Francaisdefrance's Blog

01/11/2011

Les ambiguïtés de l’islam vis à vis de l’homosexualité…

« Faites comme je dis… »

Allez, n’hésitons pas à contredire cette idéologie qu’est l’islam dont le « saint » coran n’est qu’un tissu d’ambiguïtés. Et je ne vous parlerai pas de la pratique… Vous verrez ci-dessous que, contrairement au « prophète », les islamistes ne sont pas QUE des pédophiles…


(Bel article de « JPPS »)…

FDF

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Pour la visite instructive, c’est ici: http://tinyurl.com/6bw3dux

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14/08/2011

Viol d’une mineure en plein jour et en pleine rue à Marseille: ça étonne quelqu’un ?

Il paraît que ces actes innommables sont très rares dans la « première ville islamique de France ». Ca va; j’ai eu peur, un moment…

FDF

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Photo d’illustration

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Une jeune fille de 13 ans a été violée en pleine rue et en plein jour le jeudi 4 août à Marseille, a-t-on appris, jeudi, de source proche de l’enquête. Les faits se sont déroulés à 17 heures à proximité du boulevard National, non loin du centre-ville, dans le 3e arrondissement. L’agression a été découverte lorsque l’adolescente, qui s’était plainte de maux de ventre avant de s’évanouir en rentrant de promenade, a été hospitalisée en pédiatrie à l’hôpital de la Timone. Les examens ont alors permis de mettre en évidence des violences sexuelles très importantes.

La mère de l’adolescente est venue déposer une plainte au commissariat du centre-ville. Mais dans l’immédiat, les policiers n’ont pu entendre l’adolescente, prostrée. C’est finalement l’aide d’un psychiatre qui a permis de reconstituer les faits, une fois recueillis les témoignages de tous les proches. La mineure, notamment grâce à des dessins, a expliqué que trois individus l’avaient attaquée à proximité du boulevard National et que l’un d’entre eux l’avait violée pendant qu’elle était immobilisée.

« Une telle agression sexuelle d’un enfant aussi jeune dans un tel contexte est très rare à Marseille, » relevait, jeudi, un syndicaliste policier. Les investigations n’ont pas encore permis de dresser des portraits-robots, mais il reste la piste ADN, a ajouté la source proche de l’enquête. Les policiers de la brigade des mineurs de la sûreté départementale de Marseille sont en charge de l’affaire.

Source: http://www.lepoint.fr/

21/06/2011

Elisabeth Sabaditsch-Wolff condamnée en Autriche pour n’avoir dit que la vérité…

Si avoir des relations sexuelles avec une fillette de 9 ans n’est pas de la pédophilie…

FDF

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Ezra Levant interview Elisabeth Sabaditsch-Wolff (en anglais, désolé…): http://youtu.be/YSfS-p3e16w

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Elisabeth, de passage à Montréal, parle à Ezra Levant, sur Sun TV, de sa condamnation par un tribunal autrichien pour dénigrement de l’islam, suite à une dénonciation par un magazine de gauche. L’islam officiel enseigne que Mahomet avaIt 56 ans quand il a épousé Aïcha, qui avait 6 ans, et qu’il a consommé le mariage quand elle a eu 9 ans. Elisabeth a qualifié Mahomet de «pédophile», ce qui lui a valu sa condamnation. 

Elisabeth dit qu’à sa connaissance, personne n’a jamais été condamné en Autriche pour avoir dénigré le christianisme. Elle a interjeté appel de la décision. Si elle perd, elle a l’intention de porter sa cause devant la cour européenne des droits de l’homme.  

Sa cause n’a pas été publicisée en Autriche, où il n’y a pas d’organisations de défense de la liberté d’expression. Aucune organisation ne s’est manifestée pour la soutenir dans son combat. 

Source: http://www.postedeveille.ca/

18/05/2011

L’islam et l’islamisme: cheval de bataille de Geert Wilders.

Geert Wilders : le critique le plus franc de l’islam

« En tant qu’éditeur du National Post, j’ai souvent compté sur trois lettres pour protéger mes rédacteurs des tribunaux des droits de l’homme : I-S-M  – ces trois lettres étant la différence en anglais quand on épèle  entre « Islam » et «  Islamisme ».

