Francaisdefrance's Blog

04/02/2010

Port du voile: les Français vont se faire « niquer » en beauté !

Port du voile: qui peut, qui ne peut pas?

04.02.10
Une femme, portant le voile intégral, pose devant la tour Eiffel à Paris.
Une femme, portant le voile intégral, pose devant la tour Eiffel à Paris./LE FLOCH/SIPA

Policière voilée, candidate voilée, on fait le point…


«En France toute jeune fille qui veut porter le voile peut le faire. C’est sa liberté», rappelait Nicolas Sarkozy le 6 juin dernier, au Caire. Dans la rue en effet, aucune limite. Chacune a le droit de porter le voile ou tout autre signe religieux.

Ailleurs, ça se complique, mais il n’y a pas d’encadrement légal précis. «Pour les agents des services publics, on s’appuie sur la Charte de laïcité de 2007, qui affirme le principe de neutralité dans les services publics», explique Xavier Gruwez, du cabinet St Georges avocats, spécialisé dans les droits fondamentaux. C’est ce qui arrive à la fonctionnaire de police, Nora B., qui (devait)comparaitre ce jeudi en conseil de discipline pour port du voile.

«On s’attaque aux libertés individuelles»

«En tant qu’agent, on ne peut pas montrer ostensiblement son appartenance religieuse, sinon, c’est faire œuvre de prosélytisme», poursuit l’avocat. Donc aux guichets de nos services publics, pas de voile (ni d’autre signe considéré comme ostentatoire).

Pour les usagers, c’est différent. «On s’attaque aux libertés individuelles», explique Xavier Gruwez, «on ne peut pas l’interdire». Seule exception, «quand il y a besoin d’identification», pour un contrôle de sécurité, par exemple.

Autre limite, les établissements scolaires, depuis la loi votée en 2004 qui interdit le port de signes religieux ostentatoires dans les écoles publiques, promulguée par le gouvernement Raffarin.

Principe de neutralité

Si on passe aux élus de la République, comme la candidate du NPA en Paca, ça se complique. «Dans le code électoral, sous réserve qu’on puisse l’identifier, rien n’interdit à une candidate d’être voilée», précise Xavier Gruwez. Le problème, c’est qu’une fois élue, «le principe de neutralité s’applique. Elle fait partie d’un service public.»

Dans ce cas, le président du Conseil Régional, le préfet ou tout citoyen peut saisir la justice.


Pourtant, pour Françoise Hostalier, députée UMP auteur d’un projet de loi à ce sujet, «c’est tout à fait possible d’avoir une élue avec un voile, voire plus, même si cela reste marginal». D’un point de vue législatif, «rien ne l’interdit en France, mais une élue en revanche, ne peut par exemple pas célébrer un mariage voilée, car c’est dans le cadre d’un ministère public.»

Source: 20minutes.fr

Des burqas, des voiles, des « Belphégors », on n’a pas fini d’en voir PARTOUT, en FRANCE! Et on n’aura qu’un seul droit: celui de la boucler… Ou quitter « leur » France, celle de la loi coranique… Ca fait réflechir, non?

FDF

Le discours-mensonges de Yazid Sabeg à ses potes d’Afrique…

Il ne manque pas de culot, le mec. Lisez ce qu’il va raconter aux Africains concernant le France (Pour qui il « travaille » et est certainement bien rémunéré…) Un pote à Sarkö, quoi… Mais au vu de ce qu’il raconte dans cette interview, à mon avis, il risque son poste. Mais non, j’déconne, je le répète: c’est un pote à Sarkö…

FDF


Yazid Sabeg : « Non, l’islam n’est pas un frein à l’intégration »

Yazid SabegIl prend position, souvent à contre-courant, sur toutes les grandes questions du moment, qu’il s’agisse de la discrimination positive, du débat sur l’identité nationale ou de l’interdiction du port de la burqa…

Nommé, il y a deux ans, commissaire à la diversité et à l’égalité des chances par le président français Nicolas Sarkozy, Yazid Sabeg est né à Guelma, dans l’Est algérien, il y a tout juste soixante ans. Auteur de plusieurs livres et rapports, c’est un spécialiste des questions relatives à l’intégration des populations issues de l’immigration – il préfère parler d’« assimilation républicaine ». Par ailleurs brillant homme d’affaires, il préside le conseil d’administration de Communication et Systèmes (CS), une entreprise spé­cialisée dans les services informatiques.

