Francaisdefrance's Blog

09/03/2012

Le Moyen Orient est devenu le plus important diffuseur et incitateur de l’antisémitisme au monde…

Bien analysé…

FDF

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Le véritable « Apartheid » au Moyen Orient

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Ceux qui aiment l’état Juif sont offusqués par l’organisation par des groupes occidentaux de la « Semaine de l’Apartheid » liée à Israël, mais ne sont pas d’accord entre eux sur la meilleure riposte à cette fête de la haine.

Cette campagne de dénigrement atteint des villes et des campus à travers le monde. Certains croient qu’Israël devrait plus insister sur ses efforts continus pour la paix, d’autres proposent de faire valoir son image en mettant en relief les réalisations dans de très nombreux domaines et les succès obtenus. D’autres enfin plaident en faveur d’un rappel de ce qu’est le « sionisme », un mouvement juif de libération nationale, et de ce qu’il n’est pas, du racisme. Toutes ces approches sont utiles, mais aucune d’elles ne résoudra le problème.

 

La recherche de la paix et de la prospérité n’est pas une preuve de bienveillance et de justice. Les régimes les plus oppressifs ont coexisté en paix avec leurs voisins, tout en réprimant leurs populations. Les sociétés les plus prospères ont rejeté leurs propres minorités. L’Afrique du Sud n’était pas un pays pauvre et arriéré technologiquement. La nation la plus riche et la plus avancée, les Etats-Unis, pratiquait récemment encore la ségrégation des noirs. L’accusation d’apartheid ne vise pas l’oubli de la vraie nature du sionisme, mais bien le rejet de l’existence même d’Israël. Aussitôt après que la poussière se fut déposée sur les camps nazis d’extermination, les Arabes et leurs alliés occidentaux se sont précipités pour reprendre le flambeau par la confusion entre les victimes avec leurs tortionnaires.

Une brochure de la Ligue Arabe de 1945 dit: « Pour les Arabes, en effet, le sionisme semble aussi hideux que tout ce que les nazis ont conçu d’expansion raciale aux dépens d’autrui ». Une brochure publiée par l’Olp en 1964, aussitôt après sa création, dit: « Le concept sioniste de la solution finale en ce qui concerne le problème arabe en Palestine et le concept nazi de la solution finale appliqué au problème juif en Allemagne, ont essentiellement les mêmes ingrédients de base, l’élimination de l’élément humain non désiré « 

Pourtant c’est bien cette organisation terroriste palestinienne qui a inventé le canard de l’apartheid vers le milieu des années 60, bien des années avant ladite « occupation » de la Cisjordanie et de Gaza. Bien entendu, cette accusation n’est pas seulement totalement fausse, mais elle est l’inverse de la vérité.

Si l’apartheid est un crime contre l’humanité, Israël est le seul pays au Moyen Orient où cet apartheid est absent, puisque sa population arabe jouit d’une égalité totale devant la loi et de plus de prérogatives que n’importe quelle autre minorité dans le monde libre, depuis la désignation de l’arabe comme langue officielle, jusqu’à la reconnaissance des fêtes religieuses non juives comme fêtes légales chômées.

 

En contraste, l’apartheid est un état habituel faisant partie intégrante des mœurs du Moyen Orient depuis un millénaire, et, aujourd’hui encore, les pays arabes et musulmans continuent à le pratiquer légalement, politiquement et socialement vis-à-vis de leurs minorités infortunées.

Alors comment se fait-il qu’Israël, un état sans apartheid, soit sous pression constante pour « se purifier », alors que les vrais coupables d’apartheid sont non seulement absous, et s’en sortent indemnes, mais de plus, l’Occident leur donne une plateforme mondiale pour blâmer les autres de leurs propres crimes ?

Au lieu de passer son temps à s’excuser et à protester de son innocence – par atavisme séculaire – Israël devrait adopter une stratégie dynamique, appeler un chat par son nom et dénoncer les vrais criminels de l’apartheid, les nations arabes et musulmanes du Moyen Orient. Cet apartheid prend des formes très variées selon les pays et certaines victimes ont subi plus d’une seule forme.

 

L’Intolérance religieuse

 

Sur le plan historique, les Musulmans se sont considérés comme différents et supérieurs aux autres croyants qui vivaient sous leur joug, connus comme les « dhimmis ». Aujourd’hui encore, ils ont préféré ne pas abandonner ce privilège. Les Chrétiens, les Juifs, les Baha’is sont des citoyens de seconde zone à travers le monde arabo-musulman. De même les groupes qui ne pratiquent pas le même Islam que celui des gouvernants sont partout opprimés, comme les shiites en Arabie ou les sunnites en Syrie, considérés comme des apostats dans un cas ou des ennemis dans l’autre.

