Francaisdefrance's Blog

06/02/2011

La montée de l’islam radical fait peur… C’est fait pour.

Il est de notre devoir d’arrêter ce massacre…

FDF

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Le djihad contre les Chrétiens est lancé.

 

L’essentiel de ce qui devait être dit sur l’attentat contre l’église des Saints à Alexandrie a été dit ici, par Ftouh Souhail. Comme il l’écrit, il y a de la barbarie et de l’incitation au meurtre dans l’islam. Je veux penser qu’un islam modéré peut réémerger, mais, depuis les temps mu’tazilites, cet islam là est profondément absent. Et ce qui se propage depuis plusieurs décennies a un visage meurtrier, totalitaire, ignoble, sanglant, bestial, qu’une grande masse silencieuse de musulmans se garde de contrer et de contredire.

J’attends une manifestation de musulmans sortant dans la rue, par dizaines de milliers, pour dénoncer ce qui ressemble de plus en plus, dans un nombre croissant de pays, à une volonté d’extermination, et qu’on ne me dise pas que ce genre de manifestation ne peut pas se faire parce que les musulmans ne manifestent pas : je me souviens des foules qui vociféraient leur haine d’Israël, et, quelquefois, des Juifs, lors des opérations israéliennes contre le Hamas à Gaza. Des dizaines de milliers de personnes en colère parce qu’on exerce des représailles envers une organisation d’assassins aux buts génocidaire, mais personne lorsque des innocents sont massacrés : dois-je dire que cela me semble lourd de sens. Dalil Boubakeur et le Conseil Français du Culte Musulman ont condamné, certes, mais en parlant de « terrorisme », et seulement de terrorisme, ils ont éludé la question, et Boubakeur, en ajoutant que ce qui est survenu ne doit pas « dresser les communautés les unes contre les autres » a procédé à une forme de renvoi dos à dos du bourreau et de la victime qui relève, au mieux, de l’aveuglement volontaire.

Cet aveuglement volontaire est aussi celui des dirigeants des grands pays occidentaux. Nicolas Sarkozy a laissé à Michèle Alliot-Marie le soin de s’occuper de ce dossier apparemment subalterne à ses yeux, et celle-ci a parlé d’une « réponse concertée à l’échelle européenne », ajoutant : « Il faut que nous agissions entre nous, que nous accueillions, que nous offrions à ceux qui se sentent menacés le droit d’asile, mais surtout que nous agissions pour que ces gens puissent rester chez eux ». Que voilà des paroles fortes ! Barack Obama a réussi à dénombrer des victimes chrétiennes et musulmanes dans un attentat commis par des Musulmans contre des Chrétiens : sans doute que s’il ne considérait pas qu’il y avait des victimes musulmanes, il n’aurait pas trouvé de raison de s’apitoyer. Et puisque les victimes musulmanes n’existaient pas, il lui a suffi de les inventer. Le pape a appelé les autorités du monde à « défendre les Chrétiens contre les abus et les intolérances religieuses », sans dire de quels abus et de quelles intolérances il s’agissait. La montée de l’islam radical fait peur, tellement peur qu’on n’ose plus utiliser le mot « islam » dans ce genre de contexte. La montée de l’islam radical fait si peur que nul, à de rares exceptions près, n’ose dire qu’il y a un problème immense au coeur de l’islam, et que ce problème ressemble de plus en plus à une bombe à fragmentation qui n’en finit pas d’exploser et face à laquelle, au nom du politiquement correct, qui, en l’occurrence, devient un islamiquement correct, on se contente de tous côtés de détourner le regard en espérant être épargné et en adoptant un geste de soumission.

Ce qui s’est passé à Alexandrie n’est pas une exception, et ce doit être rappelé. Cela vient quelques semaines après un acte ignoble et plus sanglant encore à Bagdad, après divers actes de harcèlement et des meurtres ayant touché les chrétiens au Nigeria, au Soudan, au Pakistan, dans les territoires contrôlés par l’Autorité Palestinienne que certains aiment tant en France. Cela relève de l’épuration religieuse, et parfois à de l’épuration ethnique. Cela relève du djihad, dont le coran dit qu’il est du devoir des musulmans de le mener s’ils entendent qu’Allah se montre « miséricordieux » envers eux.

Les organisations de défense des droits de l’homme, si promptes, comme les foules musulmanes, à vociférer haineusement contre Israël sont très timides sur ce genre de dossier et n’en traitent jamais comme d’un problème d’ensemble. Les Chrétiens sont persécutés aujourd’hui dans l’ensemble du monde musulman. Les Juifs ne le sont pas parce qu’ils ont déjà été persécutés avant, et qu’à de très rares exceptions près, les pays musulmans sont épurés de toute présence juive. Mais la moitié de la population juive du monde étant en Israël et Israël étant le seul Etat juif sur la planète, on rêve tout haut dans l’ensemble du monde musulman d’épurer le dar el-islam de l’Etat juif, quitte à ce que cela passe par une extermination de masse. Dans l’ensemble du monde musulman, des livres comme les protocoles des Sages de Sion et Mein Kampf circulent. Et ce n’est pas du tout un hasard.

L’Europe est faible, couchée aux trois quart, en état de décomposition intérieure accélérée. En réagissant comme elle le fait, elle entérine le djihad mené contre les Chrétiens du monde musulman. Elle reconnaît qu’elle tremble et qu’elle est pusillanime. Elle espère que sa pusillanimité et sa volonté de plus en plus affichée de lâcher Israël aux chiens lui permettra de survivre, fut-ce dans la servitude. Elle risque fort d’avoir la servitude : pour ce qui est de la survie, je ne me prononcerai pas. Mais j’ai des doutes.

Les Etats-Unis sont, dans un moment terrible, gouvernés par le pire Président de leur histoire, un homme qui en Egypte, à al-Azhar, lieu où se sont formés de nombreux djihadistes, est allé chanter les louanges de l’islam et traiter Israël d’Etat d’apartheid sans trouver un seul mot à dire sur les Coptes du pays ou sur le sort des Chrétiens en terre d’islam.

Les conditions sont réunies pour que d’autres massacres aient lieu, puis d’autres encore.

Et dans le monde musulman, on fera ce qu’on fait déjà de tous côtés depuis le massacre d’Alexandrie : on dira que c’est la faute des Juifs et d’Israël. Et on jurera de tuer tous les Juifs.

Dès lors que tuer des Chrétiens donne de bonnes raisons de tuer des Juifs et que le reste de la planète élève à peine une voix irrésolue, pourquoi se gêner ?

Guy Millière

18/12/2010

L’islam « modéré ». Comme si il y avait existé un nazisme « modéré »…

Il ne faut pas nous raconter que nazisme et islamisme n’ont pas des préceptes identiques… Intéressante comparaison. L’islam modéré est une utopie dans laquelle beaucoup trop de monde s’égare.

FDF

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Guy Millière pour les 4 Vérités hebdo le 15 décembre 2010 

La solution : l’islam modéré

Mahomet et Le Coran - la solution : l'islam modéré

Ma position concernant l’islam est celle de la grande majorité des intellectuels conservateurs et néo-conservateurs américains. Elle a été énoncée lapidairement dans une formule de Daniel Pipes que j’ai souvent citée : « L’islam radical est le problème, l’islam modéré est la solution ».

J’ai ajouté, à chaque fois que j’ai cité cette formule, qu’il n’en était pas moins évident que l’islam radical occupait une position massivement dominante dans le monde musulman au­jourd’hui, quelles que soient ses composantes, et que l’islam modéré restait, pour l’essentiel, à inventer ou à réinventer.

Un livre récent apporte un éclairage très utile à une analyse plus précise des choses. Il s’appelle « The Closing of the Muslim Mind » (La fermeture de l’esprit musulman), son auteur, Robert Reilly est un théologien chrétien.

La thèse de Reilly est qu’une bataille cruciale a eu lieu dans le monde musulman sunnite, voici dix siècles. Elle a opposé le courant mu’tazilite, dont sont issus Averroès et Avicenne, et un courant plus dogmatique, le courant ash’arite. Les mu’tazilites entendaient procéder à une lecture aristotélicienne du Coran, soulignaient que « Dieu est raison » et que, « si Dieu est raison, on ne peut fermer son esprit à la raison, car cela équivaudrait à se fermer soi-même à Dieu ».
Pour eux, poursuit Reilly, « la raison humaine est un don de Dieu donné aux hommes pour qu’ils comprennent la création. Tous les hommes ont reçu ce don, et pas seulement les musulmans, ce qui permet d’accepter d’autres visions de Dieu et des discours philosophiques tels que le discours philosophique grec ».

Les ash’arites, eux procédaient à une lecture inverse, disaient que « Dieu n’est pas raison mais pure volonté et pouvoir absolu ». Pour eux, écrit encore Reilly, « Dieu n’est limité par rien, pas même ses propres mots et sa propre parole ». Ou encore : « Dans la mesure où Dieu est pure volonté, il n’y a ni raison ni justification à ses décisions et ses actes, qui ne peuvent être compris par les hommes, et ceux-ci ont simplement à se soumettre, sans chercher à comprendre ».

