Francaisdefrance's Blog

01/08/2011

Oskar Freysinger: « Brevvik a fait son propre djihad ».

Pas tort, Oskar; pas tort…

FDF

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Le fer de lance de l’initiative antiminarets Oskar Freysinger (UDC) tient à distinguer ses propres critiques de l’islam de celles d’un Anders Behring Breivik, en soulignant l’importance du débat.

Dans une interview accordée au « Matin Dimanche », l’UDC Valaisan Oskar Freysinger répond à la question que nombre de personnes se posent depuis les attaques meurtrières de Norvège: comment distinguer le discours sur l’islam dans les milieux d’extrême-droite d’un appel à la haine?

L’élu valaisan souligne d’entrée de jeu que l’UDC se place dans un débat démocratique. « Nous ne voulons pas fermer les frontières, souligne Oskar Freysinger, mais que ça se passe de manière précise et de manière plus restrictive. Que l’on soit d’accord avec nous ou pas, c’est autre chose. Au moins, le débat a lieu ».

Pour Freysinger, museler l’extrême-droite serait un mauvais calcul. Une telle mesure engendrerait même l’apparition de plus de « fous » tels que Brevvik. Le rôle de l’extrême-droite est celui de « briser les tabous », poursuit l’UDC valaisan. Pour lui, les dérives extrémistes sont évitées en Suisse grâce au discours clair de l’UDC sur l’immigration.

Enfin, l’élu dénonce l’absurdité et l’illogisme des actes du tueur norvégien: « Je m’abstiendrai toujours d’utiliser les moyens de ceux que je combats. C’est ce que Breivik n’a pas compris. Qu’a-t-il fait d’autre que son propre djihad? ».

A propos de l’islam, Oskar Freysinger rappelle son credo. Pour lui, l’islam est un grave problème en Europe, notamment par son aspect « monoculturel »: « L’islam est incompatible avec un Etat de droit (…). Les musulmans en sont les premières victimes (…), souligne Freysinger. En luttant, je me bats aussi pour les libérer de ce dogme totalitaire. » Oskar Freysinger dénonce enfin les « ghettos monoculturels » de l’islam, engendrant deux sociétés parallèles proches « d’une guerre civile latente. »

Source: http://www.tdg.ch/

12/04/2011

Lundi 11 avril 2011 1 11 /04 /Avr /2011 12:18 Vidéo choc : débat sur l’islam dans le 93 !

Ils ne lâcheront jamais. A nous de nous montrer plus résistants qu’eux. Et à ce stade là de la haine anti française et anti chrétienne hurlée sur nos terres, je pense qu’il n’y a plus de « cadeaux » à faire. Bande de malades!

Visionnez bien cette vidéo. Ca c’est passé hier lundi dans le « neuf-trois ». Et dire qu’il n’y a encore pas longtemps, quelqu’un de « haut placé » du gouvernement affirmait qu’il n’y avait aucun rapport entre l’islamisation et les banlieues… Voyez encore de quoi « ils » sont capables. « On » les a trop laissé faire et ils se croient en terrain conquis. A nous de leur montrer que non; par tous les moyens. A situation grave, recours exceptionnels…

FDF

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Lire : http://www.drzz.info/article-video-choc-debat-sur-l-islam-dans-le-93-par-jean-patrick-grumberg-71472105.html

04/04/2011

LE DEBAT SUR L’ISL… SUR LA LAICITE C’EST DEMAIN …

Débat sur l’islam la laïcité… Faut arrêter d’user le soleil…

Le « foutage de gueule » continue… On se demande bien ce qui va encore augmenter, pendant que le peuple sera médiatiquement scotché sur ce faux débat (pas nos revenus, bien sûr…).

FDF

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« DEUX HEURES » DE PARLOTES POUR REGLER NOTRE AVENIR IMMEDIAT ?

Sarkozy, l’islam et le défoulement permanent

Les religions renâclent devant le débat sur la laïcité. Nicolas Sarkozy s’était pourtant fait le champion de la «laïcité positive». C’est bien le retour à une laïcité étroite, craintive, étriquée qu’il faut, aujourd’hui, redouter.

Nicolas Sarkozy a perdu la main auprès des autorités religieuses du pays. Il s’en était fait des alliés, enthousiastes du côté juif, partagés chez les musulmans, réservés chez les catholiques et les protestants. L’échec annoncé du débat sur la laïcité qui, malgré les oppositions et les excusés, se tiendra le 5 avril ne laissera pas seulement des traces au sein d’une majorité divisée.

Ce débat imposé au forceps, nourri par une méfiance de l’islam qui ne veut pas dire son nom, dicté par la stratégie qui consiste à regagner du terrain sur le Front national indispose aussi les responsables religieux. Ceux-ci viennent de dénoncer une opération politicienne sur un terrain — la laïcité — qui, après des décennies de combat, était redevenue consensuel et a déjà fait l’objet de toutes sortes de commissions, de rapports et de débats.

Opération inopportune à quelques mois d’une échéance électorale capitale, quand la France doit faire face à tant de difficultés plus réelles. Comment expliquer un tel fiasco sur un terrain que, par sa personne, Nicolas Sarkozy avait réussi à déminer?

Dans son livre de 2004 intitulé La République, les religions, l’espérance (aux éditions du Cerf), Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’intérieur, avait montré toute l’estime qu’il portait aux religions et sa volonté d’en finir avec la laïcité anticléricale d’autrefois. La religion est un fait de culture et d’identité, disait-il. Elle fonde des valeurs et des engagements bénéfiques pour toute la nation.

Responsable des cultes, il entretenait les meilleures relations avec les autorités religieuses, prenait parti dans le débat pour l’enseignement des religions à l’école publique, donnait les coups de pouce nécessaires à l’organisation de l’islam de France dont il était devenu l’architecte, obtenant même, après des années de laborieuses tractations, l’élection d’un Conseil français du culte musulman, qui fait toujours office de représentation.

Devenu président de la République, il saluait en toute occasion le modèle français de laïcité – neutralité de l’Etat dans l’exercice des cultes, respect absolu de la liberté des consciences. A la basilique du Latran à Rome, le 20 décembre 2007, il flattait les racines chrétiennes de la France – ce qu’il vient de refaire au Puy-en-Velay –, exaltait avec excès le rôle éducatif du curé jugé supérieur à celui de l’instituteur.

Le 14 janvier suivant à Ryad, il louait la modération de l’islam saoudien et citait à douze reprises le nom de Dieu, faisant scandale chez les laïcs en tenant pour une évidence que «Dieu est au cœur de chaque homme». Au même moment, il lançait son concept de « politique de civilisation » qui n’aurait aucune chance d’aboutir si la dimension religieuse de l’homme n’était pas respectée et si le jeu des forces confessionnelles était ignoré.

En septembre 2008, devant le pape Benoît XVI à l’Elysée, il se faisait l’avocat d’une «laïcité positive», encourageant la participation de toutes les religions aux questions qui divisent la société : immigration, éducation, bioéthique, etc.

