Francaisdefrance's Blog

20/02/2012

Maldives: entre niqab et naïades sur les plages…

Le choc de la civilisation avec une idéologie rétrograde. Les Maldives, ce n’est plus ce que c’était. L’islam est passé par là…

FDF

C’est haram, aux Maldives ?

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La face cachée du paradis des Maldives

Les touristes et les habitants gagnés par l’islamisme radical vivent dans deux mondes cloisonnés.

Le paradis maldivien a son envers. Au dos de la carte postale, on pourrait dresser la liste de tous les défis du XXIe siècle, concentrés dans un petit État de 330.000 habitants et de 1192 îles, dont 200 habitées: grand écart entre riches et pauvres, corruption, choc des civilisations, montée de l’islamisme radical, réchauffement climatique, jusqu’à la piraterie…

Contrairement à un autre paradis pour touristes occidentaux, les Seychelles, territoire vierge peuplé au XVIIIe siècle par des colons français, les Maldives ont toujours été habitées. D’abord bouddhistes, ses habitants ont été convertis à l’islam, sans doute au XIIe siècle. Les quelque 900.000 visiteurs annuels qui louent des chambres à 200 euros minimum le savent à peine. Dirigés directement de l’aéroport de Malé, la capitale, vers leur «île hôtel», ils ne rencontrent de maldivien que les serveurs, les femmes de chambre, ou encore celles qui balaient la plage au petit matin.

Frustrations sociales

Le gouvernement veille à ce que les deux populations vivent dans des mondes séparés. L’accès des îles habitées est sévèrement réglementé, le logement chez l’habitant interdit. Les Occidentaux peuvent boire de l’alcool, pas les Maldiviens. L’islam est la seule religion acceptée, les autres sont interdites.

Les visiteuses se prennent des bains de soleil en maillots deux pièces, pas les Maldiviennes. Celles-ci sont fouettées si elles ont des relations sexuelles hors mariage, méthode défendue encore récemment par le gouvernement devant la responsable des droits de l’homme de l’ONU. Les touristes appartiennent aux classes aisées, les Maldiviens se trouvent en général au bas de l’échelle sociale. Le chômage et la drogue sont les deux principaux problèmes de l’archipel.

Les islamistes intolérants ont sans doute puisé dans ces frustrations sociales pour promouvoir une religion encore plus rigoriste. Depuis quelques années, des étudiants vont étudier dans les pays du Golfe ou au Pakistan, souvent grâce à des bourses versées par ces pays, et en reviennent avec des idées extrémistes.

Dans l’autre sens, des prêcheurs pakistanais ou saoudiens sont venus répandre un islam agressif. En 2007, une première alerte avait fissuré l’image idyllique du petit État. Un attentat à la bombe avait blessé 12 touristes de passage dans la capitale.

Des bouddhas détruits

Le coup d’État virtuel du7 février dernier est dû à une alliance entre les forces de sécurité et le parti islamiste Adhaalath, qui soutient le nouveau président. Cette formation avait déjà fait parler d’elle en obtenant brièvement la fermeture des spas dans les hôtels, lieux de débauche supposés.

Mardi, dès la démission du président Mohammed Nasheed, des hommes ont voulu signifier l’avènement d’une nouvelle ère. Ils ont fait irruption dans le Musée national et ont détruit des bouddhas de calcaire et de corail, inestimables témoins du passé bouddhiste de l’archipel.

Le parti islamiste a condamné le saccage, mais refuse dans le même temps le cadeau de trois œuvres bouddhistes ­offertes en novembre par l’Inde, le Sri Lanka et le Pakistan. Cette fureur représente une nouvelle victoire pour le ­courant le plus extrême de l’islamisme, celui des talibans ou des militants saoudiens.


Des élections anticipées

Le président déchu des Maldives, Mohammed Nasheed,  a salué la tenue d’élections anticipées sur l’archipel,  sans toutefois annuler un rassemblement de ses partisans organisé vendredi pour appeler  à la démission de son successeur. L’élection présidentielle devait avoir lieu en octobre 2013.  

Mais la date du scrutin a été avancée et a été acceptée  par le nouveau chef de l’État, Mohammed Waheed, une semaine après qu’il ait pris  le pouvoir aux Maldives dont l’ancien président a affirmé avoir été évincé par un coup d’État.  Cet archipel est en proie  à une crise politique émaillée de violences, après la démission le 7 février de Mohammed Nasheed, dans la foulée, d’une mutinerie  de policiers et de semaines  de manifestations d’opposants.

Source: http://www.lefigaro.fr/

13/02/2012

La supercherie de l’islamisme « modéré »… Certains en ont pris conscience.

Photo d’illustration

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Beaucoup d’entre nous le pensent, le disent et sont « punis » pour ça…

Mais quand c’est un journal comme El Watan qui informe sur le sujet…

Nos idées concernant l’islam se renforcent. Vous pouvez devez faire suivre.

FDF

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L’islamisme «modéré», une supercherie

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« Après d’autres contrées du monde, le vent du changement souffle sur notre région (tunisie) en emportant d’inamovibles despotes.

Mais, au final, les fruits furent cueillis par des malins, tapis dans l’ombre, spoliant les vrais acteurs des révoltes. Pour nous faire avaler la pilule, les bénéficiaires se présentent comme des islamistes «modérés» : l’issue de la  «Révolution du jasmin» est bien déroutante.Alors qu’au début de l’année 2011 le soulèvement des Tunisiens fut salué avec enthousiasme, aujourd’hui on est en droit de se poser quelques questions.

– Existe-t-il un islamisme «modéré» comparé à l’intégrisme salafiste ?
– L’islamisme est-il l’inévitable successeur des régimes autocratiques musulmans ?
– La théocratie est-elle compatible avec la démocratie ?

Le Printemps des peuples arabisés d’Afrique du Nord semble tourner en un rude hiver islamiste, à l’image de celui en vigueur dans les monarchies arabes du Golfe. Néanmoins, dès leur victoire, les heureux gagnants s’efforcent de montrer des visages apaisants, en jurant de respecter le jeu démocratique. Pour se donner bonne conscience, ils se comparent aux démocrates-chrétiens, en ayant comme mentor le Premier ministre turc. Mais ces promesses peuvent n’être que des ruses de guerre.
En effet, les islamistes tunisiens font profil bas, car ne disposant pas de rente pétrolière, ils sont minoritaires (41%) et dépourvus d’expérience dans la gestion d’un Etat, tandis que la durée du mandat à l’Assemblée constituante est limitée à un an. L’attitude de M. Ghannouchi est semblable à celle d’un loup caché sous la peau d’une brebis ayant emprunté le train de la Révolution en compagnie de deux naïfs agneaux. Le temps révélera qui aura dévoré l’autre, mais cela concerne le peuple tunisien.

Les sociaux-démocrates vivent sous des lois garantissant la séparation de la religion de la politique. Leur doctrine s’inspire peut-être de l’esprit du christianisme, mais pas de la lettre : aucun d’entre eux ne commence son discours par la formule rituelle  «Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit». Alors que le moindre speech des adeptes de l’islamisme politique débute par la formule : «Au nom d’Allah, le Clément, le Miséricordieux». A croire que ces individus représentaient Dieu et non leur parti ou que leur prose politicienne était des versets du Saint Coran. Quant au parti turc, l’AKP, il n’est pas encore un parti islamiste intégriste pour plusieurs raisons, entre autres le poids de l’armée qui l’a dissous à plusieurs reprises, la Constitution qui exige les 2/3 des voix pour être modifiée, les traditions héritées d’Atatürk, la demande d’adhésion à l’Union européenne.

Une fois ces obstacles surmontés (y compris le refus de l’UE), ce parti montrera son vrai visage en réactivant l’Empire islamiste ottoman. Ce rôle de leadership est déjà visible dans l’attitude de ces dirigeants envers les changements qui s’opèrent dans la région et même dans le conflit qui les oppose à la France, en devenant les «tuteurs» de l’Algérie (comme au temps des janissaires). L’islamisme «modéré» semble être une posture, en attendant la réunion des conditions pour l’application intégrale de la charia. Mais cette doctrine est-elle inévitable après l’écroulement des dictatures ?

En cas d’élections démocratiques dans nos pays, une bonne partie de la population opte pour un régime théocratique. Cela s’est vérifié en Algérie en 1990 et 1991 et confirmé récemment dans les pays voisins. En fait, c’est l’autoritarisme qui enfante l’islamisme, car tout débat politique contradictoire est proscrit. Seuls les prêches religieux sont permis et même encouragés lorsqu’ils servent le régime en place. Les adeptes de l’islamisme politique optent pour des associations religieuses pour créer leurs réseaux de relations et défendre discrètement leurs idées en attendant des jours meilleurs.

A l’ouverture du champ politique, ils sont prêts à créer leur parti en profitant de la logistique et de l’expérience associative, alors que la majorité de la population est prête à recevoir le discours religieux, auquel elle était déjà habituée. En revanche, «démocratie», «droits de l’homme», «justice sociale»,  «lutte des classes», etc. sont des termes étrangers, car ne faisant pas partie du vécu des populations ; le politicien auteur de ces propos sera perçu comme un être corrompu par l’Occident, alors que celui qui emploie un discours religieux aura un cachet d’authenticité et une respectabilité due aux personnes qui citent les textes sacrés. En cas de vote, le choix est vite fait…

A première vue, tout plaide pour les partis islamistes, mais en approfondissant le sujet, des insuffisances apparaissent :

1. Perversion de la religion qui est extirpée du domaine du désintéressement et du sacré et qui sera exposée dans le souk profane de la lutte pour le «koursi» (fauteuil). L’islamisme politique banalise l’Islam en le réduisant aux seules apparences : habillement, barbe, pastille sur le front, langage, etc. Cette pratique superficielle n’arrive même pas au premier palier de notre religion définie ainsi par les sages du soufisme : «Islam» (soumission à Dieu, le second étant la «Foi» et le dernier l’«Excellence»).

2. Sclérose de l’individu par l’inquisition religieuse qui l’empêche de s’épanouir en développant sa propre personnalité afin d’atteindre le stade de l’«Individuation», définie par le psychanalyste C. G. Jung (l’équivalent de l’«Excellence» par la voie du soufisme). Il se soumit en apparence à l’ordre régnant, alors qu’au fond de lui-même, il privilégie une réaction opposée. Pour l’exemple : de 1981 à fin 1982, l’auteur de ces lignes vécut dans la ville sainte de Médine, en Arabie. Dans ce royaume à régime théocratique, la religion était omniprésente, alors que la religiosité fut absente des cœurs de la majorité des autochtones. On constate le même phénomène dans notre pays : dans les années 60 et 70, l’Islam de nos ancêtres était très tolérant, alors que les vices furent rares ; aujourd’hui, l’Islam new look envahit toute la société, mais celle-ci est davantage pervertie (saleté, mensonge, traîtrise, ruse, vol, viols, corruption, hogra, etc.).

3. Morcellement des sociétés et des pays en privilégiant, ce qui divise au lieu d’encourager ce qui unit les êtres humains. Au sein d’un même peuple, l’intolérance commence avec l’aspect extérieur : s’il ne correspond pas à la norme en vigueur, le récalcitrant est rejeté, voir agressé et même éliminé, comme le furent, chez nous, certaines femmes pour des considérations vestimentaires ; bien évidemment, tous les partisans des autres religions sont considérés comme des mécréants bons pour rôtir en enfer : ce qui a pour effet d’encourager le fanatisme des victimes. L’extrémisme des sionistes est pour beaucoup dans le développement de l’intégrisme islamiste. Ce dernier ne risque-t-il pas de réveiller l’intolérance des chrétiens, voire des bouddhistes ?

Assurément, les seuls gagnants de la théocratie sont les politicards dépourvus d’idées, incapables de proposer des solutions viables afin de répondre aux défis qui se posent à leur société. Ils ne servent pas la religion, mais s’en servent pour accéder au pouvoir ou s’y maintenir. Toutefois, l’Islam politique est moins nocif pour un royaume (le monarque étant le «Commandeur des croyants», le «Gardien des lieux saints», etc.) que pour une République. Dans cette dernière, le bulletin de vote démocratique est un aller sans retour pour se rendre en théocratie : l’exemple iranien est là pour en témoigner. Une société régie par la religion est l’apanage des seuls prophètes : des êtres d’exception ayant un lien direct avec Dieu.

