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Red Bull, une boisson considérée comme anti-islamique en Tchétchénie !

Le ministre de la Santé en Tchétchénie a déclaré que les boissons énergétiques comme le Red Bull étaient « comme de la bière » et donc « anti-islamique ». La vente de Red Bull est à présent soumise au même régime que la vente d’alcool. Certains Tchétchènes reprochent au président d’imposer sa propre version de l’Islam.

Les mythes autour de la célèbre boisson énergisante ont toujours été bien présents. La quantité de caféïne inquiétait certaines personnes, d’autres pensaient que la taurine provenait des testicules de taureaux. Selon plusieurs sources, la dose de caféine comprise dans une cannette correspond à une tasse et demie de café. La taurine, elle, est une substance naturellement présente dans le corps humain. C’est un dérivé d’un acide aminé soufré découvert pour la première fois dans de la bile de taureau. D’où son nom. 

Maintenant que ces deux mythes se sont effondrés, c’est la religion qui prend le relais. La Tchétchénie déclare dorénavant le Red Bull « anti-islamique« . Rukman Bartiyev, le ministre tchétchène de la Santé a comparé la boisson énergisante à de la bière. 

Résultat : les canettes bleues subissent désormais le même régime que l’alcool. Les boissons énergisantes seront vendues seulement la journée, interdites aux mineurs et purement et simplement supprimées en période de ramadan

Des restrictions de plus en plus importantes

Cette interdiction rencontre la volonté de la partie plus conservatrice de la société tchétchène. Mais beaucoup de Tchétchènes contestent ces restrictions qu’ils estiment toujours plus importantes. 

La République de Tchétchénie a été formée en 1991, un mois avant la dislocation de l’Union soviétique. Les critiques volent à propos de la ligne politique dure du président Ramzan Kadyrov. On lui reproche de diriger la république d’1,1 millions d’habitants comme un village. On lui reproche aussi d’imposer sa propre vision de l’islam.

Source: http://www.rtbf.be/

01/08/2011

Bienvenue à Euros-Primeurs chez les collabos!

A boycotter, vite !!! En France, on n’aime pas les collabos, c’est connu et prouvé… Un jour, ils devront nous rendre des comptes; eux aussi.

FDF

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Pas d’alcool, pas de porc, des produits 100% halal, le premier supermarché de l’Oise qui ne propose que des produits certifiés vient d’ouvrir ses portes.

CREIL, EURO PRIMEURS, HIER APRÈS-MIDI. La clientèle était au rendez-vous des premiers jours d’ouverture de cette nouvelle enseigne.

CREIL, EURO PRIMEURS, HIER APRÈS-MIDI

Au supermarché Euro Primeurs, inutile de chercher l’alcool ou le porc parmi les allées, en revanche, de nombreuses marques contenant le mot halal, encore peu connues du paysage commercial français, remplissent les rayons. C’est une première à Creil, et dans l’Oise, la nouvelle enseigne de près de 1000 m2, est 100% halal. Sur l’imposante façade moderne ou le parking aménagé, situés à l’embranchement des routes de Chantilly et du boulevard Salvador-Allende, aucune pancarte n’indique pourtant cette spécificité.

A l’intérieur du magasin, seules quelques discrètes affichettes au rayon boucherie précisent que les mets sont certifiés halal.

Une initiative encore rare en France. Le commerce halal a connu un véritable boom ces dernières années. De nombreuses marques se sont converties à ce créneau porteur, à l’image du fast-food Quick de Nogent-sur-Oise ou des hypermarchés qui ont intégré des rayons halal à leurs commerces. Toutefois, la naissance d’un supermarché exclusivement halal, excluant certains produits de la vente, reste rare. « Il en existe très peu en France, signale Florence Bergeaud-Blacker, spécialiste à l’Institut de recherches sur le monde arabe et musulman et auteur du livre Comprendre le halal. Cela prouve que l’offre s’est diversifiée, les associations de consommateurs musulmans apparues dans les années 2000 sont pour beaucoup dans la progression de cette tendance commerciale. »

La première grande enseigne entièrement halal avait ouvert ses portes à Nanterre (Hauts-de-Seine) en mars 2010. Un succès immédiat, dont se satisfait aujourd’hui son patron : « La clientèle a augmenté, nous avons pu inaugurer une autre enseigne à Paris, notre projet est d’en ouvrir d’autres en Ile-de-France et de nous attaquer à la province. »

« Nous, on mise sur la certification halal. »

Source: http://www.leparisien.fr

06/07/2011

Mali: « Ne faites pas les hypocrites, on sait que vous buvez ! ».

