Francaisdefrance's Blog

20/03/2012

Le racisme anti-Français s’affiche ouvertement à St Mitre les Remparts (13) !

Mais non; le racisme anti-Français est une pure invention…
FDF
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L’affaire est trop grave…
  il est fort probable que l’omerta et les médias tenteront de taire l’information !!!

  Voici ce qu’un témoin m’a écrit…avec photos à l’appui !!! Sur des évènements survenus cette nuit à St Mitre les Remparts (13)… petit village UMP… cerné de racailles socialo-communistes et autres  pro-diversité..

  On nous ment : C’est l’anarchie, la France serait-elle déjà en guerre civile ???
  René.

 SAINT-MITRE-LES-REMPARTS

                                  La ville de Saint-Mitre victime d’un commando raciste

  Le matin du 3 mars, au réveil, la population de la commune a été sous le choc. En effet, dans la nuit du vendredi 2 au samedi 3mars, la ville de Saint Mitre a été victime d’un commando raciste (non identifié à cette heure), qui a souillé de nombreux murs d’inscriptions ignobles et d’un racisme anti-français outrancier.
  Des dizaines de tags ont couvert les façades de bâtiments aussi bien privés que publics, comme par exemple l’école Jean Rostand affublée d’une infâme inscription ne respectant ni la nation, ni les enfants qui fréquentent l’établissement scolaire. Partout, y compris sur les murs du stade René Jauras, sur les abris-bus, sur les portails de garage, et même sur des véhicules,les insultes et les menaces d’une extrême violence (menaces de viol des jeunes filles et des femmes) ont été répertoriées.
 Les polices municipales et nationales ont déclenché une enquête sur ces actes racistes, violents, menaçants, et sur ces actes de vandalisme contre les propriétés publiques et privée de la commune.

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 Photos :
 De nombreux tags racistes anti-français et menaçant de viols la population féminine ont souillé des dizaines de façades de bâtiments publics et privés de la commune.

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Source: http://www.luniondescitoyenspatriotesleblog.com/

22/02/2012

« Peut-on raisonnablement calculer le coût de l’immigration ? »…

Encore de la « bonne lecture »…

FDF

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Dessin d’illustration

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Le 16 février, l’Institut de géopolitique des populations a organisé un colloque sur « Peut-on raisonnablement calculer le coût de l’immigration ? » Voici un premier compte rendu de ses travaux.

Pourquoi ce colloque ? Pour hâter une prise de conscience collective des coûts, écrasants, d’une immigration incontrôlée qui détruit peu à peu la France.

Le Tableau de bord de l’Immigration en chiffres présenté en introduction illustre tout le drame français : une immigration annuelle qui ne faiblit pas, avec des entrées annuelles de 200.000 personnes environ, 250.000 au moins avec l’immigration clandestine ; une immigration familiale proche de 100.000 par an ; une immigration par mariage soutenue, proche de 50.000 par an, qui renforce l’implantation de l’Islam en France ; des naturalisations à haute dose, 100.000 personnes par an, qui créent peu à peu un peuplement de substitution. En bref, les frontières de la France sont de véritables passoires à l’immigration.

— La poursuite de l’immigration, une malchance pour les immigrés eux-mêmes

On retiendra d’entrée de jeu l’approche originale et humaniste du professeur Bichot qui s’attache à décrire les coûts supportés par les immigrés eux-mêmes. En fait, il va plus loin et dénombre quatre catégories de populations qui supportent l’impact de l’immigration, à savoir : les migrants eux-mêmes ; les habitants du pays de départ ; les autochtones du pays d’arrivée ; mais aussi les immigrés déjà installés et les allochtones de la seconde génération dont le taux de chômage est particulièrement élevé. Il en ressort qu’à divers titres tous sont plus ou moins victimes de coûts financiers mais aussi de coûts psychologiques ou sociologiques. En conséquence, loin d’être une bonne affaire, loin d’être une chance comme les naïfs ou les cyniques de la gauche l’ont répété à satiété, l’immigration est une malchance pour tout le monde. L’immigration, ce n’est pas la solution, c’est le problème.

Coût de l’immigration installée : 72 milliards d’euros

L’approche d’Yves-Marie Laulan, économiste et démographe, est très différente. D’une part, il a voulu cerner les coûts macro-économiques de l’immigration en termes de production, de consommation, d’investissement mais aussi de productivité. Il ressort de son analyse que, loin de couvrir leurs coûts nets à la collectivité, estimé à 72 milliards d’euros, les immigrés ne peuvent financer leurs dépenses de consommation que par recours à une aide sociale massive et à des activités hors marché. Sous l’impact de l’immigration, la France prend peu à peu le chemin du sous-développement économique avec une chute des investissements et de la productivité. D’autre part, Yves-Marie Laulan s’est efforcé de calculer le coût des dépenses des immigrés dans ces trois grands biens sociaux que sont la santé, le logement et l’éducation, sans oublier les coûts secondaires du maintien de l’ordre, de la justice, auxquels s’ajoutent les diverses prestations sociales dont bénéficie la communauté immigrée. Là encore, le coût net estimé revient à peu près au même montant : 73,3 milliards d’euros. Il conclut enfin que l’immigration exerce un impact négatif très fort sur le déficit budgétaire, 85 milliards d’euros, et donc sur l’endettement de la France : 1.646 milliards d’euros. On parvient toujours à la même conclusion : l’immigration n’enrichit pas, elle appauvrit la France et les Français. L’immigration est financée par l’endettement : un comble en période de crise.

