Francaisdefrance's Blog

11/02/2011

Désolé pour cette coupure innatendue…

J’ai honte…

Je vous ai laissés sans nouvelles depuis plus de quatre heures, maintenant.  Mais, comme on dit, c’est « indépendant de ma volonté », j’ai subi, comme il fallait s’y attendre, l’imparable « CENSURE« … Il y en a qui se sont plaints. Devinez qui??? Toujours les mêmes: les « heurtés », les « stigmatisés », les envahisseurs, quoi, et ceux qui les soutiennent.

Bon. J’ai après moultes batailles j’ai eu gain de cause et mon blog re-fonctionne. Comme quoi, les racistes ne sont pas toujours où on les dénonce…

En France, comme ailleurs en Occident, dire la vérité est INTERDIT! C’est un crime! Punissable par les lois Françaises! Mais la force de la Résistance est de ne pas s’arrêter à des conneries pareilles. Nous sommes chez nous et nous comptons y rester !

Je reprends donc mon travail d’information et pardonnez-moi encore. Enfin. Pardonnez leur… Il faudra bien un jour que leur travail de sape prenne fin. On s’y attelle…

FDF

Combien ça coûte de passer une frontière?

Eh bien, ça dépend où… Et, ce n’est pas une surprise, c’est en France que c’est le plus facile, le plus aisé, le plus favorisé… Si ça étonne quelqu’un… Ci-joint un petit PPS pour vous aider à comprendre…

FDF

Ici: combien-ca-coute-de-passer-la-fronti

Soins médicaux compassionnels pour les migrants…

Voici une excellente nouvelle. Payez, mes bons concitoyens, payez…

FDF

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Les clandestins bénéficieront gratuitement de chambres d’hôpital individuelles à Paris (alors que les non-clandestins devront verser un supplément tarifaire de 45 € par jour pour obtenir le même service) :

Dernière trouvaille en Alsace dans le même esprit compassionnel et charitable : l’Union régionale des médecins libéraux d’Alsace (URMLA) permettra bientôt à des migrants ne parlant pas français de bénéficier de consultations hospitalières auprès de 1 000 médecins en présence d’interprètes professionnels. Jusque-là, les étrangers non francophones se faisaient accompagner par un proche pour la traduction des consultations. La démarche était simple, personnelle et ne coûtait rien à notre région. Aujourd’hui, un budget de 8000 € est alloué pour couvrir les frais de cette expérimentation. On nous parle d’intégration, mais où est l’intégration si les étrangers sont assistés au point de n’avoir plus à apprendre notre langue ? Pour rappel, les immigrés ont droit aux soins médicaux gratuits grâce à la CMU. Ils se font déjà soigner aux frais du contribuable. Comment seront payés ces interprètes qui, tous réunis, traduiront plus de 30 langues ? Grâce à vos impôts, bien sûr ! Avec ce genre de pratique, nous entrons dans une ère de non-retour quant à l’échec de l’intégration des étrangers.

PHILIPPE BILGER SUR BRASILLACH : L’ANTI-KAPLAN***Blog-Notes N°71.

Je relaie, avec l’autorisation de l’auteur…

FDF

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Monsieur le Procureur Général Philippe Bilger est un homme très courageux. Il l’a prouvé. Nous savons maintenant, après avoir lu son livre « 20 MINUTES POUR LA MORT », qu’il est également capable de faire preuve d’une exceptionnelle impartialité.

Je ne possède pas « tout » ce qui a été écrit sur Robert Brasillach …mais presque !

Jusqu’à ce jour, je n’avais pu consulter que des hagiographies (Maurice Bardèche, Jean Madiran, Peter Tame…ou Anne Brassié), ou des traités de démonologie, dont Alice Kaplan (« Intelligence avec l’ennemi »)représente, par sa malhonnêteté et la haine sous-jacente à son propos, le paradigme.

Le livre de Philippe Bilger réussit la prouesse de n’être -ni pour Robert, ni contre lui : et cela, c’est parfaitement admirable.

Mais au-delà du « Procès Brasillach », l’auteur nous offre une réflexion sur la magistrature…et ses « complices » : les Avocats.(il écrit notamment, p153, « dans notre monde, magistrats et avocats…).

