Francaisdefrance's Blog

20/01/2012

Verdict « mesuré » pour la «tournante» de Toulon !

Dessin d’illustration…

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Rien de tel pour encourager la récidive… Mais à quoi pensent nos hommes de loi? Les peines exemplaires sont elles réservées aux automobilistes pris en infraction du code de la route? On pourrait le penser. Ca me tue, ça…

Les coupables sont Tunisiens. Il est vrai qu’en ce moment, les Tunisiens ont la cote… (voir mon récent billet sur l’accueil des nouveaux « migrants » venus de Tunisie…). Va t’on leur accorder aussi le « droit du viol »?

FDF

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Ali Ghammouri, est en fuite depuis près de deux ans…….a été condamné par défaut criminel à douze ans de réclusion..
Ali  en fuite ?????       BEN VOYONS     PAS TRÈS COURAGEUX  LE PETIT ALI
Ls cousins Sami et Farid ont été reconnus coupables de non-empêchement de crime et condamnés à deux ans de prison.
« Un idiot, tellement saoul que quand Ali lui dit qu’il peut monter dans la voiture avec la jeune fille, il y va. Mais les cris, les larmes et l’alcool ne lui ont pas permis physiologiquement de perpétrer ce viol. »

JC JC…

Verdict tardif mais empreint de clémence, l’avant-dernière nuit au palais de justice de Draguignan, dans l’affaire du viol en réunion à Toulon, impliquant cinq cousins d’une famille tunisienne ayant fait souche à Hyères.
Ali Ghammouri, en fuite depuis près de deux ans, et contre lequel l’avocat général avait requis vingt ans, a été condamné par défaut criminel à douze ans de réclusion.
Cette peine reste suspendue au-dessus de sa tête pendant les vingt prochaines années. Si, dans ce laps de temps, il est interpellé en vertu du mandat d’arrêt international lancé contre lui, la peine sera considérée comme non avenue et il sera rejugé par la cour d’assises.

Peines à la baisse
Douze à quinze ans avaient été requis contre Ramzi Ghammouri, poursuivi comme son cousin Ali pour le viol en réunion de l’ex-petite-amie de celui-ci, à l’arrière d’une voiture sur un parking du cap Brun à Toulon, la nuit du 3 octobre 2009. Il a été condamné à neuf ans d’emprisonnement.
Leurs cousins Sami et Farid ont été reconnus coupables de non-empêchement de crime et condamnés à deux ans de prison.
La cour n’a pas décerné de mandat de dépôt contre eux. Ils attendront donc libres leur convocation devant le juge de l’application des peines.

Défense efficace
Pour la défense de ces deux jeunes gens, Mes Anne-Claude Dunan et Véronique Lipari ont souligné que l’ordonnance de mise en accusation ne leur avait rien épargné, ajoutant aux poursuites pour non-empêchement de crime celles de non-assistance à personne en danger et de non-dénonciation de crime.
Toutes deux ont souligné que cette accumulation de charges était redondante. La cour les a entendues, en acquittant les deux cousins des deux derniers chefs de poursuites.
Quant au bâtonnier Michel Mas, ce n’est pas en vain qu’il a plaidé la cause de Ramzi Ghammouri.
Il a mis en relief son casier judiciaire vierge, ses efforts d’intégration et l’absence d’éléments pervers dans sa personnalité. S’agissant du viol qui lui était reproché, Me Mas a développé la thèse de son client.
« Un idiot, tellement saoul que quand Ali lui dit qu’il peut monter dans la voiture avec la jeune fille, il y va. Mais les cris, les larmes et l’alcool ne lui ont pas permis physiologiquement de perpétrer ce viol. »
La cour a préféré la version de la victime.

Source: http://www.varmatin.com/

15/01/2012

Appel à témoins dans l’affaire du violeur en série parisien !

Le moins que je puisse faire est de relayer.

FDF

http://tinyurl.com/7pgjcab

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Cliché tiré d'une caméra de videosurveillance d'un distributeur du XIV.
Cliché tiré d’une caméra de videosurveillance d’un distributeur du XIV.

La police parisienne a diffusé des photos de l’homme recherché pour avoir commis trois viols, deux à Paris et un à Etampes, à la fin du mois de décembre. Un numéro vert a été mis en place.

Trois viols d’une extrême violence commis par le même homme en seulement cinq jours: les enquêteurs parisiens sont sur le qui-vive. Un homme d’une trentaine d’années, de type africain, est activement recherché après s’en être pris à trois jeunes femmes, à Paris et à Étampes (Essonne) fin décembre. L’État-major de la Police Judiciaire de Paris a décidé vendredi de diffuser des photos de cet homme, après la publication, jeudi, d’un portrait-robot du suspect dans Le Parisien. «Ce portrait ne ressemble pas à l’homme que nous recherchons, nous avons donc décidé de publier une photo du suspect», a indiqué dans les locaux du 36 quai des Orfèvres, Christian Flaesch, directeur de la PJ. Ce dernier a admis que l’individu recherché est «dangereux».

Cliché tiré d'une caméra de videosurveillance d'un distributeur du XIVe.
Cliché tiré d’une caméra de videosurveillance d’un distributeur du XIVe.

Ces photos sont tirées de caméra de vidéosurveillance d’un distributeur bancaire du XIVe arrondissement de Paris, où le suspect a contraint l’une de ses victimes à retirer de l’argent. Selon les indications données par la PJ, le suspect, de corpulence normale, mesure entre 1m70 et 1m75. Il a le crâne rasé, le visage ovale aux traits fins, et porte des scarifications au niveau des deux tempes, peut-être en forme de losange. Aux moments des agressions, il était vêtu d’un blouson de cuir ou daim marron foncé, d’un jean bleu foncé et portait des chaussures noires.

Le suspect est droitier, fumeur, et était alcoolisé au moment de certains faits. Il s’exprime très bien en Français. Toute personne susceptible d’apporter des informations sur cet homme est invité à contacter le numéro vert 0800 00 27 08 ou a adresser un courriel à ppj-appelatemoin@interieur.gouv.fr

La première agression remonte au 23 décembre, vers les 1h30 du matin. Près de la porte d’Orléans, dans le XIVe, Camille*, une jeune femme de 29 ans blonde aux yeux bleus, rentre chez elle après une soirée entre amis. Alors qu’elle ouvre sa porte, un homme armé lui saute dessus et parvient à rentrer avec elle dans l’appartement. Après lui avoir soutiré de l’argent, il la viole, alors que des membres de sa famille dorment dans les pièces d’à côté. «Il a menacé d’aller s’en prendre à sa famille. Elle était terrorisée, alors elle n’a pas opposé de résistance», confie une source policière. Il force ensuite sa victime à se rendre à un distributeur pour se faire remettre de l’argent. Les enquêteurs disposent d’images du suspect tirées d’une caméra de cette banque.

Poignardée alors à dix-neuf reprises

Le même jour, à 8h30 heures du matin, l’individu attaque une autre jeune femme, cette fois dans le XVe, près du métro Convention. La victime, jeune trentenaire, est elle aussi blonde aux yeux bleus. Il parvient à lui soutirer sa Carte bleue et son code puis essaye d’abuser d’elle. Mais elle se débat: son bourreau la poignarde alors à dix-neuf reprises, avant de la violer. Laissée pour morte, elle parvient à ramper jusqu’à la loge de sa concierge qui prévient les secours. Hospitalisée dans un état grave, elle a pu quitter récemment l’hôpital.

Le 28 décembre, vers l’heure du déjeuner, l’individu se trouve dans une cité d’Étampes. Là, après avoir abordé une adolescente de quinze ans, en lui demandant notamment si «elle connaît une certaine Noumia*», il la force, sous la menace d’un couteau, à monter chez elle. Mais la jeune fille se débat: l’homme la poignarde alors deux fois puis tente de l’étrangler, avant de la violer. Il quitte ensuite les lieux après s’être excusé et lui avoir dérobé de l’argent, comme pour ses deux autres victimes.