 

L’injustice ethnique

 

L’héritage historique de l’intolérance s’étend au-delà de la sphère religieuse. Pendant longtemps les Arabes, les Turcs et les Perses ont été des maîtres impérialistes et ils continuent à traiter comme inférieures des populations, pourtant converties depuis longtemps à l’Islam, comme les kurdes et les berbères, qui ont voulu garder leur langue, leur culture et leurs coutumes sociales.

 

Le racisme

 

Le Moyen Orient est devenu le plus important diffuseur et incitateur de l’antisémitisme au monde, en utilisant aussi bien les diffamations moyenâgeuses (telles que l’usage du sang des enfants pour fabriquer la galette de Pâque) que des « canards » plus modernes (comme les Protocoles des Sages de Sion), décrivant les Juifs comme la source du Mal.

De même les Africains d’ascendance sub-saharienne sont traités avec un profond mépris, un vestige de l’histoire de cette région, épicentre de l’esclavage international mené par les marchands arabes.

 

La discrimination des sexes

 

La discrimination légale et sociale contre les femmes est envahissante à travers le monde arabo-islamique, allant de la violence endémique (la violence domestique et le viol de l’épouse ne sont pas considérés comme des crimes, par exemple) aux centaines d’exécutions chaque année, légales ou extra-légales (crimes d’honneur, par exemple).

La discrimination contre les homosexuels est encore pire.

 

Le refus de citoyenneté

 

Ne pas donner la citoyenneté ou les droits civils à un large segment d’une population pourtant née dans le pays est une situation habituelle. Les communautés palestiniennes dans les pays arabes offrent l’exemple le plus frappant de cette discrimination (ainsi au Liban, les Palestiniens ne peuvent pas posséder des biens, des professions leur sont interdites, ils ne peuvent pas circuler librement…). Les Bédouins dans les états du Golfe et des centaines de milliers de kurdes en Syrie ont subi des discriminations analogues.

 

L’inégalité devant le travail

 

La maltraitance des travailleurs étrangers, notamment les employés domestiques, allant des abus sexuels à l’emprisonnement de fait ou même le meurtre, est monnaie courante et largement tolérée partout au Moyen Orient, notamment dans les états pétroliers où vit une population importante d’expatriés.

 

L’Esclavage

 

Les pays arabes demeurent le plus important refuge de l’esclavage dans le monde, depuis le trafic des enfants et des femmes en Arabie saoudite et dans les pays du Golfe jusqu’à l’esclavage endémique au Soudan et en Mauritanie. C’est pourquoi, les islamistes arrivés au pouvoir aujourd’hui n’ont aucun scrupule à demander la légalisation de l’esclavage.

 

L’oppression politique

 

Nombre de régimes moyen orientaux ont des systèmes de gouvernance plus que répressifs visant à perpétuer l’apartheid par une minorité dominante: alawites en Syrie, Tikritis dans l’Irak de Saddam Hussein, oligarchie saoudienne, dynastie hashémite en Jordanie, coterie militaire en Egypte, minorité sunnite à Bahrein…

 

 

Probablement qu’il s’agit de l’anachronisme le plus saisissant de l’histoire, ces abus endémiques ont échappé jusqu’à ce jour à toute investigation et à toute condamnation !

Les gouvernements occidentaux hésitent sans doute à stigmatiser des alliés autoritaires pour ne pas éveiller leur hostilité et leurs élites les ont absous de leurs responsabilités, dans la pure tradition de condescendance de l' »homme blanc » vis-à-vis de ses anciens colonisés, les considérant comme des créatures abruties, incapables d’assumer leur destin.

Il est grands temps de dénoncer ces pratiques de discrimination et d’obliger ces régimes arabes à accepter de se soumettre aux principes de décence et de responsabilité. Cette volonté de recherche de la vérité du terrain mettra à nu la vacuité de la campagne pour délégitimer Israël, et facilitera la paix et la stabilité régionale.

L’histoire a montré que la discrimination systématique et conséquente est une menace non seulement pour les minorités opprimées, mais pour la santé politique des sociétés qui les opprime. Le jour où ces régimes autoritaires arabes et musulmans commenceront à considérer tous leurs citoyens comme égaux, alors ils pourront transcender leur malaise et regarder l’avenir comme un véritable printemps socio-politique.