Ainsi Nicolas Sarkozy développait-il une vision de la laïcité assez différente de celle qui avait fini par s’imposer après un siècle de crise en France. Déjà certains lui prêtaient des intentions «concordatrices» dans la lignée d’un Napoléon qui avait une vision politique et cynique de la religion, conçue comme nécessaire au bon fonctionnement de la nation.

On le disait même proche d’un Charles Maurras (1868-1962), admiratif de l’œuvre civilisatrice de l’Eglise catholique, faisant de la religion l’instrument de l’ordre et du salut public. On lui prêtait enfin un rêve de «religion civile» à l’américaine. La Constitution des Etats-Unis sépare nettement la religion de l’Etat, mais une «religion civile» existe bien outre-Atlantique qui exclut toute suprématie confessionnelle, mais place sans complexe la religion au cœur de la sphère publique.

Burqa, prières dans la rue, et surenchères

Qu’en est-il aujourd’hui après le lancement tumultueux du débat sur la laïcité par l’UMP, aussi étriqué est-il devenu – il durera deux heures – à la suite des polémiques qui ont surgi sur son opportunité et son utilité? La grande ambition de Nicolas Sarkozy, qui était de réviser l’exercice de la laïcité dans un sens plus moderne, sans toucher à la loi-monument de 1905, est en train d’échouer.

Le camouflet des responsables religieux qui ont décidé de boycotter ce débat de l’UMP est un profond désaveu. La cause en est l’islam devenu le miroir de toutes les obsessions de la droite et de l’extrême droite. Après l’interdiction générale de la burqa, les prières dans la rue dénoncées par Marine Le Pen, aussi marginales soient-elles et trahissant surtout un déficit de lieux de cultes, ont ouvert la voie à toutes les surenchères.

Il ne s’agit pas de nier les difficultés d’intégration de l’islam dans la République laïque, ni le poids des minorités extrémistes, ni la montée de revendications spécifiques que n’ont pas prévue les règles de la laïcité, mais le risque est grand de montrer du doigt une population dont la majorité est intégrée et accepte les lois politiques et religieuses de la France. Le péché originel de ce débat sur la laïcité est bien le risque de stigmatiser une religion et, par ricochet, de porter atteinte à l’image pacifique de toutes les autres. D’où cette abstention des autorités religieuses.

La stratégie politique de Nicolas Sarkozy – retenir ses électeurs attirés par le Front national – a fait le reste. Son grand projet de «laïcité positive» à la française rejoint le cimetière des plus belles promesses et c’est le retour à une laïcité étroite, craintive, étriquée qu’il faut aujourd’hui redouter.

Car que faut-il attendre d’un tel débat sur l’islam — n’en doutons pas, c’est de lui seul qu’il s’agit — qui, même maîtrisé, risque de donner lieu à des dérapages verbaux. Sur les «prêches intégristes» dans les mosquées prononcées en langue arabe. Sur la multiplication des prières dans la rue et des écoles coraniques. Sur l’appel à des bailleurs étrangers pour la construction de mosquées. Sur la hausse des revendications à la viande halal dans les cantines scolaires. Sur les refus abusifs de médecins hommes dans les hôpitaux pour soigner des femmes. Sur les horaires spécifiques réservées aux femmes dans les piscines.

Exercice de défoulement

A défaut de pouvoir traiter sereinement chaque question et toucher à la loi de Séparation considérée comme intouchable, ce débat risque de tourner à l’exercice de défoulement des malaises et des peurs. Dans le meilleur des cas, il aboutira à l’adoption d’une résolution destinée à rappeler les principes républicains et à la rédaction d’un code de la laïcité. Il y a pourtant des questions urgentes à régler.

Sur la formation des imams où tout reste à faire et sur le financement des lieux de culte où des solutions provisoires s’esquissent déjà comme l’attribution de baux emphytéotiques par les collectivités locales à des associations qui veulent financer leurs propres mosquées.

Dans ce débat, il y a un fil rouge inavoué: l’instrumentalisation politique de l’islam qui font se lever contre elle l’opposition, une bonne partie de la majorité, certains ministres dont le Premier – qui s’abstiendra de participer au débat – et l’ensemble des religions qui sentent peser sur elles comme une menace diffuse. Quand on mesure les limites du débat d’aujourd’hui sur la laïcité, on se prend à penser que le discours de Nicolas Sarkozy sur les religions obéissait moins à une conviction personnelle qu’à la nécessité de se plier aux contraintes de l’agenda politique.

Source: http://echodupays.kazeo.com/


02/04/2011

la laïcité, n’a aucune raison d’avoir lieu, en 2011, en France ou ailleurs dans les pays occidentaux!

Le site Guysen International rapporte (extraits) que le prêcheur anglophone le plus influent d’Al-Qaïda, Al-Awalki, a déclaré, dans la cinquième édition d’Inspire, le magazine en ligne d’Al-Qaïda dédié aux Musulmans des pays occidentaux, que « les révoltes qui secouent le monde arabe sont de nature à porter la cause du groupe terroriste, en donnant aux islamistes libérés davantage de possibilité de s’exprimer ».

Al-Awalki a avancé que « la démission des « autocrates islamistes » signifie que les « combattants » (note de JPG : ce sont des terroristes islamistes. Mais l’OCI a menacé les dirigeants européens que si le terme terroriste, associé à islam, est encore employé, les populations européennes seront punies, et donc vous ne lirez plus le terme terroriste  islamiste, dans les médias) et les universitaires islamiques sont désormais libres de discuter et de s’organiser » (note de JPG : discuter avec des ceintures de dynamite et s’organiser pour le grand Jihad européen).
« Nos frères moudjahidin de Tunisie, d’Egypte, de la Libye et du reste du monde musulman auront la chance de respirer à nouveau après trois décennies de suffocation », a-t-il écrit sur le site (note de JPG : quel ingrat, il pourrait dire merci à Bernard Henri Levy et à la France pour le coup de main en Libye).
« Le fait que les universitaires et les activistes d’Egypte puissent s’exprimer à nouveau librement (…) représente une grande étape en avant pour les moudjahidin », a-t-il ajouté. (Note de JPG : les activistes d’Egypte peuvent s’exprimer à nouveau tandis que les français eux doivent se taire)
« Nous ne savons pas encore quel sera l’issue (des révolutions) …et nous considérons ce qu’il se passe comme une étape dans la bonne direction », continue-t-il. (note de JPG : la bonne direction pour l’islam est une mauvaise direction pour le monde libre)
« En Libye, peu importe que la situation soit si mauvaise et peu importe si le prochain gouvernement sera pro-occidental ou oppressif » (note de JPG : encore merci, Sarkozy)
Abu Hurairah al-Sana’ani, un des leaders d’Al-Qaïda et l’un des terroristes islamistes les plus recherchés dans le monde, a appelé les Musulmans vivant en France et ailleurs dans les pays occidentaux à tuer les Juifs et les Chrétiens chaque fois qu’ils entendent des drones américains frapper le Pakistan, ou des Israéliens tuer des Palestiniens, ce qui confirme que le débat sur l’islam, pardon, sur la laïcité, n’a aucune raison d’avoir lieu, en 2011, en France ou ailleurs dans les pays occidentaux.
Jean-Patrick Grumberg