Selon nos informations, c’est ce dernier crime qui pourrait intéresser plus particulièrement les enquêteurs. Des images tirées de caméras de la municipalité montrent le suspect marchant d’un pas plutôt assuré dans le quartier. «Nous ne souhaitons pas tirer de conclusions hâtives. Mais il est vrai que sur les images, il a l’air de bien connaître les lieux. Et il y a la piste de cette jeune femme, “Noumia*” qu’il recherchait. S’agissait-il d’un prétexte pour aborder sa victime ou connaît-il réellement cette femme? L’enquête le déterminera.»

*Les prénoms ont été modifiés.

Plus d’infos en vidéo sur BFMTV.com

Source: http://www.lefigaro.fr/

13/01/2012

Violeur en série: encore un des bienfaits de la diversité…

Des violeurs en série, il y en a de toutes origines. Mais la faute à qui si celui-ci, très dangereux, est encore une « chance pour la France » et fait partie d’une « minorité » qui, ma foi, fait parler d’elle un peu trop souvent. Lisez donc les faits divers et compte rendus d’audience des tribunaux dans la presse. Je l’ai fait encore ce matin: trois audiences; les trois accusés ont des noms à consonance maghrébine… Et ce sont des « minorités », dit on… Heureusement qu’ils sont là pour donner du travail à notre justice…

Minorités visibles, dit on; visible ne veut pas dire par la couleur de peau. C’est surtout par leurs actes.

FDF

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Pour être visibles, elles sont visibles, les minorités…

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Paris. Un violeur en série « très dangereux » traqué par la police

Activement recherché, un homme est soupçonné d’avoir agressé sexuellement deux femmes à Paris et une troisième à Etampes, fin décembre. Un portrait-robot du suspect a été établi et publié par le journal Le Parisien.

Le 23 décembre dernier, l’homme aurait violé puis poignardé deux femmes d’une trentaine d’années. Le 28 décembre, il aurait utilisé les mêmes méthodes pour abuser d’une jeune fille âgée de 15 ans.

Considéré comme « très dangereux » par les enquêteurs, l’homme « devient très violent lorsque les victimes se débattent ». A chaque fois, les jeunes femmes ont été suivies ou amenées de force chez elles. L’agresseur leur a volé la carte bancaire avant de les violer puis de les poignarder jusqu’à 20 reprises. Après ses agressions, il s’est excusé auprès de ses victimes. Autre information importante divulguée par Le Parisien : l’homme semble ne s’en prendre qu’à des jeunes femmes de type européen, aux cheveux et aux yeux clairs. Il « a aussi beaucoup parlé avec ses victimes, leur demandant notamment leur appartenance religieuse ou leur nationalité« .

Un portrait-robot a été établi

Reconnu formellement par les trois victimes, l’homme est de type africain, âgé d’une trentaine d’années, de corpulence normale, mesurant 1,80 m et a le crâne rasé. Il porte des cicatrices sur les tempes, pouvant s’apparenter à des scarifications. Les enquêteurs ont comparé son profil à celui de Guy Georges, le « tueur de l’Est parisien » qui a sévi entre 1991 et 1998.

Source : Le Parisien

20/11/2011

Meurtre d’Agnès: le coupable est encore un « sursitaire »…

C’est à la fois horrible et révoltant. Le meurtrier d’Agnès était encore un délinquant sexuel en sursis et en liberté. Malgré son jeune âge, cela ne l’a pas empêché de commettre ce crime écoeurant. On doit se poser la question, cette fois: combien de cas de ce genre existent encore ? Combien de délinquants sexuels sont en liberté (soi-disant surveillée) ?

Il y a un vaste problème, au niveau suivi judiciaire, là… Le meurtrier est mineur? Et alors? Au moment de son crime il était responsable. Aucune excuse!

A chaque fois qu’un malade sexuel récidive, c’est à ce moment là qu’on vient pleurer.

Pauvre gamine. Elle a du en baver avant de mourir…

Il y aurait des lois fermes à pondre et à appliquer dans ce domaine. Et une justice implacable et exemplaire…

FDF

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Le parquet de Clermont-Ferrand a annoncé la mise en examen pour assassinat et viol du lycéen suspecté du meurtre d’Agnès, la collégienne du Chambon-sur-Lignon dont le corps a été retrouvé calciné dans un bois. Selon le parquet, l’acte était prémédité et a été « extrêmement violent et brutal« .

Agnès a été  tuée « de façon extrêmement violente et brutale ». C’est avec cette terrible déclaration que le procureur de la République de Clermont-Ferrand a annoncé samedi la mise en examen pour « assassinat et viol » du lycéen de 17 ans soupçonné d’avoir tué Agnès, une jeune collégienne du Chambon-sur-Lignon (Haute-Loire) et d’avoir mis le feu à son corps. 

Et au-delà de cette accusation, le procureur a commencé à donner de plus amples détails sur la mort de la collégienne lors d’une conférence de presse, insistant sur la préméditation de l’acte. Selon lui, le lycéen s’était muni d' »objets » en vue d’assassiner sa victime. « Nous avons dans le dossier des éléments qui permettent d’affirmer que c’était prémédité », a-t-il dit. « Il a reconnu les faits sans s’expliquer sur ses motivations pour l’instant… La vérité est évolutive, il a fait de très longues déclarations depuis sa dénégation totale, mais pas d’explication cohérentes sur les faits« , a encore dit le magistrat, ajoutant que le mineur était « très froid et sans émotion« . Auparavant, lors de sa garde à vue, le suspect avait reconnu qu’il s’était promené avec la jeune victime le jour de sa disparition et a avoué l’avoir « bousculée« .

Issu d’un milieu normal

Le passé judiciaire du lycéen en garde à vue, élève de Première dans le même établissement que la jeune fille, dévoilé dès vendredi par TF1News a également été confirmé : il avait été condamné l’an dernier à quatre mois de prison avec sursis pour agression sexuelle. Et, selon le parquet, Le lycéen était sous contrôle judiciaire depuis fin 2010 pour cette agression sexuelle. La victime du jeune homme d’origine gardoise, qui avait 16 ans au moment des faits, était mineure. Il est en attente de son procès dans cette affaire, a-t-on ajouté.

Le procureur dela République de Clermont-Ferrand est également revenu sur cette précédente affaire lors de sa conférence de presse. « La fois précédente, les circonstances étaient identiques. C’était la même chose sauf que la victime est restée en vie« … Depuis cette première agression sexuelle, « Il avait un contrôle judiciaire extrêmement strict qu’il respectait. Il était suivi par un psychiatre au Puy-en-Velay, puis par un psychologue dans l’établissement », a-t-il ajouté, insistant sur le fait que le lycéen avait été jugé réinsérable dans l’établissement. Les expertises ont établi « qu’il ne présentait pas de dangerosité, mais la psychiatrie n’est pas une science exacte ». Issu d’un milieu « normal » avec un père professeur, une mère comptable et deux soeurs, le jeune homme avait été « sevré » de son « problème de stupéfiants » « depuis son passage en maison d’arrêt », selon le procureur, et « il ne consommait pas d’alcool dans l’établissement ».

Une marche blanche dimanche

Au-delà de ces dernières déclarations qui font froid dans le dos, l’enquête poursuit son cours. Même si le corps n’a pas encore pu être formellement identifié, les enquêteurs n’ont aucun doute : les restes calcinés retrouvés vendredi soir près du Chambon-sur-Lignon, en Haute-Loire, sont bien ceux d’Agnès, la collégienne disparue depuis mercredi. Dans la matinée de samedi, avant la levée du corps, la police scientifique a procédé à des relevés dans cette zone boisée et escarpée, à l’abri d’une bâche bleue les protégeant des regards des journalistes, tenus à distance. Les recherches s’étaient concentrées vendredi soir dans la forêt située près du collège où était scolarisée la jeune Agnès, sur les indications d’un lycéen de 17 ans placé en garde à vue dans cette affaire.

Et c’est donc en suivant ces indications que les enquêteurs ont retrouvé le corps. Une clef et un bouton ayant résisté à la calcination ont été retrouvé à proximité, mais ils n’ont pas pu être identifiés par les parents de la victime. Néanmoins, « c’est son corps. Tout concorde. Nous l’avons annoncé aux parents« , a affirmé un enquêteur samedi.