Le premier est une religion – comme la Chrétienté ou le Judaïsme. Le dernier est une idéologie, qui cherche à imposer à tous les musulmans une version fondamentaliste intolérante de l’islam et à diffuser la foi musulmane à travers le monde. Déclarer l’Islamisme comme une menace n’est pas controversé. Déclarer l’Islam comme une menace est considéré comme un discours de haine.

Geert Wilders

Le refus de Geert Wilders de déployer ces trois lettres est la raison pour laquelle cet homme de 47 ans, homme politique hollandais, se déplace avec des gardes du corps et ne peut dormir dans la même maison deux nuits consécutives. Pour M. Wilders, le problème fléau dont souffre les sociétés occidentales c’est l’islam, un point c’est tout. Le terrorisme, la tyrannie, l’assujettissement des femmes ne sont pas des perversions de l’islam, comme il le voit, mais plutôt  son essence même.

« Le mot « Islamisme » suggère qu’il y a un Islam modéré et un Islam non modéré » m’a-t-il  déclaré lors d’une interview à Toronto dimanche (le 8 mai 2011, NDT). « Et je crois que c’est une distinction qui n’existe pas. C’est comme ce qu’avait dit le Premier Ministre de Turquie (Recep Tayyp Erdogan) : « Il n’y a pas d’Islam modéré ou d’Islam non modéré. L’Islam est l’Islam et c’est comme ça. » C’est l’Islam du Coran ».

« Maintenant, vous pouvez certainement faire une distinction parmi les gens » a-t-il ajouté. « Il y a des musulmans modérés – qui sont la majorité dans nos sociétés occidentales – et des musulmans non modérés. »

« Mais l’Islam lui-même n’a qu’une seule forme. L’idéologie totalitaire contenue dans le Coran n’a pas de place pour la modération. Si vous regardez réellement ce que dit  le Coran, en fait, vous pourriez soutenir que les Musulmans ‘modérés’ ne sont pas du tout Musulmans. Le Coran nous dit que si vous ne suivez pas même un seul verset, alors vous êtes un apostat.»

A la différence des autres critiques de l’Islam qui tendent à éviter le sujet explosif de la personne de Mahomet lui-même, M. Wilders, ouvertement, qualifie le Prophète de l’islam de dictateur, de pédophile et de belliciste. « Si vous étudiez la vie de Mahomet, » m’a dit M. Wilders «  vous pourriez voir que c’était un terroriste pire qu’Osama Ben Laden l’a jamais été ».

C’est un euphémisme de dire que M. Wilders est une figure qui crée des divisions aux Pays-Bas. D’un côté, il est le leader du PVV, le 3e parti politique le plus populaire du pays  – qui, actuellement, est le pilier de la minorité du gouvernement. M. Wilders a été déclaré  « homme politique de l’année » par une radio populaire hollandaise et est arrivé en deuxième position dans divers autres sondages importants.

De l’autre, le Conseil Musulman de Grande-Bretagne l’a qualifié de « prêcheur de haine  franc et implacable  ». Pendant un certain  temps, Wilders a même été interdit  d’entrée au Royaume-Uni. Un rappeur populaire Hollandais a écrit une chanson sur le meurtre de M. Wilders : (« Ce n’est pas une blague. La nuit dernière, j’ai rêvé que tranchais votre tête »).

Avant de rencontrer M. Wilders, dimanche,  je le connaissais  surtout par ses slogans les plus enflammés – comme sa comparaison du Coran à Mein Kampf – que ces détracteurs brandissent comme preuve d’un sectarisme d’esprit étroit.

Cependant, le vrai Geert Wilders s’exprime avec douceur et réflexion. Il apparaît qu’il a voyagé dans une douzaine de nations musulmanes. Il en connaît plus sur la foi musulmane et ce qu’elle signifie pour des gens ordinaires que la plupart des plus ardents défenseurs occidentaux de l’Islam.

Et je ne crois pas non plus que M. Wilders  soit un sectaire, au moins pas dans le sens où ce mot est compris habituellement.

« Je ne hais pas les musulmans, je hais leur livre et leur idéologie, » c’est ce qu’il a déclaré en 2008 au journal britannique  le Guardian. M. Wilders voit l’Islam comme apparenté au communisme ou au fascisme, comme une cage qui enferme ses malheureux  adeptes dans une structure mentale de haine et de peur.

