Francaisdefrance's Blog

29/02/2012

Le califat est vivant et en pleine croissance au sein de l’Europe…

On nous assène sans cesse que l’islam n’est pas un danger. On va nous punir sévèrement si on dit du mal de cette idéologie. Tout cela dans le seul but que l’islamisation se passe sans résistance. Mais c’est compter sans les actions qui vont être déclenchées à une échelle plus grande afin de sauvegarder nos identités respectives.

Patriotes de tous pays, nous ne pouvons plus rester sans rien faire. J’ai comme l’impression que taguer des mosquées va rester un jeu d’enfant par rapport à ce qui va arriver… « Ils » l’ont cherché. Et j’ai même peur pour ceux qui les ont sciemment laissé faire…

FDF

.

Image d’illustration

.

ILS VEULENT IMPOSER L’ISLAM ET LA SHARIA LIBERTICIDE DANS L’EUROPE ENTIERE   ET  AUSSI DANS LE MONDE
VOUS NE POURREZ PAS DIRE QUE VOUS NE SAVIEZ PAS  !!!!!!
CE QUI M’INTERPELLE C’EST QUE NOS  GOUVERNEMENTS LES LAISSENT  FAIRE

Question    :  S’il  parvenaient à nous exterminer, comme  le prévoit leur livre de la haine, qui travaillerait en Europe
pour payer pour les aides sociales, et tout le reste bien entendu ?

JC JC…

.

26/02/2012
Autriche : conférence du Hizb ut Tahrir pour le renversement de la démocratie en Europe
Ces illuminés militent pour une théocratie fasciste suprémaciste mondiale et font de l’agitation insurrectionnelle en Occident.

La torontoise Raheel Raza a critiqué la naïveté de l’Australie et du Canada, qui permettent à ces extrémistes de tenir des rassemblements sur leur sol, ce qui lui a valu des menaces du Hizb ut Tahrir. Lire un résumé de leur programme barbare et haineux dans ce billet.

Voici la vidéo annonçant leur conférence d’Amsterdam sur le califat en juillet 2011 :

Islamic caliphate in Europe 2011:

  

.

http://www.youtube.com/watch?v=CftifoIw7QI&feature=player_embedded


________________

Un groupe fondamentaliste musulman organise une conférence sur la transformation de l’Autriche et d’autres pays européens en États islamiques.

La « Conférence 2012 sur le califat » aura lieu le 10 mars dans la ville autrichienne de Vösendorf, au sud de Vienne. Le thème principal de l’événement est : « Le califat : le modèle d’État du futur ». La conférence est organisée par le Hizb ut-Tahrir [Parti de la libération], un groupe extrémiste pan-islamique qui cherche à établir un État islamique mondial, ou califat, gouverné par la charia islamique.

Le Hizb ut-Tahrir est  interdit dans de nombreux pays, y compris l’Allemagne, mais il est libre d’agir en Autriche. Il est viscéralement opposé au capitalisme et à la démocratie occidentale et cherche à étendre le futur califat à l’Europe et aux États-Unis. La video promotionnelle de la conférence (en allemand) affirme que « le califat islamique est le seul système social et politique à proposer les bonnes solutions aux problèmes politiques, sociaux et économiques de l’humanité. »

Une conférence similaire du Hizb ut-Tahrir, qui devait se tenir en Belgique le 4 mars, a été interdite. Le groupe a également organisé une Conférence sur le califat à Amsterdam en juillet 2011 ainsi qu’à Chicago en juin 2010. Selon les analystes, la nature ouverte de la conférence de Vienne indique que le Hizb ut-Tahrir cherche à recruter de nouveaux membres parmi les musulmans européens.

Selon Steven Emerson, une autorité de premier plan sur les réseaux islamistes extrémistes, le Hizb ut-Tahrir émule le processus en trois étapes suivi par les musulmans qui ont instauré le premier califat islamique après la mort de Mahomet, le prophète de l’islam, en l’an 632.

Au cours de la première étape, le Hizb ut-Tahrir bâtit un parti en formant un noyau de partisans voué au recrutement et à la propagande. Dans la deuxième étape (dans laquelle le Hizb ut-Tahrir vient d’entrer en Europe et aux Etats-Unis), le groupe éduque les musulmans pour recruter un plus grand nombre de membres pour soutenir sa révolution. Après avoir gagné des adeptes, le Hizb ut Tahrir passe à la troisième étape : l’instauration d’un gouvernement islamique régi par la charia.

Alors qu’ils travaillent à islamiser l’Occident de l’intérieur, les musulmans insistent en même temps que les Occidentaux ne critiquent pas leurs actions. L’Organization de la coopération islamique (OCI), un groupe de 57 pays musulmans qui se présente comme la voix collective du monde musulman, a parrainé un symposium anti-islamophobie à Bruxelles le 15 et 16 février 2012.

Cet atelier de travail, le premier dans son genre, avait pour thème « Le dénigrement de l’islam et des musulmans dans les médias ». Il visait à « mettre en place des mécanismes d’information pour combattre les campagnes de dénigrement de l’islam dans les médias ».  Cet atelier fait partie du « Processus d’Istanbul », une initiative agressive des pays musulmans en vue de pénaliser la critique de l’islam en droit international.

Le but explicite du Processus d’Istanbul est d’enchasser dans le droit international une interdiction mondiale de tout examen critique de l’islam et de la charia islamique. Basée en Arabie saoudite, l’OCI exerce depuis longtemps des pressions sur l’Union européenne et les États-Unis afin qu’ils imposent des limites à la liberté d’expression et à la critique de l’islam.

L’OCI a maintenant redoublé d’efforts et mène une vigoureuse offensive diplomatique pour convaincre les démocraties occidentales de mettre en œuvre la Résolution 16/18 du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU qui appelle tous les pays à lutter contre «l’intolérance [religieuse], les stéréotypes négatifs et la stigmatisation … de la religion et des croyances ».

La résolution 16/18, adoptée par le Conseil des droits de l’Homme siégeant à Genève en mars 2011, est largement considérée comme une étape importante dans les efforts de l’OCI pour faire progresser en droit international la notion juridique de diffamation de l’islam.

La résolution du Conseil des droits de l’homme, tout comme la Résolution 66/167 discrètement approuvée le 19 décembre 2011 par les 193 membres de l’Assemblée générale de l’ONU, demeure cependant inefficace faute d’un appui solide en Occident.

L’OCI a donc remproté une manche diplomatique lorsque l’administration Obama a accepté d’accueillir la Conférence du Processus d’Istanbul à Washington, DC du 12 au 14 décembre 2011. Ce faisant, les États-Unis ont donné à l’OCI la légitimité politique qu’elle recherchait pour conférer une portée mondiale à son initiative visant à interdire la critique de l’islam.

Suivant l’exemple de l’administration Obama, l’Union européenne veut maintenant accueillir la prochaine conférence du Processus d’Istanbul. Jusqu’à présent, l’UE était restée à l’écart de l’initiative de l’OCI. Mais Ekmeleddin Ihsanoglu, Secrétaire général de l’OCI, affirme que la récente proposition de l’UE d’accueillir la conférence représente « un changement qualitatif dans la lutte contre l’islamophobie», selon l’Agence internationale de nouvelles islamique (IINA), l’organe officiel de nouvelles et de propagande de l’OCI.

Selon l’IINA, « l’islamophobie est un phénomène généralisé en Occident mais il est en augmentation dans les pays européens en particulier, d’une manière différente des USA,  qui avaient contribué à la rédaction de la résolution 16/18. La nouvelle position de l’Europe marque le début d’un changement par rapport aux réserves qu’elle a manifestées dans les années passées face aux efforts menés par l’OCI au Conseil des droits de l’Homme et à l’Assemblée générale des Nations Unies pour contrer la « diffamation des religions ».

Le rapport de l’IINA ajoute : «Des fonctionnaires de la direction des Affaires culturelles de l’OCI ont déclaré que la proposition de l’Union européenne d’accueillir la troisième réunion (la 1e s’est déroulée à Istanbul en juillet et la 2e à Washington, DC en décembre dernier) est considérée comme une nouvelle avenue prometteuse permettant de résoudre ce problème. La tenue de la réunion en Europe, qui est plus touchée par l’islamophobie et l’hostilité envers l’islam, donnera un momentum supplémentaire au ‘Processus d’Istanbul’. »

Selon l’OCI, l’atelier de lutte contre l’islamophobie tenu en février revêtait une « importance particulière » car il est intervenu à peine quelques semaines avant la réunion du Conseil des droits de l’Homme à Genève  du 27 février au 23 mars, au cours de laquelle la résolution 16/18 sera soumise à un second vote.

En septembre 2011, un organe de l’OCI, l’Organisation islamique pour l’éducation, la science et la culture (IESCO), a organisé un séminaire à Bruxelles sur « la manière d’approcher le problème de l’image stéréotypée de l’islam dans les programmes de télévision européens. » Le séminaire avait pour but d’aider les journalistes européens à « identifier les caractéristiques des stéréotypes sur l’islam dans les programmes de télévision européens, souligner le danger de la diffamation des religions, et clarifier la distinction entre la liberté d’expression et le droit à la différence culturelle, l’attachement à l’identité culturelle islamique et la lutte contre le racisme et la haine. »

Dans son dernier livre intitulé «L’Europe, la mondialisation, et la venue du califat universel », Bat Ye’or, une éminente spécialiste de l’islam en Occident, écrit que l’OCI est essentiellement un « aspirant califat universel » qui exerce une influence significative à travers l’Union européenne, l’ONU et d’autres organisations internationales.

Ye’or décrit un manuel de stratégie de l’OCI, «Stratégie de l’Action culturelle islamique en Occident», dans lequel l’OCI affirme que « les communautés d’immigrants musulmans en Europe font partie de la nation islamique. » Le document recommande « une série de mesures pour empêcher l’intégration et l’assimilation des musulmans dans la culture européenne. »

Selon Ye’or, « Le califat est vivant et en pleine croissance au sein de l’Europe … Il a progressé grâce au déni des dangers et à l’embrouillement de l’histoire. Il a avancé sur des tapis dans les couloirs dorés du dialogue, le réseau des Alliances et des partenariats,  sur la corruption de ses dirigeants, intellectuels et ONG, particulièrement à l’ONU. »

Soeren Kern est membre du directoire pour les relations transatlantiques du Grupo de Estudios Estratégicos (Centre d’Etudes Stratégiques  ), à Madrid.

 Source: http://www.postedeveille.ca/

D’après  : « Caliphate Conference » Seeks to Islamize Europe, U.S., par Soeren Kern, Stonegate Institute, 21 février 2012. Traduction par Poste de veille

17/02/2012

La haine de Mahomet pour les juifs…

Calligraphie du nom « Mahomet ». Source: http://coranix.org/

Anne-Marie Delcambre nous explique bien des choses. Pas très bon pour les adeptes du « prophète », ça… En revanche, des preuves supplémentaires qui abondent bien en notre sens…

FDF

.

16/02/2012

Une analyse impitoyable du fascisme musulman…

Rien de tel qu’une bonne vidéo pour étayer des dires qui ne se circulent que sous cape… Bonne lecture.

FDF

.

Mahomet serait il Satan ?

.

L’ISLAM EST LA PLUS GRANDE SUPERCHERIE  DEPUIS DES SIECLES,  DEPUIS SA CREATION !

MAHOMET:  un saint homme,  un grand homme ?

.

http://www.dailymotion.com/video/x9o86x_une-analyse-impitoyable-du-fascisme_people

.

« L’honneur civique d’un homme, c’est l’opinion d’autrui selon laquelle il est d’une parfaite probité, c’est-à-dire respecte réellement les droits d’autrui sous toutes leurs formes, d’où il découle… « 

23/01/2012

L’islam est la tromperie la plus réussie de l’histoire de l’humanité ! (Amil Imani)…

Rejoignez les rangs des hommes libres qui ont choisi de ne pas tomber dans la tromperie de l’islam ! Le troisième Reich n’a rien inventé…

FDF

.

« Malgré la propagande massive des organisations islamiques, de plus en plus de gens commencent à reconnaître l’islam pour ce qu’il est en réalité : une tromperie.

Je propose à tous les musulmans culturels ou n’importe quelle autre sorte de musulman non-djihadiste, d’accomplir avec courage ce qui est juste, et de faire le saut décisif : inhalez la vie à pleins poumons, respirez le délicat parfum de la liberté, oubliez cette tromperie de l’islam, et venez rejoindre les rangs des hommes libres, là où tous les membres de la tribu humaine peuvent vivre en paix et dans l’harmonie. »

L’islam n’est pas une religion mais une forme d’esclavage

http://www.postedeveille.ca/

Amil Imani est un Américain d’origine iranienne. Ancien musulman, il tente d’alerter le monde au danger de l’islam radical et de libérer ses coreligionnaires de l’emprise de l’islam. Écrivain, essayiste, poète, traducteur, conférencier et analyste politique, Imani collabore à la rédaction de FamilySecurityMatters.org et est l’auteur de Obama Meets Ahmadinejad et du thriller Operation Persian Gulf.


Dans le primitif désert d’Arabie, est apparu il y a quatorze siècles, un employé illettré d’une riche veuve, Khadija, prétendant être porteur de préceptes de vie parfaits dictés par Allah : le coran.

Il proclama que l’humanité n’avait rien de mieux à faire que de suivre ces préceptes et d’imiter son comportement dans la vie pour garantir son bonheur et son salut. En contrepartie, les gens devaient adopter l’islam – se soumettre – en inféodant leur liberté à Mahomet.

L’islam est la tromperie ayant rencontré le succès le plus énorme de l’histoire de l’humanité. Des millions de mollahs et d’imams entretiennent cette arnaque et un milliard et demi de croyants en paient le prix. Ils paient en argent, en labeur et même de leur vie pour les reconnaissances de dette des organisations musulmanes qui se faufilent dans la vie sans jamais la moindre goutte de sueur pour gagner leur pain quotidien. L’islam est une arnaque et les musulmans en sont les victimes.

Mahomet, pendant sa période mecquoise, était ridiculisé par les membres de sa propre tribu, les Quraychites, pour ses propos incohérents. Ils le surnommaient le « shaeron majnoon », le poète cinglé.

Le décès de sa première épouse, et très riche patronne, laissa Mahomet dans une situation précaire et à la merci des quolibets et du harcèlement des Mecquois. Il a pris la fuite vers Médine, et dans la sécurité relative de cette ville où vivait une large communauté juive tolérante, il trouva davantage de gens disposés à rejoindre sa clique.

