Francaisdefrance's Blog

18/06/2011

Sarkozy et Merkel affichent leur unité sur le dossier grec: l’union fait le désastre, aussi…

Vous trouverez ci-dessous les commentaires d’un fidèle habitué de ce blog. Un explication claire et nette; comme je les aime… Et tellement vraie.

FDF

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Unis pour le pire; pour nous…

Cliquez ici : Sarkozy et Merkel affichent leur unité sur le dossier grec – ZONE EURO – FRANCE 24
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« Tout un système merdique
Quand je pense que tout ces chefs d’États et leurs clics ont fait de hautes études à l’ENA (école des ânes) pour en arriver à ce résultat désastreux ! Ce n’est pas les écoles dans les villages qu’on doit fermer mais c’est ces écoles pour capitalistes. L’instruction n’est pas l’intelligence !
Personnellement, dès le premier jour ou il était question de l’Europe, l’ouverture des frontières, l’Euro … J’ai dit que c’est un nid à merde et à emmerdes… On va se retrouver dans des situations catastrophiques à tous points de vues. On va droit dans le mur et ce sera très grave !
La preuve en est, on est en plein dedans et bien que le monde ne s’en rendent pas vraiment compte pour le moment, mais quand cela va exploser on va avoir de très très gros problèmes à la clé ! Le pire est à venir et plus vite de ce que l’on croit ! »

01/06/2011

Et si on reparlait de Strauss-Kahn ?

Il est vrai que les médias on tendance à l’oublier, DSK. Comme c’est bizarre… Les têtes tombent à Droite; ce n’est pas une raison pour passer sous silence celui par qui tout a commencé… Petit rappel des faits et historique de son ex-rôle au FMI…

FDF

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«La Grèce devrait s’en sortir» pronostiquait à la mi-avril M. Strauss-Kahn encore directeur général du Fonds Monétaire International. Un vœu passé déjà au bilan formidablement positif de l’ex présidentiable français en application d’une bonne vieille habitude celle de l’effet d’annonce, à savoir ce vilain travers consistant à vendre la peu de l’ours avant de l’avoir tué. C’est ce bilan magique qui a été brandi comme une excuse absolutoire dès la première heure du drame tragi-comique qui a décapité le FMI…

Cela a été un régal d’entendre certains médiacrates mentir comme des arracheurs de dents en exaltant les succès du satyre de Brooklyn dans le sauvetage des économies européennes en perdition. Mieux encore lorsque ces mêmes médiamenteurs nous assuraient froidement tout ignorer de la vie sexuelle pour le moins désordonnée du grand homme. Peu à peu cependant les langues se sont déliées, nécessité oblige : maintenir l’omerta devenait en effet difficile tant elle commençait à prendre eau de toutes parts !

Mais cette déroute de la première ligne du mensonge a laissé intact les trois suivantes… La suivante, venons-nous de dire, le bilan ultra positif à la tête de l’Institution financière internationale attribué à ce triste sire. Un argument traductible par : quelle honte, quel malheur de harceler un si grand homme, le sauveur de l’Union européenne avec de telles peccadilles ? Nous allons voir ce qu’il faut en penser…

Suite et source: http://www.lepost.fr/article/2011/05/31/2510634_le-vrai-bilan-de-strauss-kahn-au-fmi.html


28/05/2011

Les « printemps » se suivent…

Ceci rejoint un précédent billet…

FDF

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Après le Printemps Arabe, l’été Européen ?

Publié avec l’autorisation de l’auteur :

Nous venons d’avoir, dans les pays arabes, une série de révoltes et de révolutions qui ont amené a des changements politiques que la plupart des experts considéraient il y a encore quelques mois comme inenvisageables.

A l’origine de ces bouleversements une réalité toute simple : les pays en question étaient gérés en dépit du bon sens, au profit exclusif d’une caste de profiteurs toujours très proches du pouvoir, les élections étaient une farce, les jeunes malgré des études parfois fort longues ne trouvaient aucun travail, l’économie était écrasée par le poids des fonctionnaires (45 % en Egypte par exemple), le niveau de vie s’écroulait avec le prix des matières premières qui s’envolait, l’endettement tant intérieur qu’extérieur ne faisait que monter, non pas pour payer des dépenses d’investissements mais pour régler les dépenses de fonctionnements …

Bref, pour tous ceux qui ont vingt ans aujourd’hui dans ces pays là, le futur apparaissait quelque peu bouché, et la solution était de se retrouver dans la rue pour organiser un énorme monôme et demander le départ des dirigeants incompétents.