En d’autres termes, M. Wilders décrit les musulmans comme des victimes de mauvaises idées. Dans cette façon de voir, son attitude est entièrement différente des antisémites et racistes classiques qui traitent les Juifs et les noirs d’êtres inférieurs sur le plan biologique.

Bien sûr, dans la tradition moderne occidentale du politiquement correct, la haine est exprimée à l’égard d’une religion est habituellement placée au même niveau de mépris des droits de l’homme que la haine exprimée à l’égard d’une race ou d’une ethnie. Mais l’Islam n’est pas  du tout en vérité une religion comme le voit M. Wilders, mais plutôt une idéologie politique rétrograde avec des ornements religieux.

Il note qu’alors que les autres religions tracent une distinction entre Dieu et César, entre le séculier et le spirituel, l’Islam exige la soumission dans tous les aspects de l’existence humaine, à la fois à travers la formulation du Coran lui-même et la loi de la Charia qui s’est développée dans son ombre. La foi fournit aussi une justification pour une guerre d’agression,  calomnie les non-croyants et prononce la mort contre ses ennemis. Bref, M. Wilders soutient que l’Islam a tous les ingrédients de ce  que les étudiants de l’histoire du 20e siècle pourraient reconnaitre comme une idéologie totalitaire complètement aboutie.

« Je vois l’Islam comme 95% d’idéologie et 5% de religionles 5% étant  les temples et les imams, » m’a-t-il dit. « Si vous retirez du Coran toute sa substance négative, pleine de haine, antisémite, vous vous retrouveriez avec un minuscule [livret]. »

Il est facile de voir pourquoi beaucoup d’Européens en viennent simplement à la conclusion que M. Wilders incite à la haine. Il veut stopper l’immigration non-Occidentale vers les Pays-Bas jusqu’à ce que les immigrants présents puissent être intégrés et veut expulser tout étranger qui commet un crime – le même genre de politiques que celles que préconisent les vrais xénophobes.

Mais même ainsi, son insistance à distinguer la foi de l’idéologie est une idée qui mérite d’être prise au sérieux. Car elle pose cette question: Si nous permettons la condamnation des cultes totalitaires créés par les dictateurs modernes, pourquoi ne stigmatiserions-nous pas (ou même criminaliserions-nous pas), la condamnation de  notions reconnues comme similaires quand elles se sont trouvées attribuées à un prophète du 7e siècle ?

C’est une bonne question. Et autant que je sache, Geert Wilders est le seul homme politique occidental qui la prend sérieusement en considération. »

Jonathan Kay

Rédacteur en chef du site http://www.nationalpost.com (canada)

Traduit de l’anglais par Bernard Dick

Source: http://www.nationalpost.com/news/Geert+wilders+Islam+most+outspoken+critic/4748694/story.html

12/03/2011

Geert Wilders aux musulmans: « Libérez-vous. Il n’en tient qu’à vous. »

Excellente réflexion de Geert Wilders.

Il connaît certainement mieux les momos qu’ils ne se connaissent eux mêmes.

A lire et faire suivre…

FDF

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Le site « Muslims Debate » a demandé à Geert Wilders pourquoi il est devenu anti-islam, et quel serait son message aux musulmans. Geert Wilders est bien un humaniste qui n’est ni raciste, ni d’extrême-droite comme aiment à le décrire les médias. Voici sa réponse (traduction). Merci à Marie-Françoise pour cette information.

En 1982 j’ai visité pour la première fois un pays musulman. J’avais 18 ans et je voyageais avec un ami néerlandais d’Eilat en Israël à la station balnéaire égyptienne de Charm el-Cheikh.

Nous étions deux étudiants, sacs au dos, presque sans le sou.  Nous avons dormi sur les plages et trouvé l’hospitalité chez des Égyptiens, qui, spontanément, nous avaient invités à prendre le thé. Je me rappelle bien ma première impression de l’Egypte: j’ai été profondément touché par la bonté et la bienveillance de ce peuple.

Je me souviens aussi de ma seconde impression majeure de l’Égypte: j’ai été frappé par la peur qui accablait ces gens aimables.