Arrivé à Médine, Mahomet imagina une formule à succès plus performante : il justifia tout en prétendant que c’était la volonté d’Allah. Et Allah ne devait pas être pris à la légère. Il détient les clés du plus magnifique paradis et du plus horrible enfer. L’obéissance aveugle aux paroles et aux désirs de Mahomet devint un devoir pour tout bon musulman. Mahomet se transforma en gardien du paradis et de l’enfer d’Allah. Cette formule magique a très bien marché avec les Bédouins d’Arabie qui prospéraient grâce aux pillages et aux meurtres. Sa religion se répandit comme une pandémie, en un temps record.

Alors que Mahomet rassemblait de plus en plus d’adeptes, il se retourna contre la communauté juive de Médine, tua les hommes, pilla leurs biens et emmena leurs femmes et leurs enfants comme esclaves. C’était la naissance du « djihad ». Etre tout mielleux et cacher son jeu au début, puis dégainer le glaive dès que l’on a gagné en puissance. Cela marchait à l’époque et cela marche encore.

En un temps record, ces sauvages du désert arabique, émoustillés par la promesse gagnant-gagnant de Mahomet – soit tu assassines et tu as le butin dans ce bas-monde, soit tu es tué et tu demeures pour l’éternité dans les jouissances et les voluptés inimaginables du paradis d’Allah – se ruèrent, sabre au clair, en avant vers la conquête des terres lointaines.

Contrôle mental
Les êtres humains se déplacent sur leurs deux pieds, mais c’est l’esprit qui dicte la direction à prendre dans la vie et ce qu’il convient de faire. Là où l’esprit ordonne d’aller, là on va. Cependant, l’esprit humain n’arrive pas dans ce monde avec la marche à suivre. Contrairement à certaines opinions, nous sommes nés ni anges ni démons. Chacun de nous a le potentiel de devenir ange ou démon. La plupart évoluent vers un mélange des deux, quelques rares spécimens évoluent vers une voie angélique, d’autres deviennent l’incarnation du Mal. La programmation mentale joue un rôle crucial dans ce que nous devenons.

L’islam, dès son origine, a découvert le secret crucial de formater les très jeunes esprits, selon l’adage : instruire dans la petite enfance c’est comme sculpter dans le roc. Dans la même veine, les Jésuites disent « Donnez-moi un enfant jusqu’à ses sept ans et je vous rendrai un homme », c’est une application de la philosophie et de la théologie de Saint Augustin. L’importance immense de s’adresser à des enfants très jeunes est également soulignée par des doctrines non-religieuses, allant de la psychanalyse freudienne à la psychologie behavioriste de Watson.

Les apologistes de l’islam
Et nous voilà, au 21ème siècle, face aux assauts des islamistes, des djihadistes et des apologistes de l’islam dans notre culture et notre mode de vie. Voici les fruits nocifs de l’arbre fallacieux planté par Mahomet il y a 1400 ans.

Les docteurs autoproclamés de la religion musulmane pratiquent universellement un enrobage mielleux pour camoufler la vaste escroquerie de l’islam. Ils affirment haut et fort l’importance d’accepter les choses sans discuter, dénigrent la raison, alternent la carotte et le bâton et exigent une soumission inconditionnelle en contrepartie de la promesse du bonheur et du salut. Les masses marchent au pas, entretiennent un clergé parasitaire au mode de vie somptueux, et le manège continue à tourner. Cela fonctionne comme un envoûtement. Tu utilises le djihad de l’épée si tu peux, ou sinon le djihad soft puis tu dégaines le sabre pour terminer le boulot. Et surtout, n’oublie pas : « La fin justifie les moyens », prêchent sans cesse les apologistes de l’islam à leurs hordes.

Les apologistes de l’islam n’exposent jamais la vérité nue de l’islam. Ils ne mentionnent jamais cet islam qui se nourrit de haine, jette de l’acide au visage des femmes qui ont omis leur voile et aux fillettes sur le chemin de l’école, fouette ceux qui arborent des coiffures non-islamiques, lapide à mort ceux qui dévient de ses normes sexuelles et toutes ces sortes d’atrocités comme les crimes d’honneur. Ils ne disent jamais non plus que la pédophilie est institutionnalisée par l’islam.

Le prophète Mahomet a « épousé » une fillette de six ans et a consommé ce mariage quand Aicha avait seulement neuf ans, alors qu’il allait sur ses 60 ans. Quand les apologistes sont confrontés au sujet de ce comportement répugnant du fondateur de leur si « parfaite religion », certains exercent le mécanisme de défense du déni et prétendent que cela ne s’est jamais passé, reniant leurs propres sources historiques les plus fiables. D’autres prétendent que ce n’était pas vraiment un mariage mais une alliance seulement politique, une action de l’émissaire parfait d’Allah. Et depuis lors, des cas innombrables d’enfants violées ont lieu dans le monde musulman, copiant l’exemple de Mahomet. Des fillettes prépubères sont mariées à des vieillards. Il y a peu de temps, le Dr Salih bin Fawzan, un religieux éminent et membre du plus haut Conseil religieux saoudien, a émis une fatwa proclamant qu’il n’y a pas d’âge minimum pour le mariage et que les fillettes peuvent être mariées « même lorsqu’elles sont encore au berceau ».

Pour aggraver le tout, l’islam a des alliés puissants et inconscients dans la masse des braves mais naïfs Américains qui se mettent en quatre pour protéger leur cher principe de liberté de religion. Et toute cette frange bien-pensante de notre société incite Hillary Clinton, par exemple, à accorder un visa à des types comme Tariq Ramadan, qui viennent chez nous pour exploiter le filon d’un système généreux et ouvert afin d’y établir la servitude musulmane.


L’islam est politique jusqu’au noyau. Dans l’islam la mosquée et l’Etat ne sont qu’une seule et même chose, la mosquée est l’Etat et cela remonte au temps de Mahomet. L’islam est également radical à l’extrême. Même l’islam « modéré » est radical dans ses croyances et dans ses actes. Les musulmans sont convaincus que tous les non-musulmans, absolument tous, sont condamnés aux feux de l’enfer et méritent d’être maltraités, comparés aux croyants.

Un vrai musulman ne croit pas à la liberté et il ne le peut pas. Tout est volonté d’Allah, répète Mahomet. Tout ce que fait un musulman est en référence à un ordre ou à un décret d’Allah. C’est pour cette raison que la phrase « Inch Allah » (si Allah veut) accompagne toujours une promesse ou une décision que font les croyants. En acceptant Mahomet en tant qu’émissaire éternel et infaillible d’Allah, le musulman abandonne toute liberté de décider par lui-même.

Les musulmans et la liberté
L’abdication totale de leur liberté n’est pas une simple question de choix personnel pour les musulmans. Ils renoncent à leurs plus précieux droits et s’efforcent que les autres y renoncent aussi, de gré ou de force. On dit que la misère adore avoir de la compagnie. Or ce genre de misère que l’escroquerie de l’islam impose aux musulmans est une peste envahissante et doit être combattue par tous ceux qui chérissent leur liberté innée.

Malgré la propagande massive des organisations islamiques, de plus en plus de gens commencent à reconnaître l’islam pour ce qu’il est en réalité : une tromperie.

Je propose à tous les musulmans culturels ou n’importe quelle autre sorte de musulman non-djihadiste, d’accomplir avec courage ce qui est juste, et de faire le saut décisif : inhalez la vie à pleins poumons, respirez le délicat parfum de la liberté, oubliez cette tromperie de l’islam, et venez rejoindre les rangs des hommes libres, là où tous les membres de la tribu humaine peuvent vivre en paix et dans l’harmonie.

Source : The Fraud of Islam, par Amil Imani, 24 novembre 2011. Traduction par Capucine pour Poste de veille

18/01/2012

Coran: « la taqiyya servant à duper l’ennemi est permise » !

La taqiyya est non seulement permise mais fortement encouragée. Et ce, dans tous les domaines où les musulmans ont accès… Le mensonge est aussi un pilier de l’islam…

Du moment qu’on le sait…

FDF

Double langage…

.

.

Mahomet — qui constitue [pour le musulman] l’exemple de l’être humain parfait, dont la conduite doit être imitée dans les moindres détails — avait une conception pragmatique du mensonge. »
De plus, selon Mukaram, cette tromperie est classée comme taqiyya:

« la taqiyya servant à duper l’ennemi est permise » (13).

Plusieurs ulémas estiment que la tromperie fait partie intégrante de l’art de la guerre.
« La taqiyya pose un ensemble de problèmes éthiques.
Quiconque croit véritablement que Allah justifie, et même, par l’exemple de son prophète, encourage la tromperie, n’aura aucun scrupule éthique à mentir. »
« Puisque Allah est censé être la source de ces versets révélés, il est considéré comme étant Lui-même implicitement le perpétrateur absolu du mensonge, ce qui n’a rien de surprenant puisque il est décrit dans le Coran comme étant le meilleur makar, c’est-à-dire fourbe, trompeur »
« On peut conclure que face à l’opposition naturelle entre guerre et paix, qui existe dans le cadre occidental, il est plus approprié de parler d’une opposition entre guerre et dissimulation dans le cadre islamique. Car, selon le point de vue islamique, les périodes de paix, qui n’ont lieu que quand l’islam est plus faible que ses rivaux infidèles, sont des périodes de paix simulée et de dissimulation, bref de taqiyya. »

La doctrine de la Taqiyya

Les formulations de la taqiyya
La tromperie dans les exploits guerriers de Mahomet
La taqiyya dans la révélation coranique
La guerre est éternelle
L’hostilité sous les traits de la récrimination
Taqiyya   ou fourberie  musulmane

Voilà qui résume assez le texte ci-dessous,  que je vous conseille de lire, afin de ne pas vous laisser berner encore plus, le  titre à lui seul est suffisamment évocateur et explicite.
ET ENSUITE VOUS  NE POURREZ PAS DIRE QUE VOUS NE SAVIEZ PAS  CE QUI SE TRAMAIT,  et à QUI NOUS AVONS à FAIRE.

La Taqiyya et les règles de la guerre islamique
par Raymond Ibrahim
Middle East Quarterly

Translation of the original text: How Taqiyya Alters Islam’s Rules of War
Adaptation française: Jean Szlamowicz, pour debriefing.org

 http://www.meforum.org/2577/taqiyya-regles-guerre-islamique

L’islam doit apparaître aux non-musulmans comme une religion bien paradoxale. D’un côté, on ne cesse de la présenter comme la religion de la paix et, de l’autre, ses membres sont responsables de la majorité des actes terroristes dans le monde. Les apologistes de l’islam soulignent que cette foi se fonde sur une grande exigence éthique. Les autres constatent qu’il s’agit d’une religion légaliste. La dualité des critères de vérité et de fausseté dans l’islam révèle une nature paradoxale : car si le Coran est contre les croyants qui trompent d’autres croyants (en vertu du fait que « Allah ne guide pas celui qui est outrancier et menteur » (1), la tromperie aux dépens des non-musulmans, généralement appelée, en arabe, taqiyya, reçoit également l’approbation coranique et fait partie des actes légalement permis aux musulmans.
La tromperie musulmane peut être considérée comme un moyen, qui manque, certes, de noblesse, au service de la fin glorieuse que constitue l’hégémonie islamique de la chariah, considérée comme favorable aux musulmans et aux non-musulmans. En ce sens, il s’agit d’un mensonge altruiste, ce qui est autorisé. L’imam Mahmoud al-Masri a récemment donné en exemple une histoire où un musulman raconte un mensonge à un Juif pour le forcer à la conversion, et dont il parle comme d’une « magnifique tromperie ».
La taqiyya a deux utilisations principales. La plus connue consiste à masquer ses convictions religieuses par crainte de persécutions. Il s’agit là de pratiques historiques de la taqiyya au sein de la communauté chiite, dans tous les cas où leurs rivaux sunnites étaient plus nombreux et constituaient une menace. Inversement, les sunnites, loin d’être persécutés, ont toujours pratiqué quand c’était possible une forme de taqiyya au service du djihad contre les incroyants, faisant de la taqiyya une pratique non plus seulement de dissimulation, mais de tromperie active. En fait, le mensonge, qui a, dans l’islam, un fondement doctrinal, est souvent présenté comme égal, et parfois supérieur, aux autres vertus guerrières que sont le courage, la détermination, ou le sacrifice.
On pourra se demander comment il se fait que les musulmans soient à la fois exhortés à la sincérité et encouragés à la tromperie, et que cette dernière soit non seulement dominante mais bénéficie aussi de l’approbation divine.
Qu’est-ce au juste que la taqiyya? Comment les théologiens, ainsi que ceux qui en font usage, la justifient-ils ? Comment s’inscrit-elle dans l’éthique islamique, notamment dans son rapport avec les non-musulmans ? Et, plus précisément, quelles sont les implications de la taqiyya pour toutes les relations entre musulmans et non-musulmans ?

La doctrine de la Taqiyya
Selon la charia, c’est-à-dire l’ensemble des règles qui définissent le comportement d’un musulman dans toutes les circonstances de la vie, la tromperie est non seulement permise dans certaines circonstances mais peut être considérée comme obligatoire. Contrairement à la tradition chrétienne primitive, les musulmans contraints de choisir entre reniement de l’islam et persécution avaient la permission de mentir et de feindre l’apostasie. D’autres juristes ont décrété que les musulmans étaient obligés de mentir afin de se préserver (2), en se fondant sur les versets coraniques qui interdisent aux musulmans de concourir à leur propre mort (3).
Telle est la définition classique de la taqiyya. Construit sur un mot arabe connotant la crainte, le terme de taqiyya passe (notamment auprès des chercheurs occidentaux) pour une stratégie à laquelle on peut avoir recours en cas de persécution religieuse, ainsi que les groupes minoritaires chiites l’ont fait quand ils vivaient au sein de majorité sunnites hostiles (4). La taqiyya a ainsi permis fréquemment aux chiites de masquer leur appartenance religieuse face aux sunnites, non seulement en remisant leurs convictions religieuses à la clandestinité, mais en priant et en se comportant comme des sunnites.
Cependant, l’un des rares ouvrages consacrés à ce sujet, At-Taqiyya fi’l-Islam (« De la dissimulation dans l’islam ») dit clairement que la taqiyya ne se limite pas à la dissimulation par crainte de persécutions. Son auteur, Sami Mukaram, ancien professeur d’études islamiques à l’niversité américaine de Beyrouth, qui a écrit environ vingt-cinq ouvrages sur l’islam, démontre clairement la variété des applications de la taqiyya :

« La taqiyya est d’une importance fondamentale dans l’islam. Pratiquement toutes les factions islamiques la reconnaissent et la pratiquent (…) On peut même dire que la pratique de la taqiyya fait partie de la norme de l’islam, et que les rares factions qui ne la pratiquent pas sont justement en dehors de la norme musulmane. La taqiyya est dominante dans la politique islamique, en particulier durant la période moderne » (5).

