Francaisdefrance's Blog

18/11/2011

Christianophobie: si nos élus s’y mettent aussi…

C’est ainsi que l’on voit que la christianophobie prend de l’ampleur; et une ampleur inquiétante. C’est déjà un phénomène qui nous cause bien des soucis quand ça vient des islamistes; mais maintenant que nos élus s’y mettent… Est-ce que Benoît XVI est au courant???

FDF

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Des manifestants chrétiens traités de « hordes fascisantes » !

C’est du fascisme que de manifester contre des pièce blasphématoire ?
C’est du moins le point de vue du Conseil de Paris … Lu sur Nouvelles de France, signalé par Les Amis de Jésus Un vœu communiste dénonçant les rassemblements de jeunes chrétiens protestant contre la pièce « Sur le concept du visage du fils de Dieu » de Romeo Castellucci devant le Théâtre de la Ville et les qualifiant de « hordes fascisantes » a été adopté par le Conseil de Paris mardi après-midi. Les groupes « Communiste et élus du parti de gauche », « Europe Écologie – Les Verts et apparentés », « Socialiste, radical de gauche et apparentés » et « Union pour une Majorité de Progrès à Paris et apparentés » se sont prononcés pour. Les élus UMP se sont notamment déclarés solidaires des condamnations du ministre de la Culture Frédéric Mitterrand.

Le groupe « Centre et Indépendants » s’est quant à lui abstenu, certains de ses membres jugeant les termes employés par les communistes « disproportionnés ». Seule l’élue centriste du XVIe arrondissement Valérie Sachs a voté pour.

Source: http://infos-meconnues.blogspot.com/

22/06/2011

Conversions forcées à l’islam: enfin, ça se réveille au Vatican…

 

La christianophobie inquiète enfin le Vatican; il était temps…

FDF

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Le Saint-Siège demande l’abrogation de la loi pakistanaise sur le blasphème.

Mgr Silvano Tomasi, observateur permanent du Saint-Siège auprès de l’ONU à Genève, a estimé que la loi pakistanaise sur le blasphème était un « instrument de persécution » qu’il est « urgent de modifier et d’abolir ».

S’exprimant sur Radio Vatican, en évoquant le cas de Farah Hatim, jeune chrétienne pakistanaise enlevée dans le sud du Penjab, contrainte à épouser un musulman et à se convertir à l’islam, Mgr Tomasi a rappelé qu’au Pakistan comme ailleurs, « des musulmans et des chrétiens sont d’accord pour dire que la loi actuelle sur le blasphème ne fonctionne pas : elle est uniquement utilisée comme instrument de persécution contre certaines personnes, comme abus de pouvoir ou comme excuse pour régler des problèmes qui n’ont rien à voir avec la religion ».

Chaque année, 700 jeunes filles soumises à ces conversions forcées!

« C’est pourquoi il est urgent de modifier et d’abolir ce type de loi afin que la liberté religieuse puisse être pratiquée avec sérénité par tous, a-t-il affirmé. C’est un chemin difficile parce qu’en ce moment la majorité et l’opinion publique sont particulièrement susceptibles et n’acceptent aucune modification de cette loi. Mais lentement, il faudra éduquer et marcher dans cette direction ».

Mgr Tomasi a rappelé que l’enlèvement et la conversion forcée de jeunes victimes appartenant à la minorité chrétienne n’était pas nouveau. « Cela fait des années que des jeunes filles chrétiennes sont contraintes d’épouser de jeunes musulmans et – dans ce processus – obligées de renoncer à leur foi contre leur volonté et forcées d’adhérer à la foi islamique. Chaque année, 700 jeunes filles environ sont soumises à ce type de conversions forcées ».

Source: http://www.la-croix.com/

11/02/2011

Les « faux-culs » ont la trouille…

« Une fatwa visant à protéger les chrétiens »? C’est antinomique, ça! Les fatwas, c’est en général fait pour bouziller du chrétien, non? Nous n’avons pas besoin de leurs conneries de fatwas pour nous protéger d’eux. Ils veulent nous envahir et maintenant nous protéger… Nous connaissons maintenant très bien leurs points faibles (et leur fourberie qui est un des « piliers de l’islam »).Ils ne vont pas nous faire croire qu’ils sont même prêts à se convertir au christianisme, des fois?