La théocratie est pour le commun des mortels une utilisation névrotique de la religion à des fins politiciennes : les islamistes dits «modérés» en font un emploi raisonné, calculé, leur mot d’ordre est «harb khidaâ» (le combat est traîtrise). Pour eux, tous les moyens sont bons pour arriver à leur but : c’est pour cela qu’on serait tenté de les appeler les «Frères hypocrites» ; les salafistes sont plus sincères en divulguant au préalable les règles du jeu : «démocratie kofr (impie), la mithaq, la doustour» (pas de charte, pas de Constitution), etc. Ils font un usage passionnel de la religion, croyant qu’eux sont parfaits alors que les autres sont des mécréants à redresser ou à exterminer. Ces comportements sont étrangers à nos traditions (rappelons que les maîtres à penser des premiers sont égyptiens, ceux des seconds saoudiens). Si les salafistes avaient consulté nos sages des zaouïas, ils auraient appris que l’être humain n’est jamais parfait, car la perfection n’est qu’une direction d’orientation, tandis que le vrai djihad consiste à combattre le «taghout» (le «nafç» ou ego) qui est en nous-mêmes. Après tout, nous ne sommes que des petits (ou des vieux) cons et des mortels ; seul Allah est vraiment Grand : Lui est parfait et éternel.

Pour préserver la pureté de la religion, il faut l’éloigner des jeux politiciens, comme stipulé dans notre Constitution de 1996, surtout que les islamistes ne favorisent pas la démocratie, car celle-ci est à l’opposé de la théocratie : les résolutions de la première émanent des recommandations (changeantes) du peuple, ici-maintenant ; celles de la seconde proviennent des textes sacrés (figés), révélés dans les temps anciens. La démocratie est avant tout un état d’esprit qui consiste à accepter l’avis d’autrui, même s’il est opposé au sien : c’est le début de l’«Individuation»  ou de l’«Excellence».

Dans nos pays sortis de la dictature, nous sommes tous, à des degrés divers, des despotes forgés par la pensée unique : chacun pense détenir la vérité. C’est ce qui explique la prolifération des partis politiques qui ne divergent guère par leurs propositions, mais par les egos de leurs chefs. En fait, nous sommes en apprentissage de la démocratie, un exercice utile afin de sortir du sous-développement mental occasionné par les régimes oppresseurs.

Le fleuve des révolutions des jeunes les plus évolués fut détourné par des éléments les plus rétrogrades de la société qui aspirent à un retour vers le lointain passé. Pour se donner quelque crédibilité, les gagnants se présentent en islamistes «modérés», alors que leur objectif caché est l’instauration de la théocratie. Cette dernière n’est qu’une dictature qui pervertit la religion et l’individu, tout en divisant la société et les pays. Les seuls gagnants de cette supercherie sont les politiciens dépourvus d’idées qui instrumentalisent les textes sacrés pour assouvir leur instinct de domination d’autrui. Pour les dissuader de concrétiser leur pathologie, il est préférable d’assigner l’utilisation de la religion aux seuls vrais religieux qui servent Dieu avec abnégation et sincérité. Quant à ceux qui veulent faire de la politique, qu’ils optent pour le jeu démocratique en divulguant leur programme pour assurer le développement de leur pays.         

Source: http://www.elwatan.com/

30/01/2012

A l’intention de « monsieur » Thierry.A.

1945: la France réglait ses comptes avec les collabos. Photo d’illustration, bien sûr…

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Ceci est à l’intention de « monsieur Thierry.A », celui qui a cru me faire peur en m’informant qu’une plainte allait être déposée à mon encontre pour « incitation au meurtre ». Vous n’avez pas du jauger la portée de vos menaces. Moi si…

Si vous ne dénoncez pas ce qui suit, c’est vous qui allez au delà de gros ennuis. Je m’en charge, épaulé en cela par de nombreux patriotes et résistants dont vous n’avez pas l’honneur de faire partie et ce n’est que justice. Ne nous dites pas que ces appels au meurtre de chrétiens en France vous étaient inconnus… J’irais même jusqu’à penser que vous « travaillez » main dans la main avec ce genre d’officines nauséabondes. Et dire que vous en tirez satisfaction…

Elle est belle, NOTRE France.

Avec tout mon profond mépris.

FDF

Aux Résistants: j’ai noté que chez Forsane Alizza, ils avaient fait du nettoyage en effaçant bon nombre de commentaires d’appels à la violence et au meurtre de chrétiens en France de la part de leurs fanatiques lecteurs. Mais comme dit le « fameux » Alain A. « on a fait des copies d’écran »…

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Appel aux meutres de chrétiens et des juifs en France sur le site islamiste Forsane Alizza

forzanne.JPG

Source: http://www.forsane-alizza.com/islam/creation-dun-tribunal-islamique-en-france-prochainement-sharia4france-22328

Via: http://marie-masson-gaechter.over-blog.com/

26/01/2012

Nazisme et islamisme: encore des coïncidences…

Des preuves historiques irréfutables, en fait…

Si c’est ce que vous voulez revivre; moi pas.

FDF

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http://youtu.be/HdsnTLvHu6w

17/01/2012

Provocation à la discrimination raciale envers les roms: France Télévisions blanchie !

Wesh wesh! C’est pas nous, m’sieur !

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Bonne nouvelle assortie d’un message clair: tout le monde le sait, il ne faut pas le dire. Roms et racaille ne sont pas incompatibles. Beaucoup de leurs victimes peuvent témoigner.

A quand une jurisprudence de telle sorte pour la relation entre racaille et « jeunes issus de l’immigration »? C’est pareil: tout le monde le sait (surtout ceux qui les côtoient de près) mais il est INTERDIT de le dire. On va se gêner, tiens!

Des témoignages seront faciles à trouver…

FDF

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Le groupe avait été condamné en appel pour avoir fait l’amalgame entre les Roms et la délinquance dans l’émission « C dans l’air ».

France Télévisions, qui avait été condamnée en juillet 2010 par la cour d’appel de Paris pour provocation à la discrimination raciale envers les Roms, a été blanchie par la Cour de cassation, selon un arrêt consulté mercredi par l’AFP. France Télévisions était poursuivie pour l’émission C dans l’air diffusée en février 2005 sur France 5 et consacrée à la délinquance parmi les gens du voyage. Intitulée « Délinquance, la route des Roms« , l’émission était accusée par des associations de Roms, le Mrap, la Licra et la Ligue des droits de l’homme, d’avoir fait « l’amalgame entre les Roms et la délinquance« .

En mai 2009, le tribunal correctionnel de Paris leur avait donné raison et avait condamné l’ancien PDG de France Télévisions, Marc Tessier, à 5 000 euros d’amende et Yves-Marie Laulan, qui était intervenu dans l’émission en sa qualité d’expert des questions démographiques, à 3 000 euros d’amende. Les deux hommes avaient, en outre, été condamnés à verser des dommages et intérêts aux plaignants.

Liberté d’expression

Les juges avaient, en revanche, relaxé l’animateur Yves Calvi ainsi que le criminologue Xavier Raufer, invité sur le plateau de l’émission. Le 1er juillet 2010, la cour d’appel de Paris a confirmé cette condamnation. Mais France Télévisions s’est pourvue en cassation. Le 7 juin, la chambre criminelle de la Cour de cassation a annulé l’arrêt de la cour d’appel et blanchi définitivement Marc Tessier et Yves-Marie Laulan.

Dans son arrêt, la plus haute autorité judiciaire a estimé que les propos litigieux, « portant sur une question d’intérêt public relative aux difficultés d’intégration de la communauté rom, ne dépassaient pas les limites admissibles de la liberté d’expression » et que « le délit de provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale n’était constitué en aucun de ses éléments ».

Source: http://www.lepoint.fr/

Merci à JC JC…

15/01/2012

Islamisation: l’Occidental disparaîtra, c’est inéluctable…

Appui d’un récent billet. Mais ne soyons pas aussi défaitistes. A nous de faire comprendre à nos gouvernements respectifs que nous sommes en réel danger.

Je ne sais pas si le mot « comprendre » est le bon car ils ont surement compris.

Montrons leur notre détermination à ne pas nous laisser faire. Résistons. C’est de l’avenir de nos enfants dont il s’agit…

FDF

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Extrait d’un sermon du vendredi prononcé par l’imam égyptien Abou Ali Al-Hasan (1), diffusé sur la chaîne Al-Hekma TV le 6 janvier 2012 :

« … Avec l’émigration [musulmane en Europe], et la réticence [des Européens] à se marier et avoir des enfants… une centaine de personnes n’engendreront que quatre-vingts [descendants], et dix ans (sic) plus tard, ces quatre-vingts seront remplacés par une soixantaine, et ces soixante seront plus tard remplacés par quarante, et ces quarante ne deviendront plus que dix une décennie plus tard, et vingt ans (sic) plus tard, pas un seul d’entre eux ne restera !

L’Europe en a pris conscience. Dans quelque temps, l’Europe va devenir un État islamique unique, qui ne connaîtra plus rien d’autre que « Il n’y a pas d’autre dieu qu’Allah et Mohammed est son messager ». C’est comme ça, qu’ils le veuillent ou non. C’est la décision d’Allah. L’islam arrive… »

(1)    Sheikh Abû Al-Hasan An-Nadwî Al-Hasanî . Voir : http://www.islamophile.org/spip/Sheikh-Abu-Al-Hasan-An-Nadwi-Al.html

Le pire, c’est que ce sheik dit  la vérité. Il n’exagère que sur la durée d’une génération : 25 ans et non 10… Cela dit, l’Occidental disparaîtra, c’est inéluctable.

Il devient de plus en plus clair que nos gouvernements savent et s’adaptent à cette nouvelle démographie, à cette nouvelle donne. Tout est fait pour que la disparition d’ « Homo occidentalis » se passe sans douleur et sans méfiance : l’enseignement est raboté, élémentarisé, orienté. La police est muselée, désarmée, culpabilisée et s’amenuise de plus en plus. La suppression de la gendarmerie au motif grotesque de l’affaire Dutroux, les graves discriminations – dite positives – à l’égard des migrants musulmans, la ségrégation sexuelle dans certaines écoles, piscines, etc. Tout cela démontre qu’il y a connaissance de la menace et adaptation forcée à l’envahisseur qui, progressivement, remplacera l’Homo occidentalis en voie de disparition…

Voyez le « Printemps arabe » qui tourne en « Hiver islamique », orienté et alimenté par l’Américain Obama, avec la complicité servile du Français Sarkozy…

Ce que je pense  personnellement, c’est que mettre volontairement les forces de police en état d’impuissance permettra aux gouvernements occidentaux de justifier l’engagement de « miliciens de quartiers » à partir des jeunes issus de ces mêmes quartiers : cela sera le début des « polices islamiques » et le début de la mise en place des lois de la charia… Et on nous servira cela comme un renforcement de la sécurité, adapté aux « quartiers sensibles » ! Voyez les vigiles dans les hypermarchés, surtout en France : beaucoup sont issus des banlieues dites « sensibles ».

Cette situation est voulue et organisée délibérément. Nos gouvernements nous trahissent, nous condamnent à disparaître. L’avenir, c’est l’islam. Que nous le voulions ou non. Et cela, simplement à cause de notre démographie catastrophique.

C’est inéluctable, SAUF si tout ces excès, ces brimades et pressions n’engendrent une révolution qui dégénérerait en bain de sang… Un massacre qui decimerait l’occidental de souche, par ailleurs complètement désarmé par des lois orientées dans ce seul sens, et qui obligerait les États à reconsidérer la situation. Car si nous sommes terrassés ou brutalement éliminés par l’envahisseur, il n’y aura plus d’élite et le chaos règnera sur la planète…

Ce scénario est ce que les gouvernements du monde occidental redoutent le plus : cela sonnerait la fin brutale et prématurée de notre civilisation, la fin de nos États et le remplacement de nos gouvernants – Ministres et Présidents – par des barbus sanguinaires, qui plus est, seront élus démocratiquement par l’envahisseur dominant auquel nos États auront fait le lit …  

Dans ce schéma apocalyptique, il n’y a aucune alternative à la révolution. Seule celle-ci pourrait sauver notre civilisation.

