Francaisdefrance's Blog

23/02/2010

Les musulmans (pas très modérés) de France…

23 février 2010

Lu ici :

« Abdelali Mamoun, un imam modéré, a été démis de ses fonctions, vendredi, par l’Association des musulmans de Guyancourt (AMG). Ses prises de position en faveur d’un islam de France et pour un rapport pacifié avec les juifs de France ont manifestement déplu au sein de l’AMG, qui souhaitait pouvoir contrôler sa prise de parole. À la prière du vendredi, Abdelali Mamoun a été remplacé par Mustapha Berrough, président de l’AMG depuis le 17 janvier, présenté comme d’obédience salafiste (pour un retour à l’islam des origines).

Source: chretiente.info

« Religion » de tolérance…

Mais foutez-moi ça dehors !!!

FDF

Stigmatisation provoquée: profanations de mosquées en série…

C’est MON avis et je le partage… Sérieusement: on ne me fera pas croire que toutes ces profanations sont simplement l’oeuvre de skins, néo-nazis, et autres auteurs de ces méfaits très faciles à identifier.

FDF

23 février 2010

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L’entrée de la mosquée de Castres profanée le 13 décembre dernier. (AFP)

Depuis décembre 2009 à Castres, plusieurs mosquées ont été profanées en France (oreilles de porc agrafées sur la porte, croix gammées, insultes et slogans réclamant «la France aux Français») avec une intensité jamais vue sauf en septembre 2001. Cela donne quelques articles dans les agences de presse et les médias régionaux et, au mieux des brèves dans la presse nationale. Et c’est le correspondant à Paris du quotidien suisse Le Temps, Sylvain Besson, qui relève ce pic d’islamophobie. Reprenons dans l’ordre chronologique :

> 13 décembre, Castres (Tarn). Des inscriptions racistes et des symboles nazis ont été tracés sur la façade, et des pieds de cochon suspendus à la porte. (France Info)

> 12 janvier, Strasbourg (Bas-Rhin). Un véhicule stationné devant le domicile privé d’un responsable de la future grande mosquée de Strasbourg a été recouvert de tags : trois croix gammées, une croix celtique, et trois inscriptions «minarets non», «islam dehors» et «immigrés dehors». La Grande mosquée de Strasbourg, actuellement en cours de construction non loin du centre-ville, doit être inaugurée fin 2010 et accueillir au moins 2.000 fidèles. (L’Alsace)

> 17 janvier, Béziers (Hérault). Une croix gammée de 2 mètres de hauteur a été retrouvée, peinte sur le mur d’enceinte de la mosquée de Béziers. La mosquée subit régulièrement des vitres cassées et voilà deux ans des tags et croix gammées avaient été peints sur son mur d’enceinte, accompagnés d’une inscription injurieuse pour l’islam. (Midi Libre)

> 1er février Crépy-en-Valois (Oise). Des riverains ont découvert les inscriptions «Islam hors d’Europe» et «Islam dehors», sur des murs de la salle et de son enceinte, ainsi qu’une croix celtique. (Reuters)mosquee3.1266911383.jpg

> 8 février Saint-Etienne (Loire). Près d’une dizaine d’inscriptions racistes et anti-musulmanes inscrites sur des murs de la Grande mosquée de Saint-Etienne, qui est en cours de construction (photo). « Pas d’arabes ici »« Heil Hitler » et des croix gammées ont été découvertes par des fidèles venus faire la première prière de la journée. Sur deux des quatre murs taggés du chantier, ouvert sur une rue, on pouvait encore lire le mot «Musulmans» barré d’une croix et «Sales nègres, on vous aura», a constaté un correspondant de l’AFP. ou encore

> 13 février, Obernai (Bas-Rhin). Quatre jeunes gens, montés sur le toit, ont tordu le support du croissant métallique, symbole de l’islam qui surplombe le bâtiment, a-t-on appris à la gendarmerie. Cette mosquée, inaugurée en janvier 2009 et fréquentée par la communauté turque, avait déjà été visée pendant sa construction en septembre 2008. Des inconnus avaient jeté un bloc de pierre contre la vitre de la salle de prière et arraché son croissant doré. (France 3)

> 14 février, Sorgues (Vaucluse). Les fidèles arrivés le dimanche matin découvrent des tags (« enculé de bougnes », « les Arabes dehors ») ainsi qu’une croix gammée sur les murs de la mosquée. (Associated Press).

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Marche de protestation contre la profanation de la mosquée de Sorgues, le 20 février à Avignon.

“Pour les responsables musulmans, écrit Sylvain Besson, cette montée de «haine irrationnelle» est liée au cocktail délétère que forment le vote suisse sur les minarets, les appels à l’interdiction de la burqa et le débat sur l’identité nationale lancé par le gouvernement.

«Ce sont des actes extrêmement marginaux, appartenant à un racisme classique très minoritaire, relève le sociologue Vincent Geisser. Tout ce qu’on peut dire, de façon prudente, c’est que des individus ont pu se sentir autorisés par le contexte, par la réactivation d’un débat identitaire.»