Par Ephraïm Karsh, professeur au King College de Londres, spécialisé dans les études du Moyen Orient et de la Méditerranée, directeur du Middle East Forum (Philadelphia) et auteur d’un ouvrage récent, « la Palestine trahie »

Jerusalem Post du 5 mars 2012

Traduit par Albert Soued, écrivain http://soued.chez.com pour www.nuitdorient.com

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Merci à JC…

25/02/2012

Le crime de « diffamation des religions » bientôt adopté au niveau mondial ?

C’est bien évidemment un tour de passe-passe pour créer un délit de diffamation de la religion islamique, uniquement. Mais nous étions déjà prévenus.

Le retour du Califat; et un nouveau combat pour conserver nos origines chrétiennes… Nous sommes prêts.

FDF

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Une conférence intitulée «Processus d’Istanbul» vise à faire adopter en droit international la diffamation des religions.

On sait ce qui va se passer si ce programme est adopté : il n’y aura aucune réciprocité ; la liberté d’expression va reculer en Occident ; la répression des minorités et des esprits libres va s’accroître dans les pays musulmans ; et l’intolérance religieuse, loin de diminuer, va aller en augmentant.
– La Commission Européenne fer de lance de la tentative islamique de criminaliser la liberté d’expression
– L’Union européenne a proposé d’accueillir la prochaine réunion du Processus dit d’Istanbul, une tentative agressive des pays musulmans de faire de la critique de l’islam un crime international.
– L’annonce intervient moins d’un mois après que les États-Unis aient organisé leur propre Conférence du Processus d’Istanbul à Washington.
– Le Processus d’Istanbul – son but explicite est d’inscrire dans le droit international une interdiction mondiale de tout examen critique de l’islam et/ou de la charia islamique – est dirigé par l’Organisation de la coopération islamique (OCI), un bloc de 57 pays musulmans. Basée en Arabie saoudite, l’OCI a longtemps fait pression sur l’Union européenne et les États-Unis pour imposer des limites à la liberté de parole et d’expression sur l’Islam.   (suite  sur le lien ci-dessous)

http://observatoiredesconspirations.over-blog.com/article-le-processus-d-istambul-99749186.html
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Le « Processus d’Istanbul », un processus pervers
Nina Shea rend compte de la conférence qui s’est déroulée à Washington avec l’OCI dans le but de mettre en œuvre des résolutions de l’ONU qui, sous prétexte de combattre «l’intolérance religieuse», menacent de conduire à la répression de toute critique de l’islam.

La réunion de Washington a été planifiée à Istanbul en juillet dernier, d’où le nom «Processus d’Istanbul».

Le processus a été dénoncé par des leaders musulmans d’Amérique du nord dans une déclaration dont Tarek Fatah est l’un des signataires.

Lire aussi :
USA : le « Processus d’Istanbul » est une bien mauvaise idée

USA : Département d’État contre Liberté d’expression
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La Secrétaire d’Etat Hillary Clinton a clôturé mercredi le «Processus d’Istanbul», une conférence internationale de trois jours à huis clos sur les mesures de lutte contre «l’intolérance religieuse, les stéréotypes négatifs et la stigmatisation», organisée par le Département d’Etat.

La conférence avait pour but de «mettre en œuvre» la résolution 16/18 adoptée en mars dernier par le Conseil des droits de l’homme de l’Onu sur ce sujet. Cette conférence a été une folie, même si Clinton a défendu la liberté de religion et de parole dans son discours de clôture.

La résolution 16/18 remplace le dangereux projet de pénalisation de la «diffamation des religions» dans le monde entier. La demande d’une loi universelle sur le blasphème a été poussée sans relâche pendant 12 ans par l’Organisation de coopération islamique basée en Arabie saoudite, un organisme essentiellement religieux mandaté pour «combattre la diffamation de l’islam». L’OCI émet des fatwas et d’autres directives pour punir l’expression publique de l’apostasie de l’islam ainsi que «l’islamophobie».

Les leaders de cette campagne de l’OCI – l’Arabie saoudite, l’Iran, l’Egypte et le Pakistan – emprisonnent les «blasphémateurs» ou les condamnent à mort.