Cherchons plutôt où est le piège…

FDF

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Des voix musulmanes s’élèvent à Rome en faveur du dialogue!

Un projet de fatwa visant  à protéger les chrétiens, un appel à réformer l’islam de l’intérieur : autant de signes encourageants pour la poursuite d’un dialogue difficile…

Libanais musulman sunnite, Mohammed Sammak fut conseiller pour les affaires islamiques de deux premiers ministres de son pays. Il est aussi secrétaire général du Comité islamique permanent au Liban. Côté catholique, Benoît XVI l’a convié à s’exprimer au récent Synode pour le Moyen-Orient, en octobre 2010. 

C’est donc riche de ces expériences qu’il a confié, à Rome, que l’ancien premier ministre libanais Saad Hariri, horrifié par l’attentat d’Alexandrie, lui avait demandé de réfléchir à une fatwa protégeant les chrétiens en terre musulmane.

Le texte est désormais prêt, depuis trois semaines : « Il affirme que, selon la charia, blesser un chrétien équivaut à blesser un musulman. Et qu’attaquer une église revient à attaquer une mosquée », explique Mohammed Sammak.

«L’interprétation des textes doit pouvoir être relative»

Cependant, bien qu’il assure que ce texte ait fait l’objet d’une large concertation parmi les responsables islamiques « en Égypte, en Arabie saoudite, en Jordanie, en Palestine, en Syrie », il n’a pas encore pu être promulgué : « À deux reprises, en raison des événements, j’ai dû annuler mon voyage au Caire, où les autorités d’Al-Azhar devaient donner leur accord », regrette Mohammed Sammak, qui veut minimiser l’annonce, par Al-Azhar, de la rupture du dialogue avec le Saint-Siège : « C’est un malentendu, résultant d’une tension interne à l’Égypte, où le pouvoir, qui avait des difficultés à gérer les suites de l’attentat d’Alexandrie, a voulu se défendre contre de supposées ingérences étrangères. »

Une initiative sans doute à raprocher du texte mis en ligne par des intellectuels gravitant autour de l’université Al-Azhar, et appelant à une véritable Réforme musulmane. Parmi les pistes de travail proposées : le réexamen des hadith (les paroles attribuées au prophète Mohammed et des commentaires coraniques) ; la révision de certains termes du vocabulaire politico-religieux islamique, comme par exemple la Gizyah, qui régit les droits et devoirs des dhimmis (non-musulmans) ; travailler le concept de mixité entre les sexes ; envisager une rénovation du droit du mariage ; préciser le concept de djihad…

« Comment traiter les textes sacrés ? Pour nous, ils sont sacrés, permanents et absolus, explique Mohammed Samma. Pour autant, leur interprétation doit pouvoir être relative. Nous devons encourager les intellectuels musulmans à ne pas être esclaves des interprétations antérieures. »

 

source : la-croix

20/01/2011

Pakistan : des milliers de personnes manifestent contre le Pape !

Bande de tarés…
FDF

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« Religion de tolérance, d’amour et de paix… 


Rawalpindi, Pakistan : Lors d’un rassemblement frénétique vendredi dans cette ville de garnison à l’extérieur d’Islamabad, des milliers de personnes ont averti le Pape Benoît XVI de ne pas se mêler du débat entourant la loi sur le blasphème au Pakistan.

La manifestation intervient quelques jours après que le Vatican a demandé au Pakistan d’abroger les lois controversées qui stipulent que toute personne qui souille le nom du prophète musulman Mahomet est passible de la peine de mort ou de la prison à vie.  « Si vous défiez le prophète, nous nous vengerons. Ça n’a pas d’importance qui le fait », a crié un religieux par haut-parleurs à des milliers de spectateurs en délire. […]

 

 

Source :CNN via Poste de Veille

 

28/12/2010

Islamisation par la violence: le Pape a réagi, dimanche, après le Noël sanglant qui a frappé le Nigeria et les Philippines.

Là, c’est le Pape qui s’en mêle… Peut-être va t’on écouter son message?

FDF

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Benoît XVI dénonce la persécution des chrétiens.

La méditation de Benoît XVI, à Rome, pendant la messe de minuit, sur «la lumière de bonté» de Noël, opposée au «bâton de tortionnaire» , au bruit des «chaussures des soldats» et à la vision des «manteaux couverts de sang» , a trouvé un écho dramatique dans l’actualité du week-end.