J’ai trouvé le truc contre la construction des mosquées: ouvrir un bar à proximité !!! Allez: « hallal tienne » !

FDF

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Au Mali, des islamistes font la tournée des bars…

Pfffffffffffffffff. Encore de l’eau…

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Bamako: dans une rue caillouteuse et mal éclairée traversée par des rigoles d’eaux usées, un discret lampion rouge annonce l’Hôtel Mandarin dans la nuit bamakoise. Un établissement presque caché, à l’image des quelque cent autres « bars chinois » de la capitale malienne où l’on vient boire de l’alcool ou louer une chambre avec sa copine, sa maîtresse ou une prostituée.

A l’intérieur la poignée d’habitués du soir sont assis dans une salle minuscule plongée dans la pénombre. On distingue à peine leurs visages et les sachets de gin qu’ils versent dans les verres de bières Une décoration chinoise pend au plafond à côté du ventilateur qui disperse les cendres des cigarettes jetées au sol. Du rap français couvre le son de la télévision placée derrière le comptoir. Une soirée comme une autre pour ces hommes à l’abri de l’opprobre qui menace les buveurs comme une pluie d’orage dans ce Mali laïc mais musulman à 90%.

Jusqu’au moment où une dizaine de personnes entrent silencieusement et se dirigent droit vers le comptoir sans saluer. Etrange groupe. Des hommes âgés en tenue religieuse, des hommes en uniforme militaire, d’autres en vêtements de ville, une ou deux femmes. Le gérant chinois sort de nulle part, inquiet, et leur présente ses autorisations. Ils repartent. Ce sont des représentants du Haut Conseil islamique (HCI), de la société civile, de la mairie, de l’Office du tourisme et de l’hôtellerie (Omatho) et des forces de sécurité.

Depuis le mois de mai, des délégations similaires effectuent des descentes inopinées dans les établissements hôteliers des six communes de la capitale à fin de contrôler leurs autorisations. Une tournée des bars sans lever le coude décidée au ministère de l’Administration territoriale après la crise de foi d’une communauté musulmane.

« On caresse les islamistes dans le sens du poil »

A l’origine de cette affaire : le Flamboyant. Un bar-hôtel ouvert en 1996 par un député malien dans un quartier de la commune V, au sud du fleuve Niger. Au début des années 2000, la communauté musulmane locale bâtit une mosquée sur un terrain proche. Dès lors les fidèles n’auront de cesse de se plaindre de la proximité de ce gênant voisin où l’on consomme alcool et femmes. Deux rapports de l’Omatho – qui délivre les agréments – ont conclu que la coexistence ne posait pas de problème.

« La mosquée est venue après l’hôtel et les deux édifices sont distants d’une centaine de mètres », indique Moussa Martin Tessougue, responsable du district de Bamako. Son jugement est délicat. Un décret de 2006 stipule bien qu’« aucun établissement de tourisme ne peut être établi à proximité des lieux de culte », mais aucune distance n’est précisée. « C’est à nous d’apprécier. »

Désavouée, cette communauté de quartier a pourtant obtenu du gouvernement l’organisation du recensement après avoir étendu sa lutte aux bars clandestins. « Le ministère de l’Administration territoriale n’a pas tenu le même langage de fermeté à leur égard que la mairie », rapporte un connaisseur du dossier qui regrette que l’on « caresse les islamistes dans le sens du poil » et que « l’intolérance religieuse s’affirme de plus en plus au Mali ».