Coût de l’immigration annuelle supplémentaire : 18 milliards

Jean-Yves Le Gallou, essayiste, aborde cette problématique avec un autre objectif : calculer le coût annuel de l’immigration supplémentaire, autrement dit, les nouvelles entrées sur le territoire français, qu’il chiffre, de façon très conservatrice, à 200.000 personnes par an seulement. Sa méthode d’investigation est également plus originale, et sans doute plus complète. Car il prend en compte, en sus des coûts classiquement retenus – indemnisation du chômage, fonctionnement des services publics, etc. –, les coûts d’infrastructure supplémentaires retenus par Maurice Allais, le seul prix Nobel français d’économie : il s’agit des transports, de la construction de nouveaux établissements scolaires, des prisons, des universités, etc. Il parvient ainsi, selon cette méthode, à un coût supplémentaire de 18 milliards chaque année. Ce chiffre peut paraître exorbitant. Pourtant, rapporté à la dépense publique de la France, 1.000 milliards environ par an, ce coût ne représente, après tout, que 1,8% de ce total. Il est donc parfaitement plausible. Mais attention ! C’est quand même 6 fois plus que la part de la dépense publique allouée à chaque citoyen de l’Hexagone (1,8% de dépenses pour une population de 0,3%).

— Coût de l’immigration clandestine : 5 milliards et le développement rapide de l’économie informelle

Jean-Paul Gourevitch, expert, s’attaque à un dernier problème difficile : calculer le coût de l’immigration clandestine, cette fois (probablement 500.000 personnes). Il parvient à un chiffre annuel proche de 5 milliards d’euros par an. Mais il nous apprend au passage un phénomène autrement inquiétant : le développement rapide de l’économie informelle au sein de l’économie française (travail au noir, drogue, prostitution, délinquance). Et il nous prévient : au-delà d’un pourcentage de 30%, c’est la disparition programmée d’un Etat organisé dans une société moderne. C’est le chemin le plus court vers le sous-développement économique. On y court. Il conclut sur l’islamisation progressive de la société française.

— Démantèlement du système scolaire et disparition de la mémoire collective

Le professeur Philippe Conrad, de son côté, dresse un tableau dramatique du reflux des Français d’origine devant les immigrés dans les banlieues, « les territoires perdus de la République » et du démantèlement du système scolaire sous la poussée de l’immigration. Plus grave : on assiste, impuissant, à la dégradation de la langue française remplacée par une espèce de sabir parlé dans nos écoles. Mais ce qui frappe le plus, car il s’agit de l’âme de la France, c’est la perte d’un bien inestimable : la disparition de la mémoire collective. Dès lors, la France ne sera plus la France. Et la France n’est déjà plus la France. Et les Français ne le savent pas.

— Loi du mensonge et omertà

En fait, ils ne veulent pas le savoir. C’est Joëlle-Anne Robert qui nous l’affirme. Car la France d’aujourd’hui se caractérise par le règne d’une double loi : la loi du mensonge et celle de l’ « omertà », celle du silence maffieux. Or c’est bien une maffia d’une nouvelle sorte visant à travestir la réalité et à maintenir l’opinion dans l’ignorance qui est en œuvre autour de nous. Les médias distillent le mensonge, les organismes officiels le diffusent, les administrations publiques et bruxelloises font barrage à la vérité. L’objectif visé est partout et toujours le même : empêcher le public de savoir pour l’empêcher d’agir et de réagir. C’est le refus de voir des uns et la peur de savoir des autres.

Se reporter, pour plus de détails, dans l’attente des Actes, le site de l’Institut de géopolitique des populations. http://www.institut-geopolitique-populations.fr/conferences.php

Correspondance de l’Institut de géopolitique des populations
20/02/2012

Source: http://www.polemia.com/

Merci à DG…

11/02/2012

Quand LICRA rime avec omertà…

Le cas Thierry Gaubert…

Attendons les aboutissants. Les tenants sont dans les lignes ci-dessous…
FDF

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Le 6 février s’est ouvert devant le Tribunal correctionnel de Nanterre le procès de Thierry Gaubert pour ce que Libération (1) qualifie de « ribambelle de délits : abus de confiance, escroquerie, emploi de fausse qualité… » commis sous de « multiples casquettes : conseiller politique [de Nicolas Sarkozy], promoteur immobilier, banquier adepte de comptes offshore ».

Logement social et train de vie royal

Le tout commis grâce à d’habiles détournements du « 1% », pourcentage de la masse salariale que les employeurs consacrent au logement des employés et dont bénéficient les Comités interprofessionnels du logement (CIL). Patrons d’un de ces CIL dans les Hauts-de-Seine, département français concentrant le plus de sièges de grosses sociétés et où, même ramené à 0,34%, le « 1% » constitue donc un énorme pactole, Gaubert et son complice, le promoteur immobilier Philippe Smadja qui comparaît avec lui au banc d’infamie, y auraient multiplié pendant des lustres, selon l’ordonnance de renvoi en correctionnelle, « des montages immobiliers complexes », voire carrément illégaux.

