Des preuves historiques irréfutables, en fait…
Si c’est ce que vous voulez revivre; moi pas.
FDF
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Des preuves historiques irréfutables, en fait…
Si c’est ce que vous voulez revivre; moi pas.
FDF
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CA, c’est un VRAI devoir de mémoire. Surtout en les temps qui courent…
FDF
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Visionnez donc ceci: http://tinyurl.com/3e7r5nx
Bonus: http://sitamnesty.wordpress.com/2010/04/21/division-ss-musulmane-handschar-cimeterre-1943-1945/
Et à eux, on ne leur dit rien. En Occident, ne serait-ce que prononcer le nom de Hitler ou de Führer vous attire les foudres de la justice… Tolérance, tolérance…
FDF
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Le « grand Mufti » et Adolf Hitler: pas un hasard…
Assimiler le rejet de l’islam au nazisme et le sort des musulmans à celui des Juifs sous le IIIe Reich, c’est non seulement faire insulte aux victimes du nazisme, mais c’est également faire preuve d’une profonde malhonnêteté intellectuelle. S’il fallait du reste dresser un parallèle entre les années 30 et l’époque actuelle, ce dernier comparerait nécessairement l’islam et le nazisme. L’islam est en effet un système politico-religieux qui entre autres horreurs :
Pour Philippe Kenel, président de la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA) à Genève, le message délivré par le Conseil central islamique n’est pas seulement offensant mais mensonger: «C’est une manière d’établir un parallèle qui n’a pas lieu d’être. On peut parfaitement critiquer une religion comme l’islam sans être pour autant raciste, contrairement à ce que voudraient nous faire croire les intégristes.»
Source: http://prophetie-biblique.com
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A part ça, l’islamisme n’a rien à voir avec le nazisme…
FDF
Une croix gammée et un message disant “Les chambres à gaz sont prêtes” agités devant l’ambassade israélienne en Égypte, le nazisme ne se porte nulle part mieux qu’en terre d’islam. Et ce n’est en rien une surprise.
Parce qu’une des mamelles de l’islam, c’est l’antisémitisme. Un hadith célèbre proclame : « L’Heure Suprême [La Résurrection] ne se dressera que lorsque les musulmans combattront les Juifs et les tueront. Lorsque le Juif se cache derrière un rocher ou un arbre, celui-ci dira : Ô musulman esclave d’Allah, un Juif se cache derrière moi viens le tuer. Seul «Al Gharquad» gardera le silence car il fait partie des arbres des Juifs ». Ce hadith figure en outre dans l’article 7 de la charte du Hamas, mouvement démocratiquement élu par une majorité de Palestiniens. Décidément, que de paix, d’amour et de tolérance dans cette « belle » religion.
Source: http://prophetie-biblique.com/
On retrouve, dans cette vidéo (en anglais, mais nul besoin de traduire, je pense…) une étude des similitudes entre l’idéologie du Nazisme et et celle de l’Islamisme. Pour le moins étonnant.
FDF
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… Et ensuite, ça ne sera pas marrant. Mais pas du tout…
FDF
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Publié avec l’autorisation de l’auteur :
Laurent Artur du Plessis pour troisième guerre mondiale le 25 avril 2011
Quand je dis que l’islam n’est pas une religion mais une idéologie… Vous me croyez, maintenant? Il n’y a que leur leader qui change. Il n’est plus « petit avec frange et moustache ». En fait, à ce jour, ils sont plusieurs; mais tous barbus avec une lueur de haine dans le regard…
FDF
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La 13e division de montagne de la Waffen-SS Handschar (en bosnien, Handžar) était l’une des 38 divisions des Waffen-SS durant la Seconde Guerre mondiale. Elle était composée presque entièrement de musulmans de Bosnie, alors annexée par l’État indépendant de Croatie. La division fut nommée Handžar en référence au cimeterre turc, usuel dans la région[1]. Le Mufti de Jérusalem, Mohammed Amin al-Husseini participa activement au recrutement ses membres.
La 21e Division SS de montagne Skanderbeg (Waffen-Gebirgs-Division der SS Skanderbeg (albanische Nr. 1) en allemand) est une division SS créée par Heinrich Himmler en mars 1944, à l’instigation du mufti de Jérusalem, el-Hadj Amin al-Husseini et ainsi nommée en hommage à Gjergj Kastriot Skanderbeg
La 23e division SS de montagne Kama (2e Croate) (Waffen-Gebirgs-Division der SS Kama (kroatische Nr. 2) en allemand) est une division de la Waffen-SS. Elle fait partie des trois divisions musulmanes de la Waffen-SS avec la 13e division SS de montagne Handschar et la 21e division SS de montagne Skanderberg. Tout comme ces deux divisions, la division Kama est formée de volontaires.