La taqiyya n’est donc pas, comme on le suppose souvent, un phénomène exclusivement chiite. Bien sûr, en tant que minorité dispersée au sein de communautés sunnites ennemies, les chiites ont historiquement plus de raisons de pratiquer la dissimulation. Inversement, l’islam sunnite ayant rapidement dominé de vastes empires, de l’Espagne à la Chine, ses membres ne devaient rien à personne et n’eurent pas à faire allégeance à d’autres, ni à se cacher face à des incroyants infidèles (l’Espagne et le Portugal de la Reconquista sont les rares exceptions où les sunnites ont dissimulé leur identité religieuse (6)). Ironiquement, les sunnites qui vivent en Occident se trouvent désormais dans la situation qui était celle des chiites, puisqu’ils vivent comme une minorité encerclée par ses ennemis traditionnels, les chrétiens infidèles. Ces derniers, à la différence des chrétiens de la Reconquista, se comportent rarement en adéquation avec cette inimitié historique, et la reconnaissent encore moins. En fait, les sunnites se retrouvent dans les circonstances générales qui ont fait de la taqiyya un élément important du chiisme mais sans risquer la menace physique qui en avait été initialement la source.

Les formulations de la taqiyya
Le verset 3:28 du Coran est souvent considéré comme le premier qui admet la tromperie envers les non-musulmans :

« Que les croyants ne prennent pas pour alliés des infidèles au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux » (7).

Muhammad ibn Jarir at-Tabari (mort en 923), auteur d’un commentaire du Coran, qui fait autorité, explique ainsi le verset 3:28 :

« Si vous [les musulmans] êtes sous l’autorité de non-musulmans et craignez pour vous-mêmes, conduisez-vous avec une apparence de loyauté envers eux, par la parole, tout en conservant votre hostilité à leur égard par devers vous (…) [sachez que] Allah a interdit aux croyants de se montrer amical ou intime avec les infidèles, sauf si les infidèles les dominent. Dans ce cas précis, qu’ils se comportent amicalement avec eux tout en préservant leur religion » (8).

Toujours à propos de ce verset du Coran, Ibn Kathir (mort en 1373), qui est une autre grande autorité coranique, écrit :

« Quel que soit le lieu ou le moment, quiconque craint des tourments [venant de non-musulmans] peut se protéger en donnant le change ».

Il en veut pour preuve une citation d’Abu Darda, proche compagnon de Mahomet, enjoignant d’« arborer un large sourire face à certaines personnes tandi cœur les maudit »s que notre. Un autre compagnon, connu sous le nom d’Al-Hasan, a dit que « la pratique de la taqiyya est acceptable jusqu’au jour du jugement » (c’est-à-dire jusqu’à la fin des temps) (9).
D’autres savants importants, comme Abu ‘Abdullah al-Qurtubi (1214-73) et Muhyi ‘d-Din ibn al-Arabi (1165-1240), ont étendu la taqiyya jusqu’à l’appliquer à de nombreuses actions. En d’autres termes, les musulmans peuvent se conduire comme des infidèles ou même pire, par exemple en se prosternant et en adorant des idoles et des croix, en portant de faux témoignages, ou même en montrant les faiblesses d’autres musulmans à l’ennemi infidèle — tout est permis sauf tuer un autre musulman :

« la taqiyya, même si elle est pratiquée sans contrainte, ne mène pas à un statut d’infidèle, même si elle peut mener à des péchés méritant le feu de l’enfer » (10).

La tromperie dans les exploits guerriers de Mahomet
Mahomet — qui constitue [pour le musulman] l’exemple de l’être humain parfait, dont la conduite doit être imitée dans les moindres détails — avait une conception pragmatique du mensonge. Il est notamment bien connu qu’il permettait de mentir dans trois situations : pour réconcilier entre deux parties, ou plus, qui sont en conflit, pour calmer sa femme, et à la guerre (11). Selon un manuel de droit arabe consacré au djihad tel qu’il est défini par les quatre écoles du droit islamique,

« les ulémas [savants] considèrent que la tromperie en temps de guerre est légitime (…) la tromperie est une forme de l’art de la guerre » (12).

De plus, selon Mukaram, cette tromperie est classée comme taqiyya:

« la taqiyya servant à duper l’ennemi est permise » (13).

Plusieurs ulémas estiment que la tromperie fait partie intégrante de l’art de la guerre. Ibn al-‘Arabi déclare, par exemple :

« dans les hadiths [citations et actions de Mahomet], le mensonge en temps de guerre est bien attesté. En fait, le mensonge est davantage souligné que l’obligation de courage ».

Ibn al-Munir (mort en 1333) écrit :

« La guerre est tromperie, la guerre la plus parfaite qu’un saint guerrier puisse faire est une guerre de tromperie et non de confrontation, car la confrontation comporte des risques, tandis que l’on peut obtenir la victoire par traîtrise et sans risque pour soi ».

Quant à Ibn Hajar (mort en 1448), il conseille aux musulmans d’adopter

« une attitude très prudente dans la guerre, tout en se lamentant [publiquement] et en portant le deuil de manière à tromper les infidèles » (14).

Cette conception musulmane de la guerre comme tromperie renvoie à la bataille du Fossé (627), qui opposa Mahomet et ses disciples à plusieurs tribus non musulmanes, connues sous le nom de Al-Ahzab. Parmi ces derniers, Na’im ibn Mas’ud se rendit dans le camp musulman et se convertit à l’islam. Quand Mahomet s’aperçut que les Ahzab n’étaient pas au courant de la conversion de Mas’ud, il lui conseilla de retourner auprès d’eux et de les décider à lever le siège. C’est à cette occasion que Mahomet est censé avoir émis l’adage célèbre, « car la guerre est tromperie ». Mas’ud retourna auprès des Ahzab sans qu’ils sachent qu’il avait changé de camp et, de son côté, il donna des informations fausses à ses anciens amis et alliés. Il s’efforça également de générer des querelles entre les différentes tribus jusqu’à ce que, pleines de méfiance les unes envers les autres, elles finissent par se séparer et lever le siège, sauvant ainsi les musulmans de la destruction dans cette période encore embryonnaire [de l’islam] (15).
Plus récemment, des complices de l’attentat du 11-Septembre, tel Khalid Sheikh Muhammad, ont invoqué, dans leur défense, comme raison de leur rôle dans la conspiration, l’argument du prophète selon lequel « la guerre est tromperie ».
On trouve une autre expression encore plus puissante de la légitimité qu’il y a à tromper des infidèles, dans l’anecdote suivante. Un poète, Ka’b ibn Ashraf, avait offensé Mahomet, lequel s’était exclamé « Qui tuera cet homme qui a blessé Allah et son prophète ? ». Un jeune musulman nommé Muhammad ibn Maslama s’était porté volontaire, à condition que pour s’approcher de Ka’b afin de l’assassiner, il ait la permission de lui mentir. Mahomet lui donna son accord. Ibn Maslama alla voir Ka’b et commença à dire du mal de l’islam et de Mahomet. Il continua ainsi jusqu’à ce que ses paroles soient assez convaincantes pour que Ka’b se fie à lui. Ibn Maslama ne tarda pas alors à se présenter avec un autre musulman et à tuer Ka’b qui ne se méfiait plus (16).
Mahomet a pris d’autres positions qui font de la tromperie une action positive, comme lorsqu’il dit :

« Allah m’a commandé de parler de façon équivoque parmi les peuples, au même titre qu’il m’a commandé d’édicter des obligations [religieuses] » ;

ou encore :

« J’ai été envoyé dans des conditions impénétrables »,

et

« celui qui vit dans la dissimulation meurt en martyr » (17).

Bref, les premières sources historiques de l’islam attestent clairement de l’importance suprême de la taqiyya comme d’une forme islamique de guerre. De plus, les premiers musulmans sont souvent décrits comme capables de se sortir de situations difficiles grâce au mensonge, notamment en reniant ou en insultant l’islam et Mahomet avec l’approbation de ce dernier – son seul critère étant que leurs intentions (niya) soient pures (18). Au cours des guerres contre les chrétiens, à chaque fois que les chrétiens avaient le pouvoir, la pratique de la taqiyya devint même plus totale. Ainsi que l’affirme Mukaram :

« la taqiyya était utilisée comme un moyen, pour les musulmans, de repousser le danger, en particulier aux moments critiques où leurs frontières étaient l’objet de guerre avec les Byzantins, et, plus tard, l’objet des raids [croisades] des Francs et des autres » (19).

La taqiyya dans la révélation coranique
Le Coran lui-même apporte d’autres témoignages concernant la taqiyya. Puisque Allah est censé être la source de ces versets révélés, il est considéré comme étant Lui-même implicitement le perpétrateur absolu du mensonge, ce qui n’a rien de surprenant puisque il est décrit dans le Coran comme étant le meilleur makar, c’est-à-dire fourbe, trompeur (par exemple : 3:54, 8:30, 10:21).
Alors que les autres Ecritures saintes contiennent des contradictions, le Coran est le seul texte à propos duquel les commentateurs ont développé une doctrine pour rendre compte des changements visibles d’une injonction à une autre. Un lecteur attentif ne peut manquer de remarquer les versets contradictoires du Coran, notamment la façon dont les versets de paix et de tolérance se retrouvent quasiment côte à côte avec des versets de violence et d’intolérance. Les ulémas furent embarrassés, au départ, pour décider à partir de quels versets codifier l’ordre social de la chariah : celui qui affirme que la religion ne peut exercer de coercition (2:256), ou celui qui ordonne aux croyants de combattre tous les non-musulmans jusqu’à leur conversion, ou au moins leur soumission à l’islam (8:39, 9:5, 9:29) ? Pour résoudre ce dilemme, les commentateurs ont développé la doctrine de l’abrogation, qui, en gros, stipule, quand il y a contradiction, que les versets révélés à Mahomet tardivement prennent le pas sur ceux formulés au début de sa vie. C’est ainsi que, pour déterminer quel verset abroge quel autre, une science théologique consacrée à la chronologie des versets du Coran a été créée (on l’appelle an-Nasikh wa’l Mansukh – ce qui abroge et ce qui est abrogé).
Mais pourquoi y aurait-il une contradiction ? La réponse classique est que, dans les premières années de l’islam, Mahomet et sa communauté étant largement inférieurs en nombre aux infidèles avec lesquels ils étaient en concurrence et qui vivaient avec eux à la Mecque, un message de coexistence pacifique était de rigueur. Cependant, après l’exil des musulmans à Médine, en 622, et le développement de leur force guerrière, les versets les incitant à l’offensive leur furent progressivement « révélés », c’est-à-dire en principe envoyés par Allah, à mesure que la puissance des musulmans augmentait. Dans les textes juridiques, ces versets sont classés en différentes catégories : passivité face à l’agression ; permission de répliquer face à des agresseurs ; commandement incitant à combattre les agresseurs ; commandement incitant à combattre tous les non-musulmans qu’ils aient été initialement agresseurs ou pas (20). Le développement de la puissance musulmane est la seule variable fournie pour expliquer ces changements graduels de politique.
D’autres érudits renforcent cette conception en soulignant que sur une période de 22 ans, le Coran a été révélé petit à petit et a d’abord privilégié des versets ne réclamant pas d’action et restant de nature spirituelle avant de passer ensuite à des prescriptions et des injonctions réclamant de diffuser la foi par le djihad et la conquête, et ce de manière à ne pas rebuter les premiers convertis musulmans face aux devoirs qui sont ceux de l’islam, et éviter qu’ils ne soient découragés par les obligations importantes qui n’apparaîtront que dans les versets plus tardifs (21). Ces versets – tel celui qui dit : « Il vous est prescrit de combattre, même si cette prescription, vous l’avez en horreur » (22), auraient été déplacés à un moment où la guerre n’était pas pensable.
Quelles que soient les interprétations de l’abrogation dans le Coran, l’opinion commune sur la question des versets concernant la guerre et la paix est que, quand les musulmans sont en position de faiblesse, ou minoritaires, ils doivent prêcher et être fidèles à l’éthique des versets mecquois (paix et tolérance) ; alors que, lorsqu’ils sont en position de force, ils doivent passer à l’offensive sur la base des commandements figurant dans les versets de Médine (guerre et conquête). Les avatars de l’histoire islamique témoignent de cette dichotomie et se reflètent dans le proverbe communément admis parmi les musulmans et qui se fonde sur un hadith, selon lequel le djihad doit être réalisé par la main (par la force), ou sinon, par la langue (par le prêche), et si cela n’est pas possible, par le cœur ou par les intentions secrètes de chacun (23).

La guerre est éternelle
Que l’islam légitime la tromperie dans le cadre de la guerre n’a, bien sûr, rien d’étonnant. Après tout, comme l’a formulé un auteur élizabéthain, John Lyly, « tout est bon, en amour comme à la guerre » (24). D’autres philosophes ou stratèges non musulmans, comme Sun Tzu, Machiavel et Thomas Hobbes, ont justifié la tromperie dans la guerre. Tromper l’ennemi dans le cadre de la guerre relève du bon sens. La différence cruciale avec l’islam, c’est que la guerre contre l’infidèle est considérée comme permanente, et dure, selon le Coran, jusqu’à ce que « cesse tout chaos et que toutes les religions appartiennent à Allah » (25). Dans son article sur le djihad de l’Encyclopaedia of Islam, Emile Tyan remarque :

« le devoir de jihad existe aussi longtemps que la domination universelle de l’islam n’a pas été atteinte. La paix avec les nations non musulmanes n’est donc que provisoire, et seul le hasard des circonstances peut la justifier de manière provisoire » (26).

De plus, et pour en revenir à la doctrine de l’abrogation, des érudits musulmans comme Ibn Salama (mort en 1020) s’accordent pour dire que le verset 9:5 du Coran, connu sous le nom de ayat as-sayf, ou verset du sabre, abroge environ 124 des versets mecquois plus pacifistes, car cela inclut « tous les versets coraniques qui prêchent autre chose qu’une offensive totale contre les non-croyants » (27). En fait, les quatre écoles de la jurisprudence sunnite sont d’accord pour dire que

« le djihad consiste à faire la guerre aux infidèles qui, après qu’on leur ait enjoint d’embrasser l’islam, ou au moins de payer une [jizya] et de vivre soumis, ont refusé de le faire » (28).