Jeune Afrique : Les minorités sont-elles, en France, victimes de discriminations ?

YAZID SABEG : Oui, bien sûr. Une ­partie de l’opinion a, vis-à-vis des minorités, des réactions xénophobes. On a tellement idéalisé la République et ses valeurs censément universelles qu’on en a oublié l’essentiel : l’égalité réelle n’est pas appliquée. Il y a l’égalité proclamée, formelle, mais pas sur le terrain, dans la relation sociale.

Quelles sont les manifestations les plus flagrantes de ces inégalités ?

On peut en dénombrer quatre : les quartiers d’antan, où il y avait un vrai mélange, ont fait place à des ghettos – il en résulte un ralentissement du métissage ; le fils d’un Noir ou d’un Arabe pauvre a moins de chances de béné­ficier d’une mobilité sociale accrue que le fils d’un cadre blanc ; l’inégalité d’accès à l’éducation, au savoir et à la culture ; enfin, l’invisibilité des gens issus de l’immigration dans tous les domaines de la représentation sociale : politique, médias, entreprises, etc.

La France a-t-elle vraiment un problème avec sa diversité ?

Elle ne sait pas gérer sa diversité et n’arrive pas à se concevoir comme diverse. Elle vit comme une agression tout ce qui contredit l’image qu’elle a d’elle-même. La question de l’évolution de son peuplement est rarement évoquée. Les figures du Noir et de l’Arabe restent marquées par l’Histoire. Dans l’imaginaire collectif, ces populations continuent d’apparaître comme des colonisés. Or on a aujourd’hui les populations sans les colonies !

Vous avez été chargé de remédier à ces discriminations…

Pour la première fois, nous avons un président qui entend faire de la lutte contre les discriminations une priorité. D’où la nécessité de travailler sur les représentations, d’agir sur l’éducation, d’organiser d’autres viviers de recrutement pour l’enseignement supérieur et les grandes écoles, de bouleverser certains contenus pédagogiques, d’opérer des changements structurels en matière d’emploi, de réduire le coût des études et de mettre les entreprises à contribution. Ce travail exige des procédures complexes, la volonté de conduire des politiques à long terme et de prendre des mesures radicales.

Vous avez présenté un rapport sur toutes ces questions…

L’objectif était de recenser des actions et des thèmes de travail pour les années à venir. J’ai été reçu à l’Élysée pour en parler. Une dizaine de mesures ont été retenues, parmi lesquelles les internats d’excellence, le quota de boursiers dans les grandes écoles et le CV anonyme qu’expérimentent actuellement une cinquantaine d’entreprises. Mais la mesure la plus emblématique concerne l’obligation pour les entreprises de plus de cinquante personnes de compter parmi leurs effectifs 5 % de contrats en alternance.

Est-ce de la discrimination positive ?

C’est une démarche volontariste qui peut être assimilée à l’instauration de quotas, ça ne me gêne pas. Une société juste est une société capable de commettre des inégalités pour corriger d’autres inégalités. Personnellement, je préfère parler d’action positive et je revendique une politique de correction des inégalités. Certains prétendent que j’ai une conception communautariste. Mais non, ce que j’avance ne relève pas du discours républicain idéaliste, mais vient du terrain.

Êtes-vous favorable aux statistiques ethniques pour identifier les populations discriminées ?

Je n’ai jamais parlé de statistiques ethniques ou de comptage, mais de la nécessité de qualifier ces inégalités pour mieux les combattre. Pour cela, il faut des éléments de mesure. Une entreprise peut fort bien, par exemple, évaluer les retards accumulés en matière d’embauche des minorités. Mais je ne suis pas pour la méthode patronymique, qui consiste à repérer les membres de la diversité grâce à leur nom. Cela voudrait dire qu’on est, de par ses ­origines et son nom, irrévocablement d’ailleurs. Ce n’est pas l’idée que je me fais de la France. Quant au pro­cédé consistant à recourir à la photo de famille ­censée illustrer la diversité dans les entreprises, pourquoi pas ?