Ici ou la , ils y réussirent et il reste bien sur à espérer que les nouveaux dirigeants ne vont pas être pires que ceux qui viennent d’être chassés du pouvoir, ce que le futur nous dira.

Place à l’Europe de l’Euroland

Qu’y voyons nous ?

A Madrid, à Athènes , à Lisbonne, des foules gigantesques défilent dans les rues pour manifester contre la baisse de leur niveau de vie.

En Espagne, le taux de chômage des moins de trente ans dépasse 40 %.

En Irlande, en Espagne , en Grèce, les jeunes s’exilent et de ce fait les populations baissent.

L’endettement des Etats atteint des niveaux cataclysmiques et trois pays Européens sont en faillite déclarée, le FMI ou l’Allemagne leur dictant la politique économique qu’ils doivent suivre. Ils ont donc perdu toute Souveraineté.

Nous voyons des systèmes bancaires a la dérive dans ces mêmes pays, mais aussi dans d’autres qui essaient de faire croire qu’ils sont a l’abri. Si l’Allemagne a accumulé mille milliards d’euro d’excédent commerciaux en suivant depuis dix ans une politique stupidement mercantiliste (voir mes articles précédents), eh bien cela veut dire que les banques allemandes ont mille milliards de papiers émis par les Grecs, les Irlandais, les Espagnols, les Français ou les Italiens dans leurs bilans. Qui préfériez vous être ? Le Grec qui a la Mercedes ou la banque qui détient la promesse de payer du Grec ? Le système bancaire Allemand a 450 billions de fonds propres pour 10000 milliards de prêts bancaires, soit un coefficient de Réserves de 4.5 % alors que le minimum d’après Bale 2 devrait être de 8 % Et ainsi de suite…

Nous voyons une banque centrale Européenne en quasi faillite puisque son bilan est chargé de papiers qui ne valent pas grand-chose : Un exemple entre mille : la BCE détient 70 milliards d’obligations Grecques achetées a l’émission (c’est-à-dire a 100) et qui valent au mieux 50, ce qui se traduit par une perte de 35 Milliards d’Euro alors que son capital n’est que de 10 milliards

Nous voyons les déficits extérieurs de la France se creuser régulièrement sous l’effet de la perte de compétitivité que subit notre pays tant pour des raisons internes qu’externes

Nous voyons l’Italie n’avoir aucune croissance depuis plus de 10 ans

A l’origine de tous ces désastres, un élément et un seul : ce monstre financier qu’est l’Euro, dernière grande construction technocratique du xx siècle finissant, après le communisme, le fascisme, le nazisme, le programme commun… ultime manifestation de ce qu’Hayek appelait la « présomption fatale », c’est-à-dire l’idée qu’une idée qui a germé dans la tète d’un technocrate et qui n’a aucun rapport avec la réalité pourrait marcher.

Mais ce que je trouve de plus atterrant, c’est la réaction de la classe politique ou financière dans son ensemble. On a l’impression que tout ce petit monde est un peu comme un lapin pris dans des lumières des phares de voitures. Ils ont bâti un système qui ne peut pas marcher (ce que chacun peut voir) et dont on ne peut pas sortir (ce que chacun commence a déplorer), et ils se sentent faits comme des rats, tout politicien, banquiers central ministres des finances qu’ils soient. L Euro qui était censée amener a la convergence des économies, a la résorption des déficits budgétaires, a une harmonie Européenne parfaite nous a amené exactement aux résultats inverses de ceux qui étaient annoncés par ses thuriféraires. Et pour comble d’embarrassement, ce sont eux , les responsables du désastre qui doivent le régler… et ca , ca me fiat plutôt sourire.

