Francaisdefrance's Blog

29/02/2012

1 Mars 1962… Mers El-Kébir. L’assassinat de la famille Ortéga.

Photo d’illustration…

.

Personnellement, je n’arrive pas à comprendre pourquoi certains ont prévu de faire défiler l’armée algérienne le 14 juillet 2012 sur les Champs Elysées. Devoir de repentance? Même pas. Se repentir de quoi? Soumission, plutôt…

En contrepartie, notre armée devrait aller défiler le jour de la fête nationale algérienne chez Bouteflika. Ben quoi? Echange de bons procédés, non?

Bon; il est certain que nos soldats pourraient bien se produire sous une avalanche de crachats… Mais, en France, on a déjà l’habitude…

Lisez ce qui suit.

FDF

« Aucune cause ne justifie la mort de l’innocent. Si je peux comprendre le combattant d’une libération, je n’ai que dégoût devant le tueur d’enfants » (Albert CAMUS)

Le printemps était revenu, avec ses éveils de sève, les gouttelettes vertes et les blanches éclosions des fleurs au bout des branches. C’était le retour des papillons, des oiseaux, de la vie. Tout reverdissait comme par enchantement ; les mimosas, fleuris à profusion, ressemblaient à d’énormes bouquets dans lesquels les colibris chantaient de leur toute petite voix douce, pareille à la voix des hirondelles qui jaseraient en sourdine. Et la nature s’était tant hâtée d’enfanter tout cela, qu’en huit jours elle avait tout donné…

Pourquoi tant de hâte ? Savait-elle alors que c’était là son dernier printemps ?… Voulait-elle offrir une ultime vision de Paradis à ceux pour qui le glas allait sonner ?

Le 1er mars 1962, tombait un jeudi. Il faisait le temps même de la vie, le temps qu’on imagine pour le Paradis. Un air doux et léger, un ciel aux profondeurs bleues à qui le soleil réservait sa plus fastueuse débauche de lumière, une senteur subtile de jardin laissait supposer une journée radieuse…

Il était environ 11h, un groupe de Musulmans fit irruption dans la conciergerie du stade de La Marsa, à Mers El-Kébir, tout près de la base militaire. Dans une véritable crise de folie meurtrière collective, ces hommes s’emparèrent de la gardienne, une européenne de trente ans, Mme Josette Ortéga et, sans la moindre raison, à coups de hache, la massacrèrent. Couverte de plaies affreuses, dans un ultime effort, elle tenta de s’interposer entre les bourreaux déchaînés et son petit garçon, mais en vain. Les tortionnaires déments frappèrent encore sous les yeux horrifiés du petit André, quatre ans, puis quand il ne resta plus qu’une loque sanguinolente, ils se saisirent de l’enfant et lui broyèrent le crâne contre le mur.

Alors que, leur forfait accompli, ils s’apprêtaient à partir, ils aperçurent la fillette, Sylvette, cinq ans, qui venait du jardin, les bras chargés de fleurs. Aussitôt l’un des hommes se jeta sur elle, la roua de coups puis, la saisissant par les pieds, lui fracassa la tête contre la muraille.

Quand M. Jean Ortéga, employé à la direction des constructions navales, franchit la grille du stade, le silence qui régnait le fit frissonner. D’ordinaire, ses enfants accouraient, les bras tendus dans un geste d’amour. Une angoisse indéfinissable le submergea. Il approcha lentement, regarda autour de lui… puis, là, dans la cour, un petit corps désarticulé tenant encore dans ses mains crispées des géraniums, la tête réduite en bouillie, une large flaque de sang noirâtre tout autour.

L’univers qui tourne comme une toupie : rouge, noir, blanc ; parler… crier… non… rien : l’effondrement enfin, salutaire, libérateur, mort et vie à la fois : le hurlement. Il se précipita, se figea devant le corps de son enfant, les yeux fixes, la bouche ouverte, semblant avoir été atteint par une soudaine paralysie. Puis son regard se porta à l’entrée de la maison… une mare de sang, un corps gisant, disloqué, mutilé par d’horribles blessures et près de lui, une petite forme qui n’avait plus de visage humain. Ce fut l’écroulement, la folie, la fin du monde…

… Ce sont là des mots qui pleurent et des larmes qui parlent…

Comme on pouvait s’y attendre, la funeste nouvelle se répandit comme un éclair. Le nom des victimes courut sur toutes les bouches ; les commentaires, les controverses violentes, les supplications lamentables, les récits décousus, les vociférations se fondèrent en une rumeur profonde d’ouragan prêt à se déchaîner.