C’est surtout cela qui a retenu mon attention; d’autant plus que je me considère moi-même, à tort ou à raison, comme l’une des victimes de cette « corporation » – dans laquelle, je le répète, il convient d’inclure les « bavards ».

Le cas Reboul/Isorni, illustre parfaitement cette relation « particulière ».

Je n’ai pas connu le Procureur Marcel Reboul (il avait déjà quitté la rue Geoffroy-St-Hilaire, lorsque, dans les années 70, je commençais à fréquenter Lili Bisinger, l’ex-épouse de Jacques Isorni, qui avait conservé l’appartement au moment du divorce).

Par contre Lili et moi déjeunions, une fois par trimestre « Aux Deux soleils » (en face du Palais de Justice), avec Jacques Isorni, qui était intarissable sur le procès du Maréchal -mais beaucoup plus discret sur celui de Robert Brasillach…

J’avais rencontré, pour la première fois, Jacques Isorni (et Lili), en 1957, à l’occasion de la première de « La reine de Césarée », au Théâtre des Arts (aujourd’hui démoli).
Invitée par Isorni, ma mère, Jane Pagès, qui avait bien connu Robert, était venue tout spécialement de Rio de Janeiro (où mon père habitait depuis la « Libération », et où ma mère et moi l’avions rejoint en 1951).

Ce soir-là, je fus présenté à Xavier Vallat (que ma mère connaissait déjà), et qui illustre parfaitement le propos du Procureur Général Bilger sur l’antisémitisme de raison (ou d’Etat)(p 85), par opposition à l’antisémitisme « de peau »(ou « d’instinct »- parfois qualifié d’antisémitisme « clinique »)(p 91), du deuxième Commissaire Général aux Affaires Juives, Louis Darquier (dit « de Pellepoix », dit « Baron »), qui, rappelons-le mourut tranquillement en Espagne (sans être passé par la case « prison »), en 1980.

C’est Suzanne Bardèche (née Brasillach), la soeur de Robert, qui avait eu la malencontreuse idée de proposer à son frère de prendre Maître Isorni comme avocat. Elle s’en est voulu toute sa vie, puisqu’elle avait encore évoqué ce choix devant moi, rue Rataud, quelques mois avant sa mort.(elle est enterrée au cimetière de Charonne, aux côtés de son époux, presque en face de la sépulture de Robert).

En effet, Jacques Isorni était un vaniteux qui ne voulait jamais perdre une occasion de faire des effets de manche.
Or, ce qu’il fallait faire à cette époque, c’était de la « procédure » afin de retarder le plus possible, la date de Procès (et attendre que les esprits se calment un peu)-et les avocats « éclairés » qui ont utilisé cette tactique, ont généralement sauvé la tête de leur client.

Par ailleurs, dès la désignation de son « ami » et locataire (rue Geoffroy-St-Hilaire), du Procureur Général Marcel Reboul, il aurait dû proposer à Robert, de passer la main à un confrère.

Il n’en fut rien et « la joute oratoire », ou le « concours d’éloquence » (pour utiliser l’expression de Bernadette Reboul cf. « Entretien ») eu lieu, avec le résultat que l’on sait.

Jacques Isorni, rappela, du bout des lèvres, à Marcel Reboul « qu’à son Parquet, ils avaient fait quatre ans de collaboration », mais s’empressa d’ajouter : »Pour sauver, ce qui pouvait l’être »…(Petite phrase qui fut longtemps -jusqu’à Paxton- la « tarte à la crème » des anciens collaborateurs de Vichy).
Il évitera de rappeler que Marcel Reboul, avait, pendant l’occupation,
siégé au Tribunal Spécial de la Seine -et avait requis contre des résistants…

En réalité, tous les magistrats (du Parquet comme du siège) avaient, en application de l’Acte Constitutionnel N°9, en date du 14 août 1941, prêté serment de fidélité au Chef de l’Etat (le 2 septembre).

Tous, sauf un : Paul Didier, a qui il convient de rendre hommage.

Juge au Tribunal de la Seine, il fut suspendu, puis, plus tard révoqué; arrêté le 6 septembre 1941 et interné au camp de Chateaubriant.
Libéré en février 1942, et assigné à résidence, il rejoint la résistance.
A la Libération, il refusa toutes les promotions qu’on lui proposait.