« Les wahhabites veulent conquérir l’Etat »

Au-delà de ce combat légitime pour la fermeture des bars qui ne respectent pas la loi, un certain nombre de religieux rêvent tout haut de la disparition pure et simple des lieux de vente d’alcool. Imam d’une mosquée de la commune VI à la barbichette blanche et doux comme un agneau, Saloum Traoré n’en est pas moins vindicatif et sans nuance à l’égard de ceux qui boivent. « Ils ne respectent personne, abandonnent l’école et ne veulent pas travailler », assène-t-il. Il est « à 100% » avec les protestataires de la commune voisine.

De là à imaginer un raz-de-marée humain prohibitionniste, il y a un pas que Gilles Holder ne franchit pas. « On est plutôt sur un enjeu local », analyse le chercheur de l’Institut de recherche pour le développement de Bamako, » même si on constate un empiètement de plus en plus ponctuel du religieux sur les lieux publics ».

La question des bars est loin de faire l’unanimité entre les organisations religieuses musulmanes. « Il y a une compétition interne entre les sunnites réformés [wahhabites, ndlr] qui sont à la tête du HCI et les associations malékites qui prônent un islam modéré, moins arabisé », explique l’anthropologue.

« Ces derniers acceptent l’Etat tel qu’il est alors que les premiers veulent le conquérir. »

A la tête d’Ançar dine, qui n’est pas une conserverie de poissons mais un mouvement religieux populaire, Ousmane Madane Haïdara s’est prononcé contre la fermeture des bars en période de ramadan souhaitée par d’autres. Cette fronde anti-bars, bien que limitée, doit être mise en relation avec l’évolution de la consommation d’alcool au Mali.

Dans la rue, la pub pour la bière moque l’hypocrisie malienne

Dans la rue ou au cinéma les Bamakois n’échappent plus aux publicités pour les différentes marques de bières brassées par Les Brasseries du Mali (Bramali). Derrière des slogans plats tels que « Appréciée au Mali et partout dans le monde », les alcooliers semblent lancer aux Maliens :

« Ne faites pas les hypocrites, on sait que vous buvez ! »

Une publicité pour la bière Guinness, dans les rues de Bamako (Fabien Offner).

Bramali a organisé en juin la Fête de la musique et sponsorise à tout va jusqu’aux compétitions de pétanque. « L’organisation d’événements progresse d’année en année », rapporte un responsable de Bramali qui tient à son anonymat. « La production augmente aussi », dit-il du bout des lèvres sans donner de chiffres.

« C’est un sujet délicat. »

Néanmoins, le Mali n’est pas l’Occident. « Il existe au Mali des interdits qui ne sont pas interdits pas la loi », sourit le responsable.

« Vous ne verrez jamais une fille dénudée en train de boire une bière sur nos publicités, et la télévision publique s’interdit de diffuser des publicités pour de l’alcool. Il y a autocensure. »

Même les buveurs sont contre la libéralisation de l’alcool

Dans cette société où la consommation d’alcool reste taboue, les bars chinois sont tout indiqués pour aller s’envoyer quelques blondes à l’abri des regards. Ils sont le plus souvent gérés par des Chinois pour le compte de propriétaires maliens. Des ouvriers, des instituteurs, de jeunes diplômés. « Il n’y a pas de profil type, explique Françoise Bourdarias. Les réseaux commerçant maliens étant particulièrement bien installés et influents, ces migrants ont cherché d’autres marchés et ont misé sur ce secteur inexploité ».

Au Mandarin le passage éclair de la délégation a délié les langues. « Mêmes les gens de la mosquée viennent ici ! » s’insurge un militaire à la retraite, client régulier selon qui « tu ne trouveras pas une famille où il n’y a pas un buveur ». Son voisin M.Kanté ne dit à personne qu’il boit « pour l’honneur de ma famille ». « Si on sait que tu bois, tu ne seras plus écouté et aucun père ne te donnera la main de sa fille », explique le militaire.

Aucun d’eux ne souhaite la libéralisation de la consommation d’alcool. Buveurs, ils n’en sont pas moins croyants, pratiquants et attachés aux traditions. M.Kanté veut simplement avoir le droit de se cacher dans « des lieux propres et dignes ».

Photo : une publicité pour la bière Guinness, dans les rues de Bamako (Fabien Offner).