D’aucuns suggèrent de changer certains mots. Celui d’intégration, notamment…

Je lui préfère celui d’assimilation républicaine. Un Français assimilé n’est pas forcément quelqu’un qui a renoncé à ses origines culturelles. Il réclame simplement l’égalité des droits. Le mot d’intégration a été inventé pour refuser aux Algériens des droits que la République concédait à ses citoyens. On intègre des sujets, on assimile des citoyens. Et moi, je me considère comme un citoyen de ce pays. Le modèle dominant de la société française reste blanc et chrétien. J’appartiens à une minorité. À partir de là, soit je rejette le modèle dominant et deviens un marginal, soit je me construis à travers lui, je prends ses droits, ses devoirs et ses valeurs, parmi lesquelles la liberté d’être ce que je suis.

Que pensez-vous du débat sur l’identité nationale ?

C’est l’aveu que le modèle d’assimilation est grippé. Il faut que la France se sente bien faible pour s’embourber dans un tel débat… Éric Besson est un homme que j’apprécie sur un plan personnel, mais je persiste à croire que le débat qu’il parraine a été mal cadré. Maintenant que celui-ci a été lancé, laissons-le aller à son terme, mais fixons-lui des objectifs.

L’islam freine-t-il l’intégration ?

Non. La République est plus forte que l’islam, mais elle doit s’interdire toute intervention dans le domaine culturel ou religieux, sauf en cas d’atteinte à l’ordre public. Je suis choqué de constater chez un certain nombre d’intellectuels et de politiques une peur panique de l’islam. Alors que le désir de l’ensemble des musulmans est de vivre paisiblement dans ce pays et d’y exercer librement et dignement leur culte.

La burqa fait-elle partie de ce libre exercice du culte ?

Je comprends que le port de la burqa puisse choquer, mais il n’y a là rien de religieux. Ni même de communautaire. C’est un comportement social agressif, irritant, même si le trouble à l’ordre public n’est pas avéré. Il faut combattre cette apparence vestimentaire qui ne correspond pas aux usages et aux règles. Convaincre les intéressées que ce n’est là qu’obscurantisme. Mais faut-il une loi pour l’interdire ? Je ne le pense pas.

Le débat sur les quotas dans les grandes écoles suscite la polémique…

C’est une polémique qui ne rime à rien. Notre intention n’est pas de réclamer des quotas dans les grandes écoles, mais des indicateurs de démocratie sociale. Le nombre des boursiers en est un. Et ce n’est pas parce qu’il y aura davantage de boursiers dans ces établissements que cela affectera leur niveau.

Êtes-vous sur la même longueur d’onde que Fadela Amara ?

Je sais que sa tâche est difficile, mais je ne partage pas son analyse de la société française. Par exemple, je ne pense pas qu’il y ait de la violence dans les quartiers. De la délinquance, des effractions, oui. Mais de la violence, non. Jamais un policier français n’a été tué dans une cité.


Lu dans: jeuneafrique.com

Tariq et Hani Ramadan dans le Palais municipal de Martine Aubry !

Dhimmitude exacerbée…

(Information exclusive de l’Observatoire de l’islamisation)

Lille Grand Palais acceuille Tariq et Hani Ramadan samedi 6 février prochain dans le cadre des 4ème Rencontres annuelles des musulmans du Nord, co-organisées par l’UOIF et la Ligue islamique du nord, organisation dont nous parlons plus bas.

Hic, le Grand Palais (des congrès) est géré par la mairie de Lille via une Société Anonyme d’Économie Mixte dont la Ville détient 61 %…aussi, Martine Aubry était venue chaleureusement à ces Rencontres islamistes lors de la campagne des municipales en 2008…sera-t-elle là samedi ?