La résolution 16/18 déplore l’intolérance religieuse ; toutefois, grâce à une manœuvre habile du Département d’État, elle n’apporte pas de restriction à la liberté de parole. L’Administration aurait dû en rester là. Au lieu de cela, alors qu’elle co-présidait une «réunion de haut niveau» de l’OCI sur l’islamophobie à Istanbul en juillet, Mme Clinton a invité l’OCI à Washington pour discuter de la manière de «mettre en œuvre» la résolution 16/18. Même si la conférence de Washington s’est terminée sans véritable conclusion, elle n’aurait pas dû avoir lieu, pour les raisons suivantes :

– Elle a offert à l’OCI une plate-forme transnationale lui permettant de raviver son agenda contre la diffamation de la religion alors que cette question avait été enterrée à l’ONU. L’Administration a commis une erreur en pensant que la résolution 16/18 représente une convergence de vues entre l’OCI et les USA sur la liberté de religion et de parole.

A Istanbul, Mme Clinton a affirmé que les États-Unis ne veulent pas de restrictions à la liberté de parole. Toutefois, son annonce de la conférence a immédiatement relancé les demandes de l’OCI que l’Occident punisse les discours anti-islamiques. Comme le rapportait l’OCI : «Les réunions qui se tiendront prochainement [à Washington] … permettront l’adoption de lois nationales par les états concernés par ce problème, ainsi que la formulation de lois internationales visant à empêcher l’incitation à la haine résultant de la diffamation des religions».

– La conférence a injustement singularisé les États-Unis pour un examen critique.

Lors de l’ouverture de la conférence, un avocat du gouvernement a présenté un portrait biaisé de l’historique du sectarisme contre les minorités religieuses, y compris les musulmans, sans expliquer notre succès relativement exemplaire en matière de respect des libertés individuelles de religion et de parole dans une société extraordinairement tolérante et pluraliste. Il a dit aux participants, dont certains représentaient les nations les plus répressives au monde, que l’Amérique pouvait tirer des enseignements de leur expérience de la protection de la tolérance religieuse.

– En restant «unis» (terme utilisé par le chef de l’OCI dans un article publié dans un quotidien turc), avec l’OCI sur ces questions, les États-Unis semblent valider l’agenda de l’OCI, ce qui démoralisera les innombrables défenseurs des droits des femmes et des droits humains, blogueurs,  journalistes, minorités, convertis, réformateurs, et tous les autres dans les pays membres de l’OCI qui comptent sur le soutien des États-Unis contre l’oppression.

– La conférence suscite des attentes de réglementation du discours sur l’islam par les États-Unis comme l’ont fait l’Europe de l’ouest, le Canada et l’Australie.

L’Union européenne a imposé l’adoption de normes sur le discours religieux haineux après l’éruption d’émeutes et d’autres violences dans le monde suivant la publication des caricatures de Mahomet dans un journal danois. La conférence intensifiera les pressions exercées sur les États-Unis pour qu’ils se conforment à ces nouvelles «meilleures pratiques» mondiales.

– Clinton a naïvement irrité les diplomates islamistes mercredi  en disant : «Nous devons dépasser l’idée selon laquelle nous pouvons opprimer les minorités religieuses et restreindre la liberté de parole, et que nous sommes assez intelligents pour substituer notre jugement à celui de Dieu en déterminant qui a blasphémé ou pas ». Il est peu probable que l’establishment wahhabite saoudien se laisse persuader par de tels arguments d’«infidèles».

Les diplomates américains devraient mettre fin au «Processus d’Istanbul» et commencer à promouvoir avec énergie et confiance les vertus de notre Premier amendement. Ils doivent être soigneusement informés de la position intransigeante de l’OCI sur les lois sur le blasphème et l’ampleur des atrocités qui y sont associées. Ils doivent cesser d’envoyer les signaux d’un consensus sur ces questions entre l’OCI et nous.

Source: http://www.postedeveille.ca/

07/01/2012

Tolérance en Algérie: « Cette terre est une terre d’islam ! Allez prier ailleurs ! ».

Ah qu’il est bon de se sentir accepté par une « religion » d’amour, de paix et de tolérance… Et pendant ce temps, en terres chrétiennes, fleurissent les mosquées, devant le sourire béat de nos élus … 

FDF

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« Au matin du 26 décembre, les chrétiens d’une église de Tizi Ouzou en Kabylie, se préparaient pour célébrer leur premier culte de Noël dans leur nouveau bâtiment. Mais lorsqu’ils sont arrivés, 50 extrémistes musulmans les attendaient !