Source: http://www.rue89.com/

30/06/2011

Toulouse: un récidiviste sexuel à nouveau devant les juges…

« J’avais bu », dit le monsieur. Ce n’est pas un bon musulman. En attendant, avec déjà 17 condamnations à son actif, il ne prendra que 4 mois, Nordine… Il se serait prénommé Gérard, c’était 4 ans.

Pas belle la justice?

FDF

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Rue d’Artagnan, 21 h 45, fin mars 2011. Magalie, 20 ans, est chez elle avec des amies. Le temps d’une cigarette, les étudiantes sortent dans la cour de son appartement situé en rez-de-chaussée. Un individu rode. En rentrant, peu rassurée, Magalie décide de fermer sa fenêtre. L’homme est devant elle en train de se masturber. « Il m’a vu, puis il a ri ». Ce lundi, aux comparutions immédiates, Me Reynaud-Eymard représente la victime : « Ma cliente l’a vu errer près de chez elle pendant deux mois ». Le 20 mai, la jeune femme alerte la police. Le suspect est interpellé. Nordine, 40 ans, a casier judiciaire lourd : 17 condamnations, dont 6 ans d’emprisonnement pour viol. « Je ne suis pas fier de ce que j’ai fait. J’avais bu. C’était une énorme erreur », se justifie l’exhibitionniste. Quand le président lui demande ce qui aurait pu se passer, l’homme répond « je n’en sais rien ». Pour calmer ses pulsions, il avait recours aux prostituées. Ce jour-là, il n’avait pas d’argent. Le parquet réclame 8 mois ferme. Il est condamné à 4 mois ferme. Il devra également reverser 1 000 € de dommages et intérêts à sa victime. Magalie qui a entre-temps déménagé pour un appartement en hauteur.

Source: http://www.ladepeche.fr/

23/06/2011

Ah, ces « jeunes » !

Il y a bien des solutions, pour les calmer, ces petits cons. Puisque qu’ils échappent aux autorités, qui de mieux placés pour résoudre le problème ? Les victimes elles-même… Sans violence: ils se mettent à plusieurs, les attendent, les attrappent et les livrent à la Police. Inutile de sortir les fusils d’assaut… Ce sont des « jeunes »…

FDF

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Saint-Jory. Une bande de jeunes harcèle les commerçants !

 

 

 

Quelques commerçants du village de Saint-Jory sont la cible d’une petite bande de jeunes adolescents. Une habitude puisque ce phénomène réapparaît régulièrement dans le village.

À Saint-Jory, petite ville de 5 000 habitants, de plus en plus de commerçants se plaignent des incivilités dont ils sont la cible.

Vols de bouteilles, vitrine cassée, menaces verbales, feu sur les plaques de professionnels de la santé… Très régulièrement, des petites bandes se forment dans les rues de la ville et tentent de faire main basse sur tout ce qui peut les intéresser. L’alcool, essentiellement. En ce moment, c’est une petite dizaine de jeunes adolescents qui traînent leur misère dans les rues. « On a organisé récemment une réunion pour connaître le ressenti des commerçants… Ils n’étaient pas tous là, mais on remarque que la liste de méfaits qu’ils dressent est déjà longue », explique le président de l’association des commerçants de Saint-Jory, Romain Mouynet. Le long de la départementale qui traverse le village, la responsable du petit Casino a fait les frais de ces visites surprises. « À deux reprises, un peu avant la fermeture, ils sont arrivés à une dizaine. J’en avais six devant moi, et deux de chaque côté. Ils venaient voler des bouteilles d’alcool », raconte-t-elle. Dernièrement, elle a foncé au bar du coin. Les habitués sont venus mettre un terme à ces agissements. Juste en face, Gérard Ruiz, le boucher qui vient à peine d’ouvrir son magasin, a, lui aussi, reçu de la visite en fin de semaine dernière. « C’était le soir, vers 23 heures. On travaillait avec mon employé en prévision de l’ouverture. On a entendu du bruit à l’arrière des laboratoires », raconte Gérard Ruiz. En passant la tête, il se retrouve face à face avec un groupe de jeunes attirés par un stock de cartons de vin. « On leur a demandé de sortir. ça n’a pas été simple ! », explique le boucher. Après avoir proféré quelques menaces, les jeunes s’en vont. Le vendredi matin, jour de l’ouverture, sa vitrine avait été brisée. « On pourrait penser que cela à un rapport », lâche-t-il en haussant les épaules. La police municipale, forte de trois agents, et le maire de la commune, Henri Miguel, assurent avoir ces ados à l’œil. Mais, la municipale, tout comme le maire, se retrouvent démunis face à des adolescents. « Que peut-on faire ? », se demande le président de l’association des commerçants. Il devrait réunir très prochainement ses troupes pour rédiger un courrier. Une lettre qui, récapitulant tous les faits, sera envoyée directement au préfet.