Tariq et Hani Ramadan des « islamistes modérés », moindre mal comparé à Al-Qaida ? Pas si sûr :

Yussuf Al-Qaradawi, perçu comme un  « savant » par Tariq Ramadan (ce dernier avouant avoir un « profond respect » pour l’islamiste dans un livre d’entretien Faut-il faire taire Tariq Ramadan ?, Aziz Zemouri, l’Archipel, 2005 ),  est le président du Conseil européen de la fatwa et de la recherche, instance juridique où siègent des figures de l’UOIF comme Ahmed Jaballah (Conseil également cité en référence sur le site internet de l’école d’imam de l’UOIF). Il déclara sur Al-Jazeera le 28 janvier 2009 qu’Adolf Hitler participe d’un châtiment divin envers les Juifs, dernier en date avant que les musulmans deviennent les acteurs du prochain châtiment :

« Tout au long de l’histoire, Allah a voulu imposer aux Juifs des hommes pour les punir de leur corruption. La dernière punition fut infligée par Hitler (…) il réussit à les remettre à leur place. Ce fut une punition divine pour eux. Le souhait d’Allah est d’amener la prochaine [punition]  par la main des croyants (…) Si Allah m’en donne la force, je voudrais aller sur la terre du Jihad et de la résistance, fut-ce en fauteuil roulant, et je tirerai sur les ennemis d’Allah, les Juifs ». source vidéo

Qaradawi est également favorable à l’exécution physique des homosexuels et des apostats, voir notre dossier sur lui.

Hani Ramadan, autre vedette des Rencontres, est le gardien du temple de l’orthodoxie islamique dans la famille. Le 10 septembre 2002, il publia  dans Le Monde une tribune libre intitulée « La charia incomprise» où il affirmait que la lapidation « constitue une punition, mais aussi une forme de purification» (sic). Ces propos devraient suffire à l’interdire de séjour sur le territoire français…on en vient à regretter Charles Pasqua qui en son temps à l’Intérieur avait interdit Qaradawi de séjour et banni ses livres au nom de la sécurité nationale.

Récemment interrogé au cours de l’émission « Sur les docks » de France Culture, Hani Ramadan affirma sans complexe la nature totalitaire de l’islam : « L’islam est une religion qui touche tous les domaines de la vie, y compris politique et économique, et ces principes, ils sont essentiels. Il n’y a pas cette séparation que l’on connait en Occident. Donc la globalité du message de l’islam est une réalité »

Hani Ramadan croit à la venue, lors de la fin des temps, du « dajjal », bête « borgne » qui viendra de l’au-delà, possédant des « pouvoirs mystérieux » (vue très longue distance, oreille bionique comme dans les séries télé…) afin de semer le désordre sur terre…voilà pour l’équilibre mental de celui qui a une réputation d’intello chez les musulmans :


Hani ramadan – le dajjal

Martine Aubry avait dragué les voix  du même public lors de ces mêmes Rencontres annuelles en pleine campagne des dernières municipales :

Samedi 1er mars 2008, 2 300 personnes répondirent à l’invitation de la Ligue islamique du nord, antenne de l’UOIF dans la région, qui invita de nombreux élus à sa deuxième « Rencontre annuelle des musulmans du nord ». L’objectif pour l’association étant de soumettre les candidats aux municipales à une série de questions afin de mesurer leur degré d’attention aux problèmes (comprendre revendications) des musulmans. Parmi les personnalités ayant répondu présent, Martine Aubry (PS), ainsi que ses concurrents d’alors  à la mairie : Sébastien Huyghe (UMP) et Jacques Richir (MoDem), le député UMP Thierry Lazaro Slimane Tir, candidat Verts à Roubaix et actuel vice-président de Lille-Métropole Communauté Urbaine.