Les autorités prennent la situation au sérieux. A chaque profanation, Nicolas Sarkozy ou son ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, ont écrit des lettres promettant de sanctionner «sévèrement» les coupables.”

Une question maintenant : remplacez “mosquée” par “église” ou “synagogue”. Serait-il absurde d’imaginer, qu’au lieu de quelques brèves éparses, on aurait assisté à un tohu-bohu médiatique de grande ampleur ?

> A voir ce soir (mardi 23 février)* : « Musulmans de France », série documentaire (3 x 52 mn) de Karim Miské, Emmanuel Blanchard et Mohamed Joseph., à 20h35, sur France 5 (sortie en DVD le 11 mars). Claire Moulène, dans Les Inrocks , souligne que « d’une ampleur inédite, cette fresque au titre volontairement troublant fait œuvre d’histoire. Le récit du long chemin, inachevé, pour accéder à la reconnaissance. »

Source: veilleur.blog.lemonde.fr

*NDLR: Apprêtez-vous à sortir les mouchoirs… Ah, stigmatisation, quand tu nous tiens…

Racaille: Un directeur d’école primaire roué de coups à Nanterre !

« On » leur inculque la violence gratuite et, comme je l’écrivais dans mon précédent post, le laxisme de la Justice favorise le sentiment d’impunité… Quand « ON » aura compris qu’il faut mâter cette racaille dès le plus jeune âge, notre patrie s’en portera beaucoup mieux… Nos enseignants et tout le corps éducatif aussi… On attend quoi, alors? Des morts, des attaques à l’acide, des « bastons »? En tout état de cause, mineurs ou pas, les racailles sont responsables de leurs actes! Du plus petit au plus grand, ils doivent payer!!!

FDF

22/02/2010

INFO FIGARO MAGAZINE : Vendredi en fin d’après-midi, le directeur de l’école primaire Jacques Decour, située à Nanterre (Hauts-de-Seine) a été menacé de mort puis roué de coup par un élève de 12 ans. Surpris par le chef d’établissement alors qu’il n’avait aucune raison d’être présent à l’école – il était 17h 20 – le gamin, qui vit dans un foyer à la suite d’un placement judiciaire, a immédiatement insulté puis menacé de mort le directeur. Il l’a ensuite frappé à coups de pieds et à coups de poings. L’enfant a été remis à sa mère après son audition, sur instruction du magistrat des mineurs. Le directeur de l’école a déposé plainte.

Racaille: Comment on encourage la délinquance et le sentiment d’impunité…

Ca devient de pire en pire… Mais où est la Justice?

FDF

Thiais : les agresseurs présumés remis en liberté

22/02/2010

Pour le parquet, qui a fait appel, le placement en détention des trois personnes placées en garde à vue dans le cadre de l’agression d’un lycéen, «se justifiait».

Six jours après l’agression au cutter d’un élève de 17 ans dans l’enceinte du lycée Guillaume-Apollinaire de Thiais (Val-de-Marne), le parquet de Créteil a fait appel hier de la remise en liberté de ses agresseurs présumés. En fin de semaine dernière, les trois mineurs ont été mis en examen pour «violences aggravées ayant entraîné une ITT (interruption temporaire de travail) de plus de huit jours», puis placés sous contrôle judiciaire. «Devant l’échec patent des mesures éducatives déjà mises en œuvre pour deux d’entre eux, nous estimons qu’un placement en détention provisoire se justifierait entièrement», explique-t-on dans l’entourage du procureur de la République.

Vendredi, déjà, le représentant du parquet s’est attardé sur le «pedigree» de ces deux suspects lors de leur comparution devant le juge des libertés et de la détention. Agé de 17 ans, l’adolescent qui est soupçonné d’avoir porté les coups de cutter avait déjà été déféré en 2008 devant le juge des enfants, dans le cadre d’une affaire de «violences volontaires» commises dans l’enceinte d’un établissement scolaire. Le 29 octobre dernier, par ailleurs, une mesure de «liberté surveillée préjudiciable» avait été ordonnée à son encontre après un vol aggravé assorti de dégradations. Son complice présumé était pour sa part connu pour divers délits. Le 2 février dernier, il se trouvait par exemple dans le bureau du juge des enfants pour une affaire de violences volontaires.

Convaincus que l’agression perpétrée mardi dernier intervient dans le cadre d’un conflit entre deux bandes rivales basées respectivement à Thiais et à Choisy-le-Roi, les policiers du commissariat de L’Haÿ-les-Roses poursuivent leurs investigations afin d’identifier d’autres suspects.

«Droit de retrait»

De leur côté, les enseignants du lycée Apollinaire ont prévu de tenir une réunion le 8 mars prochain afin d’étudier les suites à donner au mouvement entamé la semaine dernière. Au lendemain de l’agression, le personnel s’est mobilisé pour demander dix postes supplémentaires – surveillants formés, assistants pédagogiques, assistante sociale, infirmière – et imposer des effectifs de trente élèves, au maximum, par classe.

