Francaisdefrance's Blog

18/01/2012

Le ridicule est une arme pour ceux qui le dénoncent…

C’est en utilisant cette pratique (entre autres) que nous viendrons à bout de nos ennemis. Je pense à certains en particuliers.

Ne nous gênons pas, donc. En outre, il ne tue pas (le ridicule), dit’on. Allons-y gaiement !

FDF

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Voici quelques perles recueillies par notre presse vigilante. Astérix, Tintin, Babar, les Schtroumpfs véhiculeraient des stéréotypes racistes et  nazis!
La peste brune, décidément, se glisse partout. La peste verte aussi…

Absurdie

Merci à R.S.

Coran: « la taqiyya servant à duper l’ennemi est permise » !

La taqiyya est non seulement permise mais fortement encouragée. Et ce, dans tous les domaines où les musulmans ont accès… Le mensonge est aussi un pilier de l’islam…

Du moment qu’on le sait…

FDF

Double langage…

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Mahomet — qui constitue [pour le musulman] l’exemple de l’être humain parfait, dont la conduite doit être imitée dans les moindres détails — avait une conception pragmatique du mensonge. »
De plus, selon Mukaram, cette tromperie est classée comme taqiyya:

« la taqiyya servant à duper l’ennemi est permise » (13).

Plusieurs ulémas estiment que la tromperie fait partie intégrante de l’art de la guerre.
« La taqiyya pose un ensemble de problèmes éthiques.
Quiconque croit véritablement que Allah justifie, et même, par l’exemple de son prophète, encourage la tromperie, n’aura aucun scrupule éthique à mentir. »
« Puisque Allah est censé être la source de ces versets révélés, il est considéré comme étant Lui-même implicitement le perpétrateur absolu du mensonge, ce qui n’a rien de surprenant puisque il est décrit dans le Coran comme étant le meilleur makar, c’est-à-dire fourbe, trompeur »
« On peut conclure que face à l’opposition naturelle entre guerre et paix, qui existe dans le cadre occidental, il est plus approprié de parler d’une opposition entre guerre et dissimulation dans le cadre islamique. Car, selon le point de vue islamique, les périodes de paix, qui n’ont lieu que quand l’islam est plus faible que ses rivaux infidèles, sont des périodes de paix simulée et de dissimulation, bref de taqiyya. »

La doctrine de la Taqiyya

Les formulations de la taqiyya
La tromperie dans les exploits guerriers de Mahomet
La taqiyya dans la révélation coranique
La guerre est éternelle
L’hostilité sous les traits de la récrimination
Taqiyya   ou fourberie  musulmane

Voilà qui résume assez le texte ci-dessous,  que je vous conseille de lire, afin de ne pas vous laisser berner encore plus, le  titre à lui seul est suffisamment évocateur et explicite.
ET ENSUITE VOUS  NE POURREZ PAS DIRE QUE VOUS NE SAVIEZ PAS  CE QUI SE TRAMAIT,  et à QUI NOUS AVONS à FAIRE.

La Taqiyya et les règles de la guerre islamique
par Raymond Ibrahim
Middle East Quarterly

Translation of the original text: How Taqiyya Alters Islam’s Rules of War
Adaptation française: Jean Szlamowicz, pour debriefing.org

 http://www.meforum.org/2577/taqiyya-regles-guerre-islamique

L’islam doit apparaître aux non-musulmans comme une religion bien paradoxale. D’un côté, on ne cesse de la présenter comme la religion de la paix et, de l’autre, ses membres sont responsables de la majorité des actes terroristes dans le monde. Les apologistes de l’islam soulignent que cette foi se fonde sur une grande exigence éthique. Les autres constatent qu’il s’agit d’une religion légaliste. La dualité des critères de vérité et de fausseté dans l’islam révèle une nature paradoxale : car si le Coran est contre les croyants qui trompent d’autres croyants (en vertu du fait que « Allah ne guide pas celui qui est outrancier et menteur » (1), la tromperie aux dépens des non-musulmans, généralement appelée, en arabe, taqiyya, reçoit également l’approbation coranique et fait partie des actes légalement permis aux musulmans.
La tromperie musulmane peut être considérée comme un moyen, qui manque, certes, de noblesse, au service de la fin glorieuse que constitue l’hégémonie islamique de la chariah, considérée comme favorable aux musulmans et aux non-musulmans. En ce sens, il s’agit d’un mensonge altruiste, ce qui est autorisé. L’imam Mahmoud al-Masri a récemment donné en exemple une histoire où un musulman raconte un mensonge à un Juif pour le forcer à la conversion, et dont il parle comme d’une « magnifique tromperie ».
La taqiyya a deux utilisations principales. La plus connue consiste à masquer ses convictions religieuses par crainte de persécutions. Il s’agit là de pratiques historiques de la taqiyya au sein de la communauté chiite, dans tous les cas où leurs rivaux sunnites étaient plus nombreux et constituaient une menace. Inversement, les sunnites, loin d’être persécutés, ont toujours pratiqué quand c’était possible une forme de taqiyya au service du djihad contre les incroyants, faisant de la taqiyya une pratique non plus seulement de dissimulation, mais de tromperie active. En fait, le mensonge, qui a, dans l’islam, un fondement doctrinal, est souvent présenté comme égal, et parfois supérieur, aux autres vertus guerrières que sont le courage, la détermination, ou le sacrifice.
On pourra se demander comment il se fait que les musulmans soient à la fois exhortés à la sincérité et encouragés à la tromperie, et que cette dernière soit non seulement dominante mais bénéficie aussi de l’approbation divine.
Qu’est-ce au juste que la taqiyya? Comment les théologiens, ainsi que ceux qui en font usage, la justifient-ils ? Comment s’inscrit-elle dans l’éthique islamique, notamment dans son rapport avec les non-musulmans ? Et, plus précisément, quelles sont les implications de la taqiyya pour toutes les relations entre musulmans et non-musulmans ?

La doctrine de la Taqiyya
Selon la charia, c’est-à-dire l’ensemble des règles qui définissent le comportement d’un musulman dans toutes les circonstances de la vie, la tromperie est non seulement permise dans certaines circonstances mais peut être considérée comme obligatoire. Contrairement à la tradition chrétienne primitive, les musulmans contraints de choisir entre reniement de l’islam et persécution avaient la permission de mentir et de feindre l’apostasie. D’autres juristes ont décrété que les musulmans étaient obligés de mentir afin de se préserver (2), en se fondant sur les versets coraniques qui interdisent aux musulmans de concourir à leur propre mort (3).
Telle est la définition classique de la taqiyya. Construit sur un mot arabe connotant la crainte, le terme de taqiyya passe (notamment auprès des chercheurs occidentaux) pour une stratégie à laquelle on peut avoir recours en cas de persécution religieuse, ainsi que les groupes minoritaires chiites l’ont fait quand ils vivaient au sein de majorité sunnites hostiles (4). La taqiyya a ainsi permis fréquemment aux chiites de masquer leur appartenance religieuse face aux sunnites, non seulement en remisant leurs convictions religieuses à la clandestinité, mais en priant et en se comportant comme des sunnites.
Cependant, l’un des rares ouvrages consacrés à ce sujet, At-Taqiyya fi’l-Islam (« De la dissimulation dans l’islam ») dit clairement que la taqiyya ne se limite pas à la dissimulation par crainte de persécutions. Son auteur, Sami Mukaram, ancien professeur d’études islamiques à l’niversité américaine de Beyrouth, qui a écrit environ vingt-cinq ouvrages sur l’islam, démontre clairement la variété des applications de la taqiyya :

« La taqiyya est d’une importance fondamentale dans l’islam. Pratiquement toutes les factions islamiques la reconnaissent et la pratiquent (…) On peut même dire que la pratique de la taqiyya fait partie de la norme de l’islam, et que les rares factions qui ne la pratiquent pas sont justement en dehors de la norme musulmane. La taqiyya est dominante dans la politique islamique, en particulier durant la période moderne » (5).

La taqiyya n’est donc pas, comme on le suppose souvent, un phénomène exclusivement chiite. Bien sûr, en tant que minorité dispersée au sein de communautés sunnites ennemies, les chiites ont historiquement plus de raisons de pratiquer la dissimulation. Inversement, l’islam sunnite ayant rapidement dominé de vastes empires, de l’Espagne à la Chine, ses membres ne devaient rien à personne et n’eurent pas à faire allégeance à d’autres, ni à se cacher face à des incroyants infidèles (l’Espagne et le Portugal de la Reconquista sont les rares exceptions où les sunnites ont dissimulé leur identité religieuse (6)). Ironiquement, les sunnites qui vivent en Occident se trouvent désormais dans la situation qui était celle des chiites, puisqu’ils vivent comme une minorité encerclée par ses ennemis traditionnels, les chrétiens infidèles. Ces derniers, à la différence des chrétiens de la Reconquista, se comportent rarement en adéquation avec cette inimitié historique, et la reconnaissent encore moins. En fait, les sunnites se retrouvent dans les circonstances générales qui ont fait de la taqiyya un élément important du chiisme mais sans risquer la menace physique qui en avait été initialement la source.

Les formulations de la taqiyya
Le verset 3:28 du Coran est souvent considéré comme le premier qui admet la tromperie envers les non-musulmans :

« Que les croyants ne prennent pas pour alliés des infidèles au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux » (7).

Muhammad ibn Jarir at-Tabari (mort en 923), auteur d’un commentaire du Coran, qui fait autorité, explique ainsi le verset 3:28 :

« Si vous [les musulmans] êtes sous l’autorité de non-musulmans et craignez pour vous-mêmes, conduisez-vous avec une apparence de loyauté envers eux, par la parole, tout en conservant votre hostilité à leur égard par devers vous (…) [sachez que] Allah a interdit aux croyants de se montrer amical ou intime avec les infidèles, sauf si les infidèles les dominent. Dans ce cas précis, qu’ils se comportent amicalement avec eux tout en préservant leur religion » (8).