Source: ndp.herault.34
Il ne faut pas nous raconter que nazisme et islamisme n’ont pas des préceptes identiques… Intéressante comparaison. L’islam modéré est une utopie dans laquelle beaucoup trop de monde s’égare.
FDF
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Guy Millière pour les 4 Vérités hebdo le 15 décembre 2010
La solution : l’islam modéré Ma position concernant l’islam est celle de la grande majorité des intellectuels conservateurs et néo-conservateurs américains. Elle a été énoncée lapidairement dans une formule de Daniel Pipes que j’ai souvent citée : « L’islam radical est le problème, l’islam modéré est la solution ». J’ai ajouté, à chaque fois que j’ai cité cette formule, qu’il n’en était pas moins évident que l’islam radical occupait une position massivement dominante dans le monde musulman aujourd’hui, quelles que soient ses composantes, et que l’islam modéré restait, pour l’essentiel, à inventer ou à réinventer. Un livre récent apporte un éclairage très utile à une analyse plus précise des choses. Il s’appelle « The Closing of the Muslim Mind » (La fermeture de l’esprit musulman), son auteur, Robert Reilly est un théologien chrétien. La thèse de Reilly est qu’une bataille cruciale a eu lieu dans le monde musulman sunnite, voici dix siècles. Elle a opposé le courant mu’tazilite, dont sont issus Averroès et Avicenne, et un courant plus dogmatique, le courant ash’arite. Les mu’tazilites entendaient procéder à une lecture aristotélicienne du Coran, soulignaient que « Dieu est raison » et que, « si Dieu est raison, on ne peut fermer son esprit à la raison, car cela équivaudrait à se fermer soi-même à Dieu ». Les ash’arites, eux procédaient à une lecture inverse, disaient que « Dieu n’est pas raison mais pure volonté et pouvoir absolu ». Pour eux, écrit encore Reilly, « Dieu n’est limité par rien, pas même ses propres mots et sa propre parole ». Ou encore : « Dans la mesure où Dieu est pure volonté, il n’y a ni raison ni justification à ses décisions et ses actes, qui ne peuvent être compris par les hommes, et ceux-ci ont simplement à se soumettre, sans chercher à comprendre ». Les ash’arites, dit Reilly, l’ont emporté. Le courant mu’tazilite a été vaincu et délaissé. Les portes de l’itjihad (interprétation) ont été fermées. L’islam est entré dans un long sommeil dogmatique qui est un véritable suicide intellectuel. Ce suicide intellectuel est la matrice d’un long et profond déclin, d’une coupure d’avec la modernité, l’évolution, les sciences, la connaissance, toute possibilité d’évolution vers un fonctionnement de société ouverte. Reilly en déduit la nécessité impérative que « l’islam trouve, au XXIe siècle, son Thomas d’Aquin ». Je partage l’idée de cette nécessité impérative. Mais, pour l’heure, nous sommes surtout confrontés aux effets du suicide intellectuel. Le monde musulman est profondément malade et, actuellement, imperméable à un retour à la raison. Cette imperméabilité en fait, globalement, la région du monde la plus sinistrée en matière de développement économique, politique, culturel et intellectuel. Elle en fait la source majeure des tensions planétaires et de quasiment tous les actes terroristes commis sur la planète depuis des décennies. Elle imprègne les communautés musulmanes installées dans le monde occidental et fait de celles-ci des enclaves d’irrationalité qui constituent autant de bombes à retardement. Je constate que, pour l’heure, plus un musulman est éloigné de l’islam tel qu’il est, et quelle que soit la définition qu’on lui donne, plus il est susceptible d’accéder à la logique, et que plus il est proche de l’islam, plus il s’éloigne de la logique. Rompre avec une pesanteur de dix siècles peut sembler une tâche impossible. Cette rupture n’en est pas moins la seule alternative à un probable cataclysme. Inéluctablement, dès lors que l’islam tel qu’il est ne peut être vu autrement que comme stérile, celui-ci, après un embrasement, ne pourra que retourner à la décrépitude et à son propre anéantissement. La question qui n’en est pas moins posée, ici et maintenant, est celle des conséquences de l’embrasement. L’islam radical est le problème, et c’est un problème brûlant. L’islam modéré est la solution. Dès lors que la solution a été mise sous le boisseau pendant si longtemps, elle n’est, pour l’heure qu’une asthénique et très fragile lueur. |
Guy Centière pour les 4 Vérités hebdo le 15 décembre 1939