Les ash’arites, dit Reilly, l’ont emporté. Le courant mu’tazilite a été vaincu et délaissé. Les portes de l’itjihad (interprétation) ont été fermées. L’islam est entré dans un long sommeil dogmatique qui est un véritable suicide intellectuel. Ce suicide intellectuel est la matrice d’un long et profond déclin, d’une coupure d’avec la modernité, l’évolution, les sciences, la connaissance, toute possibilité d’évolution vers un fonctionnement de société ouverte. Reilly en déduit la nécessité impérative que « l’islam trouve, au XXIe siècle, son Thomas d’Aquin ». Je partage l’idée de cette nécessité impérative.

Mais, pour l’heure, nous sommes surtout confrontés aux effets du suicide intellectuel. Le monde musulman est profondément malade et, actuellement, imperméable à un retour à la raison. Cette imperméabilité en fait, globalement, la région du monde la plus sinistrée en matière de développement économique, politique, culturel et intellectuel. Elle en fait la source majeure des tensions planétaires et de quasiment tous les actes terroristes commis sur la planète depuis des décennies. Elle imprègne les communautés musulmanes installées dans le monde occidental et fait de celles-ci des enclaves d’irrationalité qui constituent autant de bombes à retardement.

Je constate que, pour l’heure, plus un musulman est éloigné de l’islam tel qu’il est, et quelle que soit la définition qu’on lui donne, plus il est susceptible d’accéder à la logique, et que plus il est proche de l’islam, plus il s’éloigne de la logique.

Rompre avec une pesanteur de dix siècles peut sembler une tâche impossible. Cette rupture n’en est pas moins la seule alternative à un probable cataclysme. Inéluctablement, dès lors que l’islam tel qu’il est ne peut être vu autrement que comme stérile, celui-ci, après un embrasement, ne pourra que retourner à la décrépitude et à son propre anéantissement. La question qui n’en est pas moins posée, ici et maintenant, est celle des conséquences de l’embrasement.

L’islam radical est le problème, et c’est un problème brûlant. L’islam modéré est la solution. Dès lors que la solution a été mise sous le boisseau pendant si longtemps, elle n’est, pour l’heure qu’une asthénique et très fragile lueur.

Guy Millière pour les 4 Vérités hebdo le 15 décembre 2010

Guy Centière pour les 4 Vérités hebdo le 15 décembre 1939 

La solution : le nazisme modéré

Hitler et mein Kampf - la solution : le nazisme modéré

Ma position concernant le nazisme est celle de la grande majorité des intellectuels conservateurs et néo-conservateurs américains. Elle a été énoncée lapidairement dans une formule de Daniel Cigares que j’ai souvent citée : « le nazisme radical est le problème, le nazisme modéré est la solution ».

J’ai ajouté, à chaque fois que j’ai cité cette formule, qu’il n’en était pas moins évident que le nazisme radical occupait une position massivement dominante dans le monde allemand aujourd’hui, quelles que soient ses composantes, et que le nazisme modéré restait, pour l’essentiel, à inventer ou à réinventer.

Un livre récent apporte un éclairage très utile à une analyse plus précise des choses. Il s’appelle « The Closing of the German Mind » (La fermeture de l’esprit allemand), son auteur, Robert Roy est un théologien chrétien.

La thèse de Roy est qu’une bataille cruciale a eu lieu dans le monde allemand National Socialiste, voici quelques années. Elle a opposé le courant SA, dont est issu Ernst Roehm, et un courant plus dogmatique, le courant SS. Les SA de Roehm entendaient procéder à une lecture aristotélicienne de Mein Kampf, soulignaient que « Hitler est raison » et que, « si Hitler est raison, on ne peut fermer son esprit à la raison, car cela équivaudrait à se fermer soi-même à Hitler ».
Pour eux, poursuit Roy, « la vision National Socialiste est un don de Hitler donné aux hommes pour qu’ils comprennent la domination Juive. Tous les hommes ont reçu ce don, et pas seulement les allemands, ce qui permet d’accepter d’autres visions de Hitler et des discours philosophiques tels que le discours philosophique grec ».

Les SS, eux procédaient à une lecture inverse, disaient que « Hitler n’est pas raison mais pure volonté et pouvoir absolu ». Pour eux, écrit encore Roy, « Hitler n’est limité par rien, pas même ses propres mots et sa propre parole ». Ou encore : « Dans la mesure où Hitler est pure volonté, il n’y a ni raison ni justification à ses décisions et ses actes, qui ne peuvent être compris par les hommes, et ceux-ci ont simplement à se soumettre, sans chercher à comprendre ».

Les SS, dit Roy, l’ont emporté. Le courant SA a été vaincu et délaissé. Les portes de l’interprétation ont été fermées. Le nazisme est entré dans un long sommeil dogmatique qui est un véritable suicide intellectuel. Ce suicide intellectuel est la matrice d’un long et profond déclin, d’une coupure d’avec la fraternité, la compassion, l’humanisme, la connaissance, toute possibilité d’évolution vers un fonctionnement de société ouverte. Roy en déduit la nécessité impérative que « le nazisme trouve, au XXe siècle, son Thomas d’Aquin ». Je partage l’idée de cette nécessité impérative.

Mais, pour l’heure, nous sommes surtout confrontés aux effets du suicide intellectuel. Le monde allemand est profondément malade et, actuellement, imperméable à un retour à la raison. Cette imperméabilité en fait, globalement, la région du monde la plus sinistrée en matière de développement humaniste. Elle en fait la source majeure des tensions Européennes et de quasiment tous les actes de guerre commis en Europe depuis des années. Elle imprègne les communautés allemandes installées dans le monde occidental et fait de celles-ci des enclaves d’irrationalité qui constituent autant de bombes à retardement.

Je constate que, pour l’heure, plus un allemand est éloigné du nazisme tel qu’il est, et quelle que soit la définition qu’on lui donne, plus il est susceptible d’accéder à l’humanisme, et que plus il est proche du nazisme, plus il s’éloigne de l’humanisme.

Rompre avec une pesanteur de plusieurs années peut sembler une tâche impossible. Cette rupture n’en est pas moins la seule alternative à un probable cataclysme. Inéluctablement, dès lors que le nazisme tel qu’il est ne peut être vu autrement que comme stérile, celui-ci, après un embrasement, ne pourra que retourner à la décrépitude et à son propre anéantissement. La question qui n’en est pas moins posée, ici et maintenant, est celle des conséquences de l’embrasement.

Le nazisme radical est le problème, et c’est un problème brûlant. Le nazisme modéré est la solution. Dès lors que la solution a été mise sous le boisseau pendant si longtemps, elle n’est, pour l’heure qu’une asthénique et très fragile lueur.

Guy Centière pour les 4 Vérités hebdo le 15 décembre 1939

Le nazisme modéré est une utopie, une dangereuse utopie. Le nazisme, quelle que soit sa forme, aussi modérée qu’on la souhaite, est interdit car même sous forme modérée (ce qu’il était au début) cette doctrine ne peut QUE dégénérer en nazisme extrémiste du fait même de ses fondements discriminatoires clairement explicités dans Mein Kampf. Dès que les nazis sont assez nombreux, il s’en dégage toujours, tôt ou tard, une minorité violente.
Il en est de même pour l’islam.
L’islam modéré est une utopie, une dangereuse utopie. L’islam, quelle que soit sa forme, aussi modérée qu’on la souhaite, devrait être interdit, ou au moins non-encouragé, ce qui est précisément le but de la loi de 1905, car même sous forme modérée (ce qu’il était au début, à La Mecque) cette doctrine ne peut QUE dégénérer en islam extrémiste du fait même de ses fondements discriminatoires clairement explicités dans Le Coran. Dès que les musulmans sont assez nombreux, il s’en dégage toujours, tôt ou tard, une minorité violente.

Faites le comprendre à Guy Millières.

C’est très simple avec la méthode Amnesty International SITA : une lettre dans une enveloppe timbrée, envoyée par la poste (voir tinyurl.com/6r4fsu et tinyurl.com/592ezu )

Et c’est très efficace (voir tinyurl.com/c44rvr)

Action SITA : imprimer, adresser, poster : la nouvelle façon de voter
Démocratie Directe

Quoi mettre dans l’enveloppe ?

– Imprimer les trois premières pages du présent article, directement depuis le navigateur (Fichier [ > Mise en page | Aperçu avant impression ] > Imprimer… > Pages de:1 à:3)

pages 1 à 3

Un timbre tarif « 20 grammes » de base permet d’envoyer au moins deux feuilles (recto-verso, soit quatre pages). Au verso libre de la deuxième feuille vous pouvez éventuellement rajouter un argumentaire sur l’islam, au choix, en une page.

Qui sont les destinataires ?