Ces montages auraient permis au tandem « d’encaisser une plus-value de 2,4 millions de francs en 24 heures, à Levallois-Perret », sur les terres du député-maire Patrick Balkany, dont l’épouse est née Smadja – bien que ce patronyme ait été très répandu dans la communauté juive d’Afrique du Nord, y aurait-il un lien de parenté entre Isabelle Balkany et le promoteur immobilier ? Ces mêmes montages auraient-ils aussi permis de mener à Neuilly, dans le fief de Nicolas Sarkozy, une opération « déficitaire pour la commune mais profitable » aux deux dirigeants du CIL, dont l’ordonnance de renvoi rendue par le juge d’instruction Richard Pallain pointe aussi le « train de vie excessif sans rapport avec la finalité non lucrative » du 1%.

Outre un salaire annuel de 500.000 francs versés par une filiale, Thierry Gaubert et Philippe Smadja bénéficiaient aussi, affirme Libération, « d’une kyrielle d’avantages annexes : 70.000 francs de frais de cocktail, 28.000 francs d’amendes de stationnement, un poste « pourboires et dons » de 30.000 francs », ce qui n’empêche pas Gaubert de clamer qu’il n’y a eu « aucun enrichissement personnel, aucun préjudice ». Tel n’était pas l’avis de l’Anpeec (organisme de tutelle du 1%), de la Milos (en charge de l’inspection du logement social) et de l’Inspection générale des Finances qui avaient dénoncé dans plusieurs rapports ce qu’un haut fonctionnaire de Bercy estime avoir été « des fautes graves, la plupart délictuelles ».

La CGT et le MEDEF au secours des aigrefins

Comment expliquer alors l’inertie de la justice, pourtant alertée par deux syndicalistes (CGT et CFTC), administrateurs du CIL, qui avaient porté plainte ? Il est vrai que les deux importuns furent aussitôt désavoués par leurs syndicats respectifs, la centrale communiste allant alors jusqu’à faire savoir que « la plainte personnelle déposée n’engage pas la confédération dans toutes ses structures » !

« Pas question pour les syndicats de salariés de se mêler des tambouilles patronales, le 1% logement étant le domaine réservé du MEDEF », commente Libération qui précise que le grand patronat manifesta « peu d’enthousiasme au grand déballage, d’autant que son vice-président en charge du logement a longtemps été Louis-Charles Bary, premier adjoint de Nicolas Sarkozy à la mairie de Neuilly… Au Tribunal de grande instance de Nanterre valsent les magistrats tandis qu’un seul policier est affecté à l’enquête. Dix ans de perdus avant que le juge d’instruction Richard Pallain ne s’empare du dossier. »

Un incroyable blocage. A quelle puissante motivation attribuer les réticences à la fois de la chancellerie, du patronat et des syndicats de gauche ?

Frère de Patrick, donc intouchable

« On nous avait demandé de faire le ménage en douceur, Gaubert ayant une impunité », a confié à Libération un proche du MEDEF. Une impunité, voire une immunité, mais, encore une fois, comment expliquer un tel état de choses ?

Successivement marié à Diane Barrière, héritière du célèbre groupe casinotier et hôtelier, puis, le 12 janvier 1988, à la princesse Hélène de Yougoslavie, Thierry Gaubert était devenu l’intime et le conseiller très écouté de Sarkozy à la mairie de Neuilly, suivant ce dernier quand il fut ministre du Budget sous Edouard Balladur (1993-1995) et ensuite ministre de l’Intérieur dans les gouvernements Raffarin et Villepin (2002-2007) avec un passage au ministère des Finances. Mais le fait qu’il ait été un fleuron du Tout-Paris ne suffit pas à justifier cette omertà.

Ce silence, en revanche, devient tout à fait compréhensible quand on sait que Thierry Gaubert, issu de « parents immigrés en France dans les années 1930, le père (2) venant de Roumanie, la mère de Russie », est certes l’intime du chef de l’Etat mais, ce qui est beaucoup plus important, c’est qu’il est le frère de Patrick. En effet, Patrick n’est pas seulement « député européen » comme le présente de manière très elliptique un pourtant très long article du Point (trois pages !) paru le 2 février dernier : ancien conseiller de Charles Pasqua au ministère de l’Intérieur d’où il entreprit de lancer en 1994 une « fulgurante répression » contre tous les organes de presse mal-pensants, l’aîné des fils Gaubert avait été en effet en 1986 le président-fondateur de l’association DAVID (Décider et agir avec vigilance pour Israël et la diaspora) avant de devenir, de 1999 à 2010, l’indéboulonnable et très influent président de la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme, autrement dit la célébrissime et encensée LICRA, à la tête de laquelle il a été remplacé par l’avocat Alain Jakubowicz.