Le caractère obligatoire du djihad est clairement exprimé par la vision du monde dichotomique qui oppose le « royaume de l’islam » au « royaume de la guerre ». Le premier s’appelle, dar al-Islam, ou « règne de la soumission », et représente le monde où domine la chariah. Le second, dar al-Harb, ou règne de la guerre, représente le monde non-islamique. Le combat se perpétue jusqu’à ce que le règne de l’islam engloutisse le monde non-islamique. Cet état de fait est celui qui existe encore aujourd’hui. Le très célèbre historien et philosophe musulman, Ibn Khaldun, (mort en 1406) formule clairement cette opposition :

« Dans la communauté musulmane, le djihad est un devoir religieux en raison de l’universalisme de la mission musulmane et de l’obligation de convertir tout le monde à l’islam par la persuasion ou par la force. Les autres groupes religieux n’avaient pas une mission universelle et le djihad n’était pas un devoir religieux pour eux, excepté pour des raisons défensives. Mais l’islam est obligé de conquérir le pouvoir contre les autres nations » (29).

Enfin, indépendamment de tous les faits avérés, il est bon de noter — à moins qu’on puisse encore trouver déraisonnable qu’une foi ayant un milliard d’adeptes oblige à déclencher en son nom des guerres sans raison — que l’expansionnisme djihadiste est considéré comme un acte altruiste, un peu à la manière de l’idéologie du « fardeau de l’homme blanc » au XIXe siècle. Selon cette logique, que le monde vive en démocratie sous le socialisme, le communisme ou tout autre système de gouvernance, il vit inévitablement enchaîné dans le péché, car le bien suprême de l’humanité réside dans l’accord avec la loi d’Allah. Dans ce contexte, la tromperie musulmane peut être considérée comme un moyen, légèrement inférieur en noblesse, dans un but glorieux : l’hégémonie islamique du règne de la chariah, en tant qu’elle est bonne pour tous, musulmans comme non-musulmans.
Cette conception n’a en fait rien de neuf. Peu après la mort de Mahomet, en 634, avec la déferlante de guerriers du djihad, venue de la péninsule arabique, un commandant perse, qui ne devait pas tarder à succomber à l’invasion, demanda aux musulmans ce qu’ils désiraient. La réponse – mémorable – fut la suivante :

« Allah nous a envoyés ici afin que nous puissions libérer ceux qui le désirent de la servitude de leurs maîtres terrestres et en faire les serviteurs d’Allah, afin de transformer leur misère en richesse et les libérer de la tyrannie et du chaos des [fausses] religions et leur apporter la justice de l’islam. Il nous a envoyés pour apporter sa religion à toutes ses créatures et leur lancer un appel pour qu’ils rejoignent l’islam. Tous ceux qui accepteront cet appel seront saufs et nous les laisserons en paix. Mais quiconque refuse cet appel sera combattu jusqu’à ce que nous accomplissions la promesse d’Allah » (30).

Mille quatre-cent ans plus tard, en mars 2009, le juriste saoudien, Basem Alem, se fit l’écho de cette conception :

« En tant que membre de la vraie religion, j’ai davantage de droit à envahir les autres afin d’imposer un certain mode de vie [la chariah], dont l’histoire a démontré qu’il était le meilleur et le plus juste parmi toutes les civilisations. Tel est le véritable sens du djihad offensif. Quand nous nous engageons dans le djihad, ce n’est pas pour convertir les gens à l’islam, mais pour les libérer du sombre esclavage dans lequel ils vivent » (31).

Et il va sans dire que la taqiyya au service d’un tel altruisme est permise. Par exemple, très récemment, après avoir raconté une histoire où un musulman force un Juif à se convertir à l’islam en lui disant que s’il renonçait à l’islam, les musulmans le tueraient pour apostasie, l’imam Mahmoud al-Masri a parlé d’une « magnifique tromperie » (32). Après tout, d’un point de vue islamique, c’est le Juif qui a été le bénéficiaire de cette tromperie puisqu’elle l’a fait entrer dans l’islam.

Trèves et traités
La nature perpétuelle du djihad est soulignée par le fait, soutenu par les juristes, que 10 ans est la durée maximale de paix pour les musulmans avec les infidèles. Une fois que le traité a expiré, la situation doit être réévaluée. Ils s’appuient sur le traité de paix d’Hudaybiya ratifié en 628 par Mahomet et ses ennemis Quraysh à la Mecque. L’exemple de Mahomet qui brisa ce traité au bout de deux ans (en prétextant une infraction des Quraysh) montre que la seule fonction d’une trève est de permettre aux musulmans s’ils sont affaiblis de gagner du temps et de se regrouper avant une nouvelle offensive (33) :

« Par leur nature même, les traités doivent avoir une durée temporaire, car, dans la théorie juridique musulmane, les relations normales entre territoires musulmans et non-musulmans ne sont pas pacifiques mais guerrières » (34).

En se fondant sur ce point,

« les fuqaha [juristes] sont d’accord pour considérer une trève illimitée comme illégitime, si les musulmans sont en position assez forte pour repartir en guerre contre les non-musulmans » (35).

Bien que la chariah demande aux musulmans d’honorer les traités, il existe donc une sortie possible qui est propice aux abus : si les musulmans pensent, même sans preuves solides, que leurs ennemis vont rompre le traité, ils peuvent le briser les premiers. De plus, certaines écoles de droit islamique, comme celle des Hanafites, affirment que les responsables musulmans peuvent abroger les traités tout simplement si cela semble être à l’avantage de l’islam (36). Cela n’est pas sans rappeler le hadith canonique suivant :

« si tu fais serment de procéder à une action et que tu te rends compte, plus tard, qu’une autre action est meilleure, alors tu devras renier ton serment et faire ce qui est mieux » (37).

Et qu’y a-t-il de mieux et de plus altruiste que de rendre la parole d’Allah dominante en déclenchant à nouveau le djihad dès que possible ? Traditionnellement, les dirigeants musulmans lançaient un djihad au moins une fois par an. Ce rite est particulièrement remarquable chez les sultans ottomans, qui passaient la moitié de leur vie sur le champ de bataille (38). Le devoir de djihad était tellement important, que les sultans n’avaient pas le droit d’effectuer le pèlerinage à la Mecque – qui est pourtant un devoir individuel pour chaque musulman. C’est leur prise en main du djihad qui a permis à ce rite collectif de perdurer, autrement, il serait tombé en désuétude (39).
Pour résumer, le prérequis pour la paix ou la réconciliation est que les musulmans aient l’avantage. C’est ce que démontre un texte sunnite qui fait autorité, Umdat as-Salik, écrit par un érudit égyptien du XIVe siècle, Ahmad Ibn Naqib al-Misri :

« On doit trouver un bénéfice [maslaha] à la trève, autre que le seul status quo, car [il est écrit] :
« Ne soyez pas pusillanimes en offrant la paix à l’ennemi quand vous êtes les plus forts ! » [Coran, 47:35] » (41).

On rappellera un épisode plus récent, et qui est d’une importance majeure pour les dirigeants occidentaux qui recommandent la coopération avec les islamistes. Yasser Arafat venait de négocier un traité de paix qui avait été vivement critiqué comme concédant trop de choses à Israël. Il s’adressa alors à une assemblée musulmane dans une mosquée de Johannesburg, et se justifia en ces termes :

« Je considère cet accord au même titre que l’accord signé par notre prophète Mahomet et les [Banei] Quraysh de la Mecque » (42). En d’autres termes, comme Mahomet, Arafat n’avait donné sa parole que pour la renier une fois que la situation le permettrait, c’est-à-dire quand les Palestiniens seraient à nouveau en position de passer à l’offensive et de reprendre la route de Jérusalem. Dans d’autres contextes, Hudaybiya a fait figure de mot-clé pour les islamistes radicaux. Le Moro Islamic Liberation Front avait trois camps d’entraînement au sein du complexe d’Abu Bakar dans les Philippines et l’un d’eux s’appelait Camp Hudaybiya (43).

L’hostilité sous les traits de la récrimination
Dans les discours à destination des opinions publiques européennes ou américaines, les islamistes soutiennent que le terrorisme qu’ils exercent contre l’Occident n’est que la réciprocité de décennies d’oppression occidentale ou israélienne. Mais dans les écrits qui s’adressent aux autres musulmans, cet esprit vindicatif n’est pas présenté comme la réaction à une provocation militaire ou politique, mais comme le produit d’une obligation religieuse.
Par exemple, quand il s’adresse au public occidental, Ousama ben Laden dresse la liste des récriminations qui justifient sa guerre contre l’Occident, depuis l’oppression des Palestiniens jusqu’à l’exploitation de la femme par l’Occident, ou même le fait que les Etats-Unis n’ont pas signé le protocole de Kyoto, ce qui constitue des arguments audibles pour l’opinion occidentale. Jamais il ne justifie les attaques d’Al-Qaïda contre les cibles occidentales par le simple fait que les nations non musulmanes sont par définition des entités infidèles qui doivent être soumises. En fait, il va jusqu’à faire précéder ses messages à destination de l’Occident de phrases comme « la réciprocité fait partie de la justice », ou « paix à tous ceux qui suivent une voie droite » (43), même si ce que le public occidental comprend par là est sans rapport avec ce qu’il met derrière les mots « paix », « justice » ou « droiture ».
C’est quand Ben Laden s’adresse aux autres musulmans que la vérité ressort. Quand un groupe de musulmans de premier plan avait écrit au peuple américain, peu de temps après les attentats du 11-Septembre, pour affirmer que l’islam cherche à coexister pacifiquement (44), Ben Laden avait pris la plume pour les remettre à leur place :

« En ce qui concerne les relations entre musulmans et infidèles, elles sont résumées par ce mot du Très-Haut : ‘Nous vous renions, et désormais l’inimitié et la haine nous séparent jusqu’à ce que vous croyiez en Allah seul » [Coran 60:4]. Il y a donc une inimitié dont la preuve est l’hostilité farouche ancrée dans nos cœurs. Et cette hostilité farouche, c’est-à-dire cette guerre, ne cessera que si l’infidèle se soumet à l’autorité de l’islam ou qu’il est interdit de faire couler son sang [c’est-à-dire s’il est dhimmi, ou minorité protégée], ou si les musulmans sont, à un moment donné, dans une situation de faiblesse qui les empêche d’agir. Mais si la haine s’éteint de nos cœurs, il s’agit alors d’une très grande apostasie ! (…) Telle est la base et le fondement des relations entre l’infidèle et le musulman. Guerre, animosité, haine, infligées par le musulman à l’infidèle, tel est le fondement de notre religion. Et nous considérons que nous faisons ainsi un acte de justice et de bonté à leur égard » (45).

Les quatre écoles classiques de jurisprudence islamique soutiennent cette conception du monde, faite d’hostilité, en parlant des infidèles en termes similaires. Quand Ben Laden s’adresse à l’Occident en parlant de paix et de justice, ce sont des exemples typiques de taqiyya. Non seulement il s’est engagé dans un djihad physique, mais aussi dans une guerre de propagande, ou, en d’autres termes, une guerre de tromperie. S’il parvient à convaincre l’Occident que le conflit actuel est entièrement dû à l’Occident, il pourra gagner à sa cause une plus grande sympathie. Parallèlement, il sait que si les Américains se rendaient compte que rien hormis leur totale soumission ne peut ramener la paix, sa campagne de propagande serait rapidement compromise. D’où ce besoin constant de masquer ses objectifs et de mettre en avant des récriminations, car, comme le dit le prophète de Ben Laden, « la guerre est tromperie ».

Implications
La taqiyya pose un ensemble de problèmes éthiques. Quiconque croit véritablement que Allah justifie, et même, par l’exemple de son prophète, encourage la tromperie, n’aura aucun scrupule éthique à mentir. Prenons le cas d’Ali Muhammad, le premier « formateur » de Ben Laden et longtemps agent d’Al-Qaïda. Egyptien, il a d’abord fait partie du Jihad Islamique et a servi dans le renseignement militaire de l’armée égyptenne. Après 1984, il a travaillé un temps avec la CIA en Allemagne. Quoique considéré comme peu fiable, il a réussi à aller en Californie, où il s’est enrôlé dans l’armée américaine. Il est vraisemblable qu’il a continué à travailler, à un titre ou un autre, pour la CIA. Il a ensuite entraîné des djihadistes aux Etats-Unis et en Afghanistan et est responsable de plusieurs opérations terroristes en Afrique. Les gens qui le connaissaient avaient pour lui

« de la crainte et du respect pour son incroyable assurance, l’impossibilité qu’il avait d’être intimidé, la détermination absolue qu’il avait de détruire les ennemis de l’islam, et sa foi zélée dans les credos du militantisme islamique fondamentaliste » (46).

De fait, cette phrase résume tout : car une croyance zélée aux fondements de l’islam, qui légitime la tromperie pour faire triompher la parole d’Allah, aura sans nul doute un impact considérable sur la capacité à développer cette « incroyable assurance » pour mentir (47).
Poutant, la plupart des Occidentaux continuent de croire que les mœurs, les lois et les contraintes éthiques musulmanes sont à peu près identiques à celles de la tradition judéo-chrétienne. Avec naïveté ou arrogance, les grands avocats du multiculturalisme projettent leur propre conception du monde sur les islamistes et pensent qu’une poignée de main et un sourire autour d’une tasse de café, assortis de nombreuses concessions suffiront pour démanteler la puissance de la parole de Dieu et des siècles de tradition immuable. Les faits sont têtus : le bien et le mal dans l’islam ont peu à voir avec les critères universels et restent fonction des enseignements propres à l’islam, dont la majeure partie est en opposition totale avec les normes occidentales.
Il faut donc admettre, en contradiction avec des croyances savantes depuis longtemps établies, que, chez les musulmans, la doctrine de la taqiyya va bien plus loin que la seule dissimulation religieuse afin de préserver son existence et concerne le fait de tromper l’ennemi infidèle de manière plus large. La taqiyya étant une seconde nature du chiisme, ce phénomène devrait apporter un contexte éloquent au zèle chiite iranien pour se procurer la puissance nucléaire, tout en insistant sur ses objectifs pacifistes.
La taqiyya ne concerne pas seulement les affaires internationales. Walid Phares, de la National Defense University, s’est déjà plaint de voir des islamistes américains actifs sur le sol américain, et ce sans la moindre entrave, grâce à leur utilisation de la taqiyya :

« Est-ce que notre gouvernement est au courant de cette doctrine et, ce qui est encore plus important, est-ce que les autorités font quelque chose pour que notre système de défense s’adapte à cette menace dormante et invisible qui se développe en notre propre sein ? » (48).