Si aucune victime n’a été à déplorer en Irak, où les mesures de sécurité avaient été renforcées devant les églises chrétiennes, le bilan a été très lourd au Nigeria et aux Philippines.

À Jos, dans le centre du Nigeria, 32  personnes ont été tuées et 74 blessées dans une série de sept explosions visant des églises et deux quartiers où la foule faisait ses achats avant la fête de la Nativité. Dimanche encore, dans la même ville, de nouveaux incidents ont fait un mort. Plusieurs maisons ont été incendiées. Jos est située à la limite du nord, majoritairement musulman, et du sud, principalement chrétien. La veille de Noël, cinq personnes, dont un pasteur baptiste, avaient également été tuées, dans une église à Maiduguri, dans le nord du Nigeria. Cette attaque a été attribuée à une secte islamiste, Boko Haram.

Les extrémistes islamistes de l’île de Jolo…

Suite et source: http://tinyurl.com/25hxlse

22/11/2010

Asia Bibi: la mobilisation s’accentue…

Le sort d’Asia Bibi, condamnée pour blasphème, mobilise la planète.

Les appels se multiplient pour sauver la jeune femme chrétienne pakistanaise condamnée à mort et pour supprimer la loi anti-blasphème

La petite communauté chrétienne pakistanaise de Grande-Bretagne (1) s’est fortement mobilisée pour le cas d’Asia Bibi, jeune femme protestante condamnée à la mort par pendaison le 8 novembre par le tribunal pakistanais de Sheikhupura pour blasphème envers le prophète Mohammed.

Elle paye les meilleurs avocats pour la défense de la jeune femme et assiste financièrement sa famille, son mari et ses quatre enfants qui ont quitté leur village d’Ittanwali et ont été transférés dans la capitale régionale du Pendjab, Lahore, pour assurer leur sécurité.

L’affaire remonte au 19 juin 2009. Ce jour-là, alors qu’elle travaillait dans les champs, Asia Bibi a été arrêtée après avoir eu des mots avec ses collègues de travail musulmanes qui auraient refusé de boire de l’eau jugée impure parce que rapportée par une chrétienne, rapporte Églises d’Asie, l’agence des Missions étrangères de Paris, d’après les témoignages recueillis par une association de défense des chrétiens persécutés. Le juge ne lui a trouvé « aucune circonstance atténuante » et a rejeté l’idée qu’elle ait été accusée à tort.

Réaction du pape Benoît XVI

Depuis le jugement prononcé il y a deux semaines, des voix s’élèvent d’un peu partout sur la planète pour sauver la vie de cette jeune femme de 37 ans et militer pour l’abandon de la loi anti- blasphème en vigueur au Pakistan depuis 1986.

Le pape Benoît XVI a demandé mercredi 17 novembre « que la liberté lui soit rendue au plus vite » et a enjoint à la communauté internationale de se pencher sur « la difficile situation dans laquelle se trouvent les chrétiens au Pakistan, qui sont souvent victimes de violences et de discriminations ».

Le ministre italien des affaires étrangères, présent à Bagdad au moment du verdict, a soulevé le cas Bibi lors d’une rencontre avec son homologue pakistanais. En France, quinze députés UMP ont, dans une lettre à la ministre des affaires étrangères Michèle Alliot-Marie, réclamé une action diplomatique de l’Union européenne.

Révision de la loi anti-blasphème

L’affaire fait également grand bruit au Pakistan. Le ministre en charge des minorités, Shahbaz Bhatti, a demandé que la sécurité d’Asia Bibi soit assurée en prison et qu’elle puisse bénéficier d’un procès équitable par la haute cour de Lahore auprès de laquelle son mari a fait appel de la sentence.

La députée pakistanaise musulmane Sherry Rehman et présidente du Jinnah Institute, prestigieux institut d’études politiques d’Islamabad, a annoncé à Fides, l’agence d’information du Vatican, son intention de présenter à l’Assemblée nationale « une motion en vue de la révision de la loi anti-blasphème ».

Des femmes catholiques et musulmanes ont manifesté dans les rues de la ville de Nankana, proche du village d’Asia Bibi, pour demander sa libération. Et plusieurs associations de défense des droits de l’homme ont prévu lundi 22 novembre une rencontre au niveau national.