Dans un livre paru en 2003 (Des Lions menés par des Anes), j’avais expliqué pourquoi l’Euro allait échouer, et j’avais décrit les mécanismes qui allaient amener a son échec. Je tiens a assurer le lecteur que je ne tire aucune satisfaction de ce que mes analyses se soient révélées convenables tant les souffrances créées par ce désastre ont été immenses et vont continuer a l’être pendant encore quelques temps

Mais par contre, je suis très satisfait de voir que cette imbécillité économique va disparaitre tant elle était une machine a fabriquer de la croissance étatique (c’est a dire de la stagnation économique) et a favoriser les mauvais investissements.

Dans un système de prix libres, les investissements se font en fonction de la rentabilité marginale du capital investi.

Dans le monde de l’ Euro, comme l’idée de base était que la productivité en Allemagne était la même qu’en Grèce, ce qui n’était pas vrai dans les secteurs concurrentiels , ils se faisaient dans les secteurs concurrentiels en Allemagne et dans l’immobilier en Espagne. Comme je l’avais écrit a l’époque, tout cela va nous amener a trop de maisons en Espagne, trop d’usines en Allemagne et trop de fonctionnaires en France…

La fin de l’Euro qui se profile est donc une extraordinairement bonne nouvelle. Chaque fois qu’une institution dont le but annonce est de réduire ma Liberté disparait, je me réjouis et j’achète des actions

Je prends donc un pari : si l’Euro venait a disparaitre, ce qui parait de plus en plus probable, les marchés des actions baisseraient pendant 15 jours et monteraient pendant 15 ans, ce qui n’aurait rien d’étonnant puisque les actions sous performent les obligations depuis la création de l’euro.

Un point pour conclure : je refuse depuis des années d’acheter des financières européennes et tout ce qui de prés ou de loin dépend des états en Europe, car nous arrivons à la fin non seulement de l’euro mais de ce que j’ai appelle le social clientélisme. Aujourd’hui les banques sont devenues des machines à financer les déficits budgétaires et donc je n y touche pas

Et si quelqu’un a du cash il peut le garder en obligations courtes allemandes ou Suédoises, ou en dollars US s’il partage ma conviction que la bas aussi le social clientélisme touche à sa fin

Une chose est sure : quand le mur de Berlin est tombé , je me suis réjouis. Vivement que ce nouveau mur tombe egalement.

Charles Gave pour lafaillitedeletat.com le 25 mai 2011

Source:  http://www.lolicus.com/article-apres-le-printemps-arabe-l-ete-europeen-74789335.html

22/12/2010

C’est Noël, offrez-vous un terroriste jihadislamiste…

Joyeux Noël …

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Une vingtaine de terroristes sunnites du Fatah al Islam, sortis d’un « camp palestinien » au Liban, se sont, apparemment, infiltrés en Grèce, en Allemagne et en France. Dans une note, classée ‘confidentiel défense’, les noms de trois terroristes jihadiques – Imad Karoum, Youssef Kayed et Ahmad Sidawi – sont cités. Après avoir gagné la Syrie, puis la Turquie, ils ont, semble-t-il, rejoint l’Europe en utilisant des filières clandestines. Des passeurs en Syrie puis en Turquie les ont acheminés, sans passeport, jusqu’en Grèce et en Bulgarie, où ils se sont fait établir de faux papiers d’identité pour quelques centaines de dollars. Certains de ces djihadistes ont été appréhendés à Sofia. D’autres ont été expulsés par les services grecs et bulgares. Certains, donc pas tous. Ces terroristes jihadiques sont des instruments entre les mains de certaines factions sunnites chez certaines puissances sunnites (factions jihadiques sunnites saoudiennes, irakiennes, yéménites, syriennes ?). Ils n’ont pas de problèmes d’argent. Ils peuvent rester des mois dans leurs maisons à attendre des consignes.