Samedi matin, la petite ville de 2800 habitants était sous le choc. « C’est terrible. C’est une telle horreur qu’on ne peut pas en parler. Je n’ai pas dormi de la nuit, on pense aux parents« , a réagi Clémence, 87 ans, sur le marché, seule place un peu animée du Chambon-sur-Lignon, sous la pluie. « Marche blanche dimanche 10 heures. Départ devant la mairie en hommage à Agnès« , pouvait-on lire dans les vitrines des commerçants. Aucun dépôt de fleurs ou photos n’était visible aux abords du Collège-lycée cévenol, établissement privé sélect où étaient scolarisés les deux jeunes.

Source: http://lci.tf1.fr/

14/11/2011

« Et ça continue, encore et encore.. »

« Et ça continue, d’accord d’accord, quelque chose vient de tomber… »

(Paroles empruntées à Cabrel qui collent bien avec le billet ci-dessous)…

Très sympa, notre justice, avec cette « chance pour la France » qui a été « tenté par le mal » pour violer sa belle-soeur mineure.

Un moment d’égarement et d’éloignement du coran, sans doute… Pauvre Akim, manipulé, en plus… Il devrait sortir de prison d’ici deux ans. Fait attention, Akim. Que le démon de la récidive ne t’approche pas de trop…

Affaire à soumettre à l’Institut pour la Justice. Je m’en occupe.

FDF

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Nîmes: Les jurés ont condamné Akim Imre à 5 ans de prison,  un verdict de clémence pour le viol de sa belle-sœur.


Un mari parfait. Un compagnon attentionné. Un père de substitution admirable… Et pourtant, elle est en instance de divorce ! Hier, à la barre des témoins, l’épouse d’Akim Imre, détenu depuis juin 2008 pour le viol de la sœur de celle-ci, n’a pas tari d’éloge à l’égard de son futur ex-mari.

Dans le box, Akim Imre l’avait précédé dans le concert des louanges. Une véritable déclaration d’amour à l’attention de celle qui l’a toujours soutenu. Même comportement de la part de toute la famille de la victime, qui préfère croire à la totale innocence d’Akim Imre. Il faudra d’ailleurs faire sortir tout ce petit monde de la salle d’audience quand la victime viendra raconter les conditions dans lesquelles elle dit avoir été violée à 16 ans.

« J’habitais chez ma sœur. Son mari me faisait des avances et des compliments un peu trop exagérés. Le 5 mai 2008, alors que ma sœur était partie à Marseille vers 7 heures, il est entré dans ma chambre. Il m’a forcée… » Des traces de sperme appartenant à l’accusé ont été prélevées dans le corps de la jeune femme. Malgré tout, Akim Imre a, durant toute l’instruction, contesté avoir eu un rapport sexuel avec la mineure.

Au cours de ces deux jours d’audience, il a enfin admis avoir eu “une très courte relation” (sic). « On s’est retrouvé bouche à bouche, elle m’a attiré, je me suis rendu compte de ce qui se passait et je me suis retiré. Je n’ai pas dit la vérité par rapport à mon épouse et à ma morale. Je reconnais que j’étais maladroit dans mes déclarations, j’ai été tenté par le mal, je suis tombé dedans. J’ai été manipulé. »

Le dos tourné à la salle d’audience, jamais l’accusé ne posera les yeux sur la jeune fille. Malgré la requête de l’avocate de celle-ci, il détourne encore le regard. « Sa propre famille et Akim Imre n’ont eu de cesse de la traiter d’allumeuse et de dragueuse. Elle a seulement une personnalité affirmée et cherche à s’en sortir . » Avec conviction et émotion, Me Khadija Aoudia martèle la solidité du témoignage de sa cliente face aux quatre versions proposées par l’accusé depuis sa mise en détention. « Pour assouvir ses fantasmes, il l’a souillée. Une partie d’elle s’en est définitivement allée ».

A son tour, l’avocat général souligne la cohérence des propos de la victime. « Elle n’a jamais varié dans ses déclarations.  » Comme la partie civile auparavant, l’accusation admet qu’il n’y a pas eu de violence physique. « Cela ne signifie pas qu’il n’y ait pas eu viol. La contrainte morale et la surprise ne sont en revanche pas contestables.

 » Fustigeant le système de défense de l’accusé qu’il juge absurde, Denis Mondon requiert 8 ans de prison assortis d’une interdiction définitive du territoire français. Pas de trace de coups, pas de bleus… Pour Me Pascal Griffoul donc pas de rapport forcé. La défense assure qu’Akim Imre n’a pu résister à l’attitude charmeuse de l’adolescente. En plaidant l’acquittement, l’avocat assure : « Des viols imaginaires, ça existe ! ».

Après délibéré, les jurés ont condamné Akim Imre à 5 ans de prison. Après 3 ans de détention préventive, l’accusé devrait pouvoir retrouver très vite la liberté.

Source: http://www.midilibre.fr/

07/11/2011

Pourquoi je suis POUR le rétablissement de la peine de mort…

Tout simplement pour ce qui suit… C’est de plus en plus souvent. Puisqu’on ne peut pas effectuer de « prévention », allons y pour la répression; mais exemplaire !!! Le principal étant d’éradiquer complètement cette forme écoeurante de « délinquance »… La soi-disant « folie » de ces criminels est trop souvent et trop facilement l’excuse plaidée devant les cours de justice. D’où les récidives…

FDF

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Gard: la fillette tuée à coups de couteau !

Portée disparue depuis samedi soir, Océane, fillette de 8 ans, a été retrouvée à trois kilomètres de son domicile de Bellegarde (Gard). 

Océane, fillette de 8 ans habitant à Bellegarde (Gard), portée disparue depuis samedi soir, a été retrouvée morte dimanche vers 10h30, au bout d’une vigne, « deux ou trois kilomètres du domicile familial ». 

L’enfant porte « des traces de coups de couteau » et on « s’oriente clairement vers une piste criminelle« , a indiqué ce dimanche le procureur de la République à Nîmes, Robert Gelli. 

Le corps a été découvert « en partie dénudé, mais pas complètement, par une riveraine des lieux, qui ne participait pas à la battue », a-t-il ajouté. 

« A cet instant, on ne peut pas dire si la fillette a été violée », a précisé le procureur. « Il faut attendre les résultats de l’autopsie », qui devrait avoir lieu lundi, a-t-il précisé. 

La fillette avait disparu de son domicile samedi peu après 19h, alors qu’elle était sortie, à la demande de son père, pour aller chercher un jeu vidéo chez des voisins, habitant à quelque 300 mètres de là, a expliqué la porte-parole de la gendarmerie de Languedoc-Roussillon. 

Ne la voyant pas revenir, ses parents avaient immédiatement donné l’alerte et un important dispositif de recherches avait été mis en place. Une quarantaine de militaires de la section de recherches de Nîmes, assistés notamment d’un hélicoptère, avaient entrepris de fouiller les alentours du village, et de sonder un étang et des canaux proches. 

Les recherches s’étaient poursuivies dimanche matin, avec l’aide de 130 villageois venus spontanément apporter leur concours aux équipes de secours. 

Les parents et les grands-parents de la petite victime ont été entendus par les enquêteurs en début d’après-midi. 

Source: http://www.lexpress.fr/

19/10/2011

Affaire Banon classée: le chèque a du être de taille…

Qu’est ce que l’on nous a pris pour des cons avec cette sombre affaire DSK… Chapeau au dernier nommé! Il a su grâce à la surmédiatisation se faire adouber et passer pour une victime… Le PS, il avait déjà fait une croix dessus. Pas besoin d’émoluments d’élu pour se vautrer dans le fric, le Dominique… Ni pour basculer sur un canapé tout ce qui remue et porte une robe… C’est une maladie, a t’on dit. C’est la fatalité des grands malades: il n’existe aucune guérison possible. Alors, on pardonne… C’est normal. Et l’on stigmatise toutes ces provocatrices qui ont osé toucher à son « intégrité ». 

Mais bon: ici bas, tout s’achète, même le silence et la renonciation; il suffit d’y mettre le prix.

