Francaisdefrance's Blog

25/02/2011

Gaspillage de l’argent public: le coût de la mosquée de Bordeaux.

Eh oui? C’est encore du « Juppé »… Et vous vous demandez encore à quoi servent vos impôts? A l’islamisation de notre France, bien sûr…Au fait, pensez à vous acquitter de votre premier tiers… Parce que là, on ne vous loupera pas.

FDF

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Combien a coûté la mosquée de Bordeaux ? UN EURO; aux musulmans. C’est nous, les « sous-chiens », qui avons payé le reste… Soit 676 999 euros… Ca ne vous « heurte » pas ça? Ben moi si…

FDF

Alain Juppé, maire de Bordeaux, a accordé à l’Association des musulmans de Gironde (AMG), un terrain de 8 500 m² pour y construire une mosquée au prix d’ 1 euro symbolique.

Si l’Association des musulmans de Gironde avait voulu l’acheter au prix du marché, elle aurait dû débourser 677 000 euros. Un bien joli cadeau d’Alain Juppé à l’Association des musulmans de Gironde.

L’Association des musulmans de Gironde est membre de l’UOIF, association connue pour son interprétation fondamentaliste de l’islam.

Cette mosquée de Bordeaux sera un complexe cultuel et culturel, précise la mairie, avec salle de prière, cafétéria, centre culturel, amphithéâtre, bibliothèque, salles de classe…

Source: Le Livre noir des gaspillages de l’argent public 2011

L’art de manipuler les médias: sur le podium: la France !

Il est vrai, qu’à l’heure actuelle et comme la répression « directe » serait fort mal vue, c’est un art dans lequel la France (d’en haut) excelle... Tout finit par se savoir, heureusement.
FDF

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La “première guerre médiatique” date du milieu du XIXe siècle. Elle accompagna le conflit opposant les États-Unis au Mexique, en 1846. L’annéeprécédente, le démocrate James Polk avait été élu à la présidence de l’Union. Son rêve : agrandir le territoire américain vers l’ouest et le sud. Ainsi s’était-il prononcé en faveur de l’annexion du Texas dont l’indépendance, conquise en 1835, n’avait jamais été reconnue par le Mexique.

Polk savait que seules les armes pourraient lui permettre de réaliser son rêve annexionniste. Encore lui fallait-il un prétexte. C’est alors qu’en mai 1846, un détachement américain de soixantetrois hommes, qui s’était aventuré au sud de la rivière Nueces, laquelle marquait la frontière méridionale du Texas avant l’indépendance, était attaqué par les Mexicains. Onze Américains furent tués et les autres faits prisonniers, parmi lesquels le chef de la patrouille, le capitaine Thornton.

Le président tenait son casus belli. Le Congrès vota pour une guerre « commencée par le Mexique ». La presse s’en mêla : « Les Mexicains tuent nos boys au Texas », titrèrent les journaux auxquels l’apparition des rotatives, cette même année, permettait désormais les gros tirages, les amateurs de sensationnel s’en donnant à coeur joie.

Certains eurent pourtant des doutes. « C’est notre président qui a commencé la guerre », dira le représentant du Kentucky, Garrett Davis. Le général Zachary Taylor, commandant des troupes envoyées au sud de la Nueces, et pour cela érigé en héros, dénoncera en 1847, un mois avant la fin des combats, « une guerre inutile et inconstitutionnelle ordonnée par le président des États-Unis ». Il briguait alors la succession de Polk, qu’il obtiendra. Celui-ci restera cependant comme l’homme qui, par le traité de Guadalupe Hidalgo, a obtenu du Mexique la Californie, l’Arizona, l’Utah, le Nouveau-Mexique, le Nevada.

Mensonge d’État ? Comment le modèle même de la démocratie pouvait-il se livrer à de telles manipulations ? L’affaire mexicaine ne fut que la première d’une longue série. Les Américains emploient deux termes pour définir la désinformation : disinformation, ou volonté délibérée de tromper l’interlocuteur, et misinformation, ou manière de présenter la réalité de façon biaisée. Cette nuance, légère, reflète le scrupule d’une démocratie qui s’est toujours voulue exemplaire.

Pourtant, leurs gouvernements, républicains ou démocrates, ont eu recours à cette forme de manipulation. Le plus souvent dans l’intention de faire admettre à une opinion isolationniste ce qu’ils considéraient comme des nécessités supérieures, plus rarement dans leur intérêt personnel. Ce dernier cas, impardonnable dans la mentalité américaine, étant illustré par l’affaire du Watergate qui conduisit Richard Nixon à la démission.