Le Président Maurice Vidal avait donc, lui aussi, prêté serment. Cependant il ne semble pas s’être particulièrement « illustré » pendant cette période (et surtout, il n’a pas fait parti des « Sections spéciales »). La chambre qu’il présidait s’occupait, semble-t-il, des délits relatifs au marché « noir ».
Isorni n’avait donc pas la possibilité d’utiliser cet argument contre lui.

Mais c’est (selon Lili), pour ne pas embarrasser, ni Reboul, ni Vidal, que Jacques Isorni ne fit pas état de l’affaire « Bruhat »:

Quelques jours avant d’aller se réfugier dans la chambre de bonne de la rue de Tournon, Robert apprend l’arrestation du Professeur Georges Bruhat, Directeur-adjoint de la rue d’Ulm.

Il demande alors à ma mère d’intervenir en sa faveur, auprès d’Ernst Jünger (qu’elle avait rencontré lors d’une réception chez le Baron Empain, président du Métropolitain).

Nous nous rendons au Majestic, ma mère et moi (je reste en bas dans la voiture).
Jünger promet d’intervenir; mais il est malheureusement trop tard.

George Bruhat a été arrêté par la Gestapo de la rue la Pompe, dont le chef est un allemand, du nom de Friedrich Berger (qui mourra paisiblement chez lui, à Munich, en 1960).

Or, Berger, qui avait dirigé un « Bureau d’achat », au 14,rue du Colonel-Moll, avait été mêlé au fameux procès « du sucre », présidée par Maurice Vidal et où le ministère public était assuré par Marcel Reboul… (l’avocat de la défense étant Jacques Isorni).

A l’époque, le bar « américain » favori de maman était le Chantaco, situé à l’angle de la rue de Pompe et de la rue de Sontay (la petite amie du barman, Simone B. était une ancienne condisciple du Collège de Saint-Gaultier, dans le Berry),et Robert, maman et moi nous y rencontrions souvent, pendant que mon père vaquait à ses affaires.

Le Chantaco était à quelques mètre du 180, rue de la Pompe, et entre deux « séances de baignoire », ces messieurs venaient s’y rafraîchir.

Robert ne leur adressait jamais la parole, mais maman et moi les connaissions bien : à l’heure du déjeuner, ma mère jouait l’apéritif au « 421 » avec certains d’entre eux , et plus particulièrement avec jean-Baptiste Zimmer, dit « le professeur » qui, je l’appris plus tard, jouait du piano pendant les intérrogatoires.

Lorsqu’il était en retard, ma mère m’envoyait le chercher au 180, et j’ai donc bien connu le fameux salon violet, où se trouvait le piano.
Je dois dire que je n’y ai jamais rien vu de particulier (peut-être faisaient-ils une pause à ce moment-là); par contre, c’est là que j’entendis pour la première fois la Marche turque de W.A. Mozart.

Nous apprîmes plus tard, que c’est en fait le « Professeur » lui-même, qui avait dirigé l’interrogatoire de Georges Bruhat.

Aux questions de maman, il répondit que Bruhat n’était plus chez eux, et qu’il était parti pour l’Allemagne.

Par ailleurs, il était trop tard pour qu’il intervienne : quelques jours plus tard (le 17 août), Berger et toute son équipe quittait la rue de la Pompe pour Strasbourg.

Georges Bruhat mourut cinq mois plus tard au camp de Sachsenhausen.

Cet « esprit de corps » qui réglemente les rapports entre Magistrat et Avocats, perdure encore de nos jours : il imprègne tous le système judiciaire français.

La Police obéit aux ordres des Vice-Procureurs d’un Parquet qui, hier comme aujourd’hui, est « à la botte ».

Quant aux Magistrats, ils sont le plus généralement guidés par l’idéologie dominante (aussi « ignoble et nauséabonde soit-elle » p 153) et les Didier et les Bilger sont l’exception qui confirme cette règle.

Enfin, Philippe Bilger pose, dans son dernier chapitre, des questions tout à fait fondamentales, et en particulier une question que je me pose moi-même très souvent :

Si j’avais eu dix ans de plus, pendant l’occupation, aurai-je été résistant…ou milicien ?

Pour ce qui est du futur (à mon avis très proche), je pense quand même qu’il y a peu de chances que l’on me surprenne à collaborer avec l’occupant.