Se présentant en descendant de déportés et menant le bon combat, le seul qui importe, comme en témoignent les innombrables procès où il se porta partie civile contre tous les « ennemis de la démocratie », Patrick Gaubert est intouchable, pour la gauche comme pour la droite, et l’impunité-immunité s’étendait à son cadet auquel, en 2011 encore, François Pérol, nouveau président des Banques Populaires-Caisses d’épargne (3), offrait le poste prestigieux, et richement rémunéré, de directeur des relations publiques du groupe BPCE – poste qu’il a dû abandonner tout récemment.

Sa (luxueuse) cabane à Bogota

Il aura fallu l’acharnement d’un magistrat, et surtout le développement du scandale des énormes rétrocommissions sur les ventes d’armes et de sous-marins de type Agosta vendus au Pakistan, rétrocommissions ayant très vraisemblablement bénéficié en 1994-95 au candidat Balladur et dont Patrick Gaubert fut avec le Libanais Ziad Takhiedine la cheville ouvrière, pour que s’effrite la protection dont jouissait l’affairiste. Il est vrai que, dans ce cas il y avait eu mort d’hommes : le 8 mai 2002, onze employés de la Direction des constructions navales chargée de l’exécution du contrat et trois de leurs accompagnateurs pakistanais périssaient dans un attentat. D’abord attribué à Al-Qaïda (on ne prête qu’aux riches) par le juge d’instruction Bruguière notamment, on sait aujourd’hui que ce massacre avait été décidé par de hauts chefs militaires pakistanais furieux de ne pas avoir perçu leur « dû », Jacques Chirac ayant interrompu le versement des commissions après son accession à l’Elysée. L’affaire aura en tout cas été fructueuse pour Thierry Gaubert qui, grâce à son entregent, s’est constitué une fameuse pelote. L’enquête menée à la demande du juge Renaud Van Ruymbeke a fait apparaître la présence dans la Confédération helvétique d’un compte, établi « au nom d’une coquille immatriculée aux îles Vierges », sur lequel a été déposé dans les années 1990 « un million de francs suisses, outre 3,288 millions de francs français ». De ces versements l’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy prétend n’avoir gardé « aucun souvenir, ni des montants ni des dates ». De même l’étourdi Thierry est-il incapable de dire comment, et surtout pourquoi, il s’est fait construire en 2001 près de Bogota, en Colombie, une somptueuse demeure – évidemment jamais déclarée en France – de plus de 1.000 mètres carrés avec piscine.

Le « volant Karachi » ne sera pas évoqué au procès de Nanterre. Il s’achèvera le 17 février avant la mise en délibéré. Pendant ce délai, les magistrats auront peut-être la curiosité de feuilleter l’autobiographie de Patrick Gaubert, noblement intitulée Les Droits de l’homme ne se négocient pas (éditions de l’Archipel 2009) et dans lequel celui qui était alors président de la LICRA en même temps que président du Haut Conseil à l’Intégration nommé à ce poste par Nicolas Sarkozy en 2008, écrivait à propos de ces droits qu’ « ils ne sont en effet pas négociables, pas adaptables. Ils sont universels et toute formule “à la carte” ne serait qu’un tragique retour en arrière, une régression dramatique pour l’humanité ». Tout indique pourtant que c’est une « formule “à la carte” » qui a si longtemps permis à Gaubert Thierry d’être mis à l’abri du glaive de Thémis.

Attendons l’issue de ce procès de Nanterre et voyons à quelques semaines de l’élection présidentielle quel sera le verdict.

Claude Lorne
6/02/2012

Notes :

1. Libération du 7/02/2012.
2. Né Ancial Goldenberg, voir tome I de l’Encyclopédie politique d’Emmanuel Ratier (éd. Facta) repris par Wikipedia.
3. Sur la connexion Sarkozy-Pérol, lire le chapitre 8 (« Xavier Niel, ou quand le porno mène à tout ») dans la nouvelle brochure de Polémia, Les médias en servitude, disponible en PDF sur Internet.

Image : Le mariage de Th. Gaubert avec la princesse Hélène célébré en la mairie de Neuilly par Nicolas Sarkozy

Source: http://www.polemia.com/

Merci à DG…

12/07/2011

La riposte des webmestres aux menaces de Mme le maire de Lille, ville « islamo-complaisante »…

C’est elle qui a commencé… Les blogs et sites se déchaînent. Pas bon pour les présidentielles, ça…

Il y va fort, Bernard. Un type qui n’a pas peur; comme j’aimerais en voir plus souvent.


FDF

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La Martine de Lille

 » Encore une chronique de Bertrand. Un homme précieux, particulièrement bien renseigné qui nous informe sur le Maire de Lille…eh oui « on » dit « le Maire »

Au cas ou vous ne le sauriez pas Martine est la dame des 35 h, mais c’est aussi celle qui, Ministre du travail de l’impossible Miterrand (deux RR ? deux TT…je ne sais plus) disait à qui voulait l’entendre que les immigrés (ces pauvres exploités par les « capitalistes ») ne trichaient pas aux Assédic, mais les « nationaux » oui ! Pour « nationaux » elle entendait les « Gaulois » ou les « sous-chiens »  comme on dit aujourd’hui.

Vous ne trouvez pas que çà évolue très vite et dans le mauvais sens ?

Aller ! Laissons la parole à Bertrand. 