15/03/2011

Le débat électoraliste sur l’islam, c’est dimanche déjà, qu’il va ressortir des urnes…

Ce premier tour déterminant devrait faire pencher la balance. Pas dans le bon sens pour les muzz ni leurs sympathisants, bien sûr…

FDF

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Les musulmans craignent un débat électoraliste sur l’islam…

Le secrétaire général de l’UMP, Jean-François Copé, a rencontré samedi 12 mars le recteur de la Grande Mosquée de Paris pour l’assurer « des bonnes intentions du débat sur la laïcité » prévu le 5 avril 

Le président du Conseil français du culte musulman, Mohammed Moussaoui, avait déjà fait part de « son inquiétude ». Un collectif d’une dizaine de responsables musulmans (parmi lesquels Azzedine Gaci, recteur de la mosquée de Villeurbanne, Larbi Kechat, recteur de la mosquée Addawa à Paris, ou encore Tareq Oubrou, imam à Bordeaux) a dénoncé le 4 mars dernier, dans les colonnes du Monde , « le débat de trop ».

« Sans aucun doute, le débat sur l’islam, en France, est légitime. En revanche, le calendrier électoral et les termes de la campagne politique à venir risquent de lui porter préjudice, car il pourrait renforcer des amalgames déjà trop ancrés dans l’esprit de nombre de nos concitoyens », expliquent-ils.

Samedi, lors d’une rencontre avec Dalil Boubakeur, le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Jean-François Copé, le secrétaire général de l’UMP, s’est efforcé de calmer le jeu en l’assurant « des bonnes intentions du débat sur la laïcité ».

Abdallah Zekri a déchiré sa carte de l’UMP

Il est vrai que l’opposition d’une partie de la communauté musulmane à l’organisation par l’UMP le 5 avril prochain d’une « convention sur la place des cultes en France et singulièrement l’islam » a pris, la semaine dernière, un tour spectaculaire.

À l’occasion d’une rencontre à la Grande Mosquée de Paris réunissant 150 militants associatifs ou élus de confession musulmane, un militant du Gard, Abdallah Zekri, chargé de mission au Conseil français du culte musulman et aumônier des hôpitaux, a déchiré sa carte du parti majoritaire et appelé « tous les musulmans de l’UMP » à l’imiter.

De son côté, le conseiller technique chargé de l’intégration à l’Élysée, ancien secrétaire national chargé de l’immigration à l’UMP, Abderrahmane Dahmane, aurait – selon l’AFP – qualifié « l’UMP de (Jean-François) Copé » de « peste pour les musulmans » et appelé ses coreligionnaires à « ne pas renouveler leur adhésion » à ce parti tant que le débat n’a pas été annulé.

« Poignée de néonazis »

Après avoir comparé la situation des musulmans en France aujourd’hui à celle des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, il aurait dénoncé la « poignée de néonazis » qui a décidé de lancer le débat. Celui-ci, « voulu par Nicolas Sarkozy pour la défense des musulmans, a été dévié parce qu’à l’UMP il y a des gens très proches du Front national », a déploré ce fervent soutien du président de la République depuis la création en 2003 du Conseil des démocrates musulmans de France qu’il préside.

La réaction ne s’est pas fait attendre. Nicolas Sarkozy a immédiatement mis fin aux fonctions de conseiller technique d’Abderrahmane Dahmane. Une décision officialisée dès samedi par la publication d’un arrêté au Journal officiel.

Par ailleurs, la direction de l’UMP a dénoncé « des propos diffamatoires et dangereux ». Son secrétaire général adjoint, Marc-Philippe Daubresse, a assuré que ce débat sur la laïcité aurait bien lieu, comme prévu, le 5 avril et qu’il était « doublement nécessaire » dans un contexte de montée du Front national et pour réaffirmer « les principes humanistes et républicains fondateurs de la loi de 1905 ».

De son côté, le Collectif Banlieues Respect avait demandé vendredi dans un communiqué adressé à « l’Église de France » « la mise à disposition des églises vides pour la prière du vendredi », estimant que cette mesure permettrait « d’éviter que les musulmans ne prient dans la rue » et ne soient « les otages des politiques ».

Source: http://www.la-croix.com/

Et c’est maintenant qu’ils s’en aperçoivent…

Cantonales 2011.

Ca pue la récupération politique à plein nez, ça. J’espére que cette fois, les Français auront compris les manoeuvres électorales de l’ UMP. En ce qui concerne le PS, leur position pro-islamique étant des plus claires, le débat sera vite clos. Et les sous-partis qui suivent comme des petits chiens, laissons-les aboyer tout seuls dans leur coin…

FDF

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La délinquance : question sous-jacente du débat sur l’islam…

Le président de la République a annoncé l’organisation d’un débat sur la place de l’islam en France. L’UMP justifie l’utilité de ce débat avançant notamment que certaines pratiques de l’islam posent des problèmes à notre République laïque. Le sujet ne laisse pas indifférent : les réactions ont été nombreuses à droite comme à gauche. Entre ceux qui pensent qu’il représente un danger parce qu’il peut diviser les Français et ceux qui au contraire considèrent qu’il ne faut pas laisser le monopole du sujet au Front national, le clivage est prononcé. L’islam est aujourd’hui un sujet, à tort ou à raison, qui intéresse la classe politique.

Pourtant, l’islam est présent depuis le Moyen-Age en France. De la conquête de l’Hispanie au VIIIe siècle jusqu’à l’installation en France de réfugiés fuyant la Reconquista en Espagne, la présence de musulmans n’est pas nouvelle. Cependant, la crise économique combinée à un nouveau flux migratoire a peu à peu poussé la question de l’islam au cœur des débats. Certains éditorialistes, personnages publiques et responsables politiques, évoquent très régulièrement la question de l’islam en France, aujourd’hui deuxième religion du pays.

Si les arguments de la présidence et du parti majoritaire quant à l’organisation de ce débat sont tout à fait recevables, il est manifeste qu’une autre question est sous-jacente : celle de la délinquance dans la population musulmane. On observe en réalité une sorte de confusion entre la figure du musulman (parfois islamiste) et celle du délinquant. Certaines personnes d’origine musulmane, souvent modestes et habitants des banlieues défavorisées, posent des difficultés. La question est donc moins la place de l’islam que la réponse à apporter à cette délinquance.