Un symbole

Dans une interview accordée samedi 20 novembre à l’agence Fides, le vice-président de la Conférence épiscopale catholique du Pakistan, Mgr Joseph Coutts, évêque de Faisalabad, estime qu’Asia Bibi « est le symbole de toutes les victimes de la haine religieuse et de la loi sur le blasphème qui est une arme contre les minorités ».

Il s’inquiète de la montée de l’intolérance religieuse qui frappe les chrétiens mais aussi les autres minorités et même les « fidèles musulmans modérés » et estime que l’abolition de la loi sur le blasphème est pour le pays une véritable « bataille de civilisation ».

Près de 1 000 personnes ont été condamnées pour blasphème depuis 1986 selon la Commission justice et paix, rapporte Églises d’Asie. En octobre, Mohammad Farooq Khan, l’une des plus grandes figures de l’islam au Pakistan qui militait pour l’abolition de cette loi, a été assassiné.

Source: http://tinyurl.com/36kjtpn

(1) Il y a plus d’un million de Pakistanais immigrés outre-Manche, dont 70 000 chrétiens.

20/11/2010

L’islam radical inquiète le Pape… Il était temps.

Réactif un peu à retardement, notre bon Benoit XVI… Mais bon; le principal est que le sujet soit aussi évoqué dans les plus hautes sphères du Vatican…

FDF

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Inquiétude relayée par Le Figaro qui en fait son principal titre de Une, avant une réunion des cardinaux aujourd’hui à Rome.

« Il y a un mois, l’islam radical inquiétait déjà Rome, mais sur le papier, rappelle le Figaro. Il avait fait l’objet de multiples débats et déclarations pendant les six jours du synode sur le Proche-Orient ».

Or, « cette inquiétude a tourné à la confrontation » depuis les attentats de Bagdad, le 31 octobre dernier, contre la cathédrale syriaque catholique de la capitale irakienne.

« Le Vatican ne veut pas tomber dans le piège de la surenchère, ajoute Le Figaro. Mais après ce traumatisme, la question de l’islam radical  a pris une tournure réaliste qu’elle n’avait pas, il y a encore peu, au St Siège. Il n’est dès lors pas étonnant que le pape ait placé cette question en priorité à l’ordre du jour de la réunion exceptionnelle qu’il convoque ce matin à Rome ».

L’actualité religieuse du jour est également marquée par les Assises du protestantisme qui se tiennent actuellement à Paris. L’occasion pour le Monde d’enquêter sur les protestants français : « Historiquement minoritaire, le protestantisme français apparait aujourd’hui comme un univers divisé, avec d’un côté les deux tiers de fidèles venus des églises luthéro-réformées (…) et de l’autre la poussée des églises évangélistes ou pentecôtistes, qui comptent  environ 400 000 membres ».

Ces deux branches se ressemblent sur certains points, comme sur le plan de l’appartenance politique, leur ancrage à gauche. Mais pour le reste, les différences sont nettes. Ainsi la pratique religieuse : 60 %  des évangéliques vont au temple au moins une fois par semaine, contre 9 % des réformés. On note aussi beaucoup plus d’ouverture chez les seconds que chez les premiers sur les questions d’éthique sexuelle et familiale.

A lire dans Le Monde, un reportage dans une paroisse de Paris où « émerge le projet de mêler ces deux branches ».  « Une famille recomposée », c’est le titre de l’article.

Faut-il supprimer les notes à l’école ?

Question posée par Libération qui revient sur le pavé dans la marre que viennent de lancer vingt personnalités. Elles considèrent que « la culture de la note est encore très présente dans une école française historiquement tournée vers la sélection. Démotivantes, les mauvaises notes sont vécues comme une sanction et n’apportent en les clés d’une possible progression ».

Voilà en quels termes le débat est lancé. Le ministre de l’Education nationale Luc Chatel l’a déjà balayé d’un revers de main en affirmant qu’ « on n’en est pas là ».Mais Libération rappelle que « l’école primaire en France bute depuis des années sur un noyau dur de 15 % d’élèves sortant du CM2 sans les bases minimales de calcul et de français et de 25 % ayant des acquis fragiles ».