Jeudi dernier, plus d’un millier d’enseignants et d’élèves, choqués par les incidents survenus récemment dans le Val-de-Marne, ont défilé à Paris pour réclamer des postes d’enseignants et de surveillants. Lundi, par ailleurs, les enseignants du lycée Adolphe-Chérioux ont dénoncé, dans un communiqué, l’«acharnement» du rectorat qui a, selon eux, accéléré la procédure de retenues sur salaires consécutive à leurs dix jours d’arrêt de travail. Ils avaient cessé les cours le 3 février après l’agression d’un élève en invoquant le «droit de retrait» qui permet à un fonctionnaire confronté à un danger «imminent» d’arrêter le travail sans s’exposer à des pénalités. Jusqu’à présent, l’Éducation nationale avait fait savoir que seuls deux des dix jours d’arrêt de travail relevaient de ce droit de retrait et seraient payés, les autres étant assimilés à des journées de grève non rémunérées. Le rectorat de l’académie de Créteil précise que le paiement de ces deux jours était en réalité une «mesure de clémence».

LIRE AUSSI :

» Nouvelle agression d’un lycéen

Source: lefigaro.fr/actualite-france

Après l’islamisation, l’halalisation. Et ça re-stigmatise grave…

Lu sur: http://tinyurl.com/ygbffed


Halalisation de la France : Chut Zemmour, pas trop fort .

fév 22, 2010

Il pleut sur les musulmans de France. Non, il ne s’agit pas là de l’églogue d’un hymne à la victimisation, mais d’une réalité cinglante plus que jamais intense, dont la violence des propos, entendus dans différents média, à l’égard de  l’islam et des musulmans de France en particulier est toujours plus importante.

Pour Eric Zemmour, le pantin médiatique des plateaux de TV, la France est en guerre. Plus que jamais le super-français assimilé se sent plus français qu’il ne l’aurait rêvé, en se gargarisant, à longueur d’émissions, de théories aussi creuses qu’ennuyantes, redondantes, sur une prétendue islamisation rampante de la France, esquivant les phénomènes de mondialisation, d’américanisation de la culture française et d’acculturation des masses de ces trente dernières années. Ses théories périmées, hasardeuses, ayant pour objet de créer de la peur, des ressentiments, des tensions inutiles au sein de la population française multi-ethnique et multi-confessionnelle, le pousse à des excès verbaux dangereux qui peuvent être assimilés à des appels à la haine. Quand M. Zemmour affirme qu’il n’y a pas de guerre, puisqu’il n’y a pas de combattants de « notre côté », il ne s’agit rien d’autre que de la prose de salon et de l’extériorisation d’un fantasme refoulé d’un désir ardent de guerres de religions. La peur fait toujours vendre, mais ces formules guerrières ne servent pas la compréhension mutuelle.

Il suffit d’une pirouette linguistique pour transformer le mot « islamisation » en « halalisation » et mettre à la poubelle, toutes les théories économiques régissant le monde dans lequel nous vivons. Nous voilà en plein cœur du numéro tragi-comique de l’écureuil, comme aime à l’appeler son collègue de plateau . « Halalisation de la France », la messe est dite.

Cette banale histoire de « Quick halal » a mis en lumière, sur fond d’élections régionales, un décor islamophobe, dans lequel bon nombre de politiciens et chroniqueurs, quelque soit le bord ou le parti, fabriquent des sujets polémogènes visant à stigmatiser une population déjà largement insultée au sein de la République française ces dernières années. Le Front national se retrouve avec beaucoup de concurrence sur le terrain de l’islamophobie électorale.

L’affaire du « Quick-Halal », en dehors de tout artifice, n’est rien d’autre qu’une simple histoire de business à l’état brut, un épiphénomène économique de la mondialisation. Le business du halal ou de l’islam fait bel et bien partie des institutions françaises, de son histoire.

Les  questions pertinentes à se poser sont :

  • Est-ce vraiment du halal ? Sinon, il serait intéressant de savoir comment on arrive en France à gagner beaucoup d’argent avec du FAUX HALAL ? Faire croire que c’est halal alors que ça ne l’est pas.
  • Entre quelles mains repose ce business ? Quelle est l’histoire de ce business ?  Comment s’est t-il constitué ? Qui le contrôle ?
  • Existe-t-il des liens entre le business casher et le business halal ?

C’est la République française qui permet le business du halal en France, comme elle l’a permis plus tôt pour le business casher, car comme tout le monde le sait, et Zemmour aussi, il s’agit d’un marché immense, et qu’il serait stupide pour un Etat de ne pas profiter de ce carburant qui est aussi appelé dans le langage courant « le nerf de la guerre ».

Ecoute bien mon petit : L’argent, la finance, le monde des affaires, la dimension économique, voilà où se situe le vrai pouvoir. Les politiques eux sont relayés à des pouvoirs secondaires.