Les Kébiriens étaient anéantis. La famille Ortéga était connue et aimée de tous. Les supporters du club de football « La Marsa » la côtoyait chaque dimanche.  Après le choc, ce fut la révolte… Comment demeurer impassible après une telle monstruosité ? Comment prêcher la modération à un père qui découvre pareille horreur ? Quelles paroles de consolation pourrait-on lui apporter ? La lutte pour l’indépendance de son pays justifie-t-elle de semblables abominations ?

Et la rumeur s’amplifia… et le tonnerre gronda…

–          Ils sont morts ? Comment sont-ils morts ? Qui a fait cela…

Il y avait dans ces questions un frémissement de colères, un foisonnement de fureurs, une tempête encore contenue de vengeances. L’amour patiemment cultivé depuis des générations s’était subitement transformé en une haine qui bouillonnait dans toutes les âmes.

Les opinions s’échauffaient, s’exaspéraient, s’entrechoquaient et l’esprit de vengeance se réveilla en cette population assommée et exacerbée par tant d’années de terrorisme sordide. Sous les rougeurs tragiques du crépuscule, la cohue houleuse prit l’apparence d’une horde de sauvages mutinés. L’unique pensée qui talonnait tous ces gens, la pensée soudaine qui avait traversé tous les esprits comme un éclair, c’était d’empoigner le premier arabe venu pour frapper.

Sur la grande clarté fauve du soleil déclinant, une sorte de fatalité pesait sur toutes les consciences… et le tragique enchaînement de la violence se perpétua aux confins de la folie.

Si l’on ne pouvait excuser tout à fait ce talion, on pouvait, tout au moins, essayer de le comprendre. Voilà sept années que l’on massacrait en Algérie, que l’on mutilait, que l’on violait et que l’on pillait. Aujourd’hui, les Européens répliquaient et versaient dans le désespoir. Voilà les causes des « ratonnades » et de la vengeance ! Voilà la raison de la création de l’OAS !

Si la France avait été vraiment à la hauteur de sa justice, elle n’aurait pas permis qu’un condamné à mort comme M. Chadli, avec cent-treize attentats sur la conscience, soit jugé le mardi et « évadé » le vendredi… Comment dans ce cas ne pas faire justice soit-même ?

Comme de coutume, la presse métropolitaine –hormis le journal « L’Aurore »- se garda bien d’évoquer dans le détail l’assassinat de la famille Ortéga. A l’inverse, elle se déchaîna contre cette « nouvelle  ratonnade » en indiquant que « les tueurs nazis de l’OAS se livraient au racket et au massacre sur les Musulmans et les « patriotes » gaullistes ! »

Ainsi ces vertueux journalistes au « coeur sur la main » oubliaient la terreur qu’imposait quotidiennement le FLN ; ils ne se souvenaient plus des charniers de Melouza et d’El-Halia, des soldats français torturés et dépecés encore vivants dans les gorges de Palestro, des bombes du stade d’El-Biar et du casino de la Corniche ; ils ne prêtaient aucune attention aux grenades qui explosaient chaque jour dans les écoles, les cafés, les arrêts d’autobus et qui déchiquetaient les jeunes enfants ; ils feignaient d’ignorer les enlèvements, les égorgements et les viols qui se multipliaient, mais ils stigmatisaient le « drame des ratonnades » qu’un journaliste, Yves Lavoquer, avait, sans gêne aucune, comparé aux « pogroms de la Russie tsariste et aux massacres nazis ». « Ce n’est pas de tuer l’innocent comme innocent qui perd la société, c’est de le tuer comme coupable » écrivait Chateaubriand.