Ancien directeur de la rédaction du Monde et grand connaisseur des affaires internationales et en particulier de la politique américaine, Daniel Vernet souligne dans un livre qui vient de paraître que, si la désinformation a pu se développer aux États-Unis (comme ailleurs), elle le doit aux techniques de communication et d’impression industrielles du XIXe siècle, car celles-ci permirent la fabrication de journaux à fort tirage et à grande diffusion : la penny press. Autrement dit, la presse bon marché accessible au plus grand nombre. Ce phénomène apparut en vraie grandeur dans l’affaire mexicaine.

Suivit le yellow journalism, formule inventée en 1897, au plus fort de la rivalité entre Joseph Pulitzer et William Randolph Hearst qui avait arraché à son concurrent le créateur d’un personnage de bande dessinée, très populaire, baptisé Yellow Kid. Des précurseurs dans ce qui deviendra la presse à sensation. Pour la yellow press, l’information ne vaut que par son caractère sensationnel, qui permet de vendre du papier. Aussi faut-il que le moindre événement prenne un caractère dramatique. On va ainsi voir les décideurs politiques, pratiquant la désinformation pour atteindre leurs buts, devenir les complices des patrons de presse qui cherchent à “en rajouter” ainsi que des journalistes ravis d’entrer dans ce jeu, comme on le verra dans de nombreux films de cinéma.

Au mois de février 1945, Roosevelt, Churchill et Staline signaient les accords de Yalta par lesquels la moitié de l’Europe était offerte à l’URSS. Ces accords feront l’objet, aux États- Unis, d’un habillage tendant à les présenter, écrit Daniel Vernet, comme « l’aboutissement des principes des pères fondateurs appliqués à la politique internationale ». Désormais, « le droit l’emportera sur la force. […] Les Nations unies auront pour tâche de sauvegarder la paix et la sécurité et d’organiser une collaboration étroite et permanente de tous les peuples pacifiques ».

Ainsi ressurgissait le rêve d’une Société des Nations voulue par le président américain de la Première Guerre mondiale, Woodrow Wilson, mais rejetée par le Congrès et dont l’Histoire allait révéler l’inefficacité. Roosevelt pensa-t-il qu’il réussirait là où son prédécesseur avait échoué ? Malade – il mourra quelques semaines plus tard –, crut-il, contre l’opinion de Churchill, aux assurances du dictateur soviétique que les populations d’Europe centrale et orientale pourraient librement choisir leur régime politique une fois la guerre terminée ? Négocia-t-il l’abandon de cette partie du continent européen à Staline en échange d’une promesse de déclaration de guerre au Japon que les États-Unis, à ce moment, n’espéraient pas vaincre avant 1946, et au prix d’énormes sacrifices ? Tout était possible chez ce « caméléon sur une couverture écossaise», comme disait un de ses interlocuteurs britanniques.

Quoi qu’il en soit, Staline ne pouvait pas trouver meilleur propagandiste que ce président américain affaibli. Roosevelt, explique encore Vernet, « présente à ses compatriotes l’accord de Yalta comme l’aube d’une nouvelle ère, comme le triomphe de l’universalisme des valeurs américaines ». Il n’en faudra pas davantage à ses détracteurs – auxquels les faits ne tarderont pas à donner raison – pour affirmer que le président a cédé à l’influence de ses conseillers les plus proches, décrits comme des cryptocommunistes. Le diplomate George Kennan, inventeur de la politique de containment à l’égard de l’Union soviétique, racontera que, dès les années 1930, Roosevelt attribuait à la mentalité “guindée” du Département d’État les informations sur les purges staliniennes, et qu’il fit alors supprimer la direction russe du ministère des Affaires étrangères.

En 1962, John Kennedy s’efforça, d’une manière analogue, de tirer profit de l’annonce par Nikita Khrouchtchev, alors maître de l’URSS, du retrait des missiles soviétiques installés à Cuba, donc à portée des États-Unis. Les Américains surent gré à leur président d’avoir, en faisant reculer les Soviétiques, prouvé sa fermeté en même temps que la puissance américaine face à l’expansionnisme communiste. En ignorant que le retrait des missiles soviétiques à Cuba s’était accompli en échange d’un autre retrait, bien loin de là, de missiles américains en Turquie, État membre de l’Otan.