DISTINGUER LA CORRÉLATION DE LA CAUSALITÉ

A ce propos, Eric Zemmour a déclaré que la majorité des délinquants étaient Arabes ou Noirs. Même s’il n’existe pas de statistiques ethniques en France, il est vraisemblable, notamment au vu de certaines notes ministérielles, que cette affirmation ne soit pas une contre-vérité. De même, alors que j’ai dernièrement publié un essai sur le racisme anti-Français en banlieue, certains ont mis l’accent sur la corrélation entre la religion musulmane et ce racisme, aussi porté par des individus se réclamant musulmans.

Cependant, il convient de distinguer la corrélation (il se trouve que des délinquants sont musulmans) de la relation de causalité qui n’existe pas : ce n’est pas parce qu’ils sont musulmans que la délinquance ou le racisme sont générés. L’origine du phénomène, dans les deux cas, est sociale. Bien que la présence musulmane a pris une nouvelle ampleur et qu’elle peut effectivement poser des problèmes nouveaux à un pays de tradition non-musulmane, il semble que le débat prioritaire se situe autre part.

DES PROBLÈMES SOCIAUX QUI APPELLENT À DES RÉPONSES SOCIALES

En effet, ces problèmes sur la pratique de l’islam paraissent marginaux. Sans nier que les jeunes habitants de quartiers défavorisées, souvent musulmans, sont sur-représentés dans l’expression de certains problèmes (délinquance, racisme anti-Français), il serait bon de ne pas faire de la question religieuse le sujet central.

Dans ce cadre, plusieurs pistes mériteraient d’être étudiées. Le sentiment de ne pas appartenir à la nation, la délinquance et le racisme « anti-blanc » sont liés à une forme de démission de l’Etat dans sa mission éducative et dans le respect des lois. La qualité des établissements scolaires dans certaines banlieues est médiocre, certains professeurs essayant d’adapter le savoir à leur auditoire. Il arrive qu’on étudie des textes de chansons de rap alors que les élèves des beaux quartiers acquièrent plus facilement une culture plus classique. Les habitants des banlieues pauvres sont donc doublement défavorisées : de par leur condition sociale et le manque de savoir acquis à l’école et qui demeure un moyen privilégié de s’affranchir de sa classe sociale.

Par ailleurs, le volet répressif ne doit pas être négligé. L’Etat éprouve des difficultés à s’imposer dans certains quartiers. L’exemple du manque de places dans les prisons est significatif : des condamnations ne sont pas appliquées faute de places. Certains juges hésitent à envoyer ces jeunes en prison par peur de l’effet « école du crime ». Il serait donc bon d’assurer la sécurité de nos concitoyens, non seulement à travers l’action policière mais aussi grâce à un système judiciaire qui disposerait de davantage de places en prisons, plus humaines et donc plus susceptibles d’encourager la réinsertion.

L’exigence dans le savoir et la fermeté dans le respect des lois pourraient constituer les deux piliers d’une réponse sociale qui mettrait la question de la pratique de l’islam (aux sous-entendus potentiellement lourds de conséquences) au second plan.

Source: http://www.lemonde.fr/

13/03/2011

Laissez venir à moi les petits chrétiens…

Ca « sonne faux », tout ça… Et dire que malheureusement, certains vont tomber dans le piège de l’islam radical…

FDF

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Un air sympathique, non?

Alors que le débat sur l’islam déchaîne les passions politiques, l’opinion d’un jeune recteur de plus en plus écouté.

C’est un homme qui commence à compter dans l’islam de France. Recteur de la mosquée de Villeurbanne, Azzedine Gaci, 46 ans, Algérien d’origine, est une voix écoutée. Président du Conseil régional du culte musulman (CRCM), il entretient de bonnes relations tant avec le sénateur-maire de Lyon, Gérard Collomb, qu’avec le député et ancien ministre UMP Dominique Perben. 

Arrivé à Lyon en 1986 pour terminer ses études, Azzedine Gaci est aujourd’hui enseignant-chercheur à l’École supérieure de chimie-physique-électronique de Lyon. Se disant indépendant, bien que rattaché à l’UOIF, l’aile radicale de l’islam français, il dirige une mosquée influente de la région lyonnaise, parce que fréquentée par nombre d’étudiants et enseignants – elle est proche du campus universitaire de la Doua. Il a été élu à la tête d’un CRCM qui pèse dans le paysage islamique français, puisque Rhône-Alpes regroupe 600 000 musulmans et 170 lieux de culte – dont une vingtaine de mosquées.

Et Azzedine Gaci en a plutôt assez de ce débat récurrent sur la place de l’islam, les problèmes que cette religion pose, la loi de 1905 qu’il faudrait réformer ou non… « On en discute depuis une dizaine d’années, et aucune décision n’est prise », déplore-t-il. Sans pour autant esquiver le sujet. « Je perçois bien la peur de nombre de Français non musulmans, constate-t-il. Mais j’ai mon explication sur le sujet : la mondialisation a mis fin à toutes les frontières géographiques, économiques, culturelles, ce qui engendre une crise d’identité pour les Français, dans un contexte de graves difficultés économiques. Et cela coïncide avec une présence musulmane de plus en plus visible. »

« Nous ne voulons pas des manipulations »

L’homme se dit « favorable à un débat sur l’islam », mais s’interroge sur sa pertinence actuelle. « Pourquoi l’avoir lancé maintenant, à quinze mois des présidentielles ? interpelle-t-il. Ce n’est pas le moment. Nous ne voulons pas des manipulations, des instrumentalisations de ces peurs qui sont, parfois, légitimes. »

Que faire alors pour lutter contre ce climat anxiogène, qui sévit des deux côtés (Rhône-Alpes connaît depuis un an une recrudescence des actes islamophobes) ? Azzedine Gaci se prononce pour la création d’un institut de formation des imams, financé par l’État et implanté à Strasbourg (ville qui n’est pas concernée par la loi de 1905). Il essaie de déminer les polémiques en fustigeant les politiques qui mettent de l’huile sur le feu. « La majorité des musulmans se vivent comme Français et observent un islam apaisé », assure-t-il. Sans pour autant absoudre complètement ses coreligionnaires. « Nous n’avons pas à importer en France des problèmes qui existent ailleurs », confie Azzedine Gaci. Le recteur de Villeurbanne en appelle aussi au sens des responsabilités de ses pairs. « Les musulmans ont un travail pédagogique à effectuer, afin que nous construisions un discours qui pacifie et réconcilie. » Une opinion à verser au débat.

Source: http://www.lepoint.fr/

03/03/2011

Les muzz dans la rue, c’est le chef d’Etat à la rue…

Et ça, Sarkö Ier l’a bien compris. Il passe du lèche-babouche à la laïcité et inversement. Il est maintenant obnubilé par le débat sur l’islam. Trop tard, président, trop tard…

FDF

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C’est Marine qui doit être contente. Avec tout cela même plus besoin de se creuser les méninges pour trouver des idées. Il suffit de suivre Sarkozy aux traces odorantes laissées par ses discours pour ramasser tel le Petit Poucet, de bon arguments populistes et électoralistes … Et elle a bien raison… Ce n’est qu’un juste retour des choses. Rendons à César…

Après tout, c’est avec des voix du FN que Sarkö Ier est monté sur le trône en 2007. Mais les brebis égarées ont repris le bon chemin. Si avec tout ce qui s’est passé depuis son accession au pouvoir les Français n’ont toujours pas compris…

Marine; vite !!!