C’est pourquoi, je ne me fais pas de souci pour Tristane Banon: son avenir est assuré… Celui de DSK aussi, par le fait. (Elle vient d’ailleurs de sortir un livre: http://tinyurl.com/68j9v7n)

 Quel monde pourri…

FDF

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« C’est à pas de loup que Tristane Banon s’est présentée sur le plateau de la matinale de Canal+ ce mercredi matin. La jeune écrivain, qui accusait Dominique Strauss-Kahn de tentative de viol en 2003, a annoncé qu’elle ne se constituerait pas partie civile.

Ce retrait siffle la fin de l’affaire.

Elle a toutefois rajouter qu’elle continuerait pour militer en faveur de loi plus protectrice à l’égard des femmes victimes.

« Le parquet a fait quelque chose d’unique : il dit qu’il y a eu agression sexuelle mais qu’il ne peut pas poursuivre. Il (Ndlr : DSK) est officiellement un agresseur sexuel, même si je continue à dire que c’était une tentative de viol », a assuré Tristane Banon.

« Je ne vais pas me constituer partie civile, car je voulais être reconnue dans mon statut de victime et c’est fait. Je n’ai pas fait ça pour l’argent ou la gloire. Officiellement, je ne suis pas une menteuse, je ne suis pas une affabulatrice », se réjouit la fille de la socialiste Anne Mansouret. »

Source: Le Post

02/09/2011

Norvège : suicide d’une fille de 14 ans, suite à un viol raciste !

Pourritures…

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Il faut que ce mot devienne un adjectif qualificatif désignant une catégorie bien spécifique de personnes spécialistes en ce genre de crime… Nous en avons plein, en France, qui fourmillent dans les quartiers dits « sensibles ».
Les « tournantes », ce n’est pas de l’invention. C’est une autre façon d’humilier les « blancs » (les « blanches », dans ce cas; quoi que…).
En général, les victimes préfèrent se taire car des menaces pèsent sur elles.
Mais là, ce qui s’est passé en Norvège est en fait une déclaration de guerre. La jeune fille s’est tuée, sciemment, elle n’a pas supporté ce viol collectif (et on peut la comprendre).
Alors, à toutes ces racailles et sous-merdes qui se délectent de ce genre d’actes ignobles je dis: commencez à raser les murs. Les loups vont entrer dans les banlieues. Et il n’y aura pas de prisonniers… Soyez-en sûrs.
FDF
C’est là, qu’il y a de la monnaie à rendre…
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PS: pardon à mes lectrices et lecteurs de ces propos mais ce genre de délinquance me met hors de moi. En plus quand la victime se donne la mort…
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Eva Helgutan, 14 ans, a été sauvagement violée par un groupe d’immigrés musulmans à Trondheim, en Norvège.
Suite à cela, d’après sa famille, elle a sombré dans une dépression de plus en plus noire, avant de commettre un suicide…

D’après la police, le nombre de Norvégiennes violées collectivement par des immigrés a fortement augmenté à Trondheim. Ces envahisseurs ne ciblent que les Blanches.
Eva était l’une de trois jeunes filles norvégiennes violées collectivement à quelques jours d’intervalle.

Depuis l’ouverture de leurs frontières, les pays scandinaves ont vu le nombre de viols exploser. La majorité de ces attaques sont commises par des immigrés d’Afrique ou du Moyen-Orient.


Sources:  http://www.contre-info.com/tag/eva-helgutan

http://www.gaullisme.biz/article-des-actes-ignobles-en-europe-preservons-nos-pays-de-ces-barbares-83163923.html

23/08/2011

Il viole une femme enceinte! Encore un « jeune » ???

Une femme enceinte violée dans un train !

 Encore un « jeune »? Ca, on ne sait pas, au sens du terme « jeune » que l’on connaît. Mais enfin. C’est un »jeune », il porte un couteau sur lui, il viole une femme enceinte… Je circule pas mal en train. Et je sais ce qu’on y voit le plus; surtout la nuit… Mais là, des contrôleurs, on n’en voit pas des masses… Pour l’instant, je sers les poings. Mais il est certain qu’un jour, si je suis témoin d’une telle situation, le « jeune » se souviendra de moi… Bon; il faudra que je fasse attention aux caméras de surveillance; et de bien ramasser les bouts de « jeune » qui vont traîner partout; restons propres…
J’en profite pour passer une petite annonce de demande d’emploi:

FDF, bien sous tous rapports, cherche poste de « nettoyeur » de wagons à la SNCF, de préférence de nuit. Salaire indifférent.Travail soigné garanti.

FDF
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Un jeune homme de 18 ans a été interpellé en Seine-et-Marne au cours de la nuit de lundi à mardi. Il est soupçonné d’avoir violé une femme enceinte, sous la menace d’une arme blanche, dans un train près de Coulommier (Seine-et-Marne), a-t-on appris ce mardi de sources policières. 

Il a été placé en garde à vue à Chelles (Seine-et-Marne), et devrait être transféré dans la journée dans les locaux de la brigade des chemins de fer, chargée de l’enquête, à Paris. 



Les faits, révélés mardi par RTL, remontent à dimanche matin. La victime, enceinte de quatre mois, a été agressée alors qu’elle venait de monter dans un train à Coulommiers, à destination de Paris. L’agresseur a violé la victime, sous la menace d’une arme blanche, alors qu’ils étaient seuls dans le wagon, a-t-on précisé de sources policières, avant de s’enfuir au premier arrêt. La victime a déposé plainte vers 9 heures au poste de police de la gare de l’Est à Paris (10e). 

Une interpellation grâce à la vidéosurveillance

Selon la préfecture de Police de Paris, l’exploitation de la vidéo-protection de la gare permet d’obtenir des photographies de l’homme et de retracer son parcours après les faits, les dernières images le situent à Meaux (Seine-et-Marne). 

« Une note de recherche est aussitôt diffusée: le 23 août, à 1 heure, le service de surveillance générale de la SNCF le repère en gare de Vaires-sur-Marne (Seine-et-Marne), il est interpellé à 1h20 par la compagnie départementale d’intervention de Paris appelée en renfort (…) il est trouvé porteur d’un couteau semblable à celui décrit par la victime et vêtu des mêmes effets que lors de l’agression » indique la PP. 

Source: http://www.lexpress.fr/

18/08/2011

Séquestrée, brûlée, violée… Elle était « issue d’un milieu défavorisé », comme on dit…

On ne connaît que trop bien ces méthodes barbares… Je n’en dirai pas plus…

FDF

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Une femme de 35 ans issue d’un milieu défavorisé a subi début août un véritable calvaire dans un pavillon près de Bourges : séquestrée par sept amis voire parents, dont trois adolescents de 14 et 16 ans, elle a été frappée, brûlée à la cigarette et violée pour une banale rivalité amoureuse. Retenue dans une pièce d’un pavillon modeste de Saint-Doulchard, une bourgade plutôt huppée de la banlieue de Bourges, entre fin juillet et le 11 août, cette Berruyère présentée comme limitée intellectuellement, a enduré diverses violences de la part de ses tortionnaires présumés, a précisé hier le procureur de Bourges Vincent Bonnefoy. Sur son corps, les enquêteurs ont retrouvé des traces de brûlures de cigarettes et plusieurs tatouages « insultants » – comme un sexe d’homme – tracés avec une simple aiguille et de l’encre. Ligotée à plusieurs reprises, elle a été frappée et violée par deux hommes, selon les premiers éléments de l’enquête.

À l’origine de ce calvaire, peut-être une simple histoire de vengeance amoureuse : une amie de la victime lui aurait reproché une liaison supposée avec son petit ami. Elle l’aurait emmenée, sans doute de force, dans ce pavillon.

Samedi, les sept hommes et femmes âgés de 14 à 33 ans ont été mis en examen : certains pour violences volontaires aggravées, d’autres pour séquestration avec actes de tortures et barbarie, et deux hommes pour viol, selon le procureur. Cinq d’entre eux ont été placés en détention provisoire et deux mineurs en centre éducatif fermé. Ils reconnaissent une partie des faits mais nient la séquestration.

Source: http://www.ladepeche.fr/

14/08/2011

Viol d’une mineure en plein jour et en pleine rue à Marseille: ça étonne quelqu’un ?