Toujours à propos de ce verset du Coran, Ibn Kathir (mort en 1373), qui est une autre grande autorité coranique, écrit :

« Quel que soit le lieu ou le moment, quiconque craint des tourments [venant de non-musulmans] peut se protéger en donnant le change ».

Il en veut pour preuve une citation d’Abu Darda, proche compagnon de Mahomet, enjoignant d’« arborer un large sourire face à certaines personnes tandi cœur les maudit »s que notre. Un autre compagnon, connu sous le nom d’Al-Hasan, a dit que « la pratique de la taqiyya est acceptable jusqu’au jour du jugement » (c’est-à-dire jusqu’à la fin des temps) (9).
D’autres savants importants, comme Abu ‘Abdullah al-Qurtubi (1214-73) et Muhyi ‘d-Din ibn al-Arabi (1165-1240), ont étendu la taqiyya jusqu’à l’appliquer à de nombreuses actions. En d’autres termes, les musulmans peuvent se conduire comme des infidèles ou même pire, par exemple en se prosternant et en adorant des idoles et des croix, en portant de faux témoignages, ou même en montrant les faiblesses d’autres musulmans à l’ennemi infidèle — tout est permis sauf tuer un autre musulman :

« la taqiyya, même si elle est pratiquée sans contrainte, ne mène pas à un statut d’infidèle, même si elle peut mener à des péchés méritant le feu de l’enfer » (10).

La tromperie dans les exploits guerriers de Mahomet
Mahomet — qui constitue [pour le musulman] l’exemple de l’être humain parfait, dont la conduite doit être imitée dans les moindres détails — avait une conception pragmatique du mensonge. Il est notamment bien connu qu’il permettait de mentir dans trois situations : pour réconcilier entre deux parties, ou plus, qui sont en conflit, pour calmer sa femme, et à la guerre (11). Selon un manuel de droit arabe consacré au djihad tel qu’il est défini par les quatre écoles du droit islamique,

« les ulémas [savants] considèrent que la tromperie en temps de guerre est légitime (…) la tromperie est une forme de l’art de la guerre » (12).

De plus, selon Mukaram, cette tromperie est classée comme taqiyya:

« la taqiyya servant à duper l’ennemi est permise » (13).

Plusieurs ulémas estiment que la tromperie fait partie intégrante de l’art de la guerre. Ibn al-‘Arabi déclare, par exemple :

« dans les hadiths [citations et actions de Mahomet], le mensonge en temps de guerre est bien attesté. En fait, le mensonge est davantage souligné que l’obligation de courage ».

Ibn al-Munir (mort en 1333) écrit :

« La guerre est tromperie, la guerre la plus parfaite qu’un saint guerrier puisse faire est une guerre de tromperie et non de confrontation, car la confrontation comporte des risques, tandis que l’on peut obtenir la victoire par traîtrise et sans risque pour soi ».

Quant à Ibn Hajar (mort en 1448), il conseille aux musulmans d’adopter

« une attitude très prudente dans la guerre, tout en se lamentant [publiquement] et en portant le deuil de manière à tromper les infidèles » (14).

Cette conception musulmane de la guerre comme tromperie renvoie à la bataille du Fossé (627), qui opposa Mahomet et ses disciples à plusieurs tribus non musulmanes, connues sous le nom de Al-Ahzab. Parmi ces derniers, Na’im ibn Mas’ud se rendit dans le camp musulman et se convertit à l’islam. Quand Mahomet s’aperçut que les Ahzab n’étaient pas au courant de la conversion de Mas’ud, il lui conseilla de retourner auprès d’eux et de les décider à lever le siège. C’est à cette occasion que Mahomet est censé avoir émis l’adage célèbre, « car la guerre est tromperie ». Mas’ud retourna auprès des Ahzab sans qu’ils sachent qu’il avait changé de camp et, de son côté, il donna des informations fausses à ses anciens amis et alliés. Il s’efforça également de générer des querelles entre les différentes tribus jusqu’à ce que, pleines de méfiance les unes envers les autres, elles finissent par se séparer et lever le siège, sauvant ainsi les musulmans de la destruction dans cette période encore embryonnaire [de l’islam] (15).
Plus récemment, des complices de l’attentat du 11-Septembre, tel Khalid Sheikh Muhammad, ont invoqué, dans leur défense, comme raison de leur rôle dans la conspiration, l’argument du prophète selon lequel « la guerre est tromperie ».
On trouve une autre expression encore plus puissante de la légitimité qu’il y a à tromper des infidèles, dans l’anecdote suivante. Un poète, Ka’b ibn Ashraf, avait offensé Mahomet, lequel s’était exclamé « Qui tuera cet homme qui a blessé Allah et son prophète ? ». Un jeune musulman nommé Muhammad ibn Maslama s’était porté volontaire, à condition que pour s’approcher de Ka’b afin de l’assassiner, il ait la permission de lui mentir. Mahomet lui donna son accord. Ibn Maslama alla voir Ka’b et commença à dire du mal de l’islam et de Mahomet. Il continua ainsi jusqu’à ce que ses paroles soient assez convaincantes pour que Ka’b se fie à lui. Ibn Maslama ne tarda pas alors à se présenter avec un autre musulman et à tuer Ka’b qui ne se méfiait plus (16).
Mahomet a pris d’autres positions qui font de la tromperie une action positive, comme lorsqu’il dit :

« Allah m’a commandé de parler de façon équivoque parmi les peuples, au même titre qu’il m’a commandé d’édicter des obligations [religieuses] » ;

ou encore :

« J’ai été envoyé dans des conditions impénétrables »,

et

« celui qui vit dans la dissimulation meurt en martyr » (17).

Bref, les premières sources historiques de l’islam attestent clairement de l’importance suprême de la taqiyya comme d’une forme islamique de guerre. De plus, les premiers musulmans sont souvent décrits comme capables de se sortir de situations difficiles grâce au mensonge, notamment en reniant ou en insultant l’islam et Mahomet avec l’approbation de ce dernier – son seul critère étant que leurs intentions (niya) soient pures (18). Au cours des guerres contre les chrétiens, à chaque fois que les chrétiens avaient le pouvoir, la pratique de la taqiyya devint même plus totale. Ainsi que l’affirme Mukaram :

« la taqiyya était utilisée comme un moyen, pour les musulmans, de repousser le danger, en particulier aux moments critiques où leurs frontières étaient l’objet de guerre avec les Byzantins, et, plus tard, l’objet des raids [croisades] des Francs et des autres » (19).

La taqiyya dans la révélation coranique
Le Coran lui-même apporte d’autres témoignages concernant la taqiyya. Puisque Allah est censé être la source de ces versets révélés, il est considéré comme étant Lui-même implicitement le perpétrateur absolu du mensonge, ce qui n’a rien de surprenant puisque il est décrit dans le Coran comme étant le meilleur makar, c’est-à-dire fourbe, trompeur (par exemple : 3:54, 8:30, 10:21).
Alors que les autres Ecritures saintes contiennent des contradictions, le Coran est le seul texte à propos duquel les commentateurs ont développé une doctrine pour rendre compte des changements visibles d’une injonction à une autre. Un lecteur attentif ne peut manquer de remarquer les versets contradictoires du Coran, notamment la façon dont les versets de paix et de tolérance se retrouvent quasiment côte à côte avec des versets de violence et d’intolérance. Les ulémas furent embarrassés, au départ, pour décider à partir de quels versets codifier l’ordre social de la chariah : celui qui affirme que la religion ne peut exercer de coercition (2:256), ou celui qui ordonne aux croyants de combattre tous les non-musulmans jusqu’à leur conversion, ou au moins leur soumission à l’islam (8:39, 9:5, 9:29) ? Pour résoudre ce dilemme, les commentateurs ont développé la doctrine de l’abrogation, qui, en gros, stipule, quand il y a contradiction, que les versets révélés à Mahomet tardivement prennent le pas sur ceux formulés au début de sa vie. C’est ainsi que, pour déterminer quel verset abroge quel autre, une science théologique consacrée à la chronologie des versets du Coran a été créée (on l’appelle an-Nasikh wa’l Mansukh – ce qui abroge et ce qui est abrogé).
Mais pourquoi y aurait-il une contradiction ? La réponse classique est que, dans les premières années de l’islam, Mahomet et sa communauté étant largement inférieurs en nombre aux infidèles avec lesquels ils étaient en concurrence et qui vivaient avec eux à la Mecque, un message de coexistence pacifique était de rigueur. Cependant, après l’exil des musulmans à Médine, en 622, et le développement de leur force guerrière, les versets les incitant à l’offensive leur furent progressivement « révélés », c’est-à-dire en principe envoyés par Allah, à mesure que la puissance des musulmans augmentait. Dans les textes juridiques, ces versets sont classés en différentes catégories : passivité face à l’agression ; permission de répliquer face à des agresseurs ; commandement incitant à combattre les agresseurs ; commandement incitant à combattre tous les non-musulmans qu’ils aient été initialement agresseurs ou pas (20). Le développement de la puissance musulmane est la seule variable fournie pour expliquer ces changements graduels de politique.
D’autres érudits renforcent cette conception en soulignant que sur une période de 22 ans, le Coran a été révélé petit à petit et a d’abord privilégié des versets ne réclamant pas d’action et restant de nature spirituelle avant de passer ensuite à des prescriptions et des injonctions réclamant de diffuser la foi par le djihad et la conquête, et ce de manière à ne pas rebuter les premiers convertis musulmans face aux devoirs qui sont ceux de l’islam, et éviter qu’ils ne soient découragés par les obligations importantes qui n’apparaîtront que dans les versets plus tardifs (21). Ces versets – tel celui qui dit : « Il vous est prescrit de combattre, même si cette prescription, vous l’avez en horreur » (22), auraient été déplacés à un moment où la guerre n’était pas pensable.
Quelles que soient les interprétations de l’abrogation dans le Coran, l’opinion commune sur la question des versets concernant la guerre et la paix est que, quand les musulmans sont en position de faiblesse, ou minoritaires, ils doivent prêcher et être fidèles à l’éthique des versets mecquois (paix et tolérance) ; alors que, lorsqu’ils sont en position de force, ils doivent passer à l’offensive sur la base des commandements figurant dans les versets de Médine (guerre et conquête). Les avatars de l’histoire islamique témoignent de cette dichotomie et se reflètent dans le proverbe communément admis parmi les musulmans et qui se fonde sur un hadith, selon lequel le djihad doit être réalisé par la main (par la force), ou sinon, par la langue (par le prêche), et si cela n’est pas possible, par le cœur ou par les intentions secrètes de chacun (23).