Pendant que nous étions à Charm el-Cheikh, le président Moubarak vint visiter la ville. Je me souviens de la peur qui a soudain envahit cette ville quand il fut annoncé que Moubarak arrivait pour une visite inattendue. Je revois encore la cohorte de voitures noires, le jour de sa visite, et la sensation de peur quasiment palpable ressentie par le peuple, comme un souffle glacial sur cette journée d’été très chaude.

Ce fut une expérience étrange; Moubarak n’est pourtant pas considéré comme le pire des tyrans et pourtant, la peur qu’ont les Égyptiens de leur chef pouvait se ressentir, même par moi.  J’imagine ce que les Saoudiens ressentent quand leur roi est en ville, comment les Libyens se sentent quand Kadhafi annonce sa venue, comment les Irakiens devaient trembler quand Saddam Hussein approchait. Et quelques années plus tard, j’ai lu dans le Coran comment les Arabes du VIIème siècle se sentaient en présence de Mahomet. Plusieurs versets décrivent comment il «jetait l’effroi dans leurs cours» (sourates 8:12, 8:60, 33:26, 59:12).

Puis de Charm el-Cheikh, mon ami et moi sommes allés au Caire. La ville était pauvre et incroyablement sale. Nous nous demandions comment cet endroit pauvre et sale pouvait être voisin d’Israël si propre. L’explication, qui nous fut donnée par des Arabes, avec qui nous avions discuté de cette pauvreté, est qu’ils n’étaient en aucunes façons responsables de cette affection. Pour eux, cette misère était la conséquence du complot mondial des «impérialistes» et des «sionistes», visant à asservir et appauvrir les musulmans. J’ai trouvé l’explication peu convaincante et mon instinct me dictait que le contraste avait plutôt un rapport avec la différence culturelle entre Israël et l’Égypte. Autrefois l’Égypte avait la civilisation la plus avancée sur Terre. Pourquoi n’a-t-elle pas progressé avec le reste du monde?

Vers la fin des années 1890, Winston Churchill était soldat et correspondant de guerre dans l’ouest des Indes britanniques (aujourd’hui le Pakistan) et au Soudan. Churchill était alors un jeune homme perspicace, dont les mois passés au Pakistan et au Soudan lui permirent de comprendre avec une clarté parfaite quel est le problème avec l’islam et « les malédictions » qu’il pose sur ses adeptes.

Il écrit « Parallèlement à une frénésie fanatique, ., il y a cette apathie craintive et fataliste ». « Ses effets sont observables dans de nombreux pays. Attitude imprévoyante, agriculture négligée, méthodes commerciales dépassées et insécurité concernant la propriété existent là où les adeptes du Prophète vivent et gouvernent. Le fait que dans la loi mahométane toute femme doit appartenir à un seul homme comme sa propriété absolue, que ce soit en tant qu’enfant, épouse ou concubine, retarde la disparition définitive de l’esclavage jusqu’à ce que l’islam cesse d’être un grand pouvoir parmi les hommes. Individuellement, certains musulmans peuvent montrer des qualités exceptionnelles – mais l’influence de la religion paralyse le développement social de ceux qui la suivent. » Et Churchill concluait :« Aucune force rétrograde plus forte n’existe dans le monde. « 

Il y a des gens qui disent que je déteste les musulmans. Je ne déteste pas les musulmans.

Cela m’attriste de voir comment l’islam les a privés de leur dignité. Le mal que l’islam fait aux musulmans est visible dans la façon dont ils traitent leurs filles. Le 11 mars 2002, quinze écolières sont mortes en Arabie Saoudite alors qu’elles tentaient de fuir leur école dans la ville sainte de La Mecque. Un incendie avait mis le feu au bâtiment. Les filles coururent vers la porte de l’école mais celle-ci était verrouillée. Les clés étaient dans les mains d’un gardien de sexe masculin qui refusait d’ouvrir les portes parce que les filles ne portaient pas la tenue islamique correcte imposée aux femmes par la loi saoudienne: voile couvrant le visage et les vêtements.