« Les civilisations ne meurent pas, elles se suicident » (1)  Nous sommes les responsables de ce suicide.

Merci à PM…

07/01/2012

Islamisme et socialisme, les liaisons dangereuses…

Et s’il est besoin de le rappeler, ci après la liste des villes de France gérées par des maires socialo-pro-islamistes qui ont signé un appel POUR le vote des immigrés:

L’appel est signé par les maires d’Angers, Aubervilliers, Bègles, Besançon, Caen, Chelles, Clichy-la-Garenne, Creil, Erstein, Grenoble, Illkirch-Graffenstaden, Les Ulis, Lille, Metz, Montbéliard, Nantes, Paris, Pau, Périgueux, Quimper, Reims, Rennes, Rouen, Saint-Denis, Strasbourg et Toulouse.

FDF

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Socialisme et Islamisme : toutes les subventions, toutes les relations.


La ville du président du groupe PS à l’assemblée nationale, Jean-Marc Ayrault, a voté une subvention de 200 000 euros pour « le centre culturel » de la mosquée.)

 Pour ceux qui lisent l’Observatoire de l’islamisation depuis 2007, ce n’est pas une découverte. L’ouvrage Ces maires qui courtisent l’islamisme paru en octobre 2010 (éditions Tatamis) a déjà étudié les cas les plus sévères de collusion entre les mairies de grandes villes, indistinctement de gauche ou de l’UMP, et des associations islamistes (je dit bien islamistes) bénéficiant de leurs largesses se concrétisant en subventions publiques ou en mise à disposition de terrains pour des sommes symboliques.

Ce mois-ci nous nous concentrons sur les  élus du Parti socialiste, les prochains mois nous traiterons des autres partis recourant aux mêmes méthodes. 

 Car lister toutes les mairies concernées par  une collaboration active avec des associations liées souvent à l’UOIF, première fédération d’associations musulmanes en France dont les dirigeants se disent ouvertement proche des Frères Musulmans,  aboutit à un catalogue à la Prévert:

 Clichy, Créteil, Poitiers, Nantes, Lille,  Les Ulis, Roissy-en-Brie, Saint-Etienne, Metz, Rochefort, Angoulême, La Rochelle. Nous révélons tous les montants des subventions (et/ou dons de terrains) aux « centres socio-culturels » des mosquées pour reprendre l’expression d’un conseiller général socialiste de Seine-et-Marne lorsqu’il a qualifié ainsi  l’espace d’enseignement de la mosquée  radicale de Roissy-en-Brie.

 Nous n’abordons pas l’Institut des cultures d’Islam  de Bertrand Delanoë,  coûtant 22 millions d’euros au contribuable parisien, tant cette affaire méritera un traitement tout particulier les prochain mois.

 Cette stratégie de séduction de l’électorat issu de l’immigration, fusse-t-il islamiste en l’espèce, est ouvertement exposée par le « think tank » (réservoir d’idée) socialiste Terra Nova.

 Ayant  pris acte de la fuite de l’électorat populaire français vers un Front National au programme de plus en plus socialisant et protecteur, Terra Nova considère dans une note les  « minorités » comme un relai de croissance, un réservoir de voix indispensable au Parti socialiste.  Le mérite de cette note  est d’avoir avoué  pour la première fois ce que tous les observateurs politiques avaient compris depuis des années. Et ce n’est pas le journaliste du très socialiste Nouvel Observateur, Hervé Algalarrondo , avec son ouvrage La gauche et la préférence immigrée (Plon, 2011), qui nous contredira. 

Retrouvez le dossier dans le mensuel PDF, (35 pages, 7e, – sommaire ici)

Source: http://www.islamisation.fr/

27/12/2011

Révolutions arabes: islamistes: 1 Démocratie:0…

Abdelilah Benkirane, le visage de la haine..
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Ce mec me donne des nausées. Et ça ne vient pas des retombées du réveillon de Noël.
Prochaine étape: l’Occident! Soyons prêts à les recevoir dignement… Nous ne pouvons laisser l’hiver arabe atteindre l’Europe!
FDF
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À la faveur de leurs succès électoraux du Maroc à l’Égypte, ils vont diriger des gouvernements.

D’Alexandrie à Tanger, une vague islamiste submerge l’Afrique du Nord. Après la victoire d’Ennahda en Tunisie et le succès du Parti de la justice et du développement (PJD) au Maroc, les formations se réclamant de l’islam triomphent en Égypte. Le phénomèxne était attendu. L’ouverture des vannes démocratiques a libéré un mouvement qui était, jusqu’au printemps arabe, cadenassé. Mais son ampleur dérange. Les islamistes sont majoritaires en Égypte, un pays qui a toujours joué un rôle d’incubateur dans le monde arabe. Deux électeurs sur trois ont voté pour leurs candidats. Si les Frères musulmans tiennent le haut du pavé, ils devront d’une manière ou d’une autre composer avec les salafistes d’al-Nour, ces ultra-orthodoxes qui rêvent d’instaurer un État théocratique régi par la charia. Alors que les Frères tentent de rassurer laïques et chrétiens, les salafistes font savoir haut et fort qu’ils feraient bien du Caire un nouveau Kaboul taliban.

Transnational, le mouvement des Frères musulmans déborde sur la Libye en irriguant Benghazi, la ville d’où est partie la révolte contre Kadhafi. Il apparaît, ici aussi, comme une force qui, sur les décombres de la dictature, présente un visage plutôt modéré.

Attentisme en Algérie 

Structuré et présent sur le terrain, ce courant s’est ancré dans une société profondément conservatrice pratiquant un islam coutumier aux antipodes du djihadisme. Il devra composer dans sa course vers le pouvoir avec des facteurs régionaux, tribaux et personnels qui ont pris le pas sur les idéologies.

En Algérie, l’autre superpuissance pétrolière de la région, l’attentisme est de mise. Le régime en place depuis cinquante ans se sent pris dans un étau. Usé par la maladie, le président Bouteflika a lancé de timides réformes. Les islamo-conservateurs du Mouvement de la société pour la paix (MSP), qui ont depuis plus de dix ans des ministres au gouvernement, pourraient voir leur participation revue à la hausse après les législatives prévues en mai prochain. Mais le poids véritable des islamistes indépendants laminés par l’armée dans les années 1990 reste une énigme. Attentifs, les Algériens observent les expériences en cours chez leurs voisins avant de rejoindre une improbable «Union du Maghreb islamique».

Moins dogmatiques que les Frères musulmans égyptiens, les dirigeants tunisiens d’Ennahda et marocains du Parti de la justice et du développement (PJD) n’ont pas les moyens de gouverner seuls. Ils vont devoir s’allier avec des partis éloignés de leur mode de pensée, vont être confrontés avec la crise sociale aux principes de réalité et sont contraints de composer avec une société sécularisée, en Tunisie, et avec le roi, au Maroc. Leurs adversaires tablent sur une érosion qui devrait prendre des formes différentes selon les pays et les hommes. Ils se fient non plus aux saisons -qu’il s’agisse du printemps ou de l’automne arabe- mais aux années pour que les tendances s’inversent.

Source: http://www.lefigaro.fr/

07/12/2011

Sacré Dilem…

Non, non; il n’y a pas de fautes. Il s’agit bien du nom du dessinateur qui sait si habilement nous pondre de véritables oeuvres d’actualité avec un humour hilaro-décapant.

Encore un exemple qui résume bien la situation des pays du Maghreb… Qui se sont bien fait manipuler pour se jeter dans les bras griffes de l’islamisme et de ses « bienfaits »…

Merci à toi, Dilem.

FDF

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20/11/2011

Dis, Papa, c’est quoi, l’islam ?

L’islam? C’est la peur, mon fils…

Voici de quoi lire et vous instruire… Clair, net et précis…

FDF

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L’islam, c’est la peur (partie 3)

Cet article est la dernière partie d’une série de trois articles, adaptée des travaux de Bob Smith sur le site Islam’s Fatal Flaw.  Suivre les liens sous l’image pour les deux premières parties.

Olaf de Paris, qui a traduit cette série d’articles, nous offre son commentaire à la fin du présent article.

Talibanfighters

Articles précédents :

L’islam c’est la peur (partie 1) : la violence et la peur

L’islam c’est la peur (partie 2) : les tueurs

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Troisième partie : le système

Comment le système fait-il pour former des tueurs en permanence ?

Nous en savons désormais un petit peu sur ce qu’est la terreur islamique. Nous avons aussi une petite idée de qui sont certains des tueurs de l’islam. Examinons maintenant d’où proviennent ces tueurs, et examinons certaines des règles, règlements, traditions sociales et normes sociétales à l’origine du cycle sans fin de violences, de ce cycle de l’islam qui s’auto-perpétue.

(Cet aperçu des règles, règlements et autres ne représente qu’une toute petite partie des directives qui contrôlent l’islam. En fait, le système islamique se présente comme une sorte de modèle parfait et mauvais à la fois, bénéficiant d’un concours rare de circonstances, un « perfect storm », avec littéralement des milliers de directives œuvrant pour conserver l’islam comme il est. Les directives que j’ai choisi de présenter ici comptent parmi les plus faciles à distinguer et à comprendre).

L’islam n’est pas qu’une religion. C’est un système social complet (de nombreux auteurs l’ont qualifié de système totalitaire). La charia, la loi islamique, comprend des règles pour presque tout, de la naissance à la mort. Et une bonne part de ces règles travaille à perpétuer l’Islam lui-même.

Une règle clé stipule que tous les enfants de musulmans sont automatiquement musulmans. Cela signifie qu’aucun musulman (sauf les convertis) n’a son mot à dire quand à sa propre participation à l’islam. Cela veut dire aussi qu’aucun parent n’a son mot à dire sur le fait que ses enfants soient ou non musulmans. Cela garantit une relève continue de nouveaux croyants pieux, de fidèles dévots potentiels  – la nouvelle génération de tueurs de l’Islam.

Une autre règle importante énonce que « l’Islam est plus important que la famille ». Et comme les familles élargies islamiques sont généralement plutôt grandes, on n’imagine difficilement qu’elles ne comportent pas en leur sein soit un croyant très très pieux (un fidèle dévot, un tueur potentiel), soit un sympathisant. Cela veut dire que dans chaque famille au sens large, les croyants les plus investis, les plus dévots s’assurent que le reste de la famille est bien islamique. Cela veut dire aussi que les parents sont soumis aux pressions des autres membres de la famille qui veulent s’assurer que tous les enfants sont bien élevés dans le dogme islamique. Et donc en conséquence, tous les enfants reçoivent une formation en islam dès la naissance.

Lorsqu’un enfant est assez grand pour aller à l’école, sa formation s’institutionnalise. Cela commence dès les petites classes, et se poursuit tout au long du parcours de l’enfant à l’école. Et bien que toutes les écoles ne soient pas des écoles islamiques au sens strict, toutes les écoles dans une société musulmane exigent de leurs élèves qu’ils étudient l’islam.

Dans les pays musulmans les plus pauvres, où il peut ne pas y avoir d’écoles publiques ou gratuites, on trouve généralement des écoles islamiques. La plupart de ces écoles islamiques sont gratuites, elles. Le programme d’enseignement de l’islam y est autrement plus copieux.

Madrasa-rosa

Et en outre, on trouve également des milliers de madrasas (plus de 20 000 rien qu’au Pakistan) dans tout le monde musulman, qui forment des millions d’élèves. On y enseigne une forme draconienne de l’islam. Avec par exemple l’apprentissage du coran par cœur et l’enseignement des textes appelant les croyants pieux, les fidèles dévots, à la violence au nom de l’islam.

Et au sein des structures conventionnelles d’éducation, les pieux croyants et leurs sympathisants savent se faire entendre. Quiconque cherche à modérer l’enseignement des idées islamiques risque de subir la colère d’un tueur invisible.

Et lorsque les enfants deviennent adultes, certains, une petite part, deviennent les fidèles les plus dévots de leur génération, et environ 20% deviennent des sympathisants [à voir sur l’échelle de la foi explicitée précédemment]. Et comme on retrouve ce même système éducatif dans tout le monde musulman, ces croyants pieux et ces sympathisants se retrouvent disséminés un peu partout, comme nous le notions plus haut. Et le cycle de la peur et de la violence de continuer de plus belle.