Sur ce sujet , les opinions de Libération et de La Croix se rejoignent. L’éditorialiste de Libé Laurent Joffrin juge que « cet appel à supprimer les notes a pour vertu d’obliger la France à réfléchir sur un système scolaire ultra sélectif, et qui garde la triste habitude de préférer la sanction de l’échec à la valorisation du succès (…) ».

Dans La Croix, Dominique Quinio est sur la même ligne quand elle soutient que « la notation n’est plus pour l’élève fragile et ses parents inquiets un moyen de se reconnaître et de progresser mais une condamnation, une porte qui se ferme ».

La succession de Jean-Marie Le Pen…

Suite et source: http://tinyurl.com/265aadf

08/11/2010

Message des archevêques d’Irak aux Chrétiens de France…

Il faut qu’ils abandonnent le terrain, et vite. Qu’ils reviennent en terres chrétiennes où l’on a grand besoin d’eux pour enrayer l’invasion islamiste. S’ils restent là-bas, je ne donne pas cher de leur vie…

FDF

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L’appel au secours des chrétiens d’Irak.

Une veillée organisée par les chrétiens de Bethléem, en mémoire du massacre dont ont été victimes ceux de Bagdad.
Une veillée organisée par les chrétiens de Bethléem, en mémoire du massacre dont ont été victimes ceux de Bagdad. Crédits photo : MUSA AL-SHAER/AFP

Un message adressé par les cinq archevêques du pays a été lu dimanche dans toutes les églises de France.

» Survivant du massacre de la Toussaint, Talal veut prendre le chemin de l’exil

L’onde de choc est terrible et l’appel au secours, poignant. Moins d’une semaine après l’attentat qui a visé la cathédrale syriaque catholique de Bagdad, les cinq archevêques d’Irak viennent d’adresser un message implorant la compassion de leurs «frères de France». Dimanche, ce texte a été lu dans toutes les paroisses du pays. Il n’y a pas une Église catholique du monde qui ne se mobilise, par la prière et la solidarité, pour venir en aide aux chrétiens irakiens, encore désignés après l’attentat, par al-Qaida, comme des «cibles légitimes».

Les cinq archevêques écrivent: «Notre calvaire est lourd et il nous paraît long. Le carnage qui a eu lieu à la cathédrale Notre-Dame du Perpétuel Secours de Bagdad, avec 58 morts, parmi lesquels deux jeunes prêtres et 67 blessés dont un prêtre, nous a profondément secoués. Nous perdons la patience, mais nous ne perdons pas la foi et l’espérance. Cet événement d’une telle ampleur qui se produit juste après la tenue du synode nous choque encore plus. Ce dont nous avons besoin c’est de votre prière et de votre soutien fraternel et moral. Votre amitié nous encourage à rester sur notre terre, à persévérer et à espérer. Sans cela nous nous sentons seuls et isolés. Nous avons besoin de votre compassion face à tout ce qui vient toucher la vie des innocents, chrétiens et musulmans. Restez avec nous, restez avec nous jusqu’à ce que soit passé le fléau. Que le Seigneur nous protège tous.».

Ces cinq-là – Athanase Matti Matoka, archevêque de Bagdad des Syriens, Louis Sako, archevêque de Kirkouk des Chaldéens, Emil Nona, archevêque de Mossoul des Chaldéens, Basile Georges Casmoussa, archevêque de Mossoul des Syriens, Bachar Warda, archevêque d’Erbil des Chaldéens – étaient, il y a encore quinze jours, à Rome pour participer au synode sur le Proche-Orient. Avec eux, Benoît XVI avait invité pour agir tous les évêques et experts religieux des dix pays de cette région du monde, de façon à endiguer le phénomène de diaspora des chrétiens vers l’Occident et à renouveler un dialogue avec les musulmans modérés, contre l’islam radical.

Le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, avait aussi été invité par le Pape à ce synode, conclu le dimanche 24 octobre après deux semaines de travaux. Vendredi, à Lourdes, il a lu l’appel des évêques irakiens devant la centaine d’évêques français réunis en assemblée plénière, André Vingt-Trois n’a donc pas caché sa «grande émotion» en assurant, dans une réponse écrite, de la «prière» et du «soutien et l’amitié» des catholiques de France. Ils «ont été profondément choqués», assure le président des évêques. Ils appuient, dit-il encore, «votre désir légitime de demeurer sur votre terre où les chrétiens sont présents depuis les premiers siècles».