Les fillettes habillées « indécemment » tentaient frénétiquement de sauver leurs jeunes vies. La police saoudienne arriva et a battu les filles pour les repousser dans l’immeuble en flammes. Les agents de la Mutaween, la « Commission pour la promotion de la vertu et la prévention du vice », a également battu des passants et des pompiers qui essayaient d’aider les filles. « C’est un péché de les approcher  » les policiers mirent en garde les spectateurs. « Ce n’est pas seulement un péché, c’est également une infraction pénale. »

Les filles n’ont pas une très grande valeur dans l’Islam, le Coran dit que la naissance d’une fille assombrit le visage d’un père et le remplit de mélancolie » (Sourate 43:15). Néanmoins, l’incident survenu à l’école de La Mecque a attiré des réactions de colère. L’Islam est inhumain, mais les musulmans sont des êtres humains, donc capable d’amour – cette force puissante que Mahomet méprisait. L’humanité a prévalu à la Mecque chez les pères qui ont été affectés par la mort de leurs filles. Elle a également prévalu chez les pompiers qui se sont confrontés à la Mutaween qui battaient les filles pour les repousser à l’intérieur, et chez les journalistes du journal saoudien qui, pour la première fois dans l’histoire de l’Arabie, a critiqué la redoutée et puissante « Commission pour la promotion de la vertu et la prévention du vice. » Toutefois, les protestations musulmanes contre l’inhumanité islamique sont rares. La plupart des musulmans, même dans les pays occidentaux, vont dans les mosquées et écoutent les versets coraniques choquants et des sermons rebutants sans se révolter.

Je suis un agnostique. Mais les Chrétiens et les Juifs disent que Dieu a créé l’homme à son image. Ils croient qu’en étant eux-mêmes, des êtres libres et rationnels, capables d’amour, ils peuvent parvenir à Le connaître. Ils peuvent même raisonner avec Lui, ce qu’ont fait les Juifs tout au long de leur histoire.

Le Coran, au contraire, dit que « Rien ne peut être comparé à Allah » (sourate 16:74, 42:11). Qu’il n’a absolument rien de commun avec nous. Qu’il est absurde de supposer que Dieu a créé l’homme à son image. Le concept biblique que Dieu est notre père ne se trouve pas dans l’Islam. Il n’y a pas de relation personnelle entre l’homme et Dieu. Le but de l’Islam est la soumission totale de soi et des autres à un Allah inconnaissable, qui doit être servi au travers d’une obéissance totale à Mahomet en tant que chef de l’État islamique (sourates 3:31, 4:80, 24:62, 48:10, 57:28). Et l’histoire nous a appris que Mahomet n’était pas du tout un prophète d’amour et de compassion, mais un meurtrier de masse, un tyran et un pédophile. Les musulmans ne pouvaient trouver un modèle plus déplorable.

Sans liberté individuelle, il n’est pas surprenant que la notion que l’homme est un être responsable ne soit pas très développée dans l’Islam. Les musulmans ont tendance à être très fatalistes. Peut-être – il faut du moins l’espérer – que seulement quelques radicaux prennent les exhortations coraniques à mener le djihad contre les impies au sérieux. Néanmoins, la plupart des musulmans n’ont jamais élevé la voix contre les radicaux. Il s’agit de l' »apathie craintive et fataliste » décrite par Churchill.

L’islam prive les musulmans de leur liberté. C’est malheureux, parce que les gens libres sont capables de réaliser de grandes choses, comme l’histoire l’a montrée. Les arabes, turcs, iraniens, indiens, les peuples indonésiens ont un énorme potentiel. S’ils n’étaient pas captifs de l’islam, s’ils pouvaient se libérer du joug de l’islam, s’ils cessaient de prendre Mahomet comme modèle et s’ils se débarrassaient du Coran, ils seraient en mesure de réaliser de grandes choses qui bénéficieraient non seulement à eux mais au monde entier.

En tant qu’Hollandais, européen et homme politique occidental, ma responsabilité est d’abord d’aider le peuple néerlandais, les Européens et les Occidentaux. Toutefois, puisque la libération des musulmans bénéficierait à chacun d’entre nous, je soutiens sans réserve les musulmans qui aiment la liberté.

Mon message pour eux est clair: le fatalisme n’est pas une solution; l’expression « Inch ‘Allah » est une malédiction, la soumission est une honte.

Libérez-vous. Il n’en tient qu’à vous.

Geert Wilders

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« Piqué » chez Gérard Brazon…