La guerre est éternelle
Que l’islam légitime la tromperie dans le cadre de la guerre n’a, bien sûr, rien d’étonnant. Après tout, comme l’a formulé un auteur élizabéthain, John Lyly, « tout est bon, en amour comme à la guerre » (24). D’autres philosophes ou stratèges non musulmans, comme Sun Tzu, Machiavel et Thomas Hobbes, ont justifié la tromperie dans la guerre. Tromper l’ennemi dans le cadre de la guerre relève du bon sens. La différence cruciale avec l’islam, c’est que la guerre contre l’infidèle est considérée comme permanente, et dure, selon le Coran, jusqu’à ce que « cesse tout chaos et que toutes les religions appartiennent à Allah » (25). Dans son article sur le djihad de l’Encyclopaedia of Islam, Emile Tyan remarque :

« le devoir de jihad existe aussi longtemps que la domination universelle de l’islam n’a pas été atteinte. La paix avec les nations non musulmanes n’est donc que provisoire, et seul le hasard des circonstances peut la justifier de manière provisoire » (26).

De plus, et pour en revenir à la doctrine de l’abrogation, des érudits musulmans comme Ibn Salama (mort en 1020) s’accordent pour dire que le verset 9:5 du Coran, connu sous le nom de ayat as-sayf, ou verset du sabre, abroge environ 124 des versets mecquois plus pacifistes, car cela inclut « tous les versets coraniques qui prêchent autre chose qu’une offensive totale contre les non-croyants » (27). En fait, les quatre écoles de la jurisprudence sunnite sont d’accord pour dire que

« le djihad consiste à faire la guerre aux infidèles qui, après qu’on leur ait enjoint d’embrasser l’islam, ou au moins de payer une [jizya] et de vivre soumis, ont refusé de le faire » (28).

Le caractère obligatoire du djihad est clairement exprimé par la vision du monde dichotomique qui oppose le « royaume de l’islam » au « royaume de la guerre ». Le premier s’appelle, dar al-Islam, ou « règne de la soumission », et représente le monde où domine la chariah. Le second, dar al-Harb, ou règne de la guerre, représente le monde non-islamique. Le combat se perpétue jusqu’à ce que le règne de l’islam engloutisse le monde non-islamique. Cet état de fait est celui qui existe encore aujourd’hui. Le très célèbre historien et philosophe musulman, Ibn Khaldun, (mort en 1406) formule clairement cette opposition :

« Dans la communauté musulmane, le djihad est un devoir religieux en raison de l’universalisme de la mission musulmane et de l’obligation de convertir tout le monde à l’islam par la persuasion ou par la force. Les autres groupes religieux n’avaient pas une mission universelle et le djihad n’était pas un devoir religieux pour eux, excepté pour des raisons défensives. Mais l’islam est obligé de conquérir le pouvoir contre les autres nations » (29).

Enfin, indépendamment de tous les faits avérés, il est bon de noter — à moins qu’on puisse encore trouver déraisonnable qu’une foi ayant un milliard d’adeptes oblige à déclencher en son nom des guerres sans raison — que l’expansionnisme djihadiste est considéré comme un acte altruiste, un peu à la manière de l’idéologie du « fardeau de l’homme blanc » au XIXe siècle. Selon cette logique, que le monde vive en démocratie sous le socialisme, le communisme ou tout autre système de gouvernance, il vit inévitablement enchaîné dans le péché, car le bien suprême de l’humanité réside dans l’accord avec la loi d’Allah. Dans ce contexte, la tromperie musulmane peut être considérée comme un moyen, légèrement inférieur en noblesse, dans un but glorieux : l’hégémonie islamique du règne de la chariah, en tant qu’elle est bonne pour tous, musulmans comme non-musulmans.
Cette conception n’a en fait rien de neuf. Peu après la mort de Mahomet, en 634, avec la déferlante de guerriers du djihad, venue de la péninsule arabique, un commandant perse, qui ne devait pas tarder à succomber à l’invasion, demanda aux musulmans ce qu’ils désiraient. La réponse – mémorable – fut la suivante :

« Allah nous a envoyés ici afin que nous puissions libérer ceux qui le désirent de la servitude de leurs maîtres terrestres et en faire les serviteurs d’Allah, afin de transformer leur misère en richesse et les libérer de la tyrannie et du chaos des [fausses] religions et leur apporter la justice de l’islam. Il nous a envoyés pour apporter sa religion à toutes ses créatures et leur lancer un appel pour qu’ils rejoignent l’islam. Tous ceux qui accepteront cet appel seront saufs et nous les laisserons en paix. Mais quiconque refuse cet appel sera combattu jusqu’à ce que nous accomplissions la promesse d’Allah » (30).

Mille quatre-cent ans plus tard, en mars 2009, le juriste saoudien, Basem Alem, se fit l’écho de cette conception :

« En tant que membre de la vraie religion, j’ai davantage de droit à envahir les autres afin d’imposer un certain mode de vie [la chariah], dont l’histoire a démontré qu’il était le meilleur et le plus juste parmi toutes les civilisations. Tel est le véritable sens du djihad offensif. Quand nous nous engageons dans le djihad, ce n’est pas pour convertir les gens à l’islam, mais pour les libérer du sombre esclavage dans lequel ils vivent » (31).

Et il va sans dire que la taqiyya au service d’un tel altruisme est permise. Par exemple, très récemment, après avoir raconté une histoire où un musulman force un Juif à se convertir à l’islam en lui disant que s’il renonçait à l’islam, les musulmans le tueraient pour apostasie, l’imam Mahmoud al-Masri a parlé d’une « magnifique tromperie » (32). Après tout, d’un point de vue islamique, c’est le Juif qui a été le bénéficiaire de cette tromperie puisqu’elle l’a fait entrer dans l’islam.

Trèves et traités
La nature perpétuelle du djihad est soulignée par le fait, soutenu par les juristes, que 10 ans est la durée maximale de paix pour les musulmans avec les infidèles. Une fois que le traité a expiré, la situation doit être réévaluée. Ils s’appuient sur le traité de paix d’Hudaybiya ratifié en 628 par Mahomet et ses ennemis Quraysh à la Mecque. L’exemple de Mahomet qui brisa ce traité au bout de deux ans (en prétextant une infraction des Quraysh) montre que la seule fonction d’une trève est de permettre aux musulmans s’ils sont affaiblis de gagner du temps et de se regrouper avant une nouvelle offensive (33) :

« Par leur nature même, les traités doivent avoir une durée temporaire, car, dans la théorie juridique musulmane, les relations normales entre territoires musulmans et non-musulmans ne sont pas pacifiques mais guerrières » (34).

En se fondant sur ce point,

« les fuqaha [juristes] sont d’accord pour considérer une trève illimitée comme illégitime, si les musulmans sont en position assez forte pour repartir en guerre contre les non-musulmans » (35).

Bien que la chariah demande aux musulmans d’honorer les traités, il existe donc une sortie possible qui est propice aux abus : si les musulmans pensent, même sans preuves solides, que leurs ennemis vont rompre le traité, ils peuvent le briser les premiers. De plus, certaines écoles de droit islamique, comme celle des Hanafites, affirment que les responsables musulmans peuvent abroger les traités tout simplement si cela semble être à l’avantage de l’islam (36). Cela n’est pas sans rappeler le hadith canonique suivant :

« si tu fais serment de procéder à une action et que tu te rends compte, plus tard, qu’une autre action est meilleure, alors tu devras renier ton serment et faire ce qui est mieux » (37).

Et qu’y a-t-il de mieux et de plus altruiste que de rendre la parole d’Allah dominante en déclenchant à nouveau le djihad dès que possible ? Traditionnellement, les dirigeants musulmans lançaient un djihad au moins une fois par an. Ce rite est particulièrement remarquable chez les sultans ottomans, qui passaient la moitié de leur vie sur le champ de bataille (38). Le devoir de djihad était tellement important, que les sultans n’avaient pas le droit d’effectuer le pèlerinage à la Mecque – qui est pourtant un devoir individuel pour chaque musulman. C’est leur prise en main du djihad qui a permis à ce rite collectif de perdurer, autrement, il serait tombé en désuétude (39).
Pour résumer, le prérequis pour la paix ou la réconciliation est que les musulmans aient l’avantage. C’est ce que démontre un texte sunnite qui fait autorité, Umdat as-Salik, écrit par un érudit égyptien du XIVe siècle, Ahmad Ibn Naqib al-Misri :

« On doit trouver un bénéfice [maslaha] à la trève, autre que le seul status quo, car [il est écrit] :
« Ne soyez pas pusillanimes en offrant la paix à l’ennemi quand vous êtes les plus forts ! » [Coran, 47:35] » (41).