(Nota bene : la situation est déjà grave, à voir les musulmans enseigner ainsi la haine dans leurs propres pays, mais elle l’est d’autant plus que les immigrés musulmans enseignent cette même haine sous le nez même de leurs hôtes occidentaux, si naïfs. Les attentats de Londres en 2005 en sont un parfait exemple. Je ne pense pas que les jeunes tueurs de l’islam qui les ont perpétrés en aient trouvé les raisons au sein de ce système éducatif anglais si politiquement correct. On peut dire la même chose à propos du complot terroriste de juin 2006 déjoué au Canada. Ce n’est pas au sein du système scolaire canadien qu’on leur a enseigné cette haine du Canada, ce que confirment de nombreux rapports d’enquêtes.)

Hélas, l’éducation des enfants n’est que le début d’un processus continu qui assure la bonne islamisation de chacun. Au sein du monde musulman, tout est matière à davantage de formation religieuse pour renforcer sans cesse le dogme islamique.

Le bourrage de crâne

Examinons quelques croyances et pratiques simples, tous sujets qui contribuent à ce système cyclique. Retenons bien que 1) tous ces sujets sont des sujets brûlants, susceptibles d’alerter nos tueurs invisibles, et que 2) personne n’ose contester ces sujets par peur des tueurs invisibles.

Les musulmans doivent prier cinq fois par jour. Pour les plus dévots, ces injonctions à la prière agissent comme un rappel constant à leur responsabilité de veiller à la pureté de l’islam. Pour les moins dévots, elles sont aussi un rappel constant qu’il ne faut pas discuter de l’islam, que les tueurs potentiels sont partout. Ces appels à la prière contribuent à maintenir un niveau élevé de peur.

Rage boy voisin

Dans le monde musulman, comme chacun a intégré la menace des tueurs invisibles, presque personne ne se hasarde à discuter de ce qui pourrait déplaire à l’islam. Et cela est vrai pour tous les échelons de la société. Dans les marchés comme au bureau, dans les épiceries comme dans les magasins de chaussures, aux courses de chameaux comme aux courses de voitures, dans les librairies comme dans les jardineries, on ne critique jamais rien d’islamique.

Les journaux, les radios, les télévisions du monde musulman ne cessent de mettre en avant les histoires qui véhiculent la perspective islamique de bon ton. En raison de leur audience large, les journalistes risquent fort d’avoir affaire à de nombreux tueurs invisibles potentiels pour la moindre erreur de jugement. C’est pourquoi personne ne court ce risque, ou même n’ose lancer le moindre débat sur tout ce qui concerne l’islam.

Et pour aggraver le tout, les media sont parties prenantes dans la promotion du dogme islamique. De nombreuses organisations indépendantes qui surveillent les media islamiques mettent en avant les articles qui incitent les musulmans à la violence et distillent la haine envers les non-musulmans.

Et voici ci-dessous une liste de ces croyances et pratiques simples, tous sujets qui sont constamment, quotidiennement réaffirmés dans le monde musulman, et tous sujets que personne ne s’aventure à contester :

  • Le coran est la « parole parfaite de Dieu » – cela signifie qu’il ne peut être ni discuté, ni modifié.
  • Mahomet est le modèle de l’humanité – on passe sous silence les meurtres, les agressions, les viols, la pédophilie et les vols. Et l’on voit bien que le fait que les musulmans soient incapables d’en parler de façon rationnelle est la cause des comportements déréglés voire déviants dont ils font parfois preuve.
  • Tous les hommes doivent s’efforcer de ressembler à Mahomet – cela conduit les musulmans pieux à adopter ces comportements fanatiques, déréglés, déviants.
  • Il n’y a pas de problème à mentir pour promouvoir l’islam – une raison de plus qui pousse à ces comportements déréglés et déviants.
  • L’islam est la seule vraie religion. Toutes les autres ne sont « pas vraies » – cette croyance est ancrée si profondément dans la conscience collective musulmane que même les croyants de peu de foi sont d’accord.
  • L’islam utilise une sorte de double langage, comme dans 1984 – l’islam c’est la liberté de Dieu. La démocratie, c’est la tyrannie de l’Homme.
  • Les musulmans sont des êtres supérieurs. Les musulmans ont droit à leur juste place devant tous les autres – une grande part des musulmans y croit. Et même les musulmans peu croyants.
  • Les non-musulmans sont des êtres inférieurs – une grande part des musulmans y croit (et bien entendu, les non-musulmans peuvent devenir supérieurs à leur tour en se convertissant à l’islam).
  •  Le monde entier doit devenir musulman – Dieu l’a dit, ça doit être vrai.
  •  Tout abaissement de l’islam, de Mahomet ou du coran est passible de la mort – la mort de la main d’un tueur invisible.
  •  L’islam est parfait. Rien à redire, rien à changer, impossible de le quitter – le faire, comme tout un chacun en est averti, c’est risquer la mort.
  •  L’islam est plus important que la famille – on se tue au sein d’une même famille pour avoir dévié de l’islam. Les membres non-musulmans de la famille n’ont rien en commun avec elle, et doivent être abandonnés ou ignorés.
  •  Le meurtre et les crimes commis au nom de l’islam ne sont généralement pas punis
  •  Seuls les musulmans peuvent être de vrais amis – ceci suffit à expliquer pourquoi les musulmans ne s’intègrent pas lorsqu’ils émigrent dans des pays non musulmans.
  •  Tous les musulmans ont l’obligation de propager ou d’aider à propager l’islam – si un musulman ne peut combattre dans le djihad, la loi islamique stipule qu’il doit contribuer au djihad d’une autre manière.
  •  L’islam est une entité politique – L’islam, c’est l’Etat.

Ce système met la religion – l’islam – au dessus de tout, jusqu’à en devenir l’ultime apogée de la conscience musulmane.

Mosquées et mollah

Et puis il y a aussi l’infrastructure des mosquées et des mollahs [et oulémas chez les Arabes, c’est-à-dire les théologiens ; l’auteur semble inclure dans cette catégorie des « mollahs » l’ensemble des théologiens, des imams et des autorités religieuses].

Gentil mollah abu-hamza pieux

Les mosquées et les mollahs jouent un rôle important dans ce système cyclique. Avec les appels à la prière cinq fois par jour, les mosquées servent à rappeler constamment la présence de l’islam. Les mollahs sont fondamentaux pour les croyants les plus pieux et les sympathisants. Les mollahs ont pour fonction de renforcer le dogme islamique (y compris les sujets listés ci-dessus), et d’encourager les croyants pieux à s’assurer qu’il est respecté.

Et voici l’un des phénomènes les plus étranges de l’islam : ces mosquées deviennent des sortes de dangereux marigots intellectuels où s’enlise la pensée de l’Islam. Seuls les croyants les plus fervents parviennent à s’y frayer un chemin à des fonctions de direction. Ils sont les plus susceptibles de se conformer aux appels de l’islam à la violence. Et donc c’est au sein des mosquées que l’islam arrive le moins à développer une pensée et une action rationnelle. Il y a par exemple de nombreux cas de mollahs assassinés par leurs coreligionnaires pour n’avoir pas été assez conservateurs.

Examinons maintenant comment ce système de terreur, de tueurs et de règles se combine de façon cyclique.

Pris au piège de l’islam

Tous les éléments dont nous avons parlé se conjuguent de manière aléatoire. Il n’y a pas nécessité d’ordre en la matière. En Islam, tous sont endoctrinés dès l’enfance. L’endoctrinement continue à l’âge adulte. L’islam est révéré par tous. Personne ne critique l’islam. On prêche continuellement sur les défauts du monde non-musulman. La perfection islamique est constamment célébrée.

Les membres des familles surveillent les familles. Les amis surveillent les amis. Les mollahs entretiennent le cycle, attisent le système. Les plus dévots de tous – et les sympathisants avec eux – s’assurent qu’aucun musulman ne dépasse les limites de la norme. On ne raisonne jamais. On conforte des croyances irrationnelles. Et une armée invisible de tueurs dévots s’assure en permanence que tout se passe comme cela.

Et voilà le cycle qui s’auto-perpétue : la terreur empêche quiconque de remettre en question le système. L’absence de remise en question entraîne de facto l’acceptation de tout ce qu’implique l’islam. Et comme tout le monde accepte le système, c’est que le système doit être bon. Et comme les croyants chantent les louanges de l’islam, tout le monde n’entend que les louanges de l’islam. Personne n’entend jamais rien de mal à propos d’islam. Personne ne quitte l’islam. Personne ne se pose de questions. Personne ne critique. Tous les enfants prennent part au système.

Et ça recommence encore, et encore, et encore, comme un disque rayé. Le système se répète encore et encore. Comme un ordinateur qui bogue et se coince dans une boucle sans fin de son programme. L’islam, comme société, s’est piégé dans un cycle de violence et de peur qui s’auto-perpétue.

Pourquoi cela nous arrive-t-il maintenant ?

Ce système cyclique tel que nous l’avons décrit fonctionne au sein de l’islam depuis l’époque de Mahomet [en fait, il s’est mis en place un peu plus tard, voir ci dessous]. Et comme la plupart des systèmes, il dispose d’un mécanisme de contrôle. Cette peur, cette terreur qui assujettit l’islam est fonction directe des masses d’argents disponibles pour le développement de l’infrastructure des mosquées et des mollahs. Depuis le premier embargo sur le pétrole des années 1970, l’argent pompé par les producteurs de pétrole musulmans s’est accru de manière considérable. Les riches pays pétroliers musulmans ont pu ainsi déverser d’innombrables milliards pour l’infrastructure des mosquées et des mollahs dans le monde entier.

Ces fonds ont été utilisés dans une vaste expansion des mosquées dans tout le monde musulman. Et en particulier pour la construction de milliers de nouvelles mosquées dans les sociétés occidentales. Ces fonds ont aussi servi à former des mollahs conservateurs et à les envoyer dans le monde entier prêcher l’islam le plus conservateur qui soit.

Lorsque vous appuyez sur la pédale d’accélérateur d’une voiture, il y a un petit temps d’inertie – environ un quart de seconde -, et la voiture accélère. Lorsque les riches pays pétroliers musulmans injectent des fonds dans l’infrastructure des mosquées et des mollahs, il y a un petit temps d’inertie – environ 20 à 30 ans -, et vous obtenez de plus en plus de super-dévots.

Et donc, voilà 30 années que sont plantées des graines de haine et de peur, et nous moissonnons aujourd’hui une récolte de violence.

D’après Bob Smith – 2009

Source : Islam is Fear, Part III, par Bob Smith, via Gates of Vienna, 6 novembre 2011. Traduction par Olaf pour Poste de veille

Ci-dessous, le commentaire d’Olaf de Paris

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Chers lecteurs

Comme vous j’imagine, j’ai été frappé par l’analyse de Bob Smith, raison pour laquelle j’ai entrepris de la traduire en français. Avec ce travail, cette « thèse » comme il l’appelle, sur les mécanismes internes de l’islam, il assemble les morceaux du puzzle avec facilité. Il nous fait comprendre simplement que l’islam, comme il est aujourd’hui, constitue une prison pour ses fidèles, une prison dont tous sont à la fois les gardiens et les prisonniers, une prison dont les croyants les plus pieux sont les petits chefs, les caïds, les kapos, et une prison dont ils sont surtout les bourreaux.

Vraiment, ce travail est remarquable. Je vous invite à consulter ses sources très nombreuses – livres, interviews, articles, en nombre considérable – qu’il détaille sur le blog qu’il a dédié à la présentation de son travail. A noter qu’il analyse de la même manière l’impact de la violence dans les autres mouvements religieux, exemples à l’appui des « chrétiens » fondamentalistes américains et de leurs actions violentes contre les médecins et cliniques pratiquant l’avortement.

Remarquable, vraiment, ce travail, et pour qu’il ne soit pas attaqué injustement, il conviendra d’y réparer quelques approximations à cause desquelles un détracteur serait tenté de jeter le bébé avec l’eau du bain.