A la lumière du massacre de Fort Hood, quand Nidal Malik Hasan – musulman américain qui montrait de nombreux signes d’islamisme, qui n’ont pas été pris au sérieux – a tué treize de ses collègues, il faut bien malheureusement répondre par la négative.
Le problème est donc le suivant. La loi islamique divise sans aucune ambiguïté le monde en deux parties perpétuellement en guerre — le monde islamique et le monde non islamique — et il considère que la volonté divine est de voir le premier vaincre le second. Si la guerre contre l’infidèle est un état perpétuel, si la guerre est dissimulation et que la fin justifie les moyens, un certain nombre de musulmans concluront naturellement qu’ils ont le droit — d’origine divine — de mentir, tant que c’est utile, selon eux, pour aider l’islam « jusqu’à ce que le chaos cesse et que toutes les religions appartiennent à Allah » (49).
De plus, une telle dissimulation sera considérée comme le moyen d’une fin altruiste. Les ouvertures au dialogue et à la paix ou même à des trèves temporaires doivent être envisagées en fonction de cette doctrine, ce qui n’est pas sans rappeler les observations pratiques faites par le philosophe James Lorimer, il y a plus d’un siècle :

« Tant que l’islam continue d’exister, la réconciliation de ses partisans, même avec les Juifs et les chrétiens, et plus encore avec le reste de l’humanité, restera un problème insoluble » (50).

On peut conclure que face à l’opposition naturelle entre guerre et paix, qui existe dans le cadre occidental, il est plus approprié de parler d’une opposition entre guerre et dissimulation dans le cadre islamique. Car, selon le point de vue islamique, les périodes de paix, qui n’ont lieu que quand l’islam est plus faible que ses rivaux infidèles, sont des périodes de paix simulée et de dissimulation, bref de taqiyya.

Notes
(1) Coran 40:28.
(2) Fakhr ad-Din ar-Razi, At-Tafsir al-Kabir (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2000), vol. 10, p. 98.
(3) Coran 2:195, 4:29.
(4) Paul E. Walker, The Oxford Encyclopedia of Islam in the Modern World, John Esposito, ed. (New York: Oxford University Press, 2001), vol. 4, s.v. « Taqiyah, » pp. 186-7; Ibn Babuyah, A Shi’ite Creed, A. A. A. Fyzee, trans. (London: n. p., 1942), pp. 110-2; Etan Kohlberg, « Some Imami-Shi’i Views on Taqiyya, » Journal of the American Oriental Society, 95 (1975): 395-402.
(5) Sami Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam (London: Mu’assisat at-Turath ad-Druzi, 2004), p. 7.
(6) Devin Stewart, « Islam in Spain after the Reconquista », Emory University, p. 2, accès au site, le 27 nov. 2009.
(7) Voir aussi Coran 2:173, 2:185, 4:29, 16:106, 22:78, 40:28, versets cités par les juristes musulmans comme légitimant la taqiyya.
(8) Abu Ja’far Muhammad at-Tabari, Jami’ al-Bayan ‘an ta’wil ayi’l-Coran al-Ma’ruf: Tafsir at-Tabari (Beirut: Dar Ihya’ at-Turath al-‘Arabi, 2001), vol. 3, p. 267.
(9) ‘Imad ad-Din Isma’il Ibn Kathir, Tafsir al-Coran al-Karim (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2001), vol. 1, p. 350.
(10) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 30-7.
(11) Imam Muslim, « Kitab al-Birr wa’s-Salat, Bab Tahrim al-Kidhb wa Bayan al-Mubih Minhu, » Sahih Muslim, rev. ed., Abdul Hamid Siddiqi, trad. (New Delhi: Kitab Bhavan, 2000).
(12) Ahmad Mahmud Karima, Al-Jihad fi’l Islam: Dirasa Fiqhiya Muqarina (Cairo: Al-Azhar, 2003), p. 304.
(13) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, p. 32.
(14) Raymond Ibrahim, The Al Qaeda Reader (New York: Doubleday, 2007), pp. 142-3.
(15) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 32-3.
(16) Ibn Ishaq, The Life of Muhammad (Karachi: Oxford University Press, 1997), pp. 367-8.
(17) Shihab ad-Din Muhammad al-Alusi al-Baghdadi, Ruh al-Ma’ani fi Tafsir al-Coran al-‘Azim wa’ l-Saba’ al-Mithani (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2001), vol. 2, p. 118.
(18) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 11-2.
(19) Ibid., pp. 41-2.
(20) Ibn Qayyim, Tafsir, in Abd al-‘Aziz bin Nasir al-Jalil, At-Tarbiya al-Jihadiya fi Daw’ al-Kitab wa ‘s-Sunna (Riyahd: n. p., 2003), pp. 36-43.
(21) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, p. 20.
(22) Coran 2: 216.
(23) Yahya bin Sharaf ad-Din an-Nawawi, An-Nawawi’s Forty Hadiths, p. 16, accès au site, le 1er août, 2009.
(24) John Lyly, Euphues: The Anatomy of Wit (London, 1578), p. 236.
(25) Coran 8:39.
(26) Emile Tyan, The Encyclopedia of Islam (Leiden: Brill, 1960), vol. 2, s.v. « Djihad », pp. 538-40.
(27) David Bukay, « Peace or Jihad? Abrogation in Islam », Middle East Quarterly, Fall 2007, pp. 3-11, f.n. 58; David S. Powers, « The Exegetical Genre nasikh al-Coran wa-mansukhuhu », in Approaches to the History of the Interpretation of the Coran, Andrew Rippin, ed. (Oxford: Clarendon Press, 1988), pp. 130-1.
(28) Jalil, At-Tarbiya al-Jihadiya fi Daw’ al-Kitab wa ‘ s-Sunna, p. 7.
(29) Ibn Khaldun, The Muqadimmah. An Introduction to History, Franz Rosenthal, trad. (New York: Pantheon, 1958), vol. 1, p. 473.
(30) Hugh Kennedy, The Great Arab Conquests (Philadelphia: Da Capo, 2007), p. 112.
(31) « Saudi Legal Expert Basem Alem: We Have the Right to Wage Offensive Jihad to Impose Our Way of Life », TV Monitor, clip 2108, Middle East Media Research Institute, trad., mar. 26, 2009.
(32) « Egyptian Cleric Mahmoud Al-Masri Recommends Tricking Jews into Becoming Muslims, » TV Monitor, clip 2268, Middle East Media Research Institute, trans., Aug. 10, 2009.
(33) Denis MacEoin, « Tactical Hudna and Islamist Intolerance », Middle East Quarterly, Summer 2008, pp. 39-48.
(34) Majid Khadduri, War and Peace in the Law of Islam (Baltimore: The Johns Hopkins Press, 1955), p. 220.
(35) Ahmad Mahmud Karima, Al-Jihad fi’l Islam: Dirasa Fiqhiya Muqarina, p. 461.
(36) Ibid., p. 469.
(37) Muhammad al-Bukhari, « Judgements (Ahkaam) » Sahih al-Bukhari, book 89, M. Muhsin Khan, trad., accès au site, le 22 juillet 2009.
(38) Michael Bonner, Jihad in Islamic History: Doctrines and Practice (Princeton: Woodstock Publishers, 2006), p. 148.
(39) Ahmed Akgündüz, « Why Did the Ottoman Sultans Not Make Hajj (Pilgrimage)? » accès au site, le 9 nov. 2009.
(40) Ahmad Ibn Naqib al-Misri, Reliance of the Traveller: A Classic Manual of Islamic Sacred Law (Beltsville: Amana Publications, 1994), p. 605.
(41) Daniel Pipes, « Lessons from the Prophet Muhammad’s Diplomacy », Middle East Quarterly, Sept. 1999, pp. 65-72.
(42) Arabinda Acharya, « Training in Terror », IDSS Commentaries, Institute of Defence and Strategic Studies, Nanyang Technological University, Singapore, May 2, 2003.
(43) « Does hypocrite have a past tense? », for clip of Osama bin Laden, accès au site, le 1er août, 2009.
(44) Ibrahim b. Muhammad al-Shahwan, et al., « Correspondence with Saudis: How We Can Coexist », AmericanValues.org, connection du 28 juillet 2009.
(45) Ibrahim, The Al Qaeda Reader, p. 43.
(46) Steven Emerson, « Osama bin Laden’s Special Operations Man », Journal of Counterterrorism and Security International, Sept. 1, 1998.
(47) Pour une liste des infiltrés dans les organisations américaines, voir Daniel Pipes, « Islamists Penetrate Western Security », Mar. 9, 2008.
(48) Walid Phares, « North Carolina: Meet Taqiyya Jihad », International Analyst Network, July 30, 2009.
(49) Coran 8:39.
(50) James Lorimer, The Institutes of the Law of Nations: A Treatise of the Jural Relations of Separate Political Communities (Clark, N.J.: The Lawbook Exchange, Ltd., 2005), p. 124.

Merci à JC JC…

01/01/2012

Message aux musulmans…

Dessin pillé chez Coranix

.

Il n’est pas de moi. Mais il est excellent. L’art et la manière de mettre les gens en face de leurs actes… Aucune contradiction n’est possible.

FDF

.

http://youtu.be/PJRcrHd9Cok

17/12/2011

Interview des enfants d’une kamikaze…

Une courte vidéo pour montrer à quel point la fanatisation est ancrée dans de très jeunes esprits. La mère de ces mômes s’est fait exploser au nom d’Allah. Et regardez bien l’expression béate du « journaliste »…

Pas belle, la « religion » d’amour, de paix et de tolérance? Pauvres gosses…

FDF

.

http://youtu.be/AQm2i7QLgBg

16/12/2011

Les premières victimes de l’islam furent…………….. les musulmans !

Et ils le sont encore; voir leurs comportements en ce XXIe siècle…

FDF

Photo d’illustration…

.

Amil Imani : L’islam n’est pas une religion mais une forme d’esclavage

Dans le primitif désert d’Arabie, est apparu il y a quatorze siècles, un employé illettré d’une riche veuve, Khadija, prétendant être porteur de préceptes de vie parfaits dictés par Allah : le coran.

Il proclama que l’humanité n’avait rien de mieux à faire que de suivre ces préceptes et d’imiter son comportement dans la vie pour garantir son bonheur et son salut. En contrepartie, les gens devaient adopter l’islam – se soumettre – en inféodant leur liberté à Mahomet.

L’islam est la tromperie ayant rencontré le succès le plus énorme de l’histoire de l’humanité. Des millions de mollahs et d’imams entretiennent cette arnaque et un milliard et demi de croyants en paient le prix. Ils paient en argent, en labeur et même de leur vie pour les reconnaissances de dette des organisations musulmanes qui se faufilent dans la vie sans jamais la moindre goutte de sueur pour gagner leur pain quotidien. L’islam est une arnaque et les musulmans en sont les victimes.

Mahomet, pendant sa période mecquoise, était ridiculisé par les membres de sa propre tribu, les Quraychites, pour ses propos incohérents. Ils le surnommaient le « shaeron majnoon », le poète cinglé.

Le décès de sa première épouse, et très riche patronne, laissa Mahomet dans une situation précaire et à la merci des quolibets et du harcèlement des Mecquois. Il a pris la fuite vers Médine, et dans la sécurité relative de cette ville où vivait une large communauté juive tolérante, il trouva davantage de gens disposés à rejoindre sa clique.

Arrivé à Médine, Mahomet imagina une formule à succès plus performante : il justifia tout en prétendant que c’était la volonté d’Allah. Et Allah ne devait pas être pris à la légère. Il détient les clés du plus magnifique paradis et du plus horrible enfer. L’obéissance aveugle aux paroles et aux désirs de Mahomet devint un devoir pour tout bon musulman. Mahomet se transforma en gardien du paradis et de l’enfer d’Allah. Cette formule magique a très bien marché avec les Bédouins d’Arabie qui prospéraient grâce aux pillages et aux meurtres. Sa religion se répandit comme une pandémie, en un temps record.

Alors que Mahomet rassemblait de plus en plus d’adeptes, il se retourna contre la communauté juive de Médine, tua les hommes, pilla leurs biens et emmena leurs femmes et leurs enfants comme esclaves. C’était la naissance du « djihad ». Etre tout mielleux et cacher son jeu au début, puis dégainer le glaive dès que l’on a gagné en puissance. Cela marchait à l’époque et cela marche encore.

En un temps record, ces sauvages du désert arabique, émoustillés par la promesse gagnant-gagnant de Mahomet – soit tu assassines et tu as le butin dans ce bas-monde, soit tu es tué et tu demeures pour l’éternité dans les jouissances et les voluptés inimaginables du paradis d’Allah – se ruèrent, sabre au clair, en avant vers la conquête des terres lointaines.

Contrôle mental

Les êtres humains se déplacent sur leurs deux pieds, mais c’est l’esprit qui dicte la direction à prendre dans la vie et ce qu’il convient de faire. Là où l’esprit ordonne d’aller, là on va. Cependant, l’esprit humain n’arrive pas dans ce monde avec la marche à suivre. Contrairement à certaines opinions, nous sommes nés ni anges ni démons. Chacun de nous a le potentiel de devenir ange ou démon. La plupart évoluent vers un mélange des deux, quelques rares spécimens évoluent vers une voie angélique, d’autres deviennent l’incarnation du Mal. La programmation mentale joue un rôle crucial dans ce que nous devenons.

L’islam, dès son origine, a découvert le secret crucial de formater les très jeunes esprits, selon l’adage : instruire dans la petite enfance c’est comme sculpter dans le roc. Dans la même veine, les Jésuites disent « Donnez-moi un enfant jusqu’à ses sept ans et je vous rendrai un homme », c’est une application de la philosophie et de la théologie de Saint Augustin. L’importance immense de s’adresser à des enfants très jeunes est également soulignée par des doctrines non-religieuses, allant de la psychanalyse freudienne à la psychologie behavioriste de Watson.

.

http://www.postedeveille.ca/2011/11/l-i … anite.html

08/12/2011

Pays-Bas: L’imam al-Maghraoui soutient la pédophilie en invoquant l’exemplarité de Mahomet!

Pauvre malade mental… Non; pas pauvre. Complètement taré.

FDF

.

Pays-Bas : des députés réclament l’interdiction d’un imam favorable au mariage des fillettes

Des députés ont demandé mardi qu’un imam controversé qui soutient le mariage des fillettes soit banni des Pays-Bas.

L’imam al-Maghraoui soutient la pédophilie en invoquant l’exemplarité de Mahomet.

En mal de petites filles, le gros porc ?
.

Des députés ont demandé mardi qu’un imam controversé qui soutient le mariage des fillettes soit banni des Pays-Bas.

Mohamed al-Maghraoui a suscité une controverse au Maroc en 2008 après avoir publié une fatwa – ou décret religieux – déclarant que le mariage des fillettes de neuf ans est acceptable. Il doit participer à une conférence de cinq jours ce mois-ci à l’occasion de l’ouverture d’une extension de la mosquée As Soennah à La Haye.