On rappellera un épisode plus récent, et qui est d’une importance majeure pour les dirigeants occidentaux qui recommandent la coopération avec les islamistes. Yasser Arafat venait de négocier un traité de paix qui avait été vivement critiqué comme concédant trop de choses à Israël. Il s’adressa alors à une assemblée musulmane dans une mosquée de Johannesburg, et se justifia en ces termes :

« Je considère cet accord au même titre que l’accord signé par notre prophète Mahomet et les [Banei] Quraysh de la Mecque » (42). En d’autres termes, comme Mahomet, Arafat n’avait donné sa parole que pour la renier une fois que la situation le permettrait, c’est-à-dire quand les Palestiniens seraient à nouveau en position de passer à l’offensive et de reprendre la route de Jérusalem. Dans d’autres contextes, Hudaybiya a fait figure de mot-clé pour les islamistes radicaux. Le Moro Islamic Liberation Front avait trois camps d’entraînement au sein du complexe d’Abu Bakar dans les Philippines et l’un d’eux s’appelait Camp Hudaybiya (43).

L’hostilité sous les traits de la récrimination
Dans les discours à destination des opinions publiques européennes ou américaines, les islamistes soutiennent que le terrorisme qu’ils exercent contre l’Occident n’est que la réciprocité de décennies d’oppression occidentale ou israélienne. Mais dans les écrits qui s’adressent aux autres musulmans, cet esprit vindicatif n’est pas présenté comme la réaction à une provocation militaire ou politique, mais comme le produit d’une obligation religieuse.
Par exemple, quand il s’adresse au public occidental, Ousama ben Laden dresse la liste des récriminations qui justifient sa guerre contre l’Occident, depuis l’oppression des Palestiniens jusqu’à l’exploitation de la femme par l’Occident, ou même le fait que les Etats-Unis n’ont pas signé le protocole de Kyoto, ce qui constitue des arguments audibles pour l’opinion occidentale. Jamais il ne justifie les attaques d’Al-Qaïda contre les cibles occidentales par le simple fait que les nations non musulmanes sont par définition des entités infidèles qui doivent être soumises. En fait, il va jusqu’à faire précéder ses messages à destination de l’Occident de phrases comme « la réciprocité fait partie de la justice », ou « paix à tous ceux qui suivent une voie droite » (43), même si ce que le public occidental comprend par là est sans rapport avec ce qu’il met derrière les mots « paix », « justice » ou « droiture ».
C’est quand Ben Laden s’adresse aux autres musulmans que la vérité ressort. Quand un groupe de musulmans de premier plan avait écrit au peuple américain, peu de temps après les attentats du 11-Septembre, pour affirmer que l’islam cherche à coexister pacifiquement (44), Ben Laden avait pris la plume pour les remettre à leur place :

« En ce qui concerne les relations entre musulmans et infidèles, elles sont résumées par ce mot du Très-Haut : ‘Nous vous renions, et désormais l’inimitié et la haine nous séparent jusqu’à ce que vous croyiez en Allah seul » [Coran 60:4]. Il y a donc une inimitié dont la preuve est l’hostilité farouche ancrée dans nos cœurs. Et cette hostilité farouche, c’est-à-dire cette guerre, ne cessera que si l’infidèle se soumet à l’autorité de l’islam ou qu’il est interdit de faire couler son sang [c’est-à-dire s’il est dhimmi, ou minorité protégée], ou si les musulmans sont, à un moment donné, dans une situation de faiblesse qui les empêche d’agir. Mais si la haine s’éteint de nos cœurs, il s’agit alors d’une très grande apostasie ! (…) Telle est la base et le fondement des relations entre l’infidèle et le musulman. Guerre, animosité, haine, infligées par le musulman à l’infidèle, tel est le fondement de notre religion. Et nous considérons que nous faisons ainsi un acte de justice et de bonté à leur égard » (45).

Les quatre écoles classiques de jurisprudence islamique soutiennent cette conception du monde, faite d’hostilité, en parlant des infidèles en termes similaires. Quand Ben Laden s’adresse à l’Occident en parlant de paix et de justice, ce sont des exemples typiques de taqiyya. Non seulement il s’est engagé dans un djihad physique, mais aussi dans une guerre de propagande, ou, en d’autres termes, une guerre de tromperie. S’il parvient à convaincre l’Occident que le conflit actuel est entièrement dû à l’Occident, il pourra gagner à sa cause une plus grande sympathie. Parallèlement, il sait que si les Américains se rendaient compte que rien hormis leur totale soumission ne peut ramener la paix, sa campagne de propagande serait rapidement compromise. D’où ce besoin constant de masquer ses objectifs et de mettre en avant des récriminations, car, comme le dit le prophète de Ben Laden, « la guerre est tromperie ».

Implications
La taqiyya pose un ensemble de problèmes éthiques. Quiconque croit véritablement que Allah justifie, et même, par l’exemple de son prophète, encourage la tromperie, n’aura aucun scrupule éthique à mentir. Prenons le cas d’Ali Muhammad, le premier « formateur » de Ben Laden et longtemps agent d’Al-Qaïda. Egyptien, il a d’abord fait partie du Jihad Islamique et a servi dans le renseignement militaire de l’armée égyptenne. Après 1984, il a travaillé un temps avec la CIA en Allemagne. Quoique considéré comme peu fiable, il a réussi à aller en Californie, où il s’est enrôlé dans l’armée américaine. Il est vraisemblable qu’il a continué à travailler, à un titre ou un autre, pour la CIA. Il a ensuite entraîné des djihadistes aux Etats-Unis et en Afghanistan et est responsable de plusieurs opérations terroristes en Afrique. Les gens qui le connaissaient avaient pour lui

« de la crainte et du respect pour son incroyable assurance, l’impossibilité qu’il avait d’être intimidé, la détermination absolue qu’il avait de détruire les ennemis de l’islam, et sa foi zélée dans les credos du militantisme islamique fondamentaliste » (46).

De fait, cette phrase résume tout : car une croyance zélée aux fondements de l’islam, qui légitime la tromperie pour faire triompher la parole d’Allah, aura sans nul doute un impact considérable sur la capacité à développer cette « incroyable assurance » pour mentir (47).
Poutant, la plupart des Occidentaux continuent de croire que les mœurs, les lois et les contraintes éthiques musulmanes sont à peu près identiques à celles de la tradition judéo-chrétienne. Avec naïveté ou arrogance, les grands avocats du multiculturalisme projettent leur propre conception du monde sur les islamistes et pensent qu’une poignée de main et un sourire autour d’une tasse de café, assortis de nombreuses concessions suffiront pour démanteler la puissance de la parole de Dieu et des siècles de tradition immuable. Les faits sont têtus : le bien et le mal dans l’islam ont peu à voir avec les critères universels et restent fonction des enseignements propres à l’islam, dont la majeure partie est en opposition totale avec les normes occidentales.
Il faut donc admettre, en contradiction avec des croyances savantes depuis longtemps établies, que, chez les musulmans, la doctrine de la taqiyya va bien plus loin que la seule dissimulation religieuse afin de préserver son existence et concerne le fait de tromper l’ennemi infidèle de manière plus large. La taqiyya étant une seconde nature du chiisme, ce phénomène devrait apporter un contexte éloquent au zèle chiite iranien pour se procurer la puissance nucléaire, tout en insistant sur ses objectifs pacifistes.
La taqiyya ne concerne pas seulement les affaires internationales. Walid Phares, de la National Defense University, s’est déjà plaint de voir des islamistes américains actifs sur le sol américain, et ce sans la moindre entrave, grâce à leur utilisation de la taqiyya :

« Est-ce que notre gouvernement est au courant de cette doctrine et, ce qui est encore plus important, est-ce que les autorités font quelque chose pour que notre système de défense s’adapte à cette menace dormante et invisible qui se développe en notre propre sein ? » (48).

A la lumière du massacre de Fort Hood, quand Nidal Malik Hasan – musulman américain qui montrait de nombreux signes d’islamisme, qui n’ont pas été pris au sérieux – a tué treize de ses collègues, il faut bien malheureusement répondre par la négative.
Le problème est donc le suivant. La loi islamique divise sans aucune ambiguïté le monde en deux parties perpétuellement en guerre — le monde islamique et le monde non islamique — et il considère que la volonté divine est de voir le premier vaincre le second. Si la guerre contre l’infidèle est un état perpétuel, si la guerre est dissimulation et que la fin justifie les moyens, un certain nombre de musulmans concluront naturellement qu’ils ont le droit — d’origine divine — de mentir, tant que c’est utile, selon eux, pour aider l’islam « jusqu’à ce que le chaos cesse et que toutes les religions appartiennent à Allah » (49).
De plus, une telle dissimulation sera considérée comme le moyen d’une fin altruiste. Les ouvertures au dialogue et à la paix ou même à des trèves temporaires doivent être envisagées en fonction de cette doctrine, ce qui n’est pas sans rappeler les observations pratiques faites par le philosophe James Lorimer, il y a plus d’un siècle :

« Tant que l’islam continue d’exister, la réconciliation de ses partisans, même avec les Juifs et les chrétiens, et plus encore avec le reste de l’humanité, restera un problème insoluble » (50).

On peut conclure que face à l’opposition naturelle entre guerre et paix, qui existe dans le cadre occidental, il est plus approprié de parler d’une opposition entre guerre et dissimulation dans le cadre islamique. Car, selon le point de vue islamique, les périodes de paix, qui n’ont lieu que quand l’islam est plus faible que ses rivaux infidèles, sont des périodes de paix simulée et de dissimulation, bref de taqiyya.