Tout d’abord, Bob Smith présente le cycle de la violence et de la peur comme intrinsèque à l’islam, comme fonctionnant depuis ses débuts, depuis Mahomet. Il lui est intrinsèque aujourd’hui, certes oui, et depuis bien longtemps. Mais il ne procède pas entièrement de ses origines. L’islam des origines était assez différent de celui d’aujourd’hui, même si la violence semble lui avoir été consubstantielle. L’islam des origines n’était pas constitué en corpus religieux, ses dogmes (notamment ceux que liste Bob Smith ci-dessus) n’étaient pas encore gravés dans le marbre, il n’était pas question de parole parfaite de Dieu descendue dans le coran. Il ne s’agissait que de l’ensemble plus ou moins disparate des croyances des conquérants arabes, pétris de judaïsme et de judéo-nazaréisme, partis à la conquête de Jérusalem et à l’assaut du monde. C’est plus tard, lorsqu’il s’est agi d’unifier l’empire arabe, que l’islam que nous connaissons aujourd’hui a été inventé, qu’il a été distingué comme religion à part entière, que le prophète a été quasi sanctifié (et certainement inventé aussi), que le coran et les dogmes ont été institués (voir à ce sujet les chroniques d’Hélios d’Alexandrie et ma première chronique). C’est à cette époque que la recherche de la vérité sur les origines de l’islam a été criminalisée (interdiction du doute, méfiance voire interdiction vis-à-vis des représentations de Mahomet, mépris des recherches et des reliques historiques, spécialement préislamiques). Cela s’est fait dans le contexte de l’affrontement des moutazilites et des asharites, et le triomphe du dogme et de l’obscurantisme sur la raison. C’est parce que la raison a été interdite en religion, parce que sa mémoire a été effacée, que l’islam a abandonné toute idée de progrès et s’est condamné à répéter éternellement ce qu’il a été, ce qu’il croit avoir été. Qu’il est rentré dans ce cycle terrible de violence et de peur dont il ne pourra sortir seul.

Alors oui, l’Islam a pu être aux débuts de son existence une civilisation brillante, et qui peut certainement remercier les populations qu’il a conquises pour ce qu’elles lui ont apporté. L’Islam n’est plus cette civilisation brillante. Les premières victimes en sont les musulmans eux-mêmes, pauvres, pauvres frères humains, prisonniers et bourreaux de la prison-islam. Le meilleur service à leur rendre serait de parvenir à les extirper de leur système, de la pression du groupe. Cela a un peu fonctionné avec les premières générations immigrées, qu’on a pu faire entrer dans la modernité. Mais à notre époque d’immigration de masse et de ghettos religieux, les musulmans sont suffisamment nombreux en occident pour y avoir reconstitué leur système de violence et de peur, comme le fait remarquer Bob Smith (le test du T-shirt !). C’est pour cela par ailleurs que les tentatives de modération de l’islam, de réforme, existantes, semblent vouées à l’échec du fait de la résistance intrinsèque de ce système. C’est le constat involontaire et très amer que fait Abdennour Pierre Bidar, musulman français « de souche », très intéressant dans sa démarche de conciliation de l’individualisme moderne et de l’Islam (son livre « Self Islam », sa mise en avant d’une certaine spiritualité qui peut répondre aux besoins de l’âme – l’islam n’est pas qu’obscurantisme, et c’est là une de ses forces que Bob Smith occulte totalement). Interrogé par le site oumma.com (qu’on ne taxera certes pas d’islamophobie), il y déclare, à propos des musulmans modérés en occident que si « ils [y] ont inventé une nouvelle façon de vivre leur islam, parfaitement « soluble dans la démocratie », parfaitement compatible avec les droits de l’homme, (…), cela ne suffit pas. Car à côté de ces musulmans ouverts on trouve aussi beaucoup de foyers de conservatisme, voire de régression ». Et si les musulmans les plus éclairés se révèlent ainsi incapables de réformer l’islam eux-mêmes, de le modérer de l’intérieur de leur communauté, l’islam refusera d’autant plus une réforme venue de l’extérieur, imposée par la modernité des nouveaux pays d’accueil des musulmans – une réforme valorisant les principes de laïcité, d’égalité homme-femme, de tolérance des minorités religieuses et sexuelles, de pluralisme et surtout de rationalisme, tous principes dont nous voyons hélas les musulmans modérés prendre si peu la défense …

Deuxième approximation à relever et corriger dans le travail de Bob Smith, son analyse un peu rapide de l’argent du pétrole comme levier de l’islamisation de nos pays. La première raison de l’islamisation, ce n’est pas l’argent des islamistes ou l’ardeur de leur foi, la raison première de ce phénomène, c’est que nous le voulons bien. Nous le tolérons, nous y consentons, et donc dans l’esprit des islamistes, nous capitulons, nous avons capitulé comme l’empire romain d’orient aux premiers temps de la conquête islamique. Nous sommes à prendre. Voyez donc comme les pays qui refusent l’islamisation ne se font pas islamiser, comme Israël, comme le Japon, voire comme les Etats-Unis, par exemple. Voyez comme les pays qui se battent, comme la Suisse, gardent l’espoir. Ces pays, et surtout leurs citoyens, ne renoncent pas à l’affirmation, à la promotion de leur identité, ne cèdent pas au relativisme, ne s’adonnent pas à la haine d’eux-mêmes, à cette xénophilie si politiquement correcte. Ces pays sont comme par hasard ceux où la greffe islamique ne prend pas.

Alors oui, l’argent du pétrole est un des mécanismes de contrôle de l’islamisation et Bob Smith a raison de le dénoncer (et à ce titre, on ne peut qu’être perplexe sur le rôle des Etats-Unis en la matière, eux qui ont choisi les Saoud comme dynastie régnante contre tout alternative laïque ou modérée, eux qui ont créé et entretenu Al Quaeda pour contrer les Soviétiques, eux qui jouent un jeu trouble avec les Frères Musulmans). Et non, il n’en est pas le carburant principal, mais agir sur ce levier, sur le nerf de la guerre semble constituer une piste d’action intéressante, complémentaire de celles que j’avançais dernièrement.

Voilà, nous en avons beaucoup, beaucoup appris avec Bob Smith, remercions-le, et faisons bon usage de tout cela ! Je conclurai sur cette citation d’Ernest Renan, relevée à l’occasion de sa polémique avec Al Afghani, et que les travaux de Bob Smith illustrent très pertinemment : « [l’islam] est la chaîne la plus lourde que l’humanité ait jamais portée ».

Rédigé le 19/11/2011 dans Chronique d’Olaf de Paris, Iran | Lien permanent

Commentaires

À Olaf de Paris,

Un grand Merci pour cette étude en profondeur sur la place centrale qu’occupe la peur (en fait la terreur) dans la perpétuation de l’islam (de l’islam tout court et pas seulement de l’islamisme).

Cette série doit d’être lue et relue, il convient en effet de bien connaître à qui nous avons affaire, nous découvrirons par la même occasion la peur profonde et refoulée qui anime les musulmans les plus observants, la peur ou plutôt la certitude qu’à notre époque l’islam a perdu toute pertinence, qu’il n’est rien d’autre qu’une idéologie stérile, obsolète, ossifiée, le « pot de terre » en somme.

Merci également pour vos commentaires, je suis d’accord avec vous pour ce qui est du rôle de l’argent du pétrole. C’est un élément important mais ce n’est pas le facteur principal dans l’islamisation de l’Europe. Sa place est autrement plus importante dans la radicalisation des masses musulmanes dans les pays islamiques.

Les élites occidentales détiennent une lourde responsabilité dans la situation actuelle. Ceux qui conçoivent et appliquent les politiques au Département d’État à Washington, au Quai d’Orsay à Paris, au Foreign Office à Londres ont suivi et continuent de suivre la même ligne de pensée: permettre aux islamistes d’obtenir une place au soleil dans l’espoir de les transformer en partenaires. On ne tardera pas à constater la faillite de cette politique et ses conséquences désastreuses, et il ne sera pas trop tard pour redresser la situation, du moins je l’espère.

Hélios d’Alexandrie

Il existe plusieurs failles dans ce système « englobant » comme le définit Tarik Ramadan :

1. Depuis « la fermeture des portes de l’interprétation » (l’Ijtihad) soit depuis 1000 ans, le système se perpétuait en vase clos, raison de sa longue survie, or Internet fait pénétrer les autres mentalités, plus libres, plus rationnelles, dans les foyers. Des musulmans demandent la réouverture de ces « portes fermées » par le calife al-Mutawakil. Même Tarik Ramadan demande de « contextualiser »,( sans trop expliquer ce mot), mais le mot est lâché…

2. Il devient de plus en plus impossible (l »impensable » comme disent certains modérés) pour les érudits musulmans de prouver l’existence de Mahomet car nous avons traduit tous leurs textes, leurs palimpsestes sont déchiffrés à l’infra-rouge, l’université du Caire étudie avec stupéfaction toutes nos découvertes archéologiques et linguistiques les concernant. Il faut se souvenir avec quelle violence l’Empire Ottoman avait tenté d’empêcher que les Russes impriment le coran il y a 2 siècles.

3. L’amour pour sa famille est un contre-pouvoir si puissant et si naturel qu’il constitue toujours le plus grand danger de sédition (fitna) pour tous les totalitarismes religeux ou athées.

4. le pétrole n’est pas éternel, dieu merci…

5. Rien ne prouve que les autres peuples vont rester passifs et continuer à se laisser trahir par leurs collabos.

Rédigé par : Angélique | 19/11/2011 à 03:01

L’Europe est empétrée dans ses contradictions intellectuelles, entre le judéo-christianisme qu’elle veut rejeter et qui pourtant constitue son fondement moral le plus sûr et le néo-humanisme benêt, schématique et mal digéré qui voudrait le remplacer et ne fait que se transformer en acceptation de tout, sous prétexte de liberté et d’égalité, sans offrir d’alternative à ces valeurs judéo-chrétiennes (alternatives qui d’ailleurs n’existent pas). Les européens ont baissé leur pantalon devant l’islam, et le garde sur les chevilles,parce qu’ils n’osent pas se le sortir du fondement.

Rédigé par : Cédrick Pastor | 19/11/2011 à 12:23

À Angélique,

Je partage votre opinion à 100%. À long terme et pour peu que l’occident accepte de résister, l’islam se conjuguera au passé.

Mais nous sommes dans une course contre la montre, l’enjeu c’est la survie, celle de l’islam ou celle de la civilisation occidentale en Europe. Une survie conjointe est désormais impossible. Lequel des deux a le plus de chances de survivre? Qui gagnera la course?

Les islamistes ont pressenti le danger dès l’effondrement du califat ottoman après la première guerre mondiale, ils se sont préparés mentalement à la course et ont tout fait pour mettre les chances de leur côté. À présent ils n’ont d’autre choix que de pousser jusqu’à l’extrême l’avantage qu’ils détiennent car ils savent que la fenêtre d’opportunité (celle de la richesse pétrolière et des gouvernements collabos) ne durera pas très longtemps. Plutôt que de chercher le compromis et la coexistence ils ont préféré jouer à quitte ou double. Ils jouent actuellement l’islam dans sa totalité, s’ils perdent, l’islam est perdu et ne se relèvera plus jamais.

Les meilleurs alliés de l’occident sont les musulmans qui abandonnent l’islam, ceux qui se convertissent au christianisme, les athées, les agnostiques et ceux qui se présentent comme des « musulmans culturels ». Ces gens sont menacés dans leur vie par l’islam, ils ne peuvent même pas espérer devenir des dhimmis.

L’histoire ne se déroule pas d’une façon linéaire, l’imprévu y occupe une place de choix et les prochains mois nous réservent bien des surprises. Mon petit doigt me dit que les fanatiques musulmans, tant sunnites que chiites, se dirigent vers une confrontation majeure qui épuisera leurs forces.

Hélios d’Alexandrie

Rédigé par : Hélios d’Alexandrie

Euh… Tres bien tout ca sauf que je pense que malheureusement Mohammed a tres certainement existe, meme si son histoire a subi des distorsions, omissions, ou ajouts…

(N.B.: Ce qui est marrant c’est que Jesus a tres probablement ete carrement invente. Triste, mais bon… Details dans Wikipedia sous « Historicity of Jesus » et « Historicity of Muhammad ».)