Kadija Arib, du parti PvdA, a demandé aux autorités de refuser un visa à Al-Maghraoui, une demande reprise par d’autres députés de l’ensemble du spectre politique. «Il ne doit pas être le bienvenu», a déclaré le député Pim va Strien du parti VVD. Geert Wilders, leader du PVV anti-islam, a déclaré que la mosquée devrait être fermée si Al-Maghraoui est autorisé à prendre la parole.

Toutefois, Tofik Dibi, un député du parti vert de gauche Groen Links, a dit que la visite du l’imam devrait aller de l’avant. «Sa visite offre l’occasion aux musulmans libres penseurs de s’affranchir de la position de pouvoir de ce genre d’homme. Il est encourageant de voir le nombre de musulmans néerlandais qui méprisent cet homme au lieu de lui réserver un accueil chaleureux sur les médias sociaux», a dit Dibi à l’agence ANP. Selon le Volkskrant, la mosquée elle-même a été au centre d’une controverse pour la célébration de mariages musulmans et ses prêches radicaux.

La fatwa d’Al-Maghraoui a conduit les autorités marocaines à fermer son école. Il a finalement fui en Arabie Saoudite. La fatwa a également été condamnée par des dirigeants religieux marocains. Al-Maghraoui justifie le mariage des fillettes de neuf ans en se référant à Mahomet qui a consommé son mariage avec Aïsha lorsqu’elle avait cet âge.

Source :  Imam who backs child marriage should be banned from Holland: MPs, Dutch News, 6 décembre 2011. Traduction par Poste de veille

Source: http://www.postedeveille.ca/

02/12/2011

Le premier génocide du XXe siècle fut celui des Arméniens par les Turcs…

Qui fit 2 millions de morts

La Turquie dans l’UE? Même pas en rêve…
FDF

.

Le génocide arménien au nom d’Allah

« Le génocide arménien, premier génocide du 20ème siècle, s’est produit lorsque 2 000 000 (millions) d’Arméniens vivant en Turquie ont été éliminés de leur patrie historique par le biais des déportations forcées et de massacres entre 1915-1918.Après l’avénement du christianisme, l’Arménie est devenue le tout premier pays à accepter le christianisme comme religion d’État.Au XIe siècle, la première invasion turque de la patrie Arménienne s’est produite.
…l’Arménie a été absorbé dans le vaste et puissant empire ottoman.…les Grecs, les Serbes et les Roumains ont atteint leur indépendance tant attendue. Seuls les Arméniens et les Arabes du Moyen-Orient sont resté coincé dans l’empire arriéré et presque en faillite.[on reconnais une arbre a ses fruits,n’est-ce pas?]Dans les années 1890, les jeune Arméniens, éduqués dans les universités de l’Europe ont commencé à faire pression pour des réformes politiques dans l’Empire Ottoman, appelant à un gouvernement constitutionnel, le droit de vote et la fin aux pratiques discriminatoires telles que les taxes spéciales imposées uniquement contre eux parce qu’ils étaient chrétiens [dhima]. Le sultan turque alors a répondu à leurs demandes avec des persécutions et des massacres brutaux. Entre 1894 et 1896, plus de 100.000 habitants des villages arméniens ont été abattus au cours de pogroms généralisées menées par régiments spéciaux du sultan.Les jeunes extrémistes islamiques, allant vers la violence, ont organisé des manifestations anti-arméniennes. Au cours d’une épidémie comme en 1909, 200 villages ont été pillés et plus de 30.000 personnes massacrées dans le district de Cilicie.Les Arméniens avaient aussi été bien éduqués par rapport à leurs homologues turcs, qui ont été en grande partie analphabète paysans et petits commerçants [on reconnais une arbre a ses fruits].Pendant le génocide arménien, la campagne turque est devenue jonchée, pleine de cadavres en décomposition.

Lire l’histoire au complet dans lien ci-dessous,ceci n’est qu’un minuscule résumé.L’horreur et la barbarie que les musulmans ont appris avec leur Coran et multiples exemples de Mahomet, la sauvagerie sanguinaire à l’extrême:
http://www.unitedhumanrights.org/Genoci … nocide.htm
http://www.cdca.asso.fr/cdca/cdca-photo … nocide.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9noc … %C3%A9nien
http://www.phdn.org/armenocide/
http://www.imprescriptible.fr/
http://www.imprescriptible.us/photos.php
http://rencontreweb.com/histoire/genoci … nimage.htm

Si vous lisez bien l’histoire [1er lien] vous remarquerez que les chrétiens arméniens ont aidé le parti qui aller plus tard les massacrer…
La récompense la voici,au nom d’Allah:
ImageImageImage
http://www.armeniapedia.org/index.php?t … ide_Photos
http://www.genocide1915.info/pictures.asp
http://www.panarmenian.net/eng/
Quelle est le mal que ces gens ont fait? Tout simplement ils sont chrétiens,rien d’autre que ça…et comme nous le savons déjà Mahomet et son Coran ne demande qu’a tuer tous ceux qui n’acceptent pas suivre le livre par excellence de la pédophilie: le Coran [65.4].Voir–>http://www.theforgotten.org/site/intro_eng.html
Source: http://prophetie-biblique.com/

22/11/2011

Ca, c’est de la caricature !!!

Ca va encore hurler dans les mosquées. On parie?

FDF

.

Des affiches représentant Mahomet, le prophète pédophile des musulmans, complètement nu et tenant par la main Aïcha, sa jeune épouse âgée de six ans, ont été placardées à plus de vingt endroits de Malmö par le“Skåne Party”, une formation politique anti-islamique suédoise.

Une plainte pour incitation à la haine a été déposée peu après auprès des autorités policières de la ville. Mais selon Carl P. Herslow, leader du Skåne Party:  «cette plainte n’a aucune raison d’être puisque notre intention est de nous attaquer à l’islam, et non  pas aux musulmans. Nous considérons l’islam comme étant une très dangereuse maladie contagieuse psycho-sociale. Ces affiches sont là pour défendre la liberté de la presse et la liberté d’expression.»

Mais Björn Lagerbäck, président du “Forum pour le Dialogue” , une organisation récemment mise sur pied par l’administration communale pour favoriser la discussion entre les différents groupes sociaux de la ville sur les valeurs qui divisent et qui unissent, a quant à lui déclaré que : « La municipalité de Malmö est clairement opposée à ces affiches et nous demandons à tous les musulmans de ne pas céder à cette provocation, le Skåne Party n’est qu’une secte minuscule et isolée. »

Au moins neuf des affiches installées lundi ont déjà été vandalisées et au “Skåne Party” personne ne voulait  dire qui les a conçues et réalisées.

La “ Sveriges Muslimska Förbund”, l’association des musulmans de Suède, exige des excuses de la part de Carl P. Herslow, le chef du Skåne Party. Mahmoud Aldebe, son président, a déclaré : « Les affiches de ce parti sont motivées par la haine. Le Skåne Party est une infime secte terroriste isolée à qui on devrait interdire de participer aux prochaines élections. »

Source: http://www.bivouac-id.com/

06/11/2011

De l’eau au moulin de Charlie Hebdo…

Preuve est que l’attentat chez Charlie Hebdo est bien du fait d’intégristes un peu trop lobotomisés par des « meneurs propagandistes » avide de haine, de sang et avides de conquêtes… Et Dieu sait si ils sont légion parmi nous… Pourtant, il n’y a qu’un islam, qu’un coran…

Interdire de reproduire l’image de Mahomet n’est mentionné nulle part dans le coran. Celui de le tourner en dérision par humour non plus…
.
(Au fait, merci à Charlie Hebdo d’avoir imprimé une autre série du numéro « du scandale »; il y a eu autant de demandes…).

FDF

Dessin de Dilem

.


Le siège de l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo a été attaqué au cocktail Molotov dans la nuit du mardi au mercredi 2 novembre, à la veille de la publication d’un numéro spécial intitulé «Charia Hebdo», dont la couverture est un dessin représentant Mahomet. Si l’attaque n’a pas été revendiquée, une autre, virtuelle celle-ci, est venue d’un groupe de pirates turcs qui ont affiché sur la page d’accueil du site de l’hebdomadaire un message dénonçant «des dessins dégoûtants». La page Facebook du journal a également été envahie de commentaires s’offusquant de la caricature du prophète.

Au-delà de la question du caractère offensant ou non du dessin, l’incident a remis sur le devant de la scène un sujet qui avait éclaté de manière souvent confuse aux yeux de l’opinion publique mondiale en 2006 avec l’affaire des caricatures de Mahomet parues dans un journal danois, celui de la représentation du prophète musulman. L’islam interdit-il la fabrication d’images de Mahomet?

Les trois grandes religions monothéistes que sont l’islam, le judaïsme et le christianisme ont comme point commun l’acceptation d’un seul Dieu (Allah pour la religion musulmane) et l’interdiction de le représenter. La représentation de Dieu est ainsi restée taboue tout au long de l’histoire de l’islam.

Pas dans le Coran

Si l’interdiction de faire des images de Dieu dans l’islam n’est pas contestée, il n’en va pas de même pour les images de Mahomet, le prophète de la religion musulmane. Aucun passage du Coran n’interdit la représentation des êtres vivants, et donc de Mahomet, qui n’est qu’un homme et non l’incarnation de Dieu comme Jésus. C’est une différence majeure avec la Bible, qui interdit de manière explicite la création d’images dans le second commandement:

«Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.» (Exode XX, 4)

Une interdiction plutôt respectée par les juifs mais vite abandonnée par les chrétiens, qui ont considéré que l’arrivée sur terre de Jésus, la réincarnation de Dieu, permettait de représenter ce dernier de manière figurative et d’en faire un vieux barbu.

Hadiths

C’est dans les hadiths, recueils qui rassemblent l’ensemble des traditions relatives aux actes et aux paroles du prophète et de ses compagnons, que l’on trouve des allusions plus claires à la création d’images. Plusieurs textes y font référence à la fabrication d’images d’Hommes ou d’animaux, et donc de Mahomet lui-même. Le problème théologique ne concerne en effet pas le prophète en particulier mais tous les êtres vivants (les végétaux n’étant pas considérés comme tels).

Dans Al-Bukhârî, LXXVII, 87. Al-Sahîh (L’Authentique), l’un des plus grands et importants recueils de hadiths, compilé au IXe siècle, on peut lire:

«Les anges n’entreront pas dans une maison où il y a un chien, ni dans celle où il y a des images.»

L’image est assimilée à une impureté semblable à celle d’avoir un chien, animal impur par excellence, notamment à cause du risque d’idolâtrie qu’elle entraîne, un des pires pêchés dans l’islam comme dans le christianisme et le judaïsme.

Les images seraient aussi proscrites parce que les Hommes qui créent des représentations d’humains ou d’animaux sont perçus comme voulant imiter Dieu. Plusieurs hadiths affirment que le jour du jugement dernier, ceux qui ont peint des Hommes ou des animaux seront sommés de leur insuffler une âme, de leur donner vie. L’artiste qui dessine les êtres vivants se pose en concurrent du Créateur.

C’est de l’interprétation de ces hadiths que vient le désaccord entre ceux qui estiment que la tradition musulmane interdit et a toujours interdit les représentations de Mahomet et ceux pour qui rien ne permet de l’affirmer. La question n’a pas toujours été aussi taboue qu’aujourd’hui. Tout dépend du climat plus ou moins rigoriste de l’époque à laquelle on se trouve, mais aussi de la région où l’on se trouve.

Images de Mahomet au 13e siècle

L’histoire de l’art apporte des preuves de ce passé où Mahomet pouvait être représenté. A partir du 13e siècle, des représentations du prophète ont circulé dans des miniatures islamiques, turcopersanes d’abord, puis aussi arabes. La Bibliothèque nationale de France a ainsi abrité à l’été 2011 une exposition intitulée «Eluminures en islam» dont une partie était consacrée à l’art figuratif islamique, et qui s’est également intéressée au contexte dans lequel sont apparues les images du prophète.

Aux 14e et 15e siècles, les représentations de Mahomet à visage découvert n’étaient pas problématiques et n’ont pas entraîné de réprobation de la part des autorités religieuses. Si les images figuratives du prophète ont toujours été absentes des lieux de prière et des mosquées, certains ouvrages religieux utilisaient des images de Mahomet comme des illustrations, pour promouvoir la connaissance de l’islam ou même pour transcrire des hadits en image. A partir du 16e siècle apparaissent des images de Mahomet avec le visage vide ou caché par un voile ou des flammes, et les premières fatwas contre les images du prophète ont attendu la fin du 20e siècle.

On retrouve des exemples d’icônes religieuses et de dessins figuratifs de Mahomet jusqu’aux années 2000, comme cette image tirée d’un livre pédagogique iranien:

Aujourd’hui, l’idée selon laquelle le prophète ne devrait pas être représenté est très répandue chez les musulmans, même s’il y a des nuances: les musulmans arabes ont tendance à être plus stricts en matière d’imagerie religieuse, et les chiites sont en général plus flexibles que les sunnites sur la question. Mais on assiste dans l’ensemble depuis quelques décennies à un durcissement et à une simplification sur le sujet, une tendance qui s’est accélérée depuis l’affaire des caricatures de Mahomet en 2006. La carte postale iranienne ci-dessous, qui représente un «jeune Mahomet», a arrêté de circuler en Iran en 2008.

Ce raidissement sur une question qui n’était presque pas débattue avant l’époque coloniale est interprété par certains experts comme une réaction identitaire face à l’acceptation des arts figuratifs dans les sociétés occidentales et chrétiennes.

On observe pourtant la diffusion de toutes sortes d’images figuratives à travers les formes modernes que sont la photographie, la télévision, Internet et les réseaux sociaux dans le monde musulman. Il n’y a qu’à voir le nombre d’images et de portraits géants des chefs d’État dans les rues de tous les pays musulmans, même les plus rigoristes, les cinémas arabes et persan ou encore les images figuratives brandies et dessinées lors des révolutions en Tunisie, en Libye ou encore place Tahrir en Egypte.

Source: http://www.slate.fr/

03/11/2011

Affaire Charia Hebdo: les « heurtés, comptez vous !

Vous êtes tous désormais au courant de cette affaire qui nous rappelle, si besoin l’était, la tolérance appliquée à la mode de chez « eux »… Dans l’islam, l’humour est « haram ». Les muzz, car ce sont certainement eux, ont incendiés les locaux du journal satyrique. Et TOUTE la classe politique s’en est offusquée, TOUTE !!!. On n’avait jamais vu ça. Ce soutien est bien encore la preuve que les intégristes sont en perte de vitesse dans leurs sombres objectifs de nous soumettre à leur idéologie nauséabonde. Et, un mal pour un bien, on peut voir là que la liberté d’expression revient dans ses rails.