Jean-Pierre Pagès-Schweitzer
Directeur de l’Observatoire de l’islamisation de la France
et de l’Europe

Source: http://cafephilodedroite.blogspot.com/

L’obscur voile islamique qui recouvre notre 21e siècle…

Pas mal… A lire et re-lire.

FDF

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1- Le Pasteur Jones va juger le Coran. Nos médias vont donc dire qu’il est un « évangélique américain fondamentaliste ».

2- Deux églises incendiées en Indonésie. Tout le monde s’en tape. Le régime islamiste turc est lié au terrorisme. Le sujet est tabou.

3- Massimo Introvigne prend position sur les musulmans ‘modérés’ et ‘pas modérés’.

4- La chronique de Ulf Laessing, correspondant en Arabie saoudite de l’agence de presse britannique Reuters.

1- Je tombe aujourd’hui sur une information qui va faire grimper aux murs nos islamophiles de service. Le Pasteur Jones va juger le Coran, peut-on lire sur Nouvelles de France (extraits adaptés) : « Nous allons organiser le 20 mars prochain le ‘Jour de jugement du Coran’ (site). Cela s’effectuera de la même manière qu’un procès organisé aux Etats-Unis. Nous allons poursuivre le Coran qui est accusé d’inciter au meurtre, au viol, aux activités terroristes ainsi que d’être responsable de la mort de millions de personnes. Il y aura un juge, nous ne savons pas encore qui, il y aura également un jury composé de personnes ayant un bagage chrétien mais d’autres ayant également un passé musulman ».

Le Pasteur Jones : « Nous avons également un procureur, Monsieur Abaza, converti de l’islam au christianisme à un jeune âge et qui a été torturé (brûlé, battu et électrocuté) par son père et son frère à cause de sa conversion et emprisonné parce qu’il avait refusé de dénoncer sa foi chrétienne. Le Coran aura-t-il quelqu’un qui assurera sa défense ? Oui, il y aura un avocat de la défense. Nous essayerons tant que possible d’agir selon les formes régulières des tribunaux américains. Nous avons lancé un défi à la communauté musulmane, ils peuvent nous envoyer leur meilleur expert qui pourra assumer cette charge. Beaucoup de gens aux Etats-Unis disent que le Coran est un livre de paix, nous ne le pensons pas, nous pensons au contraire qu’il conduit à la violence ».

2- Un groupe de musulmans en Indonésie (pays mahométan le plus peuplé de la planète avec 200 millions de musulmans) a incendié deux églises et pillé une troisième lors d’affrontements avec la police, en réclamant la peine de mort pour un chrétien condamné pour blasphème de l’islam. Ce n’est qu’un fait divers comme il s’en produit tous les jours en terre d’islam. Et puis, de toute manière, le seul problème, c’est le Pasteur Jones. L’IHH turque, habituée à soutenir des groupes terroristes, entretient des liens étroits avec le gouvernement de l’AKP de Turquie. Le régime turc lui a ainsi fourni un soutien gouvernemental, y compris logistique et politique, pour la flottille du Mavi Marmara, vous savez, la satanée flottille pseudo-humanitaire pour Gaza, alias Hamastan (http://www.terrorism-info.org.il/malam_multimedia/fr_n/pdf/ipc_f161.pdf).

3- Béatrice Bohly, sur Benoît-et-moi a traduit un article de l’excellent Massimo Introvigne, article concernant les musulmans ‘modérés’ et ‘pas modérés’ (extraits adaptés) : « A proprement parler, il n’y pas de musulmans modérés. Parcourant en long et en large des pays à majorité musulmane, du Maroc à la Malaisie, je n’en ai jamais rencontré un. À l’inverse, en Italie, j’ai eu beaucoup de difficultés à rencontrer un musulman qui n’ait pas la prétention d’être ‘modéré’, au point que, quand j’en rencontre un qui nie ouvertement l’être, j’en arrive à le prendre en sympathie. Les musulmans vivant en Italie ont compris que pour vivre en paix chez nous et se faire inviter à des talk-shows à la télévision, ils doivent se présenter comme modérés. Par exemple, un membre des Frères musulmans se présentera comme ‘modéré’ à la télévision en Italie, mais n’utiliserait jamais ce mot en Egypte ou en Jordanie ».