FDF

Source: http://sarkostique.over-blog.com/

Islam et laïcité: prenez garde… Terrain miné.

Excellente analyse… C’est à NOUS de dicter et d’imposer la pratique de l’islam aux musulmans sur notre territoire. Et pas le contraire. On ne peut que tolérer, cette idéologie et sous NOS conditions. Et ne pas laisser cela devenir une affaire d’Etat à des fins électoralistes, comme NOTRE gouvernement est en train de le pratiquer. On abandonne la France au profit d’un islam jugé prioritaire. C’est la fin de tout, là…

FDF

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Depuis une génération, les fondements de notre société subissent une pression religieuse sans précédent. L’islam frappe à toutes les portes de la République et s’efforce de pénétrer notre arsenal juridique pour obtenir un droit de cité de plus en plus large. Nous aurions tort de ne pas prendre garde à ce phénomène, car son développement risque de bouleverser ce qui fait l’essence de la France.

À l’époque gallo-romaine, le christianisme a supplanté les vieilles croyances païennes, mais cette évolution spirituelle s’est faite de l’intérieur, contrairement à ce qui se produit aujourd’hui. La deuxième religion de France est totalement importée. Pour des raisons historiques, d’abord, du fait de la décolonisation ; par maladresse, ensuite, en accordant la nationalité française selon des procédures automatiques aux enfants de parents étrangers nés sur notre sol ; par la mise en place, enfin, de politiques d’immigration qui ont facilité l’accès à notre territoire de populations en majorité musulmanes.

L’effet de masse a fait le reste. Des revendications inconnues jusqu’ici se manifestent, les unes derrière les autres, jamais en bloc. Elles ne procèdent probablement pas d’une manoeuvre délibérée, mais leur succession constitue un piège qui fonctionne à merveille, car il nous contraint à réagir au coup par coup. On mesure bien la fragilité de la riposte, qui s’exprime par des mesures d’interdiction, souvent difficilement applicables. Si l’école a su faire respecter la réglementation du port du voile, c’est parce que l’opposition à cette marque ostentatoire de religion a fait l’objet d’un large consensus, notamment au sein du monde enseignant, vigilant gardien de la laïcité. D’autres sujets, comme le port de la burqa ou la construction de lieux de culte, sont sources de débats et il faudra du temps pour que la justice dégage une jurisprudence qui s’imposera à tous les tribunaux, lesquels tranchent aujourd’hui dans des sens divers.

Si nous pensons faire front en élevant des barrières juridiques chaque fois que nos fondements culturels et politiques sont menacés, nous échouerons, car elles sauteront toutes les unes après les autres, par difficulté à les faire appliquer. Nous serons victimes de nos propres règles, tout bonnement parce que la pratique de l’islam, si éloignée de nos moeurs enracinées dans la morale judéo-chrétienne, exigera, au nom des libertés fondamentales, le droit à la nourriture halal, le droit à la pratique traditionnelle du culte à l’école et sur les lieux de travail, le droit pour un musulman d’obtenir la garde d’un enfant issu d’un couple mixte, conformément à la loi musulmane, etc.

On commence à faire appel à un islam de France, en se fondant sur l’organisation cultuelle mise en place ces dernières années. Idée cartésienne bien de chez nous, mais sans efficacité et sans avenir. L’influence du Conseil français du culte musulman sera toujours limitée, puisque l’islam, échappant à toute structuration hiérarchisée, est étranger à nos formes d’organisation. Rien ne garantit en outre son invulnérabilité à des idéologies venues de l’extérieur.

Pendant ce temps, la charia gagne du terrain dans les banlieues, dans certains milieux éducatifs, dans l’entreprise, dans le commerce, avec ces chaînes de distribution et d’alimentation qui s’adaptent à la demande d’une clientèle musulmane, quand elles ne la précèdent pas. On ne sert plus de porc dans les avions, car il est plus simple de procéder ainsi que de proposer deux menus. On tend à banaliser la pratique d’exception, par commodité, sans s’apercevoir qu’elle devient la norme. Qui peut croire que nous pouvons continuer sur cette voie sans dommage pour l’équilibre de notre société ?

Il faudra bien dire que ces dérives sociales ne sont pas compatibles avec l’ordre public français, celui qui exprime l’état de nos moeurs, en évolution constante et dont il revient au juge de préciser le contenu. Rôle redoutable, confié aux magistrats, alors que le bloc de l’institution judiciaire montre des fissures qui ne doivent s’élargir à aucun prix.

Alors, que faire ? Commençons par faire preuve de lucidité. Notre politique de la ville est un désastre qui a englouti des milliards d’euros. Des associations ont alimenté avec l’argent du contribuable un esprit communautariste au lieu de favoriser l’intégration, à défaut de l’assimilation. Nous voilà avec des centaines de milliers de Français malgré eux, qui, à ce titre, présentent une force revendicative que nous aurons du mal à contenir, et une immigration clandestine dont le poids est à redouter.

Un coup d’arrêt s’impose pour dire clairement que la charia est incompatible avec nos principes républicains et notre culture héritée de deux mille ans d’histoire. Sans doute faudra-t-il préciser, en ranimant les vertus de la laïcité, les conditions dans lesquelles la religion musulmane peut être pratiquée sur le sol national. Tâche délicate, mais si nous ne le faisons pas, nous devrons vivre dans une autre France, et nombreux seront ceux qui ne l’accepteront pas. Il sera alors trop tard pour le regretter…

Source: http://www.valeursactuelles.com/


Crèche Baby Loup : délibération reportée.

Pour mieux sauter, espérons-le… Mais à mon avis, c’est fait pour « enterrer l’affaire »… Avant l’issue du débat sur l’islam, bien sûr. En outre, on sait maintenant pourquoi Jeannette Bougrab a soudainement quitté la scène…

FDF

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La délibération de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (Halde) concernant une ex-salariée voilée de la crèche Baby Loup de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), prévue pour lundi, a été reportée au 21 mars, a t-on appris auprès de l’organisme. 

Selon cette source, des auditions sont toujours en cours actuellement, ce qui justifie le report au 21 mars du rendu de la délibération.  En décembre 2010, le conseil des prud’hommes de Mantes-la-Jolie (Yvelines) a validé le licenciement pour « faute grave » de cette salariée voilée, dont le cas avait créé des remous jusqu’au sommet de la Haute autorité de lutte contre les discriminations (Halde), après qu’un premier avis favorable à la salariée rendu en mars 2010 eut été contesté en octobre par Jeannette Bougrab, alors présidente de la Halde.