Lors de cette soirée, les candidats  jouèrent tous de leur petite musique afin de séduire les électeurs musulmans présents dans la salle, jusqu’à promettre un « conseil des résidents étrangers » entendre un conseil municipal bis, car, selon Martine Aubry  « C’est une erreur fondamentale de ne pas avoir donné le droit de vote aux étrangers aux municipales. »

Martine Aubry prétend que  « Les musulmans qui sont là apportent un islam tolérant, ouvert. Rendons-leur cette solidarité et cette fraternité ». Vraiment ? Le président de la Ligue islamique du nord, Amar Lasfar, est pourtant un responsable de l’UOIF (comme le radical Tareq Oubrou à Bordeaux) qui a par le passé pris des positions ségrégationnistes à l’égard de la société française. Dans un entretien dans la revue Homme et migrationoumma, où en 1999 il récusait le concept de citoyenneté républicaine auquel il substituait l’appartenance à la charia serait amenée à remplacer les lois impies de la république dans des enclaves territoriales : « Dans l’islam la notion de citoyenneté n’existe pas, mais celle de communauté est très importante, car reconnaître une communauté, c’est reconnaître les lois qui la régissent. Nous travaillons à ce que la notion de communauté soit reconnue par la République.

Alors, nous pourrons constituer une communauté islamique, appuyée sur les lois que nous avons en commun avec la République, et ensuite appliquer nos propres lois à notre communauté [1]»


Dans la même veine, avant de réorienter sa stratégie de communication, il affirma : «  L’Assimilation suppose pour les populations islamiques se fondre à terme dans la population. Ceci est exclu car cela signifie l’abandon de la loi islamique […] Il n’y aura pas de dérogation à cette règle[2] ».

Amar Lasfar, recteur de la mosquée de Lille-Sud, a beaucoup obtenu de la mairie socialiste ces dernières années. Ce Marocain né en 1960 a été naturalisé français en 1997, ce qui est un scandale. Il dirigea un temps la propagation de l’orthodoxie de la foi [la Da’wa, en arabe] en vue de réislamiser les immigrés de la région.

En 2004, il ouvre un lycée musulman reconnu par l’Etat, le lycée Averroès, dont les locaux se situent juste au dessus d’une mosquée. Le responsable musulman annonçait alors à la presse « C’est un grand jour pour l’islam de France et la communauté musulmane qui ont fait un grand chemin pour la réussite de ce projet. Ce lycée est aussi une vitrine, un laboratoire pour l’UOIF. ». Deux ans plus tard, un deuxième lycée sera ouvert par l’UOIF,  à Décines dans la région lyonnaise, ce qui coûtera son poste au recteur d’académie Alain Morvan, ayant osé émettre des réserves, il sera débarqué par Nicolas Sarkozy alors ministre de l’Intérieur.

Dans un document de campagne attribué à Eric Besson, intitulé L’inquiétante rupture tranquille de M. Sarkozy, alors qu’il était encore au Parti socialiste, celui qui avait pour mission de dresser un état des lieux de la situation politique laissée par l’UMP pointa le lycée Averroès comme le « premier lycée privé musulman fondamentaliste », phrase qui à l’époque créa la polémique, esquivée par une Martine Aubry qui refusa de répondre aux journalistes de 20 minutes sur le sujet. Gilles Pargneaux, premier secrétaire socialiste fédéral du Nord,  essaya d’éteindre le feu en parlant de « maladresse » et en appelant à « dissocier l’enseignement donné à Averroès et les positions de l’UOIF qui, elles, sont incompatibles avec l’esprit laïque« . Guère convaincant…

Source: Joachim Véliocas, Observatoire de l’islamisation. Février 2010. Autorisation de reproduction avec mention de la source.Auteur de L’islamisation de la France, éditions de Bouillon, 2006. Contact presse : joachim.veliocas@hotmail.fr


[1]< a> Amar Lasfar « La cité mode d’emploi », Homme et migration, n° 1218, mars-avril 1999 p.55

[2]< a> Amar Lasfar, conférence à l’Alliance régionale du Nord, 9 octobre 1997

vu sur http://www.islamisation.fr/archive/2010/02/03/tariq-et-hani-ramadan-acceuillis-dans-le-palais-de-martine-a.html

Provocation. Port du voile dans la police: une fonctionnaire demande son report du passage en conseil de discipline.