Ces atrocités ne révoltaient donc pas les consciences contre les criminels… mais contre les victimes. Ces milliers d’innocents versés dans la mort servaient à apitoyer le monde sur le sort des bourreaux. Le réflexe n’était pas l’indignation devant la sauvagerie du crime… mais la compassion envers les assassins à qui l’on trouvait toujours une excuse  à « leur acte désespéré ». Et si les survivants excédés ou terrorisés prenaient les armes pour sauver leur vie, dans un geste de défense aussi vieux que les âges, ils soulevaient contre eux l’unanimité des censeurs.

Un poète persan a écrit : « Si la douleur, comme le feu, produisait de la fumée, le monde entier en serait obscurci ».

Il y avait tellement de fumée en Algérie, en ce terrible mois de mars 1962, qu’on ne voyait plus clair et qu’on étouffait…

José CASTANO

« Prends garde de ne point oublier ce que tes yeux ont vu et tu les enseigneras à tes enfants et petits enfants » (ancien testament, deutéronome 4,9)

Le poids des mots… le choc des photos (cliquez)

http://pagesperso-orange.fr/guerredalgerie/photos.htm

Pour obtenir des photos relatifs à chaque lien présenté, cliquez sur le lien puis sur l’onglet en haut à gauche : « page de garde », puis sur « photos » et retournez sur le lien choisi : Les photos apparaîtront

Les photos de la famille Ortéga se trouvent sur la ligne « barbarie ordinaire en 1962 »

– Ils ont osé subventionner une manifestation à la gloire du FLN, à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie !
http://www.marinelepen2012.fr/2012/02/14/ils-ont-ose-subventionner-une-manifestation-a-la-gloire-du-fln-a-loccasion-du-cinquantenaire-de-lindependance-de-lalgerie/

ORDRE DE MOBILISATION

DE TOUS LES FRANÇAIS

Suite au colloque de la désinformation organisé par la fédération de France du FLN et ses souteneurs, pour apologie de crime, d’assassinats, de terrorisme en Algérie durant la période de 1954 à 1962, il est maintenant nécessaire d’arrêter, en ce cinquantenaire de notre exode, toutes ces manifestations qui portent atteinte à notre mémoire.

La mobilisation générale est décrétée pour le samedi 10 mars 2012, à neuf heures, devant le Conseil Général, rue Guillemette à Nîmes.

En mémoire des :

30 000 soldats français sacrifiés pour rien,

150 000 harkis massacrés dans d’atroces souffrances,

Milliers d’Européens enlevés et assassinés

Nous appelons tous nos concitoyens en une manifestation fraternelle, digne et pacifique à venir témoigner aux uns, leur solidarité, et aux autres leur désapprobation et leur indignation.

NON au colloque de la désinformation – Renseignements : USDIFRA : 04.94.33.68.38 – RNFAA : 06 10 27 87 64

Compte tenu des travaux et de la difficulté de circulation, il est conseillé de se garer au parking de l’Esplanade, avenue Feuchères (face à l’entrée de la gare, direction des Arènes)

-o-o-o-o-o-o-o-

– Contre-colloque organisé par le Collectif pour la réflexion sur les Mémoires Modernes présidé par Maître Gilbert COLLARD, Samedi 10 mars 2012 à 15 heures, Chez Bill, 35 rue du Cirque Romain – 30900 NIMES

Ce collectif a pour but, dans un effort d’objectivité, d’organiser une confrontation méthodique entre les mémoires modernes, nourrie des contradictions de l’histoire et se propose de lutter contre les préjugés historiques et le langage de bois. Venez nombreux !

Renseignements au 06.82.74.74.29

-o-o-o-o-o-o-o-

– Samedi 24 Mars, « grand oral » des présidentiables à Nîmes, face à la communauté des Français d’AFN
Programme de la réunion à l’intention des candidats à l’élection Présidentielle
Voir en ligne : http://www.pied-noir.eu/
-o-o-o-o-o-o-o-

Sur la terre imprégnée du sang des légionnaires, le soleil ne se couche jamais

Dans le cadre du « cinquantenaire » de la fin de la guerre d’Algérie, hommage aux « Seigneurs de la guerre » des unités dissoutes : 1er Régiment Etranger de Parachutistes, 14ème et 18ème Régiment de Chasseurs Parachutistes, Commandos de l’Air et Groupement des Commandos Parachutistes. Conférences données par Joseph CASTANO :

« LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

– De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat

– L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.