§

Martine décidément n’en finit plus de faire des siennes… Voilà qu’elle part en campagne contre les pseudo « désinformateurs » de droite voire « d’extrême droite » (ça fait tout de suite mieux…) qui oseraient déballer sur la place publique des secrets de polichinelle la concernant ou au sujet de son mari. Elle vient de faire une erreur majeure de communication, car tous les médias sont au courant de ses problèmes d’alcoolisme et savent que son mari a bien fait sa réputation en défendant des islamistes en particulier les provocatrices voilées depuis 2001.

Ca et là vous pourrez retrouver des reportages réalisés par des antennes nationales au sujet des entorses à la loi sur la laïcité de 1905 dans sa belle ville de Lille comme le confirme un reportage d’ARTE déjà ancien : http://www.youtube.com/watch?v=J_TFZT6n4wY   

L’omerta sera-t-elle de retour ? Elle fonctionne toujours avec les puissants, nourrie par des menaces de poursuites vite propagées parmi les administrateurs de sites web si bien qu’une opération de « grand nettoyage de l’été » est en cours ! Et Martine va-t-elle attaquer en justice tous ces vilains journalistes et ces horribles média vendu à la droite nationaliste qui ont mis en évidence ses compromissions et sa collaboration active avec les organisations islamistes notamment la ligue islamique du Nord dirigée par Amar Lasfar membre de l’UOIF (organisation salafiste des frères musulmans) ?  J’en doute ! (Lire au sujet de cet imam salafiste, le dossier de Riposte Laïque : http://ripostelaique.com/Amar-Lasfar-l-islamiste-du-Nord….

Alors ne nous laissons pas intimider par Madame Brochen et faisons tourner les vraies infos et les vidéos qui montrent des extraits de ces reportages afin d’empêcher la tentative de blanchiment de Martine ! Et puisque les administrateurs de sites ont le trouillomètre à zéro, je vous récapitule ce qui ne relève d’aucune rumeur et qui est la stricte vérité connue de tous :

–        Martine a effectué trois cures de désintoxication alcoolique par sevrage dans un établissement psychiatrique spécialisé dans le traitement des addictions (Maison de santé de Merfy dans la Marne ?). Un parent dirigeant d’entreprises en retraite, habitant Lille, tout à fait sérieux, très respectable et très estimé m’avait fait part il y a plusieurs années des « déboires » de la mairesse de Lille avec l’alcool. Je l’ai donc rappelé et il m’a confirmé ces faits me précisant qu’à Lille c’est un secret pour personne.

–        Martine a bien épousé en secondes noces, Jean Louis BROCHEN, avocat et ancien bâtonnier du barreau de Lille mais aussi ex-adjoint à la culture de la mairie de Lille. Maître Brochen doit sa réputation médiatique de défenseur des provocateurs salafistes et communautaristes à plusieurs dossiers qu’il a choisi de plaider en connaissance de causes :

  • Les 17 jeunes filles voilées exclues du Lycée Faidherbe de Lille à la rentrée de septembre 1993 (procès de 1994) ;
  • en 2001, Lionel DUMONT l’un des terroristes et criminels du Gang de Roubaix (condamné par la cour d’assises du Nord à 30 ans de réclusion criminelle pour tentative d’attentat à la voiture piégée et attaques à main armée avec violences agravées notamment avec usage des armes contre les forces de l’ordre (peine réduite par la cour d’appel de Paris a à 25 ans…). Un article de l’Express du 5 avril 2007 qualifiait Lionel DUMONT d’ « islamiste »… http://www.lexpress.fr/actualite/societe/gang-de-roubaix-… lui conseillé par ses avocats se défendait d’être un djihadiste…
  • en 2003 les rappeurs maghrébins du groupe « SNIPPER » traduit devant le tribunal de Lille pour incitation à la haine contre les policiers et la France (plainte déposée par l’AGRIF Association Général contre le Racisme et pour l’Identité Française qui visait à faire annuler la prestation du groupe le 30 novembre 2003 à Lille) ;
  • Rencontre et Dialogue, l’association culturelle de Roubaix présidée par Ali Rahni dont vous comprendrez les objectifs clairement communautaristes en parcourant leur page Internet. 

Personne ne peut nier qu’un avocat ne choisi pas toujours les clients pour lesquels il doit plaider. Choisir de façon récurrente de défendre des provocateurs salafistes et un convertis au djihad devenu terroriste, que faut-il de plus pour se tailler une belle réputation ? Serge Klarsfeld aurait-il accepté de défendre Klauss Barbi devant la cour d’assise de Lyon et aurait-il le cas échéant récidivé pour Maurice Papon ? 

Quant aux préférences sexuelles de Martine, cela ne nous regarde pas, sauf si elle décidait de faire passer une loi sur le mariage des homosexuels : Il ne faut tout de même pas pousser Martine dans les orties ! « 

Bertrand

Source: http://tinyurl.com/63wlbp7

13/06/2011

Démocratie à la française…

« Faut pas dire ci, faut pas dire ça »; que de vérités, que l’on peut constater tous les jours. Et on laisse faire; en bons « franchouillards » que nous sommes…

FDF

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La NON-démocratie française : comment les libertés sont muselées ?