De la pure provocation… Du mépris de la loi, de ses supérieurs… Malgré une interdiction, elle continue à porter le voile dans l’ exercice de ses fonctions d’agent de surveillance de la Police. Normal, elle est musulmane… Continuons à faire travailler des gens comme ça… On va tout gagner… Elle devait passer en conseil de discipline ce matin. Elle en a demandé le report; accepté…

FDF

04/02/2010

Une femme fonctionnaire, agent de surveillance de Paris (ASP), suspendue de ses fonctions pour
avoir porté le voile islamique simple dans un service de police
, devrait comparaître aujourd’hui
devant le conseil de discipline, a-t-on appris mercredi de sources proches du dossier.

Cette femme, Nora B., a été suspendue en novembre 2009 par le préfet de police de Paris, après
avoir été à plusieurs reprises admonestée par sa hiérarchie
, selon les sources.
Affectée dans le XIème arrondissement de Paris et chargée de la régulation de la circulation dans la
capitale, elle portait dans le service de police où elle est affectée le voile simple (non intégral) et a
toujours refusé de l’enlever.

Elle a été suspendue, avec plein traitement, l’administration lui reprochant un manquement à son
obligation de neutralité, mais a refusé de signer cette suspension
, selon les mêmes sources. Elle a
cependant continué de venir travailler avec le voile dans son service, « provoquant des tensions », et
allant jusqu’à le porter récemment, « revêtue de son uniforme sur la voie publique
« , selon ces sources.

Source: http://actu.orange.fr/france/port-du-voile-dans-la-police-une-fonctionnaire-en-conseil-&#8230; (Via JLB)

Pan dans la g….., le facteur! Candidate voilée: les critiques fusent de toutes parts!!!

Il a voulu faire un coup médiatique, le facteur. Il s’est lamentablement planté. Cela s’appelle un retour de bâton…

FDF

04.02.10
Ilham Moussaid, candidate du NPA pour les élections régionales en région Paca, lors d'une conférence de presse à Marseille, le 3 février 2010.
Ca, grand électeur??? Fallait oser. Le facteur a osé, les Français le remettent sur les rails… La classe politique aussi.
Il faut rester facteur, M. Besancenot, la politique, faut laisser ça aux personnes dites « sensées »… Les régionales, ça sent le roussi pour vous, maintenant. Dans le domaine de la politique, il y a des choses à ne pas dire et à ne pas faire. C’est facile de perdre toute crédibilité. La preuve…
En tout état de cause, ça fait plaisir de constater que tous les Français ne sont pas amorphes et semble t’il, se réveillent.
FDF

À gauche comme à droite, la décision du NPA de présenter en Paca une candidate voilée est mal perçue.


Martine Aubry, la patronne du PS, a indiqué sur Canal+ qu’elle n’aurait «pas accepté» une femme voilée sur les listes socialistes, parce que «c’est une annonce d’une religion qui doit rester du domaine privé et qui ne doit pas rentrer dans le champ de la République». Même s’il n’est «pas favorable» à la candidature d’une femme portant le voile, Benoît Hamon a de son côté jugé qu’«on n’était pas obligé de s’acharner» sur Ilham Moussaïd. Pour le porte-parole du PS, le port du voile islamique «est une marque de distinction entre les hommes et les femmes, notamment dans l’espace public, qui justifie aujourd’hui qu’au nom de l’égalité homme-femme on y soit opposé».

«Pratique religieuse à des fins électoralistes»

Dans une interview à Marianne2.fr, Jean-Luc Mélenchon, le chef de file du Parti de gauche, critique l’assimilation du politique et du religieux: «Le débat politique ne doit pas aller sur le terrain religieux. Quelqu’un qui participe à une élection doit représenter tout le monde et pas seulement ceux dont ils partagent les convictions religieuses.» Et de fustiger une «attitude immature et un peu racoleuse» de la part du NPA, à l’intérieur duquel «il n’est pas sûr que les camarades marxistes révolutionnaires apprécient».

Pour la députée UMP Chantal Brunel, en plein débat sur le voile intégral, «il s’agit d’une provocation et d’une instrumentalisation d’une pratique religieuse à des fins électoralistes, c’est choquant».