1) Samedi 14 Avril, 10h, Hôtel restaurant « Le Campanile », 30 rue Ratacas – ZI de Plaisance – 11100 NARBONNE (Tel. 04.68.33.24.40). Un déjeuner suivra. Inscriptions au 04.68.32.70.07 (le matin) (Cercle algérianiste)

2) Mercredi 18 Avril, 18h, Maison pour tous Mélina Mercoury – 842, rue de la Vieille Poste, (Zone du Millénaire, face à IBM) – 34000 MONTPELLIER (Asso « Mémoire de l’Armée d’Afrique »)

3) Samedi 28 avril, 16h, Centre culturel, Place du 1er Octobre 1974 (près de la Mairie) – 34280 LA GRANDE MOTTE (Mémoire de l’Armée d’Afrique et Amicale des PN de la GM)

4) Samedi 19 Mai, 16h, Espace Vauban, salle Vauban – 207, av gen de Gaulle (1ère impasse après la gendarmerie) – 34400 LUNEL (Mémoire de l’Armée d’Afrique et ANFANOMA)

5) Samedi 26 Mai, 16h, Salle polyvalente – Bd de la démocratie (près de la Police Municipale) – 34130 MAUGUIO (Mémoire de l’Armée d’Afrique)

Toutes ces entrées sont gratuites – Renseignements au 04.67.17.15.58 et 06.84.66.80.07

« De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans  les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil, dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »

… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « ses » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait.

– Cliquer sur : LE BOUDIN puis sur le logo de la fenêtre qui s’affiche en bas à gauche.

… Et aussi :

6) Jeudi 12 Avril, 18h30 – Restaurant « LE FLAMAN AND CO » – 4, Centre commercial Les Boutiques du Couchant II – 34280 LA GRANDE MOTTE – Grand débat sur « le droit de vote des étrangers » avec l’association « Nous les Francs » et intervention sur le thème « L’Islam et la conquête de l’Occident » – Dîner obligatoire – Renseignements et inscriptions au 06.77.51.66.08 et 06.68.60.20.37

7) Lundi 14 Mai, 19h30, Hôtel Mercure – 34280 LA GRANDE MOTTE (Cercle Européen) – Thème : « Islam… Religion conquérante » – Dîner obligatoire – Inscriptions au 04.67.69.06.38 et 06.26.06.86.62

8) Samedi 7 Juin, 16h, Centre de vacances AZUREVA, 4, av de la Butte – 34300 CAP D’AGDE – Thème : « Il y a 50 ans… L’Exode »  (Amicale des Anciens Koubéens) Tel. 05.67.00.32.78

9) Samedi 23 Juin, 15h, Auditorium hôtel Novotel ATRIA (à proximité des arènes) – 5, bd de Prague – 30000 NIMES – Thème : « Il y a 50 ans… L’Exode » – Conférence donnée dans le cadre du cinquantenaire organisé par la ville de Nîmes – Entrée gratuite – Renseignements : 04.66.27.76.80

Source: José Castano.

27/02/2012

Comble de l’horreur à Escaudain !

Les armes de destruction massive habituelles ont été sorties: symboles nazi, croix gammées, autocollants islamophobes; manque la légendaire tête de cochon… Un oubli?

Il va falloir inventer d’autres autocollants, du genre « Stop à la stigmatisation ! » à placarder sur des églises, par exemple.

Et si on médiatisait autant pour chaque crachat que certains « jeunes » nous balancent aux pieds, chaque jour? Car il faut savoir que ce n’est pas une pathologie d’expectoration; c’est de la haine anti-blancs et anti-chrétiens…

Pffffffffffffffffffffffffffffffffffff.

FDF

.

Mosquée d’Escaudain : inscriptions nazies sur la façade !