– En priorité Guy Millières, l’auteur de ce plaidoyer en faveur de cette utopie qu’est l’islam modéré.
Son adresse postale publique se trouve dans la colonne de gauche de la page « JOURNAL PAPIER » du site les4verites.com : http://www.les4verites.com/lejournal.php

– Optionnellement les élus, qui se réfugient trop souvent dans cette confortable utopie d’islam modéré, par manque de courage face à la réalité.
Consulter la page Annuaires & Adresses pour choisir les élus (députés, sénateurs, conseillers régionaux etc.) que vous souhaiter informer, trouver leurs noms et leur adresse postale publique.

Mettre les deux feuilles dans une enveloppe, écrire le nom et l’adresse du destinataire, timbrer et poster.

Voilà, ce n’est pas plus compliqué que ça…

Vous avez une enveloppe ? Un timbre ?
Alors vous avez le……… P O U V O I R ……
… d’expliquer pourquoi l’islam modéré est un fantasme.

Islam et nazisme

28/11/2010

L’administration Obama reste résolument hostile à Israël…

A lire…

FDF

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Elle jette en ce moment toutes ses forces dans la bataille destinée à faire céder Binyamin Netanyahu et le gouvernement israélien. Elle fait des propositions conditionnelles mirobolantes : une livraison d’avions F 35 contre un gel des constructions en Judée-Samarie et contre une assurance que les Etats-Unis continueront à se tenir du côté d’Israël aux Nations Unies. Netanyahu se voit d’ores et déjà critiqué par certains pour avoir manifesté l’intention d’accepter.

En fait, je dirai qu’il gagne du temps, car il sait que bientôt l’administration Obama se trouvera très dépourvue. Il sait aussi que Barack Obama gardera des capacités de nuire, et a pour ferme intention d’en finir avec le conflit israélo-arabe d’une manière très néfaste pour Israël. Je détaille tout ce que prépare Obama dans le prochain numéro de l’excellente revue Israël magazine (1).

Netanyahu sait aussi qu’il y a, derrière le comportement de l’administration Obama, une volonté de focaliser l’attention internationale sur Israël, pendant que la même administration Obama fournit des armes en quantité inquiétante à l’Arabie Saoudite, et sabote l’Otan de l’intérieur en y renforçant la position de la Turquie, alliée de l’Iran (voilà que le dispositif de défense anti-missiles américain qui devait être déployé en République tchèque et en Pologne le sera sur le territoire turc).

Il sait aussi que l’administration Obama entend permettre à l’Iran de gagner du temps et d’avancer vers l’arme nucléaire. Et il sait que celle-ci constituerait un péril mortel pour Israël.

Fort heureusement, des gens très inventifs, des génies de l’informatique (on ne sait pas qui, et je me garderai d’énoncer des hypothèses, même si j’ai des idées sur le sujet), ont mis au point un virus extraordinaire qui permet de placer en suspens la question de savoir s’il faut frapper ou non. De fait, pourquoi frapper si l’ennemi est mis hors d’état de nuire d’une autre façon ? Or, ce virus extraordinaire, Stuxnet, agit depuis plusieurs semaines sur les ordinateurs du programme nucléaire iranien, qui se trouve gravement infecté.

Et selon des rapports dignes de foi rédigés par divers organismes scientifiques, Stuxnet apparaît avoir été conçu tout spécialement pour faire dysfonctionner les centrifugeuses iraniennes, et pour susciter une variation erratique de leur vitesse de fonctionnement, qui les conduit à l’autodestruction.

Faut-il le dire ? L’autodestruction empêche la production d’uranium enrichi, et sans uranium enrichi…

J’écrivais dans la « Septième dimension » que les guerres du futur auraient une dimension virtuelle et passeraient par l’immatérialité. J’écrivais aussi que, quand bien même l’intelligence et l’innovation n’étaient pas nécessairement l’apanage des sociétés ouvertes, celles-ci, par leur aptitude à produire du capital intellectuel et à susciter de la créativité, avaient la possibilité de garder plusieurs longueurs d’avance et les garderaient sans aucun doute.

Ceux qui connaissent la véritable histoire des années Reagan (j’ai traduit, annoté et préfacé les Ecrits personnels de Ronald Reagan, et il en reste des exemplaires disponibles), savent que c’est très largement par le lancement du programme d’Initiative de défense stratégique, que l’administration Reagan a annihilé la possibilité, pour l’Union soviétique, d’inspirer la peur et de conquérir, ce qui a conduit à l’effondrement qu’on sait. L’intelligence américaine a permis à l’époque de gagner : sans qu’il soit nécessaire de tirer un seul coup de feu.

Ceux qui, plus tard, écriront l’histoire du Proche-Orient, auront sans aucun doute des récits passionnants à faire sur le rôle de virus informatiques bien conçus, dans la mise hors d’état de nuire d’un régime profondément néfaste, installé à Téhéran depuis trop longtemps. L’intelligence de quelques-uns pourrait permettre de gagner.

On ne sait pas qui sont ces « quelques uns ». Officiellement on ne sait pas. Mais j’ai des idées sur le sujet, et je parie que vous qui me lisez, vous avez des idées sur le sujet vous aussi.

Guy Millière

(1) http://www.israelmagazine.co.il/

05/10/2010

Il y a déjà un Etat palestinien : la Jordanie…

Un peu d’Histoire…

FDF


PETIT RAPPEL DES FAITS

Voici quelques mois, Geert Wilders proposait sa réponse au conflit du Proche-Orient : dire que la Jordanie est un Etat palestinien, et qu’il a donc d’ores et déjà un Etat palestinien, ce qui rend inutile  la création d’un deuxième, ou d’un troisième Etat palestinien. Je partage la réponse de Geert Wilders.

Je la partage tant que je pense utile de l’expliciter, et de donner des détails historiques.

Au temps de l’empire ottoman, le mouvement sioniste existait déjà. Le principe de la renaissance d’un foyer national juif au sein de l’empire avait été accepté par les autorités d’Istanbul qui y voyaient un moyen de remettre en culture des terres longtemps stériles et abandonnées.

Pendant la guerre, pour s’assurer le soutien du peuple juif, et au nom du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, le Royaume-Uni promit qu’après la guerre le foyer national juif serait reconnu. Le Royaume-Uni promit aussi au monde arabe l’indépendance.

Après la guerre, lors du démantèlement de l’empire ottoman, divers territoires furent placés sous mandat international, avant de devenir des Etats. La Syrie, sous mandat français à partir de 1920, deviendra indépendante en 1946. Le Liban, sous mandat français aussi, deviendra lui-même indépendant la même année (l’indépendance a été proclamée en 1943, mais n’a été effective que trois ans plus tard). L’Irak, sous mandat britannique, deviendra indépendant en 1932. L’Arabie, où Abd al-Aziz ibn Saoud.est devenu l’allié des Britanniques en 1915, passe entièrement sous le contrôle de celui-ci, et devient Arabie Saoudite en 1932.

Le Mandat britannique sur la Palestine, établi en 1920, et censé permettre l’accomplissement du foyer national juif prévu par la déclaration Balfour, et déjà existant sous l’empire ottoman, comprenait un territoire représentant la Jordanie actuelle, l’Etat d’Israël actuel, la Judée-Samarie, Gaza. Un émirat de Transjordanie est créé en 1921 sur un territoire représentant près de quatre-vingt pour cent de la Palestine mandataire. Cet émirat, est confié à l’un des deux fils de Hussein ibn Ali, chérif de La Mecque, autre allié des Britanniques, chassé d’Arabie par la famille Saoud. Le deuxième fils du chérif Hussein deviendra roi d’Irak.

L’émirat de Transjordanie deviendra Jordanie en 1946.

Le territoire résiduel de la Palestine mandataire, censé être le foyer national juif, restera sous Mandat britannique jusqu’au moment où le Royaume-Uni confiera le dossier aux Nations Unies où sera votée la division du territoire en deux Etats, en 1948.

Pendant les années 1921-1948, le Royaume-Uni freinera l’installation des Juifs en Palestine mandataire, favorisera l’immigration arabe, et favorisera aussi, pour des raisons pétrolières en Arabie Saoudite, la dissémination d’un islam fondamentaliste sur le territoire, cet islam fondamentaliste étant incarné par Amin al Husseini, mufti de Jérusalem.

En 1948, Israël verra le jour, le deuxième Etat arabe de Palestine ne verra pas le jour. Les pays arabes de la région déclareront la guerre à Israël. La Jordanie annexera la Judée-Samarie, l’Egypte annexera la bande de Gaza.

A la suite d’une autre guerre,  en 1967, la Judée-Samarie sera perdue par la Jordanie, et la bande de Gaza sera perdu par l’Egypte.