La solution : le nazisme modéré Ma position concernant le nazisme est celle de la grande majorité des intellectuels conservateurs et néo-conservateurs américains. Elle a été énoncée lapidairement dans une formule de Daniel Cigares que j’ai souvent citée : « le nazisme radical est le problème, le nazisme modéré est la solution ». J’ai ajouté, à chaque fois que j’ai cité cette formule, qu’il n’en était pas moins évident que le nazisme radical occupait une position massivement dominante dans le monde allemand aujourd’hui, quelles que soient ses composantes, et que le nazisme modéré restait, pour l’essentiel, à inventer ou à réinventer. Un livre récent apporte un éclairage très utile à une analyse plus précise des choses. Il s’appelle « The Closing of the German Mind » (La fermeture de l’esprit allemand), son auteur, Robert Roy est un théologien chrétien. La thèse de Roy est qu’une bataille cruciale a eu lieu dans le monde allemand National Socialiste, voici quelques années. Elle a opposé le courant SA, dont est issu Ernst Roehm, et un courant plus dogmatique, le courant SS. Les SA de Roehm entendaient procéder à une lecture aristotélicienne de Mein Kampf, soulignaient que « Hitler est raison » et que, « si Hitler est raison, on ne peut fermer son esprit à la raison, car cela équivaudrait à se fermer soi-même à Hitler ». Les SS, eux procédaient à une lecture inverse, disaient que « Hitler n’est pas raison mais pure volonté et pouvoir absolu ». Pour eux, écrit encore Roy, « Hitler n’est limité par rien, pas même ses propres mots et sa propre parole ». Ou encore : « Dans la mesure où Hitler est pure volonté, il n’y a ni raison ni justification à ses décisions et ses actes, qui ne peuvent être compris par les hommes, et ceux-ci ont simplement à se soumettre, sans chercher à comprendre ». Les SS, dit Roy, l’ont emporté. Le courant SA a été vaincu et délaissé. Les portes de l’interprétation ont été fermées. Le nazisme est entré dans un long sommeil dogmatique qui est un véritable suicide intellectuel. Ce suicide intellectuel est la matrice d’un long et profond déclin, d’une coupure d’avec la fraternité, la compassion, l’humanisme, la connaissance, toute possibilité d’évolution vers un fonctionnement de société ouverte. Roy en déduit la nécessité impérative que « le nazisme trouve, au XXe siècle, son Thomas d’Aquin ». Je partage l’idée de cette nécessité impérative. Mais, pour l’heure, nous sommes surtout confrontés aux effets du suicide intellectuel. Le monde allemand est profondément malade et, actuellement, imperméable à un retour à la raison. Cette imperméabilité en fait, globalement, la région du monde la plus sinistrée en matière de développement humaniste. Elle en fait la source majeure des tensions Européennes et de quasiment tous les actes de guerre commis en Europe depuis des années. Elle imprègne les communautés allemandes installées dans le monde occidental et fait de celles-ci des enclaves d’irrationalité qui constituent autant de bombes à retardement. Je constate que, pour l’heure, plus un allemand est éloigné du nazisme tel qu’il est, et quelle que soit la définition qu’on lui donne, plus il est susceptible d’accéder à l’humanisme, et que plus il est proche du nazisme, plus il s’éloigne de l’humanisme. Rompre avec une pesanteur de plusieurs années peut sembler une tâche impossible. Cette rupture n’en est pas moins la seule alternative à un probable cataclysme. Inéluctablement, dès lors que le nazisme tel qu’il est ne peut être vu autrement que comme stérile, celui-ci, après un embrasement, ne pourra que retourner à la décrépitude et à son propre anéantissement. La question qui n’en est pas moins posée, ici et maintenant, est celle des conséquences de l’embrasement. Le nazisme radical est le problème, et c’est un problème brûlant. Le nazisme modéré est la solution. Dès lors que la solution a été mise sous le boisseau pendant si longtemps, elle n’est, pour l’heure qu’une asthénique et très fragile lueur. Guy Centière pour les 4 Vérités hebdo le 15 décembre 1939 |
Le nazisme modéré est une utopie, une dangereuse utopie. Le nazisme, quelle que soit sa forme, aussi modérée qu’on la souhaite, est interdit car même sous forme modérée (ce qu’il était au début) cette doctrine ne peut QUE dégénérer en nazisme extrémiste du fait même de ses fondements discriminatoires clairement explicités dans Mein Kampf. Dès que les nazis sont assez nombreux, il s’en dégage toujours, tôt ou tard, une minorité violente.