Pour la petite histoire, c’est sous le ministère de Charles Pasqua, durant le règne laïc de François Mitterand et d’Edouard Balladur, que la première exclusivité en France sur la certification halal, a été attribuée à la Grande Mosquée de Paris le 24 décembre 1994. Privilège, cadeau de Noël pour la GMP, que celui de pouvoir exclusivement distribuer des cartes de sacrificateurs, d’imposer une taxe (à l’époque car aujourd’hui elle n’existe plus) par kilo de viande aux abattoirs et aux boucheries. Il n’a pas fallu attendre longtemps avant que les Moquées d’Evry et de Lyon obtiennent ce même privilège.

Il faut donc compter CINQ piliers fondamentaux parmi les nombreux autres acteurs du business-halal en France : L’Etat , la Grande Mosquée de Paris, La Mosquée d’Evry Courcouronnes La Mosquée de Lyon, et les industriels. N’oublions pas les structures associatives qui se sont positionnées dans le domaine du contrôle du halal, sachant qu’il n’existe aucune législation française qui régit  ce marché, il n’y a pas de consensus sur la définition du halal, les référentiels sont flous.

L’Etat laïque a donc attribué des droits EXCLUSIFS à certaines mosquées en France qui prennent leurs parts conséquentes du gâteau que représente le marché du halal.

Il ne faudrait donc pas trop perturber cet équilibre républicano-économico-religieux, il y a risque de se brûler les doigts M. Zemmour. Les barons du halal et surtout ceux du casher, qui ont un pouvoir certain de nuisance, ne tarderont pas à vous dire : Chut Zemmour, pas trop fort ! Basta avec la « halalisation » de la France. Le jeu n’a que trop duré, les élections sont terminées.

Les théories islamophobes de salon défendues par Eric Zemmour, marivaudant sur des sujets touchant les convictions profondes de millions de citoyens qui ne sont pas moins français que lui, ne sont pas trop appréciées par les barons du business du halal. Il ne faudrait pas trop salir l’auberge qui les nourrit et la manne qui émousse leurs appétits gourmands et grandissants. L’enjeu financier est important et son ampleur est internationale.

Les juifs n’ont pas connu moins de problèmes que les musulmans pour voir leurs convictions religieuses, comme ici le respect du cacher (cachère ou cosher), passer inaperçues aux yeux des chrétiens, protestants, athées et autres agnostiques de France. La seule différence c’est que leurs problèmes n’ont pas été mis sous les feux des projecteurs dans des buts de nuisance comme c’est le cas pour l’islam et les musulmans.

L’histoire du business cacher est bien plus intéressante que celle du faux-halal de France : saviez-vous, par exemple que 75% des produits de la grande distribution au Canada sont estampillés « cacher » ? Ca ne pose pas de souci, tout comme la présence d’un business cacher en France, avec ses chaines et ses magasins spécialisés. Et la question n’est pas de mettre  en avant une frustration qui consisterait à se plaindre en soulignant  que pour  les uns ça passe inaperçu et pas pour les autres, non il s’agit simplement de savoir pourquoi avec l’un il y a un souci et pas spécialement avec l’autre.

Benabdellah Soufari,

Ancien président du Conseil Régional du Culte Musulman d’Alsace

France: réveille toi !!!

Reçu par mail:

Ma France a un hymne et c’est la Marseillaise.
Ma France a une cuisine et c’est la bouillabaisse.
S’il arrive à ma France de manger du couscous,
Ma France ne veut porter ni burka ni burnous.
Et pour que ses vêtements n’envahissent pas nos régions …
FAITES DONNER LA LEGION.
Ma France c’est un bistrot où coule le gros rouge.
Ma France n’a qu’un drapeau et il est bleu, blanc, rouge.
Ma France mange du porc et du bon saucisson
Et n’entend rien changer à ses belles traditions.

Et s’il faut à ces cons faire entendre raison

FAITES DONNER LA LEGION.
Ma France c’est un village surmonté d’un clocher
Et non pas un fondouk doté d’un minaret.
Nul ne veut un imam à la place d’un curé
Ou voir une fatima jouer les députés.
Et face à cette racaille qui pollue la nation
FAITES DONNER LA LEGION.
Ma France se veut être fille aînée de l’église.
Ma France est généreuse mais chrétienne avant tout …

Vraiment aucune nouvelle s’imposera chez nous.
Et face aux islamistes qui huent notre religion
FAITES DONNER LA LEGION.
Ma France n’a rien de black et encore moins de beur …
Ma France n’est pas plus jaune que grise, mais bien blanche
Et si nous accueillons tous les gens de couleurs,
Ce n’est pas uniquement pour qu’ils fassent la manche.
Et face aux immigrés qui bouffent tout notre pognon

FAITES DONNER LA LEGION.
Ma France n’a que faire de tous les clandestins
Et autres sans-papiers qui gâchent notre quotidien.
Il faut les renvoyer manu militari
Que cela plaise ou non à certains ahuris.
Face aux envahisseurs qui occupent nos maisons
FAITES DONNER LA LEGION.
Les terrains de football ne sont plus que crachoirs
Où des soi-disant français sifflent l’hymne national.
Pour l’heure seul le rugby fait bien plaisir à voir.
Les matchs ne finissant pas en bagarre générale.
Aussi pour que les stades n’aient plus un seul morpion
FAITES DONNER LA LEGION.
Les banlieues parisiennes sont des zones de non-droit
Où certains trous du cul font régner leur seule loi.
Policiers et pompiers ne peuvent intervenir
Sans se faire caillasser ou bien se faire pourrir.
Si nos forces de l’ordre ont peur de la baston
FAITES DONNER LA LEGION.
Nous n’invitons personne à regagner la France,
Mais que les étrangers respectent bien nos lois.
Nous entendons bien vivre en bonne intelligence
Mais avec des personnes qui aiment notre toit.
Pour que des autres connards on ait la reddition
FAITES DONNER LA LEGION.