Notes
(1) Coran 40:28.
(2) Fakhr ad-Din ar-Razi, At-Tafsir al-Kabir (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2000), vol. 10, p. 98.
(3) Coran 2:195, 4:29.
(4) Paul E. Walker, The Oxford Encyclopedia of Islam in the Modern World, John Esposito, ed. (New York: Oxford University Press, 2001), vol. 4, s.v. « Taqiyah, » pp. 186-7; Ibn Babuyah, A Shi’ite Creed, A. A. A. Fyzee, trans. (London: n. p., 1942), pp. 110-2; Etan Kohlberg, « Some Imami-Shi’i Views on Taqiyya, » Journal of the American Oriental Society, 95 (1975): 395-402.
(5) Sami Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam (London: Mu’assisat at-Turath ad-Druzi, 2004), p. 7.
(6) Devin Stewart, « Islam in Spain after the Reconquista », Emory University, p. 2, accès au site, le 27 nov. 2009.
(7) Voir aussi Coran 2:173, 2:185, 4:29, 16:106, 22:78, 40:28, versets cités par les juristes musulmans comme légitimant la taqiyya.
(8) Abu Ja’far Muhammad at-Tabari, Jami’ al-Bayan ‘an ta’wil ayi’l-Coran al-Ma’ruf: Tafsir at-Tabari (Beirut: Dar Ihya’ at-Turath al-‘Arabi, 2001), vol. 3, p. 267.
(9) ‘Imad ad-Din Isma’il Ibn Kathir, Tafsir al-Coran al-Karim (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2001), vol. 1, p. 350.
(10) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 30-7.
(11) Imam Muslim, « Kitab al-Birr wa’s-Salat, Bab Tahrim al-Kidhb wa Bayan al-Mubih Minhu, » Sahih Muslim, rev. ed., Abdul Hamid Siddiqi, trad. (New Delhi: Kitab Bhavan, 2000).
(12) Ahmad Mahmud Karima, Al-Jihad fi’l Islam: Dirasa Fiqhiya Muqarina (Cairo: Al-Azhar, 2003), p. 304.
(13) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, p. 32.
(14) Raymond Ibrahim, The Al Qaeda Reader (New York: Doubleday, 2007), pp. 142-3.
(15) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 32-3.
(16) Ibn Ishaq, The Life of Muhammad (Karachi: Oxford University Press, 1997), pp. 367-8.
(17) Shihab ad-Din Muhammad al-Alusi al-Baghdadi, Ruh al-Ma’ani fi Tafsir al-Coran al-‘Azim wa’ l-Saba’ al-Mithani (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2001), vol. 2, p. 118.
(18) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 11-2.
(19) Ibid., pp. 41-2.
(20) Ibn Qayyim, Tafsir, in Abd al-‘Aziz bin Nasir al-Jalil, At-Tarbiya al-Jihadiya fi Daw’ al-Kitab wa ‘s-Sunna (Riyahd: n. p., 2003), pp. 36-43.
(21) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, p. 20.
(22) Coran 2: 216.
(23) Yahya bin Sharaf ad-Din an-Nawawi, An-Nawawi’s Forty Hadiths, p. 16, accès au site, le 1er août, 2009.
(24) John Lyly, Euphues: The Anatomy of Wit (London, 1578), p. 236.
(25) Coran 8:39.
(26) Emile Tyan, The Encyclopedia of Islam (Leiden: Brill, 1960), vol. 2, s.v. « Djihad », pp. 538-40.
(27) David Bukay, « Peace or Jihad? Abrogation in Islam », Middle East Quarterly, Fall 2007, pp. 3-11, f.n. 58; David S. Powers, « The Exegetical Genre nasikh al-Coran wa-mansukhuhu », in Approaches to the History of the Interpretation of the Coran, Andrew Rippin, ed. (Oxford: Clarendon Press, 1988), pp. 130-1.
(28) Jalil, At-Tarbiya al-Jihadiya fi Daw’ al-Kitab wa ‘ s-Sunna, p. 7.
(29) Ibn Khaldun, The Muqadimmah. An Introduction to History, Franz Rosenthal, trad. (New York: Pantheon, 1958), vol. 1, p. 473.
(30) Hugh Kennedy, The Great Arab Conquests (Philadelphia: Da Capo, 2007), p. 112.
(31) « Saudi Legal Expert Basem Alem: We Have the Right to Wage Offensive Jihad to Impose Our Way of Life », TV Monitor, clip 2108, Middle East Media Research Institute, trad., mar. 26, 2009.
(32) « Egyptian Cleric Mahmoud Al-Masri Recommends Tricking Jews into Becoming Muslims, » TV Monitor, clip 2268, Middle East Media Research Institute, trans., Aug. 10, 2009.
(33) Denis MacEoin, « Tactical Hudna and Islamist Intolerance », Middle East Quarterly, Summer 2008, pp. 39-48.
(34) Majid Khadduri, War and Peace in the Law of Islam (Baltimore: The Johns Hopkins Press, 1955), p. 220.
(35) Ahmad Mahmud Karima, Al-Jihad fi’l Islam: Dirasa Fiqhiya Muqarina, p. 461.
(36) Ibid., p. 469.
(37) Muhammad al-Bukhari, « Judgements (Ahkaam) » Sahih al-Bukhari, book 89, M. Muhsin Khan, trad., accès au site, le 22 juillet 2009.
(38) Michael Bonner, Jihad in Islamic History: Doctrines and Practice (Princeton: Woodstock Publishers, 2006), p. 148.
(39) Ahmed Akgündüz, « Why Did the Ottoman Sultans Not Make Hajj (Pilgrimage)? » accès au site, le 9 nov. 2009.
(40) Ahmad Ibn Naqib al-Misri, Reliance of the Traveller: A Classic Manual of Islamic Sacred Law (Beltsville: Amana Publications, 1994), p. 605.
(41) Daniel Pipes, « Lessons from the Prophet Muhammad’s Diplomacy », Middle East Quarterly, Sept. 1999, pp. 65-72.
(42) Arabinda Acharya, « Training in Terror », IDSS Commentaries, Institute of Defence and Strategic Studies, Nanyang Technological University, Singapore, May 2, 2003.
(43) « Does hypocrite have a past tense? », for clip of Osama bin Laden, accès au site, le 1er août, 2009.
(44) Ibrahim b. Muhammad al-Shahwan, et al., « Correspondence with Saudis: How We Can Coexist », AmericanValues.org, connection du 28 juillet 2009.
(45) Ibrahim, The Al Qaeda Reader, p. 43.
(46) Steven Emerson, « Osama bin Laden’s Special Operations Man », Journal of Counterterrorism and Security International, Sept. 1, 1998.
(47) Pour une liste des infiltrés dans les organisations américaines, voir Daniel Pipes, « Islamists Penetrate Western Security », Mar. 9, 2008.
(48) Walid Phares, « North Carolina: Meet Taqiyya Jihad », International Analyst Network, July 30, 2009.
(49) Coran 8:39.
(50) James Lorimer, The Institutes of the Law of Nations: A Treatise of the Jural Relations of Separate Political Communities (Clark, N.J.: The Lawbook Exchange, Ltd., 2005), p. 124.

Merci à JC JC…

A propos du scandale de l’A.M.E…

La tirelire des clandestins…

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Un cas précis. Il est certain que ce môme a un besoin vital de soins. On ne peut qu’approuver qu’il soit soigné. Ce qui est moins normal, c’est l’attitude de sa famille et son culot de vouloir prétendre à une aide « automatique » de la France pour éviter que ce gosse ne perde la vie.

En France, nous les Français, nous cotisons pour bénéficier de soins. Je ne pense pas que ce soit le cas de ces personnes; comme tant d’autres.

Alors, il est bon se souligner que ces pratiques sont courantes pour des soins beaucoup moins graves. France, terre d’accueil…

FDF

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Sur France 3 Alsace le 3 janvier 2012 à 19 heures, appel est lancé pour sauver un bébé algérien qui a besoin d’une greffe de moelle osseuse. La famille demande à la France de le faire car en Algérie, ils n’auraient pas les compétences…
Et la journaliste de préciser qu’actuellement, rien qu’avec l’Hôpital de Hautepierre, la sécurité sociale algérienne à une dette de 588 000 euros QU’ ELLE REFUSE DE PAYER.
Et l’Hôpital de Hautepierre estime le coût de l’opération entre 200 et 500 000 euros. Quand les Français auront compris qu’ils sont pris pour des cons …!!!, les poules auront des dents … !!! Hôpital (en l’occurence Hautepierre) 588000€ ! multiplié par combien d’Hôpitaux en France ?