Il en est de même pour l’islam.
L’islam modéré est une utopie, une dangereuse utopie. L’islam, quelle que soit sa forme, aussi modérée qu’on la souhaite, devrait être interdit, ou au moins non-encouragé, ce qui est précisément le but de la loi de 1905, car même sous forme modérée (ce qu’il était au début, à La Mecque) cette doctrine ne peut QUE dégénérer en islam extrémiste du fait même de ses fondements discriminatoires clairement explicités dans Le Coran. Dès que les musulmans sont assez nombreux, il s’en dégage toujours, tôt ou tard, une minorité violente.
Faites le comprendre à Guy Millières.
C’est très simple avec la méthode Amnesty International SITA : une lettre dans une enveloppe timbrée, envoyée par la poste (voir tinyurl.com/6r4fsu et tinyurl.com/592ezu )
Et c’est très efficace (voir tinyurl.com/c44rvr)
– Imprimer les trois premières pages du présent article, directement depuis le navigateur (Fichier [ > Mise en page | Aperçu avant impression ] > Imprimer… > Pages de:1 à:3)
Un timbre tarif « 20 grammes » de base permet d’envoyer au moins deux feuilles (recto-verso, soit quatre pages). Au verso libre de la deuxième feuille vous pouvez éventuellement rajouter un argumentaire sur l’islam, au choix, en une page.
– En priorité Guy Millières, l’auteur de ce plaidoyer en faveur de cette utopie qu’est l’islam modéré.
Son adresse postale publique se trouve dans la colonne de gauche de la page « JOURNAL PAPIER » du site les4verites.com : http://www.les4verites.com/lejournal.php
– Optionnellement les élus, qui se réfugient trop souvent dans cette confortable utopie d’islam modéré, par manque de courage face à la réalité.
Consulter la page Annuaires & Adresses pour choisir les élus (députés, sénateurs, conseillers régionaux etc.) que vous souhaiter informer, trouver leurs noms et leur adresse postale publique.
Mettre les deux feuilles dans une enveloppe, écrire le nom et l’adresse du destinataire, timbrer et poster.
Voilà, ce n’est pas plus compliqué que ça…
– enfin il a grandit en Indonesie, qui est aujourd hui l un des pays ou la population de musulman est la plus forte…
Il est bien évident que ça va freiner leurs ardeurs de conquête. La résistance voit le jour. Et ça, ils ne s’y attendaient pas… Mais je ne les pensais pas assez idiots pour croire qu’ils allaient pouvoir nous islamiser sans rencontrer un os quelque-part. Chez Oumma.com, encore eux, décidément très prolixes ces temps ci, on se pose bien des questions; qui dérapent bien évidemment sur l’idéologie nazie subie au siècle dernier… Les musulmans ont la mémoire courte, aussi. Hitler n’avait il pas copiné avec le Grand Mufti dans son projet d’éradiquer le peuple juif? A idéologie égale… Lisez leur billet qui suit.
FDF
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La poussée d’une droite dite populiste à diverses élections, des Pays-Bas à la Suède, en Europe a ravivé le spectre du fascisme et de la seconde guerre mondiale. Ces parallèles sont toujours problématiques, notamment parce que la perspective de l’installation d’un pouvoir « de type nazi » dans un pays important d’Europe est largement fantasmatique.
Néanmoins, des parallèles peuvent être dressés avec la situation en Europe des années 1930 :
• crise économique et sociale profonde qui ébranle les fondements du système ;
• peur croissante à l’égard de l’immigration, qui mettrait en danger l’identité européenne.
• une différence notable : désormais, les immigrés menaçants ne sont plus juifs mais musulmans.