The Telegraph : “L’immigration : un programme pour altérer l’âme de la nation”!


21 février 2010 |

Traduction d’un article incontournable de The Telegraph :

Selon Janet Daley, la politique d’immigration massive du gouvernement a été menée pour remodeler le tissu social britannique.


Alors maintenant nous connaissons le but réel de la politique d’immigration massive du parti travailliste. La ‘porte ouverte’ n’était pas juste une porte entr’ouverte pour accueillir de la main d’œuvre nouvelle qui nous aiderait à combler les manques dans l’économie en pleine croissance. Pas plus qu’un simple geste d’hospitalité et de bonté envers ceux qui fuyaient des régimes répressifs et inhospitaliers dans le but de trouver une vie meilleure. Ces deux versions auraient été crédibles même si elles étaient controversées et pas envisagées avec toutes leurs conséquences.

Comme aurait pu l’être la vision à long terme que les sociétés cosmopolites dynamiques sont en général en meilleure santé et plus productives que la société isolées et enracinées (in-bred) ou que les immigrés qui sont censés être les plus ambitieux pour eux et pour leurs familles pourraient aider à lutter contre l’atonie (passivity) et le défaitisme qui tend à devenir endémique dans la société britannique de classe. Mais comme on le voit (as it turns out, litt: comme cela se révèle), cette politique était motivée par quelque chose de bien plus radical et fondamental que tous cela.

Le texte entier d’un projet de politique écrit en 2000 par un bureau de recherche du Ministère de l’Intérieur -dont l’essentiel avait déjà été rendu publique par un ancien conseillers travailliste- a été révélé la semaine dernière au nom de la liberté d’information. Pour le dire clairement, c’est de la dynamite politique. Il révèle sans aucune ambiguïté que la politique d’immigration massive a été encouragée au moins autant pour satisfaire des « buts sociétaux » que pour des buts économiques. L’immigration a été délibérément pensée pour altérer les données démographiques et culturelles du pays: pour produire par force majeure (en français dans le texte) les changements de comportement dont le gouvernement travailliste se voulait le symbole. Le discours sur les « forces du conservatisme » de Tony Blair; son improbable vision de la Grande-Bretagne comme un « pays jeune »; la défense d’une société multiculturelle qui aurait à reconsidérer sa propre histoire, en remplaçant la fierté traditionnelle par une culpabilité héréditaire: tous ceci serait facilité par un immense afflue de migrants dont la préséance dans la population impliquerait une énorme déconstruction du patriotisme et de l’identité nationale.

Cela peut semble un peu tiré par les cheveux maintenant, mais essayer de vous rappeler quelle arrogance la vague du Nouveau parti travailliste a apporté avec elle: le mépris pour l’histoire et l’arrogance de l’Année Zéro avec laquelle ils ont commencer à «moderniser » les institutions nationales. C’était, il faut leur reconnaître, un grand exemple de la nouvelle direction que les parties de gauche ont été forcé de prendre après l’effondrement de l’idéologie marxiste. Ayant perdu les grands combats économiques du 20ème siècle, la gauche a déplacé son action sur le sociétal lui-même: si l’humanité ne pouvait être transformé par la redistribution des biens et l’économie dirigée, alors elle le serait par l’altération des relations sociales. L’objet de préoccupation était toujours de produire, selon des termes des chansons protestataires de gauche, un « nouveau monde » basé sur un « homme nouveau ».

Mais maintenant l’homme nouveau (pardon, l’individu) serait formé non plus par des bouleversements du pouvoir du capital ou de la possession des biens de production, dans ces habitudes et ces comportements culturels. L’expression « changement des consciences » qui avait autrefois signifié la prise de conscience par le prolétariat de sa propre servitude, signifie maintenant la conscience montante des injustices sociales, comme l’intolérance aux différences culturelles, les inégalités sociales ou la discrimination envers les minorités. Mais les sous-entendu étaient toujours d’autocritique et la culpabilité personnelle: l’indigène britannique doit être entrainer (littérairement, par le système scolaire) à remettre en cause l’acceptabilité de ces propres attitudes, à jeter le doute sur ces propres motivations, à condamner sa propre identité et histoire nationale, à supporter le blâme même pour les malheurs des nouveaux arrivants -dont la conduite ne saurait être qu’une conséquence de la manière horrible dont ils sont traités par la population d’accueil.