Je rappelle, pour mémoire, que depuis l’assassinat, du général libanais François al Hadj, le mercredi 12 décembre 2007, le Liban n’existe plus. A vrai dire, ce nouvel assassinat, n’était guère surprenant. Dans le quotidien libanais L’Orient-le-Jour, du 6 décembre 2007, on pouvait lire, les propos, tenus la veille, 5 décembre, par Samir Geagea, chef chrétien du Parti des Forces Libanaises : « Le dossier de la présidentielle se trouve désormais en Iran, hélas ». Samir Geagea avait également critiqué, à juste titre, le général Michel Aoun, auquel Geagea avait reproché d’offrir « une façade chrétienne à une république islamique ». Geagea avait encore ajouté que le fond du problème, c’était qu’« il existe une décision délibérée de torpiller l’élection présidentielle au Liban ». Parlant de la Syrie, M. Geagea avait affirmé : « Comme vous le savez, les Syriens sont à la fois le problème et la solution. Ils créent le problème, puis fixent un prix pour son règlement ». Geagea avait également ajouté que le chef du mouvement Amal (ndlr le chiite Nabih Berri) discutait au nom de son mouvement et au nom du Hezbollah : « S’il n’y avait que le mouvement Amal, la question aurait été réglée depuis longtemps ». A propos de la candidature du général Michel Sleiman aux élections présidentielles, Geagea avait affirmé que ce n’est pas la personne du général Sleiman qui faisait problème, mais le fait qu’elle allait exiger un amendement constitutionnel « et qu’elle perpétue la tradition de l’accession d’un militaire à la présidence de la République ».

Mercredi 12 décembre 2007, à 8h43, lexpress.fr lâchait la terrible nouvelle : « Un officier supérieur libanais et quatre autres personnes ont trouvé la mort dans un (…) attentat (…) dans la banlieue est de Beyrouth. (…) Plusieurs dizaines de personnes ont également été blessées par l’explosion survenue à Baabda, une localité chrétienne où se trouve le palais présidentiel. (…) L’officier tué est le général François al Hadj, chef des opérations au sein de l’armée libanaise. Il était pressenti pour succéder à l’actuel chef des armées Michel Sleiman, le candidat de consensus pour la présidence de la République. (…) Lundi (ndlr 10 décembre 2007), le président du parlement libanais (ndlr le chiite Nabih Berri, chef du Amal) a reporté l’élection présidentielle au 17 décembre. Il s’agissait du huitième report de ce scrutin à chaque fois ajourné en raison de divergences entre la coalition anti-syrienne au pouvoir et l’opposition soutenue par Damas. Les deux camps se sont mis d’accord la semaine dernière sur le nom du général Michel Sleiman, un chrétien maronite, pour le poste laissé vacant depuis l’expiration du mandat d’Emile Lahoud, le 24 novembre ».

Le 11 décembre 2007, soit quelques heures avant l’attentat, Le Salon Beige, reprenait, les propos, du journaliste libanais Maroun Charbel, sur le Liban : « Après avoir exigé du général Sleiman qu’il soumette pour approbation, avant son élection, le nom de chacun des membres de son nouveau gouvernement et des grands commis de l’Etat – ce qu’il a refusé de faire – l’opposition rejette ce soir toutes les formules d’amendement de la Constitution avant un accord politique global (…) Plus d’une voix s’est élevée à Beyrouth aujourd’hui pour souligner que les arguties constitutionnelles, le nom du prochain Premier ministre, etc. ne sont que des faux-semblants (…) Après la brèche ouverte en obtenant une invitation à Annapolis, Damas enfonce le clou en se faisant téléphoner deux fois par Sarkozy (ndmg – l’omniprésident à vocation universelle). En recevant le roi de Jordanie Abdallah II qui reçoit en ce moment, en visite officielle, le ministre syrien des Affaires étrangères. Abdallah II est très probablement le truchement du roi Abdallah d’Arabie Saoudite. Et là aussi les tractations vont bon train. Et l’équation est simple : un retour dans le giron de la communauté internationale des pays fréquentables contre l’une des cartes de la main syrienne. Le Liban ou la Terre sainte ».