Jamais nulle part il n’est fait mention de « peuple palestinien » avant l’automne 1967. L’OLP, créée en 1964, et les différents mouvements qui la composent, parlent de libération de la Palestine et de la destruction d’Israël, mais pas de peuple palestinien avant que la notion ne soit forgée. L’OLP, après 1967, continue à parler de libération de la Palestine par la destruction d’Israël. L’OLP elle-même considère la Jordanie comme un Etat arabe palestinien et tente de s’y emparer du pouvoir en 1970, avant d’être écrasée par le roi Hussein et de fuir s’installer au Sud Liban.

Ce n’est qu’après la signature des traités de paix avec l’Egypte, puis la Jordanie, que la Judée-Samarie et Gaza seront considérés comme territoires où créer un deuxième Etat palestinien, puis, par glissements de langage, comme « territoires palestiniens ».

La Jordanie est peuplée des Arabes qui vivaient sur place au moment de la création de l’émirat de Transjordanie et de la minorité d’Arabes venues d’Arabie avec l’émir nouvellement installé.

La Judée-Samarie et Gaza sont peuplés d’Arabes descendant de ceux qui vivaient là avant le démantèlement de l’empire ottoman, et d’immigrants venus s’installer dans la région après 1921, lorsque l’essor du Mandat britannique dû à la mise en place du foyer national juif a créé de la richesse et attira des gens.

Ceux qu’on appelle « réfugiés » sont des gens partis du territoire d’Israël en raison de la guerre, et essentiellement des gens à qui les dirigeants arabes ont demandé de partir temporairement, le temps qu’il jettent les Juifs à la mer. Les Juifs n’ayant pas été jetés à la mer, ces gens ont été placés dans des camps de réfugiés, et ils y sont depuis 1949. Pour être réfugié à l’époque, il suffisait de prouver deux années de résidence sur le territoire d’Israël. Le nombre de réfugiés, depuis 1949 s’est trouvé multiplié par dix : par natalité, mais aussi parce que se sont rattachés au statut de réfugiés des membres des familles et des familles par alliance. Ces gens, pour l’essentiel, ont été maintenus dans le statut de réfugiés » par les pays arabes, avec la complicité des Nations Unies.

Que déduire de tout cela :

  1. 1- La Jordanie est effectivement un Etat arabe palestinien correspondant à près de quatre vingt pour cent de la Palestine mandataire censée constituer le foyer national juif. Elle est essentiellement peuplée d’Arabes palestiniens.
  1. 2- Dès lors que la Palestine mandataire était censée être le lieu de création du foyer national juif, on peut dire qu’un partage a été effectué déjà en 1923, au détriment de la population juive, la Transjordanie étant ethniquement pure de présence juive.
  1. 3- Suite au démantèlement de l’empire ottoman, les Etats arabes créés sont l’Irak, la Syrie, le Liban, la Jordanie, l’Arabie Saoudite.
  1. 4- La politique britannique entre 1920 et 1948 a créé les conditions de tensions et de violence entre Juifs et Arabes et a créé les conditions d’un divorce entre populations juives et arabes.
  1. 5- Le refus par les pays arabes de la création d’un deuxième Etat arabe de Palestine en 1948 est un fait. Le choix de la guerre par les pays arabes est un fait encore. La création de la fuite de « réfugiés » arabes incombe aux puissances d’agression, donc aux pays arabes, et c’est un fait encore. Que ces populations, pour l’essentiel, n’aient rien de « palestinien » et soient constituées d’ Arabes de toute la région est un fait, toujours.
  1. 6- Ni l’OLP et ses constituants, ni le Hamas n’ont été créés pour le droit du « peuple palestinien » à disposer de lui-même, mais pour détruire Israël au nom de la cause arabe et de l’islam.
  1. 7- Gaza faisait partie du Mandat palestinien, donc du territoire du foyer national juif, jusqu’en 1948. L’Egypte a occupé ce territoire par prédation de 1949 à 1967. La Judée-Samarie faisait partie elle-même du Mandat palestinien jusqu’en 1948. La Jordanie a occupé ce territoire par prédation de 1949 à 1967. Ni Gaza ni la Judée-Samarie ne sont des territoires palestiniens occupés.

Dès lors :

a) il y a un Etat palestinien, la Jordanie, qui devra se trouver appelé Royaume Palestinien de Jordanie.

b) rien ne justifie la création d’un deuxième ou d’un troisième Etat palestinien,

c) il n’existe pas de peuple palestinien, sinon par fabrication idéologique,

d) ni l’OLP ni le Hamas ne sont les incarnations d’un peuple palestinien, ou plus exactement, ce sont des organisations s’appuyant sur la fabrication idéologique du peuple palestinien pour asseoir leur légitimité. Ce sont des organisations destinées à détruire Israël et à créer un Etat peut-être, mais à la place d’Israël, et en aucun cas des partenaires pour la paix.

Comment la paix pourrait-elle venir en ces conditions ? Dans le court terme seul le statu quo est envisageable. Dans le moyen terme, une adaptation du monde musulman à la réalité historique et à la modernité sera impérative. Elle impliquera de remettre la vérité à sa place. L’alternative à une adaptation du monde musulman à la modernité sera une décrépitude du monde musulman, qui, alors, sortira de l’histoire, car aucun développement économique ne peut exister sans une ouverture d’esprit et une ouverture simultanée à la créativité.

Israël n’a rien à céder ou à concéder. Israël a les moyens de se défendre. Le monde occidental a au moins autant besoin d’Israël, matrice extraordinaire d’innovations technologiques qu’Israël a besoin du monde occidental. Un monde musulman remettant la vérité à sa place regarderait Israël comme une matrice d’innovation extraordinaire et comme une bénédiction. Le monde musulman hait Israël et ment sur Israël parce que le monde musulman est confit dans le ressentiment et en meurt doucement.

L’Europe se laisse pénétrer par la haine et le mensonge parce qu’elle-même glisse vers le ressentiment. La gauche américaine ressemble à l’Europe et voudrait infliger à l’Amérique une euthanasie à l’européenne. Je ne pense pas que le peuple américain se montrera tenté outre mesure.

La Judée-Samarie et Gaza dans tout cela ? Le Hamas, l’OLP sont en guerre contre Israël. La prochaine rupture des « pourparlers de paix » peut déboucher sur la violence. Comme l’a écrit Daniel Pipes, ce serait une excellente opportunité pour en finir avec des organisations maléfiques. Ce dont ont besoin le Hamas et l’OLP, c’est d’une vraie défaite. Ce dont ont besoin les populations arabes de  Gaza et de Judée-Samarie, c’est d’être délivrées du mal et du mensonge. Ensuite ? Je serais favorable à l’annexion de la Judée-Samarie et de Gaza, avec création de zones autonomes pour les populations arabes, zones au sein desquelles on apprendrait aux enfants à devenir entrepreneurs, ingénieurs, commerçants ou médecins, et pas, comme aujourd’hui, auteur d’attentat-suicide. C’est de toute façon ainsi que cela finira.


Source: Guy Millière

02/10/2010

Charles Dalger: « Sales traîtres ! ».

A nouveau piqué à Charles Dalger. Qui ne fait pas dans la dentelle…

FDF

.

Les Juifs de France sont dégoûtés ! Les Juifs de France en ont marre ! Des incidents sont inévitables ! Nous devons empêcher les traîtres et les collabos juifs de parler au nom des Juifs. Ils nous discréditent auprès des autres Français.

Une écrasante majorité de Juifs de France n’est pas d’accord avec les collabos juifs, chouchous de la propagande ordinaire. Comme les Israéliens, les Juifs de France savent que les bavardages avec les terroristes nazislamistes ne servent qu’à gagner du temps, jusqu’à des circonstances plus favorables. Comme les Israéliens et leur gouvernement, les Juifs de France veulent non seulement que la construction de logements pour les Juifs reprenne en Samarie et en Judée, mais aussi que les dirigeants Israéliens proclament officiellement la souveraineté juive incontestable sur ces provinces. Ces territoires sont occupés,  par les colons arabes. Une politique anticoloniale féroce est indispensable, pour renvoyer ces envahisseurs dans leurs pays d’origine.

Les Juifs de France comprennent que le Premier Ministre israélien se prête aux simagrées des rencontres avec les meneurs terroristes, pour atténuer les pressions antijuives internationales. Mais les Juifs de France jugent inadmissible que des hurluberlus qui se prétendent représentatifs, aillent présenter leurs hommages aux meneurs terroristes, de passage à Paris.

Singeant un célèbre cas tordu chronique, un insignifiant petit trou du cul s’est beaucoup élargi ces derniers temps. Le résultat est un gros caca verdâtre qui sent très mauvais. Tirons vite et fort, la chasse sur des étrons pareils !