Dans ce programme pour ce nouvellement crée esprit britannique, il y avait tout un paquet de présupposée subliminaux, qui ont été adapté de l’ancienne doctrine gauchiste: solidarité international plutôt que la souveraineté nationale, « égalité sociale » plutôt que l’accomplissement individuel. C’était une originalité de la vanité du nouveau parti travailliste d’avoir en fait essayé de persuader le pays que, sous la miraculeuse administration de Blair, il pourrait y avoir les deux cotés de ces choix en même temps. Mais la conséquence du nouveau pays qu’il construisait, et le rôle que l’immigration était appelée à jouer dans sa création, violaient toutes les règles les plus élémentaires du processus démocratique: on a jamais dit à l’électorat qu’il votait pour ce projet. Le but de la révolution sociétale encouragée par j’afflue d’une énorme variété de cultures diverses, qui apporterait à la fois le besoin et le prétexte pour remodeler la vie britannique.

Cela a pu être relativement nouveau (au moins au Royaume-Uni) comme mouvement politique, mais ce fut bien dans l’objectif traditionnel des mouvements de gauche, qui est de transformer la nature humaine. Quand vous décider de soutenir soit un parti de droite soit un parti de gauche, vous faites en réalité un choix sur le but que doit avoir la politique. Si vous pensez que c’est la fonction du gouvernement de changer et de déterminer la perception et les réactions des gens -leurs sentiments les plus profond sur eux-mêmes et leur rapports aux autres- alors vous devrait probablement opter pour la gauche. Si vous adopter le point de vue selon lequel l’Etat ne devrait s’intéresser qu’au comportement – qu’aux actions des gens, surtout dans la manière ou cela affecte les autres, plutôt qu’à leur pensée ou leur sentiments- alors vous devrait plutôt soutenir la droite. Tout est donc question de savoir si vous voulez que les politiques s’occuper de ce qui se passe dans votre tête autant que des évènements dans le monde réel.

Mais bien sur, depuis les années 1960, quand « l’élévation de la conscience » est devenue le refrain de tous les groupes qui voulait le changement dans n’importe quel milieu, presque tous les partis ont eu à adopter plus ou moins ce discours. C’est devenu une partie du bréviaire de base du politiciens de suggérer des manières dont la vie et l’attitude des électeurs devrait être influencé ou dirigé. Il n’y a guère de chef de parti qui oserait aujourd’hui dire que cela n’est en rien ses affaires ou celles de son gouvernement Presque personne ne semble prêt à traiter du danger évident: si la politique devient un substitut à la religion en prenant sur sois la responsabilité de transformer la nature humaine alors les politiques, pour tout le monde, deviendront des prophètes et des prêtres. Pour l’instant, je ne peux pas imaginer une idée plus absurde.

source

Merci à FDS

QUICK-HALAL: LA FIN EST PROCHE ! LA FRANCE VA AUTOFINANCER L’ISLAMISATION…

C’est fait: Quick a ouvert ses premiers restaurants « halal  » en France en décembre 2009.
Cela n’est pas anodin, il faut savoir ce que cela signifie:

1. Avec le halal Quick finance lIslamisation :
En choisissant la viande halal, Quick finance lIslam en reversant aux organismes islamiques de certification une taxe. Un marché juteux et convoité, que les grandes mosquées se disputent. Une taxe que tous les clients musulmans ou non de ces restaurants paieront sans le savoir dans leur menu. Subventionner lislamisation de notre pays à chaque repas, voilà le créneau de Quick. Cette pratique est cachée aux clients non-musulmans, lopération étant réalisée en toute discrétion et reposant uniquement sur le bouche à oreille de la communauté musulmane.
2 . En fait, il n’y aura plus que du halal chez Quick. L’islam interdisant formellement que la cuisine « halal » (en français: « autorisée, pure ») soit préparée par les mêmes personnes et dans les mêmes ustensiles que la cuisine « haram » (en français péché, impure), et comme il y a fort à douter que Quick dédouble tous ses personnels, cuisines,  plats, verres, couverts, etc…tous les clients mangeront désormais manger halal.
Là aussi, il faut savoir ce que cela signifie en termes hygiéniques. La certification halal en France est dinitiative privée. Cest à dire quil ny a aucun organisme public de santé qui délivre une norme HALAL, comme cela se fait dans les autres secteurs du commerce des aliments.
Il ny a donc aucune traçabilité de la viande. Cela peut laisser la place à des agissements économiques douteux, des arrangements, ou des trafics en tous genres. Sans compter les risques pour lhygiène des produits proposés.
A vous de voir……..


Pour mémoire: Lénine disait :
« Les capitalistes seront les premiers à nous vendre la corde avec laquelle nous les pendrons…. »


Les islamistes ont retenu la leçon !!!

A nous de boycotter ces enseignes,en commençant par diffuser très largement l’info .