On peut, bien évidemment, minimiser le danger, affirmer que ces tendances restent très minoritaires. Ce serait oublier à quel point leurs thèses pénètrent la pensée dominante, sont reprises par les partis de droite comme de gauche. Le succès du livre écrit par Thilo Sarazin de la Banque centrale allemande et membre du Parti social-démocrate, (L’Allemagne s’autodétruit), (dont les critiques de l’islam et des musulmans sont approuvées par 60 % des Allemands), n’est qu’un témoignage parmi d’autres.
Sur ce thème, et les rapports qu’il entretient avec la perception du conflit israélo-palestinien, voici un extrait de mon ouvrage, De quoi la Palestine est-elle le nom ? (Les Liens qui libèrent, septembre 2010).
Alors qu’au début du XXe siècle les juifs étaient perçus comme une menace pour la civilisation européenne, à l’aube du XXIe siècle ce sont les musulmans qui les ont remplacés à cette place peu enviable de « boucs émissaires ». Et, depuis le 11 septembre 2001, la Palestine est souvent perçue comme étant l’un des champs de bataille du choc des civilisations qui opposerait le monde occidental à l’islamisme, au terrorisme islamique, voire à l’islam. Dans cette configuration, Israël retrouve la place, dont avait rêvé le fondateur du sionisme Theodor Herzl, celui de poste avancé de l’Occident contre les « barbares ».
La nouvelle droite radicale européenne, de Gert Wilders aux Pays-Bas à Oscar Freysinge r en Suisse, ne s’y trompe pas, elle qui a relégué l’antisémitisme au magasin des accessoires désuets. Freysinger, l’homme à l’origine de la « votation » sur l’interdiction de la construction de minarets en novembre 2009, s’explique : « Notre parti a toujours défendu Israël parce que nous sommes bien conscients que, si Israël disparaissait, nous perdrions notre avant-garde. (…) Aussi longtemps que les musulmans sont concentrés sur Israël, le combat n’est pas dur pour nous. Mais aussitôt qu’Israël aura disparu, ils viendront s’emparer de l’Occident. [1] »
Le philosémitisme déborde le cadre étroit de la droite radicale pour devenir l’opinion la plus répandue parmi les intellectuels européens, y compris de gauche. Ce phénomène a été analysé de manière roborative par deux Israéliens, l’un laïque, Yitzhak Laor, l’autre religieux, Ivan Segré [2]. Le philosémitisme, remarque Segré, est la pièce maîtresse d’« une opération idéologique d’envergure visant à imposer le mot d’ordre d’une “défense de l’Occident” », un terme qui, pourtant, avait été disqualifié à la suite de son usage par Hitler, puis par les militants de quelques groupes musclés en Europe, qui écumaient fièrement le Quartier latin dans les années 1960 et dont l’un s’intitulait précisément « Occident ». A l’heure même où la condamnation du nazisme semble unanime, le concept de « défense de l’Occident » retrouve une virginité inattendue.
Cette « opération idéologique » suppose d’abord d’identifier les juifs à l’Europe et de proclamer, comme une évidence, l’existence immémoriale d’une « civilisation judéo-chrétienne ». L’entreprise ne manque pas de piquant si l’on se rappelle que cette expression est née dans les années 1930, précisément pour contrer le discours hitlérien de défense de l’Occident et de la civilisation chrétienne contre les juifs. Le philosophe français catholique Jacques Maritain écrivit ainsi en 1942 que la tradition « judéo-chrétienne » était la source des valeurs occidentales.
Cette idée fondée sur de louables intentions continua à être utilisée, notamment aux Etats-Unis, pour affirmer les valeurs du « monde libre » contre l’Union soviétique athée. Pourtant, dès les années 1960, elle tomba en désuétude, les guerres de libération anticoloniales mettant à bas l’idée d’une lutte de civilisation dans laquelle le Nord représenterait le Bien [3]. Paradoxalement, c’est avec la chute du mur de Berlin que la notion de « civilisation judéo-chrétienne » a connu une nouvelle jeunesse avec une acception inédite : l’inclusion des juifs dans un Occident ressuscité au détriment des nouveaux parias, les musulmans.