De son côté, l’AFP, annonçait, le 12 décembre 2007 : « Un général de l’armée libanaise (…) responsable des opérations contre des rebelles islamistes l’été dernier, a été tué mercredi dans un attentat (…) François al-Hadj était chef des opérations l’été dernier lors des combats meurtriers entre l’armée libanaise et les islamistes du Fatah al-Islam dans le camp de réfugiés palestiniens de Nahr al-Bared, dans le nord du Liban. C’était aussi un proche du candidat favori à la présidence, le chef de l’armée Michel Sleiman. Selon plusieurs sources, il était pressenti pour le remplacer à la tête de l’armée après son éventuelle élection (…) L’attentat pourrait être lié aux événements de Nahr al-Bared qui ont fait plusieurs centaines de morts. (…), Pour le député de la majorité parlementaire anti-syrienne Boutros Harb, il s’agirait plutôt d’une réaction contre l’armée au moment où le général Sleiman faisait figure d’un candidat de consensus aux yeux de la majorité et de l’opposition soutenue par Damas ».

Dans L’Orient-le-Jour du 12 décembre 2007, on pouvait lire les propos tenus quelques heures avant l’attentat par Samir Geagea, chef du Parti des Forces Libanaises : « Ce qui s’est passé ces dernières semaines nous pousse à conclure que certaines parties ne veulent pas qu’un président soit élu ou bien désirent que l’État soit un État de façade, à l’instar de ce qui s’est passé entre 1990 et 2005 ». Geagea avait affirmé avoir été « surpris de voir que l’opposition est affublée de deux visages et de deux paroles. (…) Elle s’est empressée d’inventer des prétextes, les uns après les autres, afin de retarder l’opération électorale. (…) Aujourd’hui, nous sommes sûrs que l’opposition ne veut pas d’élection, et peut-être qu’elle ne veut pas de la République non plus », avait affirmé Geagea.

Encore le mercredi 12 décembre 2007, à 8h56, mediarabe.info commentait l’attentat et citait Adnane Ghamlouche, correspondant de la télévision Al Arabiya à Beyrouth : « L’armée libanaise, massivement déployée sur les lieux de l’attentat qui a tué le chef des opérations, le brigadier François al-Hadj, a arrêté deux individus. L’un des deux suspects serait un homme de grande taille, appréhendé à quelques mètres de la voiture qui a explosé au passage de la victime. L’homme serait barbu. Il a été conduit, avec le deuxième suspect, vers le ministère de la Défense. Il pourrait s’agir d’un islamiste barbu. Cette hypothèse rejoint l’hypothèse développée par certains analystes libanais, qui n’excluent pas une implication du Fatah Al-Islam dans l’attentat, dans le cadre d’une vengeance après sa défaite dans le camp de Nahr El-Bared, où François al-Hadj conduisait les opérations de l’armée ».

Mediarabe.info, toujours le mercredi 12 décembre 2007, à 7h10, par l’entremise de Khaled Asmar à Beyrouth, écrivait : « Lors d’une réunion du Front national progressiste, dirigé par le Baas au pouvoir en Syrie, Farouk Chareh, le vice-président syrien, a lancé une virulente offensive politique hier, un événement qui expliquerait, a posteriori, le nouvel attentat survenu ce matin au Liban (…) Farouk Chareh a affirmé en effet que ‘les amis et les alliés de la Syrie sont aujourd’hui plus puissants que jamais, même du temps où l’armée syrienne était présente au Liban’. Chareh, qui représente l’aile dure du Baas, et adepte à la confrontation généralisée, a ajouté que ‘personne ne pourra faire pression sur le président du Parlement Nabih Berri, sur le Hezbollah ou sur l’opposition, quand bien même aurait été sollicitée l’aide d’une puissance externe telle que les États-Unis ou Israël’. Évoquant l’élection présidentielle libanaise, le champion du Baas syrien (ndlr Farouk Chareh, le vice-président syrien) a précisé que son pays était attaché à l’entente entre toutes les parties au Liban et que la solution doit provenir des Libanais eux-mêmes (tout en les empêchant d’y parvenir). (…) Le vice-président syrien (ndlr Farouk Chareh) a insisté sur le choix du futur Premier ministre (ndlr libanais) et sur le tiers de blocage réclamé par l’opposition (ndlr libanaises pro-syrienne et pro-iranienne). Ainsi, (ndlr le vice-président syrien) Chareh a soutenu les conditions imposées par le Hezbollah et par le général Michel Aoun pour accepter de siéger au Parlement et élire le futur président. La majorité libanaise accuse la Syrie d’être derrière le nouvel attentat, puisque Chareh (ndlr le vice-président syrien) s’était félicité de ‘la fermeté avec laquelle Damas avait fait face aux défis, aux pressions et à toutes les tentatives visant à l’isoler’ et avait évoqué que Damas avait brisé l’isolement et avait obligé la communauté internationale à s’ouvrir sur la Syrie, voulant pour preuve les nombreuses visites de personnalités européennes, et plus particulièrement françaises (évidemment…). La Syrie estimait aussi avoir réussi à forcer la communauté internationale et arabe à normaliser leurs relations avec Damas, sans que la Syrie n’ait rien cédé ».