Il paraît que ces actes innommables sont très rares dans la « première ville islamique de France ». Ca va; j’ai eu peur, un moment…

FDF

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Photo d’illustration

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Une jeune fille de 13 ans a été violée en pleine rue et en plein jour le jeudi 4 août à Marseille, a-t-on appris, jeudi, de source proche de l’enquête. Les faits se sont déroulés à 17 heures à proximité du boulevard National, non loin du centre-ville, dans le 3e arrondissement. L’agression a été découverte lorsque l’adolescente, qui s’était plainte de maux de ventre avant de s’évanouir en rentrant de promenade, a été hospitalisée en pédiatrie à l’hôpital de la Timone. Les examens ont alors permis de mettre en évidence des violences sexuelles très importantes.

La mère de l’adolescente est venue déposer une plainte au commissariat du centre-ville. Mais dans l’immédiat, les policiers n’ont pu entendre l’adolescente, prostrée. C’est finalement l’aide d’un psychiatre qui a permis de reconstituer les faits, une fois recueillis les témoignages de tous les proches. La mineure, notamment grâce à des dessins, a expliqué que trois individus l’avaient attaquée à proximité du boulevard National et que l’un d’entre eux l’avait violée pendant qu’elle était immobilisée.

« Une telle agression sexuelle d’un enfant aussi jeune dans un tel contexte est très rare à Marseille, » relevait, jeudi, un syndicaliste policier. Les investigations n’ont pas encore permis de dresser des portraits-robots, mais il reste la piste ADN, a ajouté la source proche de l’enquête. Les policiers de la brigade des mineurs de la sûreté départementale de Marseille sont en charge de l’affaire.

Source: http://www.lepoint.fr/

10/08/2011

Ramadan et sexualité: les délires de l’islam…

Mais qu’est-ce qu’ils se compliquent la vie… Des « oui », des « non », des « peut-être », des « c’est selon »; Tout ce que l’on peut retenir de ces propos c’est que la journée on ne mange pas, on ne boit pas, on ne b…. pas. Mais alors, une fois la rupture du jeûne entamée, c’est la grosse orgie. Mais sous l’oeil bienveillant d’Allah, bien sûr… Ca ne m’étonne pas que les intégristes arrivent, en suivant les préceptes du coran, à se sentir frustrés au plus haut point et de défoulent par le viol…

FDF

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Le quatrième « pilier » de l’islam dès la « rupture du jeûne »…

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Mois de Ramadan : La sexualité pendant le jeûne

« La sexualité, en dehors de la copulation, n’a pas d’interdit pendant la journée du mois de Ramadan et la femme indisposée peut préparer le repas du jeûneur ».

Ces propos de l’Imam Ismaël Tiendrébeogo du Centre d’étude, de recherche et de formation islamique (CERFI) et de l’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB), résument la conduite sexuelle que doivent observer les adeptes de Mahomet pendant la durée du quatrième pilier de l’Islam.

Egalement auteur de l’ouvrage ‘’La sexualité du couple : conseils pratiques pour une vie de couple plus épanouie’’ publié en 2008, notre interlocuteur énumère dans l’entretien qui suit des comportements recommandés pour cette période où certaines pratiques de la vie courante requièrent des mesures particulières.

« Beaucoup de gens, y compris des musulmans, se posent souvent la question de savoir si les rapports sexuels sont tolérés ou interdits pendant le mois de Ramadan ?

Pendant le mois de Ramadan, les rapports sexuels sont interdits pendant la durée de jeûne que l’on observe, lequel est fait de trois abstinences principales : l’abstinence de manger, celle de boire et celle de la copulation. Mais la copulation est concernée seulement durant la journée de ce mois. Dès qu’on rompt le jeûne, pour peu qu’on ne soit pas en retraite pieuse pendant les dix derniers jours du mois, il n’y a pas d’interdiction à avoir des relations sexuelles avec son conjoint.

Donc le couple peut continuer à avoir des relations sexuelles ; il doit seulement respecter la tranche consacrée à l’abstinence de manger et de boire ?

Avant la fin du jeûne, la sexualité peut prendre une autre forme. Elle peut être traduite en des embrassades comme le faisait le Prophète, en des propos doux à l’endroit de son conjoint, l’homme peut aussi aider sa femme dans la cuisine et la femme peut s’intéresser à ce que l’homme fait. La sexualité, en dehors de la copulation, n’a pas d’interdit pendant la journée du mois de Ramadan. Il n’est pas non plus interdit d’autres formes de sexualité avec son épouse qui est dans son cycle menstruel à condition bien sûr d’éviter la copulation. On va donc se départir de toute pratique qui va jusqu’à une excitation sexuelle productive, c’est-à-dire qui fasse éjaculer l’homme ou lubrifier la femme ; dans ce cas, il y a rupture du jeûne.

Existe-t-il d’autres types de rapprochements, ou de marques d’affections recommandés aux couples pour le mois de Ramadan ?

En dehors des aspects que nous connaissons comme étant des formes de sexualité, l’islam a voulu que dans la vie de couple, l’homme et la femme vivent une certaine harmonie. Au temps du Prophète, il se lavait avec son épouse Aïcha et il faisait même des courses à cheval avec elle. Une fois, il a pris le pagne taché de menstrues, ce que nous les hommes nous considérons habituellement comme sale, et par amour pour sa femme, il l’a lavé. Le lendemain, Aïcha était étonnée de voir que malgré le statut de son mari devant Allah et devant les hommes, cela ne l’a pas rendu orgueilleux au point de ne pas rendre service. Elle disait que chaque fois que le prophète revenait à la maison, il était disponible pour aider les uns et les autres, il jouait avec tout le monde et c’est lorsqu’on annonçait la prière qu’il s’en allait. Et cela devrait être le comportement de chaque musulman car le Coran nous dit dans la sourate 33 que « vous avez en le Messager un excellent modèle pour quiconque croit en Dieu et espère au jour dernier ».

Mais pour ceux qui ne sont pas mariés, comment doivent-ils vivre leur sexualité pendant cette période ?

Le verset 32 de la Sourate 17 nous dit : « N’approchez pas de la fornication, c’est une voie pernicieuse et un chemin plein d’embûches ». Même en dehors du mois de Ramadan, il est interdit d’avoir des rapports sexuels avec une personne avec laquelle on n’est pas marié. Le Prophète a dit dans un Hadith que « l’homme commet un péché aussi pire que celui de déposer sa semence dans un réceptacle illicite ». Autrement dit, le fait de produire sexuellement dans l’appareil génital d’une personne avec laquelle on n’est pas marié religieusement.

Le cycle hormonal de la femme requiert des dispositions particulières pour certains rites de la religion. Déjà, dans quelles conditions dit-on qu’une femme est indisposée en Islam ?

La femme indisposée est celle-là qui est dans son cycle menstruel ou qui est dans ses lochies, c’est-à-dire le sang que la femme perd après l’accouchement jusqu’au retour des couches. Certains musulmans estiment cela à quarante (40) jours après l’accouchement et d’autres pensent qu’ils sont un phénomène physique, et il faut juste constater son interruption pour commencer son cycle de prière, son jeûne et les autres cultes. Pour la femme qui se trouve dans son cycle menstruel, il suffit d’attendre la fin de l’écoulement du sang, elle se purifie en se lavant et elle recommence ses prières. Mais il arrive des moments où certaines femmes sont perturbées par un type d’écoulement de sang conduisant à une confusion entre le sang menstruel et le saignement d’une hémorragie ordinaire. Là, les savants musulmans disent de vérifier. S’il s’agit d’une femme réglée au préalable, de prendre la moyenne de ses règles car il se pourrait qu’il s’agisse d’un saignement hémorragique. Mais au-delà d’une semaine, il est conseillé d’aller en consultation car cela pourrait cacher des déséquilibres hormonaux ou une hémorragie qu’elle fera mieux d’arrêter avant que ce ne soit plus grave.

Une femme indisposée peut-elle alors observer le jeûne ?