Ayant eu l’info très tôt de la publication quelque peu provocatrice moins qu’ humoristique du n° sorti hier, et ayant « senti le vent », j’avais pris le soin de faire réserver dix exemplaires chez mon libraire habituel. Rien que ça! 

L’anecdote est que mon libraire s’est retrouvé en rupture de stock dès le matin et m’a demandé de lui redonner un numéro, rien que pour lui… J’en ai gardé deux pour moi et les autres sont déjà entre les mains de potes à moi.

Dis, Charb, tu nous ressort un nouveau tirage, stp? Si oui, prévois large; il y aura de la demande. Et si ces abrutis ne comprennent rien à l’humour, on ne peut plus rien pour eux…

FDF

« Les religions chrétiennes furent sanglantes et meurtrières en s’éloignant de leurs textes tandis que l’islam le fut en se rapprochant des siens « .
Paroles du journaliste Eric Conan

.

Encore, encore !!!

.

La page de Charlie Hebdo sur Facebook était envahie jeudi par une multitude de commentaires, parfois extrêmes, de musulmans indignés par la Une du journal représentant Mahomet, se réjouissant de l’incendie qui a touché l’hebdomadaire ou répétant à l’envi la profession de foi de l’islam.

Partagez cet article sur Facebook
Photographe :  :: Une capture d'écran, réalisée le 2 novembre 2011, du site internet de Charlie Hebdo, victime de pirates informatiques

« Je témoigne qu?il n?y a de vraie divinité que Dieu et que Mouhamed est son messager« , indique ainsi un commentaire qui revient très fréquemment, citant en arabe, ou traduite en français, la profession de foi musulmane, premier pilier de l’islam.
Elle est inscrite des dizaines et des dizaines de fois, citée généralement quatre fois par chaque internaute et dupliquée ensuite par d’autres.
« Tu as touché notre prophète« , « Allez au diable, Charlie Hebdo« , « Honte à Charlie Hebdo, vous avez gagné un bon tirage mais vous récolterez les conséquences » indiquent par ailleurs des messages de menaces, tandis que d’autres argumentent.
« Les musulmans demande une seule chose des excuses publiques« , dit l’un d’eux. « Si vous parlez de la liberté, alors pensez à ce que ça fait si je caricature Jésus », dit un autre. Ou encore : « Votre liberté s’arrête lorsque la liberté des autres commence… ».
« Mais où est Charlie ? hahahahahahahahaha », s’interroge un autre message, qui se réjouit visiblement de l’incendie.
Au total, des centaines de commentaires se retrouvent sur le « mur » de Charlie Hebdo, certains prenant aussi la défense du journal. « Vive Charlie Hebdo! », « Merci Charlie », « Soutien à Charlie Hebdo !!!!! », peut-on lire notamment.
Les locaux de l’hebdomadaire satirique ont été victimes dans la nuit de mardi à mercredi d’un incendie, alors que le journal sortait mercredi un numéro rebaptisé « Charia hebdo », avec le prophète Mahomet comme « rédacteur en chef ».

Source: http://actu.orange.fr/

02/11/2011

« ILS » ne s’attaquent pas qu’à Charlie Hebdo…

Ahhhhhhh, ça fait plaisir de se sentir aimé…

Ci-dessous le commentaire d’un momo qui n’a pas du apprécier mon billet sur la publication de Charlie Hebdo. Ca sent la paix, l’amour et la tolérance… Retourne au bled, pauvre tache, si tu te sens « offensé »! En France, on sait manier l’humour, la haine beaucoup moins.

FDF

.

New comment waiting approval on Francaisdefrance’s Blog

didi commented on Mahomet, rédacteur en chef de « Charia Hebdo » !

montre toi sale con

 

More information about didi

IP: 41.99.88.132, 41.99.88.132
E-mail : didi1322@yahoo.fr
URL:
Whois: http://whois.arin.net/rest/ip/41.99.88.132

Là, « ILS » vont trop loin: la rédaction de Charlie Hebdo détruite par un incendie criminel !

Franchement, je ne pensais pas les adeptes de Momo aussi cons et d’une bassesse aussi extrême! Encore une preuve de l’idéologie malsaine colportée par l »islam. Les « heurtés » se sont manifestés avant de l’avoir été. Grandiose!

Tous mes encouragements à Charb et à son équipe et il faut considérer cet acte de terrorisme comme une nouvelle manifestation d’amour, de paix et de TOLERANCE…

Et je pense que ça ne va pas vous freiner dans votre excellent travail où l’humour l’emporte sur des considérations venues d’un autre âge… Enfin, nos politiques (pas tous…) « condamnent » cet acte. Ca sent les élections…

FDF

Ce qui a déclenché « l’attentat »…

.


La rédaction du journal satirique Charlie Hebdo, qui publie ce mercredi un numéro spécial après les élections en Tunisie, a été détruite dans la nuit de mardi à mercredi par un incendie criminel, a-t-on appris mercredi de source policière, évoquant un jet de « cocktail molotov »

Application de la Charia aux locaux de Charlie-Hebdo

Les locaux de Charlie Hebdo incendiés



Sur Le Parisien du 31 octobre 2011 : « Une couverture qui indigne déjà sur Twitter et Facebook »

Pauvre réaction de Copé sur Europe 1 qui explique qu’il ne faut pas mélanger religion et politique : à croire qu’il n’a jamais été mis au courant que l’islam a toujours été politique…

La rédaction du journal satirique Charlie Hebdo, qui publie ce mercredi un numéro spécial après les élections en Tunisie, a été détruite dans la nuit de mardi à mercredi par un incendie criminel, a-t-on appris mercredi de source policière, évoquant un jet de « cocktail molotov ».


Photographe : Martin Bureau :: La rédaction du journal satirique Charlie Hebdo et la Une du numéro spécial sur les élections en Tunisie, le 1er novembre 2011 à Paris

L’incendie, qui s’est déclenché « aux alentours de 01H00 du matin » au 62 boulevard Davout (XXe arrondissement), est « maîtrisé et n’a fait aucun blessé », a-t-on indiqué de même source.
« Il n’y a pas d’interpellation », a-t-on ajouté, tout en évoquant un jet de « cocktail molotov » pour expliquer l’origine de l’incendie. « L’enquête devra le confirmer », a-t-on toutefois souligné.
Selon le médecin urgentiste et chroniqueur Patrick Pelloux, joint sur place par l’AFP, le cocktail molotov aurait été lancé « sur la devanture et aurait mis le feu au système informatique ».
Le journal, rebaptisé pour l’occasion « Charia Hebdo », a décidé de faire de Mahomet le « rédacteur en chef » de son numéro de ce mercredi, afin de « fêter la victoire » du parti islamiste Ennahda en Tunisie.
« Tout est détruit », a témoigné M. Pelloux. « Le poste de maquette a brûlé et il y a de la suie partout, le système électrique a fondu », a précisé le directeur de la publication, le dessinateur Charb, également joint sur place par l’AFP.


Pour lui, l’incendie est directement « lié » à la publication de ce mercredi.
« Sur Twitter, sur Facebook, on a reçu pas mal de lettres de protestation, de menaces, d’insultes », que la direction du journal s’apprêtait à transmettre à la police, a-t-il expliqué.
Le journal avait déjà reçu des menaces lors de la publication des caricatures de Mahomet en 2006, mais le numéro de ce mercredi « n’a pas la même portée, c’est plus déconnant qu’autre chose », et seule la couverture avait été diffusée au moment de l’incendie, « pas le contenu » du journal, a-t-il souligné.
Les locaux de Charlie Hebdo du boulebard Davout abritent notamment la rédaction, le service de fabrication des maquettes, des bureaux et des stocks merchandising.
La police judiciaire de Paris a été saisie de l’enquête.
Source:  http://actu.orange.fr/

01/11/2011

Mahomet, rédacteur en chef de « Charia Hebdo » !

Ah les cons! Ils ont osé le faire! Et il fallait y penser. Chapeau bas à Charb et son équipe!

On ne peut qu’ applaudir et attendre les pleurnicheries des « heurtés »… Il va y avoir des promotions sur les fatwas; profitez en!

FDF

.

A paraître ce mercredi 2 novembre

Mahomet Rédacteur en chef

Soutenons Charlie-Hebdo, achetons leur numéro spécial -Charia-Hebdo-
Agrandir

Un numéro spécial afin de fêter dignement la victoire du parti islamiste Ennahda en Tunisie et la promesse du président du CNT que la charia serait la principale source de législation de la Libye.

Dans le journal, on trouvera un « édito de Mahomet » intitulé « L’apéro Halal », une double page de dessins pour expliquer « la charia molle » ou encore un supplément « Charia Madame ».
En dernière page, « les couvertures auxquelles vous avez échappé », un dessin représente Mahomet avec un nez rouge de clown et cette phrase: « Oui, l’islam est compatible avec l’humour ».

« On n’a pas l’impression d’avoir fait une provocation supplémentaire. On a l’impression simplement de faire notre boulot comme d’habitude. La seule différence cette semaine, c’est que Mahomet est en couverture et que c’est assez rare de le mettre en couverture », a réagi Charb, dessinateur et directeur de la publication de Charlie Hebdo.
« On se demande ce qu’il faut faire pour ne pas indigner », a-t-il ajouté.

Charlie Hebdo avait comparu devant la justice pour répondre de caricatures de Mahomet publiées en février 2006, considérées comme injurieuses par des organisations islamiques. Le journal avait été relaxé.

ACTION

1- Acheter le numéro spécial « Charia-Hebdo » (2,50 €)

2- Choisir une page bien islamophobe du magazine (elle devraient l’être toutes…).

3- La détacher du magazine, la plier et la mettre dans une enveloppe

4- Envoyer le tout à une mosquée !

Option : Recommencer à partir de la deuxième étape autant de fois que vous avez timbre+enveloppe.

Vous trouverez des adresses de mosquées sur la page Brûler le coran au paragraphe Qui sont les destinataires ?.

Éventuellement, vous pouvez recenser vos actions au sitathon.blogspot.com afin d’inciter d’autres internautes à agir de même, et vous inscrire à la lettre d’information alertes-sita.blogspot.com pour être averti des prochaines actions.

Source: sitamnesty

18/10/2011

Retour sur les manuels d’Histoire qui « oublient » celle de la France…

Ca me fait plaisir. Riposte Laïque reprend cette affaire de désinformation données à nos écoliers et collégiens à qui « on » enseigne l’Histoire de l’islam et de son prophète pédophile au détriment de l’Histoire de notre pays que j’avais récemment dénoncée, preuves à l’appui (voir: https://francaisdefrance.wordpress.com/2011/10/12/on-islamise-nos-enfants-dans-les-colleges/).

Eh, les gens de RL! Pas sympa; vous avez lu mon billet. Vous auriez pu me citer…

FDF

Ecolière Française en 2020…

.

Des manuels scolaires d’Histoire qui broient le passé de la France…

Depuis plusieurs semaines, j’entendais critiquer ici et là les nouveaux programmes et manuels d’histoire pour la classe de cinquième. Des profs avaient grogné, des journalistes glosaient, des politiques murmuraient ; Alain Finkelkraut avait consacré au sujet une de ses remarquables émissions sur France-Culture (samedi 24 septembre, 9 heures)… J’ai voulu me faire une opinion sur pièces.

Dans une librairie du Quartier latin, un vendeur m’a donné le choix entre cinq ou six ouvrages, tous semblables en première apparence : grand format (22×29), couverture polychrome cartonnée, papier glacé, 350 à 400 pages (se répartissant pour moitié entre histoire et géographie), des illustrations à foison, une multitude de caractères typographiques… J’en ai pris un au hasard : c’était celui des éditions Magnard.
En l’ouvrant, je m’attendais au pire ? J’ai trouvé pire que le pire que je craignais.
Un fatras

Le livre comprend quatre grandes parties de longueur inégale : « Les débuts de l’islam », « L’Occident féodal (XIe-XVe siècle) », « Regards sur l’Afrique », « Vers la modernité (fin XVe-_XVIIe siècle), articulées en 11 « chapitres » de 10 à 18 pages. Chaque chapitre est formé de modules : deux pages face à face, classées en : « dossier, leçon(s), histoire de l’art , récit d’histoire, plus, à la fin, exercices et, éventuellement, méthode. »

Chacune des doubles pages est constituée d’illustrations, de cartes, d’organigrammes, de textes d’époques, de textes d’historiens ou de romanciers, d’encadrés consacrés au vocabulaire, à des questions…

Première impression, qui sera confirmée au fur et à mesure de ma lecture : Un bric-à-brac confus de mots et d’images hétéroclites. Pour appréhender l’histoire de quatre civilisations – l’Europe, l’Islam, l’Afrique noire, l’Amérique – entre le VIIe siècle et la fin du XVIIe, on doit faire sans cesse, de module en module et à l’intérieur de chaque module, des sauts de cabri pour, quoi qu’on fasse, ne se poser que sur des objets disparates, comme sortis d’une loterie.

Pas de lignes de force, de continuités, de hiérarchies d’importance, d’analyses et de synthèses claires… Rien qui soit signalé avec netteté comme devant être appris, retenu. Des surfaces de lettres ou d’images colorées. La version livre d’une sculpture d’Arman ou d’un patchwork psychédélique.

Quant à la chronologie, dont le grand historien Lucien Jerphanion disait : « L’histoire sans la chronologie n’est que du vent »… elle fait l’objet d’une colonne, à gauche, toutes les dix ou douze pages, et, ailleurs, Il faut en chercher, au pendule et à la loupe, n’importe où. On l’ignore ou on la bouscule. Des allers et retours continuels dans le temps donnent le tournis.

Comment ose-t-on qualifier un tel objet de « manuel d’enseignement » ? C’est un « beau livre », où tout a été voulu pour séduire l’œil – et, à vrai dire, c’est réussi –, mais où rien n’a été conçu avec sérieux dans le but d’apprendre. L’élève peut errer à loisir dans ce bazar. Qu’en retirera-t-il sur le moment ? Une image ? une anecdote ? un mot ? une impression ? quelque chose qui lui paraîtra beau, qui le surprendra ou, au contraire, lui sera familier ? Et de quoi se souviendra-t-il dans un mois ? dans un an ? au cours de sa vie d’homme ?

Je l’affirme : aucun gosse de douze ou treize ans, aussi intelligent et travailleur serait-il, ne peut tirer de ce bouquin quoi que ce soit d’utile à sa formation.

Des visées politiques

Les concepteurs se sont manifestement imposé trois impératifs :
– Rien ne devait être dit qui pût choquer les jeunes issus de la « diversité » ou leurs parents.
– Il convenait, en revanche, de valoriser leur culture d’origine.
– Pour cela, il leur a paru judicieux de rabaisser les autres, à savoir la France et l’Europe (à moins que… cet objectif n’ait été leur priorité).
Des objectifs, nullement pédagogiques, clairement idéologiques, politiques.