« Un problème »

« On ne prend pas ce problème à la légère, on est vigilant. On sait que tout peut s’amplifier », assure le maire de Saint-Jory, Henri Miguel. Depuis plusieurs années, déjà, des bandes de jeunes se succèdent à intervalles réguliers sur la commune. « Ils ne savent pas quoi faire. Pourtant, ils ont tout à leur disposition : la maison des associations, le city stade, etc… Mais, ils cassent tout», note le maire.

Source: http://www.ladepeche.fr

29/12/2010

La face cachée de l’Arabie Saoudite: sexe, drogue et alcool…

Les momos de base se rebiffent. L’intégrisme et la charia, ils ne connaisssent que ça. Et pendant ce temps, dans les « hautes sphères » de l’islam. Faites comme je dis…

FDF

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Jaillissant comme un geyser, la source Wikileaks, intarissable, a inondé le monde de sa transparence qui ne transige avec aucun secret, qu’il soit diplomatique ou d’alcôve, à l’image d’une note révélant la face cachée de l’Arabie Saoudite, ou quand, à la tombée de la nuit, sous le voile austère du conservatisme wahhabite, les interdits volent en éclats dans le huis-clos des riches demeures.

Derrière les luxueuses portes closes, la jeunesse dorée oublie les règles élémentaires de bienséance et s’abandonne à une vie nocturne palpitante et effrénée, où drogue, sexe et alcool font bon ménage, nombre de résidences étant équipées en sous-sol de bars, de discothèques, et autres centres de loisirs, quand certaines grandes fêtes vont jusqu’à s’offrir un extra : des prostituées

Au royaume du rigorisme, où seuls les nantis ont les moyens de se soustraire aux lois répressives en vigueur, pourtant intraitables avec la consommation de drogue et d’alcool, cette frénésie festive est un secret de polichinelle, les membres de la famille royale comptant parmi les initiés de marque de ces soirées à thème.

« Cette liberté n’est possible que parce que la police religieuse évite les fêtes qui se tiennent en présence ou sous le haut patronage des membres de la famille royale ou des cercles qui lui sont proches » stipule le mémo de Wikileaks, qui décrit avec force détails une fête costumée d’Halloween réunissant plus de 150 convives, âgés de 20 à 30 ans, dont des membres du personnel du consulat américain, avec « alcool à gogo, jeunes couples dansants, et un DJ ».

Les tabous n’existent que pour être transgressés, c’est bien connu, mais la désobéissance qui n’encourt aucun risque est un privilège réservé à une élite, en l’occurrence saoudienne qui, drapée dans sa respectabilité et calfeutrée dans des nids douillets, peut se payer le luxe de s’étourdir dans des fêtes très privées.

Source: Oumma.com

04/11/2010

Agression au couteau. C’est pas de sa faute, il est sous curatelle…

Quand je lis ce genre d’info et que j’en vois l’issue judiciaire; je me révolte. Et il y a de quoi… Le type met un coup de couteau à un restaurateur mais ce n’est PAS DE SA FAUTE: il est « sous curatelle ». Sous curatelle renforcée, en outre. On doit se poser une question: qu’est-ce qu’il foutait dehors ???

La curatelle est donc comme la délinquance issue de l’immigration: ça autorise bien des choses… Et la loi ferme les yeux.

Lamentable.

FDF

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Agen.