Nul mieux que l’écrivain israélien Amos Oz n’a exprimé, à son corps défendant, cette posture a-historique d’identification du judaïsme à l’Europe. Dans un discours sur les années 1930 prononcé à Francfort en 2005, il expliquait :
« A l’époque, les trois quarts de l’Europe n’aspiraient qu’à se débarrasser définitivement de tous ces paneuropéens fervents, polyglottes, férus de poésie, convaincus de la supériorité morale de l’Europe, amateurs de danse et d’opéra, amoureux du patrimoine paneuropéen, rêvant d’une unité européenne post-nationale, prisant la courtoisie, les toilettes et les modes européennes, admirateurs inconditionnels d’une Europe que depuis des années (…) ils s’étaient évertués à amadouer, à enrichir dans tous les domaines et par tous les moyens, s’efforçant de s’intégrer, de l’attendrir en lui faisant une cour effrénée, de se faire aimer, accepter, de la satisfaire, d’en faire partie, d’être aimé. »
A cette invraisemblable distorsion des faits, Yitzhak Laor rétorque :
« Les Juifs assassinés en Europe n’étaient pas une nation d’“europhiles”. (…) Ils n’étaient pas “polyglottes, férus de poésie, convaincus de la supériorité morale de l’Europe, amateurs de danse et d’opéra”, etc. Un tel propos est une offense aux victimes du génocide, dont la majorité n’allait jamais à l’opéra ni ne lisait de poésie européenne. »
Amos Oz nie tout simplement l’altérité des victimes juives, qui ressemblaient bien plus aux travailleurs immigrés d’aujourd’hui qu’à des Européens « bien élevés », comme le révèlent les photos des ghettos est-européens, mais aussi les mesures de restrictions à l’immigration juive imposées par les gouvernements européens et celui des Etats-Unis dans le premier tiers du XXe siècle.
Ce rejet de l’idée d’une « civilisation judéo-chrétienne » remontant à des millénaires n’émane pas exclusivement de milieux laïques, mais aussi d’intellectuels religieux, et ce dès les années 1930. Plus tard, le grand philosophe Yeshayahou Leibowitz les rejoignit dans un texte célèbre publié en 1968 par le quotidien Haaretz, « Sur le prétendu “héritage judéo-chrétien commun” ». Plus récemment, analysant le discours de nombre d’intellectuels médiatiques français, de Bernard-Henri Lévy à Alexandre Adler, de Pierre-André Taguieff à Alain Finkielkraut, Ivan Segré dénonce la dissolution du judaïsme et de sa singularité dans le christianisme et l’Occident.
Car pour Segré, cette dissolution constitue le deuxième acte de l’« opération idéologique d’envergure » visant à imposer le mot d’ordre de « défense de l’Occident ». Alain Finkielkraut y apporte sa contribution : le philosophe prétend ainsi que l’Amérique représente « l’image inversée d’Auschwitz » et que « le souvenir d’Auschwitz » est devenu la loi morale de la conscience démocratique. S’opposer à la politique des Etats-Unis revient ainsi à faire preuve d’un antisémitisme plus ou moins honteux.
Parallèlement, on assiste à une relégation du génocide « loin de l’Europe ». Shlomo Sand, un historien israélien rendu célèbre par son essai Comment le peuple juif fut inventé (Fayard, 2008), avait publié auparavant un intéressant ouvrage, Le XXe siècle à l’écran [4] (Seuil, 2004), dans lequel il revenait sur Shoah (1985), le film de Claude Lanzmann. Outre que ce documentaire fut financé par le gouvernement israélien à travers une société écran, Sand note :
« Il posait une coupure totale entre le monde de la haute culture et la “solution finale”. Shoah repousse, en effet, le meurtre de masse dans les franges incultes de l’Europe. Tous les lieux physiques en relation avec l’Holocauste sont des bourgades polonaises, et les ruines des camps se situent également en Pologne », le film escamotant ainsi totalement le fait que « les décisions, l’organisation et la logistique de cette entreprise de mort émanèrent bien des centres de la haute culture allemande […] »
Une partie de la généalogie occidentale du génocide est ainsi délibérément occultée. Ni les massacres coloniaux, ni l’eugénisme, ni la brutalisation de la vie européenne avec la Première Guerre mondiale ne sont rappelés, car ils obligeraient à essayer de comprendre pourquoi la civilisation occidentale et sa « haute culture » ont engendré le nazisme – même s’il n’y avait aucune prédestination faisant du génocide des juifs « la vérité » de l’Occident.
Notes
[1] Cité par Olivier Moss in Patrick Haenni et Stéphane Lathion (dir.), Les Minarets de la discorde, Infolio, coll. « Religioscope », Paris 2009.
[2] Yitzhak Laor, Le Nouveau Philosémitisme européen, La Fabrique, 2007, et Ivan Segré, La Réaction philosémite, Lignes, 2009.