Massimo Introvigne : « La faute n’en revient pas seulement aux musulmans. Une grande partie de la presse divise les partisans de l’islam en deux catégories : ‘terroristes’ et ‘modérés’. Non sans une certaine logique, de nombreux musulmans en concluent que s’ils ne s’auto-définissent pas ‘modérés’, ils seront étiquetés comme ‘terroristes’, avec toutes les conséquences que cela implique. Ainsi, si on décode son discours, un membre des Frères musulmans peut simplement tenter de tromper l’interlocuteur italien en se présentant comme ‘modéré’. Mais si cela signifie ne pas être un terroriste et n’avoir aucune sympathie pour Ben Laden – même s’il en a pour le Hamas – ce n’est pas, à proprement parler, un mensonge. Le phénomène potentiellement le plus trompeur est la présentation comme ‘musulmans modérés’ d’intellectuels qui sont modérés, mais ne sont pas musulmans ».

Massimo Introvigne : « Certains de ces intellectuels pourront être de très intelligents observateurs de la réalité musulmane, nationale et internationale, de bons journalistes, des consultants précieux : mais ce ne sont pas des ‘musulmans modérés’ parce qu’ils n’atteignent pas le niveau d’orthodoxie et l’orthopraxie minimum pour les définir comme ‘musulmans’. Ainsi – même si l’islam n’a pas de pape pour le certifier, mais pas non plus pour certifier le contraire – ne sont pas musulmans ceux qui ne croient pas dans le caractère divin du Coran et ne pratiquent pas les droits fondamentaux de la foi, qui, dans une religion sans hiérarchie et sans une théologie partagée sont plus réglementés que dans le catholicisme : alors qu’il y a des ‘catholiques non-pratiquants’, il est difficile de concevoir des ‘musulmans non-pratiquants’ dans le sens où ils ne prient ni ne pratiquent le jeûne ».

4- Ulf Laessing, correspondant en Arabie saoudite pour l’agence de presse britannique Reuters, écrit (extraits adaptés) : « Si l’Arabie saoudite craint une possible contagion des soulèvements populaires en Tunisie et en Egypte, elle redoute plus encore que l’effacement du président Hosni Moubarak lui fasse perdre un allié clé dans ses efforts pour contenir l’influence croissante de l’Iran au Moyen-Orient. Disposant de caisses débordant de devises, le premier exportateur mondial d’or noir est en mesure de distribuer à l’envi ses pétrodollars pour apaiser d’éventuelles tensions sociales et désamorcer ainsi toute révolte sociale. Mais la monarchie wahhabite assiste avec inquiétude à ce qui apparaît comme un « lâchage » dans les formes par les Etats-Unis du chef de l’Etat égyptien qui, tout comme les souverains qui se sont succédé sur le trône, a été depuis trois décennies leur allié fidèle dans la région ».

Ulf Laessing : « « Les Saoudiens sont préoccupés par ce qu’ils considèrent comme la faute diplomatique des Etats-Unis consistant à paraître lâcher trop facilement Moubarak », comme ils l’avaient fait, il y a plus de 30 ans, avec le Shah d’Iran, note Simon Henderson, observateur des affaires saoudiennes basé à Washington. Ryad, qui partage la crainte de Washington de voir Téhéran se doter de l’arme atomique, a dû se résigner à être privé d’un allié de poids contre l’influence croissante de l’Iran chiite dans la région, maintenant que Moubarak a accepté sous la pression de la rue de ne pas briguer un nouveau mandat. « Coupez la tête du serpent », avait déclaré au général David Petraeus, chef des forces américaines dans la région, le roi Abdallah d’Arabie saoudite au sujet de l’Iran, selon Adel al Djoubeïr, ambassadeur d’Arabie à Washington. La monarchie wahhabite, gardienne des lieux saints musulmans de La Mecque et Médine, se présente comme le bastion du sunnisme face à l’influence croissante de la branche religieuse rivale chiite ».

Ulf Laessing : « Elle craint que l’effacement imminent ou dans les huit mois qui viennent de Hosni Moubarak ne conduise à une période d’incertitude et d’instabilité durable en Egypte, qui lui ferait supporter l’essentiel des efforts de résistance à l’influence iranienne, souligne le politologue saoudien Tourad al Amri. Ryad s’inquiète de voir maintenant des pays comme la Turquie et l’émirat du Qatar, qui entretiennent de bonnes relations avec Téhéran et sont en quête d’un plus grand rôle régional, combler le vide diplomatique laissé par le pays arabe le plus peuplé (ndmg – l’Egypte, 80 millions d’habitants, musulmans à une écrasante majorité), explique un diplomate en poste dans le Golfe. Ryad devra alors rechercher d’autres alliés pour remplacer l’Egypte au sein de l’axe anti-iranien qu’elle anime. Ne pouvant compter sur la Syrie et le nouvel Irak, qui entretiennent des liens solides avec l’Iran, elle pourrait jeter son dévolu sur la Jordanie ».