Le Z de WIZO ne signifie plus rien, ou alors « Zombie ». Au lieu d’inviter d’authentiques défenseurs d’Israël et des Juifs, comme par exemple Guy MILLIERE, François CELIER, ou Yann MOIX, la WIZO récidive. L’an dernier, l’invitation de Jacques ATTALI au salon littéraire de la WIZO, avait provoqué des remous , car il venait de commettre l’une de ses saillies antisionistes dont il s’est rendu coutumier. Or cette année, il y est de nouveau invité, après avoir déclaré que l’Islam est un facteur constituant de l’Europe, depuis son origine. Mais certaines dégénérées de la WIZO poussent encore plus loin l’abjection alterjuive, elles lui associent une invitée qui ferait un tabac chez les pires antijuifs, Danièle KRIEGEL. Elle partage la même idée d’Israël que son conjoint, Ch. ENDERLAIN, le coupable de la fiction crapuleuse antijuive, avec laquelle Fange2 relança officiellement l’antisémitisme en France, le 30/09/2000.

Danièle KRIEGEL n’est certes invitée que pour un ouvrage gentillet, critique humoristique de la société israélienne. Mais comme la plupart des « écrivains » invités à cette fête du livre, elle a une vision ultra-gauchiste du Sionisme. Or la WIZO, c’est l’Organisation Internationale des Femmes Sionistes. Et les femmes ultra gauchistes juives ne sont heureusement, qu’une infime minorité. Cette tare affecte malheureusement la présidente de la WIZO française.

Donc, cette année aussi, la fête du livre de la WIZO connaîtra une animation complémentaire. Des intervenants expliqueront à tous ces « écrivains » gauchistes, combien leurs élucubrations, si prisées par les antijuifs, sont détestées par les Juifs. Ca devrait se passer dans le calme, en principe…


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SOUTIEN A Sammy GHOZLAN

NON A L’APPEL A LA « HAINE » D’ EUROTERRORISTES

 » Il est doux de haïr dans les autres ce que nous ne parvenons pas à haïr en nous-mêmes.  » (Jacques DEVAL)

Depuis quelques jours, une publicité tapageuse sur Internet et notamment sur le site d’Euroterroristes (pour visualiser cette propagande: cliquez ici), appelle à la « désobéissance civile » et à la haine contre le Président du Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme!   C’est intolérable dans un Etat de droit!

Nous sommes offusqués et indignés que des associations de droit français appellent à la manifestation pour  soutenir ceux qui bafouent la loi, appellent au non respect de celle-ci et à l’entrave de la saisine de la Justice en jetant en pâture le nom de celui qui vient d’être décoré pour ses actes en faveur de la République.

Euroterroristes continue de soutenir des opérations de boycott et à menacer les parties civiles en contravention avec les articles 225-1, 225-2 et 434-5 du code pénal:

Les articles 225-1 et 225-2 du code pénal sanctionnent toute entrave au commerce et toute discrimation  « à raison de leur appartenance à une nation déterminée  »

De plus : « Lorsque le refus discriminatoire prévu au 1er alinéa est commis dans un lieu accueillant du public ou aux fins d’en interdire l’accès, les peines sont portées à cinq ans d’emprisonnement et à 75 000 Euros d’amende. ». Ce qui est le cas dans notre cas d’espèce!

L’article 434-5 du code pénal punit ceux qui font pression sur les parties civiles:

« Toute menace ou tout autre acte d’intimidation à l’égard de quiconque, commis en vue de déterminer la victime d’un crime ou d’un délit à ne pas porter plainte ou à se rétracter, est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende. »

Ces actes de défi envers les lois de la République sont portés par des élus de la République ce qui les rend encore plus intolérables!

Nous demandons instamment au Ministre de l’Intérieur et au Préfet de faire respecter l’Ordre et les lois de notre République, d’autant plus que cet appel accuse nommément un responsable associatif qui ne fait qu’utiliser son droit constitutionnel d’ester en Justice pour faire respecter la loi.

Il est intolérable que des groupuscules idéologiquement marqués prônent le non respect des lois et de surcroît essaient de faire pression sur des parties civiles afin de les contraindre sous la menace à retirer leur plainte.

Nous appelons les Préfets, les Ministres de l’Intérieur et de la Justice, le Premier Ministre et le Président de la République garants respectivement de l’ordre public, de la Justice , de l’Ordre Républicain et de notre Constitution à condamner de manière vigoureuse de tels agissements et d’interdire ceux qui se livrent à de telles provocation en prônant la violation de la loi ce qui  porte une atteinte grave à l’Ordre Public.

Parce que nous sommes épris de Paix et non de Haine,

Parce que nous avons énormément de respect tant pour les israéliens que pour les occupants arabes en Israël,

Parce que nous sommes amis des uns et des autres et non de l’un contre l’autre,

Parce que l’on se bat pour la prospérité des uns et des autres,

Parce que nous sommes en France et non au Moyen-orient.

Pour toutes ces raisons je démasque l’ « appel à la haine » d’Euroterroristes et consorts, qui ne sert en aucun cas les intérêts des occupants arabes, je signe la présente déclaration et fait appel à tous pour faire circuler cette pétition afin d’alerter les pouvoirs politiques sur les risques encourus par atteinte à l’Ordre Public, au moment même où arabes et israéliens entament des pourparlers de Paix !

Nous soutenons pleinement Sammy GHOZLAN, président du

Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme,

Commissaire de Police honoraire,

en signant la présente pétition!

Le Bureau du B.N.V.C.A

01/10/2010

Ca pue le mouton chez les glauques…

Encore une belle prose de Charles Dalger… Une phrase me plait bien et va dans le sens de la pensée de nos envahisseurs:

« la Résistance à l’invasion doit hélas être sanglante ».

FDF

.

« Ben oui, remettons en usage l’un des sens donné à ce brave animal que nos non moins braves envahisseurs adorent en ragoût. Bon, le mouton vous l’avez compris, c’est l’élément peu fiable, même parfois le traître. Maintenant il convient d’expliciter les glauques. Premier sens obvie, les glauques ne sont pas clairs. Ils ne sont clairs ni au propre, ni au figuré. Et dans le cas présent ils démontrent que non seulement ils sont opaques, mais en plus ils puent.

Dans notre système « démocratique », les grands sujets de société sont souvent transversaux par rapport aux positions traditionnelles des partis politiques. Mais, depuis dix ans, les mœurs politiques ont profondément changé. Nous assistons toujours aux affrontements exagérés, entre majorité et opposition, sur les sujets courants. Ces sujets sont certes importants. Toutefois, parmi les sujets dont devraient s’occuper les élus représentant le peuple Français, certains sont plus importants que d’autres, par leur ampleur, leur urgence, leurs conséquences. Or les parlementaires français, tous partis confondus, refusent de traiter des problèmes posés par l’invasion musulmane. Depuis une dizaine d’années, ces problèmes augmentent. Il est de plus en plus urgent de les résoudre.

Certes depuis longtemps, des partis politiques français ont fait de l’immigration extra européenne massive, le centre de leurs préoccupations. Mais diabolisés par la propagande ordinaire, sous l’appellation « extrême droite », ces partis n’ont pas, ou peu d’élus au plan national. Le plus important et le plus connu de tous ces partis est bien sûr, le Front National. Quels que soient les griefs que l’on puisse avoir contre le Front National, ce parti a toujours eu raison de s’élever contre l’invasion de la France par les musulmans. Or aujourd’hui, nous assistons à un jeu trouble de la propagande nationale avec le Front National. En même temps qu’elle se déchaîne contre les électeurs de ce parti, la vermine propagandiste traite désormais avec respect le fondateur du FN. En effet, aux yeux des détritus qui lavent les cerveaux, JMLP ne peut pas être mauvais. Lui qui avec l’ex occupant de l’Elysée, a soutenu l’ex dictateur irakien, lui qui rend visite et déclare son admiration au meneur des radirans, lui le parrain d’un rejeton du négro pas spirituel du tout… Ah si seulement il les tolérait un peu plus en France, ce serait un saint ! C’est que voyez vous, en Francekipu, ce côté obscur de la France, il existe un pur racisme. Ce pur racisme est vénéré. Les immondices qui polluent les média du pays en sont ses prêtres zélés. Ce pur racisme, c’est le nazislamisme. La fusion ultime de l’antisémitisme nazi à la mode traditionnelle et de l’antisémitisme musulman. Le nazislamisme, c’est la religion des Déchets, surtout ceux qui infestent les provinces juives de Samarie et de Judée. Vous comprenez maintenant l’embarras des ordures de vos médias ?

La réalité qu’on observe, c’est qu’au moins les deux tiers des Français qui votent pour le FN, le font parce qu’ils sont contre l’invasion musulmane en France. C’est ceux-là et seulement ceux-là, que les propagandistes qualifient d’extrême-droite. Tant et si bien que des partis qui ne sont que contre les envahisseurs, comme le Mouvement de Ph. de VILLIERS, comme des transfuges du FN, aujourd’hui, « le parti de la France » de Carl LANG, auparavant le MNR de Bruno MEGRET, ces partis sont qualifiés « d’encore plus mauvais », par le nec plus ultra des propagandistes, notamment les purulences juives dégénérées du « Nouvel Obs », « Mariane », et « Radio shalom ». Les propagandistes redoutent que « la » succession à la tête du FN, mette fin à la nazislamophilie de la direction du parti. Ils espèrent que sur ce point, « le » successeur ressemblera au fondateur.