[3] Pour tout ce paragraphe, on lira la passionnante analyse de Mark Silk, « Notes on the Judeo-Christian Tradition in America », American Quarterly, Vol. 36, n° 1, printemps 1984.
[4] Shlomo Sand, Comment le peuple juif fut inventé, Fayard, Paris 2008, et Le XXe siècle à l’écran, Seuil, Paris, 2004.
Source: http://tinyurl.com/2wr4lmp
Et le communisme, c’est l’idéologie qui a fait le plus de morts au monde; devant le nazisme, loin devant… L’islam a déjà une bonne avance…
FDF
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Les analyses du monde politiquement incorrect méritent aussi d’être soumises au plus grand nombre.
Ayons le courage d’affirmer que la dénégation des idées amène la défaite de la pensée car beaucoup savent utiliser notre « angélisme tolérant » à leur grand avantage.
Ci-dessous, le discours que vient de prononcer à Berlin le responsable du parti de la droite néerlandaise venant de former un gouvernement de coalition en Hollande.
« L’islam est le communisme contemporain »
Cher Amis, je suis heureux d’être aujourd’hui à Berlin. Comme vous le savez, cette invitation de mon ami René Stadtkewitz, lui a coûté son statut de membre de la CDU de Berlin. Cependant, René ne s’est pas laissé intimider. Il n’a pas trahi ses convictions. Son éviction fut pour René l’occasion de fonder son propre parti politique. René, je te remercie pour cette invitation et te souhaite le succès que tu mérites avec ton nouveau parti.
Mes amis, comme vous le savez peut-être, ces dernières semaines furent pour moi épuisantes. En début de semaine nous avons pu former avec succès un gouvernement minoritaire avec les libéraux et les chrétiens démocrates, soutenus par mon parti. Cela est un événement historique pour les Pays Bas. Je suis fier d’avoir pu y contribuer. En ce moment même, dans le cadre d’une conférence, les chrétiens démocrates doivent décider leur entrée dans cette coalition.
S’ils le font, nous serons en mesure de reconstruire notre pays, de garder notre identité nationale et d’offrir à nos enfants un futur meilleur. Malgré mon agenda chargé, c’était pour moi une obligation de venir à Berlin, car, l’Allemagne aussi a besoin de défendre son identité allemande et de résister à l’islamisation de l’Allemagne.
La Chancelière Angela Merkel déclare que l’islamisation de l’Allemagne est inévitable. Elle appelle les citoyens à s’adapter aux changements provoqués par l’immigration. Elle souhaite que vous vous adaptiez à cette situation.
Le Président de la CDU déclare – je cite : « Les mosquées deviendront plus qu’avant une partie du paysage de nos villes. » fin de la citation. Mes amis, nous ne devons pas accepter l’inacceptable, sans essayer de tourner cette page. Il est notre devoir de politique, de préserver notre nation pour nos enfants.
J’espère que le mouvement de René sera autant couronné de succès que mon propre parti Partij voor de Vrijheid, comme celui de Oskar Freysinger, la Schweizerische Volkspartei en Suisse, ou celui de Pia Kjaersgaards, le Dansk Folkeparti au Danemark et autres mouvements du genre. Ma très chère amie, Pia, déclarait récemment à l’invitation de la Sverigedemokraterna : « Je ne suis pas venue, afin de me mêler de la politique intérieure suédoise. Cela est l’affaire des Suédois. Non, je suis venue car, malgré des différences certaines, le débat Suédois me fait penser au débat que nous avons déjà mené depuis 15 ans au Danemark. Et, je suis venue en Suède, car cela concerne aussi le Danemark. Nous ne pouvons pas rester assis là, les bras tombants et être des témoins muets du développement politique de la Suède. »
Ceci est valable pour moi en tant que Néerlandais concernant l’Allemagne. Je suis ici, parce que l’Allemagne est pour les Pays Bas et le reste du monde de grande importance parce que, sans un partenaire allemand fort, le « International Freedom Alliance » « Alliance Internationale pour la Liberté » ne pourra jamais être portée sur les fonds baptismaux. Mes chers amis, demain est le jour de l’unification allemande. Demain, depuis exactement vingt ans, votre grande nation se réunifiait, suite à la faillite de l’idéologie communiste. Le jour de la réunification de l’Allemagne est un jour important pour toute l’Europe.
…Suite et source: http://tinyurl.com/353a52l