«Indignation»

Interrogée par i-Télé, Marine Le Pen, tête de liste FN dans le Nord-Pas-de-Calais, a estimé que le NPA «essayait d’attirer un nouvel électorat». Le NPA et le PS «ont perdu la confiance du peuple de gauche et des classes populaires de gauche, ils ont perdu le vote des ouvriers, ils ont perdu le vote des petits employés», a-t-elle dit, estimant qu’ «ils se cherchent un électorat de substitution et pensent qu’en multipliant les propositions communautaristes, ils vont obtenir l’électorat des Français musulmans», a-t-elle ajouté. Son père, Jean-Marie Le Pen, a qualifié le port du foulard de «fantaisie vestimentaire», jugeant qu’il aurait été plus «révolutionnaire» de la part d’Olivier Besancenot de présenter «une femme en burqa».

De son côté, la Ligue du droit international des femmes (LDIF), créée en 1983 par des militantes MLF, a exprimé «son indignation» et dénoncé «le double langage» du NPA qui, d’un côté,

«se revendique comme le parti des opprimés mais de l’autre, adhère à un symbole» qui «signifie ségrégation entre les sexes».


Source: 20minutes.fr

Retour sur « burqa: « il faut expulser le mari » (Marine Le pen).

J’évoquais hier les propos de Marine Le Pen concernant l’affaire de cet homme qui obligeait sa femme (Française…) à porter le costume de Belphégor… J’en ai récupéré la vidéo. Voir plus bas.

FDF

La vice-présidente du Front national Marine Le Pen a jugé aujourd’hui qu’un homme forçant sa femme à porter la burqa ne devait pas seulement être privé d’accès à la nationalité française, comme le prévoit le décret Besson, mais être « jugé en correctionnelle », « condamné et expulsé ».

« Si ce monsieur oblige sa femme à porter la burqa, il commet à l’encontre de sa femme une voie de fait: il faut donc que M. Besson le traduise devant le tribunal correctionnel, qu’il soit condamné parce que c’est une violence, et qu’il soit expulsé de France », a déclaré Mme Le Pen sur i-TELE.

« Il oblige sa femme » à se voiler intégralement, « il exerce une violence psychologique à l’égard de ses enfants qu’il interdit de vivre ensemble puisque les garçons sont d’un côté, les filles de l’autre; dans ces cas-là, eh bien! il faut appliquer la loi pénale », a-t-elle fait valoir. Selon elle, le ministre de l’Immigration, « bien sûr », « ne le fera pas: il se contentera de cette annonce publicitaire ». « Mais à quoi sert-il M. Besson? », a lancé la vice-présidente du FN.

Voir l’interview de Maine Le Pen :

http://www.dailymotion.com/video/xc3byx_marine-le-pen-sur-itele-322010_news

L’Espagne sort une monnaie de 2 euros commémorative de de la Grande mosquée-cathédrale de Cordoue!

Ce n’est pas en France mais ça peut venir… Nos voisins Européens Espagnols vont très prochainement emettre un monnaie commémorative de 2 euros sur la grande mosquée cathédrale de Cordoue…

Voilà le travail! Pas beau, ça???

Pour info:

Description : la pièce commémore le premier site espagnol – le centre historique de Cordoue – inscrit sur la liste de l’héritage mondial de l’Unesco en 1984. Elle représente la « forêt de piliers » de la Grande mosquée-cathédrale de Cordoue, l’un des plus grands et des plus anciens témoins de l’art islamique en Europe. Édifiée entre le VIIIe et le Xe, la mosquée est devenue par la suite une cathédrale consacrée au culte catholique, et a subi plusieurs transformations successives. Il s’agit de la première pièce d’une nouvelle série dédiée aux sites espagnols inscrits sur la liste de l’héritage mondial de l’Unesco. Les pièces seront émises chaque année à partir de 2010.

Volume d’émission : non encore communiqué.
Date d’émission : 2010

Vous avez eu peur, hein? Faut pas. Il s’agit, à mon avis, d’un symbole de la reconquête du christianisme sur l’islam en Espagne qui fut sous la domination musulmane trop longtempsLes pauvres…

FDF

France: terre de combats judéos-arabes…

NON!NON !

OUI !