Pas assez radical? À la mosquée de Guyancourt, un imam modéré évincé…

« ILS » commencent à se débarrasser des partisans d’un islam modéré… Pas bon du tout, ça…

FDF

22/02/2010

Selon nos informations, Abdelali Mamoun, un imam modéré, a été démis de ses fonctions, vendredi, par l’Association des musulmans de Guyancourt (AMG). Ses prises de position en faveur d’un islam de France et pour un rapport pacifié avec les juifs de France ont manifestement déplu au sein de l’AMG, qui souhaitait pouvoir contrôler sa prise de parole. À la prière du vendredi, Abdelali Mamoun a été remplacé par Mustapha Berrough, président de l’AMG depuis le 17 janvier, présenté comme d’obédience salafiste (pour un retour à l’islam des origines).

L’imam déchu mène un combat contre les pressions étrangères sur les musulmans et appelle de ses voeux l’édification d’un islam de France compatible avec les valeurs républicaines. Il reçoit aujourd’hui le soutien du BNVCA (Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme), qui, à travers Sammy Ghozlan, son président, juge « scandaleux et inadmissible » de « rendre parias de l’islam ceux qui veulent un rapprochement avec les juifs et prônent un islam ouvert ».

Le local qui tient lieu de mosquée à Guyancourt appartient à la mairie. Il a été concédé à l’AMG à l’occasion d’une convention, signée par la mairie et par la préfecture, stipulant que les prêches devaient être en harmonie avec les valeurs de la République.


Source: lepoint.fr

Comment une terroriste criminelle du FLN, ayant du sang sur les mains, a-t-elle pu poursuivre une carrière universitaire en France sans être inquiétée ?

La prime au crime et à la trahison : L’Affaire Djamila Amrane-Minne

Au moment où l’État Algérien -l’État-FLN- vient encore, une fois de plus, déverser sa haine anti-française sur les ondes internationales en déclarant que son Assemblée examinerait bientôt un projet de loi « criminalisant le colonialisme français » ; au moment où l’état français ne trouve rien d’anormal à ce qu’une ancienne terroriste vienne bénéficier du système de santé d’un pays qu’elle avait combattu naguère de la manière la plus lâche, il semble opportun et nécessaire de mettre en lumière une affaire jusqu’ici passée sous silence par tous les médias français : l’affaire Djamila Amrane-Minne.

De quoi s’agit-il ? D’un nouveau dossier Boudarel*, d’une nouvelle forfaiture d’état, d’un nouveau caillou noir à jeter dans le jardin du déshonneur français. Mais qui est Djamila Amrane-Minne ?

Née en 1939 en métropole, Danielle Minne, de son nom de jeune fille, arrive avec sa famille en Algérie en 1948 et devient, à l’âge de 17 ans, membre du « réseau bombes » de Yacef Saadi. A cette époque, fin 1956, début 1957 (début de la Bataille d’Alger), le FLN, dont la politique terroriste est librement affirmée et revendiquée, cherche des jeunes femmes à l’allure innocente pour distraire l’attention de la police et poser des bombes dans les lieux publics. Danielle Minne, qui prend le pseudonyme de « Djamila », est l’une d’entre elles.

Dans l’après-midi du 26 janvier 1957, la jeune femme entre au bar Otomatic, à Alger, et va déposer un engin explosif dans les toilettes. Elle ressort. Quelques minutes plus tard, la bombe explose, suivie de deux autres détonations à la Cafétéria du Milk-Bar (déjà touchée quelques mois plus tôt) et au café du Coq-Hardi. Bilan : 4 femmes tuées, une soixantaine de blessés (plusieurs amputés), dont de nombreux enfants. Un élément de plus dans la lutte de terrorisme aveugle à laquelle se livre le Front de Libération National, presque unanimement considéré aujourd’hui, en France comme (évidemment) en Algérie, comme un mouvement de combat pour la liberté, une sorte de Résistance luttant contre l’hydre fasciste incarnée par la présence française en Afrique du Nord. Danielle Minne, ayant rejoint les maquis FLN, est vite arrêtée. Jetée en prison, elle en ressort à l’époque de l’indépendance.
Mais cela n’est rien. Cela est de l’histoire ; histoire d’un terrorisme lâche et sans honneur, certes, mais comme en tant d’autres lieux et à tant d’autres époques. Cela n’est rien, car le pire est à venir et il nous est scandaleusement contemporain.

Danielle Minne, devenue après mariage, Djamila Amrane-Minne, a pu, sans jamais être inquiétée, sans jamais qu’un obstacle vienne se mettre sur son chemin, devenir universitaire en France et suivre, dans le pays même qu’elle avait trahi, une carrière parfaitement honorable à l’ombre du statut avantageux de fonctionnaire de l’enseignement supérieur. Oui, une porteuse de valise du FLN, pire, une poseuse de bombes, une terroriste revendiquée, est devenue, avec la bénédiction passive et le soutien actif de l’Etat et de ses institutions, Maître de Conférences à l’Université du Mirail, à Toulouse.