C’est la question que je me pose !
 A méditer …!!!       Voir ci dessous : à lire entièrement …!!!
 J’ai du vague à l’A.M.E…..  On nous marche sur la tête !  C’est quand même devenu une aberration cette histoire d’Aide Médicale d’État     La sécu nous rembourse de moins en moins, pour dans le même temps soigner des gens de « TOUS les COINS » du monde  qui ont trouvé de l’argent pour payer les passeurs pour venir mais n’en n’ont plus en arrivant chez nous . Ras le bol de payer pour ces gens venus illégalement car on ne peut plus accueillir toute la misère du monde !
Pensons un peu à nous, les Français canal historique, qui avons déjà énormément cotisé à la sécu … Ce serait un juste retour des choses. Mais non !         
L’Aide Médicale d’Etat (A.M.E.) :Un cadeau bien luxueux, alors qu’on nous demande de nous serrer la ceinture, parce que les caisses sont vides. L’AME permet ainsi de couvrir le tourisme médical aux frais du contribuable Français.Laurent Lantieri, le grand spécialiste français de la greffe du visage, a confié son agacement : « Soigner les étrangers en cas d’urgence ou pour des maladies contagieuses qui pourraient se propager me paraît légitime et nécessaire. En revanche, je vois arriver à ma consultation des patients qui abusent du système ». Claudine Blanchet-Bardon, spécialiste des maladies génétiques de la peau, voit débarquer des patients AME venus du bout du monde : » Ils arrivent clandestinement ici, et à cause des associations en tous genres, ces gens restent tranquilles pendant trois mois et débarquent à ma consultation avec leur attestation AME, accompagnés d’un interprète.  L’interprète, lui, ils le payent » mais pas ce qui est médical !!Un cancérologue raconte :      « Nous avons des patients qui vivent en Algérie et qui ont l’AME. Ils viennent en France régulièrement pour leur traitement,puis repartent chez eux. Ils ne payent que l’avion…      Un médecin raconte : « Des femmes sans-papiers peuvent faire valoir leurs droits à des traitements d’aide médicale à la procréation. Chaque tentative de fécondation in vitro (FIV) coûte entre 8000 et 10.000EUR.Les seules conditions requises pour obtenir l’AME sont  :
– 3 mois de résidence en France
 – des ressources inférieures à 634 EUR par mois.Toi, tu paies tes impôts et tes remboursements de la SECU diminuent.

Les demandeurs étant hors-la-loi, le calcul des ressources relève de la fiction et malgré cela la CPAM délivre le sésame. Depuis deux ans, la facture de la couverture médicale des sans-papiers s’envole.
Son rythme de progression est trois à quatre fois supérieur à celui des dépenses de santé de tout le pays: + 13% en 2009 (530 millions d’euros pour 210.000 bénéficiaires) et + 17% au début de cette année. De toute évidence, l’enveloppe de 535 millions d’euros prévue en 2010 sera largement dépassée. Pour l’an prochain, ce sont 588 millions d’euros que Bercy a mis de côté pour l’AME soit, à peu de chose près, le montant des recettes fiscales que le gouvernement veut récupérer sur les mariés-pacsés-divorcés, ou encore le coût global du bouclier fiscal.      L’Aide Médicale d’Etat (A.M.E.) finance des cures  thermales et le trafic du Subutex (31.08.2010)   
Le subutex est un produit de substitution de l’héroïne, c’est à dire qu’il sert à éviter l’état de manque chez les personnes désireuses de ne plus consommer cette drogue. Il leur permet également de résister à la tentation de recommencer dans toutes les circonstances qui peuvent les amener à reconsommer (sollicitations, contrariétés, pressions morales, déprime ou dépression). Il est utilisé par prise sous la langue. Sa prescription chez un ancien usager d’héroïne peut être utile durant plusieurs années voire à vie. Le député Thierry Mariani interrogé sur l’AME
 « L’Aide médicale d’Etat est nécessaire pour des motifs humanitaires : il est normal qu’un étranger en danger grave immédiat soit soigné dans notre pays. Mais ce que je veux, c’est en limiter les dérives ».  Ces deux dernières années, les dépenses de l’AME ont augmenté quatre fois plus vite que celles du régime général, soit 17% ;  et ces dix derniers mois.  Accrochez-vous,elles ont augmenté, en Ile-de-France, de 66% On ne peut pas expliquer aux bénéficiaires du régime général que l’on cesse de rembourser certains de leurs médicaments pour tenir les 3% d’augmentation tout en maintenant l’AME,qui coûte 100 millions d’euros, au profit d’étrangers en situation illégale !
 Par ailleurs, il n’est pas juste non plus qu’un Français paye un forfait hospitalier et pas un immigré illégal. Quelle injustice quand même !! Soit vous pouvez faire passer cette information qui a été vérifiée, ou bien vous pouvez continuer à bayer aux corneilles,  parce que de l’argent vous en avez plein les valises !  A + pour découvrir d’autres scandales de ce genre… on n’en est plus à un près !  Faire suivre … Il faut que cela fasse vite le tour de France ...

Merci à R.B…

Alerte au virus « islam/charia » !!!

Dessin: Bergolix

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Là, on ne rigole plus… Les faits sont là. L’islam et sa charia nous encerclent. Le pire est que personne, en hauts lieux, ne bouge. Surtout pas nos décideurs.

Que doit on comprendre par cette attitude anti-patriote?

Si c’est au peuple de bouger, il faut savoir que ça commence; il faut bien pallier l’incapacité, voire la complicité de nos dirigeants…

FDF

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ATTENTION  LE MAL « ISLAM / SHARIA »  PREND DE PLUS EN PLUS D’AMPLEUR TOUT AUTOUR DE LA FRANCE  :  
Belgique, Espagne, Angleterre   etc ………

NOUS DEVONS TOUT FAIRE POUR LIMITER LES DÉGÂTS    –   LE  VER EST DÉJÀ DANS LE FRUIT   MAIS NOUS DEVONS STOPPER LA MALADIE

LA JUSTICE PARALLÈLE, QUI DÉCOULE DE LA CHARIA,   EST TOTALEMENT ANTICONSTITUTIONNELLE  ET ELLE ARRIVE CHEZ NOUS DES LE 1ER FÉVRIER  prochain.

VOUS NE POURREZ PAS DIRE QUE VOUS N’AVEZ PAS ETE AVERTIS !!!!

JC JC…

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SELON LA BBC : L’introduction de la charia par les musulmans  est en forte  croissance au Royaume-Uni

Divya Talwar explore pourquoi l’utilisation de la charia est en augmentation au Royaume-Uni
Continuer la lecture de l’histoire principale
Histoires connexes

Règles de la charia sur le divorce:
Certains imams ont des «préjugés contre les femmes».
Les décisions de la charia peuvent aller devant les tribunaux».

L’utilisation de la charia, ou loi islamique, est en croissance en Grande-Bretagne, avec des milliers de musulmans à l’utiliser pour régler les litiges chaque année, mais des groupes de femmes et quelques autres s’opposent.

 »Vous devez dire la vérité, ma soeur. Parce qu’Allah est à l’écoute de votre chaque mot, vous pouvez nous mentir, mais non à lui. »
 »Nos affaires ont facilement plus que triplé au cours des trois à cinq dernières années », affirme cheikh al-Haddad.

 »En moyenne, chaque mois, nous pouvons traiter avec quelque chose de 200 à 300 cas. Il ya quelques années c’était juste une petite fraction de cela.

Les musulmans »sont de plus en plus alignés avec leur foi et plus conscient de ce que nous leur offrons, »at-il expliqué.

Source:  http://www.bbc.co.uk/news/uk-16522447

Rappel: les dix stratégies de manipulation des peuples…

Avant tout, merci à Mandarine de relayer mes publications et merci à celles et ceux qui le font sans se faire connaître. Il n’y a pas de copyright sur ce blog et tout est à diffuser sans modération. Citez simplement la source, l’info circule nettement mieux.

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Revenons à nos moutons (Ce n’est pas l’Aïd, ils ne risquent rien…).

Un document fort intéressant que je vous propose de lire ou de relire. Vous allez comprendre bien des choses…

FDF

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Manipulation des peuples

Yves-Marie Laulan: dernières nouvelles du coût de l’immigration…

Ca date de septembre dernier, mais c’est un sujet dont on parle de plus en plus. Mettons-nous bien dans la tête que NOTRE France est dans un état économique catastrophique. Nous venons de perdre le triple A, les autres Etats nous montrent du doigt, nous, les donneurs de leçon, et on nous demande de plus en plus de sacrifices à nous, les Français …
Et pendant ce temps, il y en a qui entrent clandestinement ou pas dans notre pays. Et ce sont des populations qui sont à notre charge…
Je pense qu’un bon tour de clef à nos frontières est nécessaire, dans certains cas; pour notre survie.
On ne peut plus accepter toute la misère du monde. ..
FDF
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Ecoutez: http://tinyurl.com/7rnrrkh

Yves-Marie Laulan, Démographe, Economiste, Président de l’Institut de Géopolitique des Populations et ancien Haut Fonctionnaire dans le Gouvernement Chirac, nous parle de son parcours professionnel et de la réalité des chiffres de sa spécialité : les statistiques démographiques et les phénomènes de déplacements massifs de populations et leur coût.

Et si on évoquait le jihad ?

Je vais encore dire du mal de l’islam. Et puis non. Je ne vais rien dire; je vous laisse le soin de lire…
FDF

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La définition du Jihâd enseignée aux Universités de Paris et Tunis.

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Pour en finir avec la désinformation médiatique.

Alors que les apologètes médiatiques de l’islam (Malek Chebel, Abennour Bidar, Eric Geoffroy…) veulent faire croire que le véritable sens du jihâd est un « effort sprirituel contre ses propres passions », il est utile de lire les islamologues arabisants de l’Université. Et ceux des deux rives de la méditerranée.

Dans l’ouvrage « Vocabulaire de l’islam » paru dans la collection « Que sais-je » des Presses Universitaires de France (PUF, 2008), Dominique Sourdel et Janine Sourdel-Thomine, Professeurs émérites à l’Université de Paris-Sorbonne, co dirigeant la collection « Islamiques » aux PUF, écrivent pour l’entrée « Jihâd »:

 » JIHÄD- « Lutte », au sens originel.- Désigna d’abord, dans les traités de droit religieux ou fiqh, l' »effort de guerre » devant être entrepris contre les infidèles ou kâfirs, au nom de la Loi ou sharî’a, pour faire triompher la vraie religion. D’où le sens de « guerre légale », plutôt que « guerre sainte », décidée par le chef de la communauté, c’est-à-dire par un calife qui gouverne réellement ou par l’un de ses représentants, l’émir ou, plus tard, le sultan.