Elle ne peut pas faire le jeûne, ni la prière, ni certains rites du pèlerinage. Elle s’en abstient jusqu’à ce qu’elle se purifie du sang de ses menstrues ou des lochies. Et elle n’a pas à rattraper les prières qu’elle a ratées du fait de ses menstrues. Mais pour ce qui est du jeûne, elle doit rattraper une fois que le Ramadan est passé. Elle doit rattraper les jours qu’elle a ratés, et accessoirement jeûner pendant les six (06) jours subrogatoires suivant immédiatement le mois de Ramadan. Elle doit jeûner les trente jours et les six jours du mois de Chawwal (Ndlr : 10e mois du calendrier musulman) pour faire trente-six jours. Comme le Prophète lui-même nous a dit, chaque œuvre est récompensée au décuple pendant le mois de Ramadan. Pour les trente-six jours de jeûne que nous allons observer, Allah va nous donner la récompense de celui qui aura jeûné pendant une année soit 30 jours + 6 x 10 = 360, à peu près donc l’année entière. Elle ne rattrape pas les prières mais elle doit rattraper le jeûne de préférence avant le prochain Ramadan. L’épouse du Prophète, Aïcha, le faisait juste dans la période précédant le Ramadan, c’est-à-dire Chaabane (Ndlr : 9e mois du calendrier musulman).

Est-ce que dans cet état d’impureté, la femme peut faire la cuisine pour son mari ou pour tout autre jeûneur ?

Quand on parle d’impureté, ce n’est pas la personne elle-même qui est impure, mais l’écoulement sanguin. Comme le sperme, l’urine, les selles, ce sont des éléments qui sortent du corps de l’homme dont le séjour prolongé en lui est source de douleur ; pour l’homme, ce sont ces éléments qu’on appelle souillure en Islam. Ce n’est pas la personne elle-même mais ce qui sort d’elle. Quand on dit qu’elle ne peut pas prier, cela ne veut pas dire qu’elle ne peut pas préparer ou faire autre chose. En dehors de cela, elle peut préparer pour son mari, elle peut traverser la mosquée, elle peut lire le Coran si l’interruption va perturber son processus d’apprentissage, elle peut réciter des versets pour se protéger. Il n’y a pas une interdiction absolue mais des réaménagements particuliers de ses actes d’adoration notamment ses prières et son jeûne.

Toutes ces dispositions ne peuvent-elles pas ébranler la foi des femmes ?

Pour ce qui est des menstrues, souvent les femmes ne sont pas souvent contentes de perdre un peu l’élan, de perdre des jours dans le mois de Ramadan. Mais, il faut rappeler que ce n’est pas un sort qu’Allah leur jette, mais, il a voulu que leur cycle hormonal fonctionne de la sorte. Elles pourront rattraper leur jeûne après le mois de Ramadan et, finalement, elles n’auront rien perdu. Pour celles qui ne voient pas leurs règles, il se peut que cela relève du fait qu’elles soient enceintes ou qu’elles allaitent. Si l’allaitement ou la grossesse peut être perturbé par le jeûne, on va inclure la femme dans la catégorie de personnes exemptées de jeûne. Elle va compléter le nombre de jours qu’elle aura manqués. La pratique en Islam ne nuit pas à la santé ou au bien-être de l’individu ; bien au contraire, on prend cela en compte au préalable avant de proposer quelque chose, comme Allah le dit : « nous n’avons pas mis de gêne dans votre religion » »

Ouf, on arrive au bout. Vous vous souvenez du début?

FDF


08/08/2011

«Mon père m’a menacée, il disait qu’il allait me lapider et qu’il serait celui qui lancerait la première pierre.».

Image d’illustration…

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C’est marqué dans le coran, je pense ?

FDF

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Espagne : Viol pédophile organisé par maman

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«Mon père m’a menacée, il disait qu’il allait me lapider et qu’il serait celui qui lancerait la première pierre.» C’est par ces mots que Selamha Mint Mohamed, une jeune espagnole de 16 ans d’origine mauritanienne née en 1992 à Puerto Real près de Cadix, a commencé sa déposition, entrecoupée de pleurs et de sanglots, au procès où sa mère, son père et son mari sont sur le banc des accusés.

En 2006, à 14 ans, lors de vacances en Mauritanie, ses parent l’ont mariée de force à Mokhtar, un lointain cousin de 42 ans qui avait demandé sa main en offrant une dot à son père et elle a été obligée, sous les menaces de sa mère, à consommer le mariage contre son gré avant leur retour en Espagne quelques jours plus tard.

En 2007, un an après le mariage, son mari, de passage en Espagne après un voyage d’affaire en Allemagne, s’arrête à Puerto Real pour revoir son “épouse” et de nouveau Selamha est forcée, sous menaces et contraintes à avoir des relations sexuelles avec lui.

«Je résistais mais mes parents disaient qu’ils allaient me tuer, qu’ils me brûleraient et qu’ils me trancheraient la gorge». Mais le lendemain matin elle réussit à s’échapper et à fuir la maison paternelle en pleurant pour aller demander l’aide à des voisins qui l’emmènent d’abord aux urgences de l’hôpital local et ensuite au commissariat pour qu’elle puisse porter plainte. La police espagnole arrête le jour même les parents et le mari et garde ce dernier et la mère en détention préventive.

C’est ainsi que la semaine dernière cette histoire de mariage précoce et forcé s’est retrouvée devant les tribunaux espagnols où elle a été jugée comme « agression sexuelle sur mineure» Après quelques jours d’audience le verdict est tombé : 17 ans et demi de réclusion pour la mère, la peine la plus sévère puisque ses agissements furent déterminants dans l’agression sexuelle. 13 ans et demi pour le mari pour agression sexuelle. 1 an et demi pour le père pour menaces, une peine plus légère vu qu’il n’était pas présent à la maison la nuit de l’agression.

Selon un site mauritanien il s’agit d’un cas flagrant d’incompréhension culturelle, le mariage ayant eu lieu en Mauritanie où il est très fréquent que des jeunes femmes de 13 ans se marient à des cousins ou à des hommes plus âgés qu’elles. Mais ce qui est permis à des citoyens mauritaniens ne l’est pas nécessairement à des citoyens espagnols. Plusieurs Mauritaniens voient donc dans ce jugement une tentative des sociétés occidentales d’imposer à des musulmans une loi profane alors que de tels mariages sont permis par leur loi divine, la charia

Par contre la plupart des commentateurs dans les journaux et sur les sites internet espagnols félicitent Selamha pour son courage et considèrent avec mépris les coutumes médiévales de son pays d’origine.

http://www.elpais.com/articulo/sociedad … isoc_6/Tes

Source: http://prophetie-biblique.com/

04/08/2011

Le sécateur, vite !!!

L’alcool n’est pas une excuse. Ca commence à bien faire tous ces actes de violences! Une bonne castration chimique définitive et hop! Pas de récidive, en plus.

FDF

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Une femme de 66 ans rouée de coups et violée en plein jour !

Une femme de 66 ans a été rouée de coups et violée dans la rue en plein jour près de son domicile mardi dernier dans le village de Palau-del-Vidre (Pyrénées-Orientales). Son agresseur a été mis en examen lundi pour viol avec arme et écroué mardi.

La victime, sortie pour promener son chien dimanche vers 08H30, a été agressée par un homme ivre de 48 ans, qui l’a frappée avec un bâton avant de la violer.

Lors de son arrestation un peu plus tard dans la journée, le saisonnier présentait encore un taux d’alcoolémie de 1,5 gramme par litre de sang.

Source: http://www.ladepeche.fr/

08/07/2011

Casablanca: un imam « au regard lubrique » imitait « le prophète ».

DSK battu à plates coutures…

FDF

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Lourds soupçons de viol sur une fillette de 13 ans par un imam dans une mosquée !

La petite mosquée Younes, au quartier Aïn Borja de Casablanca, a-t-elle été le théâtre d’une violence sexuelle commise sur une petite fille âgée de 13 ans? Cette question est d’autant plus délicate que le mis en cause ne serait autre que l’imam de ladite mosquée…

24/06/2011

Affaire DSK: l’étau se resserre…

Il doit commencer à serrer les fesses, l’ex-futur présidentiable du PS…

FDF

DSK: un avocat désigné en France pour représenter la plaignante

Me Thibault de Montbrial a été choisi pour représenter en France la femme de chambre qui accuse Dominique Strauss-Kahn de viol et pour trouver d’éventuelles autres victimes de l’ancien patron du FMI, a-t-il déclaré jeudi.