En résumé, on pouvait déjà retenir, à l’époque, ce qui suit. Le dossier de la présidentielle libanaise se trouve en Iran. Le général Michel Aoun veut offrir une façade chrétienne à une république islamique. Les Syriens sont à la fois le problème et la solution. Ils créent le problème, puis fixent un prix pour son règlement. Le chef du mouvement Amal (ndlr le chiite Nabih Berri) discutait au nom de son mouvement et au nom du Hezbollah. S’il n’y avait que le mouvement Amal, la question aurait été réglée depuis longtemps. L’officier tué est le général François al Hadj, chef des opérations au sein de l’armée libanaise. Il était pressenti pour succéder à l’actuel chef des armées Michel Sleiman, le candidat de consensus pour la présidence de la République. Damas enfonce le clou en se faisant téléphoner deux fois par Sarkozy. En recevant le roi de Jordanie Abdallah II qui reçoit en ce moment, en visite officielle, le ministre syrien des Affaires étrangères. Abdallah II est très probablement le truchement du roi Abdallah d’Arabie Saoudite. François al-Hadj était chef des opérations l’été dernier lors des combats meurtriers entre l’armée libanaise et les islamistes du Fatah al-Islam dans le camp de réfugiés palestiniens de Nahr al-Bared, dans le nord du Liban. L’attentat ressemble à une réaction contre l’armée au moment où le général Sleiman faisait figure d’un candidat de consensus aux yeux de la majorité et de l’opposition soutenue par Damas. Certaines parties ne veulent pas qu’un président soit élu. L’opposition pro-syrienne et pro-iranienne s’est empressée d’inventer des prétextes afin de retarder l’opération électorale. L’opposition ne veut pas d’élection, et peut-être qu’elle ne veut pas de la République libanaise non plus. Certains analystes libanais n’excluent pas une implication du Fatah Al-Islam dans l’attentat, dans le cadre d’une vengeance après sa défaite dans le camp de Nahr El-Bared. Farouk Chareh, vice-président syrien, a affirmé, que les amis et les alliés de la Syrie sont aujourd’hui plus puissants que jamais ; et qu’il est un adepte de la confrontation généralisée. La Syrie estime aussi avoir réussi à forcer la communauté internationale et arabe à normaliser leurs relations avec Damas, sans que la Syrie n’ait rien cédé.

Le dossier de la présidentielle libanaise se trouve en Iran. Le général « chrétien » Michel Aoun, allié du Hezbollah, de la Syrie et de l’Iran, veut offrir une façade chrétienne à une république libanaise islamique. La Syrie a reçu le roi de Jordanie Abdallah II qui est en réalité le truchement du roi Abdallah d’Arabie Saoudite. Ce qui n’a pas empêché et n’empêche toujours pas la Syrie de poursuivre sa politique terroriste. La Syrie a été invitée par Madame Rice à la Conférence d’Annapolis. Ce qui n’a pas empêché et n’empêche toujours pas la Syrie de poursuivre sa politique terroriste. L’opposition libanaise pro-syrienne et pro-iranienne ne veut pas d’élection présidentielle. Elle ne veut pas de la République libanaise non plus. Farouk Chareh, vice-président syrien, a affirmé, mardi 11 décembre, qu’il est un adepte de la confrontation généralisée. Quelques heures plus tard, soit ce matin 12 décembre, le général libanais François al Hadj est assassiné. L’Iran, sans lequel le Hezbollah et la Syrie ne sont rien, ne cesse donc de marquer des points. Le Liban, n’existe plus. Ni les USA ni l’Arabie saoudite n’ont bougé le petit doigt. Ce fut le premier fruit pourri de la Conférence d’Annapolis : les mollahs intégristes et génocidaires iraniens ont eu et ont encore le vent en poupe.