« Vous n’avez pas le droit de dire ça », voilà une formule qu’on entend bien souvent sur les médias. « On ne peut que soutenir cette demande », voilà ce qui motive bien des votes dans les assemblées politiques. Mais alors que reste-t-il alors de la liberté de débat et de la liberté de décisions ? Polémia fait le point.

« Vous n’avez pas le droit de dire cela »

« Vous n’avez pas le droit de dire cela » : à la radio et à la télévision, c’est la phrase clé des défenseurs du politiquement correct : Domenach, Aphatie et autres Joffrin en usent et en abusent. Et gare à ceux qui s’écartent de l’oukase !

Frédéric Taddeï a tenté d’ouvrir les horizons intellectuels de son émission Ce soir ou jamais : France 3 a décidé de diviser son temps d’antenne par quatre. Eric Zemmour a osé déclarer « La plupart des trafiquants de drogue sont noirs ou arabes » : France 2 l’a viré de l’émission On n’est pas couché dont il était la vedette. Et selon l’Express Robert Ménard serait chassé de RTL à la rentrée. Il est vrai que l’ancien président de Reporters sans frontières s’était mis en tête de défendre la liberté d’expression non seulement en Chine et en Iran mais aussi en France : quelle idée ! Dans les médias la machine à épurer fonctionne à plein régime.

Les sanctions pleuvent sur les dissidents

Les politiques n’y échappent pas. Christian Vanneste, qui combat l’homosexualisme militant, a été diabolisé bien qu’il ait gagné en Cassation les procès qui lui étaient faits.

Chantal Brunel, député UMP de Seine-et-Marne, paie au prix fort sa déclaration où elle suggérait de remettre dans des bateaux les clandestins de Lampedusa : son mari vient d’être mis en cause pour abus de biens sociaux à propos des élections législatives de 2002. Peut-être des irrégularités ont-elles été commises, mais pourquoi les poursuivre maintenant et seulement maintenant, alors que les faits supposés remontent à 2002 et la dénonciation à 2004 ? Et pourquoi seulement celles-là ?

De même on vient de s’aviser que la situation administrative de Luc Ferry serait irrégulière. Voici le fait générateur de cette découverte : Luc Ferry a brisé l’omerta en évoquant un ancien ministre qui aurait été « poissé » à Marrakech avec des mineurs. Immédiatement, le Canard enchainé a joué son rôle de garde-chiourme du Système !

En France, le volume du Code pénal a doublé en trente ans : cela n’a guère contribué à rétablir la sécurité publique mais cela aide à « tenir » les gens. Quiconque sort des clous du politiquement correct s’expose à une mise en cause médiatico–judiciaire. A contrario, et jusqu’à son accident new-yorkais, DSK a bénéficié d’une immunité médiatico-judiciaire sans faille malgré ses frasques sexuelles et le financement scabreux de ses campagnes politiques par Euro-RSCG.

« On ne peut que soutenir cette demande » : cette phrase-valise sert souvent dans les assemblées parlementaires ou les conseils locaux pour justifier l’attribution de subventions. Il suffit que l’association demanderesse soit politiquement correcte pour obtenir sans examen sérieux l’argent qu’elle réclame : associations immigrationistes, lobby antiraciste, mouvements culturels en rupture avec les traditions, mouvance homosexualiste se financent ainsi sur le dos des contribuables. Sur ces sujets-là, il n’y a pas de débat possible dans les assemblées sauf sur des amendements… d’augmentation des crédits proposés. Ceux des élus, qui au fond d’eux-mêmes, au PS ou à l’UMP, sont défavorables à certaines subventions, se taisent ou se terrent. Pour ne pas risquer d’être diabolisés.

Résultat : les élus votent des subventions à des associations qui paient des avocats qui les poursuivent pour limiter la liberté de parole des politiques ; et lorsque l’Etat défend devant un tribunal l’expulsion d’un étranger clandestin, il n’a pas d’argent pour se payer un avocat ; mais il en a donné à l’association qui paye… l’avocat du clandestin.

La démocratie suppose la libre et équitable confrontation des idées et des volontés. En France, ces conditions ne sont pas remplies. La démocratie y est un leurre, la NON-démocratie est la règle.


vu sur http://www.polemia.com/article.php?id=3864

06/06/2011

Une femme d’affaires italienne reconnaît avoir reçu une série de SMS « graveleux » d’un certain… Dominique Strauss-Kahn.

Ouhais… Des SMS, ça laisse des traces… Je veux bien reconnaître que DSK est poursuivi (en plus de ses ennuis avec la justice)  par une réputation peu flatteuse pour un haut responsable financier mais là…

FDF

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Isabella Lenarduzzi, une femme d’entreprise italienne, assure avoir été contactée à plusieurs reprises par l’ancien patron du FMI, selon «Le Soir» de samedi.

Dans une interview accordée au quotidien belge Le Soir, Isabella Lenarduzzi, une spécialiste de la communication et femme chef d’entreprise, évoque le milieu professionnel dans lequel elle évolue. Organisatrice d’événements depuis vingt ans, l’Italienne a rencontré une multitude d’hommes de pouvoir, avec tous un point commun: un machisme assumé.