Après avoir menacé de mort le pasteur, un homme a crié : « Cette terre est une terre d’islam ! Allez prier ailleurs ! ». Les extrémistes n’ont laissé entrer personne dans le bâtiment pendant deux jours avant de finalement piller le peu de choses que l’église contenait.

En Algérie, les chrétiens d’origine musulmane sont souvent mal vus. Beaucoup n’acceptent pas qu’ils aient quitté l’islam. De plus, les médias diffusent depuis quelques années une image négative des chrétiens. De ce fait, la population voit l’Eglise comme une menace pour la culture algérienne.

En septembre 2006, le président algérien avait promulgué une loi régissant l’exercice des cultes autres que musulmans. Son application avait entraîné l’ordre de fermeture pour 26 églises évangéliques et l’arrestation d’une quinzaine de chrétiens. Face à la pression internationale, le régime avait fait marche arrière, mais cet événement pourrait bien marquer un nouveau tournant.

Youssef Ourahmane, un responsable de l’Eglise Algérienne, s’inquiète : « A ma connaissance, c’est la première fois que cela se produit. Il s’agit peut-être de la nouvelle tactique du gouvernement pour empêcher les chrétiens de se réunir. Au lieu d’utiliser la force, la police locale encourage les extrémistes musulmans à faire pression sur les églises.»

Mais les chrétiens ne perdent pas courage, sur les 26 églises ayant reçu un ordre de fermeture, 22 fonctionnent encore. Une dizaine de procès sont en cours, mais aucun chrétien d’origine musulmane n’est en prison ».

http://www.newspress.fr/Communique_FR_223866_3526.aspx

28/11/2011

Frères musulmans: « un jour, nous arriverons à tuer tous les juifs du monde » !!!

Dessin d’illustration…

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Islamistes modérés… S’il existait plusieurs versions de l’islam, on pourrait se dire que si ces musulmans là sont « modérés », à quoi doit on s’attendre de la part des fanatiques?

FDF

Mais « rassurons-nous »: il n’y a qu’UN seul islam. Mais « on » nous fait croire le contraire…

Amour, paix et tolérance

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Un rassemblement des Frères musulmans dans la mosquée la plus importante du Caire vendredi, a transformé une manifestation anti-sioniste en une démonstration de force antisémite.

Quelque 5.000 personnes ont rejoint cette manifestation, créée pour promouvoir la “bataille contre la judaïsation de Jérusalem.” Un thème de plus en plus repris dans les médias français, comme lors de l’émission “un Oeil sur la planète” ou les journaliste dénonçaient la main-mise des juifs sur Jérusalem. Si des journalistes français le disent, alors imaginez le discours des barbus égyptiens !

Dans les haut-parleurs qui faisaient vibrer les murs alentours de la mosquée, le discours de haine à l’égard d’Israël est acclamé par le quidam. Ceux-là même qui violent les journalistes étranger sont ceux qui parlent de ces “occupants sionistes” et de ces “juifs perfides.”

Leur chef spirituel, Ahmed al-Tayeb, prend le micro. Devant ses hyènes, il balance un discours d’”islamiste modéré” comme on dit à Paris : “Mes frères, les juifs sont partout ! Mes frères, les juifs veulent empêcher l’unité islamique. Mes frères, les juifs parasitent l’Egypte pour empêcher notre pays d’être uni et fort.”

Puis, il continue :  “Pour construire l’Egypte, nous devons être un. La politique est insuffisante. La foi en Allah est la base de tout», a t-il dit. “La mosquée al-Aqsa fait actuellement face à une attaque orchestrée par les juifs ! Nous ne pouvons par permettre à ces juifs de judaïser Jérusalem ! Nous allons faire savoir à ces juifs, à Israël et aux européens que nous n’accepteront pas qu’une seule pierre y soit déplacée.”

Il est vrai que je suis en déplacement à l’étranger ces jours-ci… Mais je n’ai pas entendu la moindre information concernant une attaque “juive” sur le Mont du Temple. A moins que tout fasse parti du fameux complot sioniste médiatique…

En fin de meeting, des slogans comme “Tel-Aviv, le jour du jugement est venu” ou “tous les égyptiens au jihad pour la Palestine” sont scandé par des milliers de personnes. Et dire qu’il y en a encore pour affirmer que le printemps arabe est une bonne nouvelle pour l’évolution des peuples arabo-musulmans

Source: http://jssnews.com/

22/11/2010

Asia Bibi: la mobilisation s’accentue…

Le sort d’Asia Bibi, condamnée pour blasphème, mobilise la planète.