Eric Molinié, qui a remplacé Mme Bougrab mi-décembre, avait expliqué au journal La Croix fin janvier que « la première délibération de la Halde était une analyse juridique du problème posé par une puéricultrice, liée par un contrat de droit privé, à une crèche associative. Nous avons décidé d’ouvrir une réflexion plus large sur ce sujet complexe ».

Source: http://www.lefigaro.fr/

02/03/2011

« Les autres religions (que l’islam) ne posent pas de problèmes »…

Et c’est Thierry Mariani qui le dit… Au sujet du débat sur l’islam. Mais tout le monde le pense… Et le constate chaque jour.

FDF

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Sur Le Post, le secrétaire d’Etat aux Transports explique pourquoi il fait partie des rares partisans de ce débat, qui suscite de nombreuses réserves à droite (voir ses propos ci-dessous).

Thierry Mariani, le 7 décembre 2009, à Marseille.
Thierry Mariani | MAXPPP

Le débat sur la laïcité et la place de l’islam, qu’organise l’UMP en avril à la demande de Nicolas Sarkozy, est condamné unanimement à gauche et n’en finit plus de susciter des réserves à droite.

Au sujet de ce débat visant à contrer le FN dans l’optique de 2012, François Fillon a jugé lundi sur RTL que s’il « devait conduire à stigmatiser les musulmans », il s’y « opposerait ». Outre le Premier ministre, le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé, le Président du Sénat Gérard Larcher, celui de l’Assemblée Bernard Accoyer, l’ex-ministre Patrick Devedjian ou encore les anciennes ministres Rama Yade et Rachida Dati ont adressé à leur tour une mise en garde sur ce débat, appelant à éviter « la stigmatisation » des musulmans.

Le centriste Dominique Paillé fait partie des membres de la majorité opposés à ce débat. Dans une interview au Post, l’ancien porte-parole de l’UMP aujourd’hui secrétaire national du parti majoritaire, demande à Nicolas Sarkozy de se recentrer avant 2012 car selon lui, « il ne sert à rien de courir après les thématiques du FN ».

Pour tenter d’éteindre l’incendie qui embrase la majorité, le patron de l’UMP Jean-François Copé assure désormais que ce débat ne porte pas uniquement sur l’islam mais prioritairement sur « le pacte républicain » et « la laïcité ». Ce débat n’a « rien à voir » dans la méthode avec celui sur l’identité nationale, a-t-il assuré mardi, sur France Inter.

Pourtant, depuis l’intervention présidentielle sur TF1, le 10 février, lors de laquelle l’idée de lancer ce débat a été évoquée pour la première fois, Nicolas Sarkozy et Jean-François Copé ont toujours décidé de débattre principalement de la place de l’islam en France.

À l’UMP, ceux qui sont favorables à ce débat sur l’islam sont minoritaires. Outre Jean-François Copé, deux membres du gouvernement soutiennent également ce débat.

L’ex-ministre de l’Immigration Éric Besson, devenu ministre de l’Industrie, se réjouit de voir revenir à l’ordre du jour des sujets qui rappellent le débat sur l’identité nationale. Un débat qu’il avait lancé fin 2009 et abandonné après trois mois de débat et autant de polémiques.

Le secrétaire d’Etat aux Transports et député UMP, Thierry Mariani, est également favorable à la tenue de ce débat. Contacté par Le Post, il explique pourquoi.

Pourquoi êtes-vous favorable à la tenue de ce débat sur l’islam ?
« Dans les sondages, c’est une question qui monte. Les gens parlent de ce sujet. On ne peut pas faire l’économie d’un débat sur l’islam. C’est une opération nécessaire car il y a un vrai problème concernant la pratique de cette religion et la question du financement de lieux de culte. Il faut clarifier l’espace dévolu à la laïcité et celui accordé à la pratique de l’islam. La majorité doit apporter une réponse à ces questions, contrairement à Marine Le Pen qui critique sans apporter de remèdes. »

Dans la majorité, beaucoup craignent des dérapages et une stigmatisation des musulmans, comme cela s’est produit lors du débat sur l’identité nationale…
« Le plus important, c’est de bien gérer la sortie de ce débat. J’espère qu’à son issue, il y aura une réaffirmation de la laïcité, qui est nécessaire. Le débat sur l’identité nationale s’était plutôt bien passé. Le problème, c’est qu’il a donné un goût d’inachevé car plusieurs mesures annoncées par François Fillon n’ont pas vraiment été mises en place. »

Pourquoi lancer un débat centré uniquement sur l’islam ?
« Pourquoi l’islam ? Cela relève d’une politique de clarté. Les autres religions ne posent pas de problèmes. Ce ne sont pas le catholicisme, le protestantisme ou le judaïsme qui posent des problèmes… »

Vous estimez donc que l’islam pose des problèmes ?
« L’islam est une nouvelle religion en France. Les pratiquants ont beaucoup augmenté à cause de l’immigration et de la politique de regroupement familial. »

Êtes-vous pour une remise en cause de la loi de 1905 ?
« Non, il ne faut pas remettre en cause la loi sur la laïcité. Il faut seulement l’adapter. Je suis par exemple très attaché au principe de non-financement des lieux de culte par l’Etat. »

À 15 mois de la présidentielle, qui peut croire que la tenue de ce débat n’a pas un but électoral ?
« Derrière ce débat, la vraie question, c’est : la présidentielle va-t-elle se jouer à droite ou au centre ? Selon moi, elle se jouera au centre mais aussi à droite. Nicolas Sarkozy a de vraies chances de l’emporter en 2012 en récupérant son socle de 2007. »

« Aujourd’hui, il est temps d’aborder le sujet de la place de l’islam dans la société en réussissant la sortie du débat lancé par l’UMP. La coïncidence des événements internationaux -avec les révolutions arabes- renforce cette préoccupation et cette inquiétude. Si on sort de ce débat avec des règles, du concret, cela sera un succès. »

Sources : Le Post, France Inter, RTL.fr

01/03/2011

Le débat sur l’islam prend des tournures fort inquiètantes…

L’heure venue, on vous demandera des comptes… Déjà, la voix des urnes des cantonales sera, je pense, un premier avertissement du servile peuple français…

FDF

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Le Premier ministre français confirme le plan sarkozyste de liquidation de la laïcité au profit de l’islam

« Une belle brochette de traitres et de salopards, les Fillon, Sarko and co qui bradent nos valeurs pour leur profit personnel, qui passent des accords sur notre dos avec des pro-nazis islamistes qui ne pensent qu’à appliquer la charia et à nous trucider comme le leur ordonne les hadiths de leur saleté de bouquin.
Riposte Laïque avait déjà largement dévoilé le plan concocté par le Président de la République, et soutenu par Jean-François Copé : profiter de l’affaire des « prières de rue » pour liquider la loi de 1905 et permettre le financement public de la construction de mosquées et de la formation des imams. Autrement dit, on veut effacer une atteinte à la laïcité française pas une atteinte encore plus grande.