Mosquée d'Escaudain : profanation

La mosquée d’Escaudain, dans le nord de la France, a été profanée. Des enfants ont découvert des symboles nazies, une croix gammée, ainsi qu’un autocollant islamophobe sur lequel on pouvait lire « stop à l’islamisation ».

L’information a été postée en début de soirée sur ce qui semble être le compte Facebook d’un fidèle de la mosquée d’Escaudain, accompagnée du message suivant :

« La mosquée a été tagué avec des signes nazi et un autocollant ‘stop à l’islamisation’ a été placardé sur la façade. »

Le discours islamophobe de nos politiques a permis ce genre de lâcheté et la faiblesse du CFCM inféodé au système ne nous permet pas de compter sur eux pour nous défendre. »

Source: al-kanz

10/01/2012

Braillards, gauchistes, crasseux, racailles… Tous unis contre la France française et patriotique !

L’anti-France dans toute sa « splendeur »…

.

La venue de Marine Le Pen en Seine Saint Denis; version 2… Quand toute cette bande de demeurés aura compris qu’il ne faut pas confondre fascisme et patriotisme, la France aura fait un grand pas…

FDF

.


En 2007, Sarkozy a mis à la tête de la préfecture de Seine-Saint-Denis, un crac de la sécurité : l’ancien patron du RAID et des CRS, Christian Lambert, surnommé Panda en raison de sa physionomie. Et on allait voir ce que l’on allait voir, selon l’Elysée et la Place Beauvau, avec ce super flic de compétition… On a vu ! Ce dimanche 8 janvier 2012, c’est justement Christian Lambert avait en charge la sécurité de la réunion publique de Marine Le Pen à Saint-Denis. Résultat : la racaille a tenu le pavé et a pu agresser tout le monde une partie de l’après-midi, en quasi impunité. Il y a eu plusieurs blessés, dont un militant FN et une journaliste de France 3.

Ils étaient plusieurs centaines, les gauchistes de tous poils, antifas à la petite semaine, activistes et autres professionnels de l’agitation de rue, secondés par des centaines de racailles venues des cités de non-droit de la Seine-Saint-Denis, pour perturber la réunion publique que tenait Marine Le Pen à La-Plaine-Saint-Denis (commune de Saint-Denis), non loin des portes d’Aubervilliers et de La Chapelle. En tête du cortège, plusieurs élus de gauche dont Bally Bagayoko, adjoint au maire communiste de Saint-Denis en charge de la Jeunesse.

En début d’après-midi, totalement dépassées, les forces de l’ordre présentes en sous-nombre n’ont pu empêcher les casseurs d’approcher les parkings attenants à la salle de réunion. Nervis gauchistes et voyous de cités s’en sont pris aux passants, aux automobilistes et aux militants et sympathisants frontistes venus des quatre coins de France applaudir la candidate à l’élection présidentielle. Certains paisibles badauds ont même essuyé des crachats et des insultes, d’autres ont dû rebrousser chemin et emprunter une autre entrée, pour plus de sécurité. En milieu d’après-midi, on comptait au moins un militant des Yvelines blessé à l’arcade sourcilière suite à un coup de tête d’une racaille. Une journaliste a même été atteinte au crâne par un jet de pierre… Et, du côté des « manifestants », on ne s’est pas privé de lancer toutes sortes de projectiles en direction des forces de l’ordre, sans qu’il y ait la moindre interpellation.

Marine Le Pen avait prévu de tirer les rois avec les militants et sympathisants du Front National à partir de 15h30 dans une salle située aux Docks de Paris, au sud de La-Plaine-Saint-Denis. Le début de la réunion a du être légèrement retardée. En fin d’après-midi, alors que les médias aux ordres annonçaient que la « manifestation » s’était dispersée « dans le calme », plusieurs témoins fiables nous signalaient des affrontements entre racailles et CRS présents en nombre cette fois. Avec un retard évident, sans doute des suites d’ordres reçus de la part du ministère de l’Intérieur (car nous n’imaginons pas Christian Lambert incompétent à ce point), plusieurs compagnies de sécurité et de CRS, arrivées tardivement en renforts, reprenaient enfin progressivement le dessus sur les émeutiers des cités restés sur place.