Les appels se multiplient pour sauver la jeune femme chrétienne pakistanaise condamnée à mort et pour supprimer la loi anti-blasphème

La petite communauté chrétienne pakistanaise de Grande-Bretagne (1) s’est fortement mobilisée pour le cas d’Asia Bibi, jeune femme protestante condamnée à la mort par pendaison le 8 novembre par le tribunal pakistanais de Sheikhupura pour blasphème envers le prophète Mohammed.

Elle paye les meilleurs avocats pour la défense de la jeune femme et assiste financièrement sa famille, son mari et ses quatre enfants qui ont quitté leur village d’Ittanwali et ont été transférés dans la capitale régionale du Pendjab, Lahore, pour assurer leur sécurité.

L’affaire remonte au 19 juin 2009. Ce jour-là, alors qu’elle travaillait dans les champs, Asia Bibi a été arrêtée après avoir eu des mots avec ses collègues de travail musulmanes qui auraient refusé de boire de l’eau jugée impure parce que rapportée par une chrétienne, rapporte Églises d’Asie, l’agence des Missions étrangères de Paris, d’après les témoignages recueillis par une association de défense des chrétiens persécutés. Le juge ne lui a trouvé « aucune circonstance atténuante » et a rejeté l’idée qu’elle ait été accusée à tort.

Réaction du pape Benoît XVI

Depuis le jugement prononcé il y a deux semaines, des voix s’élèvent d’un peu partout sur la planète pour sauver la vie de cette jeune femme de 37 ans et militer pour l’abandon de la loi anti- blasphème en vigueur au Pakistan depuis 1986.

Le pape Benoît XVI a demandé mercredi 17 novembre « que la liberté lui soit rendue au plus vite » et a enjoint à la communauté internationale de se pencher sur « la difficile situation dans laquelle se trouvent les chrétiens au Pakistan, qui sont souvent victimes de violences et de discriminations ».

Le ministre italien des affaires étrangères, présent à Bagdad au moment du verdict, a soulevé le cas Bibi lors d’une rencontre avec son homologue pakistanais. En France, quinze députés UMP ont, dans une lettre à la ministre des affaires étrangères Michèle Alliot-Marie, réclamé une action diplomatique de l’Union européenne.

Révision de la loi anti-blasphème

L’affaire fait également grand bruit au Pakistan. Le ministre en charge des minorités, Shahbaz Bhatti, a demandé que la sécurité d’Asia Bibi soit assurée en prison et qu’elle puisse bénéficier d’un procès équitable par la haute cour de Lahore auprès de laquelle son mari a fait appel de la sentence.

La députée pakistanaise musulmane Sherry Rehman et présidente du Jinnah Institute, prestigieux institut d’études politiques d’Islamabad, a annoncé à Fides, l’agence d’information du Vatican, son intention de présenter à l’Assemblée nationale « une motion en vue de la révision de la loi anti-blasphème ».

Des femmes catholiques et musulmanes ont manifesté dans les rues de la ville de Nankana, proche du village d’Asia Bibi, pour demander sa libération. Et plusieurs associations de défense des droits de l’homme ont prévu lundi 22 novembre une rencontre au niveau national.

Un symbole

Dans une interview accordée samedi 20 novembre à l’agence Fides, le vice-président de la Conférence épiscopale catholique du Pakistan, Mgr Joseph Coutts, évêque de Faisalabad, estime qu’Asia Bibi « est le symbole de toutes les victimes de la haine religieuse et de la loi sur le blasphème qui est une arme contre les minorités ».

Il s’inquiète de la montée de l’intolérance religieuse qui frappe les chrétiens mais aussi les autres minorités et même les « fidèles musulmans modérés » et estime que l’abolition de la loi sur le blasphème est pour le pays une véritable « bataille de civilisation ».

Près de 1 000 personnes ont été condamnées pour blasphème depuis 1986 selon la Commission justice et paix, rapporte Églises d’Asie. En octobre, Mohammad Farooq Khan, l’une des plus grandes figures de l’islam au Pakistan qui militait pour l’abolition de cette loi, a été assassiné.

Source: http://tinyurl.com/36kjtpn

(1) Il y a plus d’un million de Pakistanais immigrés outre-Manche, dont 70 000 chrétiens.