Ce matin sur RTL, le Premier ministre François Fillon a lui-même vendu la mèche. Interviewé par Jean-Michel qui l’interpelle sur le « débat » proposé par l’UMP et Nicolas Sarkozy sur l’islam en France, voici ce qu’il déclare, in extenso (1) :

« Si ce débat devait être centré sur l’islam, si ce débat devait apparaître comme un débat qui d’une manière ou d’une autre conduit à stigmatiser les musulmans, je m’y opposerai. Je le dis très clairement, je m’y opposerai. En revanche, si le débat – comme je l’ai souhaité déjà d’ailleurs il y a plusieurs mois – est un débat qui vise à rénover le concept de laïcité, à adapter la laïcité française à une situation nouvelle que chacun connaît, et qui est posée par le fait qu’il y a aujourd’hui une religion, l’islam, qui est beaucoup plus importante sur le sol national qu’elle ne l’a été dans le passé, alors je pense que oui, c’est un débat qui est utile. Mais seulement dans ce cadre-là et donc je veillerai, à la place qui est la mienne, à faire en sorte que ce débat ne dérive pas. C’est certainement pas un débat sur l’islam, c’est un débat sur le concept de laïcité. Vous savez qu’il y a des questions qui se posent. La question des lieux de prières. Personne ne peut ignorer que la prière dans la rue, c’est lié au fait qu’il n’y a pas assez de lieux de prière. Comment est-ce qu’on finance les lieux de prières ? Voilà une question qui mérite d’être posée, qui ne doit pas être taboue. Il y a la question qui est posée, de la formation des imams. C’est une question que tout le monde connaît, qui est sur la table et qui n’a pas été correctement traitée. Ce sont des questions qui doivent être posées. »

Donc pas question pour François Fillon d’évoquer dans un débat public les nombreux problèmes d’islamisation que connaît notre pays, depuis des années, ni l’offensive de l’islam politique dans toute notre société civile. Enterrons les rapports Obin et Denécé, le livre récent d’Isabelle Lévy sur la situation dramatique dans les hôpitaux, les chefs d’entreprises et leurs personnels confrontés de plus en plus à des revendications musclées relevant de la charia, la croisade de Dounia Bouzar pour imposer le halal, le hijab, les tapis de prières, le ramadan et même le burkini dans nos établissements publics (2). Tout cela, François Fillon le balaie en utilisant l’accusation de « stigmatisation » destinée à faire passer pour racistes tous ceux qui osent en parler.

Le vrai souci du Premier ministre apparaît clairement et il confirme toutes nos craintes : il faut « rénover » la laïcité française, et l’« adapter » à deux choses seulement : la « question » du financement des « lieux de prières » musulmans, et à celle de « la formation des imams ».

Belle langue de bois parfaitement faux-cul : notre laïcité est parfaitement « adaptée » à l’islam comme elle l’a été et l’est toujours envers les religions chrétiennes, juives, bouddhistes ou autres, et il n’y a aucune raison d’en faire une nouvelle version « adaptée » aux adorateurs d’Allah et de Mahomet.

Le fait que François Fillon lie clairement cette « adaptation » qu’il souhaite au financement des mosquées et à la formation des imams est l’aveu que le projet qu’il partage avec Nicolas Sarkozy et Jean-François Copé est bien de liquider le principe de séparation de l’Etat et de l’Eglise (ou plutôt de l’Etat et de l’islam) pour faire payer d’une manière ou d’une autre par le contribuable les « lieux de culte » musulmans et la formation de ceux qui y dispensent les enseignements du « beau modèle » Mahomet.

Quel beau signal envoyé aux soldats de l’islam conquérant qui occupent de plus en plus de rues de Paris et d’ailleurs, ou à ceux qui harcèlent des élus pour qu’ils crachent l’argent public en leur faveur alors que « les caisses sont vides » (selon l’expression même du Premier ministre…) Les Français apprécieront, eux qui souffrent de plus en plus de la crise créée par le mondialisme cher à Nicolas Sarkozy, Dominique Strauss-Kahn et leur bande du Fouquet’s ou de Marrakech !

Mais au-delà de ce scandale économique et ce véritable détournement du trésor public au profit de l’islam, il y a surtout cette volonté de plus en plus affichée par le gouvernement et par l’UMP de sabrer nos principes républicains au profit de l’islam. Et donc de la charia, puisque les mêmes « islamo-collabos » ne font strictement rien contre l’islamisation de notre pays, mais au contraire récompensent et veulent continuer à récompenser les militants de la loi coranique avec nos sous.

C’est une trahison gravissime des Français et de la France, de notre Histoire, de notre civilisation, de nos valeurs humanistes et républicaines. Il faut espérer que leurs auteurs auront à répondre personnellement de leurs actes le moment venu.

En attendant, il faut s’en souvenir lors des élections à venir. Pas une voix ne doit aller à cette gauche islamo-collabo représentée par Martine Aubry, qui dirige le Parti socialiste alors qu’elle est la pire alliée des islamistes à Lille. Mais pas une voix ne doit non plus aller à l’UMP suite à la lâcheté et la trahison affichées par le Président de la République, puis par le chef de son parti, et maintenant par son Premier ministre.

Pensez-y, quand vous devrez choisir un bulletin de vote dans l’isoloir, et dès les élections cantonales à venir ! Voulez-vous encourager la charia, et être obligés de la financer demain encore plus avec vos impôts locaux ou nationaux ? Voulez-vous reconduire ceux qui nous ont amenés à ce désastre et qui utilisent déjà l’argent public par des voix détournées pour la construction des mosquées, les écoles coraniques ou l’abattage halal ? Ou allez-vous choisir le camp de ceux et celles qui dénoncent clairement l’islamisation, le viol de nos principes et de nos lois, et la veulerie de notre oligarchie « UMPS » (auquel bien sûr se joignent l’extrême-gauche, les écolos et le Modem) ?

Nous devons résister par tous les moyens pacifistes et légaux à ces apprentis-sorciers qui sont en train de suicider notre peuple et notre pays. C’est une question de survie pour nous et pour les générations à venir. »

Roger Heurtebise

(1) http://www.rtl.fr/emission/l-invite-de-rtl/voir/le-premier-ministre-francois-fillon-invite-de-rtl-28-fevrier-2011-7664212683

à partir de 08:25

(2) http://www.saphirnews.com/dounia-bouzar/

http://ripostelaique.com/le-premier-ministre-francais-confirme-le-plan-sarkozyste-de-liquidation-de-la-laicite-au-profit-de-l’islam.html

Comment finance-t-on les lieux de prières ? Voilà une question qui mérite d’être posée.