« Je suis le relais du cabinet Kenneth Thompson en France, notamment pour voir s’il existe d’autres victimes de Dominique Strauss-Kahn », a-t-il dit à l’AFP, confirmant une information du Figaro.

Kenneth Thompson est l’avocat de l’accusatrice de DSK depuis début juin.

Il a lancé le 7 juin un appel à d’éventuelles autres victimes de l’ancien patron du FMI. Me Thompson a adressé cet appel à des femmes de France et d’Afrique, selon ses propos en anglais traduits par France 2.

Son cabinet, Thompson Wigdor & Gilly, est spécialisé dans les batailles judiciaires qui permettent à des particuliers de réclamer des millions de dollars de dédommagements à des employeurs ou autres adversaires fortunés.

Source: http://tempsreel.nouvelobs.com/

19/06/2011

Le combat de Marie Neige Sardin est le nôtre. Apportez-lui votre aide et votre soutien.

Je suis avec toi, Marie-Neige. Et j’appelle toute la « Résistance » à en faire autant.

FDF

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Exceptionnellement nous sortons du cadre des actions SITA pour lancer cet appel .

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Nous sommes nombreux à connaitre Marie Neige Sardin qui tient contre vents et marées à vouloir se maintenir dans sa librairie en la zone occupée du Bourget. Le harcèlement qu’elle subit quotidiennement qui est allé jusqu’au viol, un crime en France, aurait dû mobiliser les autorités municipales policières et judiciaires pour la soutenir et la protéger. Que nenni! C’est tout le contraire, elle est traitée comme l’empêcheuse de tourner en rond. Inversion des valeurs bien connue entre victime et coupable par notre justice (sans j majuscule) gangrénée par les idéologies mondialistes, immigrationistes. Dernière persécution en date, Marie Neige excédée par le bruit fait par des voisins antillais à une heure avancée  de la nuit leur a dit « arrêtez de faire la bamboula » d’où plainte des voisins affirmant avoir été traités de bamboulas. Vous devinez la suite…Elle vient d’être condamnée à une amende de 590 €.

Pour faire appel de cette décision inique il peut en coûter jusqu’à  2 000€, somme  que Marie Neige n’a pas.

Ne laissons pas tomber Marie Neige soyons solidaires , son combat est le nôtre eu égard à tout ce qu’elle a enduré et endure encore.

Vous pouvez envoyer vos dons, de préférence sous forme de chèques à l’adresse suivante:

Librairie Sardin, 31 avenue Jean Jaurès 93350 Le Bourget

Marie Neige nous fait savoir qu’appel ne veut pas dire plus de condamnation, mais peut aussi vouloir dire une condamnation supérieure dans le montant de l’amende et voire de la prison avec sursis ou non.

Donc pour le départ, s’il y a un excédent  on conservera l’excédent pour payer la dite amende et s’il reste de l’argent il sera reversé  à « l’institut pour la justice » à laquelle elle verse déjà de maigres aides

Pour plus de détails sur le calvaire enduré par Marie Neige visitez ses propres pages.

Sa page Face Book: https://www.facebook.com/profile.php?id=1296669273

ou son blog : http://le-bourget.over-blog.com/article-ateu-de-television-65041291.html

14/06/2011

Viol d’une fillette à Toulouse: encore un récidiviste en liberté !

Ci-dessous, une explication et une analyse fort convaincantes de l’Institut pour la Justice.  Je serais plus « expéditif », concernant le criminel en question.


A lire jusqu’au bout.

FDF

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Viol d’une fillette à Toulouse par un récidiviste : où est la faille ?

Le violeur présumé de la petite fille de 5 ans avait été condamné à 15 ans de réclusion en 1996 pour avoir commis 12 viols sur des mineurs de 15 ans, puis à deux ans de prison ferme en 2009 pour agression sexuelle sur mineur, une condamnation assortie d’une injonction, de soins.Décryptage de cette affaire par les experts de l’Institut pour la Justice en 5 questions :

  • Comment un agresseur sexuel peut-il récidiver alors qu’il sort d’une séance chez son psychologue ?
  • Pouvait-on prévoir qu’il allait récidiver ?
  • Pourquoi n’était-il pas sous castration chimique ?
  • Pourquoi la Justice ne lui a-t-elle pas imposé un bracelet électronique GPS ?
  • Pourquoi la Justice l’a-t-elle condamné à seulement deux ans de prison en 2009 ?

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  • Comment un agresseur sexuel peut-il récidiver alors qu’il sort d’une séance chez son psychologue ?

En France, la majorité des psychiatres et psychologues sont peu ou pas formés aux soins visant à réduire la récidive des délinquants sexuels. Par défaut, beaucoup entreprennent des thérapies simples, non spécialisées, d’inspiration psychodynamique, alors qu’aucune étude française ou internationale n’a montré d’impact de ces traitements sur le risque de récidive.

Extrait du rapport de l’Académie de médecine de juin 2010 :

« Les méthodes actuarielles étaient les plus efficaces dans la prévision de la récidive, le jugement clinique non structuré s’avérant le moins efficace, l’évaluation clinique structurée ayant une efficacité intermédiaire »

  • Pouvait-on prévoir qu’il allait récidiver ?

D’un point de vue criminologique, l’individu conjuguait de nombreux facteurs de risque de récidive. Le principal étant le nombre d’infractions sexuelles commises dans le passé : plus ce nombre est élevé, plus le risque de récidive sexuelle l’est aussi.

Dans leur étude de référence ( source), les criminologues Harris et Hanson signalent un taux de récidive sexuelle de 37 %, 15 ans après leur sortie de prison, des délinquants sexuels déjà condamnés par la Justice à deux reprises (contre 19 % pour ceux condamnés une seule fois). Ce qui était le cas du violeur présumé de la petite fille.

Dans la mesure où il avait de surcroît fait 12 victimes hors du cercle familial entre 1993 et 1996, il entre manifestement dans la catégorie des prédateurs les plus dangereux.

Le problème est que son risque de récidive n’a peut-être jamais été évalué correctement, c’est-à-dire avec les outils criminologiques utilisés par tous nos voisins. Car les méthodes criminologiques, dites « actuarielles », sont peu répandues en France ; la méthode dominante reste l’évaluation clinique non structurée (entretien libre).

Extrait du rapport de l’Académie de médecine de juin 2010 :

« Les méthodes actuarielles étaient les plus efficaces dans la prévision de la récidive, le jugement clinique non structuré s’avérant le moins efficace, l’évaluation clinique structurée ayant une efficacité intermédiaire »

  • Pourquoi ce violeur récidiviste n’était-il pas sous castration chimique ?

Les traitements freinateurs de libido constituent le traitement le plus efficace pour prévenir la récidive sexuelle des pédophiles récividivistes. Il est préconisé par la Haute autorité de santé pour la prise en charge des auteurs d’agression sexuelle sur mineurs de 15 ans.

Pourtant, aucune castration chimique ne semble avoir été prescrite au violeur présumé. Vraisemblablement parce que les psychiatres français, peu formés à la délinquance sexuelle, ont une méconnaissance importante de ce traitement – et pour certains d’entre eux une réticence de principe à l’utiliser.

Dans une étude à paraître dans les Annales médico-psychologiques, les Dr Baratta, Halleguen et Morali, à partir d’un questionnaire rempli par 67 psychiatres provenant de 18 centres hospitaliers et de 2 UMD, montrent que :

– 40 % d’entre eux étaient dans l’incapacité de nommer une des molécules autorisées pour la castration chimique

– 62 % d’entre eux ne souhaitent pas imposer de castration chimique

– 76 % ne connaissent pas les recommandations de la Haute Autorité de santé de 2009 (préconisant la castration chimique)

  • Pourquoi la Justice n’a-t-elle pas imposé un bracelet électronique GPS à ce récidiviste sexuel?

La loi ne le permet pas. Pour pouvoir se voir imposer le bracelet GPS à l’issue d’une peine de prison, il faut avoir été condamné à 7 ans de prison ferme minimum (ou à 5 ans en état de récidive légale).