«Violence absurde»

En conclusion, l’archevêque de Paris a assuré : «Nous parlons de vous autour de nous et nous insistons pour que les instances internationales prennent la mesure de votre détresse et agissent avec fermeté.» Mais il a aussi souhaité «que l’Esprit de Dieu (…) fasse grandir dans le cœur de tous les hommes, de quelque religion qu’ils soient, le désir de la paix véritable et de la justice».

Dans sa cathédrale, Notre-Dame de Paris, une messe est organisée ce dimanche, à 18 h 30, par l’Œuvre d’Orient, à l’intention des victimes de cet attentat. À Rome, cette semaine, Benoît XVI s’est dit «profondément touché» par ces «attaques barbares». Le Pape a condamné «cette violence absurde, d’autant plus féroce qu’elle a touché des personnes sans défense, rassemblées dans la maison de Dieu, qui est une maison d’amour et de réconciliation»…

Suite et source: http://tinyurl.com/24g6pkc

26/10/2010

Benoît XVI: les immigrés doivent «respecter les lois et l’identité nationale du pays d’accueil»…

Ce qui est évidemment toujours le cas…

FDF

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Le pape Benoît XVI a souligné mardi en présentant son message pour la Journée mondiale du migrant et du réfugié que ces derniers «ont le devoir de respecter les lois et l’identité nationale du pays d’accueil» même si la communauté internationale doit les protéger. La prochaine Journée mondiale du migrant et du réfugié sera célébrée le 16 janvier.

«Beaucoup de personnes doivent affronter l’expérience difficile de la migration, dans ses différentes expressions: intérieures ou internationales, permanentes ou saisonnières, économiques ou politiques, volontaires ou forcées. Dans divers cas, le départ de son propre pays est provoqué par différentes formes de persécutions, de sorte que la fuite devient nécessaire», a déclaré le pape.

«De plus, le phénomène même de la mondialisation, caractéristique de notre époque (…) comporte également « une humanité qui devient de plus en plus interconnectée », dépassant les frontières géographiques et culturelles», a poursuivi Benoît XVI.

«Tous, appartiennent donc à une unique famille, migrants et populations locales qui les accueillent, et tous ont le même droit de bénéficier des biens de la terre, dont la destination est universelle», a-t-il estimé.

15 millions de réfugiés dans le monde

Cependant, «dans le même temps, les Etats ont le droit de réglementer les flux migratoires et de défendre leurs frontières, en garantissant toujours le respect dû à la dignité de chaque personne humaine. En outre, les immigrés ont le devoir de s’intégrer dans le pays d’accueil, en respectant ses lois et l’identité nationale», a souligné le pape.

Il y a dans le monde plus de 15 millions de réfugiés, dont 10,4 millions sous la responsabilité du Haut commissariat de l’ONU (HCR), et environ 27 millions de personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays, a rappelé au cours de la conférence de presse de présentation du message le père Gabriele Bentoglio, membre du Conseil pontifical pour les migrants.

«Il faut considérer de façon spécifique la situation des réfugiés et des autres migrants forcés, qui représentent une part importante du phénomène migratoire. A l’égard de ces personnes, qui fuient les violences et les persécutions, la communauté internationale a pris des engagements précis», a rappelé Benoît XVI.

«Je voudrais adresser enfin une pensée particulière (…) aux étudiants étrangers et internationaux. Il s’agit d’une catégorie qui revêt elle aussi une importance sociale, dans la perspective de leur retour, en tant que futurs dirigeants, dans leurs pays d’origine», a-t-il dit.

«Ils constituent des « ponts culturels » et économiques entre ces pays et ceux d’accueil, et tout cela va précisément dans la direction de former « une seule famille humaine »», a estimé le pape. Il a rappelé que «le monde des migrants est vaste et diversifié, constitué d’expériences merveilleuses et prometteuses, ainsi que, malheureusement, de nombreuses autres, dramatiques et indignes de l’homme et de sociétés qui se qualifient de civiles».

(Source AFP) (article lu sur liberation.fr)

11/09/2010

Le « panzer Pape » fait des siennes…

11 09 2010

En attendant, il va accueillir Sarközy… Pour se « faire la main »…

FDF


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Des immigrés Roms bientôt accueillis à… Rome !

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Des « gens du voyage » en pélerinage en terre papale.