En 2002, elle est même nommée Professeur des Universités, plus haut grade de la hiérarchie, par un décret signé de Jacques Chirac, Président de la République ! Pendant des années, cette femme a enseigné l’histoire de la décolonisation (sic !), publiant articles et ouvrages sur la question, avec une prédilection particulière, nous indique sa bibliographie, pour le sort des femmes sous la colonisation française, elle qui, lors des attentats de janvier 1957, avait froidement contribué à en tuer quatre, et à en blesser plus d’une vingtaine ! Membre du Groupement de Recherches en Histoire Immédiate (GRHI), son statut l’autorisait à siéger en jurys de thèse universitaire, et à encadrer de jeunes chercheurs.
Voilà comment on écrit l’Histoire… Voilà comment on crache sur la France… Imagine-t-on un seul instant un ancien de l’OAS, jamais repenti, professeur à l’Université d’Alger, et recevant aujourd’hui une retraite de l’État algérien ?

Que l’Algérie, pays dévasté par un demi-siècle de dictature et de guerre civile, honore les Français qui se sont joints au terrorisme FLN, c’est une chose. Mais que la France ait pour une terroriste patentée la sollicitude et les égards qu’elle a toujours refusés aux Pieds-Noirs et aux Harkis, sacrifiés pour raison d’état, c’est à la fois une honte, et un crime. Une honte qui entache le blason déjà marqué de notre histoire nationale. Un crime à l’égard du peuple français et de ceux, nés sur les deux rives de la Méditerranée, qu’ils soient de souche européenne ou nord-africaine, chrétiens ou musulmans, qui ont vécu et sont morts pour la justice et l’honneur de notre pays.

On va dire que nous cherchons à rouvrir les blessures du passé… Mais elle ne sont pas refermées. Elles resteront béantes tant que des injustices de cette espèce seront permises ou favorisées. On va dire qu’il y a prescription, et amnistie, ce qui est vrai. Mais notre but n’est pas de traîner Mme Amrane-Minne devant les tribunaux. Elle a affaire avec celui de sa conscience. Notre but est seulement de projeter la lumière crue de la vérité sur ce dossier honteux, et de faire en sorte que les Français, tous les Français, puissent contempler cette trahison personnelle récompensée par une trahison d’état !

Bien que dotées d’un statut autonome assez avancé, les universités françaises sont publiques. Elles vivent par le soutien de l’Etat. Celui-ci, s’il était dirigé par des hommes honnêtes ayant à coeur l’intérêt général, l’honneur de son peuple et le respect de son histoire, ferait au moins en sorte de dénoncer publiquement ses errements de cinquante ans. Un Etat honnête, au minimum, suspendrait immédiatement toutes les prestations publiques dont Mme Minne, on l’imagine, bénéficie dans sa retraite. Par respect pour les seules victimes, ce serait la moindre des choses.

Il n’en sera rien, hélas ! Les Français d’Algérie, victimes d’une épuration ethnique oubliée, et les survivants Harkis, musulmans fidèles remis aux balles, aux couteaux et aux scies des égorgeurs, apprécieront l’étendue de l’outrage.

Les Français de métropole, eux, qui pour beaucoup, font face comme ils le peuvent à une crise économique et morale sans précédent, n’auront rien à dire, comme d’habitude. En plein débat truqué sur « l’identité nationale », le travail honnête et le patriotisme silencieux ne sont plus des valeurs quand la trahison et l’assassinat permettent l’avantage d’une carrière paisible sous le refuge des honneurs publics.

Dès 1963, Djamila Amrane-Minne s’est piquée de poésie, publiant des textes inspirés de sa « lutte » révolutionnaire. Une autre poétesse, américaine, celle-là, et aux mains non entachées du sang des siens, a écrit :  « Pécher par le silence quand nous devons protester transforme les hommes en lâches ». (Ella Wheeler Wilcox. 1850-1919)

Alors nous protestons ! Nous protestons aussi fort que nous le pouvons pour mieux montrer à tous l’odieux visage que sait si bien adopter la lâcheté de l’état français quand il vient à s’abaisser dans la plus indigne des forfaitures !

Notes :

*En 1950, Georges Boudarel, militant communiste français, passe au Vietminh. Nommé commissaire politique dans un camp de prisonniers, il y torture ses compatriotes. Revenu des années plus tard en France, il entreprend, sans jamais être inquiété, une carrière universitaire. A la veille de sa retraite, alors que, sans honte, il demande à l’Etat de faire reconnaître et valoir ses années indochinoises comme « voyage d’études en Extrême-Orient », il est reconnu par des anciennes victimes. S’ensuit un procès, qui n’aboutit à rien. Boudarel, bénéficiant de sa retraite allouée par l’état français, s’éteint paisiblement en 2003.

Source: Mattheus pour LibertyVox
Pour contacter l’auteur : mattheus@libertyvox.com

Notes :
*En 1950, Georges Boudarel, militant communiste français, passe au Vietminh. Nommé commissaire politique dans un camp de prisonniers, il y torture ses compatriotes. Revenu des années plus tard en France, il entreprend, sans jamais être inquiété, une carrière universitaire. A la veille de sa retraite, alors que, sans honte, il demande à l’Etat de faire reconnaître et valoir ses années indochinoises comme « voyage d’études en Extrême-Orient », il est reconnu par des anciennes victimes. S’ensuit un procès, qui n’aboutit à rien. Boudarel, bénéficiant de sa retraite allouée par l’état français, s’éteint paisiblement en 2003.

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