Coup de couteau au restaurateur : 9 mois requis… Mais « pour la forme »…

Le restaurant Le Tempo était bondé en ce soir du vendredi 4 septembre 2010. Luigi Moiola, figure locale de la restauration agenaise, se pressait entre les tables quand il remarque un individu devant la porte de son établissement, occupé à installer deux des chaises restées à l’extérieur. Des bouteilles d’alcool à moitié vides gisent à ses pieds. L’homme est visiblement ivre et le restaurateur, après lui avoir demandé de partir sans succès, lui assène un coup de poing à l’issue d’un vif échange verbal. Puis il rentre pour appeler la police. Mais l’intrus le suit et le poignarde dans le dos.

Opéré d’urgence, Luigi Moiola garde encore des séquelles de ce coup de couteau.

Hier, l’agresseur était jugé par le tribunal correctionnel d’Agen, escorté de trois infirmières de l’hôpital psychiatrique où il est soigné, ainsi que de sa responsable de curatelle. Me Briat, avocat de la victime, soulignait que le prévenu n’avait pas frappé à l’aveuglette et que la scène s’était passée en présence de plusieurs familles, violence gratuite en plein centre ville.

La représentante du Ministère public abondait dans ce sens, écartant toute notion de légitime défense. «Il est absolument disproportionné de sortir un couteau à cran d’arrêt alors qu’au moment où il a porté le coup, il n’y avait plus de danger pour le prévenu». Tenant compte toutefois d’une atténuation de sa responsabilité, elle requérait 18 mois de prison dont 9 mois avec sursis et mise à l’épreuve avec obligation de soins. (Il est déjà en soin, le mec, non? FDF)

Me Lagarde, pour la défense, revenait sur le fait que son client est sous curatelle renforcée et placé en hospitalisation d’office depuis début octobre. «Il ne doit pas être jugé comme en pleine possession de ses facultés. A t-il voulu vraiment faire mal ou s’est-il senti menacé ?». Elle plaidait le renvoi des fins de la poursuite.

Le tribunal a mis l’affaire en délibéré.

Source: http://tinyurl.com/3y5mqhb

22/10/2010

Les cosmétiques, premières cibles du vol à l’étalage…

Surprenant, non?

FDF

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La France, ce pays marqué par la misère sociale où les soins de beauté, l’alcool et le tabac sont volés avant l’alimentation…

Source: http://tinyurl.com/39n2ywj

01/09/2010

Russie: « Pour aider l’Etat, fumez et buvez! »

Chez nous, en France, on ne nous le dit pas aussi directement… Mais l’idée est la même… On a du bol, quand-même. Et en plus, on nous impose du halal; nourriture oh combien saine et pure…

FDF

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Le ministre russe des Finances, Alexeï Koudrine a déclaré que plus ses concitoyens consommaient de la vodka et des cigarettes, des produits taxés, plus ils aidaient à la résolution de «problèmes sociaux» du pays.

Et en plus, nous sommes écolos…

01.09.2010

L’alcool et le tabac font plus de 500 000 morts par an en Russie.

« Pour que les gens comprennent: celui qui boit de la vodka et celui qui fume aide plus l’Etat. Si tu fumes un paquet de cigarettes, alors tu as donné des fonds pour règler les problèmes sociaux comme le soutien à la politique démographique, le développement de services sociaux, le soutien à la natalité », a-t-il dit, selon l’agence Interfax.

Cette prise de position est pour le moins étonnante, alors que la vodka et autres alcools forts sont à l’orgine d’un demi-million de morts chaque année en Russie.

Cette mortalité se répercute sur l’espérance de vie des hommes (60 ans d’après l’OMS), qui est inférieure à celle de pays pauvres comme le Bangladesh ou le Honduras, selon des estimations officielles.

Pour tenter de lutter contre cette surmortalité, la ville de Moscou a introduit à partir de mercredi une interdiction de la vente d’alcools forts entre 22 h et 10 h.


Source: http://tinyurl.com/39qndln

01/08/2010

Les musulmans américains dans le commerce d’alcool.

« Sourate 5 :
92. 0 croyants ! le vin, les jeux de hasard, les statues et le sort des flèches* sont une abomination inventée par Satan ; abstenez-vous-en, et vous serez heureux. »

Ah les cons !

FDF