Ulf Laessing : « Selon l’analyste américain Barak Barfi, l’Arabie pourrait décider d’accroître son aide au royaume hachémite, autre bastion du sunnisme, lui aussi en proie à des manifestations de rue, où les islamistes jouent un rôle moteur. Les bouleversements actuels dans le monde arabe surviennent à un moment délicat pour la monarchie saoudienne. Âgé de 87 ans, le roi Abdallah est souffrant et a encore subi en décembre un traitement médical. Le prince héritier Sultan, presque aussi âgé, est également en mauvaise santé. Leur frère le prince Nayef, ministre de l’Intérieur, est un possible successeur. Le roi a mis sur pied un conseil royal pour régler les problèmes de succession. Si on ignore comment celle-ci se déroulera, il est certain que le trône va échoir in fine à une nouvelle génération princière ».

Ulf Laessing : « Abdallah a été l’un des rares dirigeants arabes à exprimer ouvertement son soutien à Moubarak. Ce soutien « instinctif » traduit à quel point la diplomatie saoudienne est dépendante de relations personnelles éprouvées par le temps. Les princes Sultan, Nayed et Saoud al Fayçal, chef de la diplomatie, ont eu, eux aussi, affaire de longue date à Moubarak. Pour ces tenants de l’ordre établi arabe, les appels des Etats-Unis à un « changement immédiat » en Egypte, sonnent comme un avertissement. « Si les Etats-Unis poussent au changement en Egypte, la famille royale saoudienne sentira très bientôt la pression sur elle », prédit Asma Alcharif, professeur de science politique à l’université américaine de Beyrouth ».

Conclusion – Primo, il faut cesser d’appréhender, d’une part, l’islam en terre d’islam ; et d’autre part, l’islam en Occident. Car il s’agit, dans les deux cas, du même islam et du même coran. Le discours islamophile ne changera rien à cette réalité. Secundo, en Occident, l’islam doit respecter l’ordre constitutionnel et laïc. Les zones de non-droit sont à remettre au pas, par la force légale et par le droit. Tertio, l’alliance de l’Occident avec tel ou tel pays musulman, cette alliance doit être considérée comme une alliance tactique à court terme, même si elle est renouvelable pendant un certain laps de temps.

Quarto, l’Occident doit admettre, une bonne fois pour toutes, que l’islam est imprévisible ; et que par conséquent, la stratégie globale à moyen et long terme de l’Occident, face à l’islam, reste, essentiellement, un ensemble de tactiques à court terme, modifiables à tout instant. Quinto, l’Occident a tout intérêt à maintenir un équilibre des forces entre islam sunnite et islam chiite. Et si les deux branches de l’islam, la branche sunnite et la branche chiite sont en guerre, l’Occident doit apprendre à en tirer profit.

Car le temps que ces deux branches consacrent à se combattre signifie un temps de répit pour l’Occident. Cette stratégie en cinq points ne poserait aucun problème à l’Occident, s’il s’agissait de l’appliquer à une forme contemporaine de fascisme ou de national-socialisme. Il n’y a donc aucune raison de ne pas appliquer cette stratégie au monde musulman, aussi longtemps que celui-ci restera un obscur voile islamique qui recouvre notre 21e siècle.

Source: Michel Garroté (source : drzz)

Les « faux-culs » ont la trouille…

« Une fatwa visant à protéger les chrétiens »? C’est antinomique, ça! Les fatwas, c’est en général fait pour bouziller du chrétien, non? Nous n’avons pas besoin de leurs conneries de fatwas pour nous protéger d’eux. Ils veulent nous envahir et maintenant nous protéger… Nous connaissons maintenant très bien leurs points faibles (et leur fourberie qui est un des « piliers de l’islam »).Ils ne vont pas nous faire croire qu’ils sont même prêts à se convertir au christianisme, des fois?