Mais qu’ils aillent TOUS se battre sur leurs terres d’origine et qu’ils nous foutent la paix, enfin! Bon, c’est vrai, avec un Président qui a accepté (et certainement béni…) la circoncision de son petit fils… Le problème judéo-arabe n’a pas à se résoudre (mission impossible) sous les yeux apeurés du vrai peuple Français, à plus forte raison sur ses propres terres.

FDF

Ci dessous un clip qui est passé entre les gouttes du MRAP, de la LICRA, du CRIF, et autre parasites de notre République:

http://www.dailymotion.com/video/x8idr3_avertissement-a-lisraelienne_music
Et un autre, également facilement accessible:

Plus d’une centaine de mosquées en Seine Saint Denis, terre de prédilection de la racaille…

Encore une preuve de la relation: islam/racaille… La Seine Saint Denis bat des records en matière de délinquance de tous genres. Ce n’est pas du racisme, l’islam ni les musulmans n’étant pas une race, c’est une constatation… Plus il y a de mosquées, plus il y a d’ennuis… Bizarre… Et l’on en contruit à tours de bras, avec la bénédiction de nos élus. A croire que l’on n’aime ça, en France, la délinquance. En attendant, il y a de moins en moins d’effectifs de police, on supprime des postes et des moyens. Et puis, ils ne peuvent pas être partout, les pauvres, quand on les force à encadrer par paquets de 500 tous les déplacement de notre (pardon, du) Président.

Alors, comment faire face à cette islamisation violente de notre pays? On leur lance des tranches de lard pour se défendre? Ahhhhhhhhhh, ça ne vaut pas un bon agent des forces de l’ordre bien équipé, comme « dans le temps ».

FDF

La Seine-Saint-Denis abrite une forte présence musulmane.

Avec plus d’une centaine de lieux de culte musulman, la Seine-Saint-Denis est l’un des départements de France où la présence de l’islam est la plus visible et la plus ancienne. Son développement s’est appuyé sur les foyers de travailleurs immigrés dès les années 1960. « Cela a favorisé la création de lieux de culte multiples et relativement indépendants des pays d’origine ou des grandes fédérations représentatives, comme l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), la Grande Mosquée de Paris, ou les fédérations marocaines », explique Bernard Godard, auteur de l’ouvrage Les Musulmans de France (éd. Robert Laffont, 2007). Aujourd’hui, la fréquentation des mosquées reste marquée par la diversité géographique de la population immigrée, venue du Maghreb, d’Afrique, d’Asie, de Turquie…

Situation éclatée

Dans ce contexte, et en l’absence d’une mosquée-cathédrale, susceptible de drainer des milliers de fidèles, les acteurs musulmans de Seine-Saint-Denis se partagent la gestion des mosquées et la représentativité auprès des pouvoirs publics. L’UOIF y a implanté ses principales institutions : son siège et sa mosquée à La Courneuve, son centre de formation à Saint-Denis.

En 2001, une nouvelle génération de musulmans, pour certains issus de l’UOIF, s’est organisée au sein de l’Union des associations musulmanes de Seine-Saint-Denis (UAM 93). En quelques années, les élus locaux, de droite et de gauche, en ont fait un interlocuteur crédible de la communauté musulmane, assistant avec constance aux dîners de rupture de jeûne organisés lors du mois du ramadan.

Depuis les années 1990, la Seine-Saint-Denis abrite aussi plusieurs mosquées salafistes, tenantes d’un islam radical, et indépendantes de toute obédience nationale ou associative. Le tabligh, mouvement piétiste, apolitique, y est aussi bien représenté. C’est de cette mouvance qu’est issu Hassen Chalghoumi.

Cette situation éclatée, sans véritable leadership, explique, en partie, l’implantation de M. Chalghoumi, à Drancy, et sa tentative d’y recréer une conférence des imams de France, lancée en juin 2009, en présence des élus locaux et de… Christine Boutin, alors ministre du logement. Restée discrète depuis lors, la conférence n’est pas parvenue à s’imposer aux côtés des instances existantes.

La visibilité de M. Chalghoumi a en revanche fait de l’ombre aux autres voix musulmanes du département.


Source: lemonde.fr