Le pape accueillerait prochainement des Roms* expulsés, dans sa résidence d’été de Castel Gandolfo !

On sait que, dimanche 22 avril 2010, le pape Benoit XVI a appelé -en français- , depuis sa résidence de Castel Gandolfo, les pélerins français « à accueillir les légitimes diversités humaines, à la suite de Jésus venu rassembler les hommes de toutes nations et de toutes langues ».  Le même jour, le Père Arthur, prêtre lillois défenseur des Roms a rendu sa médaille du Mérite en protestation contre les reconduites de Roms à la frontière.

Selon une information en provenance d’une source généralement bien informée, très proche des autorités vaticanes, il semble que le Saint-Père Benoît XVI, fidèle aux principes d’accueil et d’hospitalité qu’il a ainsi rappelés, serait sur le point d’accueillir des Roms…à Rome.

Cette décision serait prise à la suite de la mesure d’expulsion de nomades originaires de Roumanie, adoptée par le gouvernement français et fortement critiquée par l’opposition hostile à la politique du président de la République Nicolas Sarkozy. Le pape Benoît XVI, qui s’est dit attristé d’une telle mesure, serait sur le point d’ouvrir aux réfugiés les portes du domaine de Castel Gandolfo, la résidence d’été des papes.

Ce geste spectaculaire, inspiré par la générosité naturelle de Benoît XVI, ne fait pourtant pas l’unanimité au sein de la Curie romaine. Ainsi, Monseigneur Antonio Maria Veglio, en charge du Conseil pontifical pour la pastorale des migrants et des personnes en déplacement, favorable à l’accueil des réfugiés roms, se trouve en opposition sur ce point avec Monseigneur Fernando Filoni, substitut du cardinal Tarcisio Bertone pour les Affaires Générales, qui a une vision plus réaliste des problèmes pratiques, et disons-le, politiques, qu’une telle décision ne manquera pas d’entraîner.

Latrines du Latium

La position plus que réservée adoptée à cet égard par le Secrétaire d’Etat, véritable premier ministre du Vatican, tient compte des questions d’hygiène qui existent déja sur le territoire de la Commune de Castel Gandolfo. Cette jolie petite ville du Latium, située sur la rive du lac d’Albano, connaît en effet déja de graves difficultés avec sa station d’épuration de Santa Maria delle Mole, qui est quelque peu sous-dimensionnée pour les besoins de ses 9.000 habitants.

Le maire, Maurizio Colacchi, et son adjoint Paolo Gasperini, qui sont en poste depuis mai 2007, sont conscients qu’un afflux important de populations nomades entraînera inévitablement une augmentation significative du volume d’effluents à traiter, et par conséquent, une pollution impossible à gérer dans le respect des normes sanitaires auxquelle l’équipe municipale en place est d’autant plus attachée, que son programme comportait précisément une amélioration et non une dégradation des installations et conditions d’assainissement de la ville.

Il faut rappeler que, en vertu des accords de Latran de 1929 créant l’Etat du Vatican, le domaine pontifical de Castel Gandolfo, dont la superficie est de 55.000 hectares, bénéficie du statut d’extraterritorialité, ce qui peut permettre au Saint Père de s’affranchir de l’autorité de la Commune et même de celle de l’Etat italien. Allons nous assister à une nouvelle version de la Comedia dell’Arte, façon Giovannino Guareschi, avec Don Camillo et Peppone ressuscités ?

C’est prometteur. Affaire à suivre, donc…

* Gens du voyage … en « langue de bois » dans le texte )


Source: http://tinyurl.com/37784f2

26/08/2010

Et pan! Bruno Gollnisch suggère que les Roms s’installent au Vatican.

Ah ben ça, c’est envoyé. C’est comme les abrutis qui hurlent haut et fort qu’il faut aider les sans-papiers à tout prix. A qui je suggère donc de commencer par les héberger chez eux, pour voir…
FDF
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Bruno Gollnisch (FN) a suggéré mercredi que les Roms s’installent « place Saint-Pierre de Rome », en réponse à l’appel du pape Benoît XVI à accueillir les « légitimes diversités humaines« , qui a été interprété comme une désapprobation de la politique du gouvernement français. « Le pape n’engage pas son infaillibilité sur ces sujets », a réagi le vice-président du Front national, réputé proche des catholiques traditionalistes, au micro de RMC-Info. Comme on l’interrogeait sur la phrase prononcée par le pape lors de l’Angélus dimanche, il a ajouté : « Je pense que les Roms pourraient peut-être s’installer place Saint-Pierre de Rome, et puis on en reparlera. »