Le 22 mai 2007 nos médias racontaient que l’armée libanaise continuait de bombarder le « camp de réfugiés palestiniens » de Nahr al Bared, à proximité de Tripoli, dans le nord du Liban. Des « activistes » du mouvement islamiste Fatah al Islam étaient retranchés dans ce « camp ». Quelques 20 « activistes » du Fatah al Islam, 32 soldats et 27 civils étaient morts depuis le début des combats. C’étaient les combats les plus violents entre l’armée libanaise et des « activistes » depuis la guerre civile de 1975-1990. L’armée libanaise avait renforcé sa présence autour du camp de Nahr al Bared. Voilà pour la version officielle. En réalité, les douze « camps palestiniens » du Liban – et surtout celui de Nahr al Bared – étaient et demeurent de petites villes. Pire, c’étaient et ce sont des Etats (« palestiniens ») dans l’Etat (libanais). En vertu d’un accord aberrant entre les Libanais et les « Palestiniens », l’armée et la police libanaises n’ont pas le droit d’entrer dans ces « camps palestiniens ». Le Fatah al Islam est un mouvement terroriste jihadique, lié à Al-Qaïda, qui a été créé au Liban en novembre 2006. Le Fatah al Islam implanté au Liban se compose de terroristes « palestiniens », mais aussi de terroristes originaires de divers pays musulmans. Le Fatah al Islam avait assassiné des civils chrétiens libanais le 13 février 2007. Le Fatah al Islam avait participé au cambriolage d’une banque au Liban.

Ce sont des terroristes jihadiques sunnites de ce même Fatah al Islam qui, en ce temps de Noël 2010, se sont infiltrés en Grèce, en Allemagne et en France. Pour Noël, offrez-vous un terroriste jihadique.

 

source: Michel Garroté-drzz.info

07/12/2010

Les islamistes ne reculent devant aucun moyen pour s’imposer, notamment en Europe…

 

C’est dingue. S’ils en viennent là, c’est qu’ils ne sont pas prêts de « lâcher le morceau »… Résistons!

FDF

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Offrir une mosquée pour imposer l’islam

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La célèbre architecte anglo-irakienne Zaha Hadid s’est dite prête à réaliser gratuitement une mosquée à Athènes, une des seules capitales européennes qui ne dispose d’aucun lieu de culte musulman officiel.

Pour la bonne raison que la Grèce n’est pas un pays laïc, mais bien un pays orthodoxe. Il y a quelques années, un gouvernement de centre gauche avait fait disparaître de la carte d’identité la mention de la religion, jusqu’alors obligatoire. Comme par hasard, le gouvernement s’était appuyé sur une demande de l’Union européenne qui considérait que la mention de la religion était discriminatoire.

Le peuple Grec, orthodoxe à 98% avait manifesté, toutes tendances politiques confondues. Ce qui n’avait pas empêché le gouvernement d’aller au bout de sa démarche. Les autorités sont néanmoins conscientes que construire une mosquée à Athènes pour les milliers d’immigrants musulmans récents (dont une bonne partie de clandestins) serait vécu comme une véritable provocation.


La Grèce a en effet subi une occupation turque pendant plus de 400 ans. Cette occupation a été particulièrement violente et cruelle, avec de nombreux massacres. Plus récemment, les Grecs de Constantinople ont été l’objet, tout au long du XXe siècle d’une véritable épuration ethnique de la part des Turcs, qui n’ont pas hésité à confisquer les biens des survivants. Enfin, l’invasion de Chypre en 1974 a définitivement prouvé aux Grecs qu’ils sont sur la ligne de front contre l’islam et que leurs alliés officiels ne font preuve d’aucune détermination à les soutenir.

 

source : les4verites-islam.fr

17/11/2010

Des musulmans reçoivent des œufs et des insultes pendant la prière dans la rue en Grèce.