Et ce, que ce soit par des réflexions ou «des remarques à connotations sexuelles comme « tu sais bien que nous ne sommes pas contre les femmes, nous sommes tout contre elles ». Et c’est encore la plus douce!» Des comportements qui peuvent mener jusqu’à des comportements proches de la «violence sexuelle», précise Isabella Lenarduzzi. Résultat: des propositions déplacées, parfois exprimées oralement. Et dans ce domaine, certains hommes de pouvoir détiennent la palme. «Les pires, ce sont les milieux politiques et académiques, comme s’il y avait là une forme d’omerta.»

DSK plaidera-t-il coupable ou non coupable?

Et la femme d’affaires italienne reconnaît par exemple avoir reçu une série de SMS d’un certain… Dominique Strauss-Kahn. «C’était une vraie forme de harcèlement avec des SMS vraiment graveleux. Au bout de quelques semaines sans réponses, il a arrêté. Mais cela prouve à quel point il devait être obnubilé par ses pulsions… Cela ne prouve pas qu’il soit coupable, bien sûr, mais il a un environnement de culpabilité.»

À noter que Dominique Strauss-Kahn doit se présenter ce lundi devant le tribunal de New York pour plaider coupable ou non coupable des sept chefs d’inculpation retenus contre lui, dont viol et d’agression sexuelle. S’il plaide coupable, la procédure s’arrête et la défense négocie avec l’accusation l’allègement des charges et de la peine. S’il plaide non coupable, ce qui semble être le plus probable au vu des déclarations de ses avocats et par lui-même dans sa lettre de démission du FMI-, un procès sera programmé, à une date encore inconnue.

Source: http://www.lessentiel.lu/fr/

01/06/2011

Et si on reparlait de Strauss-Kahn ?

Il est vrai que les médias on tendance à l’oublier, DSK. Comme c’est bizarre… Les têtes tombent à Droite; ce n’est pas une raison pour passer sous silence celui par qui tout a commencé… Petit rappel des faits et historique de son ex-rôle au FMI…

FDF

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«La Grèce devrait s’en sortir» pronostiquait à la mi-avril M. Strauss-Kahn encore directeur général du Fonds Monétaire International. Un vœu passé déjà au bilan formidablement positif de l’ex présidentiable français en application d’une bonne vieille habitude celle de l’effet d’annonce, à savoir ce vilain travers consistant à vendre la peu de l’ours avant de l’avoir tué. C’est ce bilan magique qui a été brandi comme une excuse absolutoire dès la première heure du drame tragi-comique qui a décapité le FMI…

Cela a été un régal d’entendre certains médiacrates mentir comme des arracheurs de dents en exaltant les succès du satyre de Brooklyn dans le sauvetage des économies européennes en perdition. Mieux encore lorsque ces mêmes médiamenteurs nous assuraient froidement tout ignorer de la vie sexuelle pour le moins désordonnée du grand homme. Peu à peu cependant les langues se sont déliées, nécessité oblige : maintenir l’omerta devenait en effet difficile tant elle commençait à prendre eau de toutes parts !

Mais cette déroute de la première ligne du mensonge a laissé intact les trois suivantes… La suivante, venons-nous de dire, le bilan ultra positif à la tête de l’Institution financière internationale attribué à ce triste sire. Un argument traductible par : quelle honte, quel malheur de harceler un si grand homme, le sauveur de l’Union européenne avec de telles peccadilles ? Nous allons voir ce qu’il faut en penser…

Suite et source: http://www.lepost.fr/article/2011/05/31/2510634_le-vrai-bilan-de-strauss-kahn-au-fmi.html


05/12/2010

Avez-vous noté l’extrême discrétion des médias du système au sujet du dernier referendum suisse?

RIEN notamment sur les principales chaînes TV!

Les criminels étrangers, dans ce pays, seront désormais renvoyés chez eux. Le peuple en a ainsi décidé, à une forte majorité, par referendum populaire.


Pourquoi ce silence chez nous?

Parce que nos dirigeants savent fort bien que le même referendum, s’il était organisé dans n’importe lequel des Etats membres de l’UE et notamment en France, entraînerait la même réponse qu’en Suisse. Donc, la police de la pensée intervient et impose l’omerta.

Bravo la Suisse!

Lire: Bravo la Suisse

11/09/2010

En France, on fait de la prison pour un simple délit d’opinion…

Mais quand on est une racaille, d’origine étrangère, que l’on tue, même un policier, on risque beaucoup moins. Ce ne sont pas les exemples qui manquent en ce moment… Pourquoi cette préférence non-nationale?

FDF

Non à la prison pour délit d’opinion !

En France, il y a toujours beaucoup de pétitionnaires pour défendre les libertés en Chine, au Kamtchatka, en Birmanie ou en Iran. Bruyant mais facile. Il y a, hélas, moins de monde au portillon pour défendre les libertés… en France. Toujours à contre courant de l’idéologie dominante, c’est pourtant ce qu’a choisi de faire Polémia.

Car quand un Français est en prison en France pour un simple délit d’opinion – et ce pour la première fois depuis les périodes de guerre – il n’est pas possible de se taire.