À l’origine de l’engagement massif des États-Unis au Viêtnam, on retrouve une situation analogue à celle que connut James Polk cherchant à affronter le Mexique. Il fallait un prétexte pour convaincre l’opinion américaine, par nature hostile à tout engagement militaire hors de leur sphère d’influence, et en particulier à l’envoi des boys, moins de vingt ans après la fin de la guerre contre le Japon, combattre à nouveau en Asie. Le prétexte, ce fut, le 4 août 1964, la prétendue attaque du navire américain USS Maddox par des embarcations vietnamiennes dans le golfe du Tonkin. Lyndon Johnson, successeur de Kennedy, doutait personnellement de la réalité de l’agression à laquelle le USS Maddox avait riposté. Il s’en ouvrit au sous-secrétaire d’État, George Ball : « Ces crétins et stupides marins étaient juste en train de tirer sur des poissons volants ! » Néanmoins, à la suite de cet incident, il fit bombarder le Nord-Viêtnam. Ce fut le début de l’escalade dans un conflit qui, rappelle Vernet, coûta 200 milliards de dollars et dans lequel furent impliqués plus de 3 millions de soldats américains dont plus de 58 000 furent tués, près de 800 000 blessés et 2 500 portés disparus. Ce fut en effet le début, mais rien ne dit qu’un autre événement ne l’aurait pas déclenché, tant les Nord-Vietnamiens étaient décidés à envahir le Sud.

Avec la seconde guerre d’Irak, on retrou ve une situation analogue à celle que connurent Polk, avec le Mexique, puis Johnson avec le Viêtnam. Bush s’était laissé convaincre de terminer l’oeuvre que, par crainte d’une déstabilisation au Moyen-Orient, son père avait laissé inachevée : abattre Saddam Hussein. Ses convictions l’y incitaient, celui-ci étant à ses yeux l’archétype du dictateur absolu, aux antipodes des valeurs américaines. Elles correspondaient aux intérêts bien compris des États-Unis, l’Irak constituant l’une des réserves pétrolières de la planète.

Encore fallait-il rendre cette seconde guerre du Golfe aussi légitime que la précédente, provoquée par l’invasion du Koweït par l’armée irakienne commandée par Saddam. On affirma donc que celui-ci préparait en secret un arsenal d’armes chimiques et bactériologiques constituant une menace mortelle et qu’il était impliqué dans les attentats du 11 septembre 2001. Rien ne put être prouvé. Mais la préparation médiatique fut telle que l’opinion américaine jugea légitime l’intervention de son armée contre Saddam, avant de se retourner, du moins en partie, quand il apparut que cette affaire avait été bien mal engagée.

Cela dit, l’avantage du système démocratique aux États-Unis est que tout finit par se savoir, se dire et s’écrire. Même avant WikiLeaks ! La désinformation à la sauce américaine apparaît comme une arme bien légère – même si ses conséquences furent parfois considérables – à côté de la désinformation à la sauce totalitaire, ce « viol des foules » décrit par Serge Tchakhotine. Hitler et Staline s’en servirent avec une impudence totale, d’autant que le second bénéficiait, là où les partis communistes étaient solidement implantés, de puissants relais. Le massacre de Katyn, l’existence du goulag, la réalité des purges massives furent ainsi niés durant des décennies. Il fallut Khrouchtchev, d’abord, Gorbatchev, ensuite, pour en confirmer la réalité.

À lire:
La Théorie du complot. Une histoire américaine, de Daniel Vernet, Alphée, 158 pages, 18 €.

Source: http://www.valeursactuelles.com/histoire/actualités/l039art-de-manipuler-médias20110224.html

Le NPA bat des records !!!

De connerie !

Témoin cette affiche placardée ces temps-ci dans tous les coins de France et de Navarre… Soutenir une révolution arabe. Faut déjà le faire. Le facteur devrait mieux s’occuper des problèmes que rencontrent les sous-chiens. Ah bon? Il n’a plus d’électeurs? C’est pour ça qu’il va puiser dans la fange du Maghreb. Encore un truc, Olivier: les clandestins n’ont pas tout de suite le droit de vote. En principe…

FDF

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L’affront en question:


 

 

Il va se le reprendre en pleine poire, Sarkö, son « débat sur l’islam »…

Dernier truc à faire en période électorale. Mais bon; c’est lui qui voit. Souhaitons que ça va le calmer… Mais je ne pense pas. Trop imbu de sa personne pour avouer une défaite. Comme le « Guide », en fait… Pourvu que son ire ne se traduise par des fleuves de sang… Mais non, j’rigole… Nous sommes en France; enfin, nous y étions.