C’est pas bien de jouer avec la nourriture, d’abord! Il faut vite alerter la Halde, SOS Racailles et autres nuisibles de la République!!! Ne serait-ce pas de la haine, ça? Ah zut. C’est en Grèce… Ils n’ont pas de sangsues de ce genre, la-bas… Et puis en Grèce, faut pas rester trop longtemps en position de prière (d’après ce qu’on raconte)… Ca, ils ne le savent pas, les muzz. En tout cas, bravo à nos amis grecs! Fallait oser… En France, ce genre d’action est qualifiée de terroriste…

FDF

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Plusieurs dizaines de militants d’extrême droite et d’habitants du quartier ont lancé mardi des œufs et raillé des centaines d’immigrés musulmans réunis pour une séance de prières sur une place du centre d’Athènes, à l’occasion de la fête de l’Aïd al-Adha.

Alors que les musulmans, protégés par un cordon de policiers anti-émeutes, priaient, des habitants ont hurlé des injures du haut de leurs balcons et brandi des drapeaux grecs. Des tracts comportant des dessins de porcs – animal jugé impur par l’islam – ont été répandus sur la place.

20minutes.fr

Source:  http://www.fdesouche.com/151312-grece-des-musulmans-recoivent-des-oeufs-et-des-insultes-pendant-la-priere-dans-la-rue

 

07/11/2010

Ca nous pend au nez… La Grèce débordée par l’immigration illégale.

Les bienfaits de l’immigration… L’ouverture des frontières… La libre circulation des personnes… Pourtant, on était prévenus.

FDF

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Un centre de rétention dans le village de Filakio à la frontière entre la Grèce et la Turquie, le 5 novembre 2010.Un centre de rétention dans le village de Filakio à la frontière entre la Grèce et la Turquie, le 5 novembre 2010. AFP PHOTO /Sakis Mitrolidis 

A mi-côte d’une route empruntée par les tracteurs des paysans grecs, un bâtiment jauni avec un toit en tuile rouge. Aux barreaux des fenêtres, les couvertures sèchent, dans une cour surmontée de barbelés, des panneaux de basket sous lesquels personne ne joue.

Le centre de rétention de Filakio, en Grèce, abrite aujourd’hui environ 200 immigrants clandestins. Des familles afghanes, des jeunes Irakiens mais aussi des Maghrébins et des Ivoiriens qui rêvent tous d’Europe. «Je n’ai pas de travail et plus de famille à Kirkourk (Irak). Je veux juste essayer vivre comme vous», explique Omar, qui a tenté de passer la frontière avec 19 autres migrants. Il a été le seul à ne pas réussir. Dans son survêtement du Milan AC sale, il n’a toujours pas vu un médecin, ni un traducteur depuis six jours. «La vie au centre est folle…» Une situation qui inquiète les associations humanitaires mais aussi l’UE, alertée par les Grecs, qui vient d’envoyer 175 gardes-frontières en renfort.

Un passage périlleux

C’est la Grèce elle-même qui a tiré la sonnette d’alarme.  Car la pression migratoire est très forte. Pas moins de 90% de l’immigration illégale dans l’espace Schengen passerait maintenant par la Grèce. Particulièrement à la frontière avec la Turquie où 38.000 personnes ont été arrêtées depuis le début de l’année (un afflux plus important qu’aux Canaries en 2006 ou à Lampedusa en 2008). Découragés par les patrouilles en mer Egée, les passeurs se sont rabattus depuis quelques semaines sur la frontière terrestre gréco-turque, dans la zone d’Orestiada où le fleuve Evros peut être traversé à pied l’été. Un franchissement périlleux, sans garanties. On a déjà retrouvé 40 noyés et les mailles se resserrent.

«La nuit, ils sont attirés par la lumière de la petite église de Paraskevi. Les policiers se postent là et en arrêtent énormément, sur ces chemins de terre», détaille Nikos, chauffeur dont le cousin a servi ici. Dans cette zone d’une dizaine de kilomètres, les patrouilles mobiles (un Grec et deux étrangers) capturent chaque jour entre 200 et 300 clandestins qui peuvent être retenus pendant des semaines dans des centres débordés  (76000 interpellations depuis le début de l’année). Ensuite, la reconduite, l’asile ou les camps de fortune à Athènes avant la fuite à l’ouest…

Suite et source: http://tinyurl.com/26bfb44

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