« Je suis un peu irrité par ce genre de discours de certains clercs. Je voudrais qu’ils me disent » si « la France a le devoir d’ouvrir ses frontières à tous ceux qui veulent s’y installer », a déclaré M. Gollnisch, en compétition avec Marine Le Pen pour succéder, en janvier 2011, au président du FN, Jean-Marie Le Pen. « Est-ce que c’est une obligation morale pour un dirigeant, catholique, ou pas catholique d’ailleurs, de laisser les frontières ouvertes au détriment de ses propres ressortissants, et notamment des plus pauvres et des plus marginaux », a-t-il poursuivi.

Le député européen et conseiller régional en Rhône-Alpes a également estimé que la France devrait renégocier les traités européens « qui donnent aux ressortissants de ces pays (d’où sont originaires les Roms, ndr) le droit de venir en France sans aucune autorisation préalable ».

Source: http://tinyurl.com/2czwt63

24/08/2010

Le Pape Benoît XVI a critiqué dimanche matin, sans la citer, la politique de la France en matière d’expulsions.

Il est certain que si Sarkö est dans le collimateur du pape, inutile qu’il tente de se présenter aux prochaines présidentielles… Il est certain aussi que ses adversaires potentiels sauront tirer profit de la situation précaire dans laquelle il s’est mis vis à vis de l’électorat chrétien de France…

FDF

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Roms: L’Eglise s’en prend à la politique de Nicolas Sarkozy.

(Un prêtre lillois, pour sa part, a prié « pour que M. Sarkozy ait une crise cardiaque ».)

23/08/2010


« Des hommes d’Eglise ont également dénoncé dimanche, de manière parfois virulente, la politique sécuritaire du gouvernement français, particulièrement à l’égard des Roms.

Lors de l’angelus dominical, Benoît XVI – qui s’exprimait en français devant des pélerins francophones – a estimé que « les textes liturgiques de ce jour nous redisent que tous les hommes sont appelés au salut. C’est aussi une invitation à savoir accueillir les légitimes diversités humaines, à la suite de Jésus venu rassembler les hommes de toute nation et de toute langue« , concluant ensuite: « Chers parents, puissiez-vous éduquer vos enfants à la fraternité universelle« .

Nettement moins diplomatique cette fois: le père Arthur Hervet, très impliqué dans la défense des Roms dont Nicolas Sarkozy a ordonné le démantèlement des camps illégaux et qui font l’objet de procédures de renvoi dans leurs pays d’origine. Il s’est exprimé hier  à l’issue de la messe sur le parvis de l’église Saint-Martin d’Esquermes, à Lille.

« Je prie, je vous demande pardon, pour que M. Sarkozy ait une crise cardiaque« , a déclaré le prêtre assomptionniste de 71 ans, estimant que cette communauté subissait une « guerre« .

Arthur Hervet a rendu symboliquement sa médaille de l’Ordre national du Mérite au ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux.

« Je dis bien à M. Hortefeux que j’ai l’impression qu’il ne connaît pas la situation, il ne sait pas ce que vivent ces gens. C’est à l’Eglise, c’est à Dieu que j’en réfère parce que je ne pense plus que ceux qui sont au pouvoir aujourd’hui ont encore un projet, si ce n’est d’expulser« , a-t-il ajouté.

Père Arthur Hervet: « A la sortie de l’église, les gens ont applaudi »

Ce prêtre n’est pas isolé en France puisque l’archevêque d’Aix et d’Arles (Bouches-du-Rhône), Mgr Christophe Dufour, a lui aussi critiqué dimanche la politique du gouvernement après avoir été témoin du démantèlement d’un camp Rom.

« Les discours sécuritaires qui peuvent laisser entendre qu’il y a des populations inférieures sont inacceptables« , dit-il dans un communiqué en demandant « le respect des personnes et de leur dignité, dans le cadre de la loi française« .

Ces prises de position irritent néanmoins certains politiques qui les qualifient de réelle ingérence dans les affaires politiques. A l’image d’Eric Raoult, député-maire du Raincy (Seine-saint-Denis). »

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