La nazislamophilie française fut créée par de GAULLE par rancœur contre les américains. Comme le montre l’un de ses discours, lui-même n’était pas favorable à l’invasion, mais il lui a préparé le terrain. En freinant l’épuration après la guerre, de GAULLE permit aux collabos rescapés, de former leurs émules. Ils ont infiltré les organes de direction et d’information, attendant le moment propice. Ils constituent le fil rouge conducteur, depuis la guerre d’Algérie, jusqu’à nos jours, en passant par la déclaration assassine de juin 1967, lancement de la nazislamophilie française officielle. En 1967, près de 95% des Français étaient pro-israéliens. Les successeurs de de GAULLE, notamment GISCARD D’ESTAING, ont pu ainsi facilement organiser l’invasion avec des lois scélérates, comme le regroupement familial et l’attribution quasi-automatique de la nationalité française aux envahisseurs. Finalement, prenant prétexte de la célèbre fiction crapuleuse, diffusée par Fange2 le 30/09/2000, CHIRAC donna aux racistes nazislamistes, l’autorisation tacite de s’exprimer ouvertement.

Ce préambule historique est indispensable pour comprendre le jeu glauque actuel de l’UMP. Des antijuifs virulents ont toujours infesté les majorités de gauche et de droite précédentes. Inutile d’exhumer des noms. Mais certain(e)s sont encore vivant(e)s, et occupent même de hautes fonctions. En France, l’indispensable politique de bonnes relations avec les Arabes est toujours très marquée par le soutien, inutile et nuisible, aux nazislamistes. Alors que beaucoup d’Arabes musulmans ne sont pas nazislamistes. Ainsi par exemple, parmi les vingt-trois pays de l’OPED*, les deux régimes les plus honnis par nos ordures domestiques propagandistes sont le Maroc et la Tunisie. Parce que leurs chefs d’état y contiennent fermement les Déchets. Si l’actuel président de la République avait été un homme d’état, plutôt qu’un homme d’affaires, son inclination personnelle aurait pu au moins ralentir, la politique nazislamophile officielle française. Mais l’effort nécessaire pour cela, n’est d’aucun profit pour le président, ses amis et ses soutiens. Pire, le moindre mouvement dans le bon sens déclenche les aboiements furieux des chiens enragés propagandistes. Donc, les choses restent ce qu’elles sont.

Dans ces conditions, quand un groupe de membres de la majorité présidentielle s’oppose de manière trop ostensible sur ce sujet, les forces obscures du pouvoir interviennent pour défendre leurs alliés nazislamistes. Guy MILLIERE a très bien analysé ces réseaux anti-occidentaux et antijuifs. Il reste donc inconcevable que même indirectement, même de loin, la majorité présidentielle soit associée à un débat sur l’islamisation de la France.

Les forces obscures de l’UMP ne peuvent pas tolérer qu’un groupe qui se réclame de la majorité s’accoquine avec les ultra-laïcs d’ultra-droite (sic) de Riposte Laïque et Résistance Républicaine. Même si « La Droite Libre » est dirigé par Rachid KACI, un authentique [Kabyle.] Surtout qu’avec Alexandre DEL VALLE, cet hyper néo-nazi, selon l’immonde, racaille+ etc. ils risqueraient d’entraîner avec eux d’innocents membres de la majorité qui aiment bien les femmes voilées et manger halal. Quelle horreur ! Aux yeux des Ordures bien sûr….

Malgré la propagande intense, de plus en plus de Français de toutes sensibilités politiques s’inquiètent des méfaits dus à l’invasion. Ils ne peuvent s’en plaindre nulle part, sauf sur le Web. Parce qu’ils ont peur de la propagande, les élus nationaux de la majorité et de l’opposition, refusent d’aborder ce sujet majeur.

Bien sûr, nous soutenons Riposte Laïque et Résistance Républicaine. Nous continuerons de participer à toutes leurs manifestations et autres actions. Même si nos rangs grossissaient cent fois, au rythme actuel, nous sommes encore loin du jour où le mouvement fera descendre des centaines de milliers de personnes dans les rues, contre l’islamisation. Et ça resterait encore insuffisant. Pour que notre révolte reste pacifique, ce n’est pas des centaines de milliers, mais des millions, voire des dizaines de millions de personnes, qui devraient manifester.

Nous le répétons, à cause de l’urgence, la Résistance à l’invasion doit hélas être sanglante. Le sang des collabos, surtout des propagandistes doit couler, à flot pour ces derniers. Ce n’est que par les armes que l’ennemi intérieur sera vaincu. »

Charles DALGER, le 28 septembre 2010

*OPED = Organisation des Producteurs et Exportateurs de Déchets

26/09/2010

La « résistible » ascension d’Obama…

Barack Obama a été élu à la présidence des Etats-Unis dans un contexte d’euphorie sans véritable précédent. De tout côté, on parlait de rédemption, d’espérance, d’entrée de la planète dans une nouvelle ère.


Deux années ont passé, et l’euphorie est retombée. L’Europe est dans une crise profonde. L’Iran continue d’avancer vers l’arme nucléaire. Le peuple américain lui-même semble touché par le désenchantement. Un mouvement né de la base n’a cessé de prendre de l’ampleur, celui des tea parties. Les élections de mi-mandat, qui auront lieu le 2 novembre, paraissent destinées à constituer une débâcle pour le parti démocrate.

Que s’est-il passé ? Comment la joie a-t-elle laissé la place à la tristesse, à l’amertume, à la colère quelquefois ? La situation économique et géopolitique n’explique pas tout.

Et si certaines questions n’avaient pas été posées ? Si certaines explications n’avaient pas été données ? Qui est vraiment Obama ? Quel personnage découvre-t-on si on sort des sentiers trop balisés de la légende et de l’hagiographie ? Quel est son projet réel ? Quels sont ceux qui l’entourent et qui l’ont conduit à devenir ce qu’il est ?

« J’entends ici », dit Guy Millière, « jeter une fois de plus un peu d’eau froide sur les braises, poser un regard froid sur la réalité, regarder plus loin que les masques, expliquer de toute urgence ce qui doit l’être, donner à comprendre et à voir.  J’ai, en me penchant sur le passé et le présent de Barack Obama, découvert des faits qui m’ont, parfois simplement surpris, d’autres fois pétrifié d’effroi. Aujourd’hui, je sais. Lorsqu’on sait, il est deux attitudes qu’on peut adopter, et deux seulement : se taire ou bien parler. Je n’ai jamais pu me résoudre à me taire ».

(1) Guy Millière, La résistible ascension de Barack Obama, L’Apart de l’esprit, Fabrica Libri, 2010, 298p, 20 Euros, ISBN : 978-2-36033-017-1

14/08/2010

Barack Hussein Obama, l’iftar, et le djihad…




« Barack Hussein, vous connaissez : c’est le type qui a voulu sauver un autre Hussein, Saddam Hussein, en s’opposant au changement de régime en Irak. C’est un type qui n’est pas du tout musulman : il a simplement une famille musulmane, à commencer par son père, décédé après avoir abusé de boissons haram (ce qui n’est vraiment pas bien), et en continuant par sa sœur, son frère, ses multiples demi-frères et demi-sœurs. C’est un type qui n’a que très peu fréquenté l’école coranique : juste deux ans. C’est un type qui n’est pas du tout extrémiste et proche de lectures radicales de l’islam : c’est parce qu’il avait de beaux yeux de biche, et fait du tourisme à Islamabad, que Khalid Abdullah Tariq al-Mansour, anciennement Don Warden au temps où il était membre fondateur du Black Panther Party, gestionnaire des fonds du Prince Alwaleed bin Tatal, a rassemblé les moyens financiers nécessaires pour payer ses études à Harvard. C’est un type qui n’est pas extrémiste pour un sou, pas non plus pour une pièce de 25 cents, mais pour quelques milliers de dollars de plus, cela devient envisageable, et cela lui a même permis de devenir l’un des organisateurs en 1995 de la marche d’un million d’hommes organisée par son ami et voisin Louis Farrakhan, grand admirateur d’Hitler et pourfendeur de hymies (la traduction du mot est dans les dictionnaires). C’est parce qu’il aimait le son de ses prêches qu’il a fréquenté l’église de Jeremiah Wright, devenu Chrétien tendance Che Guevara après avoir quitté The Nation of Islam sans jamais s’en éloigner.