FDF

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Au feu!  Sarkozy instrumentalise un débat sur l’islam !

C’est donc la dernière trouvaille de Nicolas Sarkozy qui a annoncé le lancement d’un débat sur l’islam, provoquant de sérieuses critiques jusque dans sa majorité. On peut en effet imaginer ce qu’il peut donner dans une droite désormais sous la pression de son courant populiste et du Front National. La réaction la plus significative est signée d’Anne Sinclair.

Si Dominique Strauss-Kahn est toujours condamné au silence, l’épouse du directeur général du FMI, candidat virtuel à la présidentielle de 2012, n’a pas pris de gants dans son blog où elle écrit : « Voici qu’après les malheureuses tentatives pour affoler les esprits sur l’identité nationale, après la loi sur la burqa, les dérapages sur les Roms, on nous annonce de toute urgence un débat national sur l’islam » déplore Anne Sinclair qui conclut « Et après tout le fracas qui a déjà eu lieu, quel résultat ? Marine Le Pen à 20% dans les sondages. Belle réussite. Certains à droite comme Alain Juppé s’émeuvent à juste titre devant la perspective de remuer encore une fois cette trouble marmite.

Ça s’appelle en effet jouer avec le feu » conclut la journaliste. Les apprentis sorciers pourraient même se bruler les doigts…

Source: http://www.biladi.fr/

Egypte: ils s’en prennent même aux chrétiens, maintenant…

Leur mot d’ordre à ce jour: tuer. N’importe qui, mais tuer… Des « fleuves de sang »… Un vrai carnage chez « le Guide », ami de beaucoup de chefs d’Etat de part le monde… Ca fait peur.

FDF

 

Egypte : raid de l’armée sur les monastères coptes

Jeudi, les forces armées égyptiennes ont assailli pour la seconde fois le monastère St. Bishoy qui date du 5ème siècle, à 110 kilomètres du Caire. Des coup de feu ont été tirées, blessant deux moines et six travailleurs du monastère copte. Plusieurs sources ont confirmé l’utilisation par l’armée de munitions RPG. Quatre personnes ont été arrêtées, dont trois moines et un avocat copte qui se trouvait dans le monastère pour l’enquête de l’attaque précédente par l’armée. (voir vidéo en fin d’article)

Les forces armées égyptiennes avaient démoli dimanche les clôtures entourant d’anciens monastères coptes, les laissant sans protection contre les attaques de bandes arabes armées, de voleurs et de prisonniers évadés.

“Les trois monastères qui ont été attaqués auparavant par des malfaiteurs, avaient demandé la protection des forces armées, mais il leur a été répondu qu’ils devaient se défendre eux-mêmes”, a déclaré un militant de la cause copte, Mark Ebeid. “Quand les moines terrifiés ont alors construit des barrières pour se protéger, les forces armées sont cette fois intervenues avec des bulldozers pour les détruire. Il faut souligner que ces monastères sont parmi les plus anciens d’Egypte, et renferment des icônes coptes et des manuscrits précieux, d’une valeur inestimable pour des collectionneurs.”

Le dimanche 20 février, les forces armées se sont ruées sur le monastère de Saint-Boula qui date du 4e siècle, dans la région de la Mer Rouge. Ils ont agressé trois moines, et ont ensuite démoli la petite clôture qui protégeait le portail menant au monastère.

“Nous avions eu l’idée de construire ce portail après avoir été attaqués le 13 février par 5 prisonniers évadés, a déclaré le père Botros Anba Boula. Ils étaient armés de pistolets et de matraques…”.”En détruisant le portail et la petite clôture qui le protégeait, l’armée envoie ainsi un message d’encouragement à tous les voleurs et malfaiteurs pour pénétrer dans le monastère.”

L’armée égyptienne a publié un démenti, niant l’attaque d’aujourd’hui contre le monastère, dont voici une vidéo :

http://www.youtube.com/watch?v=2TZNjKYEPFI&feature=player_embedded&skipcontrinter=1

Source : AINA, AINA

Tueries de masse chez « le Guide »…

Mais à quoi fallait’il s’attendre de la part de cet ami de la France??? Qu’il s’en aille sans rien dire? Ce n’est pas le genre de la maison… Des « fleuves de sang » avait promis si fils; lui au moins tient ses promesses. Mais là, bon, ce n’est pas du même domaine. C’est beaucoup plus grave. J’ai bien peur que la pandémie s’étende, chez les fous d’Allah…

FDF

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L’ONU dénonce des « tueries de masse », des « arrestations arbitraires » et des « tortures ». Une résolution doit être votée aujourd’hui.