-C’est donc un « devoir collectif » ou fard kifâya et non individuel, destiné à assurer l’expansion de l’islam en tant que religion universaliste et instituant un état de guerre permanent avec les territoires non musulmans appelés dâr al-harb, envers lesquels seule une forme de trêve ou hudna, et non une paix durable, peut être consentie.

-Explique les diverses entreprises guerrières ayant assuré l’extension du monde musulman, à partir de la victoire ou fath de Muhammad sur les habitants de la Mekke qui suivit ses diverses batailles et expéditions ou maghâzi, et lors des grandes conquêtes qui se déroulèrent aussitôt après sa mort. -Plus ou moins observé par la suite, n’a plus été décrété officiellement depuis 1914, mais est souvent entrepris à l’époque contemporaine  par des groupes de combattants indépendants.

– A partir du Xeme siècle, certains auteurs [note de l’Observatoire: loin d’être majoritaires chez les juristes sunnites] avaient infléchi le sens du terme en y voyant seulement un combat défensif  (par exemple contre les Francs et les Mongols) ou un combat contre l’hérésie.

– Les soufis sont allés jusqu’à l’interpréter comme un combat contre les passions. D’où les expressions jihad majeur pour l’effort intérieur et jihad mineur pour l’effort guerrier. » page 61

 Source: http://www.islamisation.fr/

Lettre ouverte à nos amis…………..de longue date.

Ce n’est qu’un au-revoir, cousins…

FDF

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Amis Tunisiens, Algériens, Marocains, Egyptiens, Lybiens, et tous les autres, bravo, bravo, bravo,ce que vous avez fait est fantastique, vraiment, parole d’Allah !   
Oui, vous avez su, de haute lutte, exiler les tyrans qui oppressaient vos pays.

Oui, vous avez su conquérir votre liberté de haute lutte.
Oui, nous Français et Belges, dont les ancêtres avaient déjà fait cela il y a quelques années,nous sommes admiratifs pour votre courage et votre ténacité.
Admiratifs et un peu tristes car, évidemment, vous allez nous quitter !!
C’est pour retourner chez vous bien sûr, pour profiter pleinement de cette reconquête politique et économique et rebâtir un pays, grand et digne, juste et travailleur, social et intègre, qui ne sera donc pas calqué sur le modèle Occidental décadant que vous aurez connu chez nous.
N’ayez pas de serrement au coeur, nous comprenons vos priorités:les maigres allocations et autres avantages sociaux que nous pouvons vous octroyer ne sont qu’une goutte d’eaupar rapport à la manne céleste qui vous attend en vos contrées enfin libérées.
Nous comprenons qu’ayant peut être un peu trop souffert de notre envahissante chrétienté, vous préfériez revenirdans une république laïque et libre, et que vous aspirez à occuper dorénavant des postes à hautes responsabilités,rémunérés en conséquence, et que vous aurez plaisir à retrouver la douceur de votre climat sud-méditerranéen.
Bien sûr, soyez en convaincus, nous serons très tristes car vous allez beaucoup nous manquer.
Nous ne trouverons plus de prénoms à consonance maghrébine à la lecture des faits divers, beaucoup de coutelleries vont devoir fermer, les producteurs de moutons devront se reconvertir, SOS racisme et le MRAX vont mettre la clef sous la porte, les démineurs vont connaître le chômage, les vagues de réduction d’effectifs vont frapper nos forces de l’ordre,les banlieues ne seront plus illuminées la nuit par les voitures incendiées, le prix du café dans les bistrots va augmenter,mais nous nous résignons et nous supporterons tout cela.
Mieux, nous voulons aussi vous remercier: nous allons affréter tous les moyens de transports disponibles pour que le retour au pays se fasse dans les meilleures conditions possibles..
Allez, sans vous retourner, sans peur ni honte de nous abandonner dans une situation financière critique car,rappelez-vous, nous avons encore les Roumains et tous les gens du voyage qui circulent avec de luxueuses berlines d’importation et de magnifiques maisons roulantes…
Par contre, pour les prochaines fêtes de Pâques, de Noël, et de St. Nicolas (eh oui, nous y croyons encore à celui-là),envoyez-nous des dattes, du thé à la menthe, du coucous et du jasmin, car ici, après votre départ nous n’en aurons plus !!!!!
Et si jamais, nous ne pouvons pas nous passer de vous, vous nous accueillerez.
Vous aurez certainement développé pour nous accueillir des allocations spécifiques pour des émigrés, la mutuelle gratuite,la C.M.U., l’A.M.E., la priorité pour les logements, etc.…
Vous vous ouvrirez sans problèmes à une société multiculturelle que vous revendiquiez à corps et à cris chez nous,vous nous permettrez d’élever des cochons et vos forces de l’ordre supporteront d’être insultées….
Nous revendiquerons des droits sans obligation et si ça ne marche pas, ben … On caillassera vos administrations et on mettra le feu à quelques bagnoles ….
Et si vous ne nous construisez pas rapidement des églises, nous brûlerons vos mosquées
Merci de nous avoir appris comment faire. Après tout…. l’histoire est un éternel recommencement….

A très bientôt…

A bientôt! Chez vous…

Présidentielles 2012: la triple ruine annoncée.

A défaut de triple A…

A moins de 100 jours des présidentielles, le texte suivant ne peut faire que du bien.

FDF

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2012 : LA DEMOCRATIE BAFOUEE

Les gouvernements de maint pays dépensent de l’argent pour explorer la planète Mars, dans le vain espoir d’y trouver les traces d’une vie ancienne aujourd’hui disparue. Si le martien de la légende observait l’élection présidentielle de 2012, il constaterait que la cérémonie est sans importance réelle pour l’avenir de la France et, ceci, malgré des affirmations contraires.

Les vœux publics inutiles et ruineux servent aux concurrents principaux à prendre des postures électoralistes et, parfois, à s’injurier publiquement. La perte du triple A en offre le spectacle, alors que la classe politique tout entière en est solidairement responsable.

Le facteur brouillant les cartes est la monarchie républicaine qui s’est installée en France ainsi que dans la plupart des pays, donnant à l’élection présidentielle une sorte de sacre laïque. C’est un événement nouveau de l’histoire des hommes. Les rois d’Israël étaient sacrés par l’onction divine. Jeanne d’Arc avait fait sacrer le Dauphin à Reims, comme simple « Lieutenant du Roi des cieux ».

Les urnes, désormais, tiennent lieu de Sainte Ampoule sous couleur de démocratie. Dans le monde entier le bourrage de ces urnes se pratique avec entrain, ce qui est la première façon de bafouer la démocratie. Les USA sont tellement prétentieux concernant la démocratie qu’ils envoient des bombes sur les peuples récalcitrants à leur idée sur le sujet ; pourtant, ils sont loin d’être innocents dans le bourrage des urnes. En France, si le phénomène est moins fréquent, il est aussi plus discret. La république « sondagère » a pour effet que les élections se jouent souvent à la marge : il faut alors avouer, que la tentation est terrible.

LA SIMILITUDE DES PROGRAMMES
La future élection est faussée au départ par la similitude des programmes. Afin d’attirer le chaland, chaque candidat s’efforce de se démarquer des autres, ce qui est particulièrement visible pour les deux candidats principaux. Dès que l’un lance un projet, l’autre lance un contre projet. Une giclée de chiffres nous est lancée, sans que personne ne puisse les vérifier.

Une triple ruine nous est annoncée. La première viendra de la persistance plus que probable des déficits publics ; aucune mesure crédible n’étant prévue pour les éviter vraiment et les remplacer par un excédent budgétaire. La deuxième ruine proviendra de la poursuite de la folie taxative, car aucune des équipes n’envisage la forte et possible décrue fiscale, moyen connu de laisser se créer de la richesse pour tous. La troisième résultera de la poursuite du déluge de lois qui démantibulent la France depuis bien longtemps. Pour créer de la richesse, il faut, en plus de la décrue fiscale, supprimer des lois et non en créer de nouvelles. A cet égard aucun des candidats n’indique qu’il va réduire d’une façon marquante le nombre des 38 ministres ou quasi ministres et certains promettent des ministères nouveaux ; or, il existe probablement une quinzaine de ministres inutiles qui nous assassinent par leur activité législative.

Une autre offense grave à la démocratie est le barrage opposé soit aux nouveaux candidats, soit aux petits candidats, soit encore à ceux qui sont soupçonnés de ne pas être « républicains » : ce qualificatif meurtrier leur est asséné par les détenteurs provisoires du pouvoir et selon leur propre « bon plaisir » inspiré de leur intérêt électoral. Les instruments utilisés pour ce barrage sont nombreux. Le financement public des partis est le premier ; la force fiscale vole de l’argent aux citoyens pour le distribuer largement aux anciens partis. Citons, aussi, la condition abusive des 500 signatures, véritable digue contre les nouveaux ou les petits.

DES COUTS FABULEUX
Une autre caractéristique de cette comédie électorale, avant même son ouverture officielle, est son coût fabuleux. Ce coût repose sur une chaîne de détournements que voici.

En premier le détournement de fonds. Les personnages présentés abusivement comme des « candidats de gouvernement », utilisent pour faire leur campagne des sommes immenses arrachées aux contribuables. Le président, lui-même circule dans son magnifique tapis volant. Les moindres seigneurs en font autant avec moins de moyens.

S’ajoute le détournement du temps. Le candidat socialiste confie détester les riches ; il doit se détester lui-même compte tenu des avantages formels et informels offerts par ses diverses fonctions. Or, si l’on a la générosité de penser que, malgré leur action souvent négative, il arrive que ces gens rendent de temps en temps des services véritables, comment s’expliquer qu’ils consacrent plusieurs mois de leur vie et depuis déjà longtemps à la campagne électorale ? La moindre honnêteté voudrait qu’ils renoncent pendant cette période à leurs émoluments.