09/01/2012

Courage, Marine; ça vient de si bas…

Ce n’est pas ça qui va l’arrêter, Marine Le Pen. Elle en a vu d’autres et son père aussi.

Pas besoin de réfléchir longtemps pour imaginer quel genre de paumés étaient parmi « les centaines de manifestants » qui composaient la horde. Quels individus ont pour habitude de cracher sur les sous-chiens ? Les mêmes qui lancent des projectiles sur les forces de l’ordre.

Et qui étaient les meneurs? Toujours les mêmes. Ils sont cités plus bas…

Il y aura de la « monnaie à rendre »…

FDF

.

Saint-Denis: manifestation contre la venue de Marine Le Pen

La candidate du FN à la présidentielle 2012 s’est rendue ce dimanche après-midi à Saint-Denis, au nord de Paris. Une visite dénoncée par des centaines de manifestants qui l’ont invitée à « dégager ». 

Des centaines de personnes ont manifesté contre Marine Le Pen ce dimanche après-midi à Saint-Denis, en Seine-Saint-Denis. La préfecture de police a dénombré 350 manifestants, les organisateurs faisant état de 500 personnes réunies pour protester contre la venue de la candidate du Front national à la présidentielle 2012. 

Certains partisans du FN ont essuyé des crachats et des insultes, d’autres ont dû rebrousser chemin et emprunter une autre entrée, leur route étant barrée par les anti-FN. En outre, des projectiles ont été lancés par les manifestants en direction des forces de l’ordre et une journaliste reporter d’images a été légèrement blessée à cette occasion. 

Marine Le Pen avait prévu de tirer les rois avec les militants du Front national à partir de 15h30 dans une salle située aux Docks de Paris, au sud de cette commune populaire de la banlieue parisienne. Ce meeting a été légèrement retardé, débutant peu après la dispersion de la manifestation dans le calme vers 15h45. 

« Le FN n’a pas sa place ici »

Cette venue de Marine Le Pen « est une véritable provocation » estiment les organisateurs de la manifestation, le collectif dionysien contre le Front National et l’extrême-droite, qui regroupe des partis politiques (PS, PCF, NPA…), des associations (Ras l’front, MRAP…) et des syndicats (Snuipp, CGT…). 

« Les valeurs portées par le FN ne sont pas celles portées par la ville, qui sont des valeurs de solidarité, de mélange. Le FN n’a pas sa place ici », a dit Bally Bagayoko, adjoint au maire de Saint-Denis en charge de la jeunesse, présent en tête de cortège. 

« On estime que le FN n’est pas un parti comme les autres. Il y a une banalisation des idées de Marine Le Pen, qui attirent de plus en plus de voix, y compris dans nos quartiers populaires. Notre objectif est aussi de mieux faire connaître le FN pour déconstruire son programme », a renchéri Agnès Cluzel, membre du collectif et militante du PCF. 

Le cortège s’est ébranlé peu après 12h dans le centre de Saint-Denis, derrière une banderole proclamant « Pas de fachos dans nos quartiers », aux cris de « Marine Le Pen, dégage, Saint-Denis n’est pas à toi » ou de « F comme fasciste et N comme nazi ». Protégés par un important dispositif policier, les manifestants ont tendu une banderole « FN dégage ». 

Source: http://www.lexpress.fr/


04/01/2011

Antivol ou signe de reconnaissance ?

Vous avez déjà tous remarqué que les voitures des musulmans sont quasiment toutes ornées d’un petit coran ou d’un chapelet accroché à leur rétroviseur intérieur. Ceci a plusieurs significations: c’est un signe de reconnaissance entre eux, ces voitures là ne seront jamais incendiées et c’est une autre façon de nous provoquer en arborant en public ces signes « religieux »…

Et si on faisait de même? Il est certain que c’est risqué si vous accrochez à votre rétro ce que l’on peut voir sur la photo ci-dessous: votre voiture sera incendiée, rayée, caillassée, on crachera dessus, etc… Mais rien ne nous l’interdit. On peut toujours essayer. Ce n’est pas afficher un signe religieux, ça… Et on en trouve des faux dans les magasins de farces et attrapes, car vous risquez simplement de circuler avec des effluves pas très agréables en plein été, si vous en accrochez des frais (qui ne le resteront pas longtemps, d’ailleurs)… Mais ça pourrait être un antivol très bon marché…

Tous à vos saucissons !