Il s’agit là d’une faille importante dans la loi car la dangerosité d’un individu ne se mesure pas à la gravité des faits commis lors de sa dernière infraction (l’exemple de Tony Meilhon l’avait déjà montré).

Le bracelet GPS est une mesure de sûreté minimale d’autant plus nécessaire, en cas de libération d’un violeur récidiviste, que les traitements médicaux les plus efficaces (castration chimique et TCC) n’ont d’effet que dans 25 % des cas.

Extrait du rapport de l’Académie de médecine de juin 2010 :

« [Recommandation 2] : Définir une politique qui ne soit pas uniquement basée sur des moyens médicaux. Les traitements à visée hormonale ou psychologique ayant une efficacité très partielle (…) ne peuvent être le seul outil d’une politique de prévention de la récidive »

  • Pourquoi la Justice a-t-elle condamné ce multirécidiviste à seulement deux ans de prison en 2009 ?

Dans son étude publiée en novembre dernier, Xavier Bébin, juriste et criminologue, indiquait que le grave défaut de la rétention de sûreté et du système français :

« est de faire l’impasse sur le cas de criminels dangereux, ayant un lourd passé judiciaire, mais dont la dernière infraction n’est pas jugée suffisamment grave par elle-même pour conduire à une peine de 15 ans d’emprisonnement. En l’état des pratiques, les magistrats français tendent en effet à prononcer des peines essentiellement liées à la gravité de l’infraction, sans prendre suffisamment en compte le passé judiciaire de l’individu. »

Le cas présent nous en donne une illustration : la récidive – même d’une gravité modérée – d’un agresseur sexuel déjà condamné pour 12 viols aurait dû alerter sur sa dangerosité et aurait pu conduire à l’imposition d’une peine se rapprochant du maximum prévu par la loi.

L’autre possibilité est de prendre exemple sur le système québécois, qui prévoit des peines indéterminées (c’est-à-dire potentiellement à vie) pour les délinquants déclarés « dangereux », déclaration qui peut avoir lieu après une infraction de gravité modérée car « la gravité de l’acte est moins déterminante que la dangerosité persistante qu’il révèle ».

Extrait du rapport de la Commission du Sénat relatif à la rétention de sûreté en 2008 :

« [Exemple au Québec]. L’accusé plaide coupable [il a commis une infraction sexuelle de gravité modérée]. Le rapport présentenciel établi par les services d’enquête fait état de très nombreux antécédents concernant le plus souvent des infractions sexuelles dont certaines d’ailleurs d’une plus grande gravité que celle justifiant la dernière comparution. (…) Ces considérations ont conduit le procureur de la République à saisir le juge d’une demande de déclaration de délinquant dangereux qui a finalement été prononcée. Le cas peut paraître paradoxal, il est néanmoins révélateur : le dernier fait délictueux commis par X ne conduit à la peine indéterminée que parce qu’il est la suite d’une longue série d’infractions et que ce comportement déviant paraît sans remède. En d’autres termes, la gravité de l’acte est moins déterminante que la dangerosité persistante qu’il révèle. »

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La position de l’Institut pour la Justice

L’Institut pour la Justice dénonce un système inadapté à la prévention de la récidive sexuelle et criminelle et demande :

– Le prononcé de peines davantage adaptées à la dangerosité des agresseurs sexuels (et non pas seulement proportionnelles à la seule gravité de leur dernière infraction),

– Un élargissement des conditions permettant d’imposer des mesures de sûreté aux agresseurs récidivistes, en particulier le placement sous bracelet électronique GPS,

– Une profonde réforme de la psychiatrie conduisant à une généralisation des méthodes fiables d’évaluation de la dangerosité criminologique et à une adaptation des traitements conformes aux préconisations de la Haute autorité de santé et de l’Académie de médecine.

Publications de l’Institut pour la Justice en lien avec ce thème :

Source: http://www.publications-justice.fr/

06/06/2011

Une femme d’affaires italienne reconnaît avoir reçu une série de SMS « graveleux » d’un certain… Dominique Strauss-Kahn.

Ouhais… Des SMS, ça laisse des traces… Je veux bien reconnaître que DSK est poursuivi (en plus de ses ennuis avec la justice)  par une réputation peu flatteuse pour un haut responsable financier mais là…

FDF

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Isabella Lenarduzzi, une femme d’entreprise italienne, assure avoir été contactée à plusieurs reprises par l’ancien patron du FMI, selon «Le Soir» de samedi.

Dans une interview accordée au quotidien belge Le Soir, Isabella Lenarduzzi, une spécialiste de la communication et femme chef d’entreprise, évoque le milieu professionnel dans lequel elle évolue. Organisatrice d’événements depuis vingt ans, l’Italienne a rencontré une multitude d’hommes de pouvoir, avec tous un point commun: un machisme assumé.

Et ce, que ce soit par des réflexions ou «des remarques à connotations sexuelles comme « tu sais bien que nous ne sommes pas contre les femmes, nous sommes tout contre elles ». Et c’est encore la plus douce!» Des comportements qui peuvent mener jusqu’à des comportements proches de la «violence sexuelle», précise Isabella Lenarduzzi. Résultat: des propositions déplacées, parfois exprimées oralement. Et dans ce domaine, certains hommes de pouvoir détiennent la palme. «Les pires, ce sont les milieux politiques et académiques, comme s’il y avait là une forme d’omerta.»

DSK plaidera-t-il coupable ou non coupable?

Et la femme d’affaires italienne reconnaît par exemple avoir reçu une série de SMS d’un certain… Dominique Strauss-Kahn. «C’était une vraie forme de harcèlement avec des SMS vraiment graveleux. Au bout de quelques semaines sans réponses, il a arrêté. Mais cela prouve à quel point il devait être obnubilé par ses pulsions… Cela ne prouve pas qu’il soit coupable, bien sûr, mais il a un environnement de culpabilité.»

À noter que Dominique Strauss-Kahn doit se présenter ce lundi devant le tribunal de New York pour plaider coupable ou non coupable des sept chefs d’inculpation retenus contre lui, dont viol et d’agression sexuelle. S’il plaide coupable, la procédure s’arrête et la défense négocie avec l’accusation l’allègement des charges et de la peine. S’il plaide non coupable, ce qui semble être le plus probable au vu des déclarations de ses avocats et par lui-même dans sa lettre de démission du FMI-, un procès sera programmé, à une date encore inconnue.

Source: http://www.lessentiel.lu/fr/

25/05/2011

Sale temps pour nos hautes instances politiques…

Une affaire en amorce une autre; la contagion s’installe, le doute aussi… On soulève des lièvres, les langues se délient, la machine est lancée… On doit passer pour des beaux spécimens, aux yeux du monde… A un an des présidentielles, ça la fout moche aussi en politique interne. Srauss-Kahn était il contagieux ?

Marine: VITE !!!

FDF

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Affaire Tron: « Si les faits sont avérés, ils pourraient être qualifiés de viol »

Le secrétaire d’Etat à la Fonction publique serait mis en cause par deux employées de la mairie de Draveil. Le parquet a ouvert une enquête préliminaire.

Une enquête préliminaire a été ouverte mercredi à Evry après une plainte déposée contre Georges Tron, secrétaire d’Etat à la Fonction publique. Deux ex-employées de la mairie de Draveil (Essonne) dont il est maire, l’accusent de « harcèlement sexuel ». 

« Une plainte a bien été adressée par voie recommandée au parquet par deux ex-employées de la mairie pour harcèlement sexuel mardi à 12 heures », a confirmé l’avocat Gilbert Collard, qui s’est dit proche de Marine Le Pen sans appartenir au Front National. 

Les accusations, si elles étaient établies, « seraient susceptibles de recevoir la qualification d’agression sexuelle et de viol », a annoncé le parquet. 

Au terme de cette enquête, en fonction des éléments recueillis, le parquet aura le pouvoir de ne pas donner suite à la procédure, d’ouvrir une information judiciaire confiée à un juge d’instruction ou, en cas de seul délit d’agression sexuelle, de renvoyer l’affaire devant un tribunal correctionnel…

Suite et source: http://www.lexpress.fr/actualite/politique/affaire-tron-si-les-faits-sont-averes-ils-pourraient-etre-qualifies-de-viol_996251.html?xtor=EPR-181

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