C’est un type qui est devenu Président des Etats-Unis et qui a déjà créé tant de catastrophes diverses dans son pays et sur la planète que la population américaine se demande comment elle va pouvoir s’en débarrasser. C’est un type qui passe son temps, dès qu’il est à l’étranger, à s’excuser d’être Américain et du fait que les Etats-Unis existent encore, mais, ajoute-t-il en privé à ses interlocuteurs, cela ne fait pas même deux ans qu’il est là, et détruire les Etats-Unis, ce n’est pas une tâche facile. C’est un type qui a épousseté le sol devant le roi d’Arabie Saoudite, mais que le roi Saoudite n’apprécie plus autant qu’avant dès lors que Barack Hussein lui fait des infidélités et regarde en direction de Téhéran où un petit Mahmoud barbu semble l’élu de son cœur : si Mahmoud n’a pas encore répondu à ses avances, Barack Hussein ne désespère pas, et ce n’est pas l’antisémitisme de Mahmoud qui le gène, oh que non. En termes d’antisémitisme, Barack Hussein a déjà tout entendu : non, ce qui le gène, c’est que Mahmoud ne veut pas dire qu’il aime Barack Hussein. Pour autant, Barack Hussein ne désespère pas : James Jones, conseiller à la sécurité nationale de Barack Hussein dit que la rencontre est espérée à l’automne, à New York, à l’ONU,  et James Jones est un homme sérieux, un ancien militaire et un participant régulier aux travaux de l’Arab American Leadership Summit. John Brennan, autre conseiller à la sécurité nationale, dont la ville musulmane préférée est al Quds (les non musulmans disent Jerusalem, mais John Brennan ne fait, semble-t-il, pas partie des non musulmans) se chargera des préparatifs.

Barack Hussein a prononcé  un beau discours au Caire, à l’université al-Azhar, qui est une dépendance de la mosquée du même nom, et où un certain Ayman al-Zawahiri a appris la prière avant de passer aux travaux pratique au côté de son ami Oussama.

Lui, Barack Hussein, qui avait informé le monde quelques mois plus tôt que les Etats-Unis comptaient cinquante sept Etats, a appris au monde alors que les musulmans avaient tout inventé, sauf, peut-être le fil à couper le beurre, qu’ils avaient construit les plus hauts immeubles des Etats-Unis (sans doute pensait-il au World Trade Center de New York qu’effectivement des musulmans ont achevé le 11 septembre 2001), et qu’Israël était un Etat pratiquant l’apartheid.

Il n’est pas du tout musulman, mais apprécie d’avoir des femmes voilées à la Maison Blanche (il y en a deux pour le moment : Ingrid Mattson et Dalia Mogahed), des musulmans approuvés par le Council on American Islamic Relations responsables de la sécurité intérieure des Etats-Unis (Arif Alikhan et Kareem Shora), et un ambassadeur plénipotentiaire des Etats-Unis musulman lui-même à l’Organisation de la Conférence Islamique (Rashad Husain).

Il n’est pas du tout musulman, mais célèbre les fêtes musulmanes à la Maison Blanche. Le 13 août au soir, il a organisé un iftar à la Maison Blanche : vous ne savez pas ce que c’est ? C’est que vous-même n’êtes pas encore allé à l’école coranique, mais il paraît que la télévision française organise en ce moment des séances de rattrapage. L’iftar est la rupture du jeûne du ramadan.

Pour l’entrée de tous les musulmans du monde dans la période de ramadan, dont les musulmans qui résident à la Maison Blanche, Barack Hussein qui n’est pas du tout musulman et a juste deux prénoms musulmans dont il est très fier, et une prononciation impeccable des prières musulmanes en arabe, a prononcé une allocution dont je ne puis me lasser. Cette fois, il n’a pas parlé de sciences ou d’architecture, mais il a parlé comme s’il voulait être invité sur al Djazira et al Manar. L’islam, donc, dit Barack Hussein, fait avancer la « dignité de tous les êtres humains ». J’ai ajouté à mon dernier article la couverture de Time magazine la semaine dernière. Je dispose de tout un assortiment de photographies de femmes défigurées au couteau ou à l’acide, brûlées vives, lapidées dans divers pays du monde musulman et qui sont toutes des femmes à qui l’islam a incontestablement apporté beaucoup de dignité. J’ai aussi des photographies de femmes et de petites filles excisées, mutilées, et elles aussi beaucoup plus dignes. Et puisqu’il s’agit de tous les êtres humains, il faudrait ajouter la liste de tous ceux à qui on a coupé la tête au couteau de cuisine, de tous ceux qui sont morts déchiquetés dans des bombes de toutes sortes ou qui survivent mutilés. Il faudrait ajouter la liste des trois mille morts du World Trade Center. L’islam a fait avancer la « tolérance » : cela se voit tous les jours en France, ailleurs en Europe, et cela se voit tout particulièrement au Proche-Orient où les gens du Hamas, ceux de l’Autorité Palestinienne ou ceux du Hezbollah sont des tolérants frénétiquement pratiquants qui tolèrent très bien les juifs à condition qu’ils soient morts et qu’on ait pu danser sur leur cadavre. Des danses très pudiques et couvertes de voiles noirs, bien sûr. Et des danses sans musique : les gens du Hamas, en particulier, aiment tellement la musique que lorsqu’ils en entendent dans la bande de Gaza, ils ont des fourmillements dans les doigts, et comme leurs doigts sont sur la détente de mitraillettes, cela aboutit à ce que la musique s’arrête trop vite. L’islam est si tolérant que tous les pays musulmans sont demandeurs de la construction d’église et de synagogues : il n’y a, simplement, pas la place. Le nombre d’habitants au kilomètre carré à Hong Kong semble élevé, mais si vous regardiez l’Arabie Saoudite : il n’y a vraiment pas la place, non, désolé. Le monde musulman est si tolérant que l’Arabie Saoudite et le Liban seraient prêts à accueillir des juifs et des Israéliens sur leur sol, mais, une fois encore, il n’y a pas la place. C’est terrible ce manque  de place. Le deuxième livre saint du monde musulman proche-oriental, un livre qui s’appelle en arabe Mon Djihad (ce qui donne Mein Kampf en version allemande) emploie un mot allemand pour définir le manque de place : lebensraum.

Barack Hussein a ajouté que les musulmans ont « toujours fait partie de l’histoire des Etats-Unis ». Après avoir informé le monde que les Etats-Unis avaient cinquante sept Etats, Barack Hussein a sans aucun doute d’autres scoops à sortir de sous la burqa que porte Michelle quand elle ne loue pas des palaces en Espagne et quand elle est dans l’intimité de sa chambre à coucher, au moment où Barack Hussein, qui n’est pas musulman, déroule le tapis de prière, non pas pour prier, mais parce qu’il le trouve joli. Barack Hussein va bientôt nous apprendre que George Washington, Thomas Jefferson et John Adams étaient des convertis et ne sortaient jamais sans leur Coran. Il va nous apprendre que les pilgrim fathers arrivés à l’époque du Mayflower étaient des gens qui se rendaient en pèlerinage à La Mecque et qui ont simplement perdu leur boussole en pleine mer : en arrivant, ils croyaient être en Arabie, et ils ont été très déçus de ne pas trouver la Kaaba. Ils ont voulu construire des mosquées, mais comme ils n’avaient pas de modèle sur place, on a pris cela pour des églises. Le thanksgiving day est sans doute la façon qu’ils avaient de célébrer l’iftar. Et les dindes à l’époque étaient consommées après un abattage halal. C’est pour commencer à remédier à ces erreurs qu’ont commis tous les historiens avant Barack Hussein que Barack Hussein, lorsqu’il doit parler dans une salle où figurent des signes chrétiens, demande à ce qu’ils soient enlevés ou recouverts : il a failli annuler l’an dernier, en avril, un discours à la Georgetown University parce qu’il restait une inscription faisant référence à Jésus au pied de l’estrade.

La soirée d’iftar de Barack Hussein n’aurait pas été complète s’il n’avait pas choisi cette occasion pour dire solennellement qu’il approuvait la construction de la mosquée de Ground Zero. Cela s’est fait en deux temps : Barack Hussein a d’abord dit que Ground Zero était une « terre sacrée ». Il a dit ensuite que les musulmans avaient le droit d’y « construire un lieu de culte ». Sans doute pour y consacrer une grande victoire elle-même « sacrée » : l’assassinat de trois mille personnes sur le sol américain même, et la destruction du plus grand centre d’affaires des Etats-Unis, cela se commémore, et une mosquée, c’est fait pour commémorer. Barack Hussein n’est pas du tout musulman, mais alors là, absolument pas, mais on lui a sans doute dit que les musulmans construisent des mosquées sur les lieux de leur triomphe aux fins de marquer que le territoire concerné n’est plus de l’ordre du dar el harb (territoire de la guerre), mais de celui du dar el islam (territoire de la soumission). On lui a expliqué aussi, sans doute, qu’il y avait le petit djihad (la guerre violente et l’assassinat), et le grand djihad, qui implique de chanter les louanges de l’islam et d’expliquer pourquoi l’islam est exemplaire :  Barack Hussein, ce qui est la preuve ultime qu’il n’est absolument pas musulman, favorise partout la pratique du petit djihad (guerrier), en entérine les résultats en entérinant le fait que le Sud de Manhattan puisse devenir dar el Islam, et, par ailleurs, pratique lui-même le grand djihad dès qu’il en a l’occasion.