FDF

.

02/01/2011

Noël à l’envers en Avignon.

La racaille maghrébine crache sur la chrétienté en Avignon. Et on laisse faire ça? Dément.

FDF

.

Eglise brulée Prenez le temps de lire cet hallucinant témoignage. C’est comme un conte de Noël à l’envers, où tout le mystère et toute la grâce de la nuit de l’Enfant – la nuit du Dieu fait homme –, est remplacée ici par des crachats, des jets d’urine, des arbres et des voitures brûlées autour d’une petite église de Provence, pour terroriser ses paroissiens… Le jeune curé se révolte, dans l’indifférence de la presse et des pouvoirs publics. Il est pourtant le seul en Avignon à se préoccuper de la sécurité des personnes et du bien commun : des jets de pierre aux couteaux, aux grenades, aux bombes, aux Toussaints sanglantes de Bagdad, il n’y a pas de différence de nature mais seulement de degré… Quand les petits voyous maghrébins d’Avignon auront 20 ans, si nous continuons de nous taire, ce n’est plus seulement aux arbres et aux voitures qu’ils mettront le feu, avec la bénédiction d’Allah !

Des semaines et des mois “d’incivilités”, comme il sied de dire aujourd’hui. Des semaines et des mois de jets de pierre et de pétards dans les jambes de ceux qui se rendent à la Messe ou qui viennent entretenir notre église. Des tags et autres graffitis dessinés à la peinture rouge sur toute une façade. Des inscriptions vantant les mérites de telle ou telle communauté. Des jets de bouteille d’alcool divers contre les murs et, après chaque week-end, le ramassage des débris en espérant que personne ne sera tombé et blessé sur un tesson.

Une entrée d’église prise pour un urinoir et qu’il faut nettoyer chaque matin. Des jets d’excréments contre les murs de l’église et ce régulièrement, une fois par semaine environ, avec ce que cela représente en tant que symbole, mais aussi en tant que difficulté pour faire disparaître une telle souillure. Un porche d’église maculé de tout ce qui peut se manger, emballages de nourriture de Fast Food ou biscuits apéritifs, paquets de cigarettes vides, etc. Des jets de pierre dans les vitres sans doute avec l’espoir de finir par arriver à en achever une.

Ils n’ont pas l’âge du permis, mais s’autorisent à terroriser.

Des tirs de ballon au moment de l’office mais aussi des jets de bâton, sans s’inquiéter du fait que cela puisse blesser physiquement quelqu’un. Des rodéos avec des voitures volées sur le parking, au début uniquement la nuit mais maintenant aussi en plein jour. D’ailleurs, un petit bébé a failli être blessé avec sa nounou il y a quelques jours, frôlé par une voiture conduite par deux personnes manifestement pas en âge d’avoir le permis. C’est un miracle qu’il n’y ait pas eu de victimes.

Des barreaux aux fenêtres tordus, un robinet d’arrosage volé, des bloque-portes disparus, des boites aux lettres forcées dernièrement. Deux voitures flambées tout contre l’église depuis le début de l’année, une première tentative d’incendie volontaire en s’en prenant au tableau d’affichage extérieur, et cette nuit une deuxième tentative en incendiant un cyprès de 10 mètres situé tout près de la porte du presbytère. Voilà en quelques lignes le quotidien de notre paroisse Saint-Jean-Baptiste à Avignon.

“Incivilités” ? Non. Profanation ! Il faut appeler un chat un chat.

Ils ne savent pas ce qu’ils font ? Mais bien sûr, ils le savent. Et ils le font en riant parce que personne ne dit rien, le silence est de mise de la part des autorités et de la presse.

Nous vivons dans un pays qui respecte la liberté de culte et il est de notre droit de pouvoir pratiquer notre religion dans le lieu de notre choix sans avoir à craindre de prendre un jet de pierre quand nous nous y rendons. On ne doit pas craindre de prendre un mauvais coup quand on va prier. Nous avons le droit de nous réunir pour prier sans avoir à craindre que notre foi ne soit la source de conflits insupportables ni l’objet de provocations injustifiées.