Polémia

Emprisonnement de Vincent Reynouard : Radio Courtoisie brise l’omerta

Jusqu’à présent les médias français, agences de presse comprises, ont observé un silence complet sur l’emprisonnement de Vincent Reynouard. Une radio vient pourtant de briser l’omerta : Radio Courtoisie (95.6 mHz), le lundi 30 août, dans l’émission « Le rendez-vous politique de la réinformation » (reprise le mardi 31). Etaient présents : Henry de Lesquen, président de Radio Courtoisie, Jean-Philippe Arlaud, ancien commandant de police, Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia, Eric Letty, directeur de la rédaction de Monde & Vie.

Annonçant la seconde partie de l’émission, Henry de Lesquen explique : « J’aurais envie de commencer d’ailleurs la seconde partie de cette émission en disant qu’il y a au moins des délits pour lesquels on trouve des places dans les prisons, ce sont les délits d’opinion puisqu’on vient de jeter Monsieur Vincent Reynouard en prison en France pour un délit d’opinion, le seul délit d’opinion, à ma connaissance – bon, ce n’est pas le seul mais en tout cas c’est celui qui est pénalisé le plus gravement – qui est le délit de révisionnisme ou encore on dit négationnisme, c’est-à-dire que Vincent Reynouard est un militant – ce n’est pas un historien, c’est un militant révisionniste – et en raison de ses opinions il a été mis en prison ; il n’a pas été condamné à une amende : il a été condamné à de la prison. Voilà. Je vous donne rendez-vous, chers amis de Radio Courtoisie, dans deux minutes. »

Deux minutes plus tard :
« Nous allons donc parler du cas de Vincent Reynouard qui est donc en prison, dans une prison française, après avoir été extradé de Belgique. Le seul crime qu’il ait commis ou le seul délit qu’il ait commis, c’est d’avoir émis une opinion interdite sur le sujet des chambres à gaz dans les camps de concentration.

— Jean-Yves Le Gallou : Il a diffusé un opuscule de 16 pages, je crois, révisionniste, qui lui a donc valu d’être condamné à un an de prison par la Cour d’appel de Colmar – en première instance, d’abord, puis par la Cour d’appel de Colmar ensuite. Alors, vous me direz : un an de prison, en général, quand on est condamné à un an de prison, on ne le fait pas puisque justement on manque de place dans les prisons et là, en l’occurrence, on a trouvé une place ; en l’occurrence, ce père de famille de 8 enfants a eu beaucoup de chance puisqu’on lui a trouvé une place dans une prison ! Il était en Belgique et le gouvernement français a obtenu son extradition et il est maintenant en détention à la prison de Valenciennes. C’est quand même un événement dont la presse n’a absolument pas parlé. Or, la réinformation, ça consiste à parler aussi des événements réels dont la presse et les grands médias ne parlent pas : et c’est un événement important puisque c’est la première fois en France, depuis très, très longtemps, que quelqu’un est en prison exclusivement – non pas pour un acte, non pas pour une violence, non pas pour un vol – exclusivement pour l’émission d’une opinion. Alors, on va dire, effectivement : « Ah oui mais, c’est une opinion odieuse », ce qui n’est évidemment pas un argument. La question de savoir si l’opinion est odieuse ou pas n’est pas un argument pour savoir si on doit mettre quelqu’un en prison puisque jamais aucun régime n’a mis en prison les gens dont il trouvait les idées sympathiques : ni Mao, ni Staline, ni Kim Il-Sung, personne ne met en prison les gens dont il trouve les idées sympathiques. Donc dire « il a des idées odieuses » ce n’est évidemment pas un argument recevable ; de même que dire : « Oui mais c’est contraire à la vérité » n’est pas non plus recevable dans la mesure où dans les domaines historiques, dans les domaines scientifiques ou dans les domaines politiques on considère, dans les sociétés européennes – depuis très longtemps parce que ça ne remonte pas seulement à la Déclaration des droits de l’homme, ni à la Renaissance, ça remonte à la réforme papale du XIe siècle et même au-delà, aux Grecs : est vrai dans ces domaines-là ce qui est librement réfutable ; c’est-à-dire qu’on peut dire : une proposition est vraie si d’autres ont la possibilité de démontrer qu’elle est fausse. Eh bien, malgré cela, Vincent Reynouard est en prison, en France, pour délit d’opinion et ça, je crois que c’est un événement qui mérite d’être souligné. Cela a valu à la France – c’est quand même un peu triste – des déclarations des autorités iraniennes et des autorités vénézuéliennes pour condamner cette atteinte aux libertés, ce qui est évidemment un petit peu ironique mais, après tout, la vérité c’est qu’effectivement il y a des choses qu’on peut dire à Paris et pas à Téhéran, mais il y a aussi des choses qu’on peut dire à Téhéran mais qu’on ne peut pas dire à Paris.

— Henry de Lesquen : Allez dire à Téhéran que Mahomet n’est pas…

— Jean-Yves Le Gallou : Voilà. C’est permis à Paris mais c’est pas permis à Téhéran, par contre d’autres choses qui ne sont pas permises à Paris sont permises à Téhéran…

Suite et source: http://tinyurl.com/34rqstp