Des preuves ? L’analyse quantitative suffirait. A titre indicatif :
Les 17 premières doubles pages sont consacrées à l’islam entre le VIIe et le XIe siècle : de quoi occuper une bonne moitié du premier trimestre. (Ne pas oublier que, dans les nouveaux « publics » de notre Education national, les musulmans sont les plus nombreux et qu’il est bon de montrer le « respect » qu’on leur porte en les servant en premier). En regard, rien ou presque sur ce qui se passait en Occident à la même époque.
– L’importance accordée aux empires du Ghana, du Mali, du Songhaï (tous les trois musulmans), du Monomotapa : quatre doubles pages.

La malhonnêteté se déploie à longueur de pages : des omissions, simplifications, coups de botte en touche… Une panoplie de désinformation digne de feu l’URSS, de l’Arabie saoudite ou du Zimbabwe.
Un échantillon : une carte représente « l’Arabie au VIIe siècle : un carrefour commercial et religieux ». Deux villes, Nadjrân et Khaybar, y sont marquées d’un point rouge indiquant la « présence de communautés chrétiennes ou juives » (ce qui permet de déduire que la carte représente l’Arabie du début du VIIe siècle, les juifs ayant été chassés de Najrân dans les années trente) ; deux autres villes sont signalées comme « lieux de pèlerinage » avec un soleil vert : la Mekke et…Médine ( ?). Le soleil vert, totalement injustifié, anachronique, pour Médine a permis d’éviter le point rouge. Un mensonge a effacé une vérité dont l’évocation pouvait provoquer quelques remous dans les classes : la deuxième ville sainte de l’islam a été créée par des juifs, qui en ont été les seuls occupants pendant des siècles, jusqu’à ce que Mahomet les exile, les vende comme esclaves ou les massacre.

L’islam et l’Afrique noire : désinformation positive et censure

Avec l’islam et l’Afrique noire, on a affaire continument à une « désinformation positive » (on serait tenté d’écrire : … une « discrimination positive ») ou à des « ellipses » qui ressemblent fortement à de la censure.
Sur les premiers temps de l’islam, les sept doubles pages du chapitre 1 demanderaient un livre entier pour être analysées. C’est l’islam pour bizounours en turban.

A titre d’illustration :
– Après l’Hégire, Mahomet « convertit de nombreux Arabes à l’islam. En 630, il s’empare de la Mecque. Il meurt à Médine en 632 ». Un récit un peu court, n’est-ce pas ? Rien sur les hold-up, les assassinats ciblés, les ruses meurtrières, l’expulsion, la mise en esclavage, le massacre des Juifs…, ces faits que les auteurs de la sîra (biographie) du Prophète appellent noblement ses « campagnes » (maghâzî).
– Plusieurs pages plus loin : « Deux regards sur Muhammad et la naissance de l’islam » : un court texte de Tabari (un écrivain stipendié par le califat abbasside, un des auteurs de référence de la sîra du Prophète, autrement dit : de « la légende dorée ») ; un autre de saint Jean Damascène, lequel peste contre la nouvelle hérésie qu’est l’islam. De l’épate ! Des matériaux bruts qui ne pourraient être exploités que dans un cours du niveau de l’enseignement supérieur.
– A propos de la Conquête musulmane, rien sur les fleuves de sang (dont parle Tabari, justement), les motivations des envahisseurs, les résistances et les effondrements subits, les conditions faites aux vaincus…
– Et rien sur l’arrêt de l’expansion : Poitiers, 732, Charles Martel se sont évanouis dans le non-être. (Il y aurait là de quoi satisfaire Hitler qui estimait que Poitiers avait été une catastrophe pour l’Europe.)
– En ce qui concerne la civilisation musulmane « une civilisation brillante » : rien sur le contenu du Coran, ses versions différentes, la multiplication des hadîth-s et leur épuration, la question du Coran créé ou incréé, la « normalisation » dogmatique, la construction et la clôture de la charia, le crime-péché d’innovation, le système juridique et policier, le djihad, la séparation du monde en Maison de l’islam et Maison de la guerre, la motivation par le butin, l’esclavage, le statut des femmes… bref, ce qui distingue radicalement cette civilisation de celle dans laquelle vivent les élèves.
– Une double page sur « Haroun al-Rachid, le calife des Mille et Une Nuits », autour d’un long texte tiré d’un roman ( !) récent : « Amina, esclave au service du calife ». C’est l’occasion de nous rappeler que les musulmans ne font la guerre que pour se défendre et de nous faire entendre la rengaine de la victimisation. « Comment ne pas haïr ces autres peuples aux frontières, traîtres et infidèles, qui ont tué notre chef vénéré ! Les Roumis de Constantinople ont attaqué si souvent notre calife et notre foi que je ne me souviens plus combien notre glorieux calife a dû livrer de batailles pour finalement s’emparer des îles en Méditerranée. »
– Sur le statut des juifs et des chrétiens, qui devrait passionner les enfants d’une société « pluriculturelle », sur ces dhimmi-s, uniquement quelques paroles du calife Omar, (encore un extrait bien sélectionné de Tabari) : ce despote, présenté comme tel dans la tradition musulmane elle-même, promulgateur du statut de la dhimmitude, qui chassa tous les juifs d’Arabie, devient un parangon de tolérance.
– Bien évidemment, il y a une double page sur l’Andalousie, cette imposture, et la mosquée de Cordoue.

Je m’en voudrais de ne pas mentionner une double page qui vaut son pesant de rahat lokoum : « L’art de la calligraphie ». Sont précisées, illustrations à l’appui – à l’intention des élèves des lycées et collèges de France, il ne faut pas l’oublier – les différences entre le style naskhi et le style thuluth (combien de maîtres sauront prononcer correctement ces deux mots ?) et il est posé à nos chères têtes blondes la question : « Qu’est-ce qui différencie le style coufique du style thuluth ? »
Il n’est plus question de l’islam entre la page 25 et la page 100. Après de multiples saute-moutons et va-et-vient, on le retrouve, avec les croisades …. Deux siècles d’affrontements entre l’islam et la chrétienté ont droit à une double page : « L’expansion religieuse et militaire » de la chrétienté. Un encadré est, comme par hasard, consacré au pillage de Constantinople par les croisés, en 1204 : « La soif du butin ». Et cette question est posée aux élèves ; « Quels éléments indiquent que cette expédition |la croisade] est avant tout militaire ? »

L’islam revient dans les pages 108 à 129 consacrées à l’Afrique avec des doubles pages sur les empires nommés plus haut, mais aussi sur des sujets aussi essentiels que « L’art de Djenné » ou « Le pèlerinage à la Mecque du mansa Moussa (1324) ».
Arrêtons l’inventaire des inepties. Elles sont trop patentes et trop nombreuses pour ne pas avoir été décidées.

France : anéantir la fierté d’appartenance

Dans la machine à décerveler, le passé de la France est littéralement broyé, anéanti.
Plus de ces grands personnages, ni de ces grands évènements, qui restaient dans les mémoires, pouvaient servir de repères, permettaient de distinguer des étapes, de comprendre des évolutions… Du survol et des détails. Et pourquoi ces détails plutôt que d’autres ? Mystère.

Et d’étranges évanescences ou de franches disparitions : Saint-Louis, Philippe le Bel, Louis XI… ont droit à une citation, en passant, mais on n’évoque pas la Chanson de Roland (à cause des méchants sarrasins ?), la poésie courtoise, Villon, Ronsard, Rabelais, Montaigne… ; à la trappe, Corneille (à cause du Cid ?) ; du Guesclin, Bayard, Colbert, Louvois, Vauban… n’ont jamais existé ; parmi les gloires du XVIIe siècle, seuls Molière, La Fontaine, la Bruyère sont mentionnés, mais c’est pour avoir fait, « de manière déguisée, une critique sévère du roi absolu et de la société de Cour ».
On veut, à l’évidence – d’autres l’ont dit avant moi – détruire « le roman national », anéantir l’héritage sur lequel s’est bâtie la France, anémier par là le sentiment d’appartenance chez nos enfants. Et dans ce but, on n’hésite pas à en faire des ignorants, des incultes, des sauvageons qu’on pourra, demain, greffer sur d’autres cultures.

A qui le crime profite-t-il ?

Il faut se poser la question. L’histoire, justement, permet peut-être d’apporter une réponse, au moins d’émettre une hypothèse. Au début de la IIIe république, Jules Ferry, grand architecte et de la colonisation et de l’instruction publique, a voulu des jeunes Français instruits et fiers du passé de leur patrie. Derrière le Lorrain, il y avait – ces adversaires ne cessaient de le rappeler – le grand patronat de l’époque, qu’on appelait le Comité des forges. Ce patronat avait besoin d’ouvriers capables de lire un plan, de calculer une surface ou un volume, d’utiliser la règle de trois… dans la compétition industrielle et commerciale qui opposait la France à l’Allemagne et à l’Angleterre. Il lui fallait aussi des soldats suffisamment patriotes pour accepter d’aller se faire tuer ou démembrer dans des pays exotiques.

De nos jours, le grand patronat, devenu majoritairement financier, le « Cac 40 mondialiste », ne réclame plus que des esclaves, à bas coût, incapables de volonté parce que sans culture ni fierté, en même temps, consommateurs dociles. Il en a fait venir en masse du tiers-monde dans nos pays. Ne chercherait-il pas à en fabriquer d’autres avec les enfants des autochtones eux-mêmes ?

Réagir

Et, maintenant, action ! Prenons contact avec les candidats à l’élection présidentielle. Obtenons des plus éveillés d’entre eux l’engagement de revenir à des manuels d’histoire qui soient clairs, qui donnent des repères mémorisables, qui ne détruisent pas la fierté d’appartenance nationale, sentiment dont toute démocratie a besoin, car lui seul peut fonder la paix sociale, assurer le dynamisme, la créativité, le développement des individus et de la nation, inciter à la solidarité.
Et, au plus tôt, dès que nous en avons l’occasion, déculottons et fessons d’abondance les mondialistes et les cuistres qui se sont mis à leur service.

René Marchand

Source: http://ripostelaique.com/

03/09/2011

La création du monde…

Merci à JC de m’avoir envoyé ce PPS que je ne connaissais pas. Et pourtant… Bon, ben j’attends ma fatwa, cette fois. Pas trop cuite, svp.

FDF

.

Ici: enfin_une_explication

03/08/2011

Il ne faut jamais admettre que l’on puisse vénérer le coran et Mahomet…

C’est un des points que la Résistance doit se mettre en tête pour ne pas subir le joug islamique ni tomber dans l’idéologie qui a conduit un certain Anders Behring Breivik à faire ce qu’il a fait. Pascal Hilout vous explique la suite…
FDF

.

Face à l’islam, ne vous prosternez surtout pas !


Radu Stoenescu l’a expliqué dans nos colonnes : le tueur Norvégien est un jihadiste anti-jihadiste(1). Tout être civilisé sait que la violence est cette peste qui n’a jamais fini de hanter notre humanité. A moins d’être habité par l’esprit de vengeance à l’identique qui est, fatalement, sans fin, à moins d’adhérer à l’antique principe juridique et biblique « œil pour œil, dent pour dent », on ne peut s’élever contre la prescription et la pratique du jihad islamique et succomber à son application en recourant à ses moyens.

Malgré les violences subies, Mandela a compris les vertus libératrices de la non-violence. Lutter pacifiquement, résister au travers du verbe qui nous fait humains, rester dignes, y compris dans l’adversité, ne jamais succomber aux folies de la violence, voilà ce que Anders Behring Breivik n’a pas du tout saisi. Il n’a pas compris que notre civilisation mérite son nom parce qu’elle respecte la vie, y compris celle des pires assassins comme il l’est devenu. Une partie des Américains continue de donner la mort en croyant que c’est justice, Marine Le Pen veut rétablir la peine de mort comme certains Norvégiens crient « A mort Breivik ! » tout en croyant contrecarrer les penchants morbides et vengeurs de notre humanité.

Breivik a finalement répondu présent aux jihadistes qui appellent de leurs vœux un Occident réduit dans leurs logorrhées à une simple « Alliance judéo-croisée ». Adhérer à une idéologie, religieuse ou profane, qui n’a pas comme principe fondateur le fameux « Tu ne tueras point, point final ! », c’est ne rien comprendre à  l’humanisme qui fait la civilisation. Ceux parmi les détracteurs de Riposte Laïque qui en sont encore à mâchouiller le « choc DES civilisationS » n’ont certainement pas compris ou entendu Wafa Sultan. Elle a subi l’islam dans sa chair et elle a bien expliqué pourquoi, face à l’islam, nous sommes bel et bien confrontés à la  barbarie ; à l’état pur.

L’épreuve subie par les Norvégiens et l’usage politicien qu’en font certains de nos progressistes et humanistes d’opérette, m’amènent à recommander aux Français et à toute l’humanité que j’aime, de ne jamais faire allégeance à la violence,  de ne jamais se prosterner  et de ne jamais admettre qu’on puisse vénérer le Coran et Mahomet, ‘beaux modèles’ qui inspirent les jihadistes et, tout compte fait, l’anti-jihadiste nordique qu’est Anders Behring Breivik…

Suite et source: http://tinyurl.com/3q8loap

Ne vous soumettez JAMAIS !

21/06/2011

Elisabeth Sabaditsch-Wolff condamnée en Autriche pour n’avoir dit que la vérité…

Si avoir des relations sexuelles avec une fillette de 9 ans n’est pas de la pédophilie…

FDF

.

 

Ezra Levant interview Elisabeth Sabaditsch-Wolff (en anglais, désolé…): http://youtu.be/YSfS-p3e16w

.

Elisabeth, de passage à Montréal, parle à Ezra Levant, sur Sun TV, de sa condamnation par un tribunal autrichien pour dénigrement de l’islam, suite à une dénonciation par un magazine de gauche. L’islam officiel enseigne que Mahomet avaIt 56 ans quand il a épousé Aïcha, qui avait 6 ans, et qu’il a consommé le mariage quand elle a eu 9 ans. Elisabeth a qualifié Mahomet de «pédophile», ce qui lui a valu sa condamnation. 

Elisabeth dit qu’à sa connaissance, personne n’a jamais été condamné en Autriche pour avoir dénigré le christianisme. Elle a interjeté appel de la décision. Si elle perd, elle a l’intention de porter sa cause devant la cour européenne des droits de l’homme.  

Sa cause n’a pas été publicisée en Autriche, où il n’y a pas d’organisations de défense de la liberté d’expression. Aucune organisation ne s’est manifestée pour la soutenir dans son combat. 

Source: http://www.postedeveille.ca/

Page suivante »