De toute facon, ce n’est pas si important: on peut juger une foi par ses effets. Pas besoin d’etre un genie pour préférer le bouddhisme a l’islam. 🙂

Rédigé par : Fouad Boussetta | 19/11/2011 à 20:49

L’historicité de Mahomet n’a qu’une importance relative, les paroles et les gestes qu’on lui attribue eux ne le sont pas. Les coranistes, ceux qui rejettent en bloc les hadiths n’ont pas été réfutés par les ulémas traditionnalistes, seulement condamnés, on sait pourquoi, leurs arguments sont drôlement solides.

Le hic est que le coran est tributaire des hadiths, sans eux il est incompréhensible. Si les hadiths sont faux alors le coran manque totalement de contexte et de sens.

L’islam a été institué après les conquêtes, il en est la conséquence et non la cause. Religion d’état fabriquée après coup et sur mesure en appui à l’absolutisme des califes.

Le christianisme n’a pas été fabriqué après coup, il a été prêché par Jésus et par ses disciples après sa mort. Il s’est propagé pacifiquement dans un environnement qui lui était largement hostile. L’histoire du christianisme est donc radicalement différente de celle de l’islam.

C’est Saint-Paul qui a dit: si le Christ n’est pas mort sur la croix et s’il n’est pas revenu à la vie, alors notre foi n’est rien! Ces paroles ont été écrites à peine une dizaine d’années après les faits. Si Jésus-Christ n’avait pas existé l’émergence du christianisme et sa propagation ne pourraient être expliquées. Il n’y a pas d’effets sans cause et ceux qui nient l’historicité du Christ sont bien embêtés de donner une explication satisfaisante des évènements.

Hélios d’Alexandrie

Source: http://www.postedeveille.ca/

23/10/2011

A Nîmes, c’est aussi pour provoquer le chaos et la sédition que les musulmans « caillassent » les chrétiens ?

Cette histoire de caillassage de chrétiens à Nîmes me reste en travers de la gorge…

FDF

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LES FEUX DE L’AMOUR FOU…

EN FRANCE, AUSSI ?

LES FEUX DE L'AMOUR FOU
 » Ce qui se passe, [nddl en Egypte] ce ne sont pas des affrontements entre musulmans et chrétiens, ce sont des tentatives de provoquer le chaos et la sédition »
Essam Charaf. Premier ministre d’Egypte(Libération du 11 octobre 2011)

source parole volée

Source: http://www.petitsechodoran.com

23/08/2011

Manifestation devant l’ambassade israélienne en Égypte : Croix gammée et inscription “les chambres à gaz sont prêtes”.

Photo d’illustration.

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A part ça, l’islamisme n’a rien à voir avec le nazisme…

FDF

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Égypte : “les chambres à gaz son prêtes »

Une croix gammée et un message disant “Les chambres à gaz sont prêtes” agités devant l’ambassade israélienne en Égypte, le nazisme ne se porte nulle part mieux qu’en terre d’islam. Et ce n’est en rien une surprise.

Parce qu’une des mamelles de l’islam, c’est l’antisémitisme. Un hadith célèbre proclame : « L’Heure Suprême [La Résurrection] ne se dressera que lorsque les musulmans combattront les Juifs et les tueront. Lorsque le Juif se cache derrière un rocher ou un arbre, celui-ci dira : Ô musulman esclave d’Allah, un Juif se cache derrière moi viens le tuer. Seul «Al Gharquad» gardera le silence car il fait partie des arbres des Juifs ». Ce hadith figure en outre dans l’article 7 de la charte du Hamas, mouvement démocratiquement élu par une majorité de Palestiniens. Décidément, que de paix, d’amour et de tolérance dans cette « belle » religion.

Vidéo

Source: http://prophetie-biblique.com/

10/06/2011

Islamisme: il est temps que nous réagissions…

Reçu par mail.

C’est d’une évidence implacable. Et dire qu’il y en a encore qui ferment les yeux. Ce qu’ils ne savent pas, c’est qu’ils seront les « premiers servis » sur l’autel de l’islamisme et de la charia. Je ne les plains pas. Je pense à ma descendance et je me dis que plus que jamais, il va falloir que je me batte pour elle…Le PPS joint me renforce dans mes convictions.

FDF

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Respirez un bon coup et cliquez ici: HDT 1112 Le_monde_change – uu uv 1427

« Avec l’aval de nos politiques, c’est mathématique…

Depuis je temps ou je vous dis que nos petits enfants seront les esclaves des musulmans,

Comme à l’époque des croisades vous serez leurs esclaves.

Le jour de l’ascension j’étais à la messe du cirque GRUSS et un évêque nous a parlé du dernier prêtre assassiné a qui on  a coupé la tête devant des dizaines de gens.

Ensuite il nous à dis que nous avons encore pour quelques temps, dans notre pays la possibilité d’exprimé notre foi chrétienne.

Cela veut tout dire… »

Merci à Jacques…

09/06/2011

Exemple: David Cameron durcit la lutte contre l’islamisme radical !

Chapeau bas, mister Cameron !

FDF

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Le gouvernement britannique veut intensifier les contrôles dans les prisons et les universités.

La ministre britannique de l’Intérieur, Theresa May, a présenté mardi une refonte de la stratégie de lutte contre le terrorisme et l’islam radical, qui va se traduire par un durcissement de l’attitude envers les groupes islamistes radicaux, même quand ils sont non violents. Les associations musulmanes qui ne condamnent pas explicitement la violence ou qui ont des positions islamistes radicales perdront leurs subventions publiques. Une vingtaine d’organisations qui prônent l’instauration de la charia (la loi islamique) en Angleterre risquent ainsi de perdre le soutien de l’État.

Par le passé, les contrôles de ces financements, qui devaient aider une forme modérée de l’islam, ont été tellement défaillants «qu’il est possible que l’argent ait bénéficié à des personnes contre lesquelles nous nous opposons, a admis mardi la ministre de l’Intérieur devant les députés à la Chambres des communes. Cela ne doit pas se reproduire».

«Nous devons lutter contre toutes les idéologies qui peuvent mener au terrorisme, a insisté Theresa May, mais la principale menace est bien al-Qaida, ses affiliés et les groupes qui partagent les mêmes idées.»

Le nouveau plan va intensifier les actions de lutte contre les risques de radicalisation islamiste dans les prisons et les universités, deux secteurs trop longtemps négligés d’après Theresa May. Selon un rapport interne du Home Office que s’est procuré le Times, le précédent programme de prévention de l’extrémisme n’avait identifié «qu’une faible proportion des populations à risques dans les prisons». Des islamistes condamnés à des peines de prison ferme ont même pu y diffuser leurs thèses extrémistes sans contrôle.

Défendre les «valeurs britanniques»

Le week-end dernier, Theresa May avait aussi déploré le laxisme des universités vis-à-vis des islamistes radicaux dans une interview au Daily Telegraph. Le gouvernement aurait identifié 40 universités présentant un risque élevé de radicalisation ou de recrutement de militants, selon le Daily Mail.

Les médecins généralistes seront aussi mis à contribution pour identifier les personnes «vulnérables susceptibles d’être entraînés dans le terrorisme». Une mesure controversée qui n’a pas été détaillée mardi, mais qui a déjà provoqué une mise en garde de la British Medical Association, avertissant que «les médecins sont incapables de prédire l’avenir et dire comment quelqu’un va pouvoir se comporter».

Ces changements importants marquent clairement l’échec de la stratégie «Prevent» mise en place par le Labour en 2007 avec un budget annuel de 60 millions de livres (67 millions d’euros) pour éradiquer les sources du terrorisme domestique à la suite des attentats dans le métro de Londres en 2005, commis par des kamikazes islamistes nés Grande-Bretagne. Un rapport parlementaire sur le précédent programme avait aussi conclu que des millions de livres avaient été dépensés en pure perte sur des projets à l’étranger qui n’avaient aucun impact sur les risques de terrorisme en Grande-Bretagne.

Le nouveau programme du Home Office est aussi une mise en application des principes défendus par David Cameron dans son important discours prononcé à Munich en février dernier sur l’échec du multiculturalisme britannique et la nécessité de contrer toutes les formes d’extrémisme islamiste. Le premier ministre avait alors insisté sur le fait que les associations musulmanes demandant des subventions devaient défendre d’importantes «valeurs britanniques», comme la démocratie, l’universalité des droits de l’homme et l’égalité de tous au regard de la loi.

Ce durcissement de la lutte contre les extrémistes musulmans remet en cause des années de grande tolérance au nom de la liberté d’expression et a provoqué des débats très vifs entre les deux partis de la coalition au pouvoir, les conservateurs et les libéraux-démocrates. À tel point que le plan de Theresa May a pris cinq mois de retard.

Source: http://www.lefigaro.fr/

21/05/2011

Similitudes entre Nazisme et Islamisme…

On retrouve, dans cette vidéo (en anglais, mais nul besoin de traduire, je pense…) une étude des similitudes entre l’idéologie du Nazisme et et celle de l’Islamisme. Pour le moins étonnant.

FDF

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Ici: http://youtu.be/7Gzyeo1Z1I4

18/05/2011

MARXISME : le socialisme scientifique.

Pillé chez http://webresistant.over-blog.com/       Très intéressant…

FDF

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https://i0.wp.com/www.communisme-bolchevisme.net/images/banniere_marxisme_leninisme_ideologie.jpg


MARXISME

Socialisme scientifique


Marxisme

De Wikiberal.

Terminologie

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En passant outre la genèse de ces qualificatifs, leur usage polémique ou stratégique au sein des différentes branches socialistes, il faut retenir que le marxisme est le courant philosophique et politique se réclamant des idées de Karl Marx et Friedrich Engels. L’adjectif marxien, s’applique parfois uniquement à la pensée des deux auteurs quand on veut la distinguer de celles des héritiers, et à Marx seul quand on veut dissocier son apport respectif de celui de Engels (on parle aussi, alors, d’engelsianisme). On dira donc, par exemple, la pensée marxienne quand il s’agit du gendre de Paul Lafargue, et la pensée marxiste quand il s’agit des idées et élaborations pratiques des individus ou groupes tirant leur méthode, leurs concepts et leur grille d’analyse, des écrits du/des premier(s). Il faut noter que Marx lui-même a plusieurs fois dit, dans les dernières années de sa vie: « Moi, je ne suis pas marxiste ».

Un marxologue est un chercheur qui étudie la pensée de Marx exclusivement, et non pas de Engels et des marxistes. Evidemment, un marxologue, Raymond Aron en est un exemple, n’est pas nécessairement marxiste; et réciproquement.
Marxisant est utilisé dans cet article comme un quasi-synonyme de « gauchisme », celui-ci étant lui-même entendu au sens que lui donne Droz [1997], c’est-à-dire une nébuleuse contestataire et/ou révolutionnaire, et non au sens de Lénine, qui désignait en 1920 le « bolchévisme de « gauche » », diagnostiqué comme étant une « maladie infantile du communisme ». Marxisant désigne donc une pensée dont l’héritage ne réside pas dans le seul courant marxiste, tout en en reprenant certaines analyses. Ces adjectifs sont très utiles, quoique flous et problématiques en ce qu’ils permettent de nombreux amalgames, pour qualifier certains aspects de pensées telles que celles de Michel Foucault ou de Jacques Derrida, qui, afin de prévenir toute possibilité de critique, se sont refusés à clairement catégoriser leur pensée respective.
Enfin, le marxisme mis en pratique sous la forme d’un régime politique s’appelle le communisme, bien que l’on trouve dans les premiers écrits de Marx, le terme de socialisme.