Un petit rappel: François Fillon est (pour l’instant) premier m(s)inistre des la République Française. Alors croit il que ce débat sur l’islam est la première préoccupation des Français? Ce qu’il nous prépare avec ses dhimmis de collègues ne laisse présager rien de bon.

Et pendant ce temps, le prix du gaz augmente, celui des carburants et combustibles s’envole, on nous demande de travailler plus pour gagner MOINS, en fait, les salaires stagnent et des français de souche meurent de froid et de faim dans la rue. Il est sûr qu’eux, ils n’iront pas voter…

Messieurs les « décideurs »: croyez-vous que ce débat sur l’islam va améliorer notre vie quotidienne? Moi pas. On s’en tape, cela ne nous concerne pas (à part nous pourrir la vie) et prochainement, les urnes parleront d’une seule voix. Et ce ne sera pas celle des musulmans, croyez moi…
L’islam, nous n’en voulons pas et cette idéologie malsaine n’est pas adaptée à notre République. Mais alors pas du tout. Et ce n’est pas un débat sur l’islam qui relancera l’économie française… A force de jouer avec le feu…

FDF

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Après Benoist Apparu, c’est le premier ministre François Fillon qui semble prêt à « rénover » et « adapter » la loi sur la laïcité pour financer la construction de lieux de culte musulman et la formation des imams.
RTL, lundi 28 février 2011 :


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Si le débat (…) vise à rénover le concept de laïcité, à adapter la laïcité française à une situation nouvelle que chacun connaît et qui est posée par le fait qu’il y a aujourd’hui une religion, l’Islam qui est beaucoup plus importante sur le sol national qu’elle ne l’a été dans le passé. Alors je pense que oui, c’est un débat qui est utile. (…)
Comment finance-t-on les lieux de prières ? Voilà une question qui mérite d’être posée.

Source: http://www.defrancisation.com/

25/02/2011

Il va se le reprendre en pleine poire, Sarkö, son « débat sur l’islam »…

Dernier truc à faire en période électorale. Mais bon; c’est lui qui voit. Souhaitons que ça va le calmer… Mais je ne pense pas. Trop imbu de sa personne pour avouer une défaite. Comme le « Guide », en fait… Pourvu que son ire ne se traduise par des fleuves de sang… Mais non, j’rigole… Nous sommes en France; enfin, nous y étions.

FDF

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Au feu!  Sarkozy instrumentalise un débat sur l’islam !

C’est donc la dernière trouvaille de Nicolas Sarkozy qui a annoncé le lancement d’un débat sur l’islam, provoquant de sérieuses critiques jusque dans sa majorité. On peut en effet imaginer ce qu’il peut donner dans une droite désormais sous la pression de son courant populiste et du Front National. La réaction la plus significative est signée d’Anne Sinclair.

Si Dominique Strauss-Kahn est toujours condamné au silence, l’épouse du directeur général du FMI, candidat virtuel à la présidentielle de 2012, n’a pas pris de gants dans son blog où elle écrit : « Voici qu’après les malheureuses tentatives pour affoler les esprits sur l’identité nationale, après la loi sur la burqa, les dérapages sur les Roms, on nous annonce de toute urgence un débat national sur l’islam » déplore Anne Sinclair qui conclut « Et après tout le fracas qui a déjà eu lieu, quel résultat ? Marine Le Pen à 20% dans les sondages. Belle réussite. Certains à droite comme Alain Juppé s’émeuvent à juste titre devant la perspective de remuer encore une fois cette trouble marmite.

Ça s’appelle en effet jouer avec le feu » conclut la journaliste. Les apprentis sorciers pourraient même se bruler les doigts…

Source: http://www.biladi.fr/

20/02/2011

On ne le changera jamais… Vaut mieux en élire un(e) autre…

C’était vraiment le lieu et l’heure d’aborder le sujet de l’islam au Salon de l’agriculture… C’est vraiment se foutre des paysans et de leurs problèmes; sans honte ni vergogne. Saközien, quoi…Il mélange tout; c’est grave.

Souhaitons que les agriculteurs s’en souviendront à l’heure de glisser leur bulletin dans l’urne.

FDF

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Sarkozy évoque le débat sur l’islam au Salon de l’Agriculture

Devant les agriculteurs, le président s’est défendu de monter les Français « les uns contre les autres ».

Etait-ce le thème attendu par les agriculteurs? Lors de l’ouverture du Salon de l’Agriculture, Nicolas Sarkozy a évoqué… le débat sur l’islam. Le président s’est défendu samedi de monter les Français « les uns contre les autres » en lançant un débat sur la place de l’islam en France.

Le chef de l’Etat a évoqué le sujet, qui divise droite et gauche mais réjouit le Front national, lors d’une table ronde au Salon de l’Agriculture.

Il a dressé un parallèle entre la campagne de communication de France Nature Environnement (FNE) [cliquez ici pour découvrir cette campagne], qui a mis en scène de manière provocante les excès présumés de l’agriculture intensive, et la réflexion controversée lancée par l’UMP sur l’islam et la laïcité, avec l’aval de l’Elysée.

« Moi, j’essaie de rassembler »

« Cette campagne (de FNE) est détestable car elle monte les uns contre les autres », a-t-il fait valoir devant un parterre d’agriculteurs et d’éleveurs. « C’est injuste et détestable. Restez sérieux, ne cédez pas a la tentation de l’extrémisme. »

« Je fais même la liaison entre ce que je dis sur l’islam et nos compatriotes musulmans », a-t-il poursuivi. « Je n’accepterai pas qu’on mette en cause nos compatriotes musulmans mais en même temps je n’accepterai pas un islam qui ne correspond pas aux valeurs de la République et de la laïcité ».

« On essaie toujours de monter les uns contre les autres. Moi, j’essaie de rassembler », a ajouté Nicolas Sarkozy.

Devant les agriculteurs, Nicolas Sarkozy prêche: « Restez sérieux, ne cédez pas a la tentation de l’extrémisme  » !

Source: http://www.lexpress.fr/

27/01/2011

A féliciter et à encourager: Jimmie Aakesson.

C’est le chef du parti des Démocrates Suédois qui a réussi à imposer au Parlement un débat sur l’islam. On ne peut que l’encourager.

FDF

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Les Démocrates de Suède veulent « éradiquer » l’idéologie politique islamiste

Les Démocrates de Suède (catalogués comme « d’extrême droite » par les médias), ayant des députés (20) depuis septembre, ont imposé au Parlement un débat sur l’islam, qui s’est tenu aujourd’hui. Le chef du parti, Jimmie Aakesson (31 ans) a notamment déclaré : « Le terrorisme n’est pas une menace isolée. C’est une manifestation de la tactique islamiste et c’est l’islamisme en tant qu’idéologie politique qui doit être combattu et éradiqué. » Il a regretté qu’un grand débat national sur ce thème ait été jusqu’ici escamoté en Suède « par peur d’être catalogué comme islamophobe ».

D’après un billet de Yves Daoudal.