La haut commissaire des Nations unies aux droits de l’homme Navi Pillay s’est inquiétée vendredi de l’intensification « alarmante » de la répression contre la révolte populaire en Libye, qui a peut-être fait « des milliers de tués et de blessés ». « En violation continuelle des lois internationales, la répression en Libye contre des manifestants pacifiques s’intensifie de manière alarmante », a expliqué Navi Pillay, faisant état de « tueries de masse, d’arrestations arbitraires, de détentions et tortures de manifestants ». 

« Selon certaines sources, des milliers de personnes ont été blessées ou tuées », a-t-elle ajouté en ouvrant la session extraordinaire du Conseil des droits de l’homme de l’ONU consacrée à la situation en Libye. Les 47 membres du Conseil doivent se prononcer en fin de journée sur un projet de résolution réclamant la suspension de Tripoli de l’organisation dont la Libye est membre depuis mai 2010. Devant le Conseil, Mme Pillay s’est dite particulièrement préoccupée par les informations arrivant de Libye.

Le « mépris total » de Kadhafi

« Des images que l’on n’arrive pas à vérifier font état de la création de fosses communes à Tripoli », a-t-elle expliqué. « Des soldats arrêtent les ambulances, ce qui fait que les blessés et tués sont laissés dans la rue », a-t-elle poursuivi. « Les attaques massives et systématiques contre la population peuvent être assimilées à des crimes contre l’humanité », a insisté l’ancienne juge sud-africaine. Navi Pillay a pointé du doigt la responsabilité directe du régime du leader libyen Muammar Kadhafi dans cette situation qui est, selon elle, « le résultat direct du mépris total pour les droits et la liberté des Libyens qui a marqué près de quatre décennies de pouvoir du régime actuel ».

Elle a appelé Tripoli à « mettre un terme à la violence immédiatement », martelant que la Libye en tant que membre du Conseil était tenue de respecter les lois internationales en matière de droits de l’homme. Le discours de Navi Pillay a été largement soutenu par les membres du Conseil, dont l’ambassadeur de Hongrie parlant au nom de l’Union européenne, le groupe arabe ou encore l’Organisation de la conférence islamique.

« Violations majeures et systématiques » des droits de l’homme (UE)

« Le Conseil ne peut rester silencieux face aux événements choquants qui ont lieu en Libye », a insisté l’ambassadeur hongrois alors que l’UE est à l’origine de la session extraordinaire du Conseil, qui se penche pour la première fois sur la situation d’un de ses membres. Le projet de résolution proposé par les Européens condamne les « violations majeures et systématiques » des droits de l’homme commises dans le pays, et réclame en conséquence la suspension de la Libye du Conseil.

Il demande également qu’une commission d’enquête indépendante conduite par l’ONU se rende sur le terrain pour recenser ces violences qui pourraient être cataloguées comme « des crimes contre l’humanité ». Parmi les pays arabes, le Pakistan, au nom de l’OCI, a paru soutenir le texte, appelant Tripoli à « cesser les violences contre des populations innocentes ». Le groupe arabe a poursuivi en dénonçant des « crimes inacceptables et non justifiés » avec des armes réelles et le recours à des mercenaires. Quant à l’ambassadeur du Royaume-Uni, il a estimé qu' »adopter cette résolution par consensus prouverait l’appui de la communauté internationale au peuple libyen ».

Source: http://www.lepoint.fr/

Jeu de « qui est le plus pourri »…

Un petit diaporama qui va nous faire comprendre pourquoi vous nous n’arrivons plus à boucler nos fins de mois… Et aussi nous montrer qu’au détriment de cette infamie, les loups ne se mangent pas entre eux. La crise, ce n’est pas pour tout le monde. Quelque soit le pays en question.

« Salauds de pauvres« , qu’ils doivent se dire…

FDF

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Lire http://www.challenges.fr/diapo/nav/220/sous-la-tente-de-muammar-al-kadhafi.html?idPhoto=2347

Lettre de Marine Le Pen.

Marine Le Pen nous donne quelques explications… Vous allez comprendre que les lois pondues par les anti-FN n’ont pa été votés par hasard. La stigmatisation continue. L’UMP/S a peur. Et il a raison d’avoir peur…
FDF

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Ici: Lettre de Marine Le Pen

Bayern Munich: Ribéry ne veut plus parler français !

Je ne savais même pas que la nature l’avait doté du don de s’exprimer autrement que de taper dans un ballon. Mais bon.