Cherchons plutôt où est le piège…

FDF

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Des voix musulmanes s’élèvent à Rome en faveur du dialogue!

Un projet de fatwa visant  à protéger les chrétiens, un appel à réformer l’islam de l’intérieur : autant de signes encourageants pour la poursuite d’un dialogue difficile…

Libanais musulman sunnite, Mohammed Sammak fut conseiller pour les affaires islamiques de deux premiers ministres de son pays. Il est aussi secrétaire général du Comité islamique permanent au Liban. Côté catholique, Benoît XVI l’a convié à s’exprimer au récent Synode pour le Moyen-Orient, en octobre 2010. 

C’est donc riche de ces expériences qu’il a confié, à Rome, que l’ancien premier ministre libanais Saad Hariri, horrifié par l’attentat d’Alexandrie, lui avait demandé de réfléchir à une fatwa protégeant les chrétiens en terre musulmane.

Le texte est désormais prêt, depuis trois semaines : « Il affirme que, selon la charia, blesser un chrétien équivaut à blesser un musulman. Et qu’attaquer une église revient à attaquer une mosquée », explique Mohammed Sammak.

«L’interprétation des textes doit pouvoir être relative»

Cependant, bien qu’il assure que ce texte ait fait l’objet d’une large concertation parmi les responsables islamiques « en Égypte, en Arabie saoudite, en Jordanie, en Palestine, en Syrie », il n’a pas encore pu être promulgué : « À deux reprises, en raison des événements, j’ai dû annuler mon voyage au Caire, où les autorités d’Al-Azhar devaient donner leur accord », regrette Mohammed Sammak, qui veut minimiser l’annonce, par Al-Azhar, de la rupture du dialogue avec le Saint-Siège : « C’est un malentendu, résultant d’une tension interne à l’Égypte, où le pouvoir, qui avait des difficultés à gérer les suites de l’attentat d’Alexandrie, a voulu se défendre contre de supposées ingérences étrangères. »

Une initiative sans doute à raprocher du texte mis en ligne par des intellectuels gravitant autour de l’université Al-Azhar, et appelant à une véritable Réforme musulmane. Parmi les pistes de travail proposées : le réexamen des hadith (les paroles attribuées au prophète Mohammed et des commentaires coraniques) ; la révision de certains termes du vocabulaire politico-religieux islamique, comme par exemple la Gizyah, qui régit les droits et devoirs des dhimmis (non-musulmans) ; travailler le concept de mixité entre les sexes ; envisager une rénovation du droit du mariage ; préciser le concept de djihad…

« Comment traiter les textes sacrés ? Pour nous, ils sont sacrés, permanents et absolus, explique Mohammed Samma. Pour autant, leur interprétation doit pouvoir être relative. Nous devons encourager les intellectuels musulmans à ne pas être esclaves des interprétations antérieures. »

 

source : la-croix

Terrorisme islamique. N’oubliez jamais…

Images dure mais réelles. Et dire qu’ils peuvent recommencer à tout moment… Et dire qu’ils vont oser construire une mosquée à proximité. Provocation pure et simple. Et dire qu’on les laisse faire…

FDF

Voir ce PPS: Never Forget-dc-031

Lille, capitale de l’islam radical !

Où l’on apprend, entre autre, qu’il existe une « Ligue islamique du Nord »… Je parie que l’on interdirait la création d’un « Ligue anti-islamisation de la France »…

FDF

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eric_dilliesCommuniqué de presse d’Éric Dillies, secrétaire départemental du FN Nord-Flandre, conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais


D’après l’Observatoire de l’islamisation, le Grand Mufti de Jérusalem, Cheikh Ikrima Sabri, sera l’invité d’honneur des Rencontres annuelles des musulmans du Nord, organisées par l’UOIF et la Ligue islamique du Nord, le 19 février 2011 au Grand Palais.

Sera également présent le défenseur de la lapidation des femmes, l’ineffable Tariq Ramadan.

Tout ce beau monde sera-t-il réuni, comme les années précédentes, sous le patronage de Martine Aubry ? En effet, cette dernière, outre une multitude de services rendus aux communautaristes musulmans [1], participe régulièrement à cette manifestation annuelle afin d’apporter son soutien aux membres de l’UOIF et de la Ligue islamique du Nord.