Les élections de novembre prochain s’annoncent chaque jour plus désastreuses pour les démocrates : on se demande bien pourquoi. Le peuple américain doit être décidément très bête : il ne comprend pas la grandeur de Barack Hussein.  On peut même penser que Barack Hussein en pratiquant le grand djihad tout en n’étant pas musulman, a assumé le fait qu’il ne ferait qu’un seul mandat et rentrerait chez lui en janvier 2013. Ce qui lui laisse deux ans et demi pour accomplir sa tâche.

Dans le monde musulman, la cote de popularité de Barack Hussein chute, en ce moment, aussi vite qu’aux Etats-Unis. C’est incompréhensible. Mais je ne doute pas que, lorsqu’il aura quitté la Maison Blanche, lorsqu’on pourra, bien qu’il ne soit pas musulman, l’appeler Hajj Barack Hussein, cela s’arrangera. Il lui suffira pour cela, comme le mot l’indique, de pratiquer le Hajj, le pèlerinage, qui est le cinquième pilier de l’islam, et d’aller égorger un mouton à La Mecque avant de passer à d’autres aventures. »


source : drzz.info-Guy Millière

08/08/2010

Demander des baisses d’impôt est raciste !!!

C’est nouveau, ça vient de sortir… Comme quoi, le racisme, ça peut-être tout et n’importe quoi…

FDF


Voulant avoir un avant-goût de la façon dont mon prochain livre sera reçu par les divers médias que compte ce pays, je lis les articles qui paraissent sur Barack Obama. Mon blog obamalâtre favori, car il constitue pour moi une forme de mètre étalon de la débilité politiquement correcte, l’inénarrable Obamazoom du Figaro, que tiennent, comme il se doit pour un journal de gauche façon seizième arrondissement, deux transfuges de la jet-set socialiste, après avoir ironisé sur Sarah Palin, qui a dû travailler pour payer ses études  et ne connaît pas les manières bon chic bon genre  qu’on apprend à Passy, est passé aux accusations de « racisme » pour discréditer le mouvement conservateur et les tea parties :  j’ai pu apprendre ainsi que demander des baisses d’impôts et une diminution du poids de l’Etat est faire montre d’hostilité à une race déterminée. Laquelle ?  Ce n’est pas indiqué ?  La race des fonctionnaires et des inspecteurs des impôts, sans doute.

Les découvertes de la science politique moderne ne cessent de m’étonner. J’ai pu comprendre aussi pourquoi Barack Obama n’avait pas encore fermé Guantanamo et relâché les gentils musulmans qui faisaient de l’alpinisme dans les zones tribales d’Afghanistan : à cause des méchants républicains du Congrès, bien sûr, et de quelques odieux démocrates qui s’obstinent à penser, en vils réactionnaires, que les gentils musulmans ne faisaient pas seulement de l’alpinisme. Nous allons, sans aucun doute, entendre beaucoup parler de racisme dans les mois qui viennent, et beaucoup aussi de méchants républicains.

D’ailleurs, dans Le Monde, on découvre simultanément que la cote de popularité de l’Elu, Barack Premier, est tombée à 41% et que la « question raciale » est loin d’être résolue aux Etats-Unis. Je me disais bien aussi : élire un Président noir, c’était très suspect, avoir eu pendant les huit années de présidence Bush, deux noirs ministres des affaires étrangères, c’était scandaleux : seul un pays porteur d’une haine viscérale des noirs avait pu faire cela. L’un des orateurs les plus demandés dans les tea parties étant Allen West, et celui-ci n’ayant pas le physique d’un Scandinave, je ne manquerai pas, lors d’un prochain séjour outre Atlantique de poser la question qui me brûle les lèvres : « Pourquoi êtes-vous raciste, et qu’avez-vous contre les noirs ? ». Sachant qu’il a le sens de l’humour, je me délecte à l’avance de sa réponse. Dans Libération, l’heure semble à la discrétion, et on ne parle pas de l’Elu ces temps-ci. Un moment de déprime ?

Il reste où  figure une photo de l’Elu avec l’air ferme et déterminé qu’il montrait sur les affiches de 2008, et cette information capitale : Obama rejette un débat télévisé avec Ahmadinejad.  Si ce n’est pas la marque d’un tempérament hors du commun, je ne m’y connais pas : Obama est ferme ! Qu’on se le dise ! J’ai beau me le répéter, je ne parviens pas à me convaincre, mais je suis déjà sur le site de L’Express, où on préfère s’intéresser au mariage de Chelsea Clinton, qui est effectivement un événement tellement important. Le Nouvel Observateur, qui n’entend pas faire concurrence à Voici ou à Gala, tout au moins, pas cette semaine, insiste sur un point qu’il aurait été dommage de ne pas souligner :  Barack se moque des Républicains et déclare que les problèmes actuels  sont la faute de George Bush. J’imagine déjà un titre pour le 3 novembre :  Barack se moque de la victoire des républicains et la trouve désopilante,  mais n’anticipons pas.  Disons seulement au Nouvel observateur que cela fait longtemps que le peuple américain ne pense plus  que quoi que ce soit serait la faute de George Bush, car le peuple américain s’est aperçu que cela faisait une vingtaine de mois qu’il y avait un Président à la Maison Blanche qui ne s’appellait pas George Bush, et qui s’appelait ? Comment dites-vous ? Barack Obama. Etonnant, non ? Comme disait le regretté Pierre Desproges.

Pour sortir de la lecture, j’ai regardé un documentaire dont j’étais certain, rien qu’à en lire le descriptif, qu’ii allait surpasser l’obamazoom. Cela s’appelait « Wanted : Barack Obama » : « Jamais un président américain n’a été la cible d’autant de menaces », était-il écrit. Puis :

« les lobbies les plus conservateurs sont passés maîtres dans l’art de récupérer les peurs. Secondés par des stars de la télévision comme Glenn Beck et Sean Hannity, ils font campagne dans l’espoir de reprendre le contrôle du Congrès en novembre 2010 ».

C’était prometteur, et cela a tenu ses promesses : depuis les longs métrages de Dziga Vertov à la gloire de Joseph Staline, je n’avais pas vu un tel flux de propagande grotesque et de mensonges éhontés. Les tea parties ? Racistes, bien sûr. Il ne manquait que les cagoules du Ku Klux Klan pour que le décor soit complet. Rush Limbaugh et Glenn Beck, les deux principaux commentateurs conservateurs aujourd’hui aux Etats-Unis ? Des crétins pervers. Les scientifiques contestant le réchauffement global auquel plus personne ne croit sinon les journalistes qui ont fait le documentaire et ceux qui sont payés pour y croire ? Des vendus au capitalisme ! Les médecins demandant la liberté de choix en matière d’assurance santé ? D’autres vendus au capitalisme ! Les gens vivant au Sud de l’Arizona demandant une surveillance accrue de la frontière ? D’autres racistes encore ! Et c’est vrai quoi ! Comment n’ont-ils pas perçu que les meurtres commis dans des propriétés isolées ces derniers temps dans la région étaient en réalité des gestes d’amour et de fraternité ? Faut-il avoir l’esprit obtus !

Si j’en doutais un seul instant, (mais je rassure ceux qui me lisent je n’en doutais pas), dès lors que j’ose critiquer Obama, je serai décrit comme un extrémiste, comme un raciste, comme un être immonde. Oser parler du passé d’Obama sans le décrire comme la réincarnation de Jésus Christ ? Quelle idée scandaleuse ! Oser parler de ses fréquentations islamistes et gauchistes ? Faut-il que je sois aveugle pour ne pas voir que ce sont là d’excellentes fréquentations et que l’antichambre du fascisme commence à hauteur de l’auriculaire de la main droite de Hillary Clinton ! Est-ce que je ne vois pas que les Etats-Unis ont besoin d’une forte injection de socialisme et que le monde se porterait mieux si les Etats-Unis s’effaçaient devant une cohorte de doux « progressistes emmenés par Mamoud Ahmadinejad, le duo Medvedev-Poutine, ce brave Hugo Chavez, le si souriant Hu Jin Tao et ce farceur de Kim Jong Il. Oui, je dois être aveugle. Et non, je ne vois pas.

J’ai le malheur d’avoir appris l’économie avec des économistes compétents, la philosophie du droit et l’éthique avec des philosophes dignes de ce nom, La géopolitique auprès de gens qui savaient de quoi ils parlaient. J’aimerais parfois parvenir à me vider le cerveau. Si j’y parvenais, je lirais la presse  française avec plaisir, en pensant vraiment qu’elle m’informe. Je regardais des reportages comme « Wanted Obama » en pensant que ce sont vraiment des reportages. Je prendrais une camomille, et j’irais me coucher en me disant que c’est tout de même formidable de pouvoir compter sur des journalistes compétents, honnêtes, qui vérifient leurs sources, n’omettent jamais le moindre fait, et ne laissent filtrer aucun préjugé déformant dans leurs propos.

Source: http://tinyurl.com/36a68jm

5/ 8/ 2010