B0.jpg Discussions sur le forum
Pourquoi Les états Marxistes Ont-ils été Si Criminels?, Idéologie ou système? (for)

La face théorique du marxisme

Un certain style marxiste

La pensée marxienne: une boite à outils pour pensée flexible

D’un point de vue théorique, la version marxienne du concept de lutte des classes (et sa version diachronique : le matérialisme historique), associé à l’idée que la base (infrastructure économique) détermine la conscience, fait de l’Histoire la poursuite sous différentes formes d’un conflit incessant entre l’idéologie de la classe dominante et une conscience affranchie. Ceci oblige donc le marxisme à reprendre toujours en situation sa critique, celle-ci ne trouvant fin, selon les uns, que par l’avènement de la révolution prolétaire mondiale et donc la fin de l’Histoire, les maoïstes voyant au contraire la nécessité d’une déconstruction/révolution permanente pour échapper au dogmatisme.
D’un point de vue pratique, aucun texte ne donnant de programme d’action politique précis, les révolutionnaires russes durent, comme le fit Lénine, combler les lacunes laissées béantes et définir une praxis politique concrète de la prise de pouvoir et de son exercice.
Ainsi, si les ouvrages marxiens ont laissés un fond conceptuel stable quoique ambigu du fait du « tournant économique », Marx est pour certains marxistes (révisionnistes, marxisme occidental) ce que Linus Torvalds est à Linux, c’est-à-dire qu’il a donné le noyau du code source, que chaque marxiste est appelé à retravailler pour son compte, à l’aune de sa situation; pour d’autres au contraire, Marx sera considéré comme le fin mot de la pensée, dont il ne reste qu’à développer les idées. Si bien que les libertés prises avec la pensée marxienne, auront comme effet de miroir, les multiples retour à Marx.

Cinq grands pôles du marxisme se sont dégagés au XXème siècle :

  • le marxisme soviétique : considérant, avec le propre Marx, que ses écrits de jeunesse ne devaient être laissés qu’à la seule « critique rongeuse des rats », beaucoup de penseurs, le plus souvent russes, développèrent le sillon matérialiste et l’économie, pour proposer des théories monistes (jusqu’à Bogdanov et son empiriomonisme), parfois behavioristes (Pavlov), et assumant parfois pleinement le réductionnisme qu’est l’économisme.
  • le marxisme « occidentale » : en rupture avec le marxisme russe, du temps de Lénine (cf. Marxisme et philosophie de Korsch) ou de Staline (cf. Le Matérialisme dialectique de Henri Lefebvre), ou suivant les courants révisionnistes de la social-démocratie, les auteurs de l’Ouest insisteront sur l’aspect philosophique de Marx, l’alliant avec d’autres auteurs d’horizons divers, devenant le paradigme dominant des universités, dont les traces sont encore très tenaces.
  • le maoïsme : version chinoise du marxisme-léninisme, peu original du point de vue théorique, il aura surtout été le phare de substitution des marxistes après la découverte de l’horreur staliniste.
  • le marxisme tiers-mondiste: relisant la lutte des classes à l’échelle des nations et la critique de l’idéologie à l’aune de l’occidentocentrisme, il développe une critique de l’impéralisme occidental colonialiste.
  • le marxisme-analytique : tentative très éphémère et marginale de replanter le marxisme sur les bases de la philosophie analytique.

Néanmoins, le dialogue permanent entre les trois premières versions du marxisme, leur opposition structurale ou leur héritage mutuel fait en sorte qu’une étude par grands principes du marxisme (plus en amont) et non par courants, sera préférable.

Révolution permanente ou fuite en avant : une pensée dialectique

D’un point de vue politique, le marxisme, comme toute politique volontariste, ayant pour but de modifier la réalité (cf. Thèses sur Feuerbach, XI: «  Les philosophes n’ont fait qu’interpréter le monde de différentes manières, ce qui importe c’est de le transformer. »), est directement opposé au laissez-faire libéral, dont il est historiquement la première réaction moderne (fascisme et national-socialisme la suivant). Or, à la différence d’un individu agissant sur un marché à l’aune de ses connaissances et de son intérêt, le pouvoir politique, engageant, par ses mesures, la communauté qu’il dirige toute entière dans une finalité collective, est obligé de connaître l’ensemble des facteurs interconnectés, d’un nombre aussi élevé de domaines qu’il s’est octroyé de tâches et de prédire s’il veut rationaliser ce qui n’était qu’« anarchie de la production », c’est-à-dire planifier. Le marxisme totalitariste (marxisme-léninisme, stalinisme, maoïsme, castrisme) se voit donc avec un cahier des charges par essence irréalisable, et ne peut provoquer que des déséquilibres, tant sur le plan « superstructurel » (injustices, ségrégations et privilèges à rebours pour contrebalancer celles connus par les groupes exploités ou opprimés), que sur les plans économique et social (impôt et redistribution, déresponsabilisation, etc.), chaque nouvel état de la société devant à son tour être corrigé, ad vitam aeternam. Comme il ne reconnaît pas que les mesures politiques ne sont pas des solutions mais le problème en lui-même, il faut sans cesse redécouvrir des raisons à la résistance têtue des faits, trouver des aliénations plus profondes ou des comploteurs (internes et externes) invisibles pour expliquer le report constant de l’advenue de la cité idyllique et de l’homme nouveau, que le communisme (en passant par le stade transitoire du capitalisme d’État) devait apporter.
Il en est de même pour expliquer la si bonne santé d’un capitalisme qui était voué à l’ « effondrement », chaque décennie fournissant son lot de prophètes de l’apocalypse et d’analystes expliquant le pourquoi de l’ajournement de celle-ci, inlassablement démentis, toujours réapparaissants.
La « révolution permanente », l’ « autocritique » (le plus souvent, en fait, critique des adversaires) et les méandres des trouvailles idéologiques (y compris pour sauver Marx de flagrantes erreurs de prédiction), sont surtout une fuite en avant refusant de tirer les leçons des échecs, créant un monde caligulesque où la délimitation de ce qui relève de l’orthodoxie marxiste et du révisionnisme (accusations de « petite-bourgeoisie », de « droitisme » ou au contraire de « gauchisme » ultra-révolutionnaire) est « un enjeu de pouvoir » (pour paraphraser Pierre Bourdieu) faisant de la politique plus qu’un bavardage sans point final, une question de survie.

D’un point de vue épistémologique, contrairement à l’analogie avec le code source informatique opérant, bien que les marxistes voient dans les écrits de Marx les bases d’une « science », ils n’en présentent toutefois pas les traits.
Non-falsifiable (cf. Popper), une lecture marxiste peut toujours être plausible, au même titre que l’interprétation d’un rêve ne pourra jamais être réfutée.
De plus, les thèses marxiennes puis marxistes ne sont pas tout à fait cumulatives et ne « progressent », souvent, que par adjonction adjuvante d’autres théories (darwinisme, kantisme, freudisme, analyse systémique, etc.). Chaque nouveau courant de la pensée marxiste, plutôt que de résulter d’une correction d’un paradigme par un autre plus adéquat, ou du moins d’un affinage au sein du paradigme, relève dans le marxisme occidental d’effets de modes tâtonnants à droite et à gauche, quand les théorisations soviétiques furent, à l’instar du machiavélisme, des simples stratégies politiques aux fins de prendre ou garder le pouvoir, purges et excommunications y remplaçant la nouveauté artificielle des chaires universitaires, ces innombrables revirements ou éparpillements, ne militant jamais pour la crédibilité de la postérité des idées de Marx.

D’un point de vue philosophique, bien que Marx ait voulu rompre avec l’idéalisme hégélien et dépasser la philosophie en la réalisant, bien qu’un Marx de la maturité (ou scientifique) ait voulu succéder à un jeune Marx manipulant des concepts flous encore emprunts de catégorisations vaporeuses (« aliénation », « homme vrai »), sa théorie reste toujours non-falsifiable. Qu’il faille imputer ceci à un indécrottable hégélianisme ou à une sorte de penchant allemand pour le verbiage[1], toujours est-il que la pensée marxienne n’a pas plus réussi à se détacher de l’utopisme des premiers socialistes que de la sensiblerie, laissant la porte ouvert aux exégèses les plus contradictoires.
Les marxistes des années 60, en Europe de l’Ouest, se voulant une pensée féconde, flexible et créatrice ont développés des idées foisonnantes partant dans tous les sens, multipliant les pistes en association avec d’autres théories non-réfutables (freudisme, nietzschéisme, phénoménologie, existentialisme) ou d’autres thèmes (art, religion, culture). Il en résulte qu’elles deviennent des poétiques, prolixité creuse frayant des chemins qu’elles abandonnent en cours avant de foncer dans le mur, pratiquant une sorte de stratégie de la rupture ou du contrepied qui permet de quitter le navire avant qu’il ne coule et de ne pas payer les dettes des écrits précédents, qui équivaut la fuite en avant politique. Mouvants, s’amendant sans cesse, les strates de discours s’amoncellent, se contredisent, parlent des langues hétérogènes, associent le bruit à la fureur, tout en se refusant d’abandonner la matrice originelle qui les y a conduit.

Bibliographie locale. Luc Ferry et Alain Renaut, La pensée 68 (1985); Alain Finkielkraut, La défaite de la pensée (1989)

Le marxisme comme mystique

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Sur la forme : Le stalinisme et les Partis communistes nationaux fonctionnent comme l’Eglise catholique, à coup de dogme et de bulles que les « idiots utiles » (le mot est de Lénine) relayent.
Sur le fond : ex. de Sartre (« Sartre décrétait dans la Critique de la raison dialectique la vérité du Capital, il la déclarait à ce point translucide que tout commentaire en affaiblirait l’évidence ou la pureté » – R. Aron, « La lecture pseudo-structuraliste de Marx » (1967), I, dans Marxismes imaginaires) ; Georges Sorel + Gustave Le Bon (Kolakowski, II, 442) ; Dussel et la théologie de la libération. La phraséologie humaniste et holiste en fait une véritable mystique laïque.

« Sous un certain aspect important, le marxisme est une religion. A ses fidèles il offre, en premier lieu, un système des fins dernières qui donnent un sens à la vie et qui constituent des étalons de référence absolus pour apprécier les événements et les actions ; de plus, en second lieu, le marxisme fournit pour atteindre ces fins un guide qui implique un plan de salut et la révélation du mal dont doit être délivrée l’humanité ou une section élue de l’humanité. Nous pouvons préciser davantage : le socialisme marxiste appartient au groupe des religions qui promettent le paradis sur la terre. » – Joseph Schumpeter, Capitalisme, socialisme et démocratie, (1942)
« Cette restauration [d’un intégrisme marxiste après la déstalinisation] est l’œuvre d’un philosophe et d’un théologien, non d’un économiste ou d’un sociologue. (…) En tant que membre de parti, Althusser doit, comme plusieurs générations de marxistes avant lui, prêter à Marx, en usant de citations bien choisies, ce qu’il veut dire lui-même. La méthode, celle des théologiens, consiste à choisir les textes tout en poussant l’audace jusqu’à reconaître que Marx n’a pas pleinement compris lui-même sa pensée authentique, la portée de la révolution scientifique qu’il a inaugurée. » – Raymond Aron, « La lecture pseudo-structuraliste de Marx » (1967), I, dans Marxismes imaginaires.

Bibliographie locale. Raymond Aron: l’Opium des intellectuels – « Le fanatisme, la prudence et la foi » (1956) dans Marxismes imaginaires.

Socle identitaire

Malgré tout, sans tomber dans une recherche essentialiste de toute façon impossible dans le cas du marxisme, il faut bien tenter de dégager un noyau doctrinal, un socle identitaire commun qui unifie dans leur diversité les différents marxismes.

  • « Fétichisme de la marchandise », « aliénation », « réification » => Critique de la société de consommation, de la société de marché, du capitalisme…
...Suite et source: http://webresistant.over-blog.com/article-marxisme-le-socialisme-scientifique-74008420.html

L’islam et l’islamisme: cheval de bataille de Geert Wilders.

Geert Wilders : le critique le plus franc de l’islam

« En tant qu’éditeur du National Post, j’ai souvent compté sur trois lettres pour protéger mes rédacteurs des tribunaux des droits de l’homme : I-S-M  – ces trois lettres étant la différence en anglais quand on épèle  entre « Islam » et «  Islamisme ».

Le premier est une religion – comme la Chrétienté ou le Judaïsme. Le dernier est une idéologie, qui cherche à imposer à tous les musulmans une version fondamentaliste intolérante de l’islam et à diffuser la foi musulmane à travers le monde. Déclarer l’Islamisme comme une menace n’est pas controversé. Déclarer l’Islam comme une menace est considéré comme un discours de haine.

Geert Wilders

Le refus de Geert Wilders de déployer ces trois lettres est la raison pour laquelle cet homme de 47 ans, homme politique hollandais, se déplace avec des gardes du corps et ne peut dormir dans la même maison deux nuits consécutives. Pour M. Wilders, le problème fléau dont souffre les sociétés occidentales c’est l’islam, un point c’est tout. Le terrorisme, la tyrannie, l’assujettissement des femmes ne sont pas des perversions de l’islam, comme il le voit, mais plutôt  son essence même.