Notre Seigneur a déjà été crucifié une fois dans l’indifférence de ses contemporains, ne le laissons pas subir à nouveau des outrages inqualifiables en nous disant que ce n’est pas si grave. Si, c’est grave de s’en prendre à une église. C’est inadmissible de rester silencieux. C’est à nous de dire stop. Il faut arrêter cela.
Cette église de Saint-Jean accueille tout le monde. C’est un lieu de prière mais c’est aussi un lieu où les plus pauvres d’entre nous reçoivent écoute et aide à travers le Secours Catholique. Nous ne demandons à personne son origine ni sa foi. Cela doit rester un lieu ouvert à tous, c’est important. Les enfants jouent sur le terrain de l’église et cela doit continuer. C’est un lieu où doivent se rencontrer l’amour de son prochain, la solidarité, l’entraide. La peur ne doit pas devenir notre quotidien. Et avec elle, son corollaire : la colère.

Qu’on ne ferme pas systématiquement les yeux, SVP…

Nous demandons à ce que soit respecté notre lieu de prière et notre foi. Nous demandons à ce qu’on ne ferme pas systématiquement les yeux sur des actes de profanation qui ne sont pas anodins, loin de là. Nous demandons à ce que le silence coupable qui entoure ces actes soit rompu. Nous demandons à pouvoir continuer notre bénévolat dans des conditions normales de fonctionnement. Nous demandons tout simplement à ce que soit juste respecté notre droit de prier en paix. Est-ce trop demander de nos jours ?

“Conte de Noël à l’envers” extrait d’une lettre du Père Gabriel Picard d’Estelan, dans le bulletin paroissial de Saint-Jean-Baptiste d’Avignon.

Source: http://www.sedcontra.fr

27/12/2010

Continuons à leur offrir des mosquées…

Pillé chez Denis Bloud…

Ces faits se sont passés sur NOS terres chrétiennes. Ces faits sont passés quasiment inaperçus dans les médias… Et pourtant, ces actes sont choses courantes; et pas seulement durant des processions. La haine est leur principale « activité ». Bande de minables !

FDF

.

18/12/2010

Noël: un renne victime de cruautés…

Quelles est la « race » (le mot est faible) ayant pour occupation (entre autres) le caillassage et les crachats? Je vous le donne en mille: les SOUS-MERDES !!!

FDF

.

Aiki va animer le marché de Noël ce week-end./Photos DR
Aiki va animer le marché de Noël ce week-end./Photos DR

Aiki, une femelle renne de 8 ans, sera présente sur le marché de Noël aujourd’hui dans son enclos près de la forêt enchantée ainsi que samedi et dimanche où elle proposera aux enfants des promenades en traîneau. Une attraction qui attire beaucoup de monde et notamment les plus jeunes curieux de voir « en vrai » un renne du père Noël même si Aiki très demandée en cette période fête n’était pas présente tous les jours sur la place Jean-Jaurès. Mais visiblement, elle était suffisamment là pour subir les foudres de gens mal intentionnés. En effet, Aiki a été la cible de maltraitance : jet de pierre et autres objets, crachats sans parler d’attitudes visant à lui faire peur. À tel point que la ville, organisatrice du marché de Noël, a décidé de taper du poing sur la table et de lancer un avertissement. « La Ville de Castres rappelle que Aiki, comme tout animal, mérite le respect. Toute maltraitance à son encontre (caillassage, souillure…) dès lors qu’elle sera avérée, fera l’objet de poursuites pénales », indique la mairie qui précise aussi que contrairement à certaines rumeurs Aiki est en excellente santé. « Si parfois il reste couché dans son enclos, c’est qu’il s’agit d’un renne trés calme. C’est un renne domestique habitué à voir du monde et il ne se comporte pas comme un animal sauvage », explique sa propriétaire qui assure que son animal est bien traité et suivi par un vétérinaire.

Source: http://www.ladepeche.fr