Enfin, intervient aussi le détournement de l’information .Toute la presse et les médias sont vent debout pour informer des faits et gestes des candidats. Bien entendu, les « petits » candidats et ceux qui n’ont pas été adoubés par le pouvoir sont relégués à la portion congrue. Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA), certes, est censé améliorer l’équilibre. Mais il n’intervient vraiment qu’à partir de l’ouverture officielle de la campagne et pour les candidats alors déclarés. Il n’est, lui-même, qu’une coûteuse bureaucratie pour une tâche humainement impossible, à savoir découper artificiellement des temps de parole dans des médias classiques ; quand le collaborateur d’un candidat est dépêché à grands frais sur le lieu d’une catastrophe, il n’est pas décompté, alors que c’est de la compassion électoraliste pure ! En outre, les réseaux sociaux lui échappent par nature.

Le résultat de tout le micmac électoral est que le vote final ne peut pas avoir de signification intelligible. Les candidats visent successivement tous les problèmes et l’on arrive forcément à des moyennes de moyennes.

Où est l’explication ultime de cette déroute de la démocratie ? L’on trouve inévitablement le « Tout-Etat » ou le socialisme ce qui revient au même. Dans « La  République Fromagère », je montre que le socialisme offre aux politiques et à leurs courtisans un butin immense. La campagne déjà ouverte n’est qu’une course éperdue et collective pour saisir le butin. Parallèlement et sans attendre les futures législatives, les parachutages dans tous les camps illustrent cette course au butin.

Le peuple, à qui l’on fait croire qu’il est souverain, jugera-t-il sur la couleur d’une cravate ? A lire les commentateurs de la presse, ce n’est pas loin de la vérité.

Michel de PONCINS

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Source: Tocqueville Magazine
LE FLASH

Grande-Bretagne : « Je faisais mon devoir de musulman » (celui de tuer les homosexuels)…

Pris la main dans le sac en train de distribuer des tracts homophobes… Comme de bien entendu, ils nient les faits.

On n’est pas en France, les gars. Nier les faits ne vous ouvre pas les portes vers la sortie… Le « c’est pas moi, m’sieur », ça marche chez nous. Pas ailleurs.

FDF

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Il est permis de se demander si la bêtise n’a pas atteint, là,  son  paroxysme.  

Quoique, avec eux, il nous reste encore des choses à découvrir …

http://www.dailymail.co.uk/news/article-2087412/I-doing-duty-Muslim-says-defendant-handed-leaflets-saying-gay-people-hanged.html#ixzz1jjmwCmCa

Procès de Kabir Ahmed, 28 ans  et de 4 autres musulmans    DONT VOUS POURREZ VOIS LES BONNES TÊTES  CI-DESSOUS –  Ils sont  jugés pour avoir distribué des prospectus demandant que l’on pende les homosexuels.  ET BIEN EVIDEMMENT,  ILS NIENT LES FAITS

« Je faisais mon devoir de musulman » déclare-t-il à la cour.

Selon lui, il répandait simplement la parole de dieu telle qu’elle est enseignée par l’islam. Le prospectus précise que le seul motif de controverse au sujet de l’homosexualité en islam est la méthode de mise à mort : par le feu, en étant projeté dans le vide, ou par la lapidation………..    ET LA PENDAISON  NON??????

Il a été arrêté ainsi que 5 autres personnes alors qu’il distribuait ces tracts devant la mosquée de Derby, Angleterre.

JC JC…

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«Je faisais mon devoir de musulman», explique père qui ont distribué des tracts disant les homosexuels devraient être pendus

Kabir Ahmed, 28 ans, raconte la cour qu’il ne pouvait pas «rester les bras croisés et regarder quelqu’un de commettre un péché»
Cinq hommes font face premières poursuites pour incitation à la haine fondée sur l’orientation sexuelle depuis la loi est entrée en vigueur
Dépliant intitulé Peine de mort? a déclaré: «La peine de mort est la seule manière de ce crime immoral peuvent être effacés de corrompre la société»

Par Lucy Buckland

Un père a dit à un tribunal qu’il ne faisait que son devoir de musulman en distribuant des tracts appelant pour les homosexuels d’être exécuté.

Kabir Ahmed, 28 ans, dit qu’il a remis un dépliant intitulé Peine de mort? d’un policier et les enfouit dans boîtes aux lettres à travers Derby parce qu’il était la diffusion de la parole de Dieu telle qu’elle est enseignée par l’Islam.

Il a dit: «Mon intention était de faire mon devoir en tant que musulman, pour informer les gens de la parole de Dieu et de donner le message sur ce que Dieu dit à propos de l’homosexualité. »
Au banc des accusés: Kabir Ahmed, 28 ans, arrive à Derby Crown Court, où, avec quatre autres, il est en procès accusé d’incitation à la haine fondée sur l’orientation sexuelle
Accusé: Omar Javed, 38 ans, arrive à Derby Crown Court, où, avec quatre autres, il est d’aller en procès accusé d’incitation à la haine fondée sur l’orientation sexuelle.

Accusé: Kabir Ahmed, à gauche, et Umar Javed, à droite, sont en procès avec trois autres hommes accusés d’incitation à la haine fondée sur l’orientation sexuelle.

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Marié Ahmed, qui a une fille de neuf mois, est en procès avec quatre autres hommes à Derby Crown Court accusé d’incitation à la haine fondée sur l’orientation sexuelle, de la première poursuite du genre depuis la législation entrée en vigueur en Mars 2010.

A l’ouverture du procès jurés la semaine dernière a montré la peine de mort? notice, qui montre une image d’un mannequin pendu à une corde et dit que l’homosexualité est passible de la peine de mort en vertu de l’islam.

Les Etats-dépliant: «La peine de mort est la seule manière de ce crime immoral peuvent être effacés de corrompre la société et agir comme un facteur dissuasif pour toute autre personne malade qui est à distance inclinée dans cette façon plié.
Accusés: Mehboob Hussain, 45 ans, arrive à la cour
Co-accusé Razwan Javed, 28 ans, garde la tête baissée, comme il se dirige vers le tribunal
Au banc des accusés: Ihjaz Ali, 42 ans, est également en procès accusé d’incitation à la haine fondée sur l’orientation sexuelle

Au banc des accusés: Mehboob Hussain, à gauche, Razwan Javed, et Ihjaz Ali, à droite, arrivent tous à Derby Crown Court

Il poursuit: «Le seul différend entre les autorités classique était la méthode employée dans l’exécution du code pénal, et continue ensuite de proposer de brûlure, d’être jeté d’un point haut comme une montagne ou un immeuble, ou d’être lapidé à mort que des méthodes appropriées.

Témoigner aujourd’hui Ahmed, vêtu d’un pantalon gris et une chemise noire, a déclaré qu’il avait remis un de la peine de mort? tracts aux PC Stephen Gregory le 2 Juillet 2010, comme il passait par la zone de la mosquée Jamia à Rosehill rue après la prière du vendredi.

Il a déclaré au tribunal qu’il sentait que c’était son devoir de musulman d’informer et de conseiller les gens partout où ils peuvent être commettre des péchés, il manquerait s’il n’était pas.
Le procès: Les cinq accusés sont soupçonnés d’avoir remis un document homophobes devant la mosquée Jamia à Derby

Le procès: Les cinq accusés sont soupçonnés d’avoir remis un document homophobes devant la mosquée Jamia à Derby

«Mon devoir n’est pas seulement pour moi mais pour essayer de mieux et mieux la société où je vis, dit-il.

«Nous croyons que nous ne pouvons pas rester les bras croisés et regarder quelqu’un de commettre un péché, nous devons essayer de les conseiller et de les inciter à rester à l’écart du péché».

Ahmed a dit qu’il avait étudié les textes de nombreuses religions, y compris la Bible et la Torah et utilisé des idées de chacun afin de comparer avec ce que l’Islam dit à propos de choses comme la drogue, l’alcool, la prostitution et les relations.
Défendeurs: Un croquis pris à l’intérieur de la cour des cinq hommes sur le procès. (Lr) Ihjaz Ali, Razwan Javed, Kabir Ahmed, Mahboub Hassain et Umer Javed

Défendeurs: Un croquis pris à l’intérieur de la cour des cinq hommes sur le procès. (Lr) Ihjaz Ali, Razwan Javed, Kabir Ahmed, Mahboub Hassain et Umer Javed

Ahmed avocat Zacharias Miah lui ai demandé s’il PC Grégoire lui avait dit qu’il faisait quelque chose de mal aurait-il remis le sac des tracts qu’il portait et Ahmed répondit: «. Bien sûr, sans l’ombre d’un doute»

Procureur Bobbie Cheema a déclaré au tribunal la peine de mort? dépliant n’était pas éducatives ou informatives, mais était simplement «menaçant, injurieux, effrayant et méchant».

Quatre hommes de Derby d’autres – Ihjaz Ali, 42 ans, Mehboob Hussain, 45 ans, Omar Javed, 38 ans, et son frère Razwan Javed, 28, rue de Wilfred – sont également chargés de la même infraction.

Les cinq hommes nient les accusations.

Le procès se poursuit.

Désolé pour le texte, c’est une traduction automatique…

FDF

Un nouveau « Grand d’Espagne »…

La France vient de perdre son « triple A ». Un déshonneur, à mon avis pour celui qui est aux commandes. Mais si après le déshonneur chez soi, on obtient les honneurs ailleurs…

Un bon petit dessin pillé chez: http://cafephilodedroite.blogspot.com/

FDF

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Voir: http://www.wat.tv/video/sarkozy-decore-toison-or-par-4sbtv_2exyh_.html

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Et hop! Un autre:

Le regroupement familial…

Vu sous un autre angle…

FDF

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Ben quoi ???