« Le mot « Islamisme » suggère qu’il y a un Islam modéré et un Islam non modéré » m’a-t-il  déclaré lors d’une interview à Toronto dimanche (le 8 mai 2011, NDT). « Et je crois que c’est une distinction qui n’existe pas. C’est comme ce qu’avait dit le Premier Ministre de Turquie (Recep Tayyp Erdogan) : « Il n’y a pas d’Islam modéré ou d’Islam non modéré. L’Islam est l’Islam et c’est comme ça. » C’est l’Islam du Coran ».

« Maintenant, vous pouvez certainement faire une distinction parmi les gens » a-t-il ajouté. « Il y a des musulmans modérés – qui sont la majorité dans nos sociétés occidentales – et des musulmans non modérés. »

« Mais l’Islam lui-même n’a qu’une seule forme. L’idéologie totalitaire contenue dans le Coran n’a pas de place pour la modération. Si vous regardez réellement ce que dit  le Coran, en fait, vous pourriez soutenir que les Musulmans ‘modérés’ ne sont pas du tout Musulmans. Le Coran nous dit que si vous ne suivez pas même un seul verset, alors vous êtes un apostat.»

A la différence des autres critiques de l’Islam qui tendent à éviter le sujet explosif de la personne de Mahomet lui-même, M. Wilders, ouvertement, qualifie le Prophète de l’islam de dictateur, de pédophile et de belliciste. « Si vous étudiez la vie de Mahomet, » m’a dit M. Wilders «  vous pourriez voir que c’était un terroriste pire qu’Osama Ben Laden l’a jamais été ».

C’est un euphémisme de dire que M. Wilders est une figure qui crée des divisions aux Pays-Bas. D’un côté, il est le leader du PVV, le 3e parti politique le plus populaire du pays  – qui, actuellement, est le pilier de la minorité du gouvernement. M. Wilders a été déclaré  « homme politique de l’année » par une radio populaire hollandaise et est arrivé en deuxième position dans divers autres sondages importants.

De l’autre, le Conseil Musulman de Grande-Bretagne l’a qualifié de « prêcheur de haine  franc et implacable  ». Pendant un certain  temps, Wilders a même été interdit  d’entrée au Royaume-Uni. Un rappeur populaire Hollandais a écrit une chanson sur le meurtre de M. Wilders : (« Ce n’est pas une blague. La nuit dernière, j’ai rêvé que tranchais votre tête »).

Avant de rencontrer M. Wilders, dimanche,  je le connaissais  surtout par ses slogans les plus enflammés – comme sa comparaison du Coran à Mein Kampf – que ces détracteurs brandissent comme preuve d’un sectarisme d’esprit étroit.

Cependant, le vrai Geert Wilders s’exprime avec douceur et réflexion. Il apparaît qu’il a voyagé dans une douzaine de nations musulmanes. Il en connaît plus sur la foi musulmane et ce qu’elle signifie pour des gens ordinaires que la plupart des plus ardents défenseurs occidentaux de l’Islam.

Et je ne crois pas non plus que M. Wilders  soit un sectaire, au moins pas dans le sens où ce mot est compris habituellement.

« Je ne hais pas les musulmans, je hais leur livre et leur idéologie, » c’est ce qu’il a déclaré en 2008 au journal britannique  le Guardian. M. Wilders voit l’Islam comme apparenté au communisme ou au fascisme, comme une cage qui enferme ses malheureux  adeptes dans une structure mentale de haine et de peur.

En d’autres termes, M. Wilders décrit les musulmans comme des victimes de mauvaises idées. Dans cette façon de voir, son attitude est entièrement différente des antisémites et racistes classiques qui traitent les Juifs et les noirs d’êtres inférieurs sur le plan biologique.

Bien sûr, dans la tradition moderne occidentale du politiquement correct, la haine est exprimée à l’égard d’une religion est habituellement placée au même niveau de mépris des droits de l’homme que la haine exprimée à l’égard d’une race ou d’une ethnie. Mais l’Islam n’est pas  du tout en vérité une religion comme le voit M. Wilders, mais plutôt une idéologie politique rétrograde avec des ornements religieux.

Il note qu’alors que les autres religions tracent une distinction entre Dieu et César, entre le séculier et le spirituel, l’Islam exige la soumission dans tous les aspects de l’existence humaine, à la fois à travers la formulation du Coran lui-même et la loi de la Charia qui s’est développée dans son ombre. La foi fournit aussi une justification pour une guerre d’agression,  calomnie les non-croyants et prononce la mort contre ses ennemis. Bref, M. Wilders soutient que l’Islam a tous les ingrédients de ce  que les étudiants de l’histoire du 20e siècle pourraient reconnaitre comme une idéologie totalitaire complètement aboutie.

« Je vois l’Islam comme 95% d’idéologie et 5% de religionles 5% étant  les temples et les imams, » m’a-t-il dit. « Si vous retirez du Coran toute sa substance négative, pleine de haine, antisémite, vous vous retrouveriez avec un minuscule [livret]. »

Il est facile de voir pourquoi beaucoup d’Européens en viennent simplement à la conclusion que M. Wilders incite à la haine. Il veut stopper l’immigration non-Occidentale vers les Pays-Bas jusqu’à ce que les immigrants présents puissent être intégrés et veut expulser tout étranger qui commet un crime – le même genre de politiques que celles que préconisent les vrais xénophobes.

Mais même ainsi, son insistance à distinguer la foi de l’idéologie est une idée qui mérite d’être prise au sérieux. Car elle pose cette question: Si nous permettons la condamnation des cultes totalitaires créés par les dictateurs modernes, pourquoi ne stigmatiserions-nous pas (ou même criminaliserions-nous pas), la condamnation de  notions reconnues comme similaires quand elles se sont trouvées attribuées à un prophète du 7e siècle ?

C’est une bonne question. Et autant que je sache, Geert Wilders est le seul homme politique occidental qui la prend sérieusement en considération. »

Jonathan Kay

Rédacteur en chef du site http://www.nationalpost.com (canada)

Traduit de l’anglais par Bernard Dick

Source: http://www.nationalpost.com/news/Geert+wilders+Islam+most+outspoken+critic/4748694/story.html

25/02/2011

Vive le réchauffement idéologique !

Une lueur se serait-elle allumée dans nos ténèbres ? Le combat des idées, dont on dit qu’elles mènent le monde, incline en notre faveur…

Mais la route est encore longue, qui verra l’Occident restaurer enfin son identité, sa mémoire, sa dignité et reprendre la maîtrise de son destin. Mais nous y arriverons; tous ensemble, débarrassés des cloportes qui sont à genoux devant cette idéologie qu’est l’islam…

Jetez un coup d’oeil là-dessus…
FDF

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27/01/2011

Tunisie, Egypte, etc… Et si on avait essayé la démocratie?

Excellent billet, Lucien. Je transmets.

FDF

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Depuis les « indépendances », dans les années 50-60, à l’époque du socialisme réel et du tiers mondisme tout puissant ces divers peuples d’Afrique du Nord et du Proche Orient ont cru en leurs dirigeants formés à l’école du communisme et de l’arabisme qui leur disaient que leur version de la modernité était bien supérieure au régime démocratique occidental.

Ce fut l’illusion, jusque dans les années 80 ; ainsi un Yasmina Khadra qui n’a pas de mots assez durs pour l’opposition en Algérie, a encore la nostalgie des années 70 alors que ce fut le pire moment pour ce pays qui subit la tyrannie d’un Boumedienne amenant avec lui l’islamisme pour mieux arabiser une population à qui l’on avait vendu dans les maquis le mythe d’un pays pluriel où même les juifs et les pieds noirs auraient leur place. A cette époque et jusqu’à la révolution khomeyniste en Iran (1979), ces peuples n’ont eu qu’une version édulcorée de la démocratie, ou, plutôt une version en pis du colonialisme d’après seconde guerre mondiale, c’est-à-dire le bourrage des urnes, la ségrégation politique, l’ordre religieux de plus en plus exigeant au fur et à mesure que le pouvoir militaire désormais au pouvoir lui donne des gages pour que les religieux tiennent la société civile pendant que les généraux « apolitiques » s’enrichissent en paix (salam).

Las de ces mensonges et manques certains ont été regardés du côté de l’Iran, du moins secrètement parce que l’on ne pactise pas avec les shiites, et comme le régime communiste semblait encore plus pernicieux que le régime démocratique, les peuples de ces pays se sont dits qu’après tout il fallait aller dans cette direction, d’autant que certains intellectuels de renom (Foucault) disaient que la révolution iranienne était l’avenir en ce qu’elle répondait aux insuffisances sociétales de la société occidentale.

Ce discours a toujours pignon sur rue. Il est fort. Et même se renforce malgré ce qui se passe en Tunisie, en Egypte, parce qu’il est déjà sur sa lancée et que la pente est très abrupte, impossible de freiner, surtout avec le boycott anti-israélien qui aujourd’hui emporte toute raison ; ce qui fait qu’en définitive il y a plus aujourd’hui de sympathisants de la cause islamiste, et palestinienne, en Europe que dans les pays concernés qui eux en ont fait le tour depuis qu’ils se sont aperçus que les islamistes (palestiniens compris) ne valaient guère mieux question libertés et développement.

Les Irakiens ont en fait l’expérience après les Algériens et les Afghans : interdire de jouer aux dominos et de fumer au café, interdire la danse dans les mariages, interdire jusqu’au sport, c’était aller trop loin dans la densification de l’énergie spirituelle qui ne doit être saisie que par et dans le djihad à ériger constamment c’est-à-dire en érection permanente (d’où l’impossibilité qu’il puisse croiser une femme). Aussi, et aussi surprenant soit-il, la version hard de l’islam a plus la côte dans les pays qui ne connaissent pas l’islam au pouvoir, même déformé par la dictature ploutocrate, que dans les pays qui le subissent et qui savent bien, l’exemple de l’Iran ne s’avérant décidément pas probant, que l’islam, même intégral, ne sera pas la solution mais à nouveau le problème. Or, visiblement, ces peuples n’aspirent pas à la guerre, même contre Israël. Ce qui énerve bien par exemple ce clown pour cirque de dernière catégorie qu’est le triste sire Kadhafi qui cherche à faire les yeux doux aux tunisiens après les avoir insultés.

Mais regardez ce qui se passe en France…

Suite et source: http://www.lucien-sa-oulahbib.info/

06/01/2011

La République française au bord du gouffre: aux urnes, citoyens !!!

Ne plus jamais voir ceci sur NOS terres chrétiennes…

Les cantonales sont en mars prochain. Quelle belle opportunité de foutre une grande claque à l’islamisme et aux dhimmis politiques français qui le soutiennent et le subventionnent avec NOS impôts…
FDF

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Les prières sont interdites dans les rues en Algérie, alors que l’islam est religion d’État ; comment alors expliquer que ces prières soient autorisées et légalisées en France, pays ex-laïc et ex-républicain.

Pour justifier ces occupations illégales des rues, l’UMP et le PS rétorquent que c’est l’absence de mosquées qui en est la cause ! C’est faux : entre 1965 et 2010, la France est passée de 5 a 2.359 lieux de culte musulmans, financés indirectement par les contribuables français, en passant par des subventions culturelles, transformées en cultuelles.

La multiplication de ces prières de rues est d’abord la conséquence d’une immigration massive et incontrôlée, qui défie les fondements mêmes de notre identité nationale; à quoi ressemblera la France dans les 20 prochaines années si rien n’est fait ?   C’est maintenant qu’il faut agir, en adhérant massivement au Front National, seul parti politique, capable de redresser la situation, et d’inverser les flux migratoires.

Les constructions de mosquées, le port de la burqa, la généralisation de la nourriture exclusivement halal, l’interdiction du porc dans les cantines scolaires etc. Toutes ces revendications défient les lois françaises.

Aux urnes citoyens, mars 2011 est proche avec ses élections cantonales ; soyez courageux,patriotes; avec vous nous redresserons la France, sans vous, c’est à l’ombre des minarets que nous vivrons…

Source : Nations Presse Info
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