Dans tous les cas, il faudra qu’elle nous explique si elle cautionne les diatribes anti-judaïques et les appels constants au djihad du Grand Mufti de Jérusalem.

A noter, par ailleurs, que le Grand Palais est détenu par une Société d’Economie Mixte (SEM) dont la mairie de Lille est actionnaire à 61 %. Que cette structure accueille le congrès de L’UOIF est une chose qui peut se justifier au nom du pluralisme politique et de la liberté d’expression. Mais si Martine Aubry s’y rend cette année, en présence du Grand Mufti de Jérusalem, ce sera alors un message politique clair envoyé à la société française.

Enfin, comment expliquer que le Ministère de l’Intérieur ait délivré un visa à ce prêcheur de haine ? Tout cela démontre la duplicité de l’UMPS et sa politique de collaboration avec l’islamisation de notre pays.

Plus que jamais, le Front National, face à une classe politique prête à toutes les compromissions, est la seule force de résistance nationale.

[1] Tels que des horaires d’ouverture de piscine réservés aux femmes.

Source: NP Info Nord-Pas-de-Calais

La schtroumpfette au bain…

Vous la connaissez tous et toutes, cette photo? Ca ne sort pas d’une bande dessinée de Peyo…

Ça se passe dans le nord de la France !!!!!  Et c’est une réalité !!!

FDF

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C’est une musulmane en « bourkini » au Pays de Martine Aubry…


Le samedi après-midi, à partir de 14 h, la piscine est réservée uniquement aux femmes musulmanes à Gand Saint-Amand, personne d’ autre ne peut rentrer.  Même les caissières sont musulmanes !
Certaines de ces femmes sont dans la grande piscine et ceci avec leurs vêtements …. Pas de douche au préalable ! Ce n’ est pas une blague, c’est du vécu !
Mes petits-enfants… eux, ne peuvent pas aller dans la piscine en short de natation ou en bermuda, car c’ est anti-hygiénique !
Et ils nous disent qu’ on est racistes et qu’ ils sont français depuis au moins 3 générations. Mais au fait, c’ est pas si vieux que ça, rappelez-vous ……… étaient-ils habillés comme ça il y a 30 ans ???? Non, hein ? On s’est compris…

Le numéro 12 (février 2011) de Nations Presse Magazine vient de paraître.

Bonne lecture.

FDF

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Lire: http://npmag.info/l.php?uuid=80c056ddcb2d59de80c7cfe9feec50c8

L’islamiste Doku Umarov prédit une année de « sang et de larmes » pour la Russie.

Il devrait se planquer sérieusement, ce con… Poutine. Vite !!!

FDF

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Le terroriste suspecté d’être à l’origine de l’attaque de l’aéroport de Moscou en janvier dernier a livré une vidéo menaçante sur Internet. Il prédit une année de « sang et de larmes » pour la Russie.

Dans une vidéo postée dimanche sur un site pro-rebel, l’islamiste Doku Umarov suspecté d’être à l’origine de l’attentat de l’aéroport de Moscou, prédit une année d’attaques contre la Russie, rapport lundi la chaîne CNN.  

Vêtu d’une tenue de camouflage et entouré de deux hommes armés, l’auto-proclamé Emir du Caucase du Nord annonce devant la caméra une année de « sang et de larmes » pour la Russie.

« Chaque mois, voire chaque semaine »

Au moins une « cinquantaine de rebelles » se tiendraient prêts à l’attaque. Des opérations pourraient être conduites « chaque mois, voire chaque semaine », menace le djihadiste en ajoutant: « Je souhaite que Poutine et Medvedev ainsi que tous les ennemis comprennent que plusieurs d’entre nous sont prêts à suivre notre voie et à donner leur vie pour Allah », ajoute-t-il.

Doku Umarov figure en haut des listes des suspects de l’attentat du 24 janvier, à l’aéroport de Moscou. Une femme-kamikaze avait été directement reconnue responsable de l’attaque. La télévision d’Etat russe avait précisé que la terroriste était droguée au moment des faits. L’attentat de Moscou avait causé la mort de 36 personnes.

La vidéo postée dimanche ne permet toutefois pas d’affirmer qu’Umarov est lié à cette attaque, précise encore CNN. Le terroriste nie même cette accusation dans son message avant de formuler ses menaces.

LeMatin.ch & les agences