Eh bien, Bilal, tu nous fais une crise? Parle en arabe, désormais, ce sera complet…

Sa conversion à l’islam lui monte à la tête. Et les neurones (qui lui restent) commencent à s’évaporer. Pauvre foot…

FDF

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Le « beau gosse » nous fait un caca nerveux…

Le meneur de jeu du Bayern Munich, Franck Ribéry, ne souhaite plus répondre aux journalistes français lors de ses points presse. Et quand certains parviennent à braver l’interdit, Ti’Franck leur réserve un accueil particulier.

Franck Ribéry se prend pour Sébastien Chabal, mais l’a joue à l’envers ! Alors que le rugbyman tricolore exigeait que les journalistes lui posent des questions exclusivement en Français lors de la Coupe du monde 2007, le milieu de terrain du Bayern Munich accepte les interviews, mais surtout pas en français ! En effet, Franck Ribéry aurait plus que jamais la dent dure vis à vis des politiques et de la presse hexagonale, qui a relaté ses aventures extra-conjugales et ses piètres performances en Bleu lors de la dernière Coupe du Monde en Afrique du Sud.

Au sujet du mutisme du mutin de Knysna, L’Equipe rapporte dans son édition du jour une scène cocasse. L’ancien international tricolore aurait en effet répondu aux questions d’un journaliste français d’Eurosport… dans la langue de Goethe. L’ancien Marseillais, qui aspire toujours à intégrer la sélection de Laurent Blanc, a adopté cette attitude afin de ne plus répondre à l’avenir aux journalistes français lors de ses points presse. Une décision surprenante qui ne devrait pas augmenter la côte d’amour de Ribéry en France

Source: http://fr.sports.yahoo.com/

Empêcher la constructuion des mosquées. Fallait déjà y penser.

Et cette idée imparable nous vient d’Espagne. Et elle fonctionne très bien… J’en connais qui vont être « heurtés »… Et qui vont « condamner », se sentir « stigmatisés », etc… « Ils » veulent nous emmerder? Il y a de la monnaie à rendre…

FDF

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A Séville le gouvernement a accepté de vendre un terrain à un groupe de musulmans pour la construction d´une mosquée. Un autre groupe, celui-ci d´habitants bien espagnols et ne désirant pas une autre mosquée a trouvé une solution géniale: au milieu du terrain, ils ont enterré un gros cochon et se sont arrangés pour que cela se sache publiquement. La loi islamique ne permettant pas de construire une mosquée sur un lieu souillé par du cochon, les muzz ont dû renoncer.

Vive le réchauffement idéologique !

Une lueur se serait-elle allumée dans nos ténèbres ? Le combat des idées, dont on dit qu’elles mènent le monde, incline en notre faveur…

Mais la route est encore longue, qui verra l’Occident restaurer enfin son identité, sa mémoire, sa dignité et reprendre la maîtrise de son destin. Mais nous y arriverons; tous ensemble, débarrassés des cloportes qui sont à genoux devant cette idéologie qu’est l’islam…

Jetez un coup d’oeil là-dessus…
FDF

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Suite du billet précédent…

Mais avec un peu plus d’humour… On n’est pas des brutes; on est réalistes.

FDF

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Lire: 2015

De tout ça, on n’en veut pas !

Petit rappel des faits par PPS. Personne ne pourra dire:  » on ne savait pas »…

FDF

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Lire: Inquietant.Gar

Le cathoDique fait des miracles…

On peut pas savoir qui c’est, non? Je suis un peu « coincé » en ce moment…

FDF

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Montpellier : Un artisan offre 90.000 euros pour la construction de la future mosquée !

 

La communauté musulmane n’en revient toujours pas : un jeune artisan de la Paillade a offert 90.000 euros de dons vendredi dernier, pour la construction de la future mosquée de Montpellier. La raison ? Un débat sur l’avenir du quartier, diffusé la semaine dernière sur TV Sud Montpellier (ex-7LTV).

Un don hors du commun qui vient gonfler la cagnotte. Désormais, les fidèles disposent de près de 300 000 euros pour acquérir le terrain qu’ils lorgnent juste à côté de la mosquée actuelle.

« Il est venu, il a dit : “J’ai vu le débat, je veux vous aider”, et il a fait le chèque! » se réjouit encore L’Houcine Thari, le responsable de la mosquée de la Paillade. Ce qu’il nous faut maintenant, c’est que la ville accepte cette